Directive Européenne 2010/32/EU
|
|
- Adeline Meunier
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Directive Européenne 2010/32/EU Chaque année, en Europe, plus d un million d accidents par piqûre d aiguille. Les produits de sécurité VACUETTE confèrent une réelle protection lors de l acte de prélèvement.
2 Chaque année, en Europe, plus d un million d accidents par piqûre d aiguille. Les professionnels de santé sont exposés aux risques. Directive européenne relative à la prévention des blessures par objets tranchants / piquants dans le secteur de la santé. Plus de 30 agents pathogènes dangereux. Chaque jour, les professionnels de santé sont exposés au risque de blessure lors de la manipulation et l élimination d objets tranchants ou piquants. Les Accidents d Exposition au Sang (AES) sont un risque majeur de contamination par le VIH, l Hépatite B, l Hépatite C et plus de 30 agents pathogènes. Date clé : 11 mai 2013 La sécurité du personnel préleveur est un enjeu majeur. En 2010, l Europe a rédigé la Directive Européenne 2010/32/EU sur la prévention des blessures par objets tranchants ou piquants. Cette dernière repose sur la fourniture de dispositifs intégrant des mécanismes de sécurité. Le 11 mai 2013, la Directive sera applicable dans les pays membres et transposée dans le droit des états concernés. Objectif : la sécurité L objectif est de créer un environnement de travail sécurisé pour l ensemble des professionnels de santé concernés. Pour ce faire, deux actions doivent être mises en oeuvre. Tout d abord, la sensibilisation des professionnels à travers des formations et des supports d information. Puis, la mise à disposition de matériel sécurisé (semi-manuel ou automatique). Afin d accompagner le déploiement de la sécurité dans les états membres, le réseau européen Biosécurité a été créé. Le réseau a pour objectifs de conseiller et soutenir la mise en place effective de la sécurité. Expérience européenne Certains états membres, comme l Allemagne ou l Espagne, ont d ores et déjà commencé à déployer la sécurité afin de prévenir les AES. Des études indépendantes menées dans ces pays démontrent que la formation soutenue par des procédures de travail ainsi que l utilisation de solutions sécurisées réduisent considérablement les risques d AES. La sécurité : une action incontournable Un AES est synonyme d une forte charge émotionnelle. Le professionnel de santé ainsi que ses proches peuvent être en souffrance, jusquà ce qu ils sachent avec certitude qu ils n ont pas été infectés par un agent pathogène mortel. N attendez pas que vos employés soient victimes d un accident Agissez dès maintenant. Les AES représentent un risque sanitaire majeur et présentent des coûts non négligeables pour la direction de l entreprise ou l institution de santé concernées. 2 3
3 Quelles obligations découlent de la Directive Européenne? L évaluation des risques doit être prise en compte dans toutes les situations potentiellement à risque : utilisation d objets tranchants/piquants, élimination des DASRI... Mise en oeuvre L employeur, les partenaires sociaux et les institutions de protection de la santé des salariés travaillent ensemble afin d éviter les risques d AES et créer un environnement de travail sécurisé. Leur objectif est de protéger la santé du personnel concerné. Ils développent : Une stratégie de prévention générale Des programmes de formation Des procédures de contrôle de la sécurité Prévention et protection Si un risque d AES est identifié, des mesures appropriées doivent être prises : Respecter les bonnes pratiques d utilisation des objets tranchants/piquants Identifier et appliquer les procédures de manipulation et d élimination des Déchets d Activités de Soins à Risques Infectieux (DASRI) Interdire le recapuchonnage des aiguilles souillées Fournir des dispositifs médicaux dotés de mécanismes de sécurité intégrés Mettre en place des procédures d élimination des DASRI Fournir des équipements de protection du personnel Mettre en place des campagnes de vaccination Information, sensibilisation et formation Les employés doivent recevoir des informations sur : l utilisation des dispositifs médicaux tranchants/piquants dotés de mécanismes de sécurité les risques de contamination (sang, fluides corporels,...) les bonnes pratiques et les procédures de travail les procédures de tri et d élimination des DASRI l importance de la vaccination les procédures et les mesures à prendre en cas d AES L employeur est dans l obligation d organiser des formations pour les personnels concernés. Conduite à tenir en cas d AES... Tout AES doit est notifié à l employeur et fait l objet d une procédure adaptée. 4 5
4 ... Conduite à tenir en cas d AES En cas de blessure, les mesures suivantes doivent être prises immédiatement : Dispenser les soins adéquats : examens médicaux, prophylaxie, suivi médical, une prophylaxie post-exposition et un contrôle médical ultérieur. Identifier les causes de l accident, rédiger un compte-rendu et prendre les mesures appropriées. En cas d infection déclarée, des mesures d indemnisation et de maintien de l emploi doivent être effectives. La confidentialité doit être respectée La sécurité, 20 ans d effort... Les organisations professionnelles alertent sur les dangers liés aux blessures par objets tranchant/piquants Les premiers produits de sécurité apparaissent sur le marché. L OSHA* publie le «Bloodborne Pathogens Standard» afin de protéger les travailleurs des risques. De nombreuses études et publications internationales alertent sur la multiplication des blessures par piqûres et les risques sanitaires liés. Novembre 2000 : le gouvernement américain promulgue la loi «Needlestick Prevention and Safety Act». Critères de sélection pour l utilisation d instruments médicaux sécurisés L application de la Directive Européenne est soutenue par le réseau Biosafety qui donne une liste de critères à respecter pour la sécurisation du matériel : l instrument doit être adapté pour les soins du patient l instrument doit fonctionner correctement le mécanisme de sécurité doit faire partie intégrante du dispositif l instrument doit être facile à utiliser et entraîner un changement mineur des pratiques l activation du mécanisme de sécurité doit être simple et facilement contrôlable les systèmes de sécurité uni-manuels ou automatiques sont préférables l activation du système de sécurité doit être tangible et/ou visible le mécanisme de mise en sécurité doit être irréversible Les instructions et la formation des utilisateurs sont des enjeux majeurs lors de la dotation en dispositifs médicaux sécurisés. L expérience démontre que la bonne utilisation des systèmes de sécurité combinée à des procédures de travail permet de prévenir et de réduire les risques d AES. Les actes les plus risqués sont les prélèvements veineux et artériels ainsi que l injection. Tout contact percutané sur muqueuse ou sur peau lésée avec une infime quantité de sang peut entraîner une infection potentiellement mortelle. Les aiguilles creuses, utilisées dans le cadre du prélèvement, renferment plus de sang et ainsi présentent des risques plus élevés Le Ministère du Travail américain rédige de nouvelles normes OSHA relatives à la mise en pratique de la loi. L utilisation des produits de sécurité s entensifie. Les offres de produits s élargissent et présentent un meilleur rapport coût/efficacité. La réduction des prix des matériels pousse certains pays et de plus en plus d hôpitaux à se doter en système de sécurité. Le Commission européenne, missionnée par le Parlement européen, travaille sur une proposition législative sur la protection des professionnels de santé. En Allemagne, le «TRBA 250» entre en vigueur. (Février 2008) Les instruments doivent être sécurisés et prévenir des risques d AES. Signature d un accord-cadre entre les partenaires sociaux européens HOSPEEN et FSESP. (Juillet 2009) Le Conseil européen promulgue la Directive 2010/32/UE qui doit servir de base pour la loi nationale. (Mai 2010) De nombreux hôpitaux se dotent en produits de sécurité. Leur objectif : anticiper la loi et assurer la sécurité du personnel. Les Etats membres de l UE devront transposer la Directive dans leur droit national pour une entrée en vigueur le 11 mai * OSHA Administration de la sécurité et de la santé au travail (Occupational Safety & Health Administration) au Ministère du Travail américain Sources Directive 2010/32/UE du conseil du 10 mai 2010 sur la mise en application de l accord-cadre établi entre l HOSPEEM et la FSESP pour la prévention des blessures par instruments tranchants / piquants dans le secteur hospitalier et sanitaire, Bruxelles Accord-cadre relatif à la prévention des blessures par instruments tranchants / piquants dans le secteur hospitalier et sanitaire entre l HOSPEEM (Association européenne des employeurs hospitaliers) et la FSESP (Fédération syndicale européenne des services publics) Bruxelles, Réseau européen sur la biosécurité : Directive relative à la mise en application de l accord-cadre européen, la directive du conseil et le processus de législation nationale connexe 6 7
5 Pour plus d informations, nous vous invitons à visiter notre site /preanalytics ou nous contacter : Autriche (siège) Greiner Bio-One GmbH Tél Fax office@at.gbo.com Espagne VACUETTE Espana S.A. Tél Fax info@vacuette.es Inde Greiner Bio-One INDIA Pvt., Ltd. Tél Fax info@gboindia.com Suisse Greiner Bio-One VACUETTE Schweiz GmbH Tél Fax office@ch.gbo.com Allemagne Greiner Bio-One GmbH/Preanalytics Tel Fax office@de.gbo.com Etats-Unis Greiner Bio-One North America Inc. Tél Fax info@us.gbo.com Pays-Bas Greiner Bio-One B.V. Tél Fax info@nl.gbo.com Thaïlande Greiner Bio-One Thailand Ltd Tél Fax office@th.gbo.com Brésil Greiner Bio-One Brasil Tél Fax office@br.gbo.com France Greiner Bio-One SAS Tél Fax office@fr.gbo.com Royaume-Uni Greiner Bio-One Ltd. Tél Fax info@uk.gbo.com Chine Greiner Bio-One Suns Co., Ltd. Tél Fax office@cn.gbo.com Hongrie Greiner Bio-One Hungary Kft. Tél Fax office@hu.gbo.com rev.01, f
LES ACCIDENTS D EXPOSITION AU RISQUE VIRAL Prise en charge & Prévention
LES ACCIDENTS D EXPOSITION AU RISQUE VIRAL Prise en charge & Prévention Evaluation du risque après AEV Selon le type d'accident Virus Percutanée Cutanéomuqueux Morsure VHB 2 à 40% >HCV>VIH Documentée VHC
Plus en détailDéclarations européennes de la pharmacie hospitalière
Déclarations européennes de la pharmacie hospitalière Les pages qui suivent constituent les Déclarations européennes de la pharmacie hospitalière. Elles représentent l expression consensuelle de ce que
Plus en détailMANUEL QUALITE. Greiner Bio-One SAS
MANUEL QUALITE Greiner Bio-One SAS Version 2 - Avril 2013 Page 2 sur 28 SOMMAIRE Fonctions du manuel qualité page 4 Politique et engagement de la Direction page 5 Présentation de Greiner Bio-One page 6
Plus en détailBERNSTEIN CSMS. Le détecteur de sécurité sans contact le plus polyvalent du marché
BERNSTEIN CSMS Le détecteur de sécurité sans contact le plus polyvalent du marché Le CSMS Contactless Safety Monitoring Sensor Le CSMS est un détecteur de sécurité électronique qui maintient les portes
Plus en détailProgramme de Formation
Programme de Formation 2009 Formation sur systèmes ABS/EBS frein à disque, suspension et magasinier Formations décentralisées dans votre région pour: Découvrir et comprendre les systèmes ABS / EBS, la
Plus en détailINFORMATIONS pour le médecin qui contrôle et complète le formulaire
Vaccination des étudiants du Baccalauréat en Médecine de Lausanne INFORMATIONS pour le médecin qui contrôle et complète le formulaire La vaccination du personnel de santé est recommandée par l Office fédéral
Plus en détailDroits des patients et indemnisation des accidents médicaux
Droits des patients et indemnisation des accidents médicaux Etablissement public sous la tutelle du Ministère chargé de la santé Les recours possibles pour les patients OBTENIR DES EXPLICATIONS Si un patient
Plus en détailDroits des patients et indemnisation des accidents médicaux
Droits des patients et indemnisation des accidents médicaux Etablissement public sous la tutelle du Ministère chargé de la santé Lorsqu il estime avoir été victime, de la part d un établissement ou d un
Plus en détailSTOP à la Transmission des microorganismes!
STOP à la Transmission des microorganismes! M.E Gengler Vendredi 25 Avril 2014 Vous avez ditstandard? Voici les «Précautions Standard» ou PS Les Précautions Standard : la Loi Respectez les «précautions
Plus en détailJe m inscris au forfait, donc je consulte toujours dans ma maison médicale
Je m inscris au forfait, donc je consulte toujours dans ma maison médicale Ma mutuelle paye un montant fixe chaque mois à ma maison médicale LE FORFAIT est un contrat entre patient, maison médicale et
Plus en détailWHA63.12 Disponibilité, innocuité et qualité des produits sanguins 4,5
WHA63/200/REC/ WHA63.2 Disponibilité, innocuité et qualité des produits sanguins... 9 WHA63.2 Disponibilité, innocuité et qualité des produits sanguins 4,5 La Soixante-Troisième Assemblée mondiale de la
Plus en détailTout commence avec l acier : l acier dont vous, notre client, avez besoin pour réussir sur le marché. Un acier d une qualité particulière.
Ugitech Profils 02 SCHMOLZ + BICKENBACH GROUP Tout commence avec l acier : l acier dont vous, notre client, avez besoin pour réussir sur le marché. Un acier d une qualité particulière. Il vous faut cet
Plus en détailPRÉVIENT QUAND ÇA BOUGE. DIT OÙ ÇA SE RETROUVE.
1 er système de géosécurisation sans installation, permettant aux professionnels et aux particuliers de géolocaliser et sécuriser tout type de bien mobile en France et dans 12 pays européens. LOCSTER est
Plus en détailREFERENTIEL D ACTIVITES ET DE COMPETENCES CQP AIDE DENTAIRE
REFERENTIEL D ACTIVITES ET DE COMPETENCES CQP AIDE DENTAIRE 1 ACTIVITES TECHNIQUES AIDE DENTAIRE / GESTION DU RISQUE INFECTIEUX Préparer et entretenir la salle de soins Entretenir la salle de stérilisation
Plus en détailapparentés), titulaires d un diplôme ou d un titre paramédical européen, souhaitant exercer en région Nord Pasde-Calais et délivrées par les DRJSCS*
L équivalence Les autorisations des diplômes d exercice étrangers en France dans le pour les ressortissants secteur du paramédical européens (ou apparentés), titulaires d un diplôme ou d un titre paramédical
Plus en détailMarquage CE Mode d emploi SOMMAIRE : I. Les produits concernés
Marquage CE Mode d emploi Août 2014 SOMMAIRE : I. Les produits concernés II. Les acteurs concernés a. Le fabricant b. Le mandataire c. L importateur d. Le distributeur III. La mise en conformité des produits
Plus en détailTITRE : On est tous séropositif!
PRÉPARER UNE «SITUATION COMPLEXE DISCIPLINAIRE», SITUATION D APPRENTISSAGE ET/OU D ÉVALUATION TITRE : On est tous séropositif! classe : 3 ème durée : 30 min I - Choisir des objectifs dans les textes officiels.
Plus en détailChiffre d affaires du premier trimestre 2015
Chiffre d affaires du premier trimestre 2015 Chiffre d affaires : 286,6 millions d euros, croissance organique de +4,0% Flux de trésorerie disponible : 31,9 millions d euros, en progression de +10,4% Croissance
Plus en détailFINANCEMENT DES RISQUES PROFESSIONNELS. CHU de la TIMONE UE «ORGANISATION DE LA SECURITE SOCIALE»
FINANCEMENT DES RISQUES PROFESSIONNELS CHU de la TIMONE UE «ORGANISATION DE LA SECURITE SOCIALE» Intervenant : Jean-Jacques LANTONNET Expert Tarification AT-MP Direction des Risques Professionnels Caisse
Plus en détailAIDE MÉMOIRE DE PROMOTION DU DON DE SANG
CENTRE NATIONAL DE TRANSFUSION SANGUINE ---------------------------------- DIRECTION DE LA COMMUNICATION ET DE LA PROMOTION DU DON DE SANG AIDE MÉMOIRE DE PROMOTION DU DON DE SANG Pour vos dons et activités
Plus en détailH A C C P. Hazard Analysis, Critical Control Point. Analyse des dangers, maîtrise des points critiques. Programme de formations.
H A C C P Hazard Analysis, Critical Control Point Analyse des dangers, maîtrise des points critiques Objectifs : L'HACCP est une norme de mise en œuvre destinée à évaluer les dangers, et, mettre en place
Plus en détailNouveau plan greffe : Axes stratégiques pour l avenir
Extrait Communiqué de presse Saint-Denis, le 12 avril 2012 Nouveau plan greffe : Axes stratégiques pour l avenir La dynamique du plan greffe 2000-2003 a généré un essor sans précédent de près de 50 % de
Plus en détailLes vaccinations en milieu professionnel
Les vaccinations en milieu professionnel Mise à jour Août 2008 Dans le cadre de la prévention du risque biologique, le code du travail précise, aux articles R.4421-1 et suivants, la démarche d'analyse
Plus en détailProphylaxie infectieuse après exposition professionnelle
1 Prophylaxie infectieuse après exposition professionnelle Introduction Le personnel soignant est régulièrement confronté au risque de contamination par le virus de l immunodéficience humaine (VIH) mais
Plus en détailExtrait du Guide d aide à la codification du BAAC. Document réalisé par l ONISR et le SETRA Avec la collaboration du CETE du Sud-Ouest
Extrait du Guide d aide à la codification du BAAC Document réalisé par l ONISR et le SETRA Avec la collaboration du CETE du Sud-Ouest Décembre 2012 Définition de l accident corporel de la circulation routière
Plus en détailDésignation/mise en place des points focaux nationaux RSI
1 GUIDE DES POINTS FOCAUX NATIONAUX RSI Désignation/mise en place des points focaux nationaux RSI 1. Introduction Le Règlement sanitaire international (2005) (RSI(2005)) définit un point focal national
Plus en détailOpenest. Fiche produit
Openest Fiche produit Openest partager, créer, se détendre. Détails Les modes de travail sont devenus mobiles on se déplace librement toute la journée, on n est plus attaché à un espace désigné. Le ratio
Plus en détailTable des matières. Les défis de la Comptabilité Fournisseurs 3. La meilleure stratégie pour relever les défis de la Comptabilité Fournisseurs 4
Kofax AP Agility Table des matières Les défis de la Comptabilité Fournisseurs 3 La meilleure stratégie pour relever les défis de la Comptabilité Fournisseurs 4 La solution TotalAgility Accounts Payable
Plus en détailInfection par le VIH/sida et travail
Documents publiés dans la collection VIH-sida du ministère de la Santé et de la Protection sociale : COLLECTION VIH/SIDA Sida-MST (maladies sexuellement transmissibles) Transmission - Diagnostic/dépistage
Plus en détailGESTION DES RISQUES Cartographie COVIRISQ
GESTION DES RISQUES Cartographie COVIRISQ PLAN Préambule Historique de la démarche Cartographie Organigramme Situation actuelle Constat Préambule OVE comprend : Un secteur social Un secteur médico-social
Plus en détailwww.dondemoelleosseuse.fr
Agence relevant du ministère de la santé www.dondemoelleosseuse.fr 01 Pourquoi devenir Veilleur de Vie? Le don de moelle osseuse peut sauver des vies. Chaque année, des milliers de personnes - enfants
Plus en détailCAP d Installateur sanitaire RÉFÉRENTIEL DES ACTIVITÉS PROFESSIONNELLES PRÉSENTATION DES FONCTIONS ET TACHES
PRÉSENTATION DES FONCTIONS ET TACHES Les activités sont à développer lors de la réalisation d un ouvrage ou d une installation simple ACTIVITES : 1) Préparation / Organisation 1- Prendre connaissance du
Plus en détailContenu de la formation PSE1et PSE2 (Horaires à titre indicatif)
Contenu de la formation PSE1et PSE2 (Horaires à titre indicatif) Contenu de la formation PSE1 LE SECOURISTE : 1 h 30 Indiquer le rôle et les responsabilités d un secouriste. Indiquer les connaissances
Plus en détailBio nettoyage au bloc opératoire
Bio nettoyage au bloc opératoire Béatrice CROZE Infirmière hygiéniste Service d hygiène et d épidémiologie novembre 2012 Le bio nettoyage au bloc L impression omniprésente de travailler dans l urgence
Plus en détailQuelles sont les maladies hautement contagieuses susceptibles d être hospitalisées en réanimation en France?
53 e congrès national d anesthésie et de réanimation. Infirmiers. Infirmier(e)s de réanimation 2011 Sfar. Tous droits réservés. Quelles sont les maladies hautement contagieuses susceptibles d être hospitalisées
Plus en détailPourquoi se protéger? Croissance exponentielle des incidents. www.cert.org. 2004 Hades Security - Hadès Sécurité
Cours 3 : Sécurité 160000 140000 120000 100000 80000 60000 40000 20000 0 Pourquoi se protéger? 1990 1991 1992 1993 1994 1995 1996 1997 1998 1999 2000 2001 2002 2003 Croissance exponentielle des incidents
Plus en détailCapture et stockage du CO2 (CCS)
European Technology Platform for Zero Emission Fossil Fuel Power Plants (ZEP) Capture et stockage du CO2 (CCS) Une solution majeure pour combattre le changement climatique 50% de réduction des émissions
Plus en détailEnterprise Europe Network, CCI de Lyon Contact : Catherine Jamon-Servel Tél : 04 72 40 57 46 Mail : jamon@lyon.cci.fr www.lyon.cci.
FICHE PRATIQUE LES PRODUITS BIOCIDES Enterprise Europe Network, CCI de Lyon Contact : Catherine Jamon-Servel Tél : 04 72 40 57 46 Mail : jamon@lyon.cci.fr www.lyon.cci.fr/een La Chambre de commerce et
Plus en détail... et l appliquer à l optimum. Reconnaître la qualité... Solution Partner. Answers for industry.* *Des réponses pour l industrie.
Reconnaître la qualité...... et l appliquer à l optimum. Solution Partner Answers for industry.* *Des réponses pour l industrie. 2 Le succès par la qualité Un label fiable de qualité optimale Sous le nom
Plus en détailConseils aux voyageurs
Conseils aux voyageurs Informations issues du site du Ministère des Affaires Etrangères en France : http://www.diplomatie.gouv.fr/ Entrée / Séjour : Un visa d entrée est nécessaire pour les ressortissants
Plus en détailComptes consolidés de l Etat : étapes préalables
Comptes consolidés de l Etat : étapes préalables Séminaire relatif à la pertinence des IPSAS et normes comptables européennes Cour des comptes 25 mars 2013 Comptes consolidés de l Etat : étapes préalables
Plus en détailLe marquage CE vous ouvre les portes du marché européen!
Le marquage CE vous ouvre les portes du marché européen! Commission européenne Entreprises et industrie Table des matières Qu est-ce que le marquage CE? Qu est-ce que le marquage CE? 3 Obligations légales
Plus en détailPrévenir... par la vaccination
Prévenir... par la vaccination 6 La vaccination...... Soit c est OBLIGATOIRE (2)... Les vaccinations obligatoires pour l ensemble de la population et dont les lois sont inscrites dans le Code de la Santé
Plus en détailLA NORME RABC EN BLANCHISSERIE NOYONS SEPTEMBRE 2012
LA NORME RABC EN BLANCHISSERIE NOYONS SEPTEMBRE 2012 SOMMAIRE La norme RABC, qu est-ce que c est? Les grandes lignes La blanchisserie et la Fonction linge - incidences sur l application de la méthode Les
Plus en détailACCORD RELATIF AU TRANSIT DES SERVICES AÉRIENS INTERNATIONAUX SIGNÉ À CHICAGO LE 7 DÉCEMBRE 1944
ACCORD RELATIF AU TRANSIT DES SERVICES AÉRIENS INTERNATIONAUX SIGNÉ À CHICAGO LE 7 DÉCEMBRE 1944 Entrée en vigueur : L Accord est entré en vigueur le 30 janvier 1945. Situation : 130 parties. Cette liste
Plus en détailJe suis honnorée de m' addresser à vous à l'occasion du Onzième Congrès des Nations Unis pour la Prevention du Crime et la Justice Penale.
Intervention de la Roumanie à l'occasion de la session «Haut Niveau» de l' Onzieme Congrès des Nations Unis sur la prévention du crime et la justice pénale Madame KIBEDI Katalin Barbara, Sécretaire d'
Plus en détailSECURITE SANITAIRE DES ALIMENTS
PREFET DES PYRENEES-ATLANTIQUES Direction Départementale de la Protection des Populations des Pyrénées-Altantiques SECURITE SANITAIRE DES ALIMENTS Quelques règles à respecter, secteur de la remise directe
Plus en détailPacte européen pour la santé mentale et le bien-être
Pacte européen pour la santé mentale et le bien-être CONFERENCE DE HAUT-NIVEAU DE L UE ENSEMBLE POUR LA SANTÉ MENTALE ET LE BIEN-ÊTRE Bruxelles, 12-13 juin 2008 Slovensko predsedstvo EU 2008 Slovenian
Plus en détailCampagne nationale pour l élimination des fistules obstétricales en Mauritanie
Campagne nationale pour l élimination des fistules obstétricales en Mauritanie Contexte de la fistule obstétricale Situation en Mauritanie Progrès au niveau Pays/ Mise en œuvre Défis pour les années à
Plus en détailGMC Inspire HybridMail
GMC Inspire HybridMail Gérez vos courriers d un simple clic depuis le bureau Réalisez immédiatement 60 % d économies 2 3 Supprimez les coûts cachés Alors que la plupart des entreprises doivent faire face
Plus en détailà la Consommation dans le monde à fin 2012
Le Crédit à la Consommation dans le monde à fin 2012 Introduction Pour la 5 ème année consécutive, le Panorama du Crédit Conso de Crédit Agricole Consumer Finance publie son étude annuelle sur l état du
Plus en détailUGIWELD TM, faites le vœu de l éternité
UGIWELD TM, faites le vœu de l éternité 02 SCHMOLZ + BICKENBACH GROUp Tout commence avec l acier : l acier dont vous, notre client, avez besoin pour réussir sur le marché. Un acier d une qualité particulière.
Plus en détailSOMMAIRE COMPTES CONSOLIDES SUR LE DERNIER ARRETE INTERMEDIAIRE
SOMMAIRE COMPTES CONSOLIDES SUR LE DERNIER ARRETE INTERMEDIAIRE - Bilan consolidé - Compte de résultat consolidé - Tableau de flux - Annexe simplifiée 1 SOMMAIRE DE L ANNEXE SIMPLIFIEE 1 EVENEMENTS SIGNIFICATIFS
Plus en détailConsignes déclaratives DSN
Consignes déclaratives DSN Pôle emploi 1/8 Contenu PREAMBULE... 3 1. GERER UNE FIN DE CDD / GERER UNE PROLONGATION DE CDD... 4 2. GERER UNE ABSENCE NON REMUNEREE OU PARTIELLEMENT REMUNEREE... 5 3. GERER
Plus en détailLA VACCINATION PROFESSIONNELLE
F I C H E P R E V E N T I O N N 1 1 «H Y G I E N E S E C U R I T E» LA VACCINATION PROFESSIONNELLE INTRODUCTION La vaccination en milieu professionnel a un intérêt individuel dans le sens où elle protège
Plus en détailConservation des documents
ACCORD COLLECTIFS D ENTREPRISE (+ NOTIFICATION D AGRÉMENT) BILAN SOCIAL BULLETIN DE PAYE ART. L. 3243-4 C.TRAV. CONTRAT DE TRAVAIL DESTINATAIRES Les salariés Le délégué syndical Les autorités de tarification
Plus en détailSURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES
SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES Dr Virginie NAEL Service de Santé au travail du personnel hospitalier CHU Nantes 44èmes journées FMC ANMTEPH / SOHF - Lausanne - Septembre
Plus en détailContact : Jennifer Hrycyszyn Greenough Communications 617.275.6519 jhrycyszyn@greenoughcom.com
Contact : Jennifer Hrycyszyn Greenough Communications 617.275.6519 jhrycyszyn@greenoughcom.com Optimisation de Numara Track-It!, la solution de Help Desk et de gestion des actifs informatiques de Numara
Plus en détailLa recherche d assurance maladie à l étranger Procédure à l usage des CPAS
La recherche d assurance maladie à l étranger Procédure à l usage des CPAS CAAMI Service Relations internationales (iri.enquete@caami.be) www.caami.be Introduction La Caisse Auxiliaire d Assurance Maladie-Invalidité
Plus en détailActivités informatiques du BCCDC
Activités informatiques du BCCDC Atelier sur la surveillance en santé environnementale Le 26 février 2013 Informatique en santé publique Application de disciplines clés pour la santé publique Science de
Plus en détailtouristique : quelle vision partager? Les perspectives de normalisation AFNOR Responsable Développement Sport, Loisirs
Sport, loisirs et développement touristique : quelle vision partager? Les perspectives de normalisation internationales Marie Solange BUREAU AFNOR Responsable Développement Sport, Loisirs 1 Normalisation
Plus en détailTEST DE DÉTECTION DE LA PRODUCTION D INTERFÉRON γ POUR LE DIAGNOSTIC DES INFECTIONS TUBERCULEUSES
TEST DE DÉTECTION DE LA PRODUCTION D INTERFÉRON γ POUR LE DIAGNOSTIC DES INFECTIONS TUBERCULEUSES Classement NABM : non inscrit code : non codé DÉCEMBRE 2006 Service évaluation des actes professionnels
Plus en détailLa Mutuelle. Réussir la mise la place au 1 er janvier 2016. Olivier SIMON Conseil en protection sociale
La Mutuelle Réussir la mise la place au 1 er janvier 2016 Olivier SIMON Conseil en protection sociale Sommaire 2 1. Contexte 2. L ANI et la LSE 3. Les obligations pour les Entreprises 4. Fonctionnement
Plus en détailCOMMUNE DE GRESY-SUR-AIX
COMMUNE DE GRESY-SUR-AIX Marché public pour la restauration scolaire (du 01/09/2015 au dernier jour précédent la rentrée scolaire 2016, renouvelable une fois) Date et heure limite de réception des offres
Plus en détailDIRECTIVE 1999/2/CE DU PARLEMENT EUROPÉEN ET DU CONSEIL
L 66/16 DIRECTIVE 1999/2/CE DU PARLEMENT EUROPÉEN ET DU CONSEIL du 22 février 1999 relative au rapprochement des législations des États membres sur les denrées et ingrédients alimentaires traités par ionisation
Plus en détailPersonnes physiques fiscalement domiciliées en France, PME * de moins de 3 ans.
Personnes physiques fiscalement domiciliées en France, PME * de moins de 3 ans. Aider le créateur à préciser son plan d entreprise et à procéder à des vérifications a minima techniques et juridiques pour
Plus en détailINFORMATION. Comparaison des principaux types d armoires de sécurité pour produits inflammables
INFORMATION Comparaison des principaux types d armoires de sécurité pour produits inflammables De nos jours, les produits inflammables sont utilisés dans la plupart des laboratoires et environnements industriels.
Plus en détailRESPONSABILITÉ INDEMNITAIRE
RESPONSABILITÉ INDEMNITAIRE (CIVILE ET ADMINISTRATIVE) Pr Scolan Clinique de médecine légale RESPONSABILITÉ CIVILE Introduction Obligation de répondre devant la justice d un dommage et de le réparer Délictuelle
Plus en détailRepoussez vos frontières
Repoussez vos frontières Avec la plateforme d applications la plus rapide et agile au monde Vos applications métier disponibles tout le temps, partout. La Liberté de Choisir Client/Serveur - Applications
Plus en détailEntente administrative sur la certification de produits conclue entre. la Direction générale de Transports Canada, Aviation civile (TCAC)
Entente administrative sur la certification de produits conclue entre la Direction générale de Transports Canada, Aviation civile (TCAC) et l Agence européenne de la sécurité aérienne (AESA) (ci-après
Plus en détailRéférences et partenaires :
Eric RIPERT, 49 ans, Formateur - Consultant depuis 1995 dans les domaines HYGIENE SECURITE ENVIRONNEMENT. (H.S.E) Formateur et coordinateur de pôle en 2010 dans un centre de formation de premier plan sur
Plus en détailAnnexe I. Notification de réactions indésirables graves par l établissement :
Annexe I. Notification de réactions indésirables graves par l établissement : Partie A. Notification rapide d une suspicion de cas de réaction indésirable grave chez un donneur (vivant) (complication liée
Plus en détailLa résistance d'agents infectieux aux médicaments antimicrobiens
DECLARATION COMMUNE DES ACADEMIES DU G SCIENCE 2013 La résistance d'agents infectieux aux médicaments antimicrobiens Une menace globale pour l'humanité Depuis l introduction dans les années 40 du premier
Plus en détailPS 406-2. Générateur mobile pour le soudage orbital THE ART OF WELDING. TIG - Avec ou sans métal d apport, AVC, OSC
PS 406-2 TIG - Avec ou sans métal d apport, AVC, OSC Générateur mobile pour le soudage orbital THE ART OF WELDING PS 406-2 Caractéristiques générales Générateur mobile Interface utilisateur (IHM) Programmation
Plus en détailRapport d hygiène pour le département du service d ambulance
Rapport d hygiène pour le département du service d ambulance Dans le cadre des exigences de qualité posées, l on aimerait savoir dans quelle mesure le nettoyage et la désinfection des ambulances suffisent
Plus en détailChapitre VI : Gestion des risques épidémiques
Chapitre VI : Fiche n VI.1 : Gale Fiche n VI.2 : Tubeculose pulmonaire (accessible dans la prochaine version) Fiche n VI.3 : Gastro-entérite Fiche n VI.4 : Infection respiratoire aigüe basse Sommaire Sommaire
Plus en détailACCIDENTS D EXPOSITION AU RISQUE VIRAL. Dr David Bruley Service de Maladies Infectieuses CHU Grenoble
ACCIDENTS D EXPOSITION AU RISQUE VIRAL Dr David Bruley Service de Maladies Infectieuses CHU Grenoble Définition d un AES Sang ou liquide biologique potentiellement contaminant Sécrétions vaginales / sperme
Plus en détailINAUGURATION LABORATOIRE DE THERAPIE CELLULAIRE 16 FEVRIER 2012 DOSSIER DE PRESSE
INAUGURATION LABORATOIRE DE THERAPIE CELLULAIRE 16 FEVRIER 2012 DOSSIER DE PRESSE Contact presse : Cathy Josse 03 22 66 87 83 / 06 86 30 46 57 josse.cathy@chu-amiens.fr 1 COMMUNIQUE DE SYNTHESE Le 16 février
Plus en détail«La Mutualité Française ouvre de nouveaux chantiers innovants.»
39 e Congrès de la Mutualité Française Résolution générale «La Mutualité Française ouvre de nouveaux chantiers innovants.» La crise financière, économique, sociale et écologique frappe durement notre pays,
Plus en détailZ I G U I N C H O R SITUATION ECONOMIQUE ET SOCIALE REGIONALE 2013. Service Régional de la Statistique et de la Démographie de Ziguinchor
Z I G U I N C H O R REPUBLIQUE DU SENEGAL Un Peuple Un But Une Foi ------------------ MINISTERE DE L ECONOMIE, DES FINANCES ET DU PLAN ------------------ AGENCE NATIONALE DE LA STATISTIQUE ET DE LA DEMOGRAPHIE
Plus en détailTarif des envois de Mails Prix HT, TVA 20 %
Tarif des envois de Mails Prix HT, TVA 20 % AVEC sélection par code ape et/ou code postal 10 000 mails Offre d'essai 19,90 100 000 mails Prix unitaire 120,00 1 par entreprise maxi 10 000 mails Prix unitaire
Plus en détailASSURANCE MALADIE OBLIGATOIRE DE BASE
ASSURANCE MALADIE OBLIGATOIRE DE BASE Convention nationale Entre Les Organismes Gestionnaires Et Les Chirurgiens Dentistes CONVENTION NATIONALE Etablie sous l égide de l Agence Nationale de l Assurance
Plus en détailIl est bien établi que le réseau d eau hospitalier peut
Les micro-organismes de l eau impliqués dans les infections nosocomiales Depuis 2001 chez Pall, en charge de l information scientifique et réglementaire dans les domaines d applications couverts par la
Plus en détailLe VIH et votre foie
Le VIH et votre foie Le VIH et votre foie Que dois-je savoir au sujet de mon foie? Votre foie joue un rôle incroyablement important. Il filtre votre sang en éliminant les substances nocives (toxiques)
Plus en détail10.CARBON DESKTOP : RÉDUIRE SES COÛTS GRÂCE A UN SUIVI INFORMATISE DES DONNÉES DÉCHETS ET ÉNERGIE
ÉTUDE DE BENCHMARKING SUR LES DÉCHETS DANS LES MÉTHODOLOGIES D ACTION SUR LES COÛTS ET SUR LES 10.CARBON DESKTOP : RÉDUIRE SES COÛTS GRÂCE A UN SUIVI INFORMATISE DES DONNÉES DÉCHETS ET ÉNERGIE Type de
Plus en détail3 Guide pour développer un plan national de gestion des déchets de soins médicaux
3 Guide pour développer un plan national de gestion des déchets de soins médicaux (111) Cette section présente une liste d actions recommandées qui devraient être mises en place par le gouvernement central
Plus en détailAUDIT BLOC OPERATOIRE
AUDIT BLOC OPERATOIRE Forum Octobre 2006 G.Bossuat, inf, HPCI, CHUV 1 Rappel théorique Audit vient du mot latin «audire», écouter. L audit, est un processus méthodique, indépendant et documenté permettant
Plus en détailREGLEMENTS ET CONDITIONS GENERALES (RCG) POUR LES MAKTOOB, MEDICAL, HAJJ & UMRAH ET SILVER CARD
REGLEMENTS ET CONDITIONS GENERALES (RCG) POUR LES MAKTOOB, MEDICAL, HAJJ & UMRAH ET SILVER CARD Introduction Après l'achat et le paiement d'une des cartes "MUSLIM FLIGHT ASSIST", le titulaire de la carte
Plus en détailSYSTÈME DE MANAGEMENT ENVIRONNEMENTAL
15 e École d été en évaluation environnementale Évaluation de la durabilité du développement urbain et industriel : outils d analyse de l empreinte écologique et des impacts sociaux et sanitaires Douala,Hôtel
Plus en détailObjet du document CAHIER DES CHARGES PRESTATION DE NETTOYAGE. Type de document : CDC. Cahier des charges pour la fourniture de prestation de nettoyage
Type de document : CDC Cahier des charges auteur HC Objet du document Cahier des charges pour la fourniture de prestation de nettoyage 1 de 11 CDC nettoyage.docx TABLE DES MATIERES 1 PRESENTATION DE CAP
Plus en détailCoordination de la Gestion des risques. Bilan - Programme
Coordination de la Gestion des risques Bilan - Programme La démarche Mise en place en 2007 Regroupe l ensemble des Vigilances Sanitaire. Associe le programme CLIN Associe les risques liés aux vigilances
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailLes archives... c est quoi?
Brochures de recommandations et de conseil 5 Les archives... c est quoi? Archiver... pourquoi? Archiver... comment? Archives générales du Royaume et Archives de l État dans les Provinces Section Surveillance,
Plus en détailUtilisez les outils de la fiche méthode «étude d une affiche de film». Vous pouvez faire part d autres éléments concernant l étude de cette œuvre.
SUJET 1- Eugène Delacroix, Roméo et Juliette, 1855. 2-Dites à quel passage de la pièce (acte et scène) ce tableau fait référence et expliquez pourquoi.. Eugène Delacroix, Roméo et Juliette, 1855. SUJET
Plus en détailAgrément des hébergeurs de données de santé. 1 Questions fréquentes
Agrément des hébergeurs de données de santé 1 Questions fréquentes QUELS DROITS POUR LES PERSONNES CONCERNEES PAR LES DONNEES DE SANTE HEBERGEES? La loi précise que l'hébergement de données de santé à
Plus en détailÉCOCONCEPTION ET ÉTIQUETAGE ÉNERGÉTIQUE
ÉCOCONCEPTION ET ÉTIQUETAGE ÉNERGÉTIQUE 2 1 LE CONTEXTE LES OBJECTIFS DES DIRECTIVES ÉCOCONCEPTION ET ÉTIQUETAGE ÉNERGÉTIQUE Protéger l environnement (1), sécuriser l approvisionnement énergétique (2)
Plus en détailGUIDE DE BONNES PRATIQUES POUR LA COLLECTE DE PILES ET ACCUMULATEURS AU LUXEMBOURG
GUIDE DE BONNES PRATIQUES POUR LA COLLECTE DE PILES ET ACCUMULATEURS AU LUXEMBOURG Version 1.0 1 Avant-propos Ce guide de bonnes pratiques a été préparé pour fournir des informations concernant la collecte
Plus en détailétiquetage des produits chimiques
Le nouveau règlementr GHS / CLP pour l él étiquetage des produits chimiques Carlo Erba RéactifsR actifs-sds Brigitte Coulange Les systèmes de classification existants au niveau mondial LE TOLUENE Au Canada,
Plus en détailPartir à l étranger ça se prépare!
Assurance responsabilité civile Assurance maladie Formalités Coût de la vie Agenda pour les démarches à faire pour un stage (Europe et dehors) Agenda pour les démarches à faire pour des études (Europe
Plus en détail