IV Antiseptiques et désinfectants
|
|
- Germain Desmarais
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Dardonville Billaud Bactério : 17 février 2011 (Chiron) Suite du cours IV Antiseptiques et désinfectants Cette partie traite les agents chimiques. 1) Généralités Les formulations ou spécialités qui contiennent des agents chimiques antimicrobiens sont utilisés dans la lutte contre les microorganismes. L activité microbienne est un terme au sens large : on parle d anti-tout : contre les bactéries, fongiques, virus et spores. Les termes antiseptiques et désinfectants sont employés dans des cas différents selon les pays : En France, aux USA et en Angleterre les antiseptiques sont appliqués sur des tissus vivants et les désinfectants sur des surfaces inertes. Tandis qu en Allemagne les produits pour les mains sont des désinfectants des mains et non des antiseptiques. Les objectifs de l activité antimicrobienne sont des résultats momentanés. C est un domaine à problème notamment pour les désinfectants (certains sont bons et d autres médiocres) car certains produits qui sont efficaces in vitro et qui ont une mauvaise utilisation sur le terrain deviennent inefficaces. 2) Statuts (juridique et définition actuelle) On se place dans le cadre européen. Les antiseptiques qui sont de véritables médicaments dépendent des directives des médicaments et devront obtenir une autorisation de mise sur le marché (AMM) soit par l agence européenne du médicament (EMA) dont le siège se situe à Londres ou par l AFSSaPS : ils répondent donc à des critères galéniques, toxicologiques, pharmacologiques et font l objet d études cliniques. Les antiseptiques à visée préventive sont utilisés dans le domaine médical ou vétérinaire rattaché à la directive BIOCIDE 98/8 établie par le conseil et parlement européen. Cette directive a mis de l ordre dans les antiseptiques, désinfectant, antimicrobiens, antiparasitaires, produit de conservation du bois. Il y a 23 types de produits dans l annexe. Cette directive a mis longtemps à être traduite en France. Actuellement on parle de pays rapporteurs, les fabricants déposent des dossiers sur la matière active pour être utiliser ultérieurement dans le cadre de la formulation. D ici une liste devrait être établie mais elle a déjà du retard : cela va permettre le nettoyage d un grand nombre de produits, certaines industries risquent de fermer. Les désinfectants généraux rattachés à la directive biocide sont les désinfectants utilisés dans le cadre des dispositifs médicaux par exemple : liquide nettoyant les lentilles portent la marque CE sur l emballage et n ont pas bénéficié d autorisation de mise sur le marché, c est le fabricant qui est responsable car il n y a pas eu d instance évaluative du produit. Bientôt les lingettes et autres produits désinfectants vont aussi bénéficier d un grand nettoyage. Parmi les désinfectant utilisés qui ne sont pas sous la directive biocide, ils sont évalués par l AFFSSa ( Agence française de la sécurité sanitaire) et par l AFSET ( agence française de la sécurité de
2 l environnement et du travail), car il existe des produits dans le cadre du dossier qui sont bon mais sur le terrain sont médiocres : c est la problématique des infections nosocomiales. 3) Composition et Classification -La composition est une formulation complexe principalement pour les désinfectants car ils ont une activité antimicrobienne mais aussi d autres aspects : détergents, nettoyants. Les excipients qui complètent la formulation de la matière active ne sont pas neutres : il peut exister des interférences. Par exemple deux fabricants qui utilisent un même principe actif à une même concentration mais pas avec les mêmes excipients peuvent avoir des effets opposés : l un peut potentialiser la matière active et l autre peut très bien l inhiber. La composition varie également si le produit est prêt à l emploi ou si il doit être au préalable dilué avant d être utiliser (encore une fois la dilution n est pas toujours précise et respectée par différentes personnes ce qui peut engendrer des problèmes). -La Classification : - Les Oxydants : ANTI TOUT : bactéricide, fongicide, virucide, fongicide, sporicide. On retrouve parmi ces oxydants : L eau oxygénée à 10% classique mais aussi à 3% (plutôt dans la catégorie antiseptique en France) mais aussi le permanganate de potassium et l acide peracétique qui libèrent de l O 2. Le chlore et ses dérivés : sous forme gazeuse (très dangereux), avec combinaison chimique. Le chlore est le désinfectant le plus utilisé (piscine, eau du robinet). Il est surtout utilisé en milieu alcalin pour éviter les problèmes de corrosion. On retrouve essentiellement les hypochlorites et les chloramines : L hypochlorite de sodium (eau de Javel) possédant un titre chlorométrique de 10 à 20 ( le degré exprime le titre de chlore dégagé par Kg de produit) exemple : liqueur de Labarraque ou soluté de Dakin. Les chloramines sont des composés ou l hydrogène est remplacé par un chlore sur l amine. Ils ont une activité plus prolongé dans le temps que les hypochlorites mais ils sont moins efficaces. L Iode : bactéricide et fongicide essentiellement, il est peu soluble dans l eau mais soluble dans l alcool, on retrouve des solutions de iodure de sodium ou de potassium, des solutions iodo-iodurée (teinture d iode) mais l iode présente des propriétés de toxicité et causticité : problèmes entrainant des brûlures. Un produit connu à base d iode : la Bétadine. - L alcool : le pouvoir antimicrobien des alcools est proportionnel à leur masse moléculaire et leur solubilité dans l eau. Il y a donc un compromis entre la masse molaire et la solubilité. Par exemple : le méthanol est soluble dans l eau mais il est moins actif. Souvent on trouvera de l éthanol à 50 jusqu à 70.Aux USA on retrouve l isopropanol. L alcool est utilisé aussi comme conservateur : exemple : fruit.
3 - Les métaux lourds et leurs sels : la ionisation du métal et l affinité des ions avec les protéines cellulaires explique leur mécanisme d action : les sels d argent sont utilisés dans les collyres avec du nitrate d argent, les sels de mercure, cuivre, zinc et or précipitent avec les protéines ou ont une action au niveau des groupements thiols mais le problème c est qu ils attaquent aussi la cellule hôte ils ne sont pas sélectifs aux bactéries. De plus il existe aussi des bactéries possédant un plasmide de résistance aux métaux lourds (même problème que les plasmides qui ont une résistance aux antibiotiques). - Les phénols et composés phénoliques : bactéricide car le phénol est un inhibiteur enzymatique ou un inhibiteur énergétique qui fragilise la membrane plasmique des bactéries entrainant la fuite des constituants cellulaires de celle-ci. Cependant, l emploi de ces composés est néfaste pour la peau et les muqueuses respiratoires et oculaires. Ils ont un effet allergisant et auto sensibilisant. - Aldéhydes : agissent en dénaturant les protéines et acides nucléiques. On emploie soit du formaldéhyde soit du glutaraldéhyde : ils rejoignent le spectre des oxydants. exemple le glutaraldéhyde 2% est utilisé mais très contraignant car ses vapeurs sont toxiques. Si on classe par ordre d activité les premiers sont les oxydants et les deuxième sont les aldéhydes. - La Chlorexidine : biguanide insoluble dans l eau présentant un caractère basique : lorsqu on l utilise on remarque une très grande variabilité des résultats car elle est insoluble dans l eau. La variation des résultats à l intérieur d un même laboratoire est importante mais elle est encore plus importante lorsqu on compare les résultats de 2 labos. Elle agit aussi bien sur les Gram + que Gram et en fonction de sa concentration elle provoquera soit un effet bactériostatique soit un effet bactéricide. - Salicylanilide (dérivé bromé) et les Carbanilides (dérivé trichloré) : Ils présentent une faible toxicité chez les bactéries à Gram +. - Les savons et détergents synthétiques : sels sodiques ou potassiques d acides gras (acide linoléique par exemple). Grande variabilité en fonction des espèces : action de type mécanique des excipients mais pas de la matière active. Intérêt : pouvoir mouillant qui facilite la biodisponibilité de la matière active aussi appelé surfactant ou détergent anionique/cationique. Les détergents cationiques sont souvent des ammoniums quaternaires. Exemple : le glutaraldéhyde 2% et 1 à 2 ammoniums quaternaires. Les détergents non ioniques ont aucune activité antimicrobienne mais jouent un rôle de potentialisation exemple : mercryl laurylé. - Les colorants antiseptiques : à usage locale ou par voie digestive : activité diverse et degré variable. Exemple : bleu de méthylène, vert brillant, vert malachite sont des antibactériens. 4) Mode d action : Spectre d action : le spectre d action peut être large (toutes les bactéries, les microorganismes fongiques, les virus, les algues, les protozoaires). Cependant «l anti-tout» n existe pas. [les ammoniums quaternaires ont un spectre beaucoup moins large et peuvent donc être contaminés par certains germes comme par exemple pseudomonas aeruginosa]
4 Temps d action : L action doit se faire dans un temps le plus réduit possible (environ 5 minutes pour les bactéries, 15 minutes pour les fongiques et 1 heure pour les virus (sauf pour les antiseptiques pour les mains à base d hydrogène ou l action doit se faire 1 minute après l application)). Par ailleurs différentes actions sont possibles : l effet statique (simple inhibition) ou l effet létal. Taux de réduction des bactéries : 5 logarithmes (passage de 1OOOOO bactéries à 1 bactérie) Activité antiseptique bactéricide : 4 logarithmes Principaux mécanismes : Oxydation et dénaturation des protéines Coagulation des protéines (par l alcool) Désorganisation de la membrane cytoplasmique => fuite des constituants (par les agents liposolubles, les composés phénolés ou les savons) Action sur le métabolisme (cyanures et fluorure qui agissent sur le métabolisme respiratoire, les colorants basiques cytoplasmiques qui agissent sur l ARN, les dérivés quinoléiques qui sont des chélateurs, l acridine qui est mutagène) Interférences et substances interférentes : Interférences physiques (T et PH) [1 log de gagné par augmentation de 10 C et inversement] Tentions actives : les ions Ca²+ et Mg²+ provoquent des interférences et la non disponibilité des sites actifs La présence de matière organique peut interférer et faire varier l action d un facteur 10 (par exemple les matières organiques interférentes peuvent être : l alcool, les dérivés chlorés et les ammoniums quaternaires. La dureté de l eau => les produits doivent être dilués Problématique de la résistance : la résistance est relativement rare aujourd hui mais peut être est-ce dû au fait que très peu de recherches sont réalisées pour prouver cette résistance. Cependant une résistance est aujourd hui bien connue, la résistance des bactéries aux métaux lourds (cette résistance est une résistance plasmidique) [il n existe pas de corrélation entre la résistance des bactéries aux antibiotiques et aux agents chimiques désinfectants ou stérilisants]
5 5) Méthodes d études : La France est une pionnière en la matière et les 1ères règles ont été normalisées dans les années 70. Ensuite dans les années 90 l union européenne a elle aussi mis en place une normalisation. Cette normalisation reprend la normalisation française des années 70. Le principe d étude est de mettre en contact le produit, une suspension calibrée de bactéries (ou tout autre agent pathogène) et une substance interférente (on ne met pas forcément cette dernière). Si le produit est utilisé prêt à l emploi alors les dilutions sont faites à l eau distillée. Si le produit est concentré et devant être dilué alors les dilutions sont réalisées à l eau dure ( = eau du robinet) Après le contact on neutralise le produit (avec une dilution de neutralisation ou une filtration sur membrane) et on observe le nombre de bactéries viables. Par exemple : Ces normes sont utilisées dans 3 domaines différents : Médical Vétérinaire Domestique, collectif, industriel, agro-alimentaire Les seules différences entre ces 3 domaines sont les souches de référence utilisées, les température de contact, les temps de contacts et les substances interférentes. (depuis 3 à 4 ans il existe en plus des normes spécifiques pour certaines espèces comme mycobactérium ou les légionelles). Schéma des différentes phases de contrôle des normes européennes :
6 V) Antibiotiques et sulfamides : 1) méthodes d études : Basées sur la croissance bactérienne. De plus ces méthodes doivent être faites sur une seule espèce bactérienne (= culture pure. Et malgré tout même en culture pure on peut voir apparaitre des mutations et ainsi avoir une culture on homogène). On utilise des systèmes de lecture qui ont un seuil (on utilise d ailleurs très souvent l œil) Incidence sur l inoculum : 10^6 bactéries en milieu liquide et 10^4 en milieu liquide On peut étudier les actions d un antibiotique seul ou d une association d antibiotiques. Différents méthodes d études existent : La concentration minimale inhibitrice (CMI) où l on réalise une série de dilutions (dilution en cascade) de l antibiotique (avec un facteur ½), on ensemence les boites de pétri (ou les tubes) avec des bactéries et on place une concentration d antibiotique différente dans chaque boite (ou tube). Après incubation on observe la 1 ère boite (ou tube) où l on ne retrouve pas de colonies. La concentration en antibiotique de cette boite (ou tube) correspond à la CMI. La concentration minimale bactéricide (CMB) L antibiogramme : détermination de la résistance ou sensibilité d une espèce pour un antibiotique. Les conditions expérimentales, les inoculum, le temps de pré-incubation sont définis. Dans cette méthode on dépose des disques d antibiotiques sur une gélose ensemencée. Ceux-ci vont s hydrater et vont laisser diffuser leur antibiotique dans un cône sous-jacent ; une migration horizontale va ensuite s opérer selon le gradient de concentration de l antibiotique. Après incubation on observe les résultats (on observe le diamètre du cercle d inhibition des bactéries pour chaque antibiotique. On compare ces résultats avec ceux de l ABAC (livre de référence) et on conclue si les bactéries sont sensibles, résistantes ou intermédiaires à l antibiotique. Remarque : - un temps de pré-incubation est nécessaire avant de placer la gélose à l étuve. -un antibiotique actif in vitro n est pas forcément actif in vivo. Cependant l inverse est vrai.
7 Le E-test : on ensemence une gélose puis on place sur cette gélose une bandelette possédant une graduation d une charge d antibiotique. Après incubation on obtient une zone d inhibition en ellipse. La CMI correspond à la concentration indiquée sur la bandelette de l endroit où la zone d inhibition s interrompt. Remarque : Des associations d antibiotiques sont possibles pour le E-test et l antibiogramme. Les antibiotiques peuvent alors renforcer leurs activités ou au contraire s inhiber. Le titrage d un sérum : détermination de la concentration minimale bactéricide du sérum. Le titrage des antibiotiques : titrage physico-chimique ou microbiologique.
Peroxyacide pour l'hygiène dans les industries agroalimentaires
P3-oxonia active Description Peroxyacide pour l'hygiène dans les industries agroalimentaires Qualités Le P3-oxonia active est efficace à froid. Il n'est ni rémanent ni polluant. Il ne contient pas d'acide
Plus en détailÉtape 1 : Balancer la chimie de l'eau
Étape 1 : Balancer la chimie de l'eau Au printemps surtout et durant l'été, il sera important de contrôler et d'ajuster certain paramètres qui constituent la chimie de l'eau. Cet étape est bien souvent
Plus en détailDécrets, arrêtés, circulaires
Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DE LA SANTÉ ET DES SOLIDARITÉS Arrêté du 11 janvier 2007 relatif aux limites et références de qualité des eaux brutes et des eaux destinées à la
Plus en détailACIDES BASES. Chap.5 SPIESS
ACIDES BASES «Je ne crois pas que l on me conteste que l acide n ait des pointes Il ne faut que le goûter pour tomber dans ce sentiment car il fait des picotements sur la langue.» Notion d activité et
Plus en détailAcides et bases. Acides et bases Page 1 sur 6
Acides et bases Acides et bases Page 1 sur 6 Introduction Sont réputés acides et bases au sens des règles de sécurité en vigueur en Suisse, les solides ou liquides qui ont une réaction acide ou alcaline
Plus en détailEXERCICE II. SYNTHÈSE D UN ANESTHÉSIQUE : LA BENZOCAÏNE (9 points)
Bac S 2015 Antilles Guyane http://labolycee.org EXERCICE II. SYNTHÈSE D UN ANESTHÉSIQUE : LA BENZOCAÏNE (9 points) La benzocaïne (4-aminobenzoate d éthyle) est utilisée en médecine comme anesthésique local
Plus en détailPhysique Chimie. Réaliser les tests de reconnaissance des ions Cl -,
Document du professeur 1/5 Niveau 3 ème Physique Chimie Programme A - La chimie, science de la transformation de la matière Connaissances Capacités Exemples d'activités Comment reconnaître la présence
Plus en détailTHEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE
THEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE 1. RAPPEL: L ATOME CONSTITUANT DE LA MATIERE Toute la matière de l univers, toute substance, vivante ou inerte, est constituée à partir de particules
Plus en détailrévention de la transmission infections
Pdes révention de la transmission infections Préambule Tout le matériel utilisé par l inhalothérapeute et ayant servi à la prestation des soins cardiorespiratoires doit être aseptisé et contrôlé avant
Plus en détail1 ère partie : tous CAP sauf hôtellerie et alimentation CHIMIE ETRE CAPABLE DE. PROGRAMME - Atomes : structure, étude de quelques exemples.
Référentiel CAP Sciences Physiques Page 1/9 SCIENCES PHYSIQUES CERTIFICATS D APTITUDES PROFESSIONNELLES Le référentiel de sciences donne pour les différentes parties du programme de formation la liste
Plus en détailLes solutions. Chapitre 2 - Modèle. 1 Définitions sur les solutions. 2 Concentration massique d une solution. 3 Dilution d une solution
Chapitre 2 - Modèle Les solutions 1 Définitions sur les solutions 1.1 Définition d une solution : Une solution est le mélange homogène et liquide d au moins deux espèces chimiques : Le soluté : c est une
Plus en détailCalcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier?
Calcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier? Les solutions techniques Principes et critères de choix Par Sébastien LIBOZ - Hydrogéologue Calcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier?
Plus en détailNOCOSPRAY CARACTÉRISTIQUES TECHNIQUES UN FONCTIONNEMENT TRÈS SIMPLE DE MULTIPLES OPTIONS PERMETTANT DE S ADAPTER À CHAQUE SITUATION
NOCOSPRAY Notre concept est né de l association Nocospray + Nocolyse (machine/produit) pour une désinfection automatisée sous forme gazeuse. Il permet de traiter de façon automatisée l air et les surfaces
Plus en détailFICHE DE SECURITE FUMESAAT 500 SC
1/5 FICHE DE SECURITE FUMESAAT 500 SC Identification de la préparation 1. Identification de la préparation de l entreprise Nom commercial: FUMESAAT 500 SC Identification Produit : éthofumésate 500 SC Substance
Plus en détailDossier Technique «Nettoyage et Désinfection» dans le cadre de l action collective «Efficacité des opération de Nettoyage et Désinfection
Dossier Technique «Nettoyage et Désinfection» dans le cadre de l action collective «Efficacité des opération de Nettoyage et Désinfection 1. NETTOYAGE/DESINFECTION GENERALITES Définition Lors de la préparation
Plus en détailQU EST-CE QUE LA CHLORATION?
QU EST-CE QUE LA CHLORATION? Qu est-ce que la chloration? Des micro-organismes peuvent être trouvés dans des rivières, lacs et eau souterraine. Même si ce ne sont pas tous les micro-organismes qui peuvent
Plus en détailL eau de Javel : sa chimie et son action biochimique *
N 792 BULLETIN DE L UNION DES PHYSICIENS 451 L eau de Javel : sa chimie et son action biochimique * par Guy DURLIAT Département de biochimie ENS de Cachan - 61, avenue du Président Wilson - 94235 Cachan
Plus en détailRAID PIEGES ANTI-FOURMIS x 2 1/5 Date de création/révision: 25/10/1998 FICHE DE DONNEES DE SECURITE NON CLASSE
RAID PIEGES ANTI-FOURMIS x 2 1/5 RAISON SOCIALE JOHNSONDIVERSEY FICHE DE DONNEES DE SECURITE RISQUES SPECIFIQUES NON CLASSE 1 IDENTIFICATION DU PRODUIT ET DE LA SOCIETE - NOM DU PRODUIT RAID PIEGES ANTI-FOURMIS
Plus en détailLISTE DES AGENTS CONSERVATEURS QUE PEUVENT CONTENIR LES PRODUITS COSMETIQUES ET D HYGIENE CORPORELLE
ANNEXE V LISTE DES AGENTS CONSERVATEURS QUE PEUVENT CONTENIR LES PRODUITS COSMETIQUES ET D HYGIENE CORPORELLE PREAMBULE: 1-On entend par agents conservateurs les substances qui sont ajoutées comme ingrédients
Plus en détailBACTÉRIE PARTICULE D ARGENT
Tissu High-tech BACTÉRIE FIBRE MEDICAL STYLE FIBRE NORMALE PARTICULE D ARGENT FIBRE MEDICAL STYLE FIBRE NORMALE La partie interne des tissus Medical Style contient des particules d argent à l action biocide
Plus en détailC. Magdo, Altis Semiconductor (Corbeil-Essonne) > NOTE D APPLICATION N 2
C. Magdo, Altis Semiconductor (Corbeil-Essonne) - JANVIER 2008 INTRODUCTION La fabrication de semi-conducteurs nécessite un environnement de production extrêmement stable en température et hygrométrie.
Plus en détailGUIDE D ENTRETIEN DE VOTRE SPA A L OXYGENE ACTIF
Actualisé 22/02/2008 - FL GUIDE D ENTRETIEN DE VOTRE SPA A L OXYGENE ACTIF Un bon entretien de votre spa comporte 2 étapes indissociables : le traitement mécanique et le traitement chimique. TRAITEMENT
Plus en détailLiquides oraux : et suspensions. Préparations liquides pour usage oral. Solutions
Préparations pharmaceutique Cours de en 2ème petites Année quantités de Master en Pharmacie Liquides oraux : solutions, Préparation sirops pharmaceutique et suspensions en petites quantités Section des
Plus en détailLes piscines à usage collectif Règles sanitaires. à usage collectif
Déclaration d ouverture La déclaration d ouverture d une piscine (accompagnée d un dossier justificatif) est à adresser en 3 exemplaires à la mairie d implantation de l établissement et un exemplaire en
Plus en détailL échelle du ph est logarithmique, c està-dire
Le ph Qu est-ce que le ph? Le ph mesure l acidité d un liquide. Sa valeur s exprime sur une échelle graduée de 0 à 14 où 1 désigne une substance fortement acide, 7, une substance neutre, et 14, une substance
Plus en détail5. Matériaux en contact avec l eau
Monitoring de la qualité Microbiologique de l eau potable dans les réseaux de distributions Intérêt de l utilisation d un kit de mesure rapide de la flore totale UTLISATIONS 1. Surveillance de Réseau mixte
Plus en détailTraitement de l eau par flux dynamique
GmbH Traitement de l eau par flux dynamique afin de réduire les impuretés microbiologiques afin d empêcher l apparition de nouveaux germes dans les eaux de consommation et de process et Nouveau avec certificat
Plus en détailLe ph, c est c compliqué! Gilbert Bilodeau, agr., M.Sc.
Le ph, c est c pas compliqué! Gilbert Bilodeau, agr., M.Sc. Conseiller en serriculture Des réponses r aux questions C est quoi et pourquoi c est c important? Conséquences d un d débalancementd? Comment
Plus en détailLa séparation membranaire : comment maintenir la performance des membranes?
La séparation membranaire : comment maintenir la performance des membranes? Alfa Arzate, ing., Ph.D. Journées Acéricoles Hiver 2010 OBJECTIF DE LA PRÉSENTATION L objectif premier de cette présentation
Plus en détailLABORATOIRES DE CHIMIE Techniques de dosage
LABORATOIRES DE CHIMIE Techniques de dosage Un dosage (ou titrage) a pour but de déterminer la concentration molaire d une espèce (molécule ou ion) en solution (généralement aqueuse). Un réactif de concentration
Plus en détailLa réglementation quelques incontournables
Unité d Hygiène et d Épidémiologie 2012 La réglementation quelques incontournables Code du Travail - Article L 231-2 du titre 3 Hygiène, sécurité et conditions de travail Paragraphe 2 : «Les établissements
Plus en détail!"#$%&#'()&*+",#%)-"#.),%)/&*01%')2%1'&0.%3)
"#$%&#'()&*+",#%)-"#.),%)/&*01%')2%1'&0.%3) 4."2#0'+)5/","607#%+)) -.(+%1'%) 89:8)9;5) >%)?(10% ) 2%), @A60B1%)6,"*&,%) )))))))))))))))))))))))))))))))))))))))))))))))))))))))))))))))))))))))))))))))))))))))))))))))))))))))))))))))))
Plus en détailDr Berdj Haroutunian, 5, Chemin Gottret ch-1255 VEYRIER tél 00 41 (0)22 784-01-18 www.haroutunian.ch E-mail : berdj@haroutunian.ch
1 L UTILISATION DU PLOMB EN DENTISTERIE : MYTHE OU REALITE Dr Berdj HAROUTUNIAN, Genève Le plomb ne devrait en principe pas être utilisé en dentisterie car il n est pas considéré comme un oligo-élément
Plus en détailAGREGATION DE BIOCHIMIE GENIE BIOLOGIQUE
AGREGATION DE BIOCHIMIE GENIE BIOLOGIQUE CONCOURS EXTERNE Session 2005 TRAVAUX PRATIQUES DE BIOCHIMIE PHYSIOLOGIE ALCOOL ET FOIE L éthanol, psychotrope puissant, est absorbé passivement dans l intestin
Plus en détailTout accident (voire dans certains. dmt
dmt 95 études et enquêtes TF 126 Nettoyage et désinfection dans l industrie agroalimentaire : évaluation des expositions aux polluants chimiques Listériose, toxi-infections alimentaires collectives, traçabilité
Plus en détailPerrothon Sandrine UV Visible. Spectrophotométrie d'absorption moléculaire Étude et dosage de la vitamine B 6
Spectrophotométrie d'absorption moléculaire Étude et dosage de la vitamine B 6 1 1.But et théorie: Le but de cette expérience est de comprendre l'intérêt de la spectrophotométrie d'absorption moléculaire
Plus en détailFICHE 1 Fiche à destination des enseignants
FICHE 1 Fiche à destination des enseignants 1S 8 (b) Un entretien d embauche autour de l eau de Dakin Type d'activité Activité expérimentale avec démarche d investigation Dans cette version, l élève est
Plus en détailTableau récapitulatif : composition nutritionnelle de la spiruline
Tableau récapitulatif : composition nutritionnelle de la spiruline (Valeur énergétique : 38 kcal/10 g) Composition nutritionnelle Composition pour 10 g Rôle Protéines (végétales) 55 à 70 % Construction
Plus en détailSéquence 4. Les liquides et la conduction électrique. 1 Qu est-ce qu une «solution aqueuse»? 2 Tous les liquides ne sont pas des solutions aqueuses.
Sommaire Les liquides et la conduction électrique Séance 1 Quels liquides utilisons-nous dans la vie quotidienne? 1 Qu est-ce qu une «solution aqueuse»? 2 Tous les liquides ne sont pas des solutions aqueuses.
Plus en détailIl est bien établi que le réseau d eau hospitalier peut
Les micro-organismes de l eau impliqués dans les infections nosocomiales Depuis 2001 chez Pall, en charge de l information scientifique et réglementaire dans les domaines d applications couverts par la
Plus en détailRappels sur les couples oxydantsréducteurs
CHAPITRE 1 TRANSFORMATIONS LENTES ET RAPIDES 1 Rappels sur les couples oxydantsréducteurs 1. Oxydants et réducteurs Un réducteur est une espèce chimique capable de céder au moins un électron Demi-équation
Plus en détailScience et technique. La température et la durée de stockage sont des facteurs déterminants. Viande bovine et micro-organisme pathogène
Science et technique Viande bovine et micro-organisme pathogène La température et la durée de stockage sont des facteurs déterminants La contamination des carcasses lors des opérations d abattage et la
Plus en détailSOFTSOAP LIQUID HAND SOAP PUMP SEA MINERAL / SAVON HYDRATATANT POUR LES MAINS POMPE MINERAL MARIN
SECTION 1. IDENTIFICATION DU PRODUIT ET DE LA SOCIETE Nom du produit : SOFTSOAP LIQUID HAND SOAP PUMP SEA MINERAL / SAVON HYDRATATANT POUR LES MAINS POMPE MINERAL MARIN Numéro de la FS 200000028817 No.-CAS
Plus en détailPartie 1. Addition nucléophile suivie d élimination (A N + E) 1.1. Réactivité électrophile des acides carboxyliques et groupes dérivés
Molécules et matériaux organiques Partie 1. Addition nucléophile suivie d élimination (A N + E) 1.1. Réactivité électrophile des acides carboxyliques et groupes dérivés bjectifs du chapitre Notions à connaître
Plus en détailinspection, nettoyage et désinfection
Réservoirs et canalisations d eau destinée à la consommation humaine : inspection, nettoyage et désinfection GUIDE TECHNIQUE Ce guide a été réalisé à l initiative du ministère chargé de la santé MINISTÈRE
Plus en détailbiocides : définitions d et frontières res réglementaires
Les produits Conférence «Biocides» MEDDTL - ANSES 10/04/2012 biocides : définitions d et frontières res réglementaires Direction générale de la prévention des risques Service de la prévention des nuisances
Plus en détailCONSTRUCTION DES COMPETENCES DU SOCLE COMMUN CONTRIBUTION DES SCIENCES PHYSIQUES
CONSTRUCTION DES COMPETENCES DU SOCLE COMMUN CONTRIBUTION DES SCIENCES PHYSIQUES Compétence du socle : Compétence 6 : Les compétences sociales et civiques. Contribution attendue : Utiliser un produit chimique
Plus en détail(Actes non législatifs) RÈGLEMENTS
15.1.2011 FR Journal officiel de l Union européenne L 12/1 II (Actes non législatifs) RÈGLEMENTS RÈGLEMENT (UE) N o 10/2011 DE LA COMMISSION du 14 janvier 2011 concernant les matériaux et objets en matière
Plus en détailBTS BAT 1 Notions élémentaires de chimie 1
BTS BAT 1 Notions élémentaires de chimie 1 I. L ATOME NOTIONS EÉLEÉMENTAIRES DE CIMIE Les atomes sont des «petits grains de matière» qui constituent la matière. L atome est un système complexe que l on
Plus en détailévaluation des risques professionnels
évaluation des risques professionnels Inventaire des risques Etablissement : Faculté de médecine Unité de travail : UMR 1092 INSERM laboratoire de microbiologie Année : 2013 Locaux Dangers ou facteurs
Plus en détailVERITAS TUNISIE CATALOGUE ANALYSES LABORATOIRE
VERITAS TUNISIE CATALOGUE ANALYSES LABORATOIRE Agro-alimentaire et Environnement SOMMAIRE Page Introduction 1 Analyses microbiologiques 5 Microbiologie des aliments 6 Microbiologie des eaux 7 Microbiologie
Plus en détailMinistère des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes
Ministère des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes Direction générale de la santé Sous-direction «Prévention des risques liés à l environnement et à l alimentation» Bureau «Qualité des
Plus en détailECO-PROFIL Production Stratifié HPL mince fabriqué par Polyrey
ECO-PROFIL Production Stratifié HPL mince fabriqué par Polyrey Août 2009 modifié Avril 2013 1 : Feuille décor imprimée ou teintée dans la masse, imprégnée de résine mélamine 2 : Surface de protection imprégnée
Plus en détailSt-Laurent Tél : 514-956-7503 Fax : 514-956-7504. Oxygène Liquide INFORMATION SUR LE PRODUIT
1-800-561-9465 Tel: 514-956-7503 Fax: 514-956-7504 Internet: www.megs.ca Email : support@megs.ca PRICIPAUX BUREAUX DE VENTES Montréal (Siège Social) St-Laurent Tél : 514-956-7503 Fax : 514-956-7504 Ottawa
Plus en détailPH Moins 1. IDENTIFICATION DE LA SUBSTANCE/DU MÉLANGE ET DE LA SOCIÉTÉ/ENTREPRISE. Postbus 12 5373 ZG Herpen Pays-Bas +31 (0) 486 416 959
1. IDENTIFICATION DE LA SUBSTANCE/DU MÉLANGE ET DE LA SOCIÉTÉ/ENTREPRISE Nom de product Acide phosphorique 59% Article no. Substance/préperation substance L utilisation de la substance ajustement du ph
Plus en détail3: Clonage d un gène dans un plasmide
3: Clonage d un gène dans un plasmide Le clonage moléculaire est une des bases du génie génétique. Il consiste à insérer un fragment d'adn (dénommé insert) dans un vecteur approprié comme un plasmide par
Plus en détailde l air pour nos enfants!
B u l l e t i n d e l O Q A I n 1 Crèches et lieux d enseignement : de l air pour nos enfants! Le programme de l OQAI «Lieux de vie fréquentés par les enfants» a débuté en 2006. Une première phase de recueil
Plus en détailK W = [H 3 O + ] [OH - ] = 10-14 = K a K b à 25 C. [H 3 O + ] = [OH - ] = 10-7 M Solution neutre. [H 3 O + ] > [OH - ] Solution acide
La constante d autoprotolyse de l eau, K W, est égale au produit de K a par K b pour un couple acide/base donné : En passant en échelle logarithmique, on voit donc que la somme du pk a et du pk b d un
Plus en détailDésinfectez et dites adieu aux microbes et aux infections
Désinfectez et dites adieu aux microbes et aux infections P armi les activités régulières d un service de garde, il y a la désinfection des jouets 1. La technique que vous utilisez est-elle efficace? Les
Plus en détailLes Bonnes Pratiques Hygiéniques dans l Industrie Alimentaire
Les Bonnes Pratiques Hygiéniques dans l Industrie Alimentaire 1- Hygiène du personnel Lors de l'embauche à l entreprise, toute personne affectée au travail et à la manipulation des produits est soumise
Plus en détailSECTION 1- Identification de la substance/du mélange et de la société / entreprise
Famille : AMENDEMENT MINERAL BASIQUE ENGRAIS AVEC ADDITIF AGRONOMIQUE NF U 44-204 Amendement calcaire, dolomie et gypse NFU 44-203 avec préparation microbienne : RHIZOCELL (AMM n 1110014) AGRI-BIOTECH
Plus en détailBurette TITRONIC Titrateurs TitroLine
Burette TITRONIC Titrateurs TitroLine 22 rue de l'hermite 33520 BRUGES Tél. 05 56 16 20 16 - Fax 05 56 57 68 07 info-devis@atlanticlabo-ics.fr - www.atlanticlabo-ics.fr Un pas en avant pour la titration
Plus en détail92% d ingrédients biologiques * 21 tests cliniques INFINIMENT PURE, INFINIMENT BELLE, COLOR CARE.
INFINIMENT PURE, INFINIMENT BELLE, COLOR CARE. *Moyenne de tous les composants du kit de coloration ÆQUO COLOR 92% d ingrédients biologiques * 21 tests cliniques ÆQUO, toute la philosophie de la marque
Plus en détailRÉPERTOIRE RELÈVE SCIENTIFIQUE AU SERVICE DES ENTREPRISES AGROALIMENTAIRES. 2 e édition
RELÈVE SCIENTIFIQUE AU SERVICE 2 e édition Juin 2011 Réalisé par : Partenaire financier du CQVB : Objectif : Ce répertoire vise à faciliter le maillage entre les étudiants-chercheurs universitaires et
Plus en détailMesure et détection de substances dangereuses : EX-OX-TOX (IS-013) Version CT-Q 2011-11-15
Mesure et détection de substances dangereuses : EX-OX-TOX (IS-03) Version CT-Q 0--5 Groupe cible Collaborateurs qui doivent effectuer des mesures EX-OX-TOX sur un terrain d exploitation, les interpréter
Plus en détailMédical. Nettoyage et désinfection des dispositifs médicaux Produits et Services
Médical Nettoyage et désinfection des dispositifs médicaux Produits et Services L expérience pour votre sécurité Depuis plus de trente ans Dr. Weigert avec sa gamme accompagne et optimise les process de
Plus en détailPour améliorer la qualité Objectif esthétique pour l eau potable 1 mg/l
Dans une goutte d eau Cuivre Le cuivre (Cu) est présent à l état naturel dans la roche, le sol, les plantes, les animaux, l eau, les sédiments et l air. Le cuivre est souvent présent sous forme de minéraux,
Plus en détailFICHE DE DONNEES DE SECURITE
PAGE 1/7 DATE DE MISE A JOUR : 16/11/2011 1/ - IDENTIFICATION DU PRODUIT ET DE LA SOCIETE Identification du produit : Gaines, films, housses, et/ou sacs transparents et colorés en polyéthylène. Famille
Plus en détailFiche documentaire FAIRE LES PRODUITS D USAGE DOMESTIQUE SANS DANGER POUR L AIR
Fiche documentaire FAIRE LES PRODUITS D USAGE DOMESTIQUE SANS DANGER POUR L AIR Les produits d usage domestique comprennent les produits de nettoyage (p. ex., les nettoie-vitres et les produits de nettoyage
Plus en détailSTÉRILISATION. Réduction des populations. nonus 1
Réduction des populations nonus 1 nonus 2 Taux de survie N/No Taux de mortalité No-N /No No : nombre initial de cellules vivantes N : nombre de cellules vivantes après le cycle de stérilisation nonus 3
Plus en détailA-ESSE s.p.a. FICHE DE SÉCURITÉ
A-ESSE s.p.a. USINE OXYDES de ZINC FICHE DE SÉCURITÉ Oxyde de zinc 1. IDENTIFICATION DU PRODUIT CHIMIQUE ET DE LA SOCIÉTÉ NOM DU PRODUIT: DÉNOMINATION COMMUNE, COMMERCIALE ET SYNONYMES: UTILISATION DE
Plus en détailLe choix des produits d entretien
Le choix des produits d entretien pour une meilleure qualité de l air intérieur 1 4 Stratégies Le choix des produits d entretien pour une meilleure qualité de l air intérieur Sommaire Page 2 / QUELS LIENS
Plus en détailTD de Biochimie 4 : Coloration.
TD de Biochimie 4 : Coloration. Synthèse de l expérience 2 Les questions posées durant l expérience 2 Exposé sur les méthodes de coloration des molécules : Générique Spécifique Autres Questions Pourquoi
Plus en détailNiveau 2 nde THEME : L UNIVERS. Programme : BO spécial n 4 du 29/04/10 L UNIVERS
Document du professeur 1/7 Niveau 2 nde THEME : L UNIVERS Physique Chimie SPECTRES D ÉMISSION ET D ABSORPTION Programme : BO spécial n 4 du 29/04/10 L UNIVERS Les étoiles : l analyse de la lumière provenant
Plus en détailDemande chimique en oxygène
Table des matières Introduction Réactifs DCO Azote et phosphore HI 83214 HI 83099 HI 839800 HI 3898 Page J3 J5 J6 J7 J8 J10 J11 J1 Tableau comparatif Paramètre Photomètre Photomètre Thermo-réacteur Trousse
Plus en détailCOMITE SCIENTIFIQUE DE L AGENCE FEDERALE POUR LA SECURITE DE LA CHAINE ALIMENTAIRE
1/8 COMITE SCIENTIFIQUE DE L AGENCE FEDERALE POUR LA SECURITE DE LA CHAINE ALIMENTAIRE AVIS 36-2006 Concerne : Contrôle de la composition des denrées alimentaires (dossier Sci Com 2005/25) Le Comité scientifique
Plus en détailTITRONIC et TitroLine. Les nouveaux titrateurs et burettes
TITRONIC et TitroLine Les nouveaux titrateurs et burettes Un pas en avant pour la titration Si vous cherchez l innovation: SI Analytics vous propose ses nouveaux TitroLine 6000 et 7000 et ses nouvelles
Plus en détailTS 31 ATTAQUE DE FOURMIS!
FICHE 1 Fiche à destination des enseignants TS 31 ATTAQUE DE FOURMIS! Type d'activité ECE Notions et contenus du programme de Terminale S Compétences exigibles du programme de Terminale S TYPE ECE Evaluation
Plus en détailPlanches pour le Diagnostic microscopique du paludisme
République Démocratique du Congo Ministère de la Santé Programme National de Lutte Contre le Paludisme Planches pour le Diagnostic microscopique du paludisme Ces planches visent à améliorer le diagnostic
Plus en détailKASOLV 16 Silicate de potassium
FICHE SIGNALÉTIQUE KASOLV 16 Silicate de potassium Date de préparation: 4/9/2012 Page: 1 de 6 1. IDENTIFICATION DU PRODUIT ET DE LA COMPAGNIE Nom commun: KASOLV 16 Silicate de potassium Description du
Plus en détailSynthèse et propriétés des savons.
Synthèse et propriétés des savons. Objectifs: Réaliser la synthèse d'un savon mise en évidence de quelques propriétés des savons. I Introduction: 1. Présentation des savons: a) Composition des savons.
Plus en détailPrépration cutanée de l opéré
Prépration cutanée de l opéré Xème Journée d Hygiène Hospitalière de Bizerte. Bizerte le 3 décembre 2005 Conférence de Consensus de la Société Française d Hygiène Hospitalière 1 Définition: Ensemble de
Plus en détailFICHE DE DONNÉES DE SÉCURITÉ conformément au Règlement (CE) nº1907/2006 REACH Nom : KR-G KR-G
KR-G Page 1 de 5 1. IDENTIFICATION DE LA SUBSTANCE/PRÉPARATION ET DE LA SOCIÉTÉ/ENTREPRISE 1.1 Identificateur de produit : Nom du produit : KR-G 1.2 Utilisations identifiées pertinentes de la substance
Plus en détailPrincipes généraux de la désinfection
Rev. sci. tech. Off. int. Epiz., 1995,14 (1), 123-142 Principes généraux de la désinfection R.F. KAHRS * Résumé : Le nettoyage et la désinfection des surfaces qui ont été en contact avec des animaux, des
Plus en détailLe choix des produits d entretien
écol'air Un établissement qui respire, c'est bon pour l'avenir! Le choix des produits d entretien pour une meilleure qualité de l air intérieur 1 4 Stratégies Le choix des produits d entretien pour une
Plus en détailRapport annuel de monitoring automatisé de la qualité de l eau
Rapport annuel de monitoring automatisé de la qualité de l eau 2009 La rivière Sainte Croix au barrage de Forest City Figure 1 : Rivière Sainte Croix, à la hauteur de la station de monitoring durant l
Plus en détailMeine Flüssigkeit ist gefärbt*, comme disaient August Beer (1825-1863) et Johann Heinrich Lambert (1728-1777)
1ère S Meine Flüssigkeit ist gefärbt*, comme disaient August Beer (1825-1863) et Johann Heinrich Lambert (1728-1777) Objectif : pratiquer une démarche expérimentale pour déterminer la concentration d une
Plus en détailCATALOGUE DE FORMATIONS 2014 2015
CATALOGUE DE FORMATIONS 2014 2015 Professionnels de l alimentation 06.47.75.88.57 HQSA Consulting contact@hqsafrance.fr Numéro de déclaration de prestataire de formation : SIRET SIRET : 804 : 284 284 420
Plus en détailTitre alcalimétrique et titre alcalimétrique complet
Titre alcalimétrique et titre alcalimétrique complet A Introduction : ) Définitions : Titre Alcalimétrique (T.A.) : F m / L T.A. T.A.C. Définition : C'est le volume d'acide (exprimé en ml) à 0,0 mol.l
Plus en détailSUIVI CINETIQUE PAR SPECTROPHOTOMETRIE (CORRECTION)
Terminale S CHIMIE TP n 2b (correction) 1 SUIVI CINETIQUE PAR SPECTROPHOTOMETRIE (CORRECTION) Objectifs : Déterminer l évolution de la vitesse de réaction par une méthode physique. Relier l absorbance
Plus en détailBDL2, BDL3 Enviro Liner Part A. Dominion Sure Seal FICHE SIGNALÉTIQUE. % (p/p) Numéro CAS. TLV de l' ACGIH 28182-81-2 70-100 Non disponible
FICHE SIGNALÉTIQUE 1. PRODUIT CHIMIQUE ET IDENTIFICATION DE L'ENTREPRISE Adresse du fournisseur/distributeur : Dominion Sure Seal Group of Companies 6175, chemin Danville, Mississauga (Ontario) Canada,
Plus en détail- pellicule de fruits qui a un rôle de prévention contre l'évaporation, le développement de moisissures et l'infection par des parasites
LES LIPIDES Quelles Sont les Idées Clés? Les lipides sont les huiles et les graisses de la vie courante. Ils sont insolubles dans l eau. Pour les synthétiser, une réaction : l Estérification. Pour les
Plus en détailListe des maladies professionnelles de l OIT. (révisée en 2010)
Liste des maladies professionnelles de l OIT (révisée en 2010) CONFÉRENCE INTERNATIONALE DU TRAVAIL Recommandation 194 Recommandation concernant la liste des maladies professionnelles et l enregistrement
Plus en détailPrévenir la colonisation par Campylobacter chez les poulets de chair. Dr. Wael Abdelrahman Consultant technique, Probiotiques volailles
Prévenir la colonisation par Campylobacter chez les poulets de chair Dr. Wael Abdelrahman Consultant technique, Probiotiques volailles Prévenir la colonisation par Campylobacter chez les poulets de chair
Plus en détailDétection de fuite hélium Aspect Mesure
Détection de fuite hélium Aspect Mesure Préparé par : F.Rouveyre Date : 24 Octobre 2012 La détection de fuite La détection de fuite par spectrométrie de masse à gaz traceur a plus de 50 ans. Même si cette
Plus en détailBLANCHISSAGE ET NETTOYAGE PROFESSIONNELS DES ARTICLES TEXTILES
SPECIFICATION TECHNIQUE BLANCHISSAGE ET NETTOYAGE PROFESSIONNELS DES ARTICLES TEXTILES GROUPE D ETUDE DES MARCHES D HABILLEMENT ET DE TEXTILE (GEMHT) MAI 2010 2 Spécification technique n A23-2010 du 18
Plus en détailT4 Pourquoi éteindre les phares d une voiture quand le moteur est arrêté? Comment fabriquer une pile? un accumulateur?
T4 Pourquoi éteindre les phares d une voiture quand le moteur est arrêté? Comment fabriquer une pile? un accumulateur? Pour ce module, sont proposés et présentés des phases de recherche documentaire, de
Plus en détailTP n 1: Initiation au laboratoire
Centre Universitaire d El-Tarf Institut des Sciences Agronomiques 3 ème année Contrôle de Qualité en Agroalimentaire TP n 1: Initiation au laboratoire Introduction L analyse de la matière vivante au laboratoire
Plus en détailProduits nettoyants. Détergents en poudre. Savons à mains DÉTERGENT EN POUDRE POUR LAVE-VAISSELLE
Détergents en poudre POUR LAVE-VAISSELLE POUR LA LESSIVE Code Colabor : 4289 4291 13394 18 kg Ce détergent en poudre à mousse contrôlée pour lave-vaisselle est recommandé pour les lave-vaisselle automatiques
Plus en détail