Journée d information. L ASSAINISSEMENT NON COLLECTIF Réglementation et règles de l art. Version du lundi 26 novembre 2012

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Journée d information. L ASSAINISSEMENT NON COLLECTIF Réglementation et règles de l art. Version du lundi 26 novembre 2012"

Transcription

1 Journée d information L ASSAINISSEMENT NON COLLECTIF Réglementation et règles de l art Version du lundi 26 novembre 2012

2 PROGRAMME Le contexte réglementaire Le contexte Les nouveaux arrêtés Les obligations et responsabilités des propriétaires Role du SPANC Les obligations et responsabilité des entrepreneurs Les différents dispositifs d assainissement autonome et leur mise en œuvre Principe de fonctionnement Les différentes techniques Règles générales d implantation et de conception Règles générales de mise en oeuvre Recommandations vis-à-vis des matériaux et matériels utilisés Subventions aux particuliers Les nouvelles filières agréées Présentation des prétraitements (bac à graisses et séparateurs hydrocarbures)

3 Le contexte réglementaire Loi sur l eau 1992 arrêtés du 6 mai 1996 assainissement non collectif = solution à part entière prescription techniques applicables Normes: DTU 64-1 (révision prévu en 2012) Loi sur l eau 31/12/2006 ; arrêtés du 7 septembre 2009;arrêté du 22 juin 2007 Contrôle généralisé des installations avant le 31/12/2012 Réhabilitation dans un délai de 4 ans (ou plus court) si risque de pollution et sanitaire Insertion de nouvelles filières agréées Loi Grenelle 2 du 12/07/2010 Délai maximal entre deux contrôles portait à 10 ans au lieu de 8 ans Diagnostic obligatoire dans le cadre des ventes à partir du 01/01/2011 et mise en conformité par l acquéreur dans un délai d un an travaux de réhabilitation potentiel Avis du SPANC lors de l instruction du permis de construire (obligatoire depuis le 1er mars 2012) Arrêté «contrôle» du 27 avril 2012 arrêté «prescriptions»du 7 mars 2012 modifiant l arrêté du 7 septembre 2009 Arrêtés permettant la mise en application de la loi grenelle 2

4 Arrêtés du 7 septembre 2009 modifié par l arrêté du 7 mars 2012 Quelles évolutions???? «Une installation d ANC doit être située à plus de 35 m d un captage déclaré d eau destinée à la consommation humaine. Cette distance peut être réduite pour des situations particulières permettant de garantir une eau propre à la consommation» Intégration du problème des toilettes sèches et du devenir des eaux ménagères, avec la possibilité de traiter séparément les 2 types d eaux usées (Art. 3) Art. 5 : Regards accessibles obligatoires Schéma à jour du dispositif d ANC Dimensionnement : nombre d'équivalents-habitants est égal au nombre de pièces principales au sens de l'article R du code de la construction et de l'habitation

5 Quelles évolutions (suite)???? Ni SPANC, Ni Bureaux d études ne doivent plus désormais privilégier les systèmes traditionnels utilisant le sol en place par rapport aux autres filières (sauf réglementation locale) Cf. Art 7 ou titres des annexes Cependant, l infiltration des eaux TRAITÉES dans le sol ou l irrigation souterraine de végétaux dans la parcelle doivent toujours être privilégiées (à condition que le sol le permette). Dans le cas de l irrigation, Les végétaux irrigués ne doivent pas être utilisés pour la consommation humaine et toute stagnation en surface ou de ruissellement des eaux usées traitées doit être exclue. Si impossibilité d infiltrer ou d irriguer, il peut alors être envisagé le rejet vers un exutoire superficiel (fossé, mare, rivière ) à condition de démontrer l impossibilité d infiltrer via une étude de filière Si impossibilité d infiltrer, d irriguer ou de rejeter vers le milieu superficiel, les eaux usées traitées peuvent être dirigées vers le milieu hydraulique souterrain (puits d infiltrations) après autorisation du responsable du SPANC et basé sur une étude hydrogéologique,

6 Arrêté du 27 avril 2012 Pour les installations neuves et réhabilitées : 1- Réaliser un examen préalable de la conception (étude sur dossier, complétée si besoin par visite sur place) Adaptation du projet (type usage, contraintes sanitaires ou env., sensibilité du milieu, caractéristiques du terrain et de la parcelle) Conformité de l installation (arrêtés du 22/06/2007 ou 07/09/2009) Réalisation d un rapport d examen de conception remis au propriétaire 2- Vérification de l exécution (visite sur place avant remblaiement et contre visite si avis non conforme) = identification, localisation et caractérisations des dispositifs, accessibilité, vérification des prescriptions réglementaires en vigueur. Pour les installations existantes : Vérifier existence d une installation Vérifier le bon fonctionnement et l entretien de l ANC Évaluer dangers pour santé et environnement Évaluer une éventuelle non-conformité Si non existence d éléments probants permettant de vérifier l existence d un ANC, possibilité pour la commune (SPANC) de mise en demeure pour réaliser nouvel ANC.

7 Arrêté du 27 avril 2012 Obligation travaux avec délai (peu importe la zone d implantation de l ANC): 1- Absence d installation = police du Maire ou du responsable du SPANC (cf infos OIEAU) = Obligation de travaux avec mise en demeure (suivant l enjeu engageant la police de la salubrité publique) MAI 4 ans 2- Contact eaux usées brutes ou prétraitées possible sur ou hors de la parcelle : = Défaut sécurité sanitaire (danger pour la santé des personnes) Délai 4 ans ou 1 an si vente 3- Nuisances olfactives récurrentes (constatation d une nuisance olfactive pour l occupant ou réception d une plainte par la commune ou le SPANC concernant les odeurs) : = Défaut sécurité sanitaire (danger pour la santé des personnes) Délai 4 ans ou 1 an si vente (Suppression de la nuisance olfactive = obturation ventilation et regards) 4- Défaut sécurité (résistance des ouvrages, couvercle non sécurisé, dispositif électrique défectueux) : = Défaut sécurité sanitaire (danger pour la santé des personnes) Délai 4 ans ou 1 an si vente 5- Présence d un puits (le puits dans le cadre de l ANC n est désormais plus un réelle contrainte vu les facteurs à prendre en compte : distance 35 m, puits déclaré utilisé pour la consommation humaine (environ 95 % des puits non potable (source LD14, amont hydraulique, impossibilité raccordement réseau publique)) : = Défaut sécurité sanitaire (danger pour la santé des personnes) Délai 4 ans ou 1 an si vente

8 Arrêté du 27 avril 2012 Dans le Calvados, pour le moment très peu voire aucune zone à enjeu sanitaire, ni environnemental identifiées Obligation travaux avec délai uniquement lors des ventes : 1- Si juste un système de prétraitement ou de traitement 2- Rejet d eaux usées prétraitées dans un puisard 3- Rejet d eaux usées prétraitées dans un cours d eau ou une mare (prise en compte du facteur dilution?) 4- Évacuation d eaux usées brutes dans un système d épandage 5- Rejet de la totalité des eaux usées brutes à l air libre (contact possible???), dans un puisard, un cours d eau, une mare 6- installation de prétraitement ou de traitement sous-dimensionnée par rapport au flux de pollution = rapport de 1 à 2 7- Dysfonctionnements (prétraitement non étanche, système engorgé, micro station hors service, constatation de départs de boues (micro station) )

9 Objectifs (Arrêté 27 avril 2012) Source OIE

10 Liste des points à contrôler a minima lors du contrôle des installations d'assainissement non collectif, suivant les situations (Annexe 1 arrêté du 27 avril 2012) INSTALLATIONS NEUVES ou à réhabiliter AUTRES installations POINTS À CONTRÔLER A MINIMA Vérification de la conception Vérification de l exécution Vérification du fonctionnement et de l'entretien Constater l'éventuel réaménagement du terrain sur et aux abords de l'installation d'assainissement 1 - Modifications de l'installation suite à la dernière visite de la commune Constater la réalisation de travaux conformément aux indications du rapport de vérification de l'exécution établi par la commune Constater la réalisation de travaux conformément aux indications du rapport de visite établi par la commune Vérifier l'absence de contact direct possible avec des eaux usées non traitées 2 - Présence de dangers pour la santé des personnes et/ou de risques avérés de pollution de l'environnement Vérifier l'absence de risque de transmission de maladies par des vecteurs pour les zones de lutte contre les moustiques Vérifier l'absence de nuisances olfactives Vérifier la sécurité des installations (notamment structure et fermeture des parties de l'installation pouvant présenter un danger pour la sécurité des personnes)

11 POINTS À CONTRÔLER A MINIMA Vérifier la localisation éventuelle de l'installation en zone à enjeu environnemental (article 2-(4)) INSTALLATIONS NEUVES ou à réhabiliter Vérification conception Vérification exécution AUTRES installations Vérification fonctionnement Vérifier l'existence d'une installation complète (article 2-(5)) 2 - Présence de dangers pour la santé des personnes et/ou de risques avérés de pollution de l'environnement Vérifier que le dimensionnement des installations est adapté, conformément à l'article 5 de l'arrêté relatif aux prescriptions techniques Vérifier que le dimensionnement des installations est adapté, conformément à l'article 3 de l'arrêté relatif aux prescriptions techniques Vérifier que les installations ne subissent pas de dysfonctionnement majeur (voir point 4 de l'annexe 2) Vérifier la bonne implantation de l'installation (distance minimale de 35 mètres par rapport aux puits privés, respect des servitudes liées aux périmètres de protection des captages d'eau,...) Vérifier que les caractéristiques techniques des installations sont adaptées, conformément à l'article 5 de l'arrêté relatif aux prescriptions techniques 3 - Adaptation de l'installation aux contraintes sanitaires et environnementales, au type d'usage, à l'habitation desservies et au milieu Vérifier que les caractéristiques techniques des installations sont adaptées, conformément à l'article 3 de l'arrêté relatif aux prescriptions techniques Vérifier la mise en œuvre des dispositifs de l'installation conformément aux conditions d'emploi mentionnées par le fabricant (guide d'utilisation, fiches techniques) Vérifier que l'ensemble des eaux usées pour lesquelles l'installation est prévue est collecté, à l'exclusion de toutes autres et que les autres eaux, notamment les eaux pluviales et les eaux de vidange de piscines, n'y sont pas dirigées

12 INSTALLATIONS NEUVES ou à réhabiliter AUTRES installations POINTS À CONTRÔLER A MINIMA Vérification conception Vérification conception Vérification fonctionnement Vérifier le bon écoulement des eaux usées collectées jusqu'au dispositif d'épuration et jusqu'à leur évacuation, l'absence d'eau stagnante en surface et l'absence d'écoulement superficiel et de ruissellement vers des terrains voisins 4 - Bon fonctionnement de l'installation Vérifier l'état de fonctionnement des dispositifs et l'entretien régulier sur la base des documents attestant de celui-ci conformément aux conditions d'emploi mentionnées par le fabricant (guide d'utilisation, fiches techniques) Vérifier l'entretien régulier des installations conformément aux textes en vigueur : accumulation des graisses et des flottants dans les installations, niveau de boues, nettoyage des bacs dégraisseurs et des pré-filtres (dans le cas où la commune n'a pas pris la compétence entretien et à la demande de l'usager) 5 - Défauts d'accessibilité, d'entretien et d'usure Vérifier la réalisation de la vidange par une personne agréée, la fréquence d'évacuation par rapport aux guides d'utilisation des matières de vidange et la destination de ces dernières avec présentation de justificatifs Vérifier le curage des canalisations (hors épandage souterrain) et des dispositifs le cas échéant Vérifier l'accessibilité et le dégagement des regards Vérifier l'état des dispositifs : défauts liés à l'usure (fissures, corrosion, déformation)

13 Répercussion des nouveaux arrêtés pour les installateurs Filières compactes ( micro stations, filtre compact,.) soumis à un agrément, les premières filières ont été agréées en juin L installateur d un assainissement non collectif doit remettre obligatoirement au particulier un guide d utilisation rédigé en français. Agrément préfectoral des vidangeurs obligatoire.

14 Obligations/responsabilités du propriétaire Possède un assainissement aux normes (à l époque de la construction et adapté à la taille actuelle du logement) qui traite de manière complète toutes les eaux usées. Est responsable de la conception, de la réalisation et du financement des études et travaux d ANC. Dispose d une installation en bon état de fonctionnement, qui n occasionne pas de nuisances. Paye la redevance liée au contrôle de conception.

15 Rôle du SPANC (Service Public d Assainissement Non Collectif) Obligation de contrôle des ANC neufs et existants par les communes ou groupements de communes et fourniture du contrôle dâté de moins de trois ans dans le cadre de vente depuis le 01/01/2011 Avis du SPANC obligatoire dans la demande de permis de construire depuis le 1 er mars 2012 Contrôle de conception, implantation et réalisation des ANC neufs ou réhabilités Pour les installations exisantes, contrôle diagnostic de bon fonctionnement. Contrôle périodique (fréquence maximum= 10 ans) du fonctionnement et de l entretien pour les installations ayant déjà subit un contrôle Conseils pour les usagers et les entrepreneurs.

16 Obligations/responsabilités du bureau d études, de l architecte, ou du maître d oeuvre Mandaté par le propriétaire pour choisir et dimensionner la filière à mettre en place (fonction de l adéquation avec la nature du sol, la taille de l habitation, et les conditions environnementales). Veiller au respect des règles de l art par les entreprises. Il est responsable en cas de mauvaise conception. NB: Étude de filière rendue obligatoire par de nombreux SPANC Cout d une étude de filière compris entre 300 et 400

17 Obligations des entreprises L entrepreneur ou l artisan: Réalise une installation conforme au contrat et à l étude de filière, dans les délais prévus respecte l arrêté du 7 septembre 2009 (prescriptions techniques) et les règles de l art (Norme DTU 64-1 révision prévu en 2012) Devoir d information et conseil du client (entretien) Responsable du choix des matériaux et matériels (= vices éventuels sauf si faute fournisseur) Assure la garantie décennale * sur l ANC (garantie valable uniquement si vice ou défaut caché sur l ouvrage lors de la réception, qui le rend impropre à sa destination), * attention, vérifier avec votre assureur que la decennale couvre bien les dispositifs agréés qui ne relèvent pas du DTU 64.1

18 La technique Principe de fonctionnement Les différentes techniques Règles générales d implantation et de conception Règles générales de mise en oeuvre Recommandations vis-à-vis des matériaux et matériels utilisés

19 Principe de fonctionnement d un assainissement non collectif La ventilation et la collecte conduire les eaux usées collectées vers le dispositif de prétraitement évacuer les gaz produits par fermentation dans la fosse toutes eaux pour éviter les problèmes d odeurs et de corrosion. Le prétraitement Retenir les matières solides et les déchets flottants (mais n épure pas l eau) éviter l obstruction des canalisations et le colmatage du dispositif de traitement La répartition Utiliser toute la surface disponible pour le traitement Le traitement L épuration s effectue dans le sol (en place ou reconstitué): l effluent est dispersé, au cours de l infiltration, des micro-organismes dégradent la pollution apportée L évacuation des eaux traitées dans le milieu soit par infiltration dans le sol ou à titre exceptionnel,rejet vers un milieu hydraulique superficiel (fossé, réseau pluvial)

20 Différents types de sols donc différentes techniques d assainissement Le sol peut assurer L épuration La dispersion Épandage ou lit d épandage Terrain plat ou en légère pente Bonne perméabilité du sol! Profondeur maximum de la fouille = 1m! Absence d eau dans le sol Surface disponible supérieure à 200 m 2

21 Tranchées d épandage (syn.: tranchées d infiltration) Description Le sol en place est utilisé pour épurer et disperser les eaux prétraitées. Existe version terrain pentu (>5% ou <10%) ou lit d épandage (si sol trop sableux) Dimensionnement Suivant perméabilité du sol, 45 m mini de tranchées + 6 m mini par chambre suppl, plus suivant la nature du sol. 60 m 2 mini + 20 m 2 par chambre suppl pour le lit d épandage

22 Tranchées d épandage (syn.: tranchées d infiltration) Dimensionnement des tranchées: Type de sol Sol à dominante argileuse Sol limoneux Sol limono sableux Coefficient de perméabilité K (mm/h) K < < K < < K < 50 Longueur de tranchées (m) Épandage souterrain non réalisable 80 m de tranchées filtrantes minimum sont nécessaires avec 16 m de tranchées par pièces principales au-delà de 5 50 m de tranchées filtrantes minimum sont nécessaires avec 10 m de tranchées par pièces principales au-delà de 5 Sol à dominante sableuse Sol fissuré ou perméable en grand K > 50 Pas de valeur de K 45 m de tranchées filtrantes mini + 6 m de tranchées par pièces principales au-delà de 5 Si trop sableux: lit d épandage Épandage souterrain non réalisable

23

24

25 Tranchées pour terrain en pente (5 à 10%) 9 6 Source = conseil général de l Ain

26 Différents types de sols donc différentes techniques d assainissement Le sol peut assurer L épuration La dispersion Épandage ou lit d épandage Le sol peut assurer Mais pas La dispersion L épuration Filtre à sable vertical non drainé Sol très perméable Couche imperméable de faible profondeur Absence d eau dans le sol Surface nécessaire: 40 m 2

27 Filtre à sable vertical non drainé (syn: lit de sable, système filtrant à sol reconstitué ) Description Sable se substitue à sol en place pour l épuration Le sol disperse les effluents traités Dimensionnement 20 m 2 jusqu à 4 pièces principales + 5 m 2 par pièce supplémentaire Réalisation Largeur: 5 m Longueur minimale: 4 m Géogrille en fond de fouille si sol fissuré

28

29 Différents types de sols donc différentes techniques d assainissement Le sol peut assurer L épuration La dispersion Épandage ou lit d épandage Le sol peut assurer Mais pas La dispersion L épuration Filtre à sable vertical non drainé Le sol ne peut assurer ni ni L épuration La dispersion Filtre à sable vertical ou horizontal drainé Sol peu perméable (argiles, marnes, ) Traces d hydromorphie Surface nécessaire: 40 m 2

30 Lit filtrant drainé horizontal Description Pas de dispersion dans le sol, évacuation de l eau traitée vers milieu superficiel ou souterrain Dimensionnement 33 m 2 minimum jusqu à 4 pièces Réalisation Largeur 6 m pour 4 PP puis 8 m pour 5 PP + 1 m par PP supplémentaire Longueur 5.5 m Source: conseil genéral de l Ain

31 Lit filtrant drainé vertical (syn: filtre à sable drainé, filtre à sable étanche, lit à massif de sable) Description Pas de dispersion dans le sol, évacuation de l eau traitée vers milieu superficiel ou souterrain Dimensionnement 20 m 2 minimum jusqu à 4 pièces puis 5 m 2 par chambre supplémentaire Réalisation Largeur 5m Longueur 4 m mini

32

33 Différents types de sols donc différentes techniques d assainissement Le sol peut assurer L épuration La dispersion Épandage ou lit d épandage Le sol peut assurer Mais pas La dispersion L épuration Filtre à sable vertical non drainé Le sol ne peut assurer ni ni L épuration La dispersion Filtre à sable vertical ou horizontal drainé Si la nappe d eau est affleurante Tertre d infiltration Présence d eau (nappe phréatique) Terrain gorgé Zones inondables

34 Tertre d infiltration Description Même système que filtre à sable Reçoit les effluents d une habitation surélevée ou pompe de relevage Dimensionnement 20 m 2 mini au sommet + 5 m 2 par pièce principal L angle entre le sol naturel et les parois du tertre doit être inférieur à 30

35

36 Dimensionnement d un tertre : Tan A = o/a Or o = 0.7 m de sable (drain) ((10/40) = 0.9 m Soit a = 0.9 / tan A = 1.56 m = longueur du tertre au sommet H = hauteur de sable + drains + graviers = 0.9 m C o B a h A Angle 30 Largeur en m au sommet Longueur en m au sommet B1 (m²) Largeur en m à la base Longueur en m à la base B2 (m²) Nb de chambres Surface sommet Surface base

37 Différents types de sols donc différentes techniques d assainissement Le sol peut assurer L épuration La dispersion Épandage ou lit d épandage Le sol peut assurer Mais pas La dispersion L épuration Filtre à sable vertical non drainé Le sol ne peut assurer ni ni L épuration La dispersion Filtre à sable vertical ou horizontal drainé Si la nappe d eau est affleurante Tertre d infiltration Cas particuliers: Réhabilitation, manque de place, Filtre à massif de zéolite Ou système agrées

38 Filtre à massif de zéolite 5 m 3 5 m 2 5 m 3

39 Cout sur 15 ans des filières traditionnelles

40 Les toilettes sèches Autorisé dans la nouvelle réglementation : Article 17 de l arrêté prescriptions techniques du 7 septembre 2009: «les toilettes dites sèches (sans apport d eau de dilution ou de transport) sont autorisées, à la condition qu elles ne génèrent aucune nuisance pour le voisinage ni rejet liquide en dehors de la parcelle, ni pollution des eaux superficielles ou souterraines.» Seul les eaux vannes sont traitées par les toilettes sèches Filières classiques ou agréées redimensionner pour traiter les eaux ménagères. Création d une aire étanche : «Les toilettes sèches sont composées d une cuve étanche recevant les fèces ou les urines. La cuve est régulièrement vidée sur une aire étanche conçue de façon à éviter tout écoulement et à l abri des intempéries.» Source: Photo J.C.Aiglehoux

41 Règles de base Implantation Hors zone de circulation et stationnement Hors cultures et plantations Équipements accessibles pour l entretien

42 Règles de base réalisation Respect des pentes entre chaque ouvrage Pas de compactage au dessus des canalisations Tampons de visites accessibles Terrassement interdit en sol détrempé les tuyaux d épandage au plus près de la surface pour une bonne aération Pas de remblaiement avant la vérification de la bonne exécution des travaux par le SPANC

43 Collecte et ventilation des eaux usées

44 La collecte des eaux usées Diamètre des conduites de 100 mm minimum pour une évacuation rapide et sans stagnation des eaux usées provenant des appareils sanitaires et ménagers. Important: cote de sortie la moins profonde possible afin d éviter l installation d une pompe de relevage (30 cm max). Pente 2 à 4% jusqu à la fosse Précaution: éviter les coudes à 90 sans regard de visite 1 regard par arrivée d EU ou par changement de direction (= bon écoulement, accès, vérification entretien)

45 Collecte avec contrainte de niveau : poste de relevage des eaux Points clés: volume utile de la bâchée (adaptée à la capacité du système) Étanchéité du boitier électrique Existence d une alarme si dysfonctionnement Clapet anti-retour sur refoulement Système pour remonter la pompe Ventilation si poste avant fosse toutes eaux Dimensionnement: 3 chambres 80 L de volume de bâchée Volume du poste > 100L 5 chambres 120 L de volume de bâchée Volume du poste > 150L

46 La ventilation Ventilation primaire: pour décompresser les tuyaux de chute Entrée d air assurée par prolongation de la colonne de chute des eaux usées, au dessus des locaux habités. Ventilation secondaire: extraction des gaz de la fosse toutes eaux pour limiter la corrosion de la fosse toutes eaux et du préfiltre. et pour évacuer les odeurs. Précautions: l extraction des gaz est assurée par une canalisation de diamètre égal à celui des canalisations de collecte (mini 100 mm), prolongée au dessus du toit (40 cm au dessus du faîtage), en évitant les coudes à 90. Éloigner l extracteur d un mètre des fenêtres, prises d air, lieux de vie et toute autre ventilation

47 DECOMPRESSION ETRACTION

48 ventilation Ex. de corrosion

49 Prétraitement: la fosse toutes eaux

50 Prétraitement: la fosse toutes eaux Rôle? Préparer les effluents pour l épandage Comment? Décantation et flottation (rétention de la pollution particulaire) Les matières légères s accumulent en surface et forment le «chapeau» Les plus lourdes décantent au fond de la fosse et forment les boues Effet tampon de dilution (séjour de 3 à 5j): le mélange des différentes eaux tout au long de la journée permet d obtenir un effluent assez homogène en qualité et en débit. Liquéfaction des matières et des graisses, diminution des boues résiduelles par fermentation (action des bactéries) Dimensionnement? Minimum 3 m 3 (3 chambres, 5 pièces principales), + 1 m 3 par chambre supplémentaire

51 Prétraitement: la fosse toutes eaux

52 Conseils de pose Fond de fouille plus grand (espace suffisant pour remblaiement latéral symétrique entre fosse et parois) Lit de 10 cm de sable compacté parfaitement horizontal ou tout autre matériaux suivant les prescriptions du constructeur. Remblayage latéral effectué symétriquement en couches successives avec du sable Raccord des canalisations après mise en eau et stabilisation du sable Remblayage en surface avec terre végétale débarrassé de tous éléments caillouteux ou pointus

53

54 Avant la fosse: le bac à graisses (syn.: séparateur ou boîte à graisses, dégraisseur) Évite l obstruction des canalisations et diminue la couche flottée de la fosse. Non obligatoire *. Conseillé si fosse > m de l habitation nettoyage fréquent et désagréable (fermentations organiques), ventilation de l ouvrage possible. 200 l cuisine seule 500 l EM Pour les eaux ménagères uniquement

55 Après la fosse toutes eaux: le préfiltre (syn.: décolloïdeur, filtre anti-colmatage ou indicateur de colmatage) fusible protecteur de l épandage Très recommandé (sauf pour un prétraitement séparé EV et EM ). Doit être accessible Pas de codifications. Conseillé 140 l minimum (dont 30 à 35 l de matériaux filtrants par usager, granulométrie mini 20, maxi 80). Ne donne pas d indications fiables sur le fonctionnement de la fosse et ne permet pas de compenser une mauvaise hydraulique

56 Répartition des effluents

57 Le regard de répartition Rôle : envoi homogène des effluents prétraités dans les tuyaux d épandage (3 à 6) 2 types matériaux : Béton : poids de 35 kg à 60 kg, PE : moins stable Joints souples et tuyaux pleins sur 1 m obligatoires (= zone sèche autour du regard),

58 Traitement des effluents

59 Regards de bouclage / collecte Té et au minimum un regard de bouclage ANC non drainé Té et au minimum un regard de bouclage Regard de collecte ou poste de relevage ANC drainé Le regard de bouclage permet de vérifier l infiltration et la pente des drains. Celui de collecte ou un poste de relevage, la hauteur du filtre.

60 Évacuation des eaux traitées

61 ANC non drainés : l infiltration ANC drainés : le rejet Tranchées ou lit d épandage Filtre à sable drainé Puits d infiltration Tertre Filtre à sable L infiltration dans le sous-sol est le mode d évacuation de référence car il assure un complément de traitement et de dispersion efficace des rejets dans le milieu. Il peut être interdit dans les périmètres de captages AEP Il s effectue en milieu hydraulique «à titre exceptionnel» (= à réserver en priorité à la réhabilitation) après traitement complet des EU. Il peut être :. superficiel (pluvial, fossé + exutoire, mare, étang, cours d eau,...) avec accord du propriétaire. souterrain (= puits d infiltration) autorisé par le SPANC NB : si une pompe est nécessaire en sortie d un ANC drainé, la pose d un clapet anti-retour est conseillée.

62 LES GEOSYNTHETIQUES (géotextile, grille, film) Géotextile : (syn: feutre anticontaminant) 3 rôles - Évite le mélange des matériaux (terre végétale, gravier, sable, sol naturel) et limite la pénétration des racines de la couverture végétale. - Stabilise le sol et en améliore sa portance -N est plus utilisé en fond de filtre depuis mars 2007 Géo-grille (maille 1 mm): - remplace, dans le nouveau DTU, le géotextile bas pour le filtre à sable drainé et le géotextile (roche fissuré) en fond de fouille pour le filtre à sable non drainé - ne se colmate pas, mais est plus coûteuse. Film plastique : (syn: film polyane 400 µm, film PEBD, film bâtiment) protection parois latérales et fond de la fouille, en cas de roche fissurée (DTU) étanchéification Pour une réelle étanchéification, conseillez un matériau plus épais et résistant (bâche PVC agricole, bâche de bassin,géomenbrane ) et/ou si le risque de poinçonnement est important, la pose d un feutre protecteur. Le DTU donne des caractéristiques précises de résistance et de perméabilité

63 Le sable importance du fuseau granulomètrique: ni trop grossier ( mauvaise filtration,circulation rapide, épuration insuffisante), ni trop fin ( colmatage) Stable à l eau ( = non calcaire) et absence de fines ( colmatage) 100 Fuseau Granulométrique ,01 0,01 0,01 0,02 0,03 0,05 0,08 0,13 0,2 0,32 0,5 0,8 1,25 2 3, , , Passants cumulés en % Dimension en mm Fuseau granulomètrique proposé par le D.T.U Fuseau granulomètrique proposé par le CEMAGREF

64

65 SUBVENTIONS aux particuliers Aides versées aux particuliers sous conditions de ressources: Aide aux logements (Conseil Général du Calvados) Contact pour conditions et détails: Service du logement-aide à l habitat du Conseil Général du Calvados-CAD- rue Daniel Huet CAEN Tél. : Aide de L ANAH (Agence Nationale pour l Amélioration de l Habitat). Contact pour conditions et détails :Hôtel de l Equipement-La Pierre Heuzé-1 boulevard Général Vanier CAEN cedex Tél : ou sur le site Autres aides possibles: Union Régionale PACT Basse Normandie 8, Boulevard du Gal Weygand CAEN CEDE 4 Tél. : Fax : contact@pactarim.fr - Aide de la CAF : prêt à un taux de 1 % dans la limite de 1067 du montant des travaux. Conditions et détails : - Aide des caisses de retraite : prêt pour l amélioration de l habitat (ex : CNAV, ). - Aide du comité d entreprise de votre employeur.

66 SUBVENTIONS aux particuliers Aides versées aux particuliers sans conditions de ressources: Prêt à taux zéro nommé «éco-ptz»: limité à pour les travaux de réhabilitation de systèmes d'assainissement non collectif ne consommant pas d'énergie. Contact pour conditions et détails : Politique d aide à la réhabilitation du Conseil général : opérations groupés, SPANC relais local de la politique du conseil général. Conditions et détails des subventions du Conseil Général du Calvados : SPANC local et Frédéric SAINT MARC - Conseil Général du Calvados-23, boulevard Bertrand CAEN cedex Tel :

67 Site Internet Conseil Général du Calvados accès direct: eau et assainissement

68 Site Internet Conseil Général du Calvados rubrique : l assainissement non collectif

69 Site Internet Conseil Général du Calvados rubrique : les journées d information pour les artisans installateurs

70 Site Internet Conseil Général du Calvados diaporama

71 Site Internet du Ministère de l Environnement

72 Agrément des vidangeurs Retrait des dossiers en préfecture, informations disponibles sur le site de la préfecture: Rubrique environnement/l eaux et les milieux aquatiques/assainissement des eaux usées/agrément des vidangeurs Actuellement, 20 vidangeurs agréés sur le département, liste disponible sur le site de la préfecture et du conseil général.

Guide d entretien. de votre assainissement non collectif

Guide d entretien. de votre assainissement non collectif juillet 2009 Guide d entretien de votre assainissement non collectif Votre système d assainissement n est pas raccordé au «tout à l égout». Il est dit «non-collectif», «autonome» ou encore «individuel».

Plus en détail

LES EAUX USÉES. L évacuation des eaux usées. Les eaux vannes (EV) : eaux provenant des cuvettes de WC.

LES EAUX USÉES. L évacuation des eaux usées. Les eaux vannes (EV) : eaux provenant des cuvettes de WC. L évacuation des eaux usées Les eaux vannes (EV) : eaux provenant des cuvettes de WC. Les eaux ménagères (EM) : eaux provenant de la cuisine (évier, lave-vaisselle) et de la salle de bains (lavabo, baignoire,

Plus en détail

Mon installation d assainissement non collectif PRÉSERVER LA RESSOURCE EN EAU ET RESPECTER LES MILIEUX AQUATIQUES. Guide.

Mon installation d assainissement non collectif PRÉSERVER LA RESSOURCE EN EAU ET RESPECTER LES MILIEUX AQUATIQUES. Guide. Mon installation d assainissement non collectif PRÉSERVER LA RESSOURCE EN EAU ET RESPECTER LES MILIEUX AQUATIQUES Guide d entretien Aillevans - Athesans Etroitefontaine - Autrey Le Vay - Beveuge - Bonnal

Plus en détail

CARNET D'ENTRETIEN D'UNE INSTALLATION D'ASSAINISSEMENT AUTONOME

CARNET D'ENTRETIEN D'UNE INSTALLATION D'ASSAINISSEMENT AUTONOME CARNET D'ENTRETIEN D'UNE INSTALLATION D'ASSAINISSEMENT AUTONOME SOMMAIRE Comment fonctionne un système d'assainissement non collectif? A vérifier régulièrement Le planning d'entretien La vidange de la

Plus en détail

Le bac à graisses PRETRAITEMENT. Schéma de principe. Volume du bac à graisses. Pose

Le bac à graisses PRETRAITEMENT. Schéma de principe. Volume du bac à graisses. Pose Le bac à graisses Schéma de principe Lorsqu on a une longueur de canalisation importante entre la sortie des eaux de cuisine et la fosse septique toutes eaux, il est fortement conseillé d intercaler un

Plus en détail

p. 4-5 p. 6-7 p. 8-9 p. 10-11

p. 4-5 p. 6-7 p. 8-9 p. 10-11 L eau est une ressource essentielle partagée par tous. Elle est indispensable à l équilibre des écosystèmes, au développement durable et à notre survie même. L eau fait partie des préoccupations prioritaires

Plus en détail

ÉTUDES SUR L EAU N 86 MODALITÉS TECHNIQUES DU CONTRÔLE DES INSTALLATIONS D ASSAINISSEMENT NON COLLECTIF DES HABITATIONS INDIVIDUELLES

ÉTUDES SUR L EAU N 86 MODALITÉS TECHNIQUES DU CONTRÔLE DES INSTALLATIONS D ASSAINISSEMENT NON COLLECTIF DES HABITATIONS INDIVIDUELLES É D I T O R I A L assainissement non collectif concerne les immeubles, et notamment les L maisons d habitation individuelles, non raccordés à un réseau public de collecte des eaux usées. La directive européenne

Plus en détail

REGLEMENT DU SERVICE DE L'ASSAINISSEMENT NON COLLECTIF. Obligations des propriétaires. Dispositions générales

REGLEMENT DU SERVICE DE L'ASSAINISSEMENT NON COLLECTIF. Obligations des propriétaires. Dispositions générales REGLEMENT DU SERVICE DE L'ASSAINISSEMENT NON COLLECTIF Les cases grisées de commentaires sont à supprimer avant toute diffusion Le règlement du service, délibéré et voté par l'assemblée délibérante dans

Plus en détail

22/06/2015 IMP50PO5-2

22/06/2015 IMP50PO5-2 22/06/2015 REGLEMENT DU SERVICE PUBLIC D ASSAINISSEMENT NON COLLECTIF (SPANC-SATESE 37) SATESE 37 Z.A du Papillon 3 Rue de l Aviation 37210 PARÇAY-MESLAY Tél : 02 47 29 47 37 / Fax : 02 47 29 47 38 Internet

Plus en détail

USAGERS. Assainissement non collectif. Guide d information sur les installations. Outil d aide au choix

USAGERS. Assainissement non collectif. Guide d information sur les installations. Outil d aide au choix USAGERS Assainissement non collectif Guide d information sur les installations Outil d aide au choix Ministère de l'écologie, du Développement durable et de l Énergie www.developpement-durable.gouv.fr

Plus en détail

REGLEMENT DU SERVICE DE L'ASSAINISSEMENT NON COLLECTIF. ❶ Dispositions générales

REGLEMENT DU SERVICE DE L'ASSAINISSEMENT NON COLLECTIF. ❶ Dispositions générales REGLEMENT DU SERVICE DE L'ASSAINISSEMENT NON COLLECTIF Le règlement du service définit les obligations mutuelles entre le service public de l'assainissement non collectif (SPANC) et ses usagers qui sont

Plus en détail

Sommaire Page 3 : Chapitre 1er - Dispositions générales

Sommaire Page 3 : Chapitre 1er - Dispositions générales Règlement du service d assainissement non collectif (SPANC) Règlement Document issu de l Agence de l Eau Adour Garonne Sommaire Page 3 : Chapitre 1er - Dispositions générales... 5 Article 1 - Objet du

Plus en détail

ASPECTS JURIDIQUES DE L ASSAINISSEMENT NON COLLECTIF

ASPECTS JURIDIQUES DE L ASSAINISSEMENT NON COLLECTIF ASPECTS JURIDIQUES DE L ASSAINISSEMENT NON COLLECTIF Bases juridiques et dernières évolutions règlementaires Séminaire des animateurs territoriaux, le 26 juin 2012 Ludiana KORTH, chargée d étude juridique

Plus en détail

Règlement du Service Public d assainissement non collectif (SPANC)

Règlement du Service Public d assainissement non collectif (SPANC) Règlement du Service Public d assainissement non collectif (SPANC) Adopté par le Conseil de Communauté le 11 juillet 2005 et révisé le 12 septembre 2011 TABLES DES MATIÈRES Chapitre I Dispositions générales

Plus en détail

VILLE DE SAINT-MAUR-DES-FOSSÉS MISE EN CONFORMITÉ DE L ASSAINISSEMENT INTÉRIEUR D UNE PROPRIÉTÉ

VILLE DE SAINT-MAUR-DES-FOSSÉS MISE EN CONFORMITÉ DE L ASSAINISSEMENT INTÉRIEUR D UNE PROPRIÉTÉ VILLE DE SAINT-MAUR-DES-FOSSÉS MISE EN CONFORMITÉ DE L ASSAINISSEMENT INTÉRIEUR D UNE PROPRIÉTÉ Ce document regroupe, sous forme de fiches, les informations nécessaires à la réalisation des travaux de

Plus en détail

RÈGLEM ENT DU S.P.A.N.C. SERVICE PUBLIC D ASSAINISSEM ENT NON COLLECTIF COMMUNAUTÉ DE COMMUNES JURA SUD

RÈGLEM ENT DU S.P.A.N.C. SERVICE PUBLIC D ASSAINISSEM ENT NON COLLECTIF COMMUNAUTÉ DE COMMUNES JURA SUD RÈGLEM ENT DU S.P.A.N.C. SERVICE PUBLIC D ASSAINISSEM ENT NON COLLECTIF COMMUNAUTÉ DE COMMUNES JURA SUD 87 Avenue de Saint Claude - 39260 Moirans-en-Montagne - Tél. : 03.84.42.61.20 Fax : 03.84.42.38.03

Plus en détail

CREATION DE FORAGE, PUITS, SONDAGE OU OUVRAGE SOUTERRAIN

CREATION DE FORAGE, PUITS, SONDAGE OU OUVRAGE SOUTERRAIN REPUBLIQUE FRANCAISE - PREFECTURE DE LA DROME A retourner à : DDT/Service Eau Forêt Espaces Naturels 4 place Laënnec BP 1013 26015 VALENCE CEDEX 04.81.66.81.90 CREATION DE FORAGE, PUITS, SONDAGE OU OUVRAGE

Plus en détail

Assainissement non collectif

Assainissement non collectif Assainissement non collectif Un écoprêt ue q ifi c é p s o r é z x u a t à Votre maison n est pas reliée au tout-à-l égout? Votre installation individuelle, type fosse septique, n est pas aux normes? Un

Plus en détail

L'assainissement individuel : est-ce une solution archaïque et chère?

L'assainissement individuel : est-ce une solution archaïque et chère? février 2015 L'assainissement individuel : est-ce une solution archaïque et chère? L essentiel Document rédigé par Elodie Sanchez-Collet (Graie) Relecteurs : le réseau des acteurs de l ANC du Graie et

Plus en détail

Règlement numéro LA GESTION DES EAUX DE SURFACE ET LES RACCORDEMENTS AUX SERVICES D AQUEDUC ET D ÉGOUT. Avril 2011

Règlement numéro LA GESTION DES EAUX DE SURFACE ET LES RACCORDEMENTS AUX SERVICES D AQUEDUC ET D ÉGOUT. Avril 2011 Règlement numéro 346 LA GESTION DES EAUX DE SURFACE ET LES RACCORDEMENTS AUX SERVICES D AQUEDUC ET D ÉGOUT Avril 2011 VOS RESPONSABILITÉS LIÉES AUX SERVICES D AQUEDUC ET D ÉGOUT DE VOTRE IMMEUBLE Protection

Plus en détail

Guide d installation Agrément n 2010-018

Guide d installation Agrément n 2010-018 Filtres EPURFIX COMPACT COCO PEHD 5 et 7E.H. C.P. (Série «Compact») Guide d installation Agrément n 2010-018 Ce GUIDE D INSTALLATION contient l information nécessaire à la préparation et à la réalisation

Plus en détail

Sommaire INTRODUCTION... 2. 1/ Le contexte général de la commune...3. 2/ L état des réseaux...3. 3/ Le diagnostic des ouvrages d épuration...

Sommaire INTRODUCTION... 2. 1/ Le contexte général de la commune...3. 2/ L état des réseaux...3. 3/ Le diagnostic des ouvrages d épuration... 1 Sommaire INTRODUCTION... 2 1/ Le contexte général de la commune...3 2/ L état des réseaux...3 3/ Le diagnostic des ouvrages d épuration...3 4/ Les solutions retenues par la commune...5 CONCLUSION Carte

Plus en détail

RETOURS D'EXPERIENCES sur les filières d'assainissement non collectif

RETOURS D'EXPERIENCES sur les filières d'assainissement non collectif RETOURS D'EXPERIENCES sur les filières d'assainissement non collectif DOCUMENT DE TRAVAIL EVOLUTIF mai 2011 - VERSION1 Res'eau ASNC "Réseau Rhône Alpes des acteurs de l'anc" GRAIE Version 1 - février 2011

Plus en détail

GUIDE TECHNIQUE DE REALISATION DES BRANCHEMENTS PARTICULIERS AUX RESEAUX D ASSAINISSEMENT ET D EAU POTABLE

GUIDE TECHNIQUE DE REALISATION DES BRANCHEMENTS PARTICULIERS AUX RESEAUX D ASSAINISSEMENT ET D EAU POTABLE Communauté d Agglomération Carcassonne Agglo DIRECTION EAU POTABLE & ASSAINISSEMENT 1, rue Pierre GERMAIN 11890 CARCASSONNE CEDEX 9 GUIDE TECHNIQUE DE REALISATION DES BRANCHEMENTS PARTICULIERS AUX RESEAUX

Plus en détail

Assainissement des campings. - 11 janvier 2011

Assainissement des campings. - 11 janvier 2011 Assainissement des campings - 11 janvier 2011 Etat des lieux de l assainissement non collectif (ANC) en Finistère Caractéristiques des eaux usées des campings Contexte et cadre réglementaire Les chiffres

Plus en détail

Installations de plomberie

Installations de plomberie Service de l urbanisme, des biens et de l aménagement Installations de plomberie Guide à l intention des propriétaires pour l interprétation des règlements municipaux de la ville de Winnipeg concernant

Plus en détail

RÉSUMÉ DES PRINCIPALES RÈGLES CONCERNANT LE RACCORDEMENT D UNE RÉSIDENCE AU NOUVEAU RÉSEAU D AQUEDUC ET D ÉGOUT DU VILLAGE

RÉSUMÉ DES PRINCIPALES RÈGLES CONCERNANT LE RACCORDEMENT D UNE RÉSIDENCE AU NOUVEAU RÉSEAU D AQUEDUC ET D ÉGOUT DU VILLAGE RÉSUMÉ DES PRINCIPALES RÈGLES CONCERNANT LE RACCORDEMENT D UNE RÉSIDENCE AU NOUVEAU RÉSEAU D AQUEDUC ET D ÉGOUT DU VILLAGE Des règles différentes peuvent s appliquer dans le cas d un commerce. Informez-vous

Plus en détail

Comment concevoir son lit biologique

Comment concevoir son lit biologique santé - sécurité au travail > RISQUE PHYTOSANITAIRE Gestion des effluents phytosanitaires Comment concevoir son lit biologique > Choix du procédé > Méthode de conception > Construction du lit biologique

Plus en détail

MISE EN DÉCHARGE. Une entreprise de Bayer et LANXESS

MISE EN DÉCHARGE. Une entreprise de Bayer et LANXESS MISE EN DÉCHARGE Une entreprise de Bayer et LANXESS MISE EN DÉCHARGE Introduction INTRODUCTION La mise en décharge, dans le respect de l environnement, de certains types de déchets est un complément important

Plus en détail

LE SERVICE PUBLIC DE L'ASSAINISSEMENT NON COLLECTIF ( SPANC )

LE SERVICE PUBLIC DE L'ASSAINISSEMENT NON COLLECTIF ( SPANC ) DIRECTION DÉPARTEMENTALE DES TERRITOIRES du HAUT-RHIN Cité administrative Bât Tour Rue Fleischhauer 68026 COLMAR - Cedex Service Eau, Environnement et Espaces Naturels Tél. : 03.89.24.81.37 - Fax : 03.89.24.85.00

Plus en détail

Règlement du service public d assainissement collectif des communes de l ÉTOILE

Règlement du service public d assainissement collectif des communes de l ÉTOILE Novembre 2014 Règlement du service public d assainissement collectif des communes de l ÉTOILE Service Assainissement Partie 1 : Règlement commun aux eaux usées domestiques, assimilées domestiques et autres

Plus en détail

Règles et prescriptions à respecter pour les permis de construire

Règles et prescriptions à respecter pour les permis de construire Collecte et valorisation des déchets dans le pays de Gex Permis de construire Édition 2013 Règles et prescriptions à respecter pour les permis de construire Prévoir la voirie, les équipements et les zones

Plus en détail

Concevoir et organiser son aire de remplissage, de lavage et de stockage des effluents

Concevoir et organiser son aire de remplissage, de lavage et de stockage des effluents Concevoir et organiser son aire de remplissage, de lavage et de stockage des effluents 1 Ce document a été rédigé fin 009, dans le cadre du groupe de travail ECOPULVI, animé par l Institut Français de

Plus en détail

Systèmes de stockage simples à installer et économiques

Systèmes de stockage simples à installer et économiques Systèmes de stockage simples à installer et économiques Parallèlement à l accroissement et à l ampleur des événements pluviométriques, l accélération et l augmentation des débits de pointe accentuent de

Plus en détail

EPLEFPA "LES SARDIERES" 79 AVENUE DE JASSERON 01 000 BOURG EN BRESSE Tel : 04.74.45.50.80

EPLEFPA LES SARDIERES 79 AVENUE DE JASSERON 01 000 BOURG EN BRESSE Tel : 04.74.45.50.80 Maître d'ouvrage : EPLEFPA "LES SARDIERES" 79 AVENUE DE JASSERON 01 000 BOURG EN BRESSE Tel : 04.74.45.50.80 Objet : Récupération des eaux pluviales pour le jardin partagé des Sardières CAHIER DES CHARGES

Plus en détail

CONCASSAGE, CRIBLAGE DE MATERIAUX : ENREGISTREMENT ICPE, ARRETE DE PRESCRIPTIONS GENERALES ICPE L essentiel

CONCASSAGE, CRIBLAGE DE MATERIAUX : ENREGISTREMENT ICPE, ARRETE DE PRESCRIPTIONS GENERALES ICPE L essentiel N 38 Développement durable n 2 En ligne sur le site www.fntp.fr / extranet le 19/02/2013 ISSN 1769-4000 CONCASSAGE, CRIBLAGE DE MATERIAUX : ENREGISTREMENT ICPE, ARRETE DE PRESCRIPTIONS GENERALES ICPE L

Plus en détail

Autorisation et Convention

Autorisation et Convention Autorisation et Convention Déversement d eaux usées non domestiques dans les réseaux publics de collecte Entreprises et Collectivités : procédures pour être en conformité avec la loi Crédit photo CA Évry

Plus en détail

Etude de diagnostic hydrogéologique du sous sol de Clamart Quartiers Schneider et Centre ville MAI 2013

Etude de diagnostic hydrogéologique du sous sol de Clamart Quartiers Schneider et Centre ville MAI 2013 Etude de diagnostic hydrogéologique du sous sol de Clamart Quartiers Schneider et Centre ville MAI 2013 Zones d étude et problématiques Quartiers concernés par l étude 1. Centre ville 2. Schneider Quartier

Plus en détail

Règlement du Service Public Communal de l Assainissement Commune de Vitry sur Seine 1

Règlement du Service Public Communal de l Assainissement Commune de Vitry sur Seine 1 Commune de Vitry sur Seine 1 SOMMAIRE Préambule 5 Chapitre 1- Dispositions générales 6 Article 1 : Objet du règlement 6 Article 2 : Autres prescriptions 6 Article 3 : Catégories d eaux admises au déversement

Plus en détail

DTUs & Documents d'aide à la maintenance et à la conception des installations intérieur de distribution d eau

DTUs & Documents d'aide à la maintenance et à la conception des installations intérieur de distribution d eau DTUs & Documents d'aide à la maintenance et à la conception des installations intérieur de distribution d eau olivier.correc@cstb.fr Nouveaux Documents Techniques Unifiés DTU 60.1 Plomberie sanitaire pour

Plus en détail

EXTRAIT DU REGISTRE DES ARRETES DU PRESIDENT DE LA COMMUNAUTE URBAINE DE LYON

EXTRAIT DU REGISTRE DES ARRETES DU PRESIDENT DE LA COMMUNAUTE URBAINE DE LYON REPUBLIQUE FRANCAISE DEPARTEMENT DU RHONE EXTRAIT DU REGISTRE DES ARRETES DU PRESIDENT DE LA COMMUNAUTE URBAINE DE LYON ARRETE N 2013-07-15-R-0287 commune(s) : Villeurbanne objet : Autorisation de déversement

Plus en détail

STOCKAGE DES BOUES DE STATIONS D EPURATION URBAINES Bassin Artois Picardie

STOCKAGE DES BOUES DE STATIONS D EPURATION URBAINES Bassin Artois Picardie PREFECTURE REGION NORD PAS DE CALAIS Direction Régionale de l Environnement Nord - Pas de Calais Service Eau, Milieux Aquatiques et Risques Naturels Cellule Réglementation et Gestion Territoriale de l'eau

Plus en détail

Comparaison théorique de dispositifs d ANC

Comparaison théorique de dispositifs d ANC 2013 Thème «assainissement» - Action 45 Comparaison théorique de dispositifs d ANC les filières par «cultures fixées sur supports fins» autorisées au 1 er novembre 2013 Rapport final Catherine BOUTIN (Irstea,

Plus en détail

Commune d Aillevillers et Lyaumont CC du Val de Semouse

Commune d Aillevillers et Lyaumont CC du Val de Semouse Commune d Aillevillers et Lyaumont CC du Val de Semouse Département de la Haute Saône Zonage d assainissement Renaud LADAME Chargé d Affaires Géoprotech Agence Franche Comté Hôtel dentreprises ZA les Charrières

Plus en détail

- Tente de réception louée complète (structure, bâches de toit et cotés, piquets)

- Tente de réception louée complète (structure, bâches de toit et cotés, piquets) Location tente de réception 5x10 état neuf gris clair et blanc La tente de réception est conçue pour une utilisation lors des fêtes et autres événements est, en tant que tels, uniquement destiné à un montage

Plus en détail

Les Stations Compactes EPARCO à massif de zéolithe. Stations Compactes EPARCO de 5 à 20 Equivalents Habitants

Les Stations Compactes EPARCO à massif de zéolithe. Stations Compactes EPARCO de 5 à 20 Equivalents Habitants Les Stations Compactes EPARCO à massif de zéolithe Stations Compactes EPARCO de 5 à 20 Equivalents Habitants Version du 5 Juillet 2010 révisée le 15 Janvier 2014 INTRODUCTION AUX STATIONS COMPACTES EPARCO

Plus en détail

VILLE DE FEYZIN ( Rhône ) Réfection d'un réseau d'évacuation d'eau usée. Place René LESCOT

VILLE DE FEYZIN ( Rhône ) Réfection d'un réseau d'évacuation d'eau usée. Place René LESCOT VILLE DE FEYZIN ( Rhône ) MAITRE D'OUVRAGE VILLE DE FEYZIN Réfection d'un réseau d'évacuation d'eau usée Place René LESCOT CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUE PARTICULIERES (C.C.T.P) SOMMAIRE 1 OBJET DU MARCHE...3

Plus en détail

RÈGLEMENT #2005-08 RELATIF AUX BRANCHEMENTS À L'ÉGOUT ET À L AQUEDUC

RÈGLEMENT #2005-08 RELATIF AUX BRANCHEMENTS À L'ÉGOUT ET À L AQUEDUC RÈGLEMENT #2005-08 RELATIF AUX BRANCHEMENTS À L'ÉGOUT ET À L AQUEDUC RÈGLEMENT NUMÉRO 2005-08 RELATIF AUX BRANCHEMENTS À L ÉGOUT ET À L AQUEDUC Type Règlement # Résolution # Date adoption Date d entrée

Plus en détail

Assainissement non collectif et SPANC : Questions d'ordre réglementaire

Assainissement non collectif et SPANC : Questions d'ordre réglementaire Assainissement non collectif et SPANC : Questions d'ordre réglementaire Document établi par le Graie, avec la collaboration de André Oustric, Juriste au CERTU (Ministère de l'equipement) Quelle est la

Plus en détail

DÉCLARATIONS DU VENDEUR SUR L IMMEUBLE 1 INFORMATIONS GÉNÉRALES VENDEUR 2 / PAR VENDEUR 1 / PAR

DÉCLARATIONS DU VENDEUR SUR L IMMEUBLE 1 INFORMATIONS GÉNÉRALES VENDEUR 2 / PAR VENDEUR 1 / PAR DÉCLARATIONS DU SUR L IMMEUBLE 1 / PAR 2 / PAR nom, adresse, téléphone et courriel du vendeur 1 nom, adresse, téléphone et courriel du vendeur 2 ci-dessous collectivement nommés «vendeur» Ce formulaire

Plus en détail

Solution azotée & Hydrocarbures

Solution azotée & Hydrocarbures Solution azotée & Hydrocarbures Stockez... en toute sécurité Stockez, tout en préserva Il est urgent de sécuriser le stockage d azote liquide et des hydrocarbures sur vos exploitations. Outre le fait de

Plus en détail

NOTICE TECHNIQUE DE SECURITE

NOTICE TECHNIQUE DE SECURITE MODELE N 2 Document disponible sur http://www.auvergne.pref.gouv.fr/protection_civile/etablissements _recevant_public/sec_incendie_erp/procedure.php NOTICE TECHNIQUE DE SECURITE Etablissement Recevant

Plus en détail

Commune de la Tène Viabilisation de la zone du casino

Commune de la Tène Viabilisation de la zone du casino Commune de la Tène Viabilisation de la zone du casino RAPPORT TECHNIQUE Evacuation des eaux et alimentation en eau potable Dossier 10N026 Version 001 26 novembre 2010 RWB Holding SA Aménagement du territoire

Plus en détail

DISPOSITIONS APPLICABLES A LA ZONE N

DISPOSITIONS APPLICABLES A LA ZONE N DISPOSITIONS APPLICABLES A LA ZONE N CARACTERE DE LA ZONE Zone faisant l objet d une protection en raison soit de la qualité des sites, des milieux naturels, des paysages et de leur intérêt notamment du

Plus en détail

CANALISATIONS A L AIR LIBRE OU DANS LES PASSAGES COUVERTS, OUVERTS SUR L'EXTERIEUR SOMMAIRE

CANALISATIONS A L AIR LIBRE OU DANS LES PASSAGES COUVERTS, OUVERTS SUR L'EXTERIEUR SOMMAIRE CAHIER DES CHARGES AFG CANALISATIONS A L AIR LIBRE OU DANS LES PASSAGES COUVERTS, OUVERTS SUR L'EXTERIEUR RSDG 5 15 décembre 2002 SOMMAIRE 1. - REGLES GENERALES 2 1.1. - Objet du cahier des charges 2 1.2.

Plus en détail

L HABITAT. Technologie 5ème

L HABITAT. Technologie 5ème L HABITAT LES FONCTIONS CLORE: air, eau RESISTER: poids propre, charges d exploitation, charges climatiques (neige, vent) ISOLER: thermique, acoustique CHAUFFER l hiver RAFFRAICHIR l été PROCURER: hygiène,

Plus en détail

FICHE ROL DEPARTEMENT DU TARN RELEVE D OBSERVATION LOGEMENT (ROL) I:\ENVIR\CB\2008\HABITAT\guide as\fiche ROL.doc

FICHE ROL DEPARTEMENT DU TARN RELEVE D OBSERVATION LOGEMENT (ROL) I:\ENVIR\CB\2008\HABITAT\guide as\fiche ROL.doc FICHE ROL DEPARTEMENT DU TARN RELEVE D OBSERVATION LOGEMENT (ROL) I:\ENVIR\CB\2008\HABITAT\guide as\fiche ROL.doc Le ROL est un document à usage des intervenants de terrain non techniciens du bâtiment.

Plus en détail

Installations d assainissement jusqu à 12 Equivalents Habitants

Installations d assainissement jusqu à 12 Equivalents Habitants Installations d assainissement jusqu à 12 Equivalents Habitants Version du 10 septembre 2014 Félicitations pour votre choix 2 GUIDE DE L UTILISATEUR S O M M A I R E 1 - Constitution de votre installation...p.4

Plus en détail

Commune mixte d Eschert

Commune mixte d Eschert Commune mixte d Eschert Evacuation des eaux des biens-fonds Décembre 2013 / MH Version 1 Table des matières 1. Introduction... 3 2. Mise en garde... 3 3. Bases légales... 3 3.1. Niveau fédéral... 3 3.2.

Plus en détail

Exemple du SATESE MAGE 42

Exemple du SATESE MAGE 42 LE LAGUNAGE Exemple du SATESE MAGE 42 Rapide état des lieux Perspectives d association avec le procédé Filtre Planté de roseaux LAGUNAGES DU DEPARTEMENT DE LA LOIRE Conception et dimensionnement Principaux

Plus en détail

Principe d assemblage Structure modulaire CAPENA bassin rectangulaire avec escalier Hauteur panneaux 1,2 ou 1,5 mètres Montage sur pieds

Principe d assemblage Structure modulaire CAPENA bassin rectangulaire avec escalier Hauteur panneaux 1,2 ou 1,5 mètres Montage sur pieds Principe d assemblage Structure modulaire CAPENA bassin rectangulaire avec escalier Hauteur panneaux 1,2 ou 1,5 mètres Montage sur pieds CAPENA GmbH - PISCINES - Gruber Strasse 6-85551 KIRCHHEIM Allemagne

Plus en détail

Manuel - Campetto 4 distributeur électrique souterrain

Manuel - Campetto 4 distributeur électrique souterrain Manuel - Campetto 4 distributeur électrique souterrain Mentions légales: GIFAS-ELECTRIC GmbH CH-9424 Rheineck www.gifas.ch Sous réserve d'erreurs et de modifications techniques. Ce manuel est propriété

Plus en détail

Municipalité de Bévilard

Municipalité de Bévilard Municipalité de Bévilard Service des Travaux Publics Evacuation des eaux des biens-fonds Table des matières 1. Introduction... 3 2. Bases légales... 3 1.1. Niveau fédéral...3 1.2. Niveau cantonal...4 1.3.

Plus en détail

Carnet photos. Visite commentée des travaux

Carnet photos. Visite commentée des travaux Carnet photos Visite commentée des travaux Marais du Vigueirat Life PROMESSE 2003-2007 Sommaire Chaufferie bois et plateforme de stockage... 3 Cuves de récupération des eaux pluviales... 7 Lit planté de

Plus en détail

«Silva Cell Investir dans l infrastructure verte»

«Silva Cell Investir dans l infrastructure verte» «Silva Cell Investir dans l infrastructure verte» Silva Cell Module d enracinement pour arbres Application : - Le module Silva Cell crée un espace souterrain permettant l enracinement des arbres en ville.

Plus en détail

COMMUNE de SAINT-ROCH MARCHE PUBLIC DE TRAVAUX. Passé selon une procédure adaptée en application des articles 26 et 28

COMMUNE de SAINT-ROCH MARCHE PUBLIC DE TRAVAUX. Passé selon une procédure adaptée en application des articles 26 et 28 COMMUNE de SAINT-ROCH MARCHE PUBLIC DE TRAVAUX Passé selon une procédure adaptée en application des articles 26 et 28 Du Code des Marchés Publics CAHIER DES CHARGES TECHNIQUES PARTICULIERES C.C.T.P FOURNITURE

Plus en détail

GUIDE D'INSTALLATION. Lave-Vaisselle

GUIDE D'INSTALLATION. Lave-Vaisselle GUIDE D'INSTALLATION Lave-Vaisselle SOMMAIRE 1/ CONSIGNES DE SECURITE Avertissements importants 03 2/ INSTALLATION DE VOTRE LAVE-VAISSELLE Appareil non encastré 04 Appareil encastré 04 Appareil encastré

Plus en détail

R A P P O R T. Monsieur le Président, Mesdames, Messieurs, Bref historique

R A P P O R T. Monsieur le Président, Mesdames, Messieurs, Bref historique Commune de Peseux Conseil communal R A P P O R T du Conseil communal au Conseil général relatif à une demande de crédit de CHF 1'910'000.- pour la rénovation des conduites d'eau, de gaz, d'électricité,

Plus en détail

REGLEMENT SANITAIRE DEPARTEMENTAL DE MAINE ET LOIRE TITRE VIII PRESCRIPTIONS APPLICABLES AUX ACTIVITES D'ELEVAGE ET AUTRES ACTIVITES AGRICOLES

REGLEMENT SANITAIRE DEPARTEMENTAL DE MAINE ET LOIRE TITRE VIII PRESCRIPTIONS APPLICABLES AUX ACTIVITES D'ELEVAGE ET AUTRES ACTIVITES AGRICOLES REGLEMENT SANITAIRE DEPARTEMENTAL DE MAINE ET LOIRE TITRE VIII PRESCRIPTIONS APPLICABLES AUX ACTIVITES D'ELEVAGE ET AUTRES ACTIVITES AGRICOLES Arrêté préfectoral du 20 novembre 1985 153.1. Champ d application

Plus en détail

Manuel d entretien. Présentation de votre chauffe-eau. Poignées de préhension (haut et bas) Protection intérieure par émaillage. Isolation thermique

Manuel d entretien. Présentation de votre chauffe-eau. Poignées de préhension (haut et bas) Protection intérieure par émaillage. Isolation thermique Présentation de votre chauffe-eau Poignées de préhension (haut et bas) Isolation thermique Protection intérieure par émaillage Canne de prise d eau chaude Doigt de gant du thermostat Anode magnésium Résistance

Plus en détail

Emis le : 5/08/2011 Mis à jour : 10/2014

Emis le : 5/08/2011 Mis à jour : 10/2014 Emetteur : CRMA Limousin Page 1 sur 6 1. Quelle réglementation s applique à mon entreprise? Emis le : 5/08/2011 Toute entreprise artisanale ou industrielle est soumise au règlement sanitaire départemental.

Plus en détail

OPUR Supercompact W8

OPUR Supercompact W8 APPENDICE B4 Guide de mise en œuvre et d exploitation des micro-stations à boues activées à biomasse en suspension. OPUR Supercompact W5 Numéro d agrément 2009/09/101/b OPUR Supercompact W8 Numéro d agrément

Plus en détail

REGLEMENT D ASSAINISSEMENT PLUVIAL

REGLEMENT D ASSAINISSEMENT PLUVIAL REGLEMENT D ASSAINISSEMENT PLUVIAL Règlement d assainissement pluvial du Grand Toulouse 1 SOMMAIRE CHAPITRE I - DISPOSITIONS GENERALES...3 ARTICLE 1 - OBJET DU REGLEMENT...3 ARTICLE 2 - DEFINITION DES

Plus en détail

LES DTU PLOMBERIE SANITAIRE

LES DTU PLOMBERIE SANITAIRE Roger Cadiergues MémoCad ns03.a LES DTU PLOMBERIE SANITAIRE SOMMAIRE ns03.1. Le cadre DTU plomberie ns03.2. Le cadre du DTU 60.1 actuel ns03.3. L application du DTU 60.1 actuel ns03.4. Le cadre du DTU

Plus en détail

guide lot CVC Points de vigilance à l usage des conducteurs de travaux EG ENTREPRISES GÉNÉRALES DE FRANCE BTP

guide lot CVC Points de vigilance à l usage des conducteurs de travaux EG ENTREPRISES GÉNÉRALES DE FRANCE BTP ENTREPRISES GÉNÉRALES DE FRANCE BTP guide Points de vigilance à l usage des conducteurs de travaux EG lot CVC Avant-propos AVANT-PROPOS CHAUFFAGE... 1 CLIMATISATION... 2 GESTION TECHNIQUE CENTRALISÉE 3

Plus en détail

PREFET DU BAS-RHIN. Le Préfet de la Région Alsace, Préfet du Bas-Rhin,

PREFET DU BAS-RHIN. Le Préfet de la Région Alsace, Préfet du Bas-Rhin, 1 Direction départementale des Territoires du Bas-Rhin PREFET DU BAS-RHIN Service Environnement et Gestion des Espaces 14, rue du Maréchal Juin BP 61003 67070 STRASBOURG CEDEX ARRETE PREFECTORAL portant

Plus en détail

BLUBOX Système de récupération des eaux de pluie

BLUBOX Système de récupération des eaux de pluie BLUBOX Système de récupération des eaux de pluie La gestion responsable des eaux pluviales : UNE SOLUTION ACTUELLE POUR UN AVENIR DURABLE L eau est une ressource essentielle à toute forme de vie sur Terre.

Plus en détail

Direction des Services Techniques

Direction des Services Techniques VILLE DE LA CELLE SAINT-CLOUD Direction des Services Techniques RÈGLEMENT COMMUNAL D ASSAINISSEMENT 1/25 SOMMAIRE CHAPITRE I - DISPOSITIONS GENERALES 6 ARTICLE 1er - OBJET DU REGLEMENT 6 ARTICLE 2 - CATEGORIE

Plus en détail

Schéma général d assainissement du Grand Lyon

Schéma général d assainissement du Grand Lyon Schéma général d assainissement du Grand Lyon 2015-2027 ORIENTATIONS ET ENJEUX Introduction générale Le Code général des collectivités territoriales oblige les collectivités de plus de 2 000 habitants

Plus en détail

Votre installation septique l essentiel à savoir!

Votre installation septique l essentiel à savoir! Votre installation septique l essentiel à savoir! Saviez-vous que... les eaux usées des résidences non raccordées à un réseau d égout doivent être évacuées et traitées par une instal lation septique aussi

Plus en détail

Les techniques alternatives dans la gestion des eaux pluviales. Jean Yves VIAU Directeur Opérationnel

Les techniques alternatives dans la gestion des eaux pluviales. Jean Yves VIAU Directeur Opérationnel Les techniques alternatives dans la gestion des eaux pluviales Jean Yves VIAU Directeur Opérationnel Plan de présentation Présentation Saint Dizier environnement Les techniques alternatives La maîtrise

Plus en détail

«La solution» DESCRIPTION TECHNIQUE

«La solution» DESCRIPTION TECHNIQUE «La solution» DESCRIPTION TECHNIQUE P2-f & P4-f - 185/180 - Standard P2-f & P4-f - 170/165 - Compact P2-f & P4-f - 200/195 - Confort MODELE H DH P2f-4f - 185/180 - Standard 340 171 P2f-4f - 170/165 - Compact

Plus en détail

Séparateurs de graisses

Séparateurs de graisses TRAITEMENT EAUX USÉES Séparateurs de graisses Hôtels/restaurants Cantines/self-services Hôpitaux Boulangeries/pâtisseries Boucheries/charcuteries/abattoirs Poissonneries, etc POURQUOI AVOIR CHOISI? 35

Plus en détail

PLAN DE SITUATION C'est le plan qui localise votre terrain PCMI 1. SAINT DENIS - Bellepierre Parcelle AY 592. Ech : 1/ 2000 ème

PLAN DE SITUATION C'est le plan qui localise votre terrain PCMI 1. SAINT DENIS - Bellepierre Parcelle AY 592. Ech : 1/ 2000 ème PERMIS DE M. X. Plan de situation. Plan de masse 3. Coupe 4. Notice descriptive. Façades et plan de toiture. Insertion graphique 7. Photo dans le paysage proche 8. Photo dans le paysage lointain Mise à

Plus en détail

SV/PM/11325 (novembre 2013) Concevoir une aire de lavage : une réflexion au préalable indispensable

SV/PM/11325 (novembre 2013) Concevoir une aire de lavage : une réflexion au préalable indispensable SV/PM/11325 (novembre 2013) Concevoir une aire de lavage : une réflexion au préalable indispensable Le lavage des matériels agricoles génère des eaux usées plus ou moins polluantes. Déversées telles quelles

Plus en détail

Prévenir les dégâts d eau au sous-sol

Prévenir les dégâts d eau au sous-sol Prévenir les dégâts d eau au sous-sol Des milliers de réclamations enregistrées chaque année en assurance habitation. Des dommages parfois sérieux, d autres fois moins, mais toujours désolants et, la plupart

Plus en détail

VEILLE RÉGLEMENTAIRE Sécurité des personnes Fiche VRE.30

VEILLE RÉGLEMENTAIRE Sécurité des personnes Fiche VRE.30 VEILLE RÉGLEMENTAIRE Sécurité des personnes Fiche VRE.30 Incendie Code du Travail R4216-1 à R4216-7 ; R4216-11 à R4216-34 Code du Travail R4225-8 Code du Travail R4227-34 à R4227-36 Code du Travail R4227-1

Plus en détail

Documents d'aide à la maintenance et à la conception des installations intérieur de distribution d eau

Documents d'aide à la maintenance et à la conception des installations intérieur de distribution d eau Documents d'aide à la maintenance et à la conception des installations intérieur de distribution d eau Thierry POLATO Agence Régionale de Santé Pays de la Loire Délégation territoriale de Maine-et-Loire

Plus en détail

Municipalité de la Commune d'arzier - Le Muids. Préavis No 15/2013 Au Conseil communal

Municipalité de la Commune d'arzier - Le Muids. Préavis No 15/2013 Au Conseil communal Municipalité de la Commune d'arzier - Le Muids Préavis No 15/2013 Au Conseil communal Demande de crédit de CHF 371'500. concernant la mise en séparatif de la partie inférieure du chemin Prés-du-Marguiller

Plus en détail

MAIRIE DE REMIRE-MONTJOLY DEPARTEMENT DE LA GUYANE GROUPE SCOLAIRE MOULIN A VENT 97350 REMIRE-MONTJOLY CONSTRUCTION DE QUATRES CLASSES MATERNELLE

MAIRIE DE REMIRE-MONTJOLY DEPARTEMENT DE LA GUYANE GROUPE SCOLAIRE MOULIN A VENT 97350 REMIRE-MONTJOLY CONSTRUCTION DE QUATRES CLASSES MATERNELLE MAIRIE DE REMIRE-MONTJOLY DEPARTEMENT DE LA GUYANE GROUPE SCOLAIRE MOULIN A VENT 97350 REMIRE-MONTJOLY CONSTRUCTION DE QUATRES CLASSES MATERNELLE LOT N 8 : PLOMBERIE Cahier des Clauses Techniques Particulières

Plus en détail

F.I.C. n 2010/TDM01. Objet : Rubrique TDM - Tri des Déchets Ménagers. Evolution des exigences de la rubrique

F.I.C. n 2010/TDM01. Objet : Rubrique TDM - Tri des Déchets Ménagers. Evolution des exigences de la rubrique F.I.C. n 2010/TDM01 Fiche d interprétation et / ou complément au référentiel (Ancienne appellation «Jurisprudence technique») Objet : Rubrique TDM - Tri des Déchets Ménagers Evolution des exigences de

Plus en détail

accessibilité des maisons individuelles neuves

accessibilité des maisons individuelles neuves accessibilité des maisons individuelles neuves Conseil d Architecture, d urbanisme et de l environnement du Gard 2012 Depuis la loi de Février 2005, toutes les constructions neuves de type logement individuel

Plus en détail

Supplément au guide :

Supplément au guide : Supplément au guide : De très nombreuses aides peuvent financer une partie des frais liés à vos travaux de rénovation (prestations d études, diagnostics, prestations de maîtrise d œuvre fourniture et pose

Plus en détail

L enfouissement des déchets ultimes

L enfouissement des déchets ultimes L E C E N T R E D E N F O U I S S E M E N T T E C H N I Q U E L enfouissement des déchets ultimes L E C E N T R E D E N F O U I S S E M E N T T E C H N I Q U E LE CENTRE D ENFOUISSEMENT TECHNIQUE (C.E.T.)

Plus en détail

Comment aménager un stockage de fioul ou gas-oil

Comment aménager un stockage de fioul ou gas-oil Sept. 2004 EXPLOITATIONS AGRICOLES Comment aménager un stockage de fioul ou gas-oil? Guide pratique à destination des techniciens et des agriculteurs lorrains Que dit la réglementation : En fonction du

Plus en détail

Le chantier compte 4 étapes :

Le chantier compte 4 étapes : 02 Bien mettre en place le 03 béton désactivé La technique du béton désactivé consiste à mettre en valeur les granulats en éliminant la couche superficielle du mortier en surface. Un chantier de béton

Plus en détail

L évidence écologique Une station d assainissement où il fait bon se

L évidence écologique Une station d assainissement où il fait bon se PHYTOREM S.A. L évidence écologique Une station d assainissement où il fait bon se Le BAMBOU-ASSAINISSEMENT Le Procédé Sol EFFLUENTS EXPORTATION VERS LA TIGE Chaume ou tige Pollution organique et minérale

Plus en détail

Comment bien utiliser votre assurance «Dommages-Ouvrage»

Comment bien utiliser votre assurance «Dommages-Ouvrage» Comment bien utiliser votre assurance «Dommages-Ouvrage» Ce document est édité par l Agence Qualité Construction, association dont la mission est d améliorer la qualité des constructions. Il a été rédigé

Plus en détail

RESUME NON TECHNIQUE DE L'ETUDE DES DANGERS

RESUME NON TECHNIQUE DE L'ETUDE DES DANGERS a RESUME NON TECHNIQUE DE L'ETUDE DES DANGERS Synthèse de l'inventaire des accidents pour le secteur d'activité de la société MARIE DIDIER AUTOMOBILES Il ressort de l inventaire des accidents technologiques

Plus en détail

Thierry Gallauziaux David Fedullo. La plomberie

Thierry Gallauziaux David Fedullo. La plomberie Thierry Gallauziaux David Fedullo La plomberie Deuxième édition 2010 Sommaire Sommaire Les bases de la plomberie Les matières synthétiques...16 Les dangers du gaz et de l eau...16 La plomberie...9 L eau...10

Plus en détail