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1 les coûts de production des films en 2010 films d initiative française ayant reçu l agrément de production en 2010 mars 2011

2 Centre National du cinéma et de l image animée Direction des études, des statistiques et de la prospective 12, rue de Lübeck Paris cedex 16 Tél : Fax : Clément Malherbe, Jessica Veyret, Caroline Jeanneau 2 Les coûts de production des films en 2010

3 Sommaire Synthèse...5 Méthodologie et structure de l échantillon...9 A. Méthodologie...9 B. Structure de l échantillon...9 a. Les films retenus... 9 b. Les films retenus selon leur coût total c. Les caractéristiques techniques des films retenus I. Structure des coûts de production des films de fiction...15 A. Structure des coûts de production selon le coût total...17 a. Films dont le coût total est inférieur à 1 M b. Films dont le coût total est compris entre 1 M et 2,5 M c. Films dont le coût total est compris entre 2,5 M et 4 M d. Films dont le coût total est compris entre 4 M et 7 M e. Films dont le coût total est compris entre 7 M et 15 M f. Films dont le coût total est supérieur à 15 M B. Détail des postes de production...25 a. Les dépenses de rémunération b. Les coûts techniques c. Les coûts de tournage...34 C. Localisation des dépenses des films de fiction...38 a. Films dont le coût total est inférieur à 1 M b. Films dont le coût total est compris entre 1 M et 2,5 M c. Films dont le coût total est compris entre 2,5 M et 4 M d. Films dont le coût total est compris entre 4 M et 7 M e. Films dont le coût total est compris entre 7 M et 15 M f. Films dont le coût total est supérieur à 15 M g. Eclairage sur la localisation des dépenses techniques h. Eclairage sur la localisation des dépenses de décors et de costumes i. Eclairage sur la localisation des dépenses d assurances et divers Les coûts de production des films en

4 II. Crédit d impôt des films de fiction...52 A. Méthodologie...53 B. Présentation de l échantillon...54 C. Structure des coûts de production des films...55 a. Structure des coûts de production b. Localisation des dépenses D. Analyse du crédit d impôt...61 III. Coûts de production des documentaires et des films d animation...64 A. Films documentaires...64 a. Structure de coût des films documentaires b. Localisation des dépenses des films documentaires c. Impact du crédit d impôt sur les films documentaires B. Films d animation...69 a. Structure de coûts des films d animation b. Les dépenses de production des films d animation sur la période c. Localisation des dépenses des films d animation d. Impact du crédit d impôt sur les films d animation ANNEXES...74 ANNEXE 1 Répartition des dépenses des films de fiction selon le coût de production...75 ANNEXE 2 Détail des dépenses de droits artistiques en ANNEXE 3 Détail des dépenses de personnel en ANNEXE 4 Détail des dépenses d interprétation en ANNEXE 5 Liste des films ayant reçu l agrément de production en Liste des 160 films de fiction agréés en Liste des 25 films documentaires agréés en Liste des 4 films d animation agréés en ANNEXE 6 Descriptif du crédit d impôt cinéma en vigueur dans sa nouvelle forme depuis le 1 er janvier Les coûts de production des films en 2010

5 Synthèse Pour la huitième année consécutive, le CNC a réalisé une étude sur la structure des coûts de production des films d initiative française ayant reçu un agrément de production. Cette étude est réalisée à partir des coûts définitifs des films, c est-à-dire une fois le tournage du film achevé. L analyse donne un éclairage sur la répartition des dépenses de fabrication d un film en fonction de son coût total et sur la localisation des dépenses en France et à l étranger. En 2010, 189 films d initiative française (tous genres confondus) ont reçu un agrément de production (175 films en 2009), pour un volume de dépenses de 1 092,00 M (873,83 M en 2009). Cinq films présentent un coût de production supérieur à 30 M en 2010 (aucun en 2009). Il convient de rappeler que le périmètre de cette étude est différent de celui du bilan annuel de la production cinématographique qui s attache à l année d agrément des investissements et non à celle de l agrément de production. Or, il se passe en moyenne 18 mois entre les deux agréments. Ainsi, seuls 1,1 % des 189 films analysés dans cette étude sur les coûts de production ont reçu leur agrément des investissements en Certaines analyses peuvent ainsi présenter des divergences entre les deux études. Progression des coûts de production pour la fiction Le coût moyen d un film de fiction agréé en 2010 s établit à 5,88 M, soit une progression de 2,6 % par rapport à Cette augmentation est liée à la présence de trois films à plus de 30 M (Mr. Nobody, les Aventures extraordinaires d Adèle Blanc-Sec, the Ghost Writer). En 2010, 160 films d initiative française de fiction ont reçu un agrément de production, soit un nombre en progression par rapport à 2009 (140 films). La part des films dont le budget est inférieur à 1 M passe de 7,1 % en 2009 à 10,0 % en Les postes relatifs aux rémunérations représentent plus de la moitié du coût moyen d un film de fiction (56,1 % en 2010, 56,3 % en 2009). La part des dépenses de tournage est stable à 30,4 % des coûts de production des films de fiction en 2010, de même que celle des dépenses techniques (13,5 % en 2010, 13,3 % en 2009). Répartition des coûts de production des fictions d initiative française (%) droits artistiques 7,5 7,6 8,2 9,5 7,6 7,1 8,1 8,9 personnel 19,1 18,4 19,4 18,0 18,9 18,5 19,5 19,7 rémunérations rémunération producteur 4,8 4,2 4,8 5,6 4,8 4,2 5,0 4,9 interprétation 11,6 11,7 12,4 13,1 12,5 12,9 11,4 10,9 charges sociales 12,5 11,7 12,1 11,7 12,6 12,0 12,3 11,8 technique moyens techniques 9,9 10,9 9,0 9,0 8,7 9,8 8,6 9,0 pellicules, laboratoires 6,1 5,0 6,0 5,1 5,6 4,5 4,8 4,5 décors et costumes 8,0 9,0 7,2 7,5 8,1 8,8 8,3 9,1 tournage transports, défraiements, régie 9,7 9,6 9,2 9,0 9,3 9,7 9,3 9,4 assurances et divers 5,0 6,0 5,8 5,7 6,1 6,8 6,3 5,7 divers 1 5,8 5,9 5,9 5,9 5,8 5,7 6,4 6,2 total 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 1 Le poste «Divers» comprend les frais généraux et les imprévus. Base FIF (fictions) : 117 films (2003), 125 films (2004), 162 films (2005), 126 films (2006), 142 films (2007), 141 films (2008), 140 films (2009), 160 films (2010). Les coûts de production des films en

6 Le poids des «droits artistiques» varie selon le coût du film (entre 6,0 % et 11,3 % en 2010). En moyenne, 8,9 % des dépenses sont affectés aux droits artistiques (8,1 % en 2009). Pour la plupart des films de fiction, le «personnel» est le premier poste de dépenses. Son poids présente une relative stabilité quel que soit le coût du film (entre 16,6 % et 19,3 % selon les tranches de coût en 2010). En fonction des tranches de budget, la part des dépenses de rémunération du producteur varie entre 4,5 % et 5,8 % du coût total d un film en En moyenne, elle est stable à 4,9 % (5,0 % en 2009). D année en année, le poids du poste interprétation se réduit et atteint en moyenne 10,9 % en 2010 (11,4 % en 2009), soit le plus bas niveau de la période étudiée ( ). La part des dépenses d interprétation croît à mesure que le coût du film augmente (5,9 % pour les films à moins de 1 M, 12,2 % pour les films à plus de 15 M en 2010). En 2010, les dépenses de production liées aux versements de charges sociales progressent et couvrent 11,8 % des coûts totaux de la fiction (12,3 % en 2009). La part des coûts techniques («pellicules, laboratoires» et «moyens techniques») apparaît inversement corrélée au coût du film. En effet, cette catégorie représente 27,3 % des dépenses totales pour les films à moins de 1 M en 2010 et 11,8 % pour les films à plus de 15 M. La part du poste «décors et costumes» augmente proportionnellement au coût du film. En 2010, elle se situe entre 2,7 % pour les films à moins de 1 M et 11,4 % pour les films à plus de 15 M. En moyenne, le poste capte 9,1 % des dépenses (8,3 % en 2009). En 2010, les dépenses de transports, défraiements et régie affichent une progression en valeur et représentent 9,4 % des coûts totaux (9,3 % en 2009). Enfin, la part des frais d assurances et divers s élève à 5,7 % du coût total d un film de fiction en 2010, soit une part en recul par rapport à 2009 (6,3 %). Dépenses de production selon le coût total des films en 2010 (M ) <1 M 1-2,5 M 2,5-4 M 4-7 M 7-15 M >15 M ensemble rémunérations (1) 4,93 37,05 50,83 88,64 182,36 164,17 527,98 droits artistiques 1,12 4,46 7,58 14,61 26,61 29,27 83,65 personnel 1,65 14,22 18,08 29,96 64,63 56,40 184,94 rémunération producteur 0,48 4,30 4,95 8,19 14,23 13,53 45,68 interprétation 0,58 4,81 7,85 16,19 37,41 35,69 102,52 charges sociales 1,10 9,27 12,37 19,69 39,48 29,27 111,19 technique (2) 2,71 13,98 13,89 21,05 40,62 34,67 126,94 moyens techniques 1,23 7,75 7,45 12,64 27,40 27,74 84,21 pellicules, laboratoires 1,48 6,24 6,44 8,42 13,22 6,93 42,73 tournage (3) 2,28 23,65 25,63 45,16 95,09 93,99 285,80 décors et costumes 0,27 4,58 5,77 11,39 30,20 33,30 85,52 transports, défraiements, régie 0,91 9,98 9,55 13,19 29,17 25,45 88,25 assurances et divers 0,44 4,16 4,72 10,50 17,23 16,73 53,78 divers 1 0,66 4,92 5,59 10,08 18,49 18,51 58,24 total (1) + (2) + (3) 9,92 74,68 90,35 154,85 318,08 292,83 940,71 Base FIF (fictions) : 160 films (2010) 1 Le poste «Divers» comprend les frais généraux et les imprévus. 6 Les coûts de production des films en 2010

7 Augmentation des dépenses à l étranger Avec un total de 196,3 M en 2010, les dépenses à l étranger enregistrent une progression significative par rapport à 2009 (+46,4 %), en raison notamment de la croissance du nombre de films. La proportion de films ayant recours à de telles dépenses se maintient à un niveau élevé (61,9 %, contre 63,4 % en 2009). Ces dernières années, les dépenses extranationales représentent une part croissante des coûts totaux de production des films (18,0 % en 2010, 15,3 % en 2009 et 14,7 % en 2008). La progression des dépenses à l étranger profite essentiellement à la fiction et au documentaire, qui concentrent respectivement 87,6 % et 10,5 % des dépenses totales réalisées hors de France (respectivement 86,5 % et 1,8 % en 2009). En raison de l absence de coproductions internationales à plus de 30 M, l animation voit ses dépenses étrangères reculer de 76,3 % à 3,7 M en Pour les seuls films de fiction, le poids des dépenses à l étranger atteint 18,3 % des coûts totaux de production, soit une progression de 3,8 points par rapport à 2009 (14,5 %). En excluant les cinq titres de fiction réalisant le plus de dépenses extranationales en 2010, le montant des dépenses à l étranger des films de fiction atteint 101,5 M, soit 10,8 % des coûts totaux de la fiction (9,7 % en 2009). Progression des dépenses pour les films documentaires, dopées par le film Océans 25 documentaires d initiative française ont reçu un agrément de production en 2010 (30 en 2009). Le coût total de production de ces films s élève à 87,36 M, soit un niveau près de quatre fois supérieur à celui de 2009 (23,40 M ). Cette augmentation est liée à la présence du film Océans, qui capte à lui seul 65,4 % des coûts de production du genre. En conséquence, le coût moyen des documentaires agréés progresse très fortement à 3,49 M (0,78 M en 2009). En 2010, les postes liés aux rémunérations captent toujours près de la moitié des dépenses (49,7 %, contre 46,5 % en 2009). Les frais de tournage constituent la deuxième catégorie de coûts avec 26,4 % des dépenses totales du genre (25,3 % en 2009). Les coûts techniques représentent 23,9 % du budget de production des documentaires en 2010, contre 28,2 % en documentaires enregistrent des dépenses à l étranger en 2010 (18 en 2009). Les dépenses extranationales représentent 23,6 % des coûts totaux du genre, soit une progression importante par rapport à 2009 (10,1 %). En excluant les titres Océans et Home, les dépenses réalisées hors de France pour les documentaires s élèvent à 2,88 M, soit un montant relativement proche de celui de Effet relocalisant du crédit d impôt cinéma pour les films de fiction Pour la cinquième année consécutive, une partie des films bénéficiant du crédit d impôt fait l objet d une analyse spécifique. A partir d un échantillon de films de fiction légèrement différent de celui du reste de l étude (cf. méthodologie page 53), la structure de coût des films bénéficiant du crédit d impôt et de ceux qui n en bénéficient pas est analysée. Elle confirme l effet localisant du crédit d impôt. En effet, les films bénéficiant du crédit d impôt réalisent 5,0 % de leurs dépenses à l étranger en 2010, contre 43,1 % pour les films sans crédit d impôt (respectivement 4,5 % et 42,7 % en 2009). Ceci se confirme dans l analyse des dépenses par poste des films avec crédit d impôt : plus de 90 % des dépenses sur les postes les plus couramment délocalisés sont réalisés en France. 28,7 % des dépenses extranationales des films bénéficiant du crédit d impôt sont captées par le poste «transports, défraiements et régie». Viennent ensuite les décors et costumes (19,2 %), le personnel (17,3 %) et l interprétation (10,2 %). Ce sont les films à coût compris entre 1 M et 15 M qui Les coûts de production des films en

8 bénéficient le plus souvent du crédit d impôt (89,0 % des films avec crédit d impôt en 2010, 91,9 % en 2009) et très peu les films à petit budget (moins de 1 M ) et à coût élevé (plus de 15 M ). Entre 2005 et 2010, le montant total du crédit d impôt s élève, pour les films considérés, à 207,24 M, dont 40,38 M pour l année Chaque film de fiction bénéficie en moyenne de de crédit d impôt en 2010 ( en 2009). Le crédit d impôt représente en moyenne 7,8 % du coût total des films de fiction en 2010, contre 8,5 % en Progression de la Haute Définition L analyse des formats de tournage (hors films d'animation), montre que la Haute Définition a été utilisée, partiellement ou totalement, pour le tournage de 48 films en 2010, soit 25,4 % du total (37 films et 21,1 % en 2009). La Haute Définition concerne tous les types de budget de production : des films à moins de 1 M comme Amélie au pays des Bodin's (0,51 M ) jusqu à des budgets plus élevé comme celui de l'armée du crime (8,49 M ). 17 films ont associé ce format de tournage au 35 mm en 2010 (13 films en 2009). 7 films ont été tournés en DV (12 films en 2009) dont 3 uniquement dans ce format (5 films en 2009). Il s agit de films à faible budget (moins de 1 M ), principalement des documentaires. Le support 35 mm demeure le format de tournage exclusif pour 58,7 % des films d initiative française de 2010 (57,1 % en 2009). La proportion de films tournés en 16 mm recule d'année en année (9,4 % des films d'initiative française en 2008, 5,7 % en 2009 et 3,2 % en 2010). 8 Les coûts de production des films en 2010

9 Méthodologie et structure de l échantillon A. Méthodologie Le CNC a réalisé une étude sur la structure des coûts de production de l ensemble des films d initiative française ayant reçu un agrément de production sur la période L analyse, construite à partir des données de l agrément de production, appréhende les coûts définitifs de production des films. Les devis prévisionnels, communiqués au CNC dans les dossiers d agrément des investissements, avant tournage, peuvent en effet subir des évolutions non négligeables. Il convient de rappeler que l agrément de production est délivré soit lorsque l entreprise de production a reçu des sommes au titre de l agrément des investissements pour le tournage du film (il permet ainsi de rendre cet octroi définitif), soit directement au titre de la production d œuvres cinématographiques achevées, lorsque l agrément des investissements n est pas requis. Les fiches de coûts utilisées pour cette analyse sont renseignées de manière déclarative par les entreprises de production et envoyées au service du soutien à la production et à la distribution du CNC. Ces données sont, par conséquent, à considérer avec les précautions d usage. Les résultats de l étude livrent un éclairage sur la répartition des coûts de production des films d initiative française et sur la localisation des dépenses en France ou à l étranger. Pour la cinquième année, cette étude présente une analyse spécifique des films bénéficiant du crédit d impôt. Les films documentaires ainsi que les longs métrages d animation font l objet d une analyse distincte en raison d une structure spécifique de production de chaque genre. B. Structure de l échantillon L étude porte sur films d initiative française répartis sur huit années d agrément de production. Chaque année, plusieurs films ne peuvent être inclus dans l analyse, faute de détails suffisants sur leurs coûts. C est le cas de deux titres en 2003 (Demonlover et Skydance), un en 2005 (Va, vis et deviens), trois en 2006 (Bab Aziz, le prince qui contemplait son âme, le Domaine perdu et Quelques jours en septembre) et deux en 2007 (Barakat et Franklin et le trésor du lac). Aucun film n a été exclu en 2008, 2009 et a. Les films retenus En 2010, 189 films d initiative française ont obtenu un agrément de production. 14 films (7,4 %) ont obtenu directement un agrément de production, parmi lesquels 5 fictions et 9 documentaires. Parmi les 175 films ayant reçu au préalable un agrément des investissements, 1,1 % l ont reçu en 2010, 45,7 % en 2009, 42,9 % en 2008 et 10,3 % entre 2005 et Les coûts de production des films en

10 Le périmètre de cette étude est différent de celui du bilan annuel de la production cinématographique, qui s attache à l année d agrément des investissements. Certaines analyses peuvent ainsi apparaître divergentes entre les deux études. Les films de l échantillon fiction documentaire animation total Base FIF (tous genres confondus) : 136 films (2003), 143 films (2004), 184 films (2005), 141 films (2006), 167 films (2007), 170 films (2008), 175 films (2009), 189 films (2010). En 2010, les films d initiative française cumulent 1 092,0 M de dépenses de production, ce qui représente une hausse de 25,0 % par rapport à Ces dépenses se répartissent sur 189 films (+2,9 %). Il s agit du plus haut niveau de dépenses atteint sur la période d analyse. La forte croissance des dépenses s explique par la présence de cinq films dont le coût est supérieur à 30 M, qui concentrent 18,2 % des dépenses totales enregistrées au titre de Coûts totaux des films (M ) fiction 517,74 739,95 773,80 671,78 646,06 838,52 801,93 940,71 documentaire 6,34 11,77 24,97 6,67 21,87 23,93 23,40 87,36 animation 35,74 12,68 20,20 29,42 76,09 39,13 48,50 63,93 total 559,82 764,39 818,98 707,88 744,02 901,58 873, ,00 Base FIF (tous genres confondus) : 136 films (2003), 143 films (2004), 184 films (2005), 141 films (2006), 167 films (2007), 170 films (2008), 175 films (2009), 189 films (2010). Un film agréé en 2010 coûte en moyenne 5,78 M. Ce montant progresse nettement par rapport à 2009 (+15,7 %), du fait de l existence des cinq films à plus de 30 M mentionnés ci-dessous. En excluant ces cinq films, le coût moyen aurait été de 4,85 M en 2010 (-2,8 % par rapport à 2009). Le coût moyen des documentaires est quasiment multiplié par cinq à 3,49 M en 2010, en raison de la présence d un film à très gros budget (Océans, 57,1 M ). Sans ce film, le coût moyen des documentaires atteint 1,21 M (+55,1 % par rapport à 2009). Le coût moyen des films d animation progresse également dans d importantes proportions (+64,8 %), progression en grande partie imputable au film de Luc Besson, Arthur et la vengeance de Maltazard (47,7 M ). 1 Océans (57,1 M ), Arthur et la vengeance de Maltazard (47,7 M ), Mr. Nobody (31,9 M ), les Aventures extraordinaires d Adèle Blanc-Sec (31,3 M ) et the Ghost Writer (30,8 M ). 10 Les coûts de production des films en 2010

11 Coûts moyens des films (M ) fiction 4,43 5,92 4,78 5,33 4,55 5,95 5,73 5,88 documentaire 0,45 0,78 1,25 0,56 1,04 1,00 0,78 3,49 animation 7,15 4,23 10,10 9,81 19,02 7,83 9,70 15,98 total 4,12 5,35 4,45 5,02 4,46 5,30 4,99 5,78 Base FIF (tous genres confondus) : 136 films (2003), 143 films (2004), 184 films (2005), 141 films (2006), 167 films (2007), 170 films (2008), 175 films (2009), 189 films (2010). Coûts médians des films (M ) fiction 0,00 3,45 3,64 3,29 2,67 3,55 3,83 3,42 documentaire 0,33 0,67 0,48 0,39 0,50 0,61 0,49 0,52 animation 5,93 3,80 10,1 4,47 8,72 6,90 11,19 6,13 total 2,76 2,93 3,32 3,10 2,51 3,14 3,17 3,11 Base FIF (tous genres confondus) : 136 films (2003), 143 films (2004), 184 films (2005), 141 films (2006), 167 films (2007), 170 films (2008), 175 films (2009), 189 films (2010). Près de la moitié (49,2 %) des films d initiative française ayant obtenu un agrément de production en 2010 sont coproduits par une ou plusieurs chaînes hertziennes en clair, contre 46,9 % en 2009 et 54,7 % en Nombre de films coproduits par une chaîne en clair TF France France M Arte total films ont été financés simultanément par deux chaînes en clair en 2003, 6 en 2004, 3 en 2005, 7 en 2006, 4 en 2007, 5 en 2008, 4 en 2009, 6 en b. Les films retenus selon leur coût total En 2010, la part des films dont le coût est inférieur à 1 M diminue (18,5 %, contre 20,0 % en 2009), ainsi que celle des films dont le coût est compris entre 7 M et 15 M (18,0 %, contre 21,1 % en 2009). La part des films dont le coût se situe entre 1 M et 2,5 M est stable (23,8 %, contre 24,0 % en 2009), de même que celle des films entre 2,5 M et 4 M (16,4 %, contre 16,0 % en 2009). La part des films appartenant à la tranche la plus élevée de coût, c'est-à-dire supérieure à 15 M, augmente (7,4 %, contre 5,1 % en 2009). Les coûts de production des films en

12 Nombre de films selon le coût de production moins de 1 M M à 2,5 M ,5 M à 4 M M à 7 M M à 15 M plus de 15 M total Base FIF (tous genres confondus) : 136 films (2003), 143 films (2004), 184 films (2005), 141 films (2006), 167 films (2007), 170 films (2008), 175 films (2009), 189 films (2010). Répartition des films selon le coût de production (%) moins de 1 M 22,8 21,0 19,6 19,9 21,6 16,5 20,0 18,5 1 M à 2,5 M 25,7 22,4 23,4 21,3 28,1 28,2 24,0 23,8 2,5 M à 4 M 11,0 15,4 16,8 19,9 16,2 14,1 16,0 16,4 4 M à 7 M 23,5 23,8 22,3 18,4 13,2 21,2 13,7 15,9 7 M à 15 M 14,0 8,4 13,6 14,2 16,8 13,5 21,1 18,0 plus de 15 M 2,9 9,1 4,3 6,4 4,2 6,5 5,1 7,4 total 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 Base FIF (tous genres confondus) : 136 films (2003), 143 films (2004), 184 films (2005), 141 films (2006), 167 films (2007), 170 films (2008), 175 films (2009), 189 films (2010). Deux grandes tendances se dégagent de l observation des coûts moyens des films entre 2009 et Entre 1 M et 7 M, les coûts moyens sont relativement stables, voire en légère baisse pour chacune des tranches. En revanche, la tranche de 7 M à 15 M enregistre une hausse de son coût moyen en 2010 (+4,7 %), après trois années consécutives de baisse. Par ailleurs, les films dont le coût est supérieur à 15 M enregistrent le coût moyen le plus élevé depuis 2003 (+25,8 % par rapport à 2009). Cette progression s explique par la présence de nombreux films présentant un budget supérieur à 30 M en Coûts moyens des films selon le coût de production (M ) moins de 1 M 0,52 0,57 0,53 0,51 0,50 0,48 0,52 0,51 1 M à 2,5 M 1,74 1,73 1,61 1,66 1,66 1,77 1,76 1,71 2,5 M à 4 M 3,22 3,12 3,30 3,14 3,20 3,25 3,37 3,17 4 M à 7 M 5,32 5,35 5,09 5,26 5,46 5,61 5,57 5,47 7 M à 15 M 10,10 10,01 9,98 10,14 9,98 9,86 9,47 9,91 plus de 15 M 18,11 24,72 21,27 24,04 23,12 26,95 22,58 28,41 total 4,12 5,35 4,45 5,02 4,46 5,30 4,99 5,78 Base FIF (tous genres confondus) : 136 films (2003), 143 films (2004), 184 films (2005), 141 films (2006), 167 films (2007), 170 films (2008), 175 films (2009), 189 films (2010). 12 Les coûts de production des films en 2010

13 Coûts médians des films selon le coût de production (M ) moins de 1 M 0,51 0,58 0,47 0,49 0,47 0,47 0,47 0,51 1 M à 2,5 M 1,79 1,7 1,54 1,67 1,69 1,77 1,80 1,72 2,5 M à 4 M 3,29 3,04 3,49 3,16 3,25 3,33 3,60 3,12 4 M à 7 M 5,29 5,29 5,01 5,26 5,79 5,69 5,69 5,48 7 M à 15 M 9,59 9,61 10,04 9,44 9,95 9,08 8,92 9,43 plus de 15 M 17,16 22,55 21,37 21,57 18,67 17,12 23,30 26,01 total 2,8 2,93 3,32 3,06 2,51 3,14 3,17 3,11 Base FIF (tous genres confondus) : 136 films (2003), 143 films (2004), 184 films (2005), 141 films (2006), 167 films (2007), 170 films (2008), 175 films (2009), 189 films (2010). Coûts minimums des films moins de 1 M 0,06 0,09 0,11 0,13 0,17 0,03 0,20 0,09 1 M à 2,5 M 1,01 1,00 1,00 1,02 1,00 1,02 1,00 1,07 2,5 M à 4 M 2,71 2,53 2,51 2,53 2,51 2,61 2,53 2,50 4 M à 7 M 4,09 4,11 4,04 4,13 4,02 4,16 4,03 4,01 7 M à 15 M 7,06 7,23 7,23 7,08 7,14 7,07 7,16 7,01 plus de 15 M 15,95 15,03 16,82 15,01 15,38 15,16 15,03 16,54 total 0,06 0,09 0,11 0,13 0,17 0,03 0,20 0,09 Base FIF (tous genres confondus) : 136 films (2003), 143 films (2004), 184 films (2005), 141 films (2006), 167 films (2007), 170 films (2008), 175 films (2009), 189 films (2010). Coûts maximums des films moins de 1 M 1,00 1,00 0,98 0,98 0,99 0,90 0,99 0,96 1 M à 2,5 M 2,50 2,49 2,49 2,47 2,49 2,48 2,48 2,49 2,5 M à 4 M 3,89 4,00 3,98 3,89 3,97 3,97 3,97 3,97 4 M à 7 M 6,76 6,94 6,70 6,96 6,74 6,97 6,96 6,94 7 M à 15 M 14,47 14,51 14,20 14,99 14,68 13,72 14,54 14,69 plus de 15 M 22,18 57,86 26,12 42,97 54,58 74,98 28,84 57,13 total 22,18 57,86 26,12 42,97 54,58 74,98 28,84 57,13 Base FIF (tous genres confondus) : 136 films (2003), 143 films (2004), 184 films (2005), 141 films (2006), 167 films (2007), 170 films (2008), 175 films (2009), 189 films (2010). c. Les caractéristiques techniques des films retenus Pour la première année, le CNC a souhaité mesurer l impact de la technologie numérique sur la production des films. Ces données proviennent d un questionnaire envoyé par le CNC aux producteurs de cinéma entre 2006 et Parmi les 189 films d initiative française ayant reçu un agrément de production en 2010, les informations ont été collectées pour 136 films dont 114 films de fiction, 20 documentaires et 2 films d animation. En 2010, 72,1 % des films disposant d un master numérique étaient disponibles au format HD Cam SR (60,0 % en 2009, 60,0 % en 2008 et 46,2 % en 2007). La proportion de films avec un master numérique en 2K ou en 4K est en hausse sur les quatre années étudiées (26,5 % en 2010, 10,4 % en 2009, 5,7 % en 2008, 7,7 % en 2007). A l inverse, la part des films disposant d un master numérique en Digital Béta apparaît en recul (19,1 % en 2010, Les coûts de production des films en

14 20,0 % en 2009, 28,6 % en 2008, 57,7 % en 2007). Pour de nombreux films, il est courant de voir coexister les formats Digital Béta et HD Cam SR. Au niveau du son, la grande majorité des masters numériques sont réalisés en 5.1 (82,4 % des films en 2010, 67,2 % en 2009, 65,7 % en 2008, 69,2 % en 2007). Bien qu il demeure à un niveau élevé, l usage du son stéréo connaît une baisse régulière sur ces quatre dernières années (41,2 % des films en 2010, 43,2 % en 2009, 41,9 % en 2008, 50,0 % en 2007). Un certain nombre de films (28,7 % en 2010) possèdent toutefois deux versions sonores, stéréo et 5.1. Pour la plupart des films, les masters numériques sont destinés à couvrir tous les modes de diffusion existants, que ce soit la projection numérique en salles, la TVHD, la TNT, le DVD ou encore la VàD. En 2010, 63,2 % des films disposant d un master numérique sont prévus pour une diffusion en haute définition à la télévision (54,4 % en 2009, 55,2 % en 2008, 53,8 % en 2007). Le master en vue d une diffusion pour la télévision numérique concerne 56,6 % des films (57,6 % en 2009, 53,3 % en 2008, 73,1 % en 2007). Le DVD, première raison de l existence d un master numérique il y a quelques années, n est plus l unique support de diffusion numérique prévu. Il concerne 50,7 % des films disposant d un master numérique en 2010, contre 53,6 % en 2009, 53,3 % en 2008 et 73,1 % en La salle de cinéma est de plus en plus considérée comme un lieu de projection numérique pour les films français. 48,5 % des films disposant d un master numérique sont destinés à une exploitation numérique en salles en 2010, contre 22,4 % en 2009, 23,8 % en 2008 et 15,4 % en En 2010, les producteurs de 43 films (tous genres confondus) ont estimé que la réalisation d étapes de production en numérique pour ces films représentaient un surcoût total de 2,60 M, soit un surcoût moyen de par film (39 films en 2009 pour un surcoût total de 3,09 M soit un surcoût moyen de par film). En 2010, 43,2 % de ce surcoût est généré par l étalonnage, devant le scan et télécinéma (33,3 %) et dans, une moindre mesure, la masterisation (14,4 %) et la conformation (9,1 %). 14 Les coûts de production des films en 2010

15 I. Structure des coûts de production des films de fiction En 2010, 160 films d initiative française de fiction ont reçu un agrément de production, soit un nombre en progression par rapport à 2009 (140 films). La répartition de ces films selon leur coût évolue légèrement. La part des films dont le budget est inférieur à 1 M passe de 7,1 % en 2009 à 10,0 % en Répartition des films de fiction selon le coût de production moins de 1 M M à 2,5 M ,5 M à 4 M M à 7 M M à 15 M plus de 15 M total Base FIF (fiction) : 117 films (2003), 125 films (2004), 162 films (2005), 126 films (2006), 142 films (2007), 141 films (2008), 140 films (2009), 160 films (2010). La structure des coûts de production des films de fiction est relativement stable sur les huit années étudiées, avec une légère baisse des dépenses techniques (-2,5 points entre 2003 et 2010), au profit des dépenses de tournage (+1,8 point) 2. Les postes relatifs aux rémunérations 3 représentent à eux seuls plus de la moitié du coût moyen d un film (56,1 % en 2010, 56,3 % en 2009). Au sein de cet ensemble, les principaux coûts de fabrication restent : le personnel (19,7 % en 2010, 19,5 % en 2009), les charges sociales (11,8 % en 2010, 12,3 % en 2009) et l interprétation (10,9 % en 2010, 11,4 % en 2009). Par rapport à 2009, la part des dépenses de tournage est stable à 30,4 % des coûts de production des films de fiction, ainsi que celle des dépenses techniques (13,5 % en 2010, 13,3 % en 2009). Principaux postes de coûts des films de fiction (%) 100% 90% 80% 70% 60% 50% 40% 30% 20% 10% 0% 28,6 30,5 28,1 28,0 29,3 31,0 30,4 30,4 16,0 15,9 15,0 14,1 14,3 14,3 13,3 13,5 55,5 53,6 56,9 57,9 56,4 54,7 56,3 56,1 rémunérations technique tournage 2 Pour la composition détaillée de ces postes, se reporter à la troisième partie : Détail des postes de production, page Hors participations. Les coûts de production des films en

16 Répartition des coûts de production des films de fiction (%) droits artistiques 7,5 7,6 8,2 9,5 7,6 7,1 8,1 8,9 personnel 19,1 18,4 19,4 18,0 18,9 18,5 19,5 19,7 rémunérations rémunération producteur 4,8 4,2 4,8 5,6 4,8 4,2 5,0 4,9 interprétation 11,6 11,7 12,4 13,1 12,5 12,9 11,4 10,9 charges sociales 12,5 11,7 12,1 11,7 12,6 12,0 12,3 11,8 technique moyens techniques 9,9 10,9 9,0 9,0 8,7 9,8 8,6 9,0 pellicules, laboratoires 6,1 5,0 6,0 5,1 5,6 4,5 4,8 4,5 décors et costumes 8,0 9,0 7,2 7,5 8,1 8,8 8,3 9,1 tournage transports, défraiements, régie 9,7 9,6 9,2 9,0 9,3 9,7 9,3 9,4 assurances et divers 5,0 6,0 5,8 5,7 6,1 6,8 6,3 5,7 divers 1 5,8 5,9 5,9 5,9 5,8 5,7 6,4 6,2 total 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 1 Le poste «Divers» comprend les frais généraux et les imprévus. Base FIF (fictions) : 117 films (2003), 125 films (2004), 162 films (2005), 126 films (2006), 142 films (2007), 141 films (2008), 140 films (2009), 160 films (2010). Coût moyen de production des films de fiction (M ) droits artistiques 0,33 0,45 0,39 0,51 0,35 0,42 0,46 0,52 personnel 0,85 1,09 0,93 0,96 0,86 1,10 1,12 1,16 rémunérations rémunération producteur 0,21 0,25 0,23 0,30 0,22 0,25 0,29 0,29 interprétation 0,51 0,70 0,59 0,70 0,57 0,77 0,65 0,64 charges sociales 0,55 0,69 0,58 0,62 0,57 0,71 0,70 0,69 technique moyens techniques 0,44 0,64 0,43 0,48 0,40 0,58 0,49 0,53 pellicules, laboratoires 0,27 0,30 0,29 0,27 0,25 0,27 0,27 0,27 décors et costumes 0,35 0,53 0,35 0,40 0,37 0,52 0,48 0,53 tournage transports, défraiements, régie 0,43 0,57 0,44 0,48 0,42 0,58 0,53 0,55 assurances et divers 0,22 0,36 0,28 0,30 0,28 0,40 0,36 0,34 divers 1 0,26 0,35 0,28 0,31 0,26 0,34 0,37 0,36 total 4,43 5,92 4,78 5,33 4,55 5,95 5,73 5,88 1 Le poste «Divers» comprend les frais généraux et les imprévus. Base FIF (fictions) : 117 films (2003), 125 films (2004), 162 films (2005), 126 films (2006), 142 films (2007), 141 films (2008), 140 films (2009), 160 films (2010). Coûts totaux de production des films de fiction (M ) droits artistiques 38,63 56,00 63,56 63,76 49,00 59,39 64,91 83,65 personnel 98,92 136,03 150,04 120,70 122,02 155,08 156,20 184,94 rémunérations rémunération producteur 24,71 30,98 37,01 37,47 31,33 35,24 40,29 45,68 interprétation 60,23 86,92 96,22 88,14 80,77 108,39 91,68 102,52 charges sociales 64,78 86,70 93,70 78,61 81,13 100,42 98,31 111,19 technique moyens techniques 51,19 80,52 69,84 60,78 56,38 82,07 68,75 84,21 pellicules, laboratoires 31,42 37,10 46,35 34,01 36,20 37,86 38,17 42,73 décors et costumes 41,50 66,27 55,95 50,27 52,09 73,37 66,59 85,52 tournage transports, défraiements, régie 50,20 71,01 70,84 60,44 60,27 81,65 74,83 88,25 assurances et divers 26,14 44,61 44,69 38,10 39,30 57,02 50,92 53,78 divers 1 30,01 43,80 45,60 39,49 37,58 48,03 51,27 58,24 total 517,74 739,95 773,80 671,77 646,06 838,52 801,93 940,71 1 Le poste «Divers» comprend les frais généraux et les imprévus. Base FIF (fictions) : 117 films (2003), 125 films (2004), 162 films (2005), 126 films (2006), 142 films (2007), 141 films (2008), 140 films (2009), 160 films (2010). 16 Les coûts de production des films en 2010

17 A. Structure des coûts de production selon le coût total Les valeurs des différents postes de dépense sont disponibles en annexe 1, page 75. Pour la plupart des films de fiction, le «personnel» est le premier poste de coût. Son poids présente une relative stabilité quel que soit le coût du film (entre 16,6 % et 19,3 % selon les tranches de coût en 2010). De la même manière, les charges sociales représentent une part qui dépend peu des budgets totaux des films. Selon les tranches, ces dépenses concentrent 10,0 % à 11,1 % du coût en Selon les tranches de budget, la part des dépenses de rémunération du producteur varie entre 4,5 % et 5,8 % du coût total d un film en En moyenne, elle est stable à 4,9 % (5,0 % en 2009). Ces dépenses ne correspondent pas nécessairement à la seule rémunération du producteur délégué. Elles peuvent couvrir des frais de structure engagés dans la production du film et la rémunération du producteur exécutif. D année en année, le poids du poste interprétation se réduit et atteint en moyenne 10,9 % en 2010 (11,4 % en 2009), soit le niveau le plus bas de la période étudiée ( ). La part des dépenses d interprétation croît à mesure que le coût du film augmente (5,9 % pour les films à moins de 1 M, contre 12,2 % pour les films à plus de 15 M en 2010). Les budgets les plus élevés concernant un grand nombre de comédies, la part de l interprétation peut dépasser 15 % dans certains cas. En 2010, cela se vérifie pour 3 des 12 films dont le coût total est supérieur à 15 M. La part du poste «décors et costumes» augmente proportionnellement au coût du film. En 2010, elle se situe entre 2,7 % pour les films à moins de 1 M et 11,4 % pour les films à plus de 15 M. En moyenne, le poste capte 9,1 % des dépenses (8,3 % en 2009). En 2010, 25 films dépensent plus de 1 M en décors et costumes (13 en 2009). Certains des plus gros budgets investissent plus de 3 M sur ce poste. Le poids du poste «droits artistiques» varie selon le coût du film (entre 6,0 % et 11,3 % en 2010). En moyenne, 8,9 % des dépenses sont affectées aux droits artistiques (8,1 % en 2009). Comme en 2008, ce sont les films à moins de 1 M qui affichent la part la plus importante avec 11,3 % (6,7 % en 2009), devant les films à plus de 15 M (10,0 %, contre 8,6 % en 2009). La part des coûts techniques («pellicules, laboratoires» et «moyens techniques») apparaît inversement liée au coût du film. En effet, ces coûts représentent 27,3 % des dépenses totales pour les films à moins de 1 M en 2010, contre 11,8 % pour les films à plus de 15 M. Une partie des frais techniques constitue en effet des coûts fixes qui impactent davantage les films à budget réduit (absence d économie d échelle). Les coûts de production des films en

18 Dépenses de production selon le coût total des films en 2010 (M ) <1 M 1-2,5 M 2,5-4 M 4-7 M 7-15 M >15 M ensemble rémunérations (1) 4,93 37,05 50,83 88,64 182,36 164,17 527,98 droits artistiques 1,12 4,46 7,58 14,61 26,61 29,27 83,65 personnel 1,65 14,22 18,08 29,96 64,63 56,40 184,94 rémunération producteur 0,48 4,30 4,95 8,19 14,23 13,53 45,68 interprétation 0,58 4,81 7,85 16,19 37,41 35,69 102,52 charges sociales 1,10 9,27 12,37 19,69 39,48 29,27 111,19 technique (2) 2,71 13,98 13,89 21,05 40,62 34,67 126,94 moyens techniques 1,23 7,75 7,45 12,64 27,40 27,74 84,21 Pellicules, laboratoires 1,48 6,24 6,44 8,42 13,22 6,93 42,73 tournage (3) 2,28 23,65 25,63 45,16 95,09 93,99 285,80 décors et costumes 0,27 4,58 5,77 11,39 30,20 33,30 85,52 transports, défraiements, régie 0,91 9,98 9,55 13,19 29,17 25,45 88,25 assurances et divers 0,44 4,16 4,72 10,50 17,23 16,73 53,78 divers 1 0,66 4,92 5,59 10,08 18,49 18,51 58,24 total (1) + (2) + (3) 9,92 74,68 90,35 154,85 318,08 292,83 940,71 Base FIF (fictions) : 160 films (2010) 1 Le poste «Divers» comprend les frais généraux et les imprévus. Poids des catégories de dépenses de production selon le coût total des films en 2010 (%) <1 M 1-2,5 M 2,5-4 M 4-7 M 7-15 M >15 M ensemble rémunérations 49,7 49,6 56,3 57,2 57,3 56,1 56,1 technique 27,3 18,7 15,4 13,6 12,8 11,8 13,5 tournage 23,0 31,7 28,4 29,2 29,9 32,1 30,4 total 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 Base FIF (fictions) : 160 films (2010) 18 Les coûts de production des films en 2010

19 a. Films dont le coût total est inférieur à 1 M La répartition du coût des films à moins de 1 M diffère de celle des autres films avec un poids plus faible des dépenses de rémunération (49,7 % en 2010) et une part plus importante allouée aux dépenses techniques (27,3 %). Ces films doivent en effet absorber des coûts techniques incompressibles indispensables à leur réalisation. En 2010, la part de l interprétation renoue avec la croissance après une baisse régulière constatée depuis Elle atteint 5,9 % (4,4 % en 2009). Le poids des droits artistiques progresse, passant de 6,7 % en 2009 à 11,3 % en Il retrouve un niveau proche de celui de 2008 (12,6 %). Le poids des dépenses de pellicules et laboratoires augmente de nouveau en 2010 pour atteindre 14,9 % (13,0 % en 2009). Poids des dépenses pour les films dont le coût total est inférieur à 1 M (%) divers assurances et divers 4,8 4,4 3,6 2,9 6,6 6,8 transports, défraiements, régie décors et costumes pellicules, laboratoires moyens techniques charges sociales 2,7 2,2 6,9 9,2 11,2 9,9 13,0 12,4 12,1 11,1 12,6 10,6 14,9 16,4 15,9 interprétation rémunération producteur personnel 4,4 4,9 4,8 4,9 4,7 5,9 15,3 16,6 18,0 droits artistiques 6,7 11,3 12, Les coûts de production des films en

20 b. Films dont le coût total est compris entre 1 M et 2,5 M Les films dont le coût est compris entre 1 M et 2,5 M affichent une certaine constance de leur structure de coût. La part des dépenses consacrée au personnel est stable à 19,0 % (19,1 % en 2009). Pour la deuxième année consécutive, la part des dépenses de transports, défraiements et régie progresse (13,4 % en 2010, contre 11,2 % en 2009). En 2010, deux films (Loup et Tehilim), tournés respectivement en Sibérie et en Israël, consacrent plus d un quart de leurs dépenses totales au poste «transports, défraiements et régie». A noter que le poids des dépenses de droits artistiques est en retrait (6,0 % en 2010, 7,0 % en 2009), de même que celui des dépenses d interprétation (6,4 % en 2010, 7,5 % en 2009). Poids des dépenses pour les films dont le coût total est compris entre 1 M et 2,5 M (%) divers assurances et divers transports, défraiements, régie décors et costumes pellicules, laboratoires moyens techniques charges sociales interprétation rémunération producteur personnel droits artistiques 6,6 5,9 6,3 5,6 6,1 5 13,4 11,2 9,8 6,1 5,8 5,6 8,3 9,1 9,4 10,4 10,5 10,2 12,4 12,6 14,2 6,4 7,5 6,9 5,8 5,3 4,8 6,0 7,0 6,9 19,0 19,1 20, Les coûts de production des films en 2010

21 c. Films dont le coût total est compris entre 2,5 M et 4 M En 2010, la part allouée aux dépenses de personnel pour les films dont le coût est compris entre 2,5 M à 4 M représente 20,0 % du coût total de ces films (21,1 % en 2009). Parallèlement, les charges sociales pèsent 13,7 % des dépenses totales en 2010, contre 12,8 % en L interprétation demeure à son niveau de 2009 et concentre 8,7 % du coût d un film de la catégorie. Comme pour les films dont le coût est compris entre 1 M et 2,5 M, les dépenses de transports, défraiements et régie constituent le troisième poste de dépenses en 2010, avec 10,6 % (10,8 % en 2009). Le poids des droits artistiques dans l ensemble des dépenses présente une progression notable à 8,4 % en 2010 (6,5 % en 2009). Poids des dépenses pour les films dont le coût total est compris entre 2,5 M et 4 M (%) divers assurances et divers transports, défraiements, régie décors et costumes pellicules, laboratoires moyens techniques charges sociales interprétation rémunération producteur personnel droits artistiques 6,2 6,2 6,5 5,2 6,4 6,2 10,6 10,8 9,1 6,4 7,0 6,9 7,1 7,6 7,0 8,2 8,4 8,6 8,7 8,6 10,4 5,5 4,5 5,1 8,4 6,5 7,7 13,7 12,8 13,4 20,0 21,1 19, Les coûts de production des films en

22 d. Films dont le coût total est compris entre 4 M et 7 M La structure de dépenses des films dont le coût se situe entre 4 M et 7 M se caractérise par une part allouée à la technique en légère décroissance sur la période (15,7 % en 2003, 13,9 % en 2009, 13,6 % en 2010) et une augmentation de celle du poste «assurances et divers» (5,1 % en 2003, 6,6 % en 2009, 6,8 % en 2010). Par rapport à 2009, le poids de l interprétation apparaît en net recul (10,5 % en 2010, 12,5 % en 2009), tandis que la part des droits artistiques est en hausse à 9,4 % des dépenses totales (7,6 % en 2009). Poids des dépenses pour les films dont le coût total est compris entre 4 M et 7 M (%) divers assurances et divers transports, défraiements, régie décors et costumes pellicules, laboratoires moyens techniques charges sociales interprétation rémunération producteur personnel droits artistiques 6,5 5,7 6,3 6,8 6,6 6,2 8,5 9,5 8,2 7,4 7,7 7,5 5,4 5,0 5,3 8,2 8,9 8,6 12,7 11,6 13,4 10,5 12,5 12,5 5,3 4,6 4,6 9,4 7,6 8,5 19,3 20,2 18, Les coûts de production des films en 2010

23 e. Films dont le coût total est compris entre 7 M et 15 M Les films dont le coût est compris entre 7 M et 15 M comptent de nombreuses comédies (47,1 % en 2010, 59,5 % en 2009). La part des moyens techniques et celle des dépenses de transports, défraiements et régie y sont moins prononcées que pour les films appartenant à d autres tranches de coût. Au cours de la période d étude, il est difficile de dégager des tendances tant la tranche intègre des films aux coûts très différents. La structure est chaque année dépendante du nombre de films présentant des coûts proches de 7 M et de 15 M. En 2010, il convient de souligner une diminution de la part des dépenses d interprétation (11,8 %, contre 13,0 % en 2009 et 15,0 % en 2008), ainsi qu une progression du poids des dépenses de personnel (20,3 %, contre 18,9 % en 2009 et 18,5 % en 2008) et de décors et costumes (9,5 %, contre 7,5 % en 2009 et 8,3 % en 2008). Poids des dépenses pour les films dont le coût total est compris entre 7 M et 15 M (%) divers assurances et divers transports, défraiements, régie décors et costumes pellicules, laboratoires moyens techniques charges sociales interprétation rémunération producteur personnel droits artistiques 5,8 6,5 6,0 5,4 6,4 6,5 9,2 8,2 8,6 9,5 7,5 8,3 4,2 4,1 4,0 8,6 8,2 7,8 4,5 5,6 5,2 8,4 8,8 6,8 12,4 12,8 13,4 11,8 13,0 15,0 20,3 18,9 18, Les coûts de production des films en

24 f. Films dont le coût total est supérieur à 15 M L année 2010 apparaît atypique avec cinq films à plus de 30 M ayant reçu un agrément de production (aucun en 2009). Les films dont le coût est supérieur à 15 M regroupent le plus souvent des coproductions internationales dont une partie du tournage est réalisée à l étranger. La plupart de ces films sont produits pour une exploitation internationale, prévue dès le financement. Ceci a plusieurs conséquences sur la répartition des dépenses. Après avoir progressé entre 2006 et 2008, le poids des dépenses de transports, défraiements et régie et celui des assurances et divers se réduisent entre 2008 et Avec 12,2 % des dépenses en 2010 (11,2 % en 2009), le poste interprétation constitue le deuxième plus important sur les films à plus de 15 M, après le personnel (19,3 % en 2009 et 2010). Cette progression s explique notamment par les cachets élevés perçus par des acteurs étrangers sur certains films, à l instar de John Travolta dans From Paris with Love. Les décors et costumes représentent depuis plusieurs années une part importante des coûts des films à plus de 15 M. Des reconstitutions historiques (la Rafle) et des adaptations (les Aventures extraordinaires d Adèle Blanc-Sec, the Ghost Writer) y consacrent une part substantielle de leurs dépenses. Pour la deuxième année consécutive, la part des droits artistiques est orientée à la hausse (10,0 % en 2010, contre 8,6 % en 2009). Deux films y allouent plus de 20 % de leurs dépenses. Il s agit de Camping 2 et de the Ghost Writer. Poids des dépenses pour les films dont le coût total est supérieur à 15 M (%) divers assurances et divers transports, défraiements, régie décors et costumes pellicules, laboratoires moyens techniques charges sociales interprétation rémunération producteur personnel droits artistiques 2,4 2,6 2,3 2,9 6,3 6,8 4,9 5,7 6,3 8,0 8,7 9,7 11,7 11,4 11,3 11,2 9,5 8,2 11,9 10,0 11,4 9,2 12,2 11,2 4,6 4,6 10,0 8,6 6,2 14,1 17,5 19,3 19, Les coûts de production des films en 2010

25 B. Détail des postes de production L ensemble des postes de production se divise en trois catégories : - les rémunérations regroupant les droits artistiques, le personnel, l interprétation, les charges sociales et la rémunération du producteur ; - les coûts techniques constitués des moyens techniques et des dépenses de pellicules et de laboratoires ; - les coûts de tournage intégrant les décors et costumes, les transports, défraiements, frais de régie, les assurances et divers. Rémunérations en 2010 Tournage en 2010 charges sociales 21,1% droits artistiques 15,8% divers 20,4% décors et costumes 29,9% interprétation 19,4% Rémunération producteur 8,9% personnel 35,0% assurances et divers 18,8% transports, défraiement, régie 30,9% Technique en 2010 pellicules, laboratoires 33,7% moyens techniques 66,3% Les coûts de production des films en

26 a. Les dépenses de rémunération Les dépenses de rémunération incluent les droits artistiques, les frais de personnel, les rémunérations des producteurs, les dépenses d interprétation et les charges sociales. Les droits artistiques 4 En 2010, 80,2 % des dépenses relatives aux droits artistiques sont captées par quatre souspostes : le sujet (26,6 %), les droits du réalisateur (20,1 %), les droits musicaux (17,2 %) et les frais d adaptation et de dialogues (16,3 %). Répartition des dépenses de droits artistiques (%) sujet 21,7 26,9 26,6 23,1 25,5 32,8 21,6 26,6 adaptation et dialogues 14,0 13,6 17,2 15,0 14,4 11,1 16,4 16,3 droits d'auteur du réalisateur 21,1 18,5 19,0 29,3 22,0 17,6 19,2 20,1 droits musicaux 23,7 19,7 20,3 18,3 19,7 22,4 19,5 17,2 droits divers 9,5 7,9 7,6 5,0 8,9 7,7 10,1 8,7 traduction et dactylographie 1,4 1,3 1,2 0,8 1,1 1,0 1,1 1,1 frais sur manuscrits 2,3 3,2 1,7 2,6 2,8 1,2 4,6 2,5 frais préliminaires 0,9 2,2 0,7 0,4 0,1 0,6 0,4 1,6 agents littéraires et conseils 5,5 6,6 5,7 5,6 5,6 5,6 7,1 5,9 droits artistiques : total 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 part dans le coût total 7,5 7,6 8,2 9,5 7,6 7,1 8,1 8,9 Base FIF (fictions) : 117 films (2003), 125 films (2004), 162 films (2005), 126 films (2006), 142 films (2007), 141 films (2008), 140 films (2009), 160 films (2010). Eclairage sur les dépenses d écriture En 2010, les dépenses d écriture (sujet + adaptation et dialogues) concentrent 42,9 % des droits artistiques, soit 3,8 % du total des coûts de production. Parmi les dix films ayant le plus investis en écriture en 2010, figurent trois adaptations de bande-dessinée (le Petit Nicolas, Lucky Luke et les Aventures extraordinaires d Adèle Blanc-Sec) et deux adaptations de roman (the Ghost Writer et l Immortel). En excluant ces dix titres, les dépenses d écriture captent 2,2 % des coûts totaux. En 2009, les dépenses d écriture représentaient 38,0 % des droits artistiques et 3,1 % du total des coûts de production. Trois adaptations (une de bande-dessinée, une de roman et une de théâtre) figuraient parmi les dix films ayant le plus investi sur le poste écriture. En excluant ces dix titres, la part des dépenses d écriture s établissait à 2,4 % des coûts totaux. 4 Le détail des dépenses en droits artistiques par tranche de coût est présenté en annexe 2 page Les coûts de production des films en 2010

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