Se préparer à l interdiction définitive des traitements phytosanitaires chimiques
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- Jean-Claude St-Pierre
- il y a 6 ans
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1 Se préparer à l interdiction définitive des traitements phytosanitaires chimiques Une échéance pour les professionnels : 1 er janvier 2017 Au 1er janvier 2017* (renvoi aux textes de loi), les professionnels ont une obligation légale de supprimer l usage des produits phytosanitaires chimique pour l entretien des espaces verts, promenades et forêts et voiries fréquentés par le public (appartenant à l Etat, aux collectivités locales ou aux établissements publics). Comment atteindre les objectifs de suppression des pesticides à court terme? Quelles pratiques et innovations peuvent s y substituer? Il existe de nombreux leviers d actions pour réduire l utilisation des produits phytosanitaires. Ce jardin de démonstration propose de développer la question de la gestion de la flore spontanée et du désherbage au travers de 5 panneaux thématiques. Panneau 1 : Changer le regard sur la flore spontanée, mieux la connaître, communiquer Panneau 2 : Accompagner le changement : de la gestion différenciée au développement de nouvelles compétences en écologie Panneau 3 : Accompagner le changement : changer les pratiques dès la conception Panneau 4 : Les techniques alternatives de désherbage Panneau 5 : Au-delà du zéro-pesticide, se lancer dans la gestion écologique des espaces verts avec les outils d EcoJardin (macro-organismes, micro-organismes, médiateurs chimiques, substances naturelles), qui représente un autre levier d actions pour réduire l utilisation des produits phytosanitaires ne fait pas l objet de panneaux thématiques. Pour plus d informations sur les techniques de gestion sanitaire des végétaux en ville rendez-vous sur le site et Les panneaux ont été réalisés par Plante & Cité, centre technique national sur les espaces verts et le paysage. Il a notamment coédité avec VAL HOR l ouvrage «Les bienfaits du végétal en ville» et édité en 2015 la publication «Mieux intégrer la flore spontanée en ville pour une approche écologique du désherbage» Le centre technique est reconnu par les ministères du Développement Durable (MEDDE) et de l Agriculture (MAAF) dans le cadre du plan Ecophyto et par l interprofession de la filière de l horticulture ornementale et du paysage (VAL HOR). Plante & Cité est partenaire du pôle de compétitivité du végétal VEGEPOLYS. En savoir plus sur la réglementation et pour se préparer à l interdiction définitive des traitements phytosanitaires de synthèse : (Site développé par Plante & Cité pour le compte du Ministère de l Ecologie dans le cadre du plan Ecophyto) La lutte biologique contre les ravageurs et maladies des plantes à l aide de produits de biocontrôle LES TEXTES DE LOI Arrêté du 12 septembre 2006 relatif à la mise sur le marché et à l utilisation des produits visés à l article L du code rural Arrêté du 27 juin 2011 relatif à l interdiction d utilisation de certains produits mentionnés à l article L du code rural et de la pêche maritime dans des lieux fréquentés par le grand public ou des groupes de personnes vulnérables Règlement (CE) n 1107/2009 du parlement européen et du conseil du 21/10/2009 concernant la mise sur le marché des produits phytopharmaceutiques et abrogeant les directives 79/117/CEE et 91/414/CEE Loi n du 13 octobre 2014 d avenir pour l agriculture, l alimentation et la forêt Loi du 6 février 2014 dite «Loi Labbé» interdisant à partir du 1er janvier 2020 l utilisation de produits phytosanitaires chimiques pour l entretien des espaces verts, promenades et forêts appartenant à l État, aux collectivités locales ou aux établissements publics L échéance a été ramenée au 01/01/2017 par l article 68 de la «loi relative à la transition énergétique pour la croissance verte VILLAGE PRO (Hall de liaison) - STAND j 306
2 Changer le regard sur la flore spontanée, mieux la connaître, communiquer Une gestion écologique du désherbage implique de prendre en compte la présence de la flore spontanée dans les espaces publics urbains et de communiquer pour une meilleure acceptation. Pourquoi faut-il communiquer? Bien communiquer est essentiel pour faire accepter la flore spontanée en ville. Il s agit de lutter contre les idées reçues attribuées aux «mauvaises herbes» et promouvoir les perceptions valorisantes de la flore spontanée en ville, notamment en développant la connaissance de celle-ci. Cette présence expliquée et mise en valeur devient un bénéfice qui gomme le sentiment d un défaut d entretien. Comment communiquer? : Découvrez des initiatives inspirantes pour faire accepter la flore spontanée Les résultats du programme ACCEPTAFLORE coordonné par Plante & Cité permettent de comprendre la perception de la flore spontanée par le public pour sensibiliser les jardiniers et la population. La flore spontanée en ville, ici en pied d arbre (crédit Audrey Marco, ENSP Marseille) Des perceptions différentes sur les plantes spontanées La diminution et l abandon du désherbage chimique en ville favorisent le développement de la végétation spontanée. Alors que les pieds d arbres, les allées ou les trottoirs étaient traditionnellement «nettoyés» à l aide de produits phytosanitaires et de pesticides, les démarches sans pesticide laissent place à un nouveau paysage urbain. L éducation à l environnement, la sensibilisation, la connaissance du végétal en ville aident à donner du sens à la présence des plantes spontanées dans l espace urbain. La galerie Acceptaflore qui recense plus de 270 supports de communication utilisés par les acteurs de la ville est un vivier d idées pour des campagnes de communication, accessible sur Exemple de communication en faveur de la Nature en ville (Dossier La nature en ville / Couverture : F.Papin Vue d Ouest F. Bretagne - B.Auger - Direction de la communication Ville de Nantes)
3 Accompagner le changement : de la gestion différenciée au développement de nouvelles compétences en écologie L abandon du désherbage chimique pousse les collectivités et les entreprises à innover en termes de gestion et à développer de nouvelles compétences en écologie urbaine Dessin des cheminements en tonte différenciée au parc Sant Vicens de Perpignan labellisé EcoJardin en 2013 / Girod G., CIME La ville de demain se construit aujourd hui. Planifier, à court comme à long terme, permet d anticiper les contraintes et d optimiser la gestion des espaces. De la mise en oeuvre d une stratégie globale sur la biodiversité, d une gestion différenciée à la réalisation de plans de désherbage, chaque échelle dispose d outils appropriés pour définir la place de la flore spontanée dans les aménagements et le paysage urbain. Accompagner le changement passe aussi, et c est essentiel, par l acquisition de nouvelles compétences en écologie (ex : écopâturage) et par une meilleure connaissance de la flore spontanée en ville. À l échelle de la ville, les espèces présentes sont généralement répertoriées, mais à une échelle plus fine, celle de la rue, les listes d espèces n existent pas. Pourtant, ces données sont indispensables pour comprendre comment les «brèches urbaines» comme les pieds d arbres ou les espaces engazonnés, les structures urbaines et les modes de gestion influent sur la qualité de la biodiversité. Les programmes de sciences participatives permettent, grâce aux observations du public ou des professionnels des espaces verts, de récolter des informations sur la flore spontanée et sa gestion. Le programme Florilèges dédiés aux professionnels permet grâce à des protocoles très simple de recenser la flore présente dans les rues, dans les prairies et sur les toitures en ville. Grâce à l analyse de ces données il est possible d analyser les facteurs qui jouent sur sa dynamique et ainsi orienter et planifier la gestion. En savoir plus : Florilèges est un observatoire de la flore spontanée urbaine à destination des professionnels de la gestion des espaces de nature en ville Inventaire PROPAGE à Versailles / Postel J., ville de Versailles
4 Accompagner le changement : changer les pratiques dès la conception Partager le projet et communiquer pour sensibiliser (certains projets vont jusqu à prévoir des processus de co-construction impliquant fortement les habitants) Aménagement pour un désherbage aisé (surfaces rases...) Parc Beauregard à Rennes (conception : Agence HYL) / S. Larramendy, Plante & Cité La conception des espaces paysagers n a pas toujours intégré la question de l abandon des produits phytosanitaires. Leur gestion est par conséquent plus ou moins aisée selon les caractéristiques du site. Tout projet se doit aujourd hui d intégrer des objectifs de gestion écologique, notamment en termes de désherbage. Qu il s agisse d un projet d aménagement ou de requalification, il est primordial d associer les gestionnaires à chaque étape. En amont du projet d aménagement, afficher l ambition écologique dès la phase de la programmation de l aménagement : Associer les équipes d entretien à chacune des étapes du projet Prévoir la formation des jardiniers à la gestion alternative et aux nouvelles techniques de gestion. Elles permettent de revaloriser les métiers et les compétences par des connaissances plus approfondies (botanique, écologie, protection des plantes, nouveaux équipements,etc.) Afficher clairement les exigences pour la gestion future, notamment sur la non-utilisation des pesticides Définir un budget adapté avec une approche globale (de l assistance à maîtrise d ouvrage aux frais de formation des jardiniers) Pendant l étape de conception du projet, échanger autour des propositions du concepteur pour créer un espace partagé par tous : Mettre en scène la flore spontanée Adapter les compositions végétales. Pour limiter le développement de la végétalisation spontanée au niveau des massifs, des pieds d arbre, des cheminements, on peut avoir recours au paillage, aux plantes couvre-sols où à l enherbement des aires sablées Privilégier les surfaces rases. Au niveau des cheminements (trottoirs, allées, chemins) on militera les ruptures de revêtements et on visera l arasement des surfaces Prévoir l intégration du mobilier urbain (pour faciliter l entretien mécanique) Pour aller plus loin : Guide conception écologique d un espace public paysager sur : et
5 Les techniques alternatives de désherbage Le changement de regard, les nouveaux modes de gestion, la prévention et l évitement du désherbage sont autant d approches pour le gestionnaire dans le contexte actuel de changement de pratiques. Malgré tout, il est encore nécessaire d intervenir sur certains espaces. Lorsqu on a fait le choix de désherber, les solutions techniques sont multiples (cf. tableau). Elles font appel à différents modes d action. La diversité de l offre commerciale française fait qu on trouve du matériel adapté à de nombreux contextes d intervention. Elle continue également d évoluer et constitue un secteur relativement dynamique. Désherber sans pesticide, c est possible. Comment s y retrouver? Thermique (flamme directe, indirecte, eau chaude, vapeur, air chaud), mécanique (brossage, travail du sol, manuel, outils à main), quelle méthode choisir? pour quelle surface? Les programmes COMPAMED coordonnés par Plante & Cité dans le cadre du plan Ecophyto ont réalisé une évaluation comparative des méthodes curatives de désherbage des zones non agricoles. Les résultats permettent aux professionnels des espaces verts de mieux connaitre les techniques de désherbage, leurs usages, leur efficacité, leurs impacts sur l environnement les coûts de leur mise en œuvre et leurs impacts sur la santé des travailleurs. Des fiches de synthèse reprennent, pour les désherbages chimique, thermique à flamme, thermique à eau, mécanique et manuel, les enseignements des programmes COMPAMED. En savoir plus :
6 Au-delà du zéro-pesticide, se lancer dans la gestion écologique des espaces verts avec les outils d EcoJardin La qualité de la gestion des espaces verts est devenue un enjeu stratégique pour toutes les villes. Construite collectivement par des professionnels de la nature en ville en 2012, la démarche EcoJardin a pour objectif de promouvoir la gestion écologique des espaces verts. Associant guide technique et label, elle répond aux besoins de connaissance sur la gestion écologique et de valorisation des changements de pratiques. Le référentiel Véritable outil d aide à la décision, il présente les critères d une gestion écologique par thématiques : Planification et intégration du site - Sol - Eau - Faune & Flore - Mobiliers et matériaux / Matériels et engins - Formations - Public. Le label Démarche volontaire, il valorise le travail des jardiniers, l excellence des pratiques et peut devenir un puissant outil de management. Il implique un audit externe qui permet de prendre du recul sur les pratiques en place et d entrer dans un processus d amélioration continue. La gouvernance partagée du dispositif garantit l actualisation régulière des outils et la qualité de la labellisation. Le réseau EcoJardin Une rencontre annuelle à Paris, des communications dans les colloques et journées techniques de la filière, EcoJardin c est aussi un réseau qui œuvre pour le partage des expériences. Il est constitué de professionnels de collectivités, d entreprises, de centres de formation. Depuis 2012, plus de 300 sites ont obtenu le label. En savoir plus : Label EcoJardin Gestion horticole et écologique des massifs du parc du Trocadéro à Paris, labellisé EcoJardin en 2015 / Crédits : Renouard E., HelloFlore Partenaires fondateurs du label : Plante & Cité, maîtres d ouvrage publics -collectivités territoriales (Besançon, Lille, Lyon, Marseille, Montpellier, Nantes, Orléans, Paris et Rennes), maître d ouvrage privé d espaces verts ouverts au public (Groupe Pierre et Vacances Center Parcs), associations professionnelles (HORTIS les responsables d espaces nature en ville), AITF (Association des Ingénieurs Territoriaux de France) et ATTF (Association des Techniciens Territoriaux de France)) et CNFPT (Centre National de la Fonction Publique Territoriale) EcoJardin contribue aux objectifs du plan Ecophyto. Le projet a bénéficié du soutien de l ONEMA et des Ministères de l Agriculture et de l Ecologie.
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