N 1 - Mars Thématiques du Baromètre. Tendances générales. Tendances de l arrondissement. Synthèse de l arrondissement

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1 N 1 - Mars 2012 Thématiques du Baromètre Tendances générales Tendances de l arrondissement Synthèse de l arrondissement 1

2 Tendances générales : Les données de cadrage P.3 I. Les secteurs d activité selon l INSEE (CLAP) : les établissements II. Les secteurs d activité selon l INSEE (CLAP) : les postes salariés III. Les ressortissants CCIB, CCIL et CMARA33 IV. Evolution du nombre d établissements V. Les secteurs d activité VI. La taille des établissements VII. L âge des dirigeants VIII. L autonomie décisionnelle IX. L ancienneté des établissements X. Le taux de pérennité à 5 ans XI. Les créations XII. Les radiations XIII. Le solde naturel des établissements XIV. Les demandeurs d emploi en fin de mois XV. Les demandeurs d emploi de longue durée XVI. Les offres d emploi Indicateurs de pilotage : résultats de l enquête et tendances de l arrondissement P.25 I. Les chiffres d affaires II. Les carnets de commande III. La trésorerie IV. Les marges V. Les investissements VI. Les effectifs VII. Les prix d achat VIII. Les délais de paiement IX. Les capacités de production X. La conjoncture économique (pour leur l entreprise, nationale et internationale) XI. La confiance en l avenir (pour leur l entreprise, nationale et internationale) XII. Difficultés rencontrées avec les partenaires financiers XIII. Volet thématique : les projets de développement des entreprises Synthèse de l arrondissement et 1 ères préconisations d actions P.45 I. Synthèse AFOM de l arrondissement II. 1éres préconisations d actions 2

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4 31% des établissements de l arrondissement appartiennent au secteur «agriculture, sylviculture et pêche». Répartition sectorielle des établissements sur la Agriculture, sylviculture et pêche 58% Industrie Construction 10% 5% 15% 13% Commerce, transports et services divers 48% 28% 11% Administration publique, enseignement, santé, action sociale 12% 43% 10% 29% 5% 10% 11% 4% 31% Conformément à la tendance girondine, le secteur d activité de l arrondissement de est celui du «commerce, transports et services divers». Il représente 45% des établissements du territoire. Avec un poids moindre, viennent ensuite les secteurs de l «administration publique, enseignement, santé, action sociale» et de la construction qui représentent respectivement 11% et 9% des établissements de l arrondissement. Enfin, le secteur de l industrie ne représente lui que 4% du tissu économique. * La nomenclature de l outil CLAP (Connaissance Locale de l Appareil Productif) comptabilise l ensemble des activités marchandes et non marchandes, hors activités de défense, emplois domestiques et non salariés (ex: artisans, professions libérales ). Sont donc couverts les secteurs agricoles, de l industrie, du commerce et des services, y compris l emploi public. 9% 10% 5% 60% 14% 4% 17% 2% 9% 12% 40% 12% 10% 32% 5% 6% Source : INSEE, CLAP, 2009 Le 2ème secteur le plus important est celui de l «agriculture, sylviculture et pêche» ; il comptabilise 31% des établissements. À noter que cette part est supérieure de 18 points à la moyenne girondine. 45% 66% 1er 4

5 Source : INSEE, CLAP, % des effectifs salariés travaillent dans le secteur «administration publique, enseignement, santé, action sociale». Répartition des postes salariés par secteur d'activité en 46% Agriculture, sylviculture et pêche 7% Industrie 26% 26% 31% 8% 9% 36% 29% 9% 17% 9% 33% 14% 11% 3% 33% Construction Commerce, transports et services divers Administration publique, enseignement, santé, action sociale 49% 33% 7% 13% Comme pour les établissements, c est le secteur «commerce, transports et services divers» qui polarise le plus de postes salariés (33%). 47% 7% 10% 33% 3% 6% 11% 1% 33% 30% 36% 12% 14% 8% Le secteur «agriculture, sylviculture et pêche», qui représentait 31% des établissements de l arrondissement, ne comptabilise que 14% des postes salariés. A l inverse, le secteur «administration publique, enseignement, santé, action sociale» qui pesait 11% des établissements du territoire, polarise 33% des postes salariés. Ce poids est comparable à celui de la moyenne girondine, ainsi qu à celui du secteur «commerce, transports et services divers». Enfin, les secteurs de l industrie et de la construction pèsent respectivement 13% et 7% des postes salariés de l arrondissement de. Ces tendances sont également identiques à celles de la. 5

6 Source : CCIB, CCIL, CMARA, établissements recensés au RCS des CCI et à la CMARA au 31/01/2012, totalisant emplois salariés. Répartition des établissements Répartition des effectifs salariés 10% 6% 11% 4% 4% 6% 5% 6% 3% 8% 61% 76% Arcachon Blaye Bordeaux Langon Lesparre-Médoc 6% 4% % 3% % 6% 76% 61% L arrondissement de est le 3 ème arrondissement le plus important de selon le nombre d établissements, et il est le 2 ème du point de vue du nombre d effectifs salariés. 11% 6% L arrondissement représente 10% des établissements girondins et 6% des effectifs salariés totaux du département % 5% * Sont compris dans le périmètre des activités : les ressortissants de la CCIB, de la CCIL ainsi que les ressortissants de la CMARA, c est-à-dire toutes les activités inscrites au RCS et au Répertoire des Métiers ; les activités agricoles et emplois publics ne sont donc pas comptabilisés dans cette nomenclature. Nbr. d'établissements Nbr. d'effectifs salariés 6

7 55 Source : CCIB, CCIL, CMARA, ,5% C est le taux d évolution annuel du nombre d établissements sur l arrondissement de pour l année er Trimestre 2 ème Trimestre 3 ème Trimestre 4 ème Trimestre Taux d évolution annuel Arcachon ,9% Entre le 1 er et le 4 ème trimestre 2011, l arrondissement de a connu un taux de croissance de ses établissements de 1,5%. C est le 2 ème taux de croissance le plus élevé des arrondissements de. Il est également légèrement supérieur au taux de croissance moyen du département. L arrondissement de fait partie des arrondissements les plus dynamiques de. Blaye ,4% Bordeaux ,7% Langon ,4% Lesparre-Médoc ,3% ,5% ,4% 7

8 Source : CCIB, CCIL, CMARA, % des établissements de l arrondissement de ont des activités de services. Répartition sectorielle des établissements de la 39% 33% 38% 26% 36% 45% 26% 29% Industrie/BTP/Artisanat de production Commerce Services 28% 38% 28% 23% 49% 34% 43% 27% 30% 28% 38% 35% Comme chacun des arrondissements du département, le secteur des services prédomine sur l arrondissement de. Son poids (38%) est cependant légèrement inférieur à celui de la moyenne girondine (45%). À noter que le poids du secteur commerce est supérieur de 5 points à celui de la moyenne girondine, alors que le poids du secteur «industrie/btp/artisanat de production» est lui, légèrement supérieur. 27% 8

9 55 Source : CCIB, CCIL, CMARA, % des établissements de l arrondissement de comptent moins de 2 salariés. (-) de 2 salariés 3 à 9 salariés 10 à 49 salariés (+) de 50 salariés Arcachon % 6% 1% Blaye % Bordeaux Langon % Lesparre-Médoc % 14% 80% 5% 1% 4% % 13% 75% 82% 4% 1% Le tissu économique de l arrondissement de est majoritairement composé de petites entités. En effet, 82% des établissements du territoire ont moins de 2 salariés ; c est la part la plus élevée de (supérieure de 4 points à celle de la moyenne girondine). Les établissements composés de 3 à 9 salariés représentent, quant à eux, 13% du tissu économique de l arrondissement. Enfin, moins de 1% des établissements de l arrondissement comptent plus de 50 salariés. 82% 14% 4% 0% 16% 7% 2% 81% 14% 4% 1% Au total, le tissu économique du territoire de est composé à 95% d entités de moins de 10 salariés. En cela, il ne se distingue aucunement des autres arrondissements du département, à l exception de celui de Bordeaux. (-) de 2 salariés 3 à 9 salariés 10 à 49 salariés (+) de 50 salariés 9

10 Source : CCIB, CCIL, CMARA, % des établissements de l arrondissement ont un dirigeant âgé de 55 ans et plus. Part des dirigeants âgés de 55 ans et plus et nombre d emplois concernés (-) de 30 ans 30 à 54 ans 55 ans et plus Arcachon Blaye Bordeaux Langon % Salariés 24% Salariés Lesparre-Médoc % Salariés 30% Salariés Le territoire de compte 30% de chefs d établissements âgés de 55 ans et plus ; c est la part la plus élevée de. 22% Salariés Il existe un risque lié à la transmission de ces établissements, qu il est nécessaire d anticiper. Une part importante du tissu économique (1/3) et de l emploi (plus de salariés) de l arrondissement est concerné. 23% Salariés D autre part, 64% des dirigeants de l arrondissement sont âgés de 30 à 54 ans, ce qui est la part la moins élevée de sur cette catégorie (inférieure de 4 points à celle de la moyenne girondine). Enfin, 6% des dirigeants du Libournais ont moins de 30 ans, ce qui est également une des parts les plus faibles de. * Ne sont pas pris en compte pour cet indicateur la catégorie des établissements secondaires. 10

11 Source : CCIB, CCIL, % C est le taux d autonomie décisionnelle des établissements de l arrondissement de. Taux d autonomie des établissements et des emplois Etablissements 100% Emplois 100% 90% 80% 84% 85% 81% 87% 87% 87% 83% 90% 80% L arrondissement de a le taux d autonomie décisionnelle des établissements le plus élevé du département, avec 87%. L arrondissement a également le 2 ème taux d autonomie décisionnel le plus élevé de concernant les emplois, avec 76%. 70% 60% 50% 70% 60% 50% L arrondissement de fait partie des arrondissements de dont les établissements et les effectifs sont les moins dépendants d un siège décisionnel extérieur. 40% 30% 20% 68% 56% 51% 73% 82% 76% 56% 40% 30% 20% 10% 10% 0% 0% Arcachon Blaye Bordeaux Langon Lesparre-Médoc 11

12 55 Source : CCIB, CCIL, CMARA, % des établissements de l arrondissement de ont entre 2 et 10 ans d existence. (-) de 2 ans 2 à 10 ans 11 à 20 ans (+) de 20 ans Arcachon Blaye Bordeaux % 10% 42% 30% Langon Lesparre-Médoc % 11% 43% 28% 18% 13% 42% 27% 12% 22% 19% L arrondissement de possède la particularité d avoir la plus faible part d établissements âgés de moins de 2 ans. Ils ne représentent que 22% du tissu économique libournais alors que la moyenne girondine se situe à 30%. Ceci pouvant s expliquer par un taux de création d établissements relativement peu élevé (cf. p.16). En revanche, l arrondissement compte la part la plus élevée de d établissements âgés de 2 et 10 ans (47%). 17% 8% 45% 30% 10% 17% 42% 31% 19% 11% 29% 47% Enfin, avec plus de 31% du tissu économique âgé de plus de 10 ans, le territoire est, en, le mieux représenté sur ces catégories d établissements. C est deux derniers constats démontre le bon ancrage territorial des établissements sur l arrondissement. (-) de 2 ans 2 à 10 ans 11 à 20 ans (+) de 20 ans 41% 12

13 Source : CCIB, CCIL, % des établissements franchissent le cap de leur 5 ème anniversaire sur l arrondissement de, tous secteurs confondus. Taux de pérennité des établissements à 5 ans 100% 90% 80% 70% 60% 50% 55% 56% 57% 57% 58% 52% 57% L arrondissement de a le taux de pérennité à 5 ans le moins élevé de tous les arrondissements de. Même si plus de 50% de ses établissements survivent à leur 5 ème anniversaire. Cette moyenne est inférieure de 5 points à celle de la. 40% 30% 20% Néanmoins, sur ce territoire, une fois le cap du 5 ème anniversaire franchi, les établissements ont de grandes chances de devenir pérennes. 10% 0% Arcachon Blaye Bordeaux Langon Lesparre-Médoc 13

14 55 Source : CCIB, CCIL, CMARA, % des créations d établissements de en 2011, ont eu lieu sur l arrondissement de. 1 er Trimestre T2 T3 T4 Total Arcachon Blaye Bordeaux Langon % 22% 26% 29% Lesparre-Médoc % 19% 29% 31% 23% 24% 24% 29% 21% 28% 21% 23% 29% 30% Pour l arrondissement de, la période de l année la plus dynamique en matière de création d établissements est le second trimestre ; il représente 1/3 des créations annuelles. 21% 29% 23% 25% A l inverse, on observe une baisse générale du nombre de créations aux 3 ème et 4 ème trimestres, correspondant aux congés d été, à la saison estivale et touristique, ainsi qu à la fin d année traditionnellement plus calme. 20% 30% 22% 28% 25% 25% * Les créations se rapportant aux auto-entrepreneurs ne sont pas comptabilisées. Trimestre 1 Trimestre 2 Trimestre 3 Trimestre 4 14

15 Source : CCIB, CCIL, CMARA, ,1% C est le taux de création de l arrondissement de pour l année 2011, tous secteurs confondus. Taux de création annuel des établissements 21% 20% 48% 31% 15% 12% 10,9% 11,4% 10% 10,6% 10,4% 10,1% 10% 5% 0% Arcachon Blaye Bordeaux Langon Lesparre-Médoc 44% 24% 32% 45% 24% 31% 40% 22% 19% 38% Le taux de création de l arrondissement de est le 2 ème moins élevé du département. Il est inférieur à la moyenne girondine de 1,3 point. 20% 52% 29% Néanmoins, le dynamisme du territoire est notamment appuyé par le secteur du commerce, qui crée une part plus importante d établissements (38%) que dans sa répartition territoriale initiale (34%). Cela vaut également, dans une moindre mesure, pour le secteur des services. 47% 33% 39% 30% A l inverse, le secteur de l «industrie/btp/artisanat de production» crée une part moins importante d établissements que dans sa répartition territoriale initiale (22% contre 28%). 31% * Les créations se rapportant aux auto-entrepreneurs ne sont pas comptabilisées. Industrie/BTP/Artisanat de production Commerce Services 15

16 55 Source : CCIB, CCIL, CMARA, % C est la part de l auto-entreprenariat dans les créations totales d établissements de l arrondissement. Nbr. créations Nbr. créations des (hors AE) AE Créations totales Arcachon Blaye % Bordeaux Langon Lesparre-Médoc % 45% % 34% Pour l année 2011 sur l arrondissement de, les auto-entrepreneurs sont à l origine de 34% des créations d établissements. 39% La part des auto-entrepreneurs dans les créations est inférieure de 1 point à celle de la moyenne girondine. 38% 16

17 55 Source : CCIB, CCIL, CMARA, % C est la part des radiations d établissements libournaises dans le total des radiations girondines en er Trimestre T2 T3 T4 Total Arcachon Blaye Bordeaux Langon % 21% 27% 25% Lesparre-Médoc % 30% 27% 26% 27% 20% % 25% 19% 30% La période qui concentre le plus grand nombre de cessations d établissements sur l arrondissement est le 1 er trimestre ; il représente quasiment 1/3 des radiations de l année (30%). Cette part est la plus élevée de, tous territoires et trimestres confondus. 27% 28% 28% 21% 27% 24% 24% 27% A noter que le 4 ème trimestre est la seconde période la plus destructrice d établissements. 20% 25% 26% 25% 22% 27% * Les radiations se rapportant aux auto-entrepreneurs ne sont pas comptabilisées. Trimestre 1 Trimestre 2 Trimestre 3 Trimestre 4 17

18 Source : CCIB, CCIL, CMARA, ,3% C est le taux de radiation d établissements sur l arrondissement de pour l année Taux de radiation annuel des établissements 39% 30% 20% 15% 31% 10% 5% 9,4% 9,1% 9,3% 9,6% 8,6% 8,3% 9,2% 42% 26% 34% 41% 0% Arcachon Blaye Bordeaux Langon Lesparre-Médoc 32% 25% 28% 39% 41% 27% 33% Le taux de radiation de l arrondissement de est le plus faible de ; avec seulement 8,3%, il est inférieur de quasiment 1 point à la moyenne girondine, ce qui est très positif. 37% 29% 32% À noter que, presque 4 établissements sur 10 sont détruits dans le secteur de l «industrie/btp/artisanat de production» (39%). Par contre, le secteur des services détruit une part moins importante d établissements que dans sa répartition territoriale initiale. 34% 33% 28% 39% * Les radiations se rapportant aux auto-entrepreneurs ne sont pas comptabilisées. Industrie/BTP/Artisanat de production Commerce Services 18

19 Source : CCIB, CCIL, CMARA, ,8 C est l indice de performance du dynamisme territorial de l arrondissement de. Répartition territoriale du solde naturel des établissements 1,8 0,9 L indice de performance du territoire est inférieur de 0,4 point à celui de la moyenne girondine qui est de 2,2. 1,8 Cependant c est le 2 ème indice le plus élevé de, derrière celui de l arrondissement de Bordeaux. L arrondissement de crée plus d établissements qu il n en détruit. 2,7 Cette performance pouvant s expliquer, en partie, par le fait que le territoire détruit peu d établissements (taux de radiation le plus faible de tous les arrondissements du département). 1,5 1 *L indicateur de performance selon le taux de création et de radiation des établissements est le résultat de la différence entre le taux de création et le taux de radiation sur un territoire, pour une même période donnée. 19

20 55 Source : Pôle emploi, STMT déc ,2% C est l évolution annuelle du nombre de DEFM âgés de moins de 25 ans sur l arrondissement de. Evolution annuelle du nombre des DEFM par âge 17% 17% Moins de 25 ans 25 à 49 ans 50 ans et plus Arcachon 4,3% 6,4% 18,9% 66% Blaye 1,9% 4,8% 10,1% Bordeaux 4,7% 6,3% 14,1% Langon 4,5% 6,2% 23,1% 20% 17% 18% 17% Lesparre-Médoc 5,3% 2,7% 18,9% 65% -0,2% 5,4% 16,3% 63% 19% 17% 4,1% 5,9% 15,7% 16% 17% 64% La part des DEFM âgés de moins de 25 ans s établit à 17% sur l arrondissement (idem à celle du département). 22% 15% 67% Cependant, l arrondissement de est le seul territoire où il est constatée une baisse du nombre de DEFM de cette tranche d âge. Au niveau girondin, l évolution est de 4,1%. 63% 20% 16% Pour les DEFM âgés de 50 ans et plus, qui représentent 19% des DEFM de l arrondissement, la tendance est à la hausse, avec une augmentation de 16,3%. 64% * Les Demandeurs d emplois en fin de mois (DEFM) sont les personnes inscrites à Pôle emploi et ayant une demande en cours le dernier jour du mois. Moins de 25 ans 25 à 49 ans 50 ans et plus 20

21 Source : Pôle emploi, STMT déc ,2% C est la part des DEFM dans le domaine des «services à la personne et à la collectivité» sur l arrondissement de. Agriculture et pêche, esp. naturels et verts, soins aux animaux Arts et façonnage d'ouvrages d'art 0,5% 13,7% Banque, assurance, immobilier Commerce, vente et grande distribution Communication, média et multimédia Construction, bâtiment et travaux publics Hôtellerie - restauration, tourisme, loisirs et animation Industrie Installation et maintenance Santé Services à la personne et à la collectivité Spectacle 1,0% 1,0% 8,2% 6,3% 5,7% 3,7% 2,8% 1,2% 16,2% 20,2% 13,7% des DEFM de l arrondissement recherchent un emploi dans le domaine de l «agriculture et pêche, espaces naturels et verts, soins aux animaux». En, ce domaine est moins présent (6,1%). Le nombre de DEFM dans ce domaine a augmenté de 11,9% dans l arrondissement et de 10,3% en. Les domaines des «services à la personne et à la collectivité» et du «commerce, vente et grande distribution» rassemblent un grand nombre de DEFM dans l arrondissement, ainsi qu au niveau girondin. Dans ces deux domaines, l évolution du nombre de DEFM a été moins élevée sur l arrondissement de qu au niveau de la. Support à l'entreprise 10,9% Transport et logistique 8,5% 0% 5% 10% 15% 20% 21

22 55 Source : Pôle emploi, STMT déc ,7% C est le taux d évolution des DELD âgés de moins de 25 ans sur l arrondissement de. Evolution annuelle du nombre des DELD par âge Moins de 25 ans 25 à 49 ans 50 ans et plus Arcachon -0,4% 4,7% 20,5% Blaye -6,2% -5,1% 2,2% 26% 8% 66% Bordeaux -11,8% 1,8% 14,7% Langon 0,0% 4,6% 15,1% 28% 9% 26% 10% Lesparre-Médoc 2,0% 1,7% 23,7% 64% -6,7% -0,8% 12,6% 63% 26% 9% -8,0% 1,5% 14,7% 24% 7% 65% La part des DELD âgés de moins de 25 ans sur l arrondissement de fait partie des plus élevées de (9%). Cependant cette tendance est à la baisse. 32% 7% 69% Sur l arrondissement, seuls les DELD âgés de 50 ans et plus ont connu une hausse de leur nombre (12,6%) ; pour les autres tranches d âge, la tendance est à la baisse. Baisse de -6,7% des DELD âgés de moins de 25 ans, et de -0,8% pour ceux âgés de 25 à 49 ans. 61% 27% 9% 64% * Les demandeurs d emploi de longue durée (DELD) sont des actifs au chômage depuis plus d un an. Moins de 25 ans 25 à 49 ans 50 ans et plus 22

23 Source : Pôle emploi, STMT déc ,1% C est la part des DELD de l arrondissement de cherchant du travail dans le domaine «services à la personne et à la collectivité». Agriculture et pêche, esp. naturels et verts, soins aux animaux Arts et façonnage d'ouvrages d'art 0,5% 12,7% Banque, assurance, immobilier 0,9% Commerce, vente et grande distribution Communication, média et multimédia Construction, bâtiment et travaux publics Hôtellerie - restauration, tourisme, loisirs et animation Industrie Installation et maintenance Santé Services à la personne et à la collectivité Spectacle 0,8% 6,2% 5,5% 6,3% 3,3% 2,1% 2,0% 14,3% 24,1% 12,7% des DELD de l arrondissement cherchent un emploi dans le domaine de l «agriculture et pêche, espaces naturels et verts et soins aux animaux» ; en, ce domaine est moins représenté. En 2011, le nombre de DELD dans ce domaine a stagné sur l arrondissement, alors qu il a augmenté en. 24,1% des DELD de l arrondissement se sont positionnés dans le domaine des «services à la personne et à la collectivité» (22,4% en ). Dans ce domaine, le nombre de DELD a augmenté de 4,7% dans l arrondissement et de 7,8% en. Support à l'entreprise 11,1% Transport et logistique 10,0% 0% 5% 10% 15% 20% 25% 30% 23

24 Source : Pôle emploi, STMT fév jan ,2% C est la part des offres d emploi collectées par Pôle Emploi sur l arrondissement dans le domaine «agriculture [ ] soins aux animaux». Agriculture et pêche, esp. naturels et verts, soins aux animaux Arts et façonnage d'ouvrages d'art Banque, assurance, immobilier 0,1% 0,7% 43,2% 43,2% des offres d emploi collectées par Pôle Emploi sur l arrondissement de concernent le domaine de l «agriculture et pêche, espaces naturels et verts, soins aux animaux». En, ce secteur ne représente que 12,7% des offres collectées. Commerce, vente et grande distribution Communication, média et multimédia Construction, bâtiment et travaux publics 0,2% 5,4% 17,1% L évolution du nombre d offres d emploi est cependant négative dans l arrondissement (-7,2%) alors qu elle augmente au niveau de la (12%). Le nombre d offres d emploi dans le secteur du «commerce, vente et grande distribution» a augmenté de 65,2% pour l arrondissement de (seulement 1,9% pour la ). Hôtellerie - restauration, tourisme, loisirs et animation Industrie Installation et maintenance Santé 6,3% 3,6% 2,6% 1,6% Dans le domaine des «services à la personne et à la collectivité», le nombre d offres collectées a plus augmenté dans l arrondissement (10,5%) qu en (3,3%). Services à la personne et à la collectivité Spectacle 0,1% 8,9% Support à l'entreprise 4,1% Transport et logistique 6,1% 0% 10% 20% 30% 40% 24

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26 Réalisation L enquête terrain a été réalisée par la société COHDA (études & préconisations marketing). Dates terrain L enquête conjoncturelle a été effectuée du 27 janvier au 3 février Echantillon L enquête a été réalisée auprès d un échantillon de 608 dirigeants d entreprises girondins (ou postes similaires) dont 98 sur l arrondissement de. La représentativité de l échantillon a été assurée par la méthode des quotas, selon les critères de secteur et de taille d entreprise. L échantillon a été stratifié au niveau des arrondissements, de manière à disposer de bases suffisantes pour une analyse détaillée par arrondissement. Chaque arrondissement a ensuite été rapporté à son poids réel pour le calcul des résultats d ensemble. Mode de recueil de l information Les interviews ont été réalisées par téléphone, sur système CATI. Nombre d interviews réalisées Données brutes Arrondissement Industrie Commerce Services Répartition par taille des établissements interrogés sur l'arrondissement de Plus de 50 salariés 10 à 49 salariés 3 à 9 salariés Moins de 2 salariés 2% 3% 15% Total Général Arcachon Blaye Bordeaux Langon Lesparre Total % 26

27 Tendance de l arrondissement Evolution au cours des 3 derniers mois Solde -X Solde = % de réponses «Amélioration» - % de réponses «Détérioration» Lesparre Médoc Tendance Perspective d évolution sur les 3 prochains mois GIRONDE + X Blaye Evolution au cours des 3 derniers mois Tendance Solde -X Amélioration Stagnation Détérioration Arcachon Bordeaux Perspectives d évolution à 3 mois comparées par arrondissement Langon Commentaires d ensemble Perspective d évolution / Solde «% Amélioration % Détérioration» 27

28 35% des entrepreneurs interrogés sur l arrondissement déclarent avoir connu une détérioration de leur CA au cours des 3 derniers mois. Evolution du chiffre d'affaires au cours des 3 derniers mois Perspectives d évolution du CA sur les 3 prochains mois Solde 23% 42% 35% -12 GIRONDE +13 Evolution du chiffre d'affaires au cours des 3 derniers mois Solde 30% 34% 36% Stagnation Détérioration +14 Au cours des 3 derniers mois, plus du tiers des entrepreneurs interrogés sur l arrondissement ont déclaré avoir subi une détérioration de leur CA (même proportion que la ). Seulement 23% ont déclaré une amélioration (ce qui est inférieur de 7 points à la tendance girondine). +21 Le secteur du commerce a été le plus touché par cette dégradation, ainsi que les entreprises de moins de 2 salariés. Concernant les perspectives d avenir, un certain optimisme est affiché : le solde d opinions négatif des 3 derniers mois redevient positif pour les 3 prochains (+8). Les entrepreneurs des secteurs de l industrie et des services se montrent plus optimistes que les autres quant à l amélioration de leur CA (les structures de moins de 2 salariés également). Seuls les entrepreneurs du commerce restent pessimistes et anticipent plutôt une détérioration. +16 Perspective d évolution / Solde «% Amélioration % Détérioration» Source : Enquête CCIB-COHDA, Février 2012 Amélioration 28

29 28% des entrepreneurs de l arrondissement déclarent une amélioration de leurs carnets de commande sur les 3 derniers mois. Evolution du carnet de commandes en France au cours des 3 derniers mois Perspectives d évolution du carnet de commande en France sur les 3 prochains mois Solde 28% 42% 30% TOTAL GIRONDE GIRONDE Evolution du carnet de commandes en France au cours des 3 derniers mois Solde 27% 44% 29% Stagnation Détérioration % des chefs d entreprises interrogés ont déclaré une détérioration de leurs carnets de commandes en France au cours des 3 derniers mois. +26 L arrondissement de est le territoire où, en moyenne, les entrepreneurs ont déclaré avoir le moins subi de dégradations de leurs carnets de commande. +11 Cependant, les entreprises du commerce et celles de moins de 2 salariés ont dans l ensemble, été celles dont les carnets de commande se sont les plus détériorés au cours des 3 derniers mois. Les perspectives d avenir sont, elles, plutôt positives. Notamment pour les entreprises du secteur industriel et pour les structures de plus de 3 salariés. Les plus pessimistes étant les entrepreneurs du secteur du commerce et les entreprises de moins de 2 salariés. Perspective d évolution / Solde «% Amélioration % Détérioration» Source : Enquête CCIB-COHDA, Février 2012 Amélioration 29

30 40% des chefs d entreprises interrogés déclarent avoir ressenti une détérioration de leur trésorerie sur les 3 derniers mois. Evolution de la trésorerie au cours des 3 derniers mois Perspectives d évolution de la trésorerie sur les 3 prochains mois Solde 17% 43% TOTAL GIRONDE GIRONDE % +17 Evolution de la trésorerie au cours des 3 derniers mois Solde 22% 42% 36% Stagnation Détérioration +21 Seulement 17% des entreprises interrogées sur l arrondissement ont déclaré une amélioration de leur trésorerie. +16 Plus précisément, les entrepreneurs du commerce (50% d entre eux) et des services (44%) ainsi que les entreprises de moins de 2 salariés (43% d entre elles) ont déclaré avoir connu une forte détérioration de leur trésorerie, au cours des 3 derniers mois. Les entreprises industrielles et les structures de 3 à plus de 50 salariés ont connu une évolution plus favorable. Les perspectives d avenir, là aussi, sont plutôt optimistes (solde d opinion passant de -23 à +4), notamment dans le secteur de l industrie. Les entreprises du commerce et des services, elles, restent plus pessimistes quant à une amélioration de leur trésorerie, au moins à court terme. +18 Perspective d évolution / Solde «% Amélioration % Détérioration» Source : Enquête CCIB-COHDA, Février 2012 Amélioration 30

31 Source : Enquête CCIB-COHDA, Février % des dirigeants d entreprises de l arrondissement déclarent avoir connu une détérioration de leurs marges au cours des 3 derniers mois. Evolution des marges au cours des 3 derniers mois Solde Perspectives d évolution des marges sur les 3 prochains mois 15% 55% 30% -15 TOTAL GIRONDE +6 Evolution des marges au cours des 3 derniers mois Solde % 52% 32% -16 Amélioration Stagnation Détérioration Cette tendance de détérioration des marges commerciales est particulièrement ressentie dans le secteur du commerce et celui de l industrie, où la part des entrepreneurs interrogés déclarant une détérioration atteint respectivement 43% et 38%. Concernant les perspectives d avenir, les chefs d entreprises sont néanmoins légèrement plus optimistes, même s ils déclarent plus volontiers une stagnation de leurs marges qu une réelle amélioration. À court terme, seules les entreprises du commerce et celles de moins de 2 salariés restent vraiment pessimistes quant aux perspectives d amélioration de leurs marges commerciales. +9 Perspective d évolution / Solde «% Amélioration % Détérioration» -5 31

32 33% des entrepreneurs de l arrondissement de ont augmenté leur niveau d investissement au cours 3 derniers mois. Evolution des investissements au cours des 3 derniers mois Perspectives d évolution des investissements sur les 3 prochains mois Base : Ensemble hors Non Concernés et NSP, n=59 Solde 33% 53% 14% TOTAL GIRONDE GIRONDE Evolution des investissements au cours des 3 derniers mois Base : Ensemble hors Non Concernés et NSP, n=374 35% Solde 56% 9% Stagnation Détérioration +17 Malgré la dégradation des trésoreries et des marges commerciales des 3 derniers mois, 86% des entrepreneurs interrogés ont déclaré avoir maintenu, voire augmenté leur niveau d investissement. Les entreprises qui ont été les plus dynamiques sont celles du secteur de l industrie (44% d entre elles ont déclaré avoir augmenté leur investissement ces 3 derniers mois) ainsi que les entreprises de 10 à 49 salariés À court terme, les entrepreneurs (tous secteurs et tailles confondus) prévoient de continuer à investir ; seuls 5% des déclarants anticipent une détérioration du niveau de leur investissement sur les 3 prochains mois. Pour le trimestre à venir, le solde d opinion est de +33, ce qui est nettement supérieur au solde girondin (+20). L arrondissement de est le 2ème arrondissement le plus optimiste quant aux perspectives d amélioration des niveaux investissements. Perspective d évolution / Solde «% Amélioration % Détérioration» Source : Enquête CCIB-COHDA, Février 2012 Amélioration 32

33 Source : Enquête CCIB-COHDA, Février % C est la part des entrepreneurs ayant déclaré une stagnation du niveau de leurs effectifs salariés ces 3 derniers mois. Evolution des effectifs salariés au cours des 3 derniers mois Base : Ensemble hors Non Concernés et NSP, n=76 21% 71% 8% Solde +13 Perspectives d évolution des effectifs salariés sur les 3 prochains mois TOTAL GIRONDE +14 Evolution des effectifs salariés au cours des 3 derniers mois Base : Ensemble hors Non Concernés et NSP, n=398 Solde % 72% 9% +10 Amélioration Stagnation Détérioration Tout comme la tendance girondine, les entreprises de l arrondissement n ont connu qu une faible évolution de leurs effectifs salariés au cours des 3 derniers mois. La tendance générale est à la stagnation, mis à part pour les structures de 10 à 49 salariés qui ont en moyenne plus recruté. Cependant, malgré un solde d opinion positif et supérieur à la tendance girondine pour les 3 derniers mois, la plupart des entreprises anticipent un fort ralentissement de leur niveau de recrutement pour les 3 prochains mois. Parmi les entreprises souhaitant recruter, les profils recherchés sont en majorité des employés et des ouvriers. +9 Perspective d évolution / Solde «% Amélioration % Détérioration» +7 33

34 Source : Enquête CCIB-COHDA, Février % des entrepreneurs de l arrondissement déclarent avoir subi une détérioration de leurs prix d achat au cours des 3 derniers mois. Evolution des prix d achat au cours des 3 derniers mois Solde Perspectives d évolution des prix d achat sur les 3 prochains mois 14% 30% 56% -42 TOTAL GIRONDE -19 Evolution des prix d achat au cours des 3 derniers mois Solde % 42% 44% -30 Amélioration Stagnation Détérioration Les indicateurs sont au rouge concernant les prix d achat, ceci s expliquant notamment par l augmentation toujours plus importante du prix des matières premières. Les soldes sont négatifs concernant les 3 derniers mois et le restent pour les 3 prochains. 40% des entrepreneurs interrogés sur l arrondissement de n anticipent pas de baisse significative des prix d achat à court terme. Ceci peut également expliquer la détérioration des marges des entreprises de l arrondissement. -20 Perspective d évolution / Solde «% Amélioration % Détérioration»

35 Source : Enquête CCIB-COHDA, Février % des entrepreneurs de l arrondissement déclarent une stagnation des délais de paiement au cours des 3 derniers mois. Evolution des délais de paiement au cours des 3 derniers mois Solde 3% 83% 14% -11 Perspectives d évolution de ses délais de paiement sur les 3 prochains mois TOTAL GIRONDE +2 Evolution des délais de paiement au cours des 3 derniers mois Solde % 82% 13% -8 Amélioration Stagnation Détérioration La tendance concernant les délais de paiement est négative au cours des 3 derniers mois (conformément à la tendance girondine), et les entrepreneurs interrogés n anticipent, ici également, aucune amélioration à court terme. Cette tendance est encore plus forte dans le secteur du commerce libournais et dans les grandes entreprises Perspective d évolution / Solde «% Amélioration % Détérioration» 35

36 Source : Enquête CCIB-COHDA, Février % des entrepreneurs interrogés ont déclaré une amélioration de leurs capacités de production au cours des 3 derniers mois. Evolution des capacités de production au cours des 3 derniers mois Base : Ensemble hors Non Concernés et NSP, n=53 25% 69% 6% Solde +19 Perspective d évolution de ses capacités de production sur les 3 prochains mois TOTAL GIRONDE +22 Evolution des capacités de production au cours des 3 derniers mois Base : Ensemble hors Non Concernés et NSP, n=366 Solde % 70% 10% +10 Amélioration Stagnation Détérioration Au cours des 3 derniers mois, les capacités de production des entreprises de l arrondissement de sont en majorité restées stables, même si 1/4 des entrepreneurs ont déclaré une augmentation ; le solde d opinion sur la période est supérieur à celui de la. Concernant les perspectives pour le prochain trimestre, malgré une stagnation encore fortement marquée (notamment pour les entreprises du secteur du commerce et des services), la tendance des déclarations se veut plutôt optimiste. Seules les structures de 3 à 9 salariés ont déclaré anticiper, pour 12% d entre elles, une détérioration. +19 Perspective d évolution / Solde «% Amélioration % Détérioration»

37 Source : Enquête CCIB-COHDA, Février % des chefs d entreprises jugent la conjoncture économique actuelle défavorable pour leur entreprise. Comment qualifieriez-vous aujourd hui la conjoncture économique pour votre entreprise? 21% 39% 38% 2% Différentiel «Bonne - Mauvaise» -17 Perception de la conjoncture économique actuelle Pour son entreprise Comment qualifieriez-vous aujourd hui la conjoncture économique pour votre entreprise? 25% 36% 37% 2% Bonne Neutre Mauvaise NSP Différentiel «Bonne - Mauvaise» Cette morosité, quant à la conjoncture économique actuelle pour leur entreprise, se ressent de manière équivalente dans tous les secteurs. Ceci dit, cette tendance est d autant plus marquée chez les très petites entreprises. Ce constat pessimiste est le même pour chaque arrondissement, même si le ressenti est légèrement plus négatif sur l arrondissement de Différentiel «% Bonne - % Mauvaise» 37

38 Source : Enquête CCIB-COHDA, Février % des dirigeants de l arrondissement perçoivent la conjoncture économique actuelle de la France comme mauvaise. Comment qualifieriez-vous aujourd hui la conjoncture économique nationale? Différentiel «Bonne - Mauvaise» Perception de la conjoncture économique actuelle Nationale 6% 22% 67% 5% -61 Comment qualifieriez-vous aujourd hui la conjoncture économique nationale? Différentiel «Bonne - Mauvaise» % 27% 59% 7% -52 Bonne Neutre Mauvaise NSP Pour les chefs d entreprises de l arrondissement de, la perception négative de la conjoncture actuelle pour leur entreprise est exacerbée concernant la conjoncture économique nationale. Moins d un entrepreneur sur 10 juge la conjoncture économique nationale comme positive. Cette tendance est commune à tous les arrondissements de. Tous les secteurs font le même constat, même si les structures de plus de 10 salariés semblent être légèrement moins pessimistes. -50 Différentiel «% Bonne - % Mauvaise»

39 Source : Enquête CCIB-COHDA, Février % C est la part des chefs d entreprises de l arrondissement de qui jugent favorablement la conjoncture économique mondiale. Comment qualifieriez-vous aujourd hui la conjoncture économique Internationale? Différentiel «Bonne - Mauvaise» Perception de la conjoncture économique actuelle Internationale 2% 14% 44% 40% -42 Comment qualifieriez-vous aujourd hui la conjoncture économique Internationale? Différentiel «Bonne - Mauvaise» % 19% 40% 35% -34 Bonne Neutre Mauvaise NSP Conformément à la perception de la conjoncture économique nationale, les entrepreneurs de l arrondissement ont une vision très pessimiste de la conjoncture économique actuelle au niveau mondial. Malgré une part non négligeable de chefs d entreprises qui ne se sont pas prononcés sur la question, 44% d entre eux estiment mauvaise la conjoncture mondiale actuelle. Parmi les plus pessimistes, se trouvent les entreprises du secteur de l industrie et des services, ainsi que les petites entreprises (de moins de 9 salariés). -43 Différentiel «% Bonne - % Mauvaise»

40 Source : Enquête CCIB-COHDA, Février % des dirigeants libournais interrogés ont confiance en l avenir pour leur entreprise. Concernant les perspectives d avenir pour votre entreprise, diriez-vous que vous êtes? Confiant Très confiant 8% Assez confiant Peu confiant Pas du tout confiant 10% 27% 51% 59% 37% Confiance en l avenir pour son entreprise Ensemble des confiants NSP Assez confiant Peu confiant Pas du tout confiant NSP 4% Concernant les perspectives d avenir pour votre entreprise, diriez-vous que vous êtes? Confiant Très confiant 13% 4% 3% 22% 58% Pas confiant 71% 26% Pas confiant 67% 59% 59% 73% Malgré les précédentes déclarations pessimistes concernant la conjoncture économique actuelle, les chefs d entreprises interrogés gardent une solide confiance en l avenir pour leur entreprise. 71% 78% Ce constat est encourageant, même si leur part est la moins élevée des arrondissements de. Parmi les plus confiants en l avenir pour leur entreprise, se trouvent les dirigeants du secteur du commerce (65% de confiants). Les «moins» confiants étant ceux du secteur des services avec seulement 54% de confiants en l avenir pour leur entreprise. Quant aux chefs d entreprises du secteur industriel, la part des confiants s élève à 62%. 40

41 des dirigeants libournais interrogés ont une faible confiance en l avenir de l économie française. Concernant les perspectives d avenir pour l économie française? Très confiant 26% Assez confiant Confiance en l avenir pour l économie française 26% Ensemble des pas confiants 45% Peu confiant 67% 22% Pas du tout confiant NSP Confiant Pas confiant 7% Concernant les perspectives d avenir pour l économie française? Très confiant Confiant 3% 34% Assez confiant 55% 58% 37% 67% 40% Peu confiant Pas du tout confiant 12% NSP 11% 52% 47% Pas confiant Contrairement à la confiance en l avenir à l égard de leur entreprise, les entrepreneurs de l arrondissement se déclarent en majorité méfiants quant à l avenir de l économie française. Le contexte de crise n est toujours pas digéré, et un pessimisme certain demeure. D autre part, les chefs d entreprises de l arrondissement de sont les moins confiants du département concernant l avenir de l économie française. Parmi ceux concernés, les plus pessimistes sont les entrepreneurs du secteur de l industrie, avec 73% de méfiants ; viennent ensuite ceux du secteur des services (71%) puis ceux du commerce (45%). Pour les tailles d entreprises, les plus méfiantes sont les petites structures. 61% 55% Source : Enquête CCIB-COHDA, Février % 41

42 Source : Enquête CCIB-COHDA, Février % des chefs d entreprises du Libournais déclarent ne pas avoir confiance en l avenir pour l économie internationale. Concernant les perspectives d avenir pour l économie internationale? Confiant Très confiant - 17% Assez confiant 17% Peu confiant 36% 57% Pas du tout confiant 21% Confiance en l avenir pour l économie internationale Ensemble des pas confiants NSP 26% Pas confiant Concernant les perspectives d avenir pour l économie internationale? Très confiant 5% Confiant Assez confiant 28% 33% Peu confiant 33% Pas du tout confiant 14% 47% NSP 20% Pas confiant 48% 55% 57% 45% 55% Le constat précédent reste valable concernant la confiance en l avenir de l économie mondiale. 41% Toutefois, la proportion des chefs d entreprises libournais méfiants à l égard de l avenir de l économie internationale, est supérieure à celle de la tendance girondine. 42

43 Source : Enquête CCIB-COHDA, Février % C est la part des entrepreneurs qui ont déclaré rencontrer des difficultés avec leurs partenaires financiers. Aujourd hui, rencontrez-vous des difficultés avec vos partenaires financiers (banques, organismes de crédit, etc.)? 73% Type de difficultés rencontrées (Total supérieur à 100%, plusieurs réponses possibles) 1% 20% 79% Oui Non NSP 26% 1% Problèmes de trésorerie et de découvert Accès aux prêts bancaires de développement Accès aux prêts bancaires de restructuration 67% 56% 9% 16% 20% 24% 26% La part des entrepreneurs interrogés qui ont déclaré rencontrer des difficultés avec leurs partenaires financiers sur l arrondissement de est relativement élevée par rapport aux autres arrondissements (> de 6 points à la tendance girondine). Parmi les principaux types de difficultés évoqués par les chefs d entreprises, figurent en tête, les problèmes de trésorerie et de découvert (pour 67% d entre eux) ; tous les secteurs ainsi que les petites structures sont concernés par cette difficulté. 24% 19% En seconde position viennent les difficultés d accès aux prêts bancaires de développement (pour l investissement, etc.). Les entreprises du secteur du commerce et des services (61% pour chacune d entre elles) sont les plus concernées, tout comme les structures de 3 à 9 salariés. % d entreprises interrogées déclarant avoir des difficultés avec ses partenaires financiers 43

44 Source : Enquête CCIB-COHDA, Février % des entrepreneurs de l arrondissement de ont des projets de développement pour leur entreprise. Avez-vous des projets d'évolution ou de développement de votre entreprise? 67% 33% Types de projets d évolution (Total supérieur à 100%, plusieurs réponses possibles) Investissements (matériel, outil de production) Développement de nouveaux produits ou services 42% 28% Recrutement(s) 19% 39% 34% 1% 37% 62% Oui Non Accès à de nouveaux marchés Transmission de l entreprise 11% 9% 39% 33% Les projets d investissements (matériel, outil de production ) ont été les plus cités, en particulier chez les entreprises du commerce et des services et chez les entreprises de petites tailles. Les projets de développement de nouveaux produits ou services viennent en seconde position, notamment chez les entreprises du secteur des services et pour les structures de taille plus importante. 35% 36% Les projets de recrutement viennent en 3 ème position (19% des interrogés concernés), notamment pour les entreprises du secteur des services. Enfin, 9% des entreprises déclarent avoir des projets de transmission, notamment dans le secteur du commerce. % d entreprises déclarant avoir un projet de développement 44

45 45

46 Menaces Atouts 3 ème arrondissement le plus important en nombre d établissements et 2 ème en nombre d effectifs salariés Un territoire dynamique avec un taux de croissance du nombre d établissements de 1,5% sur l année 2011 (2 ème taux le plus élevé de ) Forte représentation du secteur du commerce (34% du tissu économique). C est la part la plus élevée de Arrondissement le plus autonome (avec ceux de Langon et Lesparre) : le Libournais a le taux d autonomie décisionnelle des établissements le plus élevé de et le 2 ème taux le plus élevé pour les emplois (76%) Un très bon ancrage territorial des entreprises : 47% des entreprises ont de 2 à 10 ans d existence et 19% sont âgées de 11 à 20 ans (taux les plus élevés de ) L arrondissement de a le taux de radiation d établissements le plus faible de (seulement 8,3%) Un indice de performance territorial parmi les plus élevés avec 1,8 (le second plus élevé de ) Diminution du nombre de DELD et de DEFM âgés de moins de 25 ans Une économie locale fortement tournée vers l économie résidentielle Peu d établissements «jeunes» (âgés de moins de 2 ans) par rapport aux autres arrondissement (22% contre 30% pour la moyenne girondine) Une pérennité à 5 ans faible par rapport aux autres arrondissements. Taux de pérennité à 5 ans le moins élevé de (52% des établissements passent le cap de leur 5 ème anniversaire ; < de 5 points à la moyenne de ) 2 ème taux de création d établissements le plus faible de (10,1% ; < de 1,3 point à la moyenne girondine) Faiblesses Territoire où la part des entreprises ayant un dirigeant âgé de 55 ans et plus, est la plus élevée de (30%) 40% des établissements radiés en 2011, le sont dans le secteur de l «industrie/btp/artisanat de production» : dans ce secteur la part des établissements détruits est plus élevée que la part des établissements créés (phénomène concernant plus particulièrement les entreprises de l artisanat de production et du BTP) Plus de difficultés avec les partenaires financiers qu ailleurs : part des entrepreneurs interrogés déclarant rencontrer des difficultés avec leurs partenaires financiers la plus élevée de (26%) La part des dirigeants d entreprises interrogés déclarant ne pas avoir de projets de développement pour leur entreprise la plus élevée de (67%) Territoire qui a investi au cours des 3 derniers mois et qui compte poursuivre son effort d investissement au cours des 3 prochains Les entrepreneurs de l arrondissement anticipent une amélioration de leurs capacités de production à court terme 59% des entrepreneurs de l arrondissement de ont confiance en l avenir pour leur entreprise Même si cette part est la plus faible de, 1/3 des entrepreneurs interrogés de l arrondissement déclarent avoir des projets de développement pour leur entreprise (investissements, développement nouveaux produits, services ) Opportunités 46

47 La transmission d entreprises Constat Actions 30% du tissu économique de l arrondissement de est concerné par la problématique de transmission d entreprises (part la plus élevée de ), ce qui équivaut à presque établissements totalisant plus de emplois. Cet enjeu est d autant plus important que le panel d entreprises du territoire est composé à 95% de structures de moins de 10 salariés. Il est nécessaire de poursuivre et d accentuer la sensibilisation des entrepreneurs à la problématique de transmission de leur entreprise, à travers la mise en place de réunions d information sur le sujet (mais également concernant la reprise d entreprises), de prises de contact direct avec les entrepreneurs concernés, et de suivis individuels dans le but de les informer sur les démarches à suivre. Il est nécessaire d anticiper ce risque en amont car cette démarche est longue. La création d entreprises Constat Actions Actions Pour l année 2011, l arrondissement de a le 2 ème taux de création d établissements le plus faible de. Dans le but de pérenniser le dynamisme territorial du Libournais (1,5% d établissements en plus en 2011), il convient de poursuivre les efforts déjà engagés, de sensibilisation des acteurs potentiels (notamment les jeunes et les demandeurs d emplois) à la création d entreprises, et ainsi favoriser et susciter l envie d entreprendre sur le territoire. Dans le contexte conjoncturel actuel, il parait nécessaire de poursuivre les actions d accompagnement, et ceci aux différents stades de réflexion des porteurs de projet. L organisation d événements du type «Faites de la création» créés à l initiative de la CCI de et de la Chambre des Métiers et de l Artisanat de, est une manière efficace de sensibiliser les porteurs de projet et de susciter des vocations d entreprenariat. Renforcer et accentuer la sensibilisation des acteurs grâce à des outils marketing territoriaux, des manifestations et de réunions d information sur les dispositifs d aides existants (le «Prêt à la création», le dispositif NACRE ou encore le dispositif EPCE mis en place avec le Pôle Emploi), seraient autant de moyens de permettre de (re)donner le «goût d entreprendre» et de dissiper les craintes et autres frilosités, que pourraient avoir les futurs entrepreneurs potentiels, à cause du contexte économique actuel. De plus, il parait également nécessaire d accentuer et de renforcer les dispositifs d accompagnement spécifiques aux entreprises nouvellement créées, sur leurs premières années d existence, afin d améliorer la viabilité, le développement et la pérennité de celles-ci (taux de pérennité à 5 ans le moins élevé de ). Le secteur de l industrie/btp/artisanat de production Constat Actions En 2011, sur l arrondissement de, presque 40% des établissements radiés, le sont dans le secteur de l «industrie/btp/artisanat de production». Il faut néanmoins préciser que cette part élevée est principalement due aux difficultés rencontrées par les entreprises de l artisanat de production et du BTP (les entreprises industrielles traditionnelles étant moins concernées par ce phénomène). Afin de freiner cette tendance, une solution pourrait être de susciter l installation de nouvelles activités, pas ou peu présentes sur le territoire (problématique à mettre en parallèle avec celle de la création d entreprises), tout en diversifiant les activités. Cela pourrait passer par le développement de nouveaux produits ou services. Par ailleurs, ceci étant déjà la volonté de beaucoup de chefs d entreprises du territoire, qui ont pris conscience de cette problématique, il serait alors nécessaire de renforcer et d accentuer l accompagnement de ces dirigeants grâce à des dispositifs d aide et/ou d appui des partenaires publics mais également de renforcer l information auprès des acteurs, sur les dispositifs d aides déjà existants. 47

48 Les effectifs salariés Constat Actions Parmi les projets de développement de leur entreprise, les dirigeants d entreprises interrogés sur l arrondissement, déclarent avoir des projets de recrutement pour les prochains mois. Cependant on constate que les profils les plus recherchés sont ceux d ouvriers et d employés qualifiés. Dès lors, le développement de formations adaptées voire la diversification des formations existantes selon les besoins en main d œuvre des entreprises et l accompagnement au recrutement pourraient être une réponse à ce besoin spécifique de l arrondissement. De plus, l adaptation de la main d œuvre en recherche d emploi dans le secteur de l agriculture et de la viticulture aux offres proposées, très largement majoritaires dans ce secteur d activité, parait être un enjeu fort. Développer les réseaux Constat Actions L enquête réalisée fin janvier a démontré la prudence des entrepreneurs du territoire et leur méfiance vis-à-vis de la conjoncture économique, qu elle soit nationale ou internationale. Un certain nombre d indicateurs sont ainsi plus dans le rouge qu ailleurs ; il faut pourtant nuancer ces constats par des dynamiques rassurantes d investissement, de développement des effectifs, des capacités de production ainsi que des projets de développement. Là encore, il parait primordial de maintenir et pérenniser la mise en place de «laboratoires d idées, de projets» au travers de manifestations. L organisation en 2011 du forum «inter associations et clubs d entreprises» débouchant sur la mise en place de plan d actions, est un exemple à suivre. De plus, ces initiatives permettant d apporter des réponses concrètes, renforcent le maillage du territoire et les réseaux d affaires, favorisent et dynamisent les échanges, facilitent le transfert d informations, et suscitent l intérêt des acteurs économiques, car ils y sont directement associés. Ceci notamment grâce à la mise en place de débats débouchant sur des actions, des stratégies commerciales réalisables et partageables. Ce qui, d autre part, permet également de relativiser la crainte qu ont les chefs d entreprises sur ce qu ils ne maitrisent pas. Diversifier et densifier les activités sur le territoire Constat Actions L objectif serait d identifier des secteurs cibles sur lesquels des études approfondies seraient menées afin de repérer les éventuels maillons manquants à la chaine de valeur locale. Pour renforcer la structuration de ces secteurs et l attractivité de l arrondissement, la création des maillons manquants identifiés ou l implantation de ces savoir-faire particuliers doit être recherchée. Cet objectif est à relier avec les analyses en cours dans le cadre de l appel à projet du Conseil Général de la pour les ZA. La création d une ZED (Zone d activité d Equilibre Départemental) est une initiative qui pourrait répondre à cette problématique et positionner le Libournais comme une zone d accueil de projets d envergure et innovants, renforçant l attractivité de l arrondissement et permettant de répondre aux entreprises en recherche d espaces de qualité, à proximité de et de la métropole bordelaise. Renforcer l accompagnement d urgence aux entreprises en difficultés Actions Quel que soit le type de difficultés, ponctuelles ou plus structurelles (trésorerie, difficultés rencontrées avec les partenaires financiers, stratégie d entreprise ), les entreprises doivent avoir un relai, un partenaire clairement identifié sur le territoire vers qui se tourner en cas de questionnement et/ou de problèmes, et qui pourra, le cas échéant l orienter vers le/les partenaires les plus compétents selon les problématiques. La mise en place, par la CCIL, d une cellule de prévention des entreprises en difficultés en liaison avec le Tribunal de Commerce de et ses actions de prévention semble être une réponse à cet enjeu. 48

49 N 1 - Mars 2012 Partenaires du Baromètre de l Économie Girondine (Réalisation de l enquête Entreprises) Contact Julien POURRERE Services Études et Développement Local Chambre de Commerce et d Industrie de 125 avenue Georges Pompidou BP Cedex Tél. : j.pourrere@libourne.cci.fr Retrouvez le Baromètre de l Économie Girondine chaque trimestre en ligne sur les sites : de la Chambre de Commerce et d Industrie de : de la Chambre de Commerce et d Industrie de Bordeaux : de la DIRECCTE Aquitaine :

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