Table des matières. 1. Le segment du travail..2. A. Critères de séléction dans le lot B. Critères d exclusion du lot
|
|
- Marie-Thérèse Ménard
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Table des matières 1. Le segment du travail..2 A. Critères de séléction dans le lot B. Critères d exclusion du lot 2. Les résultats de la recherche... 4 A. Le lot d étude B. Le groupe de contrôle 3. L analyse des résultats.5 A. L analyse des résultats sur l evolution neurologique B. La répartition des cas en fonction de l evolution cognitive Conclusion...9 1
2 La démence représent une de plus redoutées maladies qui touche le troisième age et, en même temps, une des plus destructive, à cause des souffrances et dysfonctions qu elle inflige sur les patients. Recherches personnnelles Le principal but de cette recherche a été d exemplifier les accidents vasculaires cérébrales ischémiques (AVC ischémique) en tant que facteur de risque dans le processus vers la démence. Des buts sécondaires ont été pris en compte : l identification et la corrélation de la détérioration cognitive avec : La modalité d installation du AVC et la durée de la perte de connaissance ; Localisation de la lésion cérébrale causée par l AVC ; L évolution du déclin cognitiv sur le pacients soufrant d AVC ischémique. 1. Le segment du travail Ce segment est représenté par une étude rétrospective efféctuée sur un lot de 108 patients de pathologie vasculaire cérébrale ischémique supra et sous tentoriel et le diagnostique confirmé de démence vasculaire et Alzheimer. Ce lot a été composé par 108 patients victimes d un AVC ischémique, hospitalisés dans les deux cliniques de Neurologie du 1 er janvier 2006 au 31 décembre 2009 et dans les premiers deux mois de l année Les critères de séléction dans le lot d étude N : Antécédents d AVC ischémique ; Débuts entre 50 et 92 ans, habituellement après 65 ans ; Diminution progressive de la mémoire et des fonctions cognitive (aphasie, apraxie, agnosie) ; Association avec la dépression ; Troubles behaviorals. Critères d exclusion du lot d étude N : AVC hémorragique 2
3 Démence avec de corpus LEWY La maladie CREUTZFELDT JACOB Maladies neurodégénératives comme : la sclérose latérale amyotrophique, la sclérose en plaques, la leucoencéphalopathie ; La maladie de HUNTIGTON ; Démence post-anoxiques ; Démence post-traumatique. A. Les critères de séléction dans le lot d étude N1 : AVC ischémique sans troubles cognitifs de type démence ; Âge entre 50 et 92 ans. B. Critères d exclusion du lot d étude N1 : AVC hémorragique ; AVC ischémique accompagné de troubles cognitifs de type démence sans troubles behaviorals. Les 108 patients du groupe de côntrole ont l âge similaire ) l âge des personnes du lot d étude, avec des facteurs de risques sembables, mais sans évolution vers la démence. Nous avons noté les antécédents personnels, les antécédents familiaux suggestifs, ainsi que les données relatives au mode de vie. Nous avons choisi la pathologie cérébrale ischémique, puisqu elle implique une meilleure systématisation clinique et d'imagerie, en fonction du terrain touché. Les patients ont été hospitalisés et soumis aux études dans les deux cliniques de neurologie de l Hôpital de Neuropsychiatrique de Craiova, du 1 er janvier 2006 au 31 décembre Les méthodes d étude : Dans le cadre de l évaluation des cas nous avons pris en compte les points suivants : Antécédentes, facteurs de risque ; L'examen clinique des fonctions cognitives et de l état de la santé mentale, qui doit comprendre l éxamination de l attention et de la capacité de concentration, d orientation, de la mémoire à court et à long terme, de la praxie, du langage et des fonctions exécutives ; 3
4 L examen clinique général est obligatoire et il a été axé sur la pathologie associée à une maladie cérébrovasculaire ischémique et psychique, en retenant les données associées aux facteurs de risque ou celles impliquées dans la pathogenèse du AVC ischémique ou les démences ; L examen neurologique est obligatoire et nécessaire pour guider le diagnostic ; examen psychiatrique peut déceler les troubles noncognitives : symptômes psychiatriques et comportementaux souvent présents dans les premiers stades de développement, y compris les phénomènes de dépression et les troubles psychotiques, des états confusionnels, des épisodes obsessionnels, anxiété, irritabilité, la désinhibition, agitation ; Dans les cas de démence probable ou doux, l examen neuropsychologique devrait faire partie de l'examen général, avec l'application de tests d'évaluation cognitive et des échelles spécifiques pour évaluer la dépression. De ces démences, nous avons réalisé le MMSE (Mini Mental State Examination). Pour les troubles psychiatriques (d humeur, de la perception et de la pensée) et de comportement le plus commun est l'inventaire neuropsychiatrique (Neuropsychiatric inventory NPI). 2. Les résultats de la recherche A. Le lot d étude : Pour une meilleure systématisation, le lot d'étude N=108 a été divisée en quatre groupes, en fonction de la façon de s'installer de l'avc iscémique et de l'intensité de la perte de connaissance. La distribution dans les groupes a été faite par la sélection des cas. Nous avons procédé de la même manière dans l analyse du groupe de contrôle N1=108 patients. Groupe A 27 cas (sans perte de connaissance) Groupe B 27 cas (perte de connaissance pendant 60 minutes) Groupe C 27 cas (perte de connaissance du 60 à 180 minutes) Groupe D 27 cas (état comateux) B. Le groupe de contrôle : La division du groupe N1 (groupe de contrôle N1=108 cas) par sexe et sous-groupes. 4
5 Groupe A1 27 cas 15 patients sans perte de connaissance, 2 patients avec une perte de connaissance pendant 60 minutes 2 patients avec une perte de connaissance pendant 180 minutes 8 patients en état comateux. Groupe B1 27cas 8 patients sans perte de connaissance, 9 patients avec une perte de connaissance pendant 60 minutes 10 patients en état comateux. Groupe C1 27 cas 16 patients sans perte de connaissance, 5 patients avec une perte de connaissance pendant 180 minutes 6 patients en état comateux. Groupe D1 27 cas 17 patients avec une perte de connaissance pendant 60 minutes 10 patients avec une perte de connaissance pendant 180 minutes 3. L analyse des résultats de la recherche A. L analyse des résultats pour le lot N=108 sur l'évolution neurologique : o Une bonne évolution neurologique 24 des cas, o Evolution neurologique moyenne 37 des cas, o Une mauvaise évolution neurologique 47 des cas. L analyse des résultats pour le groupe de contrôle N1=108 sur l'évolution neurologique : o Une bonne évolution neurologique 46 des cas, o Evolution neurologique moyenne 44 des cas, o Une mauvaise évolution neurologique 18 des cas. 5
6 B. Répartition des cas dans le lot d'étude en fonction de l'évolution cognitive Le lot d étude En ce qui concerne le déficit cognitif sur les 108 patients inclus dans le lot, nous avons obtenu les résultats suivants : o déficit cognitif légère ( MMSE 21) 17 cas, o déficit cognitif moyen (MMSE = 10-20) 56 cas, o déficit cognitif grave (MMSE < 9) 35 cas. La répartition des cas du lot d étude en fonction de domicile : Des 108 patients : o 50 proviennent des zone rurales o 58 proviennent des zones urbaines. La répartition des cas du groupe de contrôle en fonction de domicile : Des 108 patients : o 46 proviennent des zone rurales o 62 proviennent des zones urbaines. Les résulats obtenus concernant l état de connaissance : Sur le lot d étude de 108 patientes, nous avons obtenu les résultats suivants : 27 patients n ont pas manifesté une perte de connaissance, 81 patients ont perdu connaissance. Sur le groupe de contrôle de 108 patients, nous avons obtenu les résultats suivants : 39 patients n ont pas manifesté une perte de connaissance, 28 patients ont perdu connaissance pendant 60 minutes, 17 patients ont perdu connaissance pendant 180 minutes, 24 des cas en état comateux. 6
7 Les résulats obtenus selon l âge des patients : Le lot d étude : Suite au AVC iscémique, les groupes d'âge les plus touchées ont été : Un cas de 92 ans, 18 cas d âge entre ans, 61 cas d âge entre ans, 21 cas d âge entre ans, 7 cas d âge entre ans. Le groupe de contrôle : 21 cas d âge entre ans, 48 cas d âge entre ans, 27 cas d âge entre ans, 12 cas d âge entre ans Les résulats obtenus selon le sexe des patients : Le lot d étude : Des 108 cas : 61 des patients ont été des hommes 47 des cas ont été des femmes. Le groupe de contrôle : Des 108 cas : 47 des patients ont été des hommes 61 des cas ont été des femmes. Les résultats en termes de l'intervalle de temps libre entre l AVC ischémique et l'apparition des premiers signes de la démence : Le lot d étude : 2 mois 2 cas 6 mois 9 cas 7
8 8 mois 1 cas 11 mois 3 cas 1 an 43 cas 2 ans 48 cas 3 ans 10 cas 4 ans 4 cas 5 ans 2 cas 6 ans 5 cas 8 ans 1 cas. Les résultats en termes de terrain de la lésion vasculaire cérébrale ischémique : Le lot d étude : 51 des cas ont souffert des lésions vasculaires cérébrales ischémique situées dans l artère carotide moyenne droite 50 des cas ont souffert des lésions vasculaires cérébrales ischémique situées dans l artère carotide moyenne gauche 6 des cas ont souffert des lésions vasculaires cérébrales ischémique situées dans l artère cérébrale postérieure 1 cas dans l artère cérébrale antérieure. Le groupe de contrôle : 48 des cas ont souffert des lésions vasculaires cérébrales ischémique situées dans l artère carotide moyenne droite 49 des cas ont souffert des lésions vasculaires cérébrales ischémique situées dans l artère carotide moyenne gauche 5 des cas ont souffert des lésions vasculaires cérébrales ischémique situées dans l artère cérébrale antérieure 6 des cas ont souffert des lésions vasculaires cérébrales ischémique situées dans l artère cérébrale postérieure. 8
9 Les résultats en termes de lésion unilatérale ou bilatérale : Le lot d étude : 67 des cas ont présenté des lésions vasculaires cérébrales inschémiques unilatérale 41 des cas ont présenté des lésions vasculaires cérébrales inschémiques bilatérales. Le groupe de contrôle : 75 des cas ont présenté des lésions vasculaires cérébrales inschémiques unilatérale 33 des cas ont présenté des lésions vasculaires cérébrales inschémiques bilatérales. Conclusion : Les arguments suivants ont été tirés sur le fondement des recherches menées et leur mise en discussion : 1. L AVC de type ischémique est un facteur de risque de la démence et non pas sa cause, car nous avons remarqué une equivalence d analyse entre les groupes N et N1 en ce qui concerne les principaux points clinico-évolutifs. 2. L AVC ischémique este susceptible de devenir significatif dans l évolution vers la démence dans les conditions suivantes : A. Le terrain de l accident Le terrain de l artère carotide moyenne droite le plus des cas d AVC 51 cas L artère carotide moyenne gauche 50 cas L artère cérébrale postérieure 6 cas L artère cérébrale postérieure un cas. B. Le positionnement de la lésion : Unilatérale 67 des cas, Bilatérale 41 des cas. C. La durée entre l AVC et la progression de la démence : 9
10 Un an d'intervalle de temps libre entre l AVC ischémique et l'apparition des premiers signes de la démence pour la plupart des cas (43 cas), 2 ans pour 28 des cas 3 ans pour 10 des 108 cas. 3. Au contraire de l opionion des spécialists, la perte de connaissance et sa durée à l installation de l AVC n a pas influencé de manière importante le progress vers la démence. En outre, une durée prolongée et les états comateux peuvent être considérés en tant que facteurs de risque. 4. Plusieurs aspects ont joué un rôle de protection contre l évolution de l AVC vers la démence : l âge, le milieu social, le sexe, les comorbidités, le positionnement de la lésion. 5. Les facteurs de risque de l évolution de l AVC vers la démence sont : Les facterus de risca HTA 107 cas Les lésions ischémiques cardiaques - 84 cas La dyslipidémie 60 cas Une mauvaise évolution neurologique 47 cas La perte de connaissance pendat 180 minutes 27 cas L état comateux 24 cas Le diabète sucré 13 cas La présence d une perte de connaissance prolongée 27 cas Le cumul de factereurs de risque augmente le danger de dégradation cognitive vers la démence. 6. l AVC ischémique représente un véritable problème de santé, en dépit du fait que la dégradation cognitve peut être anticipée par une correcte analyse des facteurs de risque evolutif. Ces derniers peuvent être regroupés en : facteurs qui dependent du positionnement de l AVC ( les lésions bilatérales) et les facteurs de risque independents ( l hypertension, les lésions ischémiqes cardiaques, la dyslipidémie, le diabète sucré). 7. La corrélation de l AVC ischémique et de la durée de la perte de connaissance à son installation peut être vue comme un indicateur utile pour le spécialist afin d anticiper le potentiel evolutif vers la dégradation cognitive et la prise de mesures thérapeutiques adequates. 10
admission aux urgences
Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : admission
Plus en détailadmission directe du patient en UNV ou en USINV
Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : admission
Plus en détailLa prise en charge de l AVC ischémique à l urgence
La prise en charge de l AVC ischémique à l urgence Nathalie Bourdages, inf., B. Sc., conseillère en soins infirmiers, Direction des soins infirmiers et des regroupement clientèles, Centre hospitalier de
Plus en détailPROGRESSEZ EN SPORT ET EN SANTÉ. Mieux vivre avec ma maladie chronique, Me soigner par l activité physique Programmes Santé
PROGRESSEZ EN SPORT ET EN SANTÉ Mieux vivre avec ma maladie chronique, Me soigner par l activité physique Programmes Santé À chacun son stade! Votre profil est unique, votre réponse à l exercice physique
Plus en détaildéclarations d assurabilité en cas d accident (invalidité ou soins hospitaliers)
1 Nom Prénom Date de naissance (AAAA/MM/JJ) N o de proposition ou de contrat 1. renseignements médicaux Renseignements Oui Non médicaux 1. Prenez-vous des médicaments? Cocher OUI ou NON. 2. Au cours des
Plus en détailMIEUX COMPRENDRE CE QU EST UN ACCIDENT VASCULAIRE CÉRÉBRAL AVC
MIEUX COMPRENDRE CE QU EST UN ACCIDENT VASCULAIRE CÉRÉBRAL AVC SOMMAIRE UN QUIZ POUR FAIRE UN POINT SUR MES CONNAISSANCES Un quiz pour faire un point sur mes connaissances 3 Vrai Faux Qu est-ce que l on
Plus en détailCalendrier des formations INTER en 2011
Calendrier des formations INTER en 2011 THEMES Liste des formations INTER MOTIVEZ ET DYNAMISEZ VOS EQUIPES 98 % de participants satisfaits et se sentant reconnus à la sortie de nos formations! L environnement
Plus en détailAssurance maladie grave
ASSURANCE COLLECTIVE Le complément idéal à votre assurance collective Assurance maladie grave Votre partenaire de confiance. Assurance maladie grave La tranquillité d esprit à votre portée Les progrès
Plus en détailComplément à la circulaire DH/EO 2 n 2000-295 du 30 mai 2000 relative à l'hospitalisation à domicile
http://www.sante.gouv.fr/adm/dagpb/bo/2001/01-01/a0010017.htm Bulletin Officiel n 2001-1 Direction de l'hospitalisation et de l'organisation des soins Page 1 sur 6 Complément à la circulaire DH/EO 2 n
Plus en détailGUICHET D ACCESSIBILITÉ MÉDICALE Vous êtes à la recherche d'un médecin de famille? Clientèle visée
GUICHET D ACCESSIBILITÉ MÉDICALE Vous êtes à la recherche d'un médecin de famille? Clientèle visée La clientèle ciblée par ce service est la clientèle dite orpheline. Il s agit des personnes de tous âges
Plus en détailGUICHET D ACCÈS À UN MÉDECIN DE FAMILLE
GUICHET D ACCÈS À UN MÉDECIN DE FAMILLE Vous êtes à la recherche d un médecin de famille? Le CSSS-IUGS peut vous aider. Inscrivez-vous au guichet d accès à un médecin de famille en remplissant le formulaire
Plus en détailÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE
ÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE PRISE EN CHARGE SYSTÉMATISÉE DES PERSONNES ATTEINTES D HYPERTENSION ARTÉRIELLE SOCIÉTÉ QUÉBÉCOISE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE 23 ÉVALUATION DE
Plus en détailN o de contrat : Je demande par la présente une révision de la surprime concernant le numéro de contrat susmentionné. Signé à ce jour de 20
RÉVISION DE SURPRIME Nom : Prénom : Date de naissance : - - Année Mois Jour N o de contrat : Je demande par la présente une révision de la surprime concernant le numéro de contrat susmentionné. Signé à
Plus en détailL hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines
L hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines Hôpital de jour (HDJ) Permet des soins ou examens nécessitant plateau
Plus en détailInfirmieres libérales
Détail des programmes- Feuillets complémentaires à la plaquette générale Infirmieres libérales Stages courts 2012 Durées et dates disponibles sur un calendrier en annexe Santé formation Formations gratuites
Plus en détailMarchés des groupes à affinités
Marchés des groupes à affinités Guide du produit destiné aux conseillers Régime d assurance maladies graves Chèque-vie MD de base La Compagnie d Assurance-Vie Manufacturers Le produit en bref Nul n aime
Plus en détailVotre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express
Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Ce guide des définitions des
Plus en détailTélé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale :
Télé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale : Docteur DARY Patrick, Cardiologue, Praticien Hospitalier Centre Hospitalier de St YRIEIX - Haute Vienne 87500 Situé
Plus en détailDémence et fin de vie chez la personne âgée
Démence et fin de vie chez la personne âgée Dr C le Provost Gériatre C.H.B.A Vannes Dr M Michel Gériatre C.H.U Rennes Démence et fin de vie Sujet grave: la mort la «de mens» = être privé de son esprit
Plus en détailSophie Blanchet, Frédéric Bolduc, Véronique Beauséjour, Michel Pépin, Isabelle Gélinas, et Michelle McKerral
Le traumatisme cranio-cérébral léger chez les personnes âgées : impact sur les processus mnésiques et exécutifs - Mise en relation avec les habitudes de vie Sophie Blanchet, Frédéric Bolduc, Véronique
Plus en détailIschémie myocardique silencieuse (IMS) et Diabète.
Ischémie myocardique silencieuse (IMS) et Diabète. A propos d un cas clinique, sont rappelés: - les caractères cliniques et pronostiques de l IMS chez le diabétique, - la démarche de l identification de
Plus en détailprise en charge médicale dans une unité de soins
Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : prise en
Plus en détailMarche à suivre pour importer votre base de données Guide santé CV MC ) (Réservé à l usage de Clinemetrica)
December 1, 2010 Klick Inc. Marche à suivre pour importer votre base de données Guide santé CV MC ) (Réservé à l usage de Clinemetrica) Les utilisateurs de l application Guide santé CV MC qui souhaitent
Plus en détailDéclaration médicale Prise d effet le 1 er octobre 2012
Assurance voyage et soins médicaux Déclaration médicale Prise d effet le 1 er octobre 2012 Nom : Date de naissance : JJ / MM / AAAA Numéro de membre : Numéro de police : DIRECTIVES POUR LE PROPOSANT IL
Plus en détailDéficit neurologique récent. Dr N. Landragin CCA Neuro
Déficit neurologique récent Dr N. Landragin CCA Neuro Question vague: couvre toute la neurologie... ou presque... comprendre une démarche diagnostique en neurologie...? Cas clinique n 1 Mlle M, 21 ans,
Plus en détailDéfinitions. PrioritéVie MC. Votre assurance contre le risque de maladie grave
Définitions PrioritéVie MC Votre assurance contre le risque de maladie grave Le présent document ne constitue qu un exemple de libellé et n a aucune force exécutoire. En cas de divergence entre les renseignements
Plus en détailLes maladies vasculaires cérébrales
Les maladies vasculaires cérébrales Zlokovic et Apuzzo. Neurosurgery 1998; 43(4): 877-78 cité sur http://www.ohsu.edu/bbb/forprof_program.html Centre Mont-Royal, 5 juin 2014 Dr Yan Deschaintre Présentateur
Plus en détailLa prise en charge de votre maladie, l accident vasculaire cérébral
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre maladie, l accident vasculaire cérébral Vivre avec un accident vasculaire cérébral Octobre 2007 Pourquoi ce guide? Votre
Plus en détailMigraine et Abus de Médicaments
Migraine et Abus de Médicaments Approches diagnostiques et thérapeutiques des Céphalées Chroniques Quotidiennes Pr D. DEPLANQUE Département de Pharmacologie médicale EA 1046, Institut de Médecine Prédictive
Plus en détailAgenda. Prevalence estimates in France PAQUID 23/11/14. Workshop Innovation Alzheimer 6 Novembre 2014. Atelier BANQUE NATIONALE ALZHEIMER
23/11/14 Workshop Innovation Alzheimer 6 Novembre 2014 Atelier BANQUE NATIONALE ALZHEIMER Agenda La Banque Nationale Alzheimer Exemples d application Quelles potentialités pour la BNA? (à quelles conditions?)
Plus en détailGuide des définitions des maladies graves
Guide des définitions des maladies graves Assurance maladies graves Sun Life La vie est plus radieuse sous le soleil Guide des définitions des maladies graves Ce guide vous aidera à comprendre les maladies,
Plus en détailALTO : des outils d information sur les pathologies thromboemboliques veineuses ou artérielles et leur traitement
Communiqué de presse Bayer HealthCare S.A.S. Parc Eurasanté 220, avenue de la Recherche 59120 LOOS France Tel.+333 28 16 34 00 www.bayerhealthcare.fr Favoriser l observance avec ALTO : l engagement de
Plus en détailASSURANCE COLLECTIVE DÉCLARATION D'ASSURABILITÉ
ASSURANCE COLLECTIVE DÉCLARATION D'ASSURABILITÉ Déclaration d'assurabilité (Assurance collective) Partie 1 - Identification N o de police : N o de sous-groupe : N o du certifi cat : Nom de l'employeur
Plus en détailL évaluation du conducteur au cabinet, clé en main Claire Bouchard
L'évaluation médicale au cœur de la sécurité routière L évaluation du conducteur au cabinet, clé en main Claire Bouchard 2 M. Jacques Tremblay a pris rendez-vous pour renouveler son ordonnance et aussi
Plus en détailQu est-ce que la fibrillation auriculaire? (FA)
Qu est-ce que la fibrillation auriculaire? (FA) Qu est-ce que la fibrillation auriculaire? La fibrillation auriculaire (FA) est le trouble du rythme le plus répandu. Certains signaux du cœur deviennent
Plus en détailCéphalées vues aux Urgences. Dominique VALADE Centre d Urgence des Céphalées Hôpital Lariboisière PARIS
Céphalées vues aux Urgences Dominique VALADE Centre d Urgence des Céphalées Hôpital Lariboisière PARIS Deux Objectifs aux Urgences Identifier les céphalées à risque vital Optimiser le traitement des céphalées
Plus en détailObjectifs et Modalités. Présentation : Dr M. Hours, INRETS
Objectifs et Modalités Présentation : Dr M. Hours, INRETS Objectifs du projet Identifier les facteurs pronostiques de handicap et/ou de mauvaise réinsertion des victimes d accidents de la circulation Sous-
Plus en détailprise en charge paramédicale dans une unité de soins
Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : prise en
Plus en détailAssurance soins de longue durée
Assurance soins de longue durée Protection Temporelle Guide de l assuré GUIDE DE L ASSURÉ 1 Et si vous ne pouviez plus prendre soin de vous-même? Les progrès de la médecine et les meilleures conditions
Plus en détailVille : Province : Code postal : Date de naissance : jour mois année Date de naissance : jour mois année
Assurance médicale Choix du voyageur L assurance est souscrite auprès de la Compagnie d Assurance Générale CUMIS, l une des sociétés du Groupe Co-operators. Proposition d assurance page 1 2015-2016 Bureau
Plus en détailGUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE
GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE SOURCES : ligues reins et santé A LA BASE, TOUT PART DES REINS Organes majeurs de l appareil urinaire, les reins permettent d extraire les
Plus en détailDon d organes et mort cérébrale. Drs JL Frances & F Hervé Praticiens hospitaliers en réanimation polyvalente Hôpital Laennec, Quimper
Don d organes et mort cérébrale Drs JL Frances & F Hervé Praticiens hospitaliers en réanimation polyvalente Hôpital Laennec, Quimper La mort cérébrale Cessation irréversible de toute fonction cérébrale
Plus en détailL ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE DU PATIENT EN 15 QUESTIONS - RÉPONSES
L ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE DU PATIENT EN 15 QUESTIONS - RÉPONSES CONTEXTE 1. Pourquoi avoir élaboré un guide sur l éducation thérapeutique du En réponse à la demande croissante des professionnels de santé
Plus en détailContenu. Introduction. Établissement des priorités pour l élaboration des indicateurs. Retrait de certains indicateurs. Répondants au sondage
Contenu Introduction Répondants au sondage Établissement des priorités pour l élaboration des indicateurs Pour chacun des quadrants Pour les dimensions des quadrants Retrait de certains indicateurs Indicateurs
Plus en détailRééducation des accidents vasculaires cérébraux
Module «Système nerveux central et MPR» Septembre 2008 Rééducation des accidents vasculaires cérébraux G. Rode, S. Jacquin-Courtois, A. Yelnik Ce document est le support des cours «AVC» faits lors de la
Plus en détailMigraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques
Migraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques Dr Solène de Gaalon Service de neurologie- CHU Nantes Société française des migraines et céphalées Céphalées de tension
Plus en détailQuestions / Réponses. Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées
Questions / Réponses Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées Quelques chiffres sur les troubles du sommeil et la consommation de benzodiazépines
Plus en détailTable des matières. Relation entre le syndrome d'apnées du sommeil et les maladies. But de l'étude, hypothèses de recherche et objectifs 46
Table des matières SOMMAIRE LISTE DES TABLEAUX LISTE DES ABRÉVIATIONS REMERCIEMENTS ii vii ix xi INTRODUCTION 1 CONTEXTE THÉORIQUE 5 Le système vasculaire cérébral 6 L'ischémie cérébrale transitoire 9
Plus en détailGuide de référence rapide Prise en charge des douleurs cervicales et des troubles concomitants de stade I et II
Guide de référence rapide Prise en charge des douleurs cervicales et des troubles concomitants de stade I et II Symptômes 3 mois après la collision Symptômes > 3 mois après la collision Pour toutes les
Plus en détailDroits des personnes malades en fin de vie
R S L S Droits des personnes malades en fin de vie Dr. R. Mislawski Médecin coordonnateur, Docteur en droit Sommaire Introduction 1 Domaine de la loi 2 Conditions de fond de mise en œuvre de la loi 3 Critères
Plus en détailLA VIE QUOTIDIENNE APRÈS UN AVC AVC
AVC LA VIE QUOTIDIENNE APRÈS UN AVC 7 SOMMAIRE Rappel 3 Quels professionnels pour le retour à domicile? 4 Une journée type 5 L aménagement du domicile 8 Les loisirs 8 Les vacances 9 La sexualité 10 Mettre
Plus en détailLa migraine. Foramen ovale perméable. Infarctus cérébral (surtout chez la femme)
La migraine 1/Introduction : Céphalée primaire (sans lésion sous-jacente). Deux variétés principales: Migraine sans aura (migraine commune). Migraine avec aura (migraine accompagnée). Diagnostic: interrogatoire
Plus en détailPRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS
PRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS Dr Mourot cardiologue Hôpital d Auxerre le 31 mars 2012 PLAN DE LA PRESENTATION ASSOCIATION
Plus en détailAssurance solde de carte de crédit BMO
Date First Name Last Name Address line 1 Address line 2 City, PR Postal Code Assurance solde de carte de crédit BMO Sommaire de la couverture Certificat n o XXXXXXXXXX Date d effet : Application date Taux
Plus en détailSOIXANTE-SEPTIÈME ASSEMBLÉE MONDIALE DE LA SANTÉ A67/18 Point 13.5 de l ordre du jour provisoire 21 mars 2014. Psoriasis. Rapport du Secrétariat
SOIXANTE-SEPTIÈME ASSEMBLÉE MONDIALE DE LA SANTÉ A67/18 Point 13.5 de l ordre du jour provisoire 21 mars 2014 Psoriasis Rapport du Secrétariat 1. Le Conseil exécutif, à sa cent trente-troisième session,
Plus en détailSpécial Praxies. Le nouveau TVneurones est enfin arrivé! Les métiers. NOUVEAUX JEUX de stimulation cognitive, orientés praxies.
Enfants Adolescents AdultesPersonnesÂgéesPlasticité NeuronalePathologiesMaintienCognitif MémoireAttentionLangage FonctionsExécutivesVisuoSpatial Les métiers Spécial Praxies Le nouveau est enfin arrivé!
Plus en détailIMR PEC-5.51 IM V2 19/05/2015. Date d'admission prévue avec le SRR : Date d'admission réelle : INFORMATIONS ADMINISTRATIVES ET SOCIALES
DOSSIER D ADMISSION 1/6 Date d'admission souhaitée : Date de la demande : Date d'admission prévue avec le SRR : Date d'admission réelle : INFORMATIONS ADMINISTRATIVES ET SOCIALES Renseignements administratifs
Plus en détailDéfinitions. MALADIES GRAVES Protection de base Protection de luxe. PROTECTION MULTIPLE pour enfant
Définitions MALADIES GRAVES Protection de base Protection de luxe PROTECTION MULTIPLE pour enfant Voici les définitions des maladies graves et non critiques que vous pouvez retrouver dans les garanties
Plus en détailIMMED Monitoring vidéo porté
IMMED Monitoring vidéo porté L indexation vidéo au service du soin des personnes Projet financé par PEPS S2TI CNRS et des bourses BQR de l Université Bordeaux 1 1 Contexte Maladies et dépendances liées
Plus en détailASSURANCE COLLECTIVE RÉSUMÉ DES GARANTIES. Régime d assurance collective multi-employeur RAPNQ-RBA
ASSURANCE COLLECTIVE RÉSUMÉ DES GARANTIES Régime d assurance collective multi-employeur RAPNQ-RBA Mars 2014 des garanties d assurance Assurance vie de base Adhérent Option 1 : 1 fois le salaire annuel
Plus en détailLes nouveaux anticoagulants oraux (NAC)
Les nouveaux anticoagulants oraux (NAC) Dr Jean-Marie Vailloud Cardiologue libéral/ salarié (CHU/clinique) Pas de lien d'intérêt avec une entreprise pharmaceutique Adhérent à l'association Mieux Prescrire
Plus en détailMÉMENTO DES AIDES DESTINÉES AUX PERSONNES VICTIMES D UN AVC AVC
MÉMENTO DES AIDES DESTINÉES AUX PERSONNES VICTIMES D UN AVC AVC 5 SOMMAIRE Rappel 3 1) Mémento des aides 4 La prise en charge des dépenses de santé 4 L indemnisation en cas d arrêt de travail 5 Le domaine
Plus en détailLe modèle conceptuel de gestion des connaissances (Ballay, 2000)
Le modèle conceptuel de gestion des connaissances (Ballay, 2000) 1. Utilité d un modèle conceptuel en courtage de connaissances 2. Cycle de gestion et courtage des connaissances 1. Capitaliser 2. Apprécier
Plus en détailLa fibrillation auriculaire : au cœur du problème
La fibrillation auriculaire : au cœur du problème Cette brochure a été spécialement conçue pour les personnes souffrant de fibrillation auriculaire (FA), un trouble souvent décrit comme un rythme cardiaque
Plus en détailI/ Qu est-ce que l aphasie? French
I/ Qu est-ce que l aphasie? French Vous avez, vraisemblablement, récemment eu à faire à l aphasie et ce, pour la première fois. L aphasie appelle d emblée quelques questions comme : qu est-ce que l aphasie,
Plus en détailCéphalées. 1- Mise au point sur la migraine 2- Quand s inquiéter face à une céphalée. APP du DENAISIS
Céphalées 1- Mise au point sur la migraine 2- Quand s inquiéter face à une céphalée EPU DENAIN -14 novembre 2006 Dr Kubat-Majid14 novembre 2006 Dr KUBAT-MAJID Céphalées 1 Mise au point sur la migraine
Plus en détailCommuniqué de presse. Merck Serono. 18 septembre 2008
Communiqué de presse 18 septembre 2008 Merck Serono annonce le lancement de l'essai clinique ORACLE MS destiné à évaluer la cladribine en comprimés chez des patients à risque de développer une sclérose
Plus en détailN.-B. 18 à 34 24,3 28,1 20,1 24,4. 35 à 54 36,7 23,0 31,6 49,3 55 à 64 18,7 18,7 21,3 16,9 65 et plus 20,3 30,2 26,9 9,4
Profil démographique 1 18 à 34 24,3 28,1 20,1 24,4 Groupe d âge 35 à 54 36,7 23,0 31,6 49,3 55 à 64 18,7 18,7 21,3 16,9 65 et plus 20,3 30,2 26,9 9,4 Sexe Niveau de scolarité Homme 48,0 40,5 47,8 52,3
Plus en détailAméliorer la qualité du système de santé et maîtriser les dépenses : propositions de l Assurance Maladie pour 2014
Améliorer la qualité du système de santé et maîtriser les dépenses : propositions de l Assurance Maladie pour 2014 RAPPORT AU MINISTRE CHARGÉ DE LA SÉCURITÉ SOCIALE ET AU PARLEMENT SUR L ÉVOLUTION DES
Plus en détailCréation d interfaces facilitant l utilisation de tablettes tactiles par les personnes hébergées dans l établissement
Création d interfaces facilitant l utilisation de tablettes tactiles par les personnes hébergées dans l établissement CISS Limousin : trophée des usagers 1 Préambule La tablette tactile est un outil caractérisé
Plus en détailLa prise en charge de votre artérite des membres inférieurs
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre artérite des membres inférieurs Vivre avec une artérite des membres inférieurs Novembre 2007 Pourquoi ce guide? Votre
Plus en détailLe VIH et votre cœur
Le VIH et votre cœur Le VIH et votre cœur Que dois-je savoir au sujet de mon cœur? Les maladies cardiovasculaires représentent une des cause les plus courante de décès, elles incluent: les maladies coronariennes,
Plus en détailL indépendance à chaque pas de la vie. Groupe. Votre meilleur allié. Visitez notre site : www.groupe-g2m.com
L indépendance à chaque pas de la vie. Votre meilleur allié. Groupe Visitez notre site : www.groupe-g2m.com : Votre meilleur allié. Dispositif médical unique Le système WalkAide est une neuro-orthèse de
Plus en détailApplication DCC Réseau ONCOLIE --- Application DMI Réseau Gérontologique de Baumes Les Dames ---- Application RAPID Réseau RAPIDFR-NAT
ATELIER PROJETS REGIONAUX DEMONSTRATION Application DCC Réseau ONCOLIE --- Application DMI Réseau Gérontologique de Baumes Les Dames ---- Application RAPID Réseau RAPIDFR-NAT 1 I. CONTEXTE L Agence Régionale
Plus en détailLes technologies de l information, support de la réorganisation territoriale
Les technologies de l information, support de la réorganisation territoriale Pierre Simon Président de l Association Nationale de Télémédecine (ANTEL) De quoi parlons-nous? Le cadre de la santénumérique
Plus en détailPeut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY
Peut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY A quoi sert l imagerie conventionnelle dans le diagnostic
Plus en détailLe contexte. Définition : la greffe. Les besoins en greffons en constante augmentation
Présentation Le contexte Quels donneurs, quels organes? Le don Pour quels malades? Les étapes d une greffe d organes Faites connaître votre choix! 01/04/2014 Union Nationale des associations de donneurs
Plus en détailRÉGIMES COLLECTIFS DESJARDINS
RÉGIMES COLLECTIFS DESJARDINS Aide-mémoire pour le nouvel employé Le site Internet des Régimes collectifs Desjardins permet aux employés d effectuer eux-mêmes leur adhésion au régime d assurance collective,
Plus en détail1ST2S Biophysiopathologie : Motricité et système nerveux. 2012-2013. La physiologie neuro-musculaire :
La physiologie neuro-musculaire : Introduction : Le neurone possède 3 propriétés indispensables pour assurer sa fonction au sein de l organisme : -l excitabilité : capacité à répondre à un stimulus -la
Plus en détailAssociation France - DFT
Association France - DFT Dégénérescences Fronto-Temporales Pour nous contacter Nous écrire Association France - DFT 41, rue de Richelieu 75001 Paris Nous adresser un mail Le site internet www.dft-france.org
Plus en détailS o m m a i r e 1. Sémiologie 2. Thérapeutique
Sommaire 1. Sémiologie... 1 Auscultation cardiaque... 1 Foyers d auscultation cardiaque... 1 Bruits du cœur... 1 Souffles fonctionnels... 2 Souffles organiques... 2 Souffle cardiaque chez l enfant... 3
Plus en détailUn guide à l attention des familles et proches COMA ET ÉTATS DE CONSCIENCE ALTÉRÉE SUITE À UNE ATTEINTE CÉRÉBRALE
Un guide à l attention des familles et proches COMA ET ÉTATS DE CONSCIENCE ALTÉRÉE SUITE À UNE ATTEINTE CÉRÉBRALE Table des matières Introduction...2 Qu est-ce que la conscience?...3 Comment la conscience
Plus en détailDépression. du sujet âgé. Docteur Patrick Frémont. Professeur Joël Belmin. Psychiatrie
360 Psychiatrie Dépression du sujet âgé Docteur Patrick Frémont Service de Psychiatrie, Hôpital de Lagny-sur-Marne, Marne-la-Vallée Professeur Joël Belmin Service de Gériatrie, Hôpital Charles-Foix, Ivry-sur-Seine
Plus en détailÉducation permanente des conseillers
Éducation permanente des conseillers connaissances formation permanente éducation en ligne participation Description générale de l assurance de soins de longue durée. Objectifs d apprentissage Après avoir
Plus en détailPSYCHOSOMATIQUE, RELAXATION, PSYCHOTHERAPIES A MEDIATION CORPORELLE
UNIVERSITE MONTPELLIER 1 DIPLOME UNIVERSITAIRE PSYCHOSOMATIQUE, RELAXATION, PSYCHOTHERAPIES A MEDIATION CORPORELLE Option A: Psychosomatique, thérapies de relaxation. Option B: Psychosomatique et psychothérapies
Plus en détailo Anxiété o Dépression o Trouble de stress post-traumatique (TSPT) o Autre
Page 1 Garantie Responsabilité civile - Lésions corporelles de l assurance automobile - Étude des dossiers de demande d indemnisation fermés en Ontario Descriptions des blessures Élaborées à partir des
Plus en détailSYSTEMES D INFORMATION EN SANTE Journée régionale du 12 janvier 2012 - Blois
SYSTEMES D INFORMATION EN SANTE Journée régionale du 12 janvier 2012 - Blois La télémédecine au service des soins de 1 er recours et de l aménagement du territoire dominique.depinoy@acsantis.com Pourquoi
Plus en détailsur la valve mitrale À propos de l insuffisance mitrale et du traitement par implantation de clip
À propos de l insuffisance mitrale et du traitement par implantation de clip sur la valve mitrale Support destiné aux médecins en vue d informer les patients. À propos de l insuffisance mitrale L insuffisance
Plus en détailDéfinitions. PrioritéVie Enfant MC. Assurance contre le risque de maladie grave
Définitions PrioritéVie Enfant MC Assurance contre le risque de maladie grave Le présent document ne constitue qu un exemple de libellé et n a aucune force exécutoire. En cas de divergence entre les renseignements
Plus en détailLe fardeau des maladies, troubles et traumatismes neurologiques au Canada CANADIAN BRAIN AND NERVE HEALTH COALITION
Le fardeau des maladies, troubles et traumatismes neurologiques au Canada canadian neurological sciences Federation F é d é ration des sciences neurologiques du Canada CANADIAN BRAIN AND NERVE HEALTH COALITION
Plus en détailDemande de règlement invalidité Demande initiale
www.inalco.com Demande de règlement invalidité À L INDUSTRIELLE ALLIANCE, CE QUI COMPTE C EST VOUS! Veuillez transmettre le formulaire dûment rempli au bureau de votre région : Québec C. P. 800, succursale
Plus en détailRÉFÉRENCES ET RECOMMANDATIONS MEDICALES
CHAPITRE VI RÉFÉRENCES ET RECOMMANDATIONS MEDICALES I - Situation juridique La notion de références médicales opposables (RMO) est apparue dans la convention nationale des médecins de 1993. La réforme
Plus en détailDélivrance de l information à la personne sur son état de santé
Délivrance de l information à la personne sur son état de santé Mai 2012 Préambule Le contenu et les qualités de l information Les modalités de la délivrance de l information L information du mineur, du
Plus en détailProgramme de prise en charge et de suivi en anticoagulothérapie
Programme de prise en charge et de suivi en anticoagulothérapie (PEACE) Médecins réviseurs : Dr Steve Brulotte, cardiologue, CSSSAD-Lévis Dr Daniel D Amours, cardiologue, CHU Dr Guy Boucher, cardiologue,
Plus en détailLivret d information destiné au patient MIEUX COMPRENDRE LA FIBRILLATION ATRIALE ET SON TRAITEMENT
Livret d information destiné au patient MIEUX COMPRENDRE LA FIBRILLATION ATRIALE ET SON TRAITEMENT Introduction Votre médecin vous a diagnostiqué un trouble du rythme cardiaque nommé fi brillation atriale.
Plus en détailCONTRAINTES PSYCHOLOGIQUES ET ORGANISATIONNELLES AU TRAVAIL ET SANTE CHEZ LE PERSONNEL SOIGNANT DES CENTRES HOSPITALIERS:
CONTRAINTES PSYCHOLOGIQUES ET ORGANISATIONNELLES AU TRAVAIL ET SANTE CHEZ LE PERSONNEL SOIGNANT DES CENTRES HOSPITALIERS: Infirmier(e)s et aides soignant(e)s ETUDE ORSOSA État de santé, conditions de travail
Plus en détailDiplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences
Annexe II Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Les référentiels d activités et de compétences du métier d infirmier diplômé d Etat ne se substituent pas au cadre réglementaire. En effet,
Plus en détailLes Migraines et les céphalées. Dr G.Hinzelin Migraines et Céphalées Migraines et Céphalées La migraine représente entre 5 à 18% de la population française selon le sexe et en fonction des études. Est
Plus en détail«Tout le monde devrait faire une psychothérapie.»
«Tout le monde devrait faire une psychothérapie.» Moins je me connais, mieux je me porte. Clément Rosset, Loin de moi, 1999 Faut-il tout «psychiatriser»? Tout événement de vie difficile tel qu une rupture
Plus en détail