Edition Bourgogne Prairies n du Prairies n 3 du 28 juillet 2017

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1 Edition Bourgogne Prairies n du Le Bulletin de Santé du Végétal (BSV) est rédigé par les animateurs filière suite à la synthèse des données remontées par les observateurs du réseau de surveillance en Bourgogne-Franche-Comté. Dans le cadre du BSV prairie, cette surveillance du territoire doit permettre de caractériser le degré d infestation en campagnols terrestres et taupes dans les prairies et de localiser les zones géographiques à faible risque et celles à risque élevé d infestation. En Franche-Comté le BSV prairie paraît 5 fois par an et 3 fois en Bourgogne, au printemps (mars-avril), après les fenaisons (juin-juillet) et à l automne (octobre-novembre). Il est alimenté par les observations des animateurs filière ainsi que celles de contributeurs volontaires. CAMPAGNOL TERRESTRE, Arvicola terrestris Zoom sur le retournement des prairies : un des outils de lutte raisonnée Charquemont Lutte Anti Campagnols FREDON FC Si la stratégie de lutte raisonnée contre le campagnol terrestre propose le retournement des prairies, quelques précautions s imposent dans le cadre de l application du paiement vert et de la protection des prairies permanentes Tour d horizon (Source : MAAF) Dans le cadre de la PAC 2015/2020, un des trois critères du verdissement vise la protection des prairies ou pâturages permanents. Le critère prairies permanentes concerne toutes les exploitations bénéficiant du paiement vert, hormis les exploitations intégralement en agriculture biologique ou qui ne possèdent pas de surfaces en prairies permanentes, qui sont réputées vérifier ce critère.

2 Est prairie ou pâturage permanents toute surface dans laquelle l'herbe ou d'autres plantes fourragères herbacées prédominent depuis cinq années révolues ou moins (sixième déclaration PAC ou plus) ; sont également prairies permanentes les landes, parcours et estives, même pour les surfaces adaptées au pâturage et relevant des pratiques locales établies dans lesquelles l'herbe et les autres plantes fourragères herbacées ne prédominent pas traditionnellement. Toute prairie temporaire qui n'a pas été déplacée (même si elle a été entre temps labourée et ré-ensemencée), devient prairie ou pâturage permanents au bout de cinq ans révolus. Le critère du verdissement relatif aux prairies permanentes comporte deux composantes : - le suivi au niveau régional de la part des surfaces en prairie ou pâturage permanent dans la surface agricole utile (SAU), pour éviter une dégradation ; - La protection des prairies et pâturages permanents dits sensibles. 1. Le maintien d'un ratio de prairies permanentes La part de la surface agricole (SAU) en prairie et pâturage permanents sera calculée chaque année en fin de campagne, au second semestre, à compter de l'année 2015 : ce ratio tiendra compte des surfaces en prairie et pâturages permanents et de la SAU de toutes les exploitations soumises aux exigences du verdissement. Ce ratio, calculé au niveau régional, est comparé au ratio de référence pour cette région, calculé sur l'année 2012 et réactualisé en 2015 pour tenir compte des prairies créées. Niveau 1 : régime d'autorisation En cas de dégradation du ratio de plus de 2, 5 % dans une région, un dispositif d'autorisation sera mis en place. Les conversions de prairie et pâturage permanents (en terre arable ou culture permanente) devront faire alors l'objet d'une autorisation administrative préalable. Les critères d'autorisation seront définis au plan national et mis en œuvre au plan régional. Ils comporteront les exploitants : s'engageant à établir une surface en prairie permanente équivalente à la surface convertie ; relevant d'une procédure AGRIDIFF ; dont la surface agricole utile de l'exploitation d'élevage comporte une large part de prairies et pâturages permanents, et qui souhaitent améliorer leur autonomie fourragère ; qui sont jeunes agriculteurs ou nouveaux installés, et qui souhaitent retourner une partie des surfaces en herbe récupérées dans la nouvelle exploitation. Un exploitant convertissant, dans ce cas, sa prairie ou son pâturage permanent sans autorisation s'exposera à une réduction/sanction sur son paiement vert. Niveau 2 : obligation de réimplantation En cas de dégradation du ratio de plus de 5 % dans une région, les conversions de prairies et pâturages permanents seront interdites (sauf cas de déplacement d'une surface en prairie ou pâturage permanent), et des réimplantations en prairie permanente seront demandées à certains exploitants de la région afin de ramener cette dégradation en deçà de 5 %. Les réimplantations viseront en premier lieu les exploitants ayant à leur disposition des surfaces converties sans autorisation (y compris des surfaces converties par un exploitant précédent), le reliquat de réimplantation nécessaire étant réparti sur les exploitants ayant à leur disposition des surfaces converties avec autorisation. Les conversions sur les deux campagnes précédant la constatation du ratio seront concernées (sur les trois campagnes précédentes en 2015).

3 Les surfaces réimplantées seront considérées comme des prairies permanentes dès la première année de leur réimplantation et devront rester en prairie permanente pendant au moins 5 ans à compter de leur création. Dans le cas où ce sont des surfaces déjà consacrées à la production d'herbe (prairies temporaires par exemple) qui sont reconverties en prairies permanentes, ces surfaces devront rester en prairie permanente pendant le nombre d'années restantes nécessaires pour atteindre 5 années consécutives. 2. Les prairies permanentes sensibles Certaines surfaces en prairie et pâturage permanents sont qualifiées de sensibles : pour ces surfaces, l'exploitant doit conserver la surface en prairie permanente, il ne peut ni la labourer, ni la convertir en terre arable ou culture permanente, sauf à s'exposer à une réduction/sanction sur son paiement vert et à une obligation de réimplantation l'année suivante. Le travail superficiel du sol est cependant autorisé sur ces surfaces, par exemple pour permettre un sursemis. Les prairies sensibles sont les surfaces qui étaient prairie ou pâturage permanent en 2014, et qui sont : - présentes dans les zones Natura 2000 pour les landes, parcours et estives, - présentes dans des zones déterminées sur la base de leur richesse en biodiversité au sein des zones Natura 2000, pour les prairies naturelles Sont fournies par département des cartes indiquant les zones dans lesquelles les prairies et pâturages permanents présents en 2014 sont qualifiées de prairies permanentes sensibles. Pour plus d informations, veuillez contacter la DDT de votre département.

4 Méthode d évaluation des populations : le scoring communal Les observations régulières sont d un grand intérêt : en suivant l évolution des populations de campagnol terrestre, on peut déterminer une dynamique locale et prévoir une pullulation en anticipant la phase d explosion de la densité. Cette information facilite la mise en œuvre d une lutte collective préventive plus efficace à basse densité. La méthode de comptage utilisée est celle du «scoring communal» qui constitue la technique de référence au niveau national. La notation communale se fait par le biais d une prospection aléatoire au sein de la commune. Cette prospection se doit d être la plus exhaustive possible, afin de pouvoir quadriller l ensemble du territoire communal. L attribution de la note se fait selon l évaluation visuelle de la densité instantanée de campagnols terrestres, par observation des indices de présence récents (tumuli). Les résultats des comptages suivent une échelle de 1 à 5, qui reflète à la fois l extension de l infestation dans la commune et l impact sur les parcelles. Le niveau 5 correspond à une infestation maximale, correspondant à un pic de pullulation. Situation du campagnol terrestre en Côte d Or L Auxois Carte : Degré d infestation communal par le campagnol terrestre juillet 2017 Cette carte est réalisée sur la base d observations qui se sont déroulées de fin juin à début juillet communes ont été prospectées en Bourgogne, dont 70 communes en Côte d Or. Une troisième période de prospection aura lieu en automne, courant octobre novembre. Une analyse de risque communale est disponible en fin de BSV.

5 Parcs, jardins et autres zones non agricoles n 3 du 16 mars 2012 Au printemps les densités de populations se maintenaient à un niveau relativement bas, avec une concentration des densités de populations les plus importantes sur la partie Est de l Auxois. Cette dynamique semble se maintenir à l été. Le temps sec de ce début d été n est pas favorable aux «travail» du campagnol. Ainsi, les tumuli se font rares dans les parcelles. Toutefois, dans ce contexte, la quantité d indices de présence n est pas toujours représentative de la population réellement présente. Les densités de populations les plus élevées restent localisées sur le secteur Est de l Auxois, tout comme au printemps. Au niveau communal il est intéressant de relever que les populations sont généralement concentrées sur quelques parcelles, formant des foyers (exemple de la commune de Culètre : photo 1). Lors de la période estivale les populations de campagnols sont moins actives. Pour autant, elles restent présentes dans les parcelles, et la plus grande vigilance est de mise, notamment suite aux dernières pluies qui ont amorcé une reprise de l activité des campagnols. Afin d anticiper toute hausse des populations à l automne, il est nécessaire de maintenir/développer les actions de lutte. Situation printemps 2016 Situation printemps 2017 Schéma 1 : Positionnement dans le cycle de pullulation du campagnol terrestre Photo 1 : Tumuli de campagnols terrestres sur la commune de Culètre (21) - Juillet 2017 Photo FREDON Bourgogne

6 Situation du campagnol terrestre en Saône-et-Loire L Autunois, le Charollais et la Bresse Carte : Degré d infestation communal par le campagnol terrestre juillet 2017 Cette carte est réalisée sur la base d observations qui se sont déroulées début juillet communes ont été prospectées en Bourgogne, dont 61 en Saône-et-Loire. Une troisième période de prospection aura lieu en automne, courant octobre novembre. Une analyse de risque communale est disponible en fin de BSV. Au printemps 2017 les populations poursuivaient la dynamique de 2016 et se maintenaient à un faible niveau de densité. Les observations réalisées après fenaisons semblent attester du maintien de cette dynamique. Dans l ensemble la dynamique des populations reste calme, avec une légère baisse des indices de présence, y compris sur les secteurs les plus touchés au printemps (secteurs de Marigny, Epinac et Semur-en- Brionnais). Les indices repérés se cantonnent à quelques parcelles et en bordure de champs.

7 Parcs, jardins et autres zones non agricoles n 3 du 16 mars 2012 Cette tendance générale à la baisse des populations est peu surprenante au vu des conditions climatiques de ces dernières semaines (temps chaud et sec). Toutefois, avec le retour des pluies l activité des campagnols semble avoir redémarré. De plus, cette situation de basse densité de population, maintenue depuis 2015, suppose que la région se situe sur la fin de la phase de basse densité du cycle de pullulation (schéma 2). D ailleurs, le dernier pic de pullulation remonte à (la durée d un cycle complet est généralement de 5-6 ans). Cette situation laisse envisager un fort risque de hausse rapide des niveaux de population. La vigilance est donc de mise. Une action de lutte doit être maintenue/développée sans tarder pendant que celle-ci est encore efficace. Situation printemps 2016 Situation printemps 2017 Schéma 2 : Positionnement dans le cycle de pullulation du campagnol terrestre Photo 2 : Indices de campagnols terrestres en tache, sur le secteur de Toulon-sur-Arroux (71) Photo FREDON Bourgogne

8 Situation de la taupe européenne en Côte-d Or et en Saône-et-Loire Situation en Côte-d Or : l Auxois Carte : degré d infestation communale par la taupe européenne dans l Auxois Cette carte est réalisée sur la base d observations qui se sont déroulées après fenaisons, courant début juillet communes ont été prospectées en Côte-d Or. Une troisième période de prospection aura lieu en automne, courant octobre novembre. Une analyse de risque communale de pullulation de taupes européennes est disponible en fin de BSV. Les populations de taupes, tout comme les campagnols, se concentrent sur l axe Est de l Auxois. Le secteur Sud-Est d Arnay-le-Duc est plus touché par la présence d indices de taupes, notamment les communes de Saussey (voir photo ci-dessous), Maligny et Lacanche. Ces indices restent concentrés sur quelques parcelles qui forment des foyers de populations.

9 Parcs, jardins et autres zones non agricoles n 3 du 16 mars 2012 La présence de taupe peut favoriser le développement des populations de campagnols. La taupe creuse un réseau de galeries qui peut être par la suite utilisé par les campagnols, favorisant ainsi leur développement et leur extension géographique. Une action de lutte contre la taupe entre donc dans une démarche de lutte préventive contre le campagnol. Photo 3 : Taupinières sur champs fauché sur la commune de Saussey (21) Photo FREDON Bourgogne Photo 4 : Taupinières sorties après fenaison, sur la commune de Thoisy-le-Désert (21) Photo FREDON Bourgogne

10 Saône-et-Loire : Autunois, Charollais, Bresse Carte : degré d infestation communale par la taupe européenne dans l Autunois, le Charollais et la Bresse Cette carte est réalisée sur la base d observations qui se sont déroulées après fenaisons, courant début juillet communes ont été prospectées en Saône-et-Loire. Une troisième période de prospection aura lieu en automne, courant octobre novembre. Une analyse de risque communale de pullulation de taupes européennes est disponible en fin de BSV. En ce début de mois de juillet les indices de taupes se font plus présents dans les parcelles que les indices de campagnols. Les populations semblent toutefois se concentrer sur des secteurs précis avec principalement une concentration sur certaines parcelles.

11 Parcs, jardins et autres zones non agricoles n 3 du 16 mars 2012 Sur la zone de plaine au Sud-Est de Montceau-les-Mines on remarque des foyers actifs de taupes, sur les bords ainsi qu au centre des parcelles notamment sur Beauregard (commune de Gourdon). Le secteur de l Autunois, au nord, est également touché, mais dans une moindre mesure. Les indices de présence de taupe restent très localisés. La situation dans le Brionnais reste calme, les indices de taupes se cantonnent aux bords de parcelles et de façon très localisée. Toutefois, la présence de taupe peut favoriser le développement des populations de campagnols. Une action de lutte contre la taupe entre donc dans une démarche de lutte préventive contre le campagnol. Photo 5 : Indices de taupe en bord de parcelle, sur la commune de Vauban (71) Photo FREDON Bourgogne Photo 6 : Taupinières sur la commune de Goudron (71) Photo FREDON Bourgogne

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15 Analyse de risque de pullulation de taupes européennes Saône-et-Loire Juillet 2017

16 Formation «campagnol» Afin d accompagner au mieux les agriculteurs dans la lutte contre les campagnols la Fédération Régionale de Défense contre les Organismes Nuisibles de Bourgogne (FREDON Bourgogne) organise une journée de formation «Régulation des Campagnols»* ouverte aux agriculteurs bourguignons. La formation se déroulera au sein des locaux de la FREDON Bourgogne à Beaune (21 rue Jean- Baptiste Gambut, BEAUNE), le jeudi 14 septembre Cette journée de formation vise à acquérir des connaissances solides sur les campagnols, sur la réglementation en vigueur et sur les différentes méthodes de lutte. A l issu de la journée de formation une attestation de participation est remise à chaque stagiaire. Cette attestation donne le droit de commander et d appliquer de la bromadiolone (seule molécule homologuée actuellement pour lutter chimiquement contre les campagnols). Planning de la journée de formation du 14 septembre h30 12h30 : Formation en salle (point biologique sur les campagnols, les moyens de lutte, point sur la règlementation relative à la lutte et à l emploi de la bromadiolone) - 14h 17h : Mise en pratique sur le terrain (démonstration de comptage par diagonale, pose de différents types de pièges, démonstration de traitement chimique) Attention : cette formation* nécessite une inscription afin d assurer le bon déroulé de la journée. Pour vous inscrire merci de vous adresser à la FREDON de Bourgogne au , ou directement au responsable de formation, Clara NOILHAN (chargée de mission à la FREDON Bourgogne) au *Formation financée par le fond VIVEA. La formation est accessible sans frais pour tout agriculteur à jour de ses cotisations MSA. Toutefois, la formation reste accessible à toute personne souhaitant y participer, moyennant une inscription de 105.

17 RAPPELS GÉNÉRAUX Réglementation en vigueur La lutte contre le campagnol terrestre et réglementée par l «Arrêté du 14 mai 2014 relatif au contrôle des populations de campagnols nuisibles aux cultures ainsi qu aux conditions d emploi des produits phytopharmaceutiques contenant de la bromadiolone.» Les 9 grands axes pratiques de la lutte cités dans l arrêté sont listés ci-dessous: Mise en place de méthodes alternatives obligatoires: (perchoirs, haies, piégeage, nettoyage des refus, pâturage...). La méthode chimique étant complémentaire. Seuil d interdiction: 33% d infestation (50% pour les exploitations engagées en contrat de lutte). Quantité d appât à base de bromadiolone appliquée ne doit pas excéder 7.5kg/ha. Longueur des raies de charrue: doivent être discontinues et inférieures à 15 m. Avis de traitement doit obligatoirement être déposé à la FREDON par le président de GDON concerné par les traitements, au moins 72h ouvrées avant le début des opérations, et ce, dans tous les cas, que l application se fasse à la canne à blé ou à la charrue. Ramassage des cadavres: obligatoire. Certiphyto : obligatoire. Formation obligatoire pour toutes personnes n ayant jamais lutté à basse densité. Il est obligatoire de suivre une formation à la lutte. Vous pouvez vous inscrire auprès de votre organisme de formation départemental ou contacter la FREDON pour plus d information à ce sujet. Registre traçabilité : obligation de noter dans le registre (pour chaque parcelle : date de traitement, n ilot, quantité d appât utilisée/ha, dose employée/ha, date de réalisation de la diagonale, résultat de la diagonale). Doit être conservé sur l exploitation. NB: Cet arrêté est téléchargeable sur le site dans l onglet réglementation. Efficacité de la lutte Populations faibles Populations élevées Période pour agir 33% d Infestation Inefficacité de la lutte alternative et lutte chimique interdite

18 Lutte collective et surveillance du territoire L arrêté du 14 mai 2014 stipule également que l accès à la lutte chimique à l échelle de la région, est soumis à la mise en place et au fonctionnement d un réseau de surveillance régionale permettant de suivre l évolution des populations dans le temps et l espace (réseau créé au sein du réseau de Surveillance Biologique du Territoire). En tant qu éléments centraux du dispositif de lutte, les agriculteurs sont les plus à même d apporter un appui technique vis-à-vis de cette surveillance. Appel aux observateurs Le RESEAU D OBSERVATEURS est indissociable de la surveillance du territoire et permet de contribuer à l amélioration de la connaissance des populations de campagnols et autres bioagressseurs. Si vous souhaitez intégrer le réseau d observateurs et faire remonter tout signalement de bioagresseurs des prairies, veuillez contacter selon votre localisation : FREDON de Franche-Comté : Espace Valentin-Est - 12 rue de Franche-Comté - Bât E ECOLE VALENTIN Animatrice filière Prairie : Herminie PIERNAVIEJA / hpiernavieja@fredonfc.com FREDON Bourgogne : 21 rue Jean Baptiste Gambut BEAUNE Animatrice lutte collective : Clara NOILHAN Tél : / c-noilhan@fredon-bourgogne.com Afin d avoir un meilleur suivi sur toute la région Bourgogne-Franche-Comté, nous invitons toute personne voulant devenir observateur à nous contacter par téléphone ou par courrier en nous renvoyant la fiche de renseignements suivante : Je souhaite intégrer le réseau d observateurs du BSV PRAIRIES : Nom :....Prénom :... Adresse : Mail : Tel et fax :... Commune(s) pouvant être suivie(s) :..

19 Bulletin édité sous la responsabilité de la Chambre régionale d Agriculture (CRA) Bourgogne Franche- Comté. Rédaction réalisée par la FREDON Franche-Comté (Herminie PIERNAVIEJA, animatrice filière) en collaboration avec les membres de la cellule d analyse de risque composé de la FREDON Bourgogne et du SRAL. Les structures partenaires dans la réalisation des observations nécessaires à l élaboration du Bulletin de santé du végétal Prairies sont les suivantes : FREDON Franche-Comté, FREDON Bourgogne, FDC 25, FDC 39, CDA 39, JCE, 289 agriculteurs ( ) Ce bulletin est produit à partir d observations ponctuelles dans la région Bourgogne-Franche-Comté. La CRA Bourgogne Franche-Comté se dégage de toute responsabilité quant aux décisions prises par les applicateurs de produits phytosanitaires concernant la protection des végétaux. «Action co-pilotée par le Ministère chargé de l Agriculture et le Ministère chargé de l'environnement, avec l appui financier de l Agence Française pour la Biodiversité par les crédits issus de la redevance pour pollutions diffuses attribués au financement du plan Ecophyto 2». Avec la participation financière de :

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