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1 N 9 L implantation de banques étrangères dans les pays émergents : facteurs d attrait des capitaux extérieurs? PAGE 2 Par Delphine Lahet, Maître de Conférences HDR, Co-responsable de la licence pro Banque P5 P6 P7 Inhérence Conseil, Cabinet spécialisé dans le Management de l Information Par Amandine Boulay Consultante Manager Inhérence Conseil International Conference Globalization, Working Conditions and Health juin 2015 Par Jean-Marie Cardebat Professeur La vie du laboratoire

2 2 LAREFI Newsletter - L implantation de banques étrangères dans les pays émergents N 9 DOSSIER L implantation de banques étrangères dans les pays émergents : facteurs d attrait des capitaux extérieurs? Delphine Lahet Maître de Conférences HDR, Larefi Université de Bordeaux Suite à la faillite de Lehman Brothers en septembre 2008, de nombreux pays émergents ont subi des retraits de capitaux, notamment bancaires à travers une baisse des créances transfrontières détenues par les banques internationales. En moyenne, ces créances ont baissé entre septembre «La crise de liquidité et de solvabilité pose de nombreuses questions sur la transmission internationale des chocs» 2008 et mars 2009 de 12% sur la zone Europe émergente (Slovaquie -41.9%, République tchèque -18.4%, Pologne -16.7%, Lettonie -13.2%), de 15% en Amérique latine (Argentine -21%, Venezuela -30%, Brésil -20%), et de 24% dans la zone Asie émergente (Chine -32%, Malaisie -26%, Corée -30%). La crise de liquidité et de solvabilité de qu ont connue les grandes banques internationales pose de nombreuses questions sur la transmission internationale des chocs, notamment celle de la vulnérabilité des pays émergents aux rationnements des financements bancaires transfrontières, ainsi que celle du rôle potentiellement déstabilisateur pour le pays d accueil des maisons-mères en situation de stress financier, via le maintien ou non des investissements dans leurs filiales implantées dans les pays émergents. En effet, les banques internationales ont une double stratégie de financement des pays émergents. Premièrement, elles peuvent les financer directement, via des créances bancaires transfrontières. Celles-ci représentaient ainsi en % du PIB des pays d Europe centrale et orientale (PECO), 12.5% du PIB des pays émergents en Asie, et 9.3% du PIB en Amérique latine, traduisant une dépendance extérieure importante, notamment pour les pays de l Est. Deuxièmement, les banques étrangères peuvent implanter des filiales dans les pays émergents. Cela est particulièrement le cas dans les PECO où, vers la fin des années quatre-vingt-dix, les programmes de privatisation massive des banques nationales, dans un contexte où peu de banques privées domestiques existaient et où peu d investisseurs locaux avaient les moyens de les racheter, ont laissé une place importante aux investisseurs étrangers. En moyenne, les banques étrangères détiennent les trois-quarts des actifs bancaires des PECO, signifiant, dans ce cas, une double dépendance aux banques étrangères, via les implantations et via les créances transfrontières 1. L implantation de filiales en Amérique latine et en Asie est beaucoup plus ancienne (milieu du XIXème siècle), mais moins marquée. En Amérique latine, elle a beaucoup augmenté après les crises mexicaine de 1994 et argentine de ; et les banques étrangères détiennent aujourd hui 34% des actifs bancaires (mais 75% au Mexique, 47% en Uruguay, 39% 1 Brana, S., et D. Lahet, 2010, La présence des banques étrangères en Europe de l Est : quels risques financiers, Revue d Etudes comparatives Est-Ouest, 41/1: ; Brana, S., et D. Lahet, 2012, Banques étrangères et stabilité du financement bancaire extérieur dans les PECO, Revue Economique, 63/5:

3 3 LAREFI Newsletter - L implantation de banques étrangères dans les pays émergents N 9 Résumé La crise bancaire de 2008 pose la question de la transmission des chocs de liquidité et de solvabilité dans les pays émergents dans lesquels les banques internationales ont investi. Cette présence des banques étrangères est, à la fois, un facteur d attrait des capitaux (signal de bonne santé du système bancaire domestique) mais a également un effet négatif sur les mouvements de capitaux (substitution aux financements transfrontières). Ces flux de financements transfrontières relèvent d une logique de profit de la part des maisons-mères. au Paraguay et 50% au Pérou). En Asie, en dépit des restructurations suite aux crises financières de , et malgré une accélération des implantations en 2003, la présence de banques étrangères est plus faible 2 que dans les autres zones, avec une part de marché de 11% en moyenne (mais 32% en Indonésie, 19% en Corée et 18% en Malaisie). L implantation de filiales relève d une stratégie d investissements directs étrangers (IDE) et suit en général les relations culturelles entre pays, les effets région (tendance à s implanter dans les pays ayant une frontière commune avec le pays d origine), aux côtés de la recherche de profit, de la diversification géographique des «Les effets région ont joué un rôle primordial dans les stratégies de développement des banques européennes à l Est» risques, ou de la stratégie Follow your customer. Les effets région ont joué un rôle primordial dans les stratégies de développement des banques européennes à l Est 3. Beaucoup d avantages sont retirés par le pays d accueil : les transferts de savoir-faire, l augmentation de la concurrence par les prix et par la gamme des produits et services offerts, la hausse de la capacité d offre de crédit du secteur bancaire du pays d accueil, ainsi que la convergence des pratiques bancaires. La présence de banques ouest-européennes en Europe de l Est a facilité l harmonisation progressive des 2 Ceci s explique par le fait que les autorités asiatiques maintiennent des restrictions sur l actionnariat étranger et souhaitent conserver une part relativement importante de banques d Etat ou à capitaux familiaux ou régionaux (Singapour, Hong Kong). 3 Brana S., et D., Lahet, 2010, Banques européennes : la conquête de l Est, ouvrage collectif, L Europe des banques, Ed. Pédone: pratiques, ce qui va dans le sens des directives européennes et de la construction de l Europe bancaire. Ces deux stratégies de financement - prêts transfrontières/ implantation de filiales - sontelles substituables ou complémentaires? La présence de filiales bancaires est-elle un facteur d attrait des capitaux internationaux? D un côté, la présence importante de filiales de banques étrangères dans un pays émergent peut être un facteur attractif des capitaux. Elle peut, en effet, être perçue par les investisseurs étrangers comme un signal positif sur la santé et le développement du système bancaire domestique, et plus globalement du pays, et attirer les capitaux, le risque pays étant plus faible. La présence de ces filiales est notamment un facteur de plus grande efficience du système bancaire local, en raison du transfert de techniques et de compétences bancaires. Cet aspect attractif a été mis en avant dans la littérature d avant crise, mais sans avoir «La présence importante de filiales de banques étrangères dans un pays émergent peut être un facteur attractif des capitaux» été empiriquement testé. La présence de filiales bancaires peut également être un facteur d attrait de capitaux via les relations maisons-mères/ filiales. Les prêts interbancaires de la maisonmère à sa filiale peuvent notamment prendre la forme d un soutien financier en période de crise dans le pays d accueil, qui permet aux filiales de maintenir leur offre de crédit domestique. Les relations spécifiques maisons-mère/filiales

4 4 LAREFI Newsletter - L implantation de banques étrangères dans les pays émergents N 9 doivent cependant tenir compte de la santé des maisons-mères. Une maison-mère en difficulté peut restreindre le soutien financier à ses filiales. Elle peut également arbitrer entre ses filiales et modifier ce soutien en fonction de l état du pays d accueil et des rendements attendus (substitution effect), et pas seulement avoir un effet de soutien (support effect) ou un rôle de prêteur en dernier ressort aux filiales les plus fragiles. L effet maisons-mères/filiales est donc ambigu. D un autre coté cependant, l existence de filiales bancaires implantées peut également avoir un effet restrictif sur les mouvements de capitaux. L implantation de filiales bancaires à l étranger peut s analyser en termes de développement «L existence de filiales bancaires implantées peut également avoir un effet restrictif sur les mouvements de capitaux» des activités locales de ces banques, basées sur ressources locales, et dans ce cas, se substituer plutôt aux financements transfrontières. La forte présence de filiales de banques étrangères dans un pays devrait alors s accompagner d une diminution des créances bancaires transfrontières. Le constat selon lequel les pays les moins touchés par le rationnement des banques internationales en Amérique latine, suite à la crise de 2007, sont ceux dans lesquels les filiales étrangères ont eu une forte activité locale en monnaie locale, va dans ce sens. Les premiers résultats d études économétriques en cours 4 sur un panel de 28 pays émergents d Asie, d Amérique latine et d Europe de l Est sur montrent que la présence de banques étrangères implantées est clairement un déterminant des flux de financement bancaires 4 Brana, S., et D. Lahet, 2014, Les déterminants Push-Pull des créances bancaires transfrontières dans les pays émergents : le rôle des maisons mères et de leurs filiales, en cours. transfrontières. Les deux stratégies de financement sont donc complémentaires. De plus, les relations maisons-mères/filiales sont un facteur explicatif important des flux interbancaires transfrontières. Cependant, ces flux relèvent d une logique de rendement de la part des maisons-mères, et non d une logique de soutien à leurs filiales. Les prêts interbancaires se réduisent en effet quand la situation des banques officiant dans le pays émergent se dégrade, tandis que ces prêts sont à destination des filiales implantées dans des pays émergents en croissance économique. Ce résultat est confirmé par le fait que les filiales bancaires en difficultés dans un système bancaire en crise ne bénéficient pas significativement du soutien des maisons-mères sous forme de prêts.

5 5 LAREFI Newsletter - L avis d un Professionnel N 9 L AVIS D UN PROFESSIONNEL Inhérence Conseil, Cabinet spécialisé dans le Management de l Information Amandine Boulay Consultante Manager Inhérence Conseil Ancienne étudiante du Master BFNI Consultante chez Inhérence Conseil depuis presque un an, j interviens sur un projet de refonte du reporting financier, de la mesure et de l attribution de performance au sein de La Banque Postale Asset Management. Ce projet stratégique est directement rattaché à la DSI et couvre l ensemble des départements métiers. Je suis en charge de la qualité et l homogénéité de la donnée financière. Je coordonne les travaux d automatisation des processus internes afin de regrouper la data et assurer le suivi régulier. Enfin, je mène conjointement avec un chef de projet des études de faisabilité sur le choix d un outil de reporting, son déploiement et son administration. Inhérence appartient à l Organisation Alan Allman Associates qui gère un portefeuille de 15 sociétés indépendantes représentant aujourd hui près de 600 experts. Le positionnement d Inhérence au sein de l écosystème Alan Allman lui permet de rayonner sur l Hexagone et à l international grâce à des experts issus de tous horizons. Inhérence c est plus de 40 consultants dont la vocation est de répondre aux enjeux stratégiques des entreprises en les accompagnant sur la transformation des données comme levier de croissance et avantage concurrentiel. Notre savoir-faire est de piloter la valeur stratégique de l information au sein des directions métiers et SI. Nous intervenons en majorité dans le secteur bancaire, financier et assurantiel. Nos compétences s articulent autour de trois axes : - Le Data Management - La Data Visualisation - Le Reporting Financier L offre reporting financier a pour but d accompagner les Asset Managers afin qu ils puissent répondre aux challenges réglementaires et commerciaux auxquels ils sont confrontés. Les reporting réglementaires répondent à la fois aux exigences clients et des instances de régulation. En effet les sociétés de gestion sont tenues de produire régulièrement pour leur client retail et institutionnels des reporting pour les portefeuilles gérés. Le reporting est un outil qui synthétise des données financière et de gestion à une date donnée. Il décrit la performance, la volatilité, l écart de suivi sur plusieurs périodes, utilise des ratios (ratio de sharpe, ratio d information ) et détaille la composition d un portefeuille, sa répartition géographique, sectorielle, par émetteur. Pour les sociétés de gestion c est un outil stratégique de différenciation qui répond aux exigences réglementaires en perpétuelle évolution (normes GIPS, UCITS IV, directive MIF). Etre consultant chez Inhérence Conseil, c est accompagner un client sur un projet stratégique à durée variable. Nous l accompagnons sur l ensemble du cycle en V du projet. Notre position est transverse au sein de l entreprise. Nous mobilisons nos compétences et savoir-faire, nous sommes à l écoute et qualifions les attentes clients afin de résoudre leurs problématiques métiers. Nous nous adaptons continuellement à un environnement changeant, coordonnons les échanges entre équipes techniques, métiers et management.

6 6 LAREFI Newsletter - La vie du laboratoire N 9 LA RECHERCHE AU SEIN DU LAREFI International Conference : «Globalization, Working conditions and Health» Jean-Marie Cardebat, Professeur Larefi, Université de Bordeaux Le Larefi, en partenariat avec la région Aquitaine, organise un colloque international sur le thème : «Globalization, Working conditions and Health». Il aura lieu à l Université de Bordeaux, Pôle juridique et judiciaire 35 place Pey Berland à Bordeaux du 25 au 27 juin L appel à communications de la manifestion peut être téléchargé sur la page d accueil du site du Larefi ( CONTRATS DE RECHERCHE Nécrologie Annick Berraud Par Henri Bourguinat, Professeur émérite Larefi, Université de Bordeaux Décédée l été dernier après une longue maladie affrontée avec beaucoup de courage, Annick Berraud avait occupé une place importante au laboratoire. Recrutée en 1981 comme technicien, elle avait été nommée Assistant Ingénieur en 1988, puis, plus récemment (1994) Ingénieur d Etudes. Tout au long de ces trente années, elle manifesta beaucoup de compétence et de dévouement au service du laboratoire. Les enseignants-chercheurs, les personnels techniques de l Université et les étudiants garderont d elle un souvenir ému et reconnaissant. BWE (Bordeaux Wine Economics) L objectif de ce contrat est de construire un modèle de prévision des prix de l ensemble des vins de Bordeaux pour améliorer les modes de négociation, la transparence de l information et, plus largement, la régulation du marché. MONTRAS (Mondialisation, conditions de travail et santé) Le but de ce projet pluridisciplinaire est de mettre en évidence un lien entre mondialisation, conditions de travail et problèmes de santé. PRÉSENTATION DU LABORATOIRE ET DE SES AXES DE RECHERCHE Le Larefi développe deux axes complémentaires de recherche autour de l économie et de la finance internationale. Le premier axe, Monnaie, banques et marché financier, s intéresse à la finance internationale et aux risques qui y sont associés : comportement bancaire et besoin de réglementation prudentielle, formes et déterminants du financement international des pays émergents, fonctionnement et régulation des marchés. Il s intéresse par exemple à l accumulation des dettes en devises et à ses conséquences, aux effets de l hétérogénéité financière dans une union monétaire, aux nouvelles formes de financement, comme la microfinance, la finance éthique ou la finance solidaire. Le second axe, Commerce international, développement et marchés agricoles, porte sur les mécanismes à l œuvre et les enjeux de la mondialisation économique : commerce international et développement, coordination internationale des politiques macroéconomiques, normes sociales, inégalités et pauvreté. Il s intéresse par exemple à l étude des interactions entre commerce international et développement, à l impact de la mondialisation sur la pauvreté, la santé ou l environnement, aux effets des nouvelles formes de protectionnisme. Il s agit dans les deux cas d étudier l impact de la globalisation économique et financière et les politiques d accompagnement de cette globalisation.

7 7 LAREFI Newsletter - La vie du laboratoire N 9 CONFERENCES Les conférences Larefi Banque de France Le Larefi, en partenariat avec la Banque de France, organise un cycle de quatre conférences pour l année universitaire La deuxième conférence de l année sur le thème : «Retour sur l évaluation complète des bilans bancaires» aura lieu à 18h, le jeudi 11 décembre 2014, à l Université de Bordeaux, Pôle juridique et judiciaire, 35 place Pey-Berland Bordeaux. Programme : Accueil des participants Intervention de Hassiba Kaabeche, chargée de mission à l Autorité de Contrôle Prudentiel et de Résolution - ACPR Questions/réponses avec la salle Cocktail de clôture La prochaine conférence Larefi - Banque de France aura lieu lors le 11 février 2015 et portera sur l état de l économie en Aquitaine en nd Workshop in International Economics and Finance Le Larefi, en partenariat avec l AFD (Agence Française de Développement), a organisé, le 5 décembre 2014, le «second Workshop in International Economics and Finance» sur le thème «Price risk management of agricultural commodities in developing countries». Les deux conférenciers invités étaient Johan Swinnen (LISCO - Leuwen University) et Maximo Torero (IFPRI - Washington). Quatre papiers de Clara Delavallade, Adamon Mukasa, Lukas Kornher et Christian Ellebyn ont également été présentés. La journée s est conclue avec une table ronde réunissant Jonathan Coulter (J Coulter Consulting Ltd), Joseph Larrose (Touton SA) et Claude Torre (AFD). Le programme de cette journée peut être téléchargé sur le site du Larefi : pdf/programme2workshop.pdf. Les papiers présentés sont également disponibles sur le site du Larefi. LES FORMATIONS RATTACHÉES AU LAREFI Licence professionnelle Banque - Assurance Magistère d économie et finance internationales Master 1 Economie, banque et finance internationales Les Masters 2 : Master 2 Mixte - Mondialisation et stratégies internationales Master 2 Mixte - Banque, finance et négoce international Master 2 Professionnel - Métiers de la Banque DU passerelle vers les métiers de la banque

8 PUBLICATIONS DU LAREFI Articles dans des revues à comité de lecture - Badarau, C., et A-M. Popescu, 2014, Monetary Policy and Credit Cycles: A DSGE Analysis Economic Modelling, Economic Modeling, 42: Badarau, C., et G. Levieuge, 2013, Financial Heterogeneity in a Monetary Union, Journal of Economic Integration, 28(3): Bernard, T., et A-S. Taffesse, 2014, Aspirations: An Approach to Measurement with Validation using Ethiopian Data, Journal of African Economies, 23(2): Bouët, A., Estrades, C., et D. Laborde, 2014, Differential Export Taxes along the Oilseeds Value Chain: A Partial Equilibrium Analysis, American Journal of Agricultural Economics, 96(3): Bouët, A., Gruère, G., et L. Leroy, 2013, Market Effects of Information Requirements under the Biosafety Protocol, International Economics, 134: Bouët, A., Estrades, C., et D. Laborde, 2013, A Global Assessment of the Economic Effects of Export Taxes, The World Economy, 36(10): Bouët, A., et P. Cassagnard, 2013, Strategic Trade Policy under Asymmetric Information with Screening, Economic Modeling, 32: Brana, S., et S. Prat, 2014, Politiques Monétaires non Conventionnelles et Prix d Actifs dans les Emergents : Evaluation Empirique en Données de Panel à Effet de Seuil, Revue Française d Economie, 4(28). - Brana, S., 2013, Microcredit : an Answer to the Gender Problem in Funding?, Small Business Economics, 40(1): Cardebat, J-M., Figuet, J-M., et E. Paroissien, 2014, Expert Opinions and Bordeaux Wine Prices : an Attempt to Correct the Bias of Subjective Judgements, Journal of Wines Economics, à paraître. - Cardebat, J-M., Musson, A., et L. Harribey, 2014, Représentation du Développement Durable dans les PME Françaises : vers une Nouvelle Gouvernance Territoriale?, Revue d économie rurale et urbaine, à paraître. - Cardebat, J-M., et A. Dimitrescu, 2013, Social Responsibility of the Countries and their International Trade : a Gravitational Approach, Journal of international trade and economic development, 22(2) : Cardebat, J-M., et L. Harribey, 2013, L Evolution de la Perception du Développement Territorial Durable dans les PME Françaises permet-elle un Renouvellement de la Gouvernance Territoriale? Une Réponse à Partir de deux Enquêtes, Management & Avenir, 59(Février): Cardebat, J-M., et A. Dardour, 2013, Le Lien entre la Publication de Rapports RSE et la Performance Boursière des Sociétés Européennes entre 2000 et 2010, Cahiers d économie de l innovation, 2013/1(40): Dees, S., Pesaran, H., Smith, V., et R. Smith, 2014, Constructing Multi-country Rational Expectations Models, Oxford Bulletin of Economics and Statistics, DOI : / obes Dees, S., Burgert, N., et N. Parent, 2013, Import Price Dynamics in Major Advanced Economies and Heterogeneity in Exchange Rate Pass-Through, Empirical Economics, 45(2): Dees, S., et P. Soares-Brinca, 2013, Consumer Confidence as a Predictor of Consumption Spending : Evidence for the United States and the Euro Area, International Economics, 134: Dupuy, M., and S. Lacueille, 2013, The effects of US and UK Quantitative Easing policies on exchange rates : a time series analysis, International Research Journal of Finance and Economics, 103: Jégourel, Y., 2013, Acteurs Publics et Capital Investissement: une Analyse Critique, Revue française de gestion, 241(4): Labaronne, D., et M. Donsimoni, 2014, Responsabilité Sociale d une Entreprise Publique : une Formalisation du Jeu des Acteurs, Management International, 18(2): Labaronne, D., et A-B. Tchagnao, 2014, Analyse des effets de la corruption sur les dépenses publiques au Togo., Revue Africaine de développement, à paraître. - Lahet, D., et I. Lapteacru, 2013, Efficience et Pouvoir de Marché des Banques en Thaïlande suite aux Crises Financières, Revue économique, 65(5): Lapteacru, I., 2014, Do more Competitive Banks have Lower Market Power? Evidence from the Central and Eastern Europe, Journal of International Money and Finance, 46: Arouri, M., Vaubourg, A-G., Bellando, R., et S. Ringuedé, 2013, Institutional Herding in Stock Markets: Empirical Evidence from French Mutual Funds, Bankers, Markets and Investors, 127: Ouvrages et chapitres dans des ouvrages collectifs - Dupuy, L., et M. Agarwala, 2014, International Trade and Sustainable Development, in G. Atkinson, S. Dietz and E. Neumayer, eds., Handbook of Sustainable Development, 2nd Edition, London, Edward Elgar Pub., chapter 25, à paraître. - Figuet, J-M., 2014, La réglementation prudentielle : à la poursuite du temps perdu?, in H. Bonin et J-M. Figuet, eds., Mélanges en hommage à Dominique Lacoue-Labarthe, Presses Universitaires de Bordeaux. - Labaronne, D., et M. Donsimoni, 2014, L OCP sur ses territoires», in Labaronne D. et M. Donsimoni, eds, En hommage au Professeur Claude Courlet, Liber Amicorum, l Harmattan, décembre, Labaronne, D., 2014, Villes portuaires au Maghreb, acteurs du développement durable (Algérie, Maroc, Tunisie), Paris, Mars. - Labaronne, D., 2014, Responsabilité sociale des entreprises et développement durable des villes portuaires», in D. Labaronne, ed., Villes portuaires au Maghreb, acteurs du développement durable (Algérie, Maroc, Tunisie), Edition des Presses des Mines, Paris, Labaronne, D., 2014, Institutions de gouvernance, Confiance et Developpement, Applications aux Pays Arabes de la Mediterranée, Paris, Editions L Harmattan, Collections Mouvements Economiques et Sociaux. - Lahet D., 2014, Les activités des banques étrangères implantées en Russie : vers un accroissement des activités en monnaie locale, in La Russie au prisme de l émergence, Pédone, à paraître.

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