La prévention des addictions en médecine générale. Professeur Jean-Louis Demeaux Faculté de Médecine de Bordeaux
|
|
- Melanie Picard
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 La prévention des addictions en médecine générale Professeur Jean-Louis Demeaux Faculté de Médecine de Bordeaux
2 La prévention des addictions en médecine générale Objectif : Situer la démarche du généraliste vis-à-vis des patients à risque ou à problèmes d addictions. Priorités pédagogiques : Centrer sur les démarches de prévention les plus fréquentes en médecine générale Repérage et intervention brève pour alcool, tabac, cannabis Sevrage tabagique
3 DSM-V Trouble de l usage des substances psychoactives Utilisation inadaptée d une substance Conduisant à une dégradation ou à une détresse cliniquement significative 2013
4 DSM 5 Disparition de la distinction entre abus (diagnostic qui requerrait la présence d au moins une manifestation parmi 4 dans le DSM-IV-TR) et dépendance (qui requerrait au moins 3 manifestations parmi 7) au profit d un continuum de degré de sévérité
5
6
7
8
9
10 Trois facteurs interagissant pour l addiction: 1- Les facteurs liés aux produits 2- Les facteurs liés à l environnement 3 - Les facteurs individuels de vulnérabilité
11 1- Les facteurs liés aux produits L augmentation de libération de la dopamine, stimulant par ce biais le circuit de la récompense Le potentiel addictif Les complications somatiques, psychologiques ou sociales La dangerosité
12 2- Les facteurs liés à l environnement La dimension culturelle Les représentations Les facteurs familiaux Le rôle des pairs
13 3 - Les facteurs individuels de vulnérabilité Les facteurs génétiques Des éléments psychopathologiques Les itinéraires
14 Problèmes d addiction Comment intervenir en médecine générale?
15 Comment intervenir en médecine générale? Développer la prévention primaire Repérer les patients en situation d addiction Réaliser une intervention simple pour les patients ayant une dépendance faible ou modérée Conseiller, soigner, orienter les patients ayant une dépendance sévère
16 La prévention Doit intégrer l ensemble des produits Doit concerner les jeunes Concerner le grand public Devrait intégrer le dopage et la consommation abusive de médicaments psychotropes
17 La dépendance des spécificités selon les produits Au produit, à ses modalités de consommation, à ses complications, à des approches thérapeutiques différentes aux représentations du produit par la société et par les consommateurs, aux dispositifs institutionnels
18 Les problèmes du patient la durée dans le suivi et de l acceptation de cette durée L organisation psychique du sujet Les problématiques de l exclusion, de la précarité et de la marginalité Les jeunes souvent polyconsommateurs L identification des consommateurs à leur produit
19 Le médecin généraliste et les autres acteurs les autres acteurs de première ligne: Médecins du travail et de PMI, médecins scolaires et universitaires, certains spécialistes d organe pharmaciens, sages-femmes, et l ensemble des professionnels amenés à intervenir sur la santé Le social : travailleurs sociaux, les employés de municipalités, mais aussi les responsables d associations... Les réseaux addictions Le pôle psycho-médico-social spécialisé en addictologie Le pôle hospitalier La réadaptation psychosociale
20 Médecine générale et prévention 70% de la population française consulte au moins une fois dans l'année un médecin généraliste Au moins deux des quatre comportements à risque les plus fréquents (tabagisme, consommation d'alcool à risque, sédentarité et «excès alimentaires») sont présents chez plus de la moitié des patients consultant un médecin de famille. Curry SJ. Am J Prev Med 2004
21 Principaux freins cités par les généralistes pour développer une démarche de prévention/éducation Résistance du patient 40% 51% Manque de temps 30% 34% Manque de formation 7% 5% Activité non rémunérée 2% 7% 1994 Inefficacité de la démarche 3% 2% 2003 Activité non valorisante 1% 0% Ce n'est pas leur rôle 0% 0% Nsp 6% 12% 0,0% 10,0% 20,0% 30,0% 40,0% 50,0% 60,0% Baromètre Santé Médecins 2003 Buttet P., Fournier C. (sous la direction Gautier A.)
22 Education pour la santé: des situations très fréquentes en médecine générale Le Baromètre santé du Comité Français d Education pour la Santé (INPES): 90 % des médecins généralistes ont donné des conseils dans la semaine écoulée sur l alimentation, l activité physique, les vaccinations, l éducation sexuelle, le sommeil des enfants la moitié utilise des aides visuels ou des supports pédagogiques. Mais ces mêmes médecins doutent de l efficacité de leurs interventions particulièrement quand il s agit de nutrition, de tabac et d alcool
23
24 Le tabac en chiffres morts par an chez les fumeurs (11à 12 % de la mortalité globale) hommes (21% des décès masculins) 3000 femmes ( 1% des décès féminins) La moitié des décès dus au tabac survient dans la population âgée de 35 à 69 ans, > réduction de l espérance de vie d un fumeur de 20 à 25 ans par rapport à celle d un non fumeur 3000 morts par tabagisme passif décès estimés en 2025 ( dont femmes)
25 Fumeurs Population générale: 1 jeune adulte sur deux (+ filles, mais diminution après 20 ans) 1/3 des adultes Professionnels de santé: 1/3 des médecins généralistes (10%dans les pays anglo-saxons) 21% des pharmaciens
26 Arrêt du tabac: De l intervention minimale l accompagnement personnalisé à
27 Comment agir sur le tabagisme? Des démarches de santé publiques Des actions individuelles sont indispensables Tous les acteurs de santé sont concernés. Les médecins généralistes constituent la base sur laquelle repose l ensemble du dispositif.
28 Le médecin généraliste et les problèmes liés au tabagisme Eviter le tabagisme passif En particulier chez l enfant Eviter l entrée dans le tabagisme Réaliser le conseil minimal Aider à l arrêt du tabagisme et au maintien de l abstinence
29 Julie la sportive Julie, 23 ans, nouvelle patiente, prépare le concours de l école de la magistrature Elle consulte pour le renouvellement de sa licence de tennis. Julie est en bonne santé (examen clinique= RAS) Consommation alcool: exceptionnelle Tabac: 10 à 15 cigarettes par jour depuis 9 ans Cannabis: 0 Médicaments: 0 Quelle est votre analyse de la situation? Quelles sont vos propositions?
30 Médecin Généraliste et Conseil Minimal Les fumeurs vus en consultation médicale n attendent pas nécessairement une aide à l arrêt. Au contraire, ils sont souvent soit hostiles ou ambivalents à l égard de l arrêt. Le «conseil minimal» s adresse essentiellement à cette population de fumeurs qui n est pas venu consulter pour son tabagisme. Ie médecin généraliste peut aider l évolution vers l arrêt en renforçant le processus cognitif préalable.
31 Le conseil minimal Est-ce que vous fumez? Voulez vous arrêter de fumer? Brochure à ceux qui répondent oui 2 à 5% d arrêts durables arrêts par an si chaque médecin délivrait ce message ANAES. Arrêt de la consommation du tabac. Conférence de consensus. 8 & 9 oct 1998
32 Le questionnaire de dépendance de Fagerström Dans quel délai après le réveil fumez-vous votre première cigarette? - moins de 5 minutes à 30 minutes à 60 minutes...1 après 30 minutes...0 Trouvez-vous difficile de ne pas fumer dans les endroits interdits? - oui...1 non...0 Quelle cigarette trouvez-vous la plus indispensable? - la première...1 une autre...0 Combien de cigarettes fumez-vous par jour? - 10 ou moins à à ou plus....3 Fumez-vous de façon plus rapprochée dans la première heure après le réveil que pendant le reste de la journée? - oui...1 non...0 Fumez-vous même si une maladie vous oblige à rester au lit? - oui non...0 Score total... Interprétation 0-2 pas de dépendance 3-4 dépendance faible 5-6 dépendance moyenne 7-8 dépendance forte 9-10 dépendance très forte
33 Arrêt du tabac 58,4% des fumeurs souhaitent s arrêter La moitié remettent à plus tard Plus on fume, plus le projet d arrêter est remis à un avenir indéterminé 76,1% des fumeur réguliers ont arrêté au moins une semaine (en moyenne ils l ont fait 3,2 fois) A la première tentative l arrêt n est définitif que chez 8% des fumeurs
34 L'aide médicalisée à l'arrêt du tabac: Approche comportementale et cognitive Fumer: comportement qui a été appris qui se maintient, car régulièrement déclenché par une multitude de stimuli environnementaux constamment renforcé par les propriétés psychoactives de la nicotine les difficultés à désapprendre ce comportement sont sous-estimées (principales causes d échec des programmes de sevrage)
35 L'efficacité des thérapies comportementales et cognitives TCC Seules approches non pharmacologiques ayant une validité reconnue. Utilisées isolément ou associées à des thérapeutiques de substitution de la nicotine (gommes ou timbres), avec une véritable synergie d'action, surtout lorsque la dépendance est importante. ( I) American Psychiatric Association - Practice guideline for the treatment of patients with nicotine dependence. Am J Psychiatr; (2) Conférence française de consensus sur ï arrêt du tabac. Paris, 8-9 octobre 1998.
36 La démarche cognitivo-comportementale de sevrage tabagique Plusieurs étapes: L'analyse du comportement de fumer Les entretiens de motivation La modification du comportement La prévention des rechutes
37 L'analyse du comportement de fumer Bien connaître un comportement est la condition sine qua non du succès de sa modification. Le sujet reporte systématiquement sur un carnet l'heure, le lieu, la situation, les conditions, l'état émotionnel et l'envie de fumer liés à chaque prise de cigarette. Cela permet : d'apprécier exactement la consommation quotidienne ; d'identifier les nombreux «déclencheurs» du tabagisme (par exemple, la fin du repas au moment du café) ; de mettre en évidence l'importance de «l'urgence» à fumer et les états émotionnels associés.
38 Comment favoriser le changement de comportement? L entretien motivationnel W Miller et S Rollnick : L entretien motivationnel. J Prochaska et C DiClemente : le modèle de changement
39 La motivation vient du patient Elle peut être suscitée par le soignant Elle doit être au centre de la relation soignant patient.
40 Les principes des interventions motivationnelles Manifester de l empathie : Mettre le doigt sur des contradictions. Eviter l affrontement. Ne pas forcer la résistance. Renforcer le sentiment de liberté de choix. Renforcer le sentiment personnel d efficacité
41 Les pièges motivationnels Le piège des questions/réponses: Les questions fermées invitent à une réponse brève, Les questions ouvertes invitent l interlocuteur à développer un point de vue. Le piège de la confrontation: Le style confrontationnel renforce les résistances. Le piège de l expert : «on a les réponses à votre problème, on sait ce qu il faut faire» Le piège de l étiquette diagnostique. Le piège de la focalisation d emblée sur le problème. Le piège du jugement.
42 Les principales stratégies de l intervention motivationnelle Utiliser des questions ouvertes Reformuler le discours du patient Inviter le patient à s exprimer: sur les conséquences de son comportement actuel sur son inquiétude vis-à-vis de celles-ci, sur son intention de changement, sur la confiance qu'il a en sa capacité à mettre en œuvre ce changement. Résumer le discours du patient :
43 FRAMES Feed-back reprendre avec le patient : Les problèmes liés à son comportement Les bénéfices à attendre d un changement Responsabiliser le changement de comportement appartient au patient (pas au thérapeute)
44 FRAMES Advice Un conseil est clairement donné au patient. Menu Evoquer avec le patient les modifications possibles Laisser la possibilité au patient: De faire ses propositions De choisir ses priorités
45 FRAMES Empathie Non jugement, bienveillance Self-efficacy Le patient est le maître d oeuvre de son changement et est encouragé.
46 Le processus de changement Action Essaie de changer Prochaska et DiClemente Change son comportement Maintien Rechute Persévère dans son changement N a pas connaissance du problème ou n a pas envie de changer de comportement Pré-intention Préparation Décide de changer Intention Envisage de changer son comportement
47 Stade de Pré-intention Le fumeur n envisage pas de changer de comportement : - soit il ne voit pas le problème - soit il minimise les conséquences de son comportement Prendre conscience du problème peut être anxiogène - manque de confiance en lui-même Établir une relation de confiance Exploration du problème : stade délicat nécessitant de grandes précautions. Éviter les résistances. Feed-back : sur les éléments dont on dispose sans jugements. Informations générales sur le tabagisme en évitant les conseils.
48 Stade d intention Stade où le sujet à l intention de changer de comportement et doit faire face à son ambivalence : Il est informé des avantages qui constitueraient ce changement, mais il est également très au fait de tous les inconvénients que cela représente. Cette opposition entre les bénéfices et les coûts peut le maintenir longtemps à ce stade. (image de la «balance décisionnelle») Exploration de l ambivalence Balance décisionnelle (facteurs cognitifs et affectifs) Responsabilisation du changement / liberté de choix Travailler sur le sentiment d efficacité personnelle Aller à la pèche des déclarations motivationnelles
49 La balance décisionnelle: explorer l ambivalence Avantages à changer Inconvénients à ne pas changer Inconvénients à changer Avantages à ne pas changer
50 La balance décisionnelle
51
52 Stade de la préparation à l action Le fumeur est décidé et va rechercher comment réaliser «pratiquement» son changement L individu a déjà réalisé une ou plusieurs tentatives pour arrêter de fumer au cours des 12 derniers mois. Les personnes qui sont à ce stade ont un plan pour agir : acheter un livre, consulter un médecin, suivre un programme de sevrage Clarifier les objectifs thérapeutiques avec le patient Ouvrir un menu de stratégies thérapeutiques On peut envisager des conseils en fonction du contexte. Rechercher les obstacles
53 Stade de l action Le changement est engagé. Le fumeur se rend compte des difficultés réelles et du travail nécessaire. Il a besoin de soutien et d encouragements Il affronte en situation réelle le pièges connus et les situations à haut risque (stratégies) Il rencontre des difficultés, et des ajustements sont souvent nécessaires pour y arriver.
54 Stade de maintien Stade où le sujet essaie de consolider son changement de comportement nouvellement acquis en le faisant perdurer dans le temps : Le fumeur doit se voir progresser, renforcer son nouveau comportement et changer réellement de vie. Il doit rester sur ses gardes, éviter un excès de confiance. Il doit être conscient des effets de la reprise d une cigarette et déjouer les pièges inattendus pour pérenniser les nouveaux comportements
55 Stade de rechute La rechute doit être anticipée pour 2 raisons essentielles : - Tout d abord éviter l effet de «violation de l abstinence» Vécue comme un échec Source de mésestime et de culpabilité Amenant à abandonner complètement la démarche - L envisager comme une étape Permettant de résoudre des problèmes encore en suspens Ou comme nécessaire pour réussir le changement Le fumeur pourra rapidement reprendre une démarche d arrêt. Plutôt que de «rechute», on parlera de «faux pas»
56 La prévention des rechutes La prévention de la rechute doit intervenir très tôt dans le processus de sevrage. Identifier à l'avance avec le fumeur les situations «à risque» susceptibles d'entraîner la reprise du tabac Définir les conduites à tenir lors de ces situations Développer des attitudes mentales efficaces en cas de reprise d'une cigarette. Trop souvent, le fumeur vit ce «faux pas» comme un échec total, avec effondrement de sa motivation
57 Le médecin généraliste et les patients à problème d alcool
58 Conséquences d une consommation problématique d alcool 3ème cause de mortalité en France en 2009 avec décès imputables par «cancers, pathologies cardio-vasculaires, cirrhose du foie, troubles psychiatriques + accidents et suicides qu'il entraîne», dont 40 % avant 65 ans 2ème cause de mortalité prématurée et évitable en France après le tabac : - 22 % des décès des ans - 15 % des décès des ans - 3 victimes sur 4 sont des hommes 1ère cause non génétique de handicap mental par l alcoolisation foetale pendant la grossesse un sous-repérage de l'alcoolisation quotidienne des dommages sociaux : 20 % délits, 50 % crimes un coût social = 17,6 Mds = 1,42 % PIB = 300 /an/h
59 Prévalence du risque alcool en Médecine générale Forte prévalence des problèmes d alcool dans la clientèle des généralistes Un quart des hommes adultes Une femme sur dix L importance du risque alcool reste encore sous estimée par les médecins comme par les patients
60 Pourquoi faire appel aux médecins généralistes? Pivot du système de soins Le médecin généraliste reçoit "tout le monde" Plus de 70% de la population française voit une fois dans l'année le médecin généraliste Grande fidélité et confiance des patients envers leur médecin généraliste 85 % de la population considère que le médecin généraliste est légitime pour parler d alcool la consommation à risque et à problème d'alcool est avant tout l'affaire des médecins généralistes
61 Que peuvent faire les médecins généralistes? Repérer les personnes qui ont une consommation problématique Réaliser une intervention brève pour éviter la pérennisation et l'aggravation de comportements à risque, l'apparition ou le développement de dommages en lien avec cette consommation L évolution vers une dépendance sévère Conseiller, soigner, orienter les alcoolodépendants
62 Repérage systématique Quels obstacles? Des difficultés à aborder le problème Un problème de temps: Chaque consultant présente 2 à 3 motifs de recours Les Médecins généralistes sont sollicités pour repérer de nombreux problèmes de santé: dépression, Alzheimer, tabac, Hépatite C
63 Pierre Pierre, 53 ans, magasinier, marié père de deux fils de 17 et 20 ans, est suivi pour hypertension artérielle depuis 5 ans. Il consulte pour le renouvellement de son traitement (IEC). A TCD personnels (en dehors de l HTA) et familiaux R.A.S. Ne fume plus depuis 4 ans. Activité physique: jardinage le week-end. 1m74, 79 kg, T.A.: 145 /96 (chiffres comparables aux 2 derniers contrôles tensionnels "malgré un traitement bien suivi "). Consommation d alcool de Pierre : Semaine: Midi: 1 à 2 verres de vin (ne dépasse pas 2 depuis qu on lui a retiré le permis), soir: 1 apéritif, 2 verres de vin Week-end: apéritif à chaque repas, 2 à 3 verres de vin par repas, En plus quelques bières en été Ne consomme pas du tout d alcool pendant les séjours chez sa belle famille L'alcool peut-il jouer un rôle dans cette HTA? Quelle stratégie de repérage utiliser pour évaluer la consommation? Dans l'hypothèse d'une consommation élevée quelles sont vos propositions?
64 Les recommandations de l INPES adaptées de l OMS (1 unité = 1 verre standard = 10 g d'alcool) Usage ponctuel: Jamais plus de 4 verres par occasion. Usage régulier : Pas plus de 21 verres par semaine chez l'homme (3 verres/jour en moyenne); Pas plus de 14 verres par semaine chez la femme (2 verres / jour en moyenne); Un jour par semaine sans alcool
65 Évaluer la consommation Les seuils recommandés par l'oms (1 unité = 1 verre standard = 10 g d'alcool) Usage ponctuel: pas plus de 4 verres par occasion Usage régulier : Pas plus de 21 verres par semaine chez l'homme (3 verres/jour en moyenne); Pas plus de 14 verres par semaine chez la femme (2 verres / jour en moyenne); Un jour par semaine sans alcool Pas d'alcool dans les circonstances suivantes: grossesse, enfance, conduite de véhicule, machine dangereuse, responsabilités nécessitant de la vigilance, avec certains médicaments, pathologie particulière (hépatite..) dette de sommeil... Alcoolo dépendant abstinent...
66 Consommation d alcool de Pierre Semaine: Midi: 1 à 2 verres de vin (ne dépasse pas 2 depuis qu on lui avait retiré le permis), soir: 1 apéritif, 2 verres de vin Week-end: apéritif à chaque repas, 2 à 3 verres de vin par repas, Plus quelques bières en été Ne consomme pas du tout d alcool pendant les séjours chez sa belle famille
67 Alcool: catégories d usage Abstinents Usage à faible risque Usage à risque: CDA Femme >2 verres/ jour Homme > 3 verres > 4 verres par occasion Usage avec dégâts Dépendance sévère
68 Repérage systématique: Utilisation de la CDA Une stratégie en deux temps actuellement la plus adaptée dans le contexte d exercice de la médecine générale en France La Consommation Déclarée d Alcool ( CDA) est le test le plus approprié pour repérer le mésusage, avant de caractériser celui-ci à l aide de tests plus spécifiques La CDA doit faire partie des données recueillies auprès de tout nouveau patient. La CDA doit pouvoir être retrouvée dans le dossier médical.
69 Repérage ciblé Un repérage qui correspond à des situations de soin Des situations parmi les motifs de recours les plus fréquents L état de santé du patient peut être en relation avec sa consommation d alcool Usage nocif sans ou avec dépendance Des situations où une consommation d alcool représente un danger à court terme
70 Repérage ciblé: Situations parmi les motifs de recours fréquents Somatiques : Hypertension artérielle, asthénie, prise de poids, troubles digestifs, diabète Psycho-comportementales : Anxiété, dépression, troubles du sommeil, agressivité, troubles sexuels
71 Repérage ciblé: Motifs de recours fréquents Environnementales: Recours plus fréquent aux soins Problèmes conjugaux, difficultés familiales Demande d un membre de la famille concernant un mésusage d alcool d une autre personne de cette famille Socio-professionnelles: difficultés au travail Association à une autre addiction: tabac Accidents et traumatismes particulièrement si répétitifs Résultats biologiques perturbés GGT, VGM, triglycérides
72 Repérage ciblé: consommation d alcool réprésentant un danger à court terme Femme enceinte Risque de foetopathie alcoolique Nécessité d un questionnement systématique sur la consommation d alcool Apport d informations sur les risques liés à la consommation d alcool et des autres substances psychoactives Conducteurs Véhicules, engins, machines Prescription de médicaments potentiellement sédatifs benzodiazépines, neuroleptiques, antidépresseurs tricycliques, antihistaminiques H1 sédatifs, certains antalgiques
73 Questionnaires utilisables en médecine générale L AUDIT deux utilisations: En dépistage: proposé dans la salle d attente Pour caractériser le mésusage: remis au patient FACE Questionnaire en cours de validation 3 questions complètent la CDA Réalisation au cours de l entretien
74 Repérage par les questionnaires AUDIT Alcohol Use Disorders Identification Test 7 cl d apéritif à 18 Un verre standard représente une de ces boissons : 2,5 cl de digestif à cl de champagne à cl de cidre «sec» à 5 2,5 cl de whisky à 45 2,5 cl de pastis à cl de bière à 5 1/ A q u e l l e f r é q u e n c e v o u s a r r i v e - t - i l d e c o n s o m m e r d e s b o i s s o n s c o n t e n a n t d e l 'a l c o o l? 10 cl de vin rouge ou blanc à 12 Jamais 1 fois par mois 2 à 4 fois 2 à 3 fois 4 fois ou plus ou moins par mois par semaine par semaine 2/ C o m b i e n d e v e r r e s s t a n d a r d s b u v e z - v o u s a u c o u r s d u n e j o u r n é e o r d i n a i r e o ù v o u s b u v e z d e l 'a l c o o l? un ou deux trois ou quatre cinq ou six sept à neuf dix ou plus 3/ Au cours d une même occasion, à quelle fréquence vous arrive-t-il de boire six verres standards ou plus? jamais moins d une fois une fois par mois une fois par chaque jour par mois semaine ou presque 4/ Dans les douze derniers mois, à quelle fréquence avez-vous observé que vous n étiez plus capable de vous arrêter de boire après avoir commencé? jamais moins d une fois une fois par mois une fois par chaque jour par mois semaine ou presque 5/ Dans les douze derniers mois, à quelle fréquence le fait d'avoir bu de l'alcool vous a-t-il empêché de faire ce qu'on attendait normalement de vous? jamais moins d une fois une fois par mois une fois par chaque jour par mois semaine ou presque 6// Dans les douze derniers mois, à quelle fréquence, après une période de forte consommation, avez-vous dû boire de l alcool dès le matin pour vous remettre en forme? jamais moins d une fois une fois par mois une fois par chaque jour par mois semaine ou presque 7/ Dans les douze derniers mois, à quelle fréquence avez-vous eu un sentiment de culpabilité ou de regret après avoir bu? Jamais moins d une fois une fois par mois une fois par chaque jour par mois semaine ou presque 8/ Dans les douze derniers mois, à quelle fréquence avez-vous été incapable de vous souvenir de ce qui s'était passé la nuit précédente parce que vous aviez bu? jamais moins d une fois une fois par mois une fois par chaque jour par mois semaine ou presque 9/ V o u s ê t e s - v o u s b l e s s é ( e ) o u a v e z - v o u s b l e s s é q u e l q u u n p a r c e q u e v o u s a v i e z b u? non oui mais pas dans les douze derniers mois oui au cours des 12 derniers mois 10/ Est-ce qu un ami ou un médecin ou un autre professionnel de santé s est déjà préoccupé de votre consommation d alcool et vous a conseillé de la diminuer? non oui mais pas dans les douze derniers mois oui au cours des 12 derniers mois
75 Repérage par les questionnaires AUDIT : Interprétation AUDIT Alcohol Use Disorders Identification Test Chaque question est cotée de 0 à 4 On effectue le total des réponses (0-40) Hommes score inférieur à 7 : risque faible ou nul score de 7 à 12 : mésusage sans dépendance score supérieur à 12 : dépendance Femmes score inférieur à 6 : risque faible ou nul score de 6 à 12 : mésusage sans dépendance score supérieur à 12 : dépendance
76 FACE A quelle fréquence vous arrive-t-il de consommer des boissons contenant de l alcool? 0 = «jamais», 1 = «une fois par mois ou moins», 2 = «2 à 4 fois par mois», 3 = «2 à 3 fois par semaine», 4 = «4 fois ou plus par semaine» Combien de verres standards buvez-vous au cours d une journée ordinaire où vous buvez de l alcool? 0 = «un ou deux», 1 = «trois ou quatre», 2 = «cinq ou six», 3 = «sept à neuf», 4 = «dix ou plus» Votre entourage vous a-t-il fait des remarques au sujet de votre consommation d alcool? Avez-vous déjà eu besoin d alcool le matin pour vous sentir en forme Vous arrive-t-il de boire et de ne plus vous souvenir ensuite de ce que vous avez pu dire ou faire? Pour ces trois dernières questions : non = 0, ou oui = 4
77 Repérage par les questionnaires: FACE Chaque question est cotée de 0 à 4 On effectue le total des réponses (0-20) Hommes score inférieur à 5 : risque faible ou nul scores 5 à 8 : consommation à risque score supérieur à 8 : dépendance Femmes score inférieur à 4 : risque faible ou nul scores 4 à 8 : consommation à risque score supérieur à 8 : dépendance
78 Comment intervenir? Pour les patients non alcoolodépendants (ou faiblement alcoolodépendants): L intervention brève (I.B.) réalisée par le médecin généraliste Pour les patients alcoolodépendants Travailler avec des personnes ressource en alcoologie Travail en réseau
79 Consommation d alcool de Pierre Semaine: Midi: 1 à 2 verres de vin (ne dépasse pas 2 depuis qu on lui avait retiré le permis), soir: 1 apéritif, 2 verres de vin Week-end: apéritif à chaque repas, 2 à 3 verres de vin par repas, Plus quelques bières en été 40 verres par semaine Ne consomme pas du tout d alcool pendant les séjours chez sa belle famille
80 Pierre questionnaire FACE A quelle fréquence vous arrive-t-il de consommer des boissons contenant de l alcool? 4 «4 fois ou plus par semaine» Combien de verres standards buvez-vous au cours d une journée ordinaire où vous buvez de l alcool? 1 = «trois ou quatre», Votre entourage vous a-t-il fait des remarques au sujet de votre consommation d alcool? Avez-vous déjà eu besoin d alcool le matin pour vous sentir en forme? Vous arrive-t-il de boire et de ne plus vous souvenir ensuite de ce que vous avez pu dire ou faire? Pour ces trois dernières questions : 0, Scores 5 à 8 : consommation à risque
81 L intervention brève l I.B. concerne les patients ayant une CDA supérieure aux normes, non ( ou peu) dépendants Objectif : provoquer chez les patients qui y sont prêts un changement dans la consommation d alcool Dans un premier temps: prise de conscience du problème ou une aide à envisager le changement Elle cherche à être suffisamment brève pour être systématisable Elle respecte les principes de la relation médecinmalade : empathie, absence de jugement, respect du choix du patient Elle suit un plan simple FRAMES
82 Déroulement d une intervention Feed-back brève: F.R.A.M.E.S. Responsabilisation Advice= conseil Menu = choix d actions proposé au patient Empathie Self efficacy= la réussite dépend entièrement du patient
83
84 Le médecin généraliste et les patients usagers de drogues
85 Julien Julien, 30 ans, célibataire, électricien au chômage depuis 6 mois consulte pour un mal de gorge L entretien retrouve: Tabac: fume rarement «c est dangereux pour la santé» Cannabis: deux à trois joints le soir «pour se détendre» depuis une dizaine d années, rarement le matin Alcool: une bière de temps en temps, le vendredi soir avec les copains «se met quelquefois minable» Médicaments: 0 A l examen : pharyngite Quelle est votre analyse de la situation? Quelles sont vos propositions?
86 Cannabis A partir de 16 ans: Plus de la moitié des garçons ont fumé plus de dix fois du cannabis dans leur vie, Les filles sont peu consommatrices Les effets recherchés: sentiment de bien-être, d euphorie et de relaxation; expériences sensorielles plus intenses.
87 Cannabis: les conséquences 1 Effets à court terme du cannabis : appétit plus grand; pouls plus rapide; perte de capacité intellectuelle et psychomotrice; volubilité; altération des sens (perception plus aiguë des couleurs et des sons); distorsion du temps. À très fortes doses, les effets du cannabis peuvent être semblables à ceux des hallucinogènes. Risques liées à la conduite sous cannabis Risques judiciaires
88 Cannabis: les conséquences 2 Effets à long terme : Perte de motivation et d intérêt pour une activité soutenue; Une consommation régulière et importante de cannabis peut mener à la tolérance et causer à long terme une dépendance Risque de cancer du poumon, de bronchite chronique et d autres maladies respiratoires quand le cannabis est fumé. Conséquences liées à une recherche de produit: coût, risques judiciaires
89 Test CRAFFT ADOSPA 1. Êtes-vous déjà monté dans un véhicule (Auto, moto, Scooter...) conduit par quelqu'un (vous y compris) qui avait bu ou qui était défoncé? OUI NON 2. Utilisez -vous de l'alcool ou d'autres drogues pour vous Détendre, vous sentir mieux ou pour tenir le coup? OUI NON 3. Vous est-il arrivé d'oublier ce que vous avez fait sous l'emprise de l'alcool ou d'autres drogues? OUI NON 4. Consommez-vous de l'alcool ou d'autres drogues quand vous êtes Seul? OUI NON 5. Avez-vous déjà eu des Problèmes en consommant de l'alcool ou d'autres drogues? OUI NON 6. Vos Amis ou votre famille vous ont-ils déjà dit que vous devriez réduire votre consommation d'alcool ou d'autres drogues? OUI NON Un score égal ou supérieur à 2 est évocateur d'une consommation nocive
90 Cannabis: le repérage CAGE Cannabis Avez-vous déjà ressenti le besoin de diminuer votre consommation de cannabis? Votre entourage vous a-t-il déjà fait des remarques au sujet de votre consommation? Avez-vous déjà eu l impression que vous fumiez trop de cannabis? Avez-vous déjà eu besoin de fumer du cannabis dès le matin pour vous sentir en forme?
91 QUESTIONNAIRE D'AUTO-ÉVALUATION Questionnaire CAST (Cannabis abuse screening test, conçu à l'ofdt) Au cours de votre vie: Une seule croix par ligne OUI NON Avez-vous déjà fumé du cannabis avant midi? O O Avez-vous déjà fumé du cannabis lorsque vous étiez seul(e)? O O Avez-vous déjà eu des problèmes de mémoire quand vous fumez du cannabis? O O Des amis ou des membres de votre famille vous ont-ils déjà dit que vous devriez réduire votre consommation de cannabis? Avez-vous déjà essayé de réduire ou d'arrêter votre consommation de cannabis sans y parvenir? Avez-vous déjà eu des problèmes à cause de votre consommation de cannabis (dispute, bagarre, accident, mauvais résultat à l'école...)? Source: Beck F., Legleye S., Reynaud M., Karila L. O O O O O O Deux réponses positives au test doivent vous amener à vous interroger sérieusement sur les conséquences de votre consommation Trois réponses positives ou plus, devraient vous amener à rechercher de l aide
92
93 Médicaments psychoactifs ESCAPAD Aquitaine 2011: La consommation des médicaments est à forte prédominance féminine chez les jeunes. 11% chez les filles 5,9 % chez les garçons Cette différence se manifeste quelque soit l'âge des jeunes.
94
95
96 Dopage Situation fréquente chez les sportifs de haut niveau Pouvant être rencontrée aussi chez tout sportif concerné par une compétition Conséquences immédiates, à moyen et à long terme
97 Dopage: rôle du médecin Prévention primaire: généraliste Consultations de non contre indication à la pratique d un sport Consultations liées à une conséquence de la pratique sportive Dépistage: Découverte de manifestations pouvant être liées à une prise de produits Soin, avec des structures spécialisées
Les drogues POUR EN SAVOIR PLUS. 1. L avis du psychologue. 2. Les risques et leur prévention. Quelques chiffres
Les drogues POUR EN SAVOIR PLUS 1. L avis du psychologue La consommation de drogues, qu elles soient licites (alcool, tabac) ou illicites (cannabis, crack, etc.), fait partie des conduites à risques fréquemment
Plus en détailLes Migraines et les céphalées. Dr G.Hinzelin Migraines et Céphalées Migraines et Céphalées La migraine représente entre 5 à 18% de la population française selon le sexe et en fonction des études. Est
Plus en détailPourtant, la preuve est faite, de manière scientifique, que le tabagisme passif comporte des risques réels pour la santé.
Si plus des trois quarts des personnes se disent gênées par la fumée des autres, les risques liés au tabagisme passif restent largement sous-estimés : les non-fumeurs sont seulement 15 % à craindre, pour
Plus en détail«Tout le monde devrait faire une psychothérapie.»
«Tout le monde devrait faire une psychothérapie.» Moins je me connais, mieux je me porte. Clément Rosset, Loin de moi, 1999 Faut-il tout «psychiatriser»? Tout événement de vie difficile tel qu une rupture
Plus en détailEstimations 2014 des consommations de produits psychoactifs à 17 ans
Estimations des consommations de produits psychoactifs à 17 ans Stanislas Spilka, Olivier Le Nézet et François Beck Note 2015-02 du 21 avril 2015 L enquête ESCAPAD Cette note présente les premières exploitations
Plus en détailEVALUATION DES METHODES D AIDE A L ARRET DU TABAGISME
EVALUATION DES METHODES D AIDE A L ARRET DU TABAGISME Docteur Jean PERRIOT Dispensaire Emile Roux Clermont-Ferrand jean.perriot@cg63.fr DIU Tabacologie Clermont-Ferrand - 2015 NOTIONS GENERALES INTRODUCTION.
Plus en détailL axe 5 du Cancéropole Nord Ouest
L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest Cancers, Individu id & Société L état des lieux d un pari Le Rapport Cordier 1 Biomarqueurs prédictifs 2 L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest Cancers, Individu & Société
Plus en détail9.11 Les jeux de hasard et d argent
9.11 Les jeux de hasard et d argent Maud Pousset, Marie-Line Tovar 288 Les jeux de hasard et d argent (JHA) constituent une activité ancienne et répandue, mais longtemps interdite. Leur offre s est étoffée,
Plus en détailDr Julie Dauphin, Ph.D. Psychologue clinicienne
CHAMPS D EXPERTISE Dr Julie Dauphin, Ph.D. Psychologue clinicienne Hôpital Louis- H. Lafontaine Institut Universitaire en santé mentale Programme des troubles psychotiques - Clinique Sherbrooke 7401 Hochelaga
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailMigraine et Abus de Médicaments
Migraine et Abus de Médicaments Approches diagnostiques et thérapeutiques des Céphalées Chroniques Quotidiennes Pr D. DEPLANQUE Département de Pharmacologie médicale EA 1046, Institut de Médecine Prédictive
Plus en détailQuestions / Réponses. Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées
Questions / Réponses Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées Quelques chiffres sur les troubles du sommeil et la consommation de benzodiazépines
Plus en détailL ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE DU PATIENT EN 15 QUESTIONS - RÉPONSES
L ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE DU PATIENT EN 15 QUESTIONS - RÉPONSES CONTEXTE 1. Pourquoi avoir élaboré un guide sur l éducation thérapeutique du En réponse à la demande croissante des professionnels de santé
Plus en détailSe libérer de la drogue
Chacun doit savoir qu il peut se libérer de la drogue à tout moment. Se libérer de la drogue Je ne maîtrise plus la situation Longtemps encore après la première prise de drogue, le toxicomane croit pouvoir
Plus en détailComment la proposer et la réaliser?
RECOMMANDATIONS Éducation thérapeutique du patient Comment la proposer et la réaliser? Juin 2007 OBJECTIF Ces recommandations visent à aider les professionnels de santé dans la mise en œuvre d un programme
Plus en détailLe Modèle Conceptuel de Virginia Henderson. P. Bordieu (2007)
Le Modèle Conceptuel de Virginia Henderson P. Bordieu (2007) Postulats qui l étayent (= fondements) Valeurs qui le justifient Éléments qui le composent: - But poursuivi - Cible - Rôle de l infirmière -
Plus en détailL utilisation de l approche systémique dans la prévention et le traitement du jeu compulsif
L utilisation de l approche systémique dans la prévention et le traitement du jeu compulsif Isabelle Cyr, B.sc. Psychologie. B.sc. Service social. T.s. Thérapeute Josée Dostie, B.A. Psychologie. Thérapeute
Plus en détailProtection Maternelle et Infantile Santé scolaire (33b) Professeur Dominique PLANTAZ Septembre 2004
Protection Maternelle et Infantile Santé scolaire (33b) Professeur Dominique PLANTAZ Septembre 2004 Objectifs : indiquer les objectifs de prévention du Service départemental de Protection Maternelle et
Plus en détailEXEMPLE DE LETTRE DE PLAINTE
EXEMPLE DE LETTRE DE PLAINTE Une demande au syndicat de copropriété pour entreprendre les démarches nécessaires afin de réduire ou d'éliminer le problème d'infiltration de fumée de tabac secondaire. Cette
Plus en détailLe bilan neuropsychologique du trouble de l attention. Ania MIRET Montluçon le 4-12- 2009
Le bilan neuropsychologique du trouble de l attention Ania MIRET Montluçon le 4-12- 2009 Introduction L attention est une fonction de base dont l intégrité est nécessaire au bon fonctionnement cognitif
Plus en détailMUT @ctu.net La lettre d information électronique de la Mutualité Française Aquitaine
MUT @ctu.net La lettre d information électronique de la Mutualité Française Aquitaine N 13 : 30 mars 2011 Priorité Santé Mutualiste : un kit de communication pour permettre aux mutuelles de promouvoir
Plus en détailTROP, C EST COMBIEN? Chaque verre compte
Votre consommation d alcool TROP, C EST COMBIEN? Chaque verre compte Cette brochure explique les effets de l alcool sur votre santé ainsi que sur votre vie sociale, familiale et professionnelle. Elle vous
Plus en détailProjet de grossesse : informations, messages de prévention, examens à proposer
DOCUMENT D INFORMATION POUR LES PROFESSIONNELS Projet de grossesse : informations, messages de prévention, examens à proposer Septembre 2009 DÉFINITION ET OBJECTIF Dès lors qu ils expriment un projet de
Plus en détailtestez-vous! Préparez vos partiels en toute sénérité!
: t i u t a r g t i Extra testez-vous! Préparez vos partiels en toute sénérité! Enoncé Un fan de casino Vous êtes praticien dans la belle ville d Enghien (célèbre pour son casino ). Vous recevez Joël 43
Plus en détailL enjeu de la reconnaissance des pharmaciens comme éducateur de santé
L enjeu de la reconnaissance des pharmaciens comme éducateur de santé 3 e conférence sur les traitements de la dépendance aux opioïdes Genève, 19 octobre 2012 Nicolas Bonnet, directeur du Respadd Anne
Plus en détailM2S. Formation Management. formation. Animer son équipe Le management de proximité. Manager ses équipes à distance Nouveau manager
Formation Management M2S formation Animer son équipe Le management de proximité Manager ses équipes à distance Nouveau manager Coacher ses équipes pour mieux manager Déléguer et Organiser le temps de travail
Plus en détailLa prise en charge d un trouble dépressif récurrent ou persistant
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge d un trouble dépressif récurrent ou persistant Vivre avec un trouble dépressif Septembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin
Plus en détailUNIVERSITÉ DE GENÈVE Antenne santé 4, rue De-Candolle www.unige.ch/unisansfumee. Arrêter, c est possible!
UNIVERSITÉ DE GENÈVE Antenne santé 4, rue De-Candolle www.unige.ch/unisansfumee Arrêter, c est possible! Pour en finir avec la cigarette Un pari difficile L Université de Genève est déclarée territoire
Plus en détaileduscol Santé et social Enseignement d'exploration
eduscol Consultation nationale sur les programmes Projets de programmes de la classe de seconde générale et technologique Santé et social Enseignement d'exploration L'organisation de la consultation des
Plus en détailLA QUESTION DE LA PRISE DE POIDS CHEZ LE FUMEUR EN SEVRAGE TABAGIQUE
Jean-Paul BLANC Diététicien-Nutritionniste Neuilly sur Seine www.cabinet-de-nutrition-et-dietetique.eu LA QUESTION DE LA PRISE DE POIDS CHEZ LE FUMEUR EN SEVRAGE TABAGIQUE Au cours de la dernière décennie
Plus en détailCONTRAINTES PSYCHOLOGIQUES ET ORGANISATIONNELLES AU TRAVAIL ET SANTE CHEZ LE PERSONNEL SOIGNANT DES CENTRES HOSPITALIERS:
CONTRAINTES PSYCHOLOGIQUES ET ORGANISATIONNELLES AU TRAVAIL ET SANTE CHEZ LE PERSONNEL SOIGNANT DES CENTRES HOSPITALIERS: Infirmier(e)s et aides soignant(e)s ETUDE ORSOSA État de santé, conditions de travail
Plus en détailPROGRESSEZ EN SPORT ET EN SANTÉ. Mieux vivre avec ma maladie chronique, Me soigner par l activité physique Programmes Santé
PROGRESSEZ EN SPORT ET EN SANTÉ Mieux vivre avec ma maladie chronique, Me soigner par l activité physique Programmes Santé À chacun son stade! Votre profil est unique, votre réponse à l exercice physique
Plus en détailSanté des 15-30 ans : Comment se portent et se comportent les jeunes?
Santé des 15-30 ans : Comment se portent et se comportent les jeunes? Baromètre santé jeunes 2010 Dossier de presse Juin 2013 CONTACTS PRESSE Inpes : Vanessa Lemoine Tél : 01 49 33 22 42 Email : vanessa.lemoine@inpes.sante.fr
Plus en détail"La santé des étudiants en 2015"
Dossier de Presse "La santé des étudiants en 2015" 9 ème Enquête Nationale 1999 2015 Enquête Santé d emevia Depuis plus de 16 ans, à l écoute des étudiants 1 Sommaire EmeVia et les mutuelles étudiantes
Plus en détailStratégie d intervention auprès des élèves présentant des comportements et attitudes scolaires inappropriés
Stratégie d intervention auprès des élèves présentant des comportements et attitudes scolaires inappropriés IEN/CTR ASH 2011-2012 Comportements inappropriés / Troubles de la conduite et du comportement
Plus en détailCompliance (syn. Adhérence - Observance) IFMT-MS-Sémin.Médict.Nov.05 1
Compliance (syn. Adhérence - Observance) IFMT-MS-Sémin.Médict.Nov.05 1 Qu est ce que la compliance? Une maladie a été diagnostiquée Le diagnostic est correct Le traitement a été bien indiqué, bien choisi,
Plus en détailDéfinition, finalités et organisation
RECOMMANDATIONS Éducation thérapeutique du patient Définition, finalités et organisation Juin 2007 OBJECTIF Ces recommandations visent à présenter à l ensemble des professionnels de santé, aux patients
Plus en détailLA PRISE EN CHARGE COGNITIVE ET COMPORTEMENTALE DU JOUEUR PATHOLOGIQUE (Jeux de hasard et d argent)
LA PRISE EN CHARGE COGNITIVE ET COMPORTEMENTALE DU JOUEUR PATHOLOGIQUE (Jeux de hasard et d argent) Colloque Européen et International THS 10, le 14 octobre 2011 Marthylle LAGADEC Marie GRALL-BRONNEC,
Plus en détailMigraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques
Migraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques Dr Solène de Gaalon Service de neurologie- CHU Nantes Société française des migraines et céphalées Céphalées de tension
Plus en détailSITES DE LUTTE CONTRE LE TABAGISME
I. Tabac-info-service.fr SITES DE LUTTE CONTRE LE TABAGISME I. TABAC-INFO-SERVICE.FR http://www.tabac-info-service.fr/ Site du Ministère de la Santé et de l Inpes (Institut national de prévention et d
Plus en détailMa vie Mon plan. Cette brochure appartient à :
Ma vie Mon plan Cette brochure est pour les adolescents(es). Elle t aidera à penser à la façon dont tes décisions actuelles peuvent t aider à mener une vie saine et heureuse, aujourd hui et demain. Cette
Plus en détailLe référentiel RIFVEH www.rifveh.org La sécurité des personnes ayant des incapacités : un enjeu de concertation. Septembre 2008
Le référentiel RIFVEH www.rifveh.org La sécurité des personnes ayant des incapacités : un enjeu de concertation Septembre 2008 Louis Plamondon Centre de recherche de l institut universitaire de gériatrie
Plus en détailExpertis. Étude Stress. Stress. sur le Éléments statistiques. Dr Brigitte Lanusse-Cazalé. Production : Le Laussat.
Expertis Étude Stress Stress sur le Éléments statistiques Dr Brigitte Lanusse-Cazalé Production : Le Laussat. Les réactions au stress Les phases de stress + le stress dure, + le capital d adaptation s
Plus en détailÉTAT DES LIEUX DES DROGUES ET DÉPENDANCES EN AUVERGNE
Réalisé par l'observatoire Régional de la Santé d'auvergne M VENZAC, H-G ILLES, S MAQUINGHEN, Pr Y GLANDDIER ÉTAT DES LIEUX DES DROGUES ET DÉPENDANCES EN AUVERGNE Novembre 2011 Observatoire régional de
Plus en détailDiabète de type 1 de l enfant et de l adolescent
GUIDE - AFFECTION DE LONGUE DURÉE Diabète de type 1 de l enfant et de l adolescent Juillet 2007 Juillet 2007 1 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication
Plus en détailENQUÊTE AUPRÈS DES UTILISATEURS DU SITE : «STOP-TABAC.CH» Anne-Françoise WORRETH / Année 2009-2010 / Faculté de médecine Lyon 1
DIU de Tabacologie et d aide au sevrage tabagique SITES INTERNET ET SEVRAGE TABAGIQUE ENQUÊTE AUPRÈS DES UTILISATEURS DU SITE : «STOP-TABAC.CH» Anne-Françoise WORRETH / Année 2009-2010 / Faculté de médecine
Plus en détailCas clinique n 1. Y-a-t-il plusieurs diagnostics possibles? Son HTA a t elle favorisé ce problème?
Cas clinique n 1 Michel que vous suivez de longue date a l impression depuis quelques jours, d entendre des battements irréguliers le soir en se couchant ; il va parfaitement bien par ailleurs et rapporte
Plus en détailAutisme Questions/Réponses
Autisme Questions/Réponses 1. Quelle est la définition de l autisme et des autres troubles envahissants du développement établie dans l état des connaissances élaboré et publié par la HAS? Les définitions
Plus en détailNouvelles addictions. Dr Marie VERSCHAVE Praticien hospitalier Service de médecine interne E et addictologie
Nouvelles addictions comportementales Dr Marie VERSCHAVE Praticien hospitalier Service de médecine interne E et addictologie Item N 77. Addictions comportementales Diagnostiquer, évaluer le retentissement
Plus en détailLes stratégies de prévention du tabagisme développées par les structures qui encadrent les jeunes
Le réseau régional d Education Pour la Santé Membre du réseau de l'institut National de Prévention et d'education pour la Santé et l Institut Rhône-Alpes de Tabacologie Les stratégies de prévention du
Plus en détailLes Jeudis de l'europe
LE DIABETE SUCRE EST DEFINI EN DEHORS DE TOUT EPISODE DIABETOGENE : 1.26 g/l SOIT 7 mmol/l PREVALENCE DU DIABETE DE TYPE 2 EN FRANCE METROPOLITAINE 3.4 % AGE = 63 ANS HOMMES = 54% 25% > 75 ans OUTRE MER
Plus en détailDOSSIER MEDICAL (à faire remplir obligatoirement par le Médecin et à retourner accompagné du Dossier administratif au Centre Addictologie d Arzeliers)
DOSSIER MEDICAL (à faire remplir obligatoirement par le Médecin et à retourner accompagné du Dossier administratif au Centre Addictologie d Arzeliers) Chère Consœur, Cher Confrère, Ces renseignements médicaux
Plus en détailUn besoin identifié : les jeunes et leur santé (état des lieux et constat)
Un besoin identifié : les jeunes et leur santé (état des lieux et constat) «Si, globalement, les adolescents se disent en meilleure santé que les adultes, il convient, au regard des résultats qui suivent
Plus en détailEntre mal-être et bien être : comment vont les étudiants. Premiers résultats. Damien BERTHILIER Président La Mutuelle des Étudiants LMDE-EPSE
Entre mal-être et bien être : comment vont les étudiants Premiers résultats Damien BERTHILIER Président La Mutuelle des Étudiants LMDE-EPSE Objectifs de l enqul enquête Mieux identifier la souffrance psychique
Plus en détailClassifier le handicap épileptique avec ou sans autres déficiences associées. Réponses médico-sociales.
Classifier le handicap épileptique avec ou sans autres déficiences associées. Réponses médico-sociales. 1 Les outils de mesure existants et description du handicap épileptique Il ne s agit pas ici de mesurer
Plus en détailLES ADDICTIONS. Docteur Sandrine TRAPE Chef de Clinique Assistante en Psychiatrie CHU de Fort de France. le 15/04/11
LES ADDICTIONS Docteur Sandrine TRAPE Chef de Clinique Assistante en Psychiatrie CHU de Fort de France Du produit à l addiction Auparavant l accent était mis sur la substance alcool/drogue qui était diabolisée
Plus en détailGuide à l intention des familles AU COEUR. du trouble de personnalité limite
Guide à l intention des familles AU COEUR du trouble de personnalité limite À propos du trouble de personnalité limite Ce document a été élaboré en 2001 par madame France Boucher, infirmière bachelière,
Plus en détailL expérience du patient partenaire au suivi intensif dans la communauté à Sherbrooke. Daniel Boleira Guimarães; Luce Côté
L expérience du patient partenaire au suivi intensif dans la communauté à Sherbrooke Daniel Boleira Guimarães; Luce Côté 27e Entretiens Jacques Cartier Sherbroke, le 6 octobre 2014 Le suivi intensif dans
Plus en détailPour certains, la maladie est assimilée à une faiblesse (consulter constitue un aveu de défaillance physique).
P.R ALPS. Re tour sommaire P ages précédentes Les professionnels de santé ne sont pas toujours bien perçus par les bénéficiaires du RMI, ils éprouvent souvent une certaine méfiance (peur du diagnostic?
Plus en détaile-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé
e-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé Professeur Michèle Kessler CHU de Nancy et réseau Néphrolor L une des applications de la télémédecine est la télésurveillance à domicile,
Plus en détailDOSSIER DE PRESSE 27 AVRIL 2006 5 MILLIONS DE FRANÇAIS ONT UN PROBLEME AVEC L ALCOOL. ET SI LES AUTRES C ETAIT VOUS?
DOSSIER DE PRESSE 27 AVRIL 2006 5 MILLIONS DE FRANÇAIS ONT UN PROBLEME AVEC L ALCOOL.. ET SII LES AUTRES C ETAI IT VOUS? SOMMAIRE Les hommes boivent plus souvent et en plus grande quantité que les femmes..
Plus en détailDéveloppement personnel
Développement personnel 50 REPÉRAGE DES TALENTS : COMPÉTENCES ET PERFORMANCE DE L'ENTREPRISE Repérer dans l'organisation les "talents" nécessaires à l'atteinte des objectifs de l'entreprise Construire
Plus en détailLE GRAND LIVRE Du. Pr Jean-Jacques Altman Dr Roxane Ducloux Dr Laurence Lévy-Dutel. Prévenir les complications. et surveiller la maladie
Pr Jean-Jacques Altman Dr Roxane Ducloux Dr Laurence Lévy-Dutel LE GRAND LIVRE Du diabète Vivre avec le diabète à tout âge Traiter et surveiller la maladie Prévenir les complications, 2012 ISBN : 978-2-212-55509-7
Plus en détailSommaire. Sommaire. L Entreprise Page 3. Qu est-ce que la PNL? Page 4. Thérapie PNL et hypnose ericksonienne Page 7
Sommaire L Entreprise Page 3 Qu est-ce que la PNL? Page 4 Thérapie PNL et hypnose ericksonienne Page 7 Préparation mentale pour sportif Page 8 Arrêter de fumer Page 11 Mincir par l hypnose Page 12 Traitement
Plus en détailPLAC E DE L AN ALYS E TOXIC OLOG IQUE EN URGE NCE HOSP ITALI ERE
PLAC E DE L AN ALYS E TOXIC OLOG IQUE EN URGE NCE HOSP ITALI ERE CHEFIRAT B. Les intoxications aiguës constituent un réel problème de santé publique dont l impact reste encore à évaluer. Le nombre total
Plus en détailRecommandation Pour La Pratique Clinique
Recommandation Pour La Pratique Clinique Prise en charge diagnostique et thérapeutique de la migraine chez l adulte ( et chez l enfant) : aspects cliniques (et économiques) Octobre 2002 1 La migraine de
Plus en détailDOSSIER DE SOINS INFIRMIERS
DOSSIER DE SOINS INFIRMIERS Débuté le Terminé le. FICHE ADMINISTRATIVE PATIENT Nom Prénom Date de naissance / / Téléphone. ADRESSE...... N SS / / / / / // ENTOURAGE-PERSONNE RESSOURCE NOM QUALITE..TEL...
Plus en détailCalendrier des formations INTER en 2011
Calendrier des formations INTER en 2011 THEMES Liste des formations INTER MOTIVEZ ET DYNAMISEZ VOS EQUIPES 98 % de participants satisfaits et se sentant reconnus à la sortie de nos formations! L environnement
Plus en détailInsuffisance cardiaque
Insuffisance cardiaque Connaître son évolution pour mieux la vivre Guide d accompagnement destiné au patient et ses proches Table des matières L évolution habituelle de l insuffisance cardiaque 5 Quelles
Plus en détailLe Psoriasis Qui est touché?
LE PSORIASIS 1 Le Psoriasis Qui est touché? De 2 à 5 % de la population française soit2 à 3 millionsde personnes en France Deux "pics" de survenue : à l'adolescence et vers la soixantaine Parfois sur des
Plus en détail"La santé des étudiants en 2013"
1 Dossier de Presse "La santé des étudiants en 2013" 8 ème Enquête Nationale 1999 2013 Enquête Santé MGEL Depuis plus de 60 ans, à l écoute des étudiants 2 Sommaire EmeVia et les mutuelles étudiantes de
Plus en détailENFANT ASTHMATIQUE? PAS DE PANIQUE Contrôlez et équilibrez l asthme de votre enfant
ENFANT ASTHMATIQUE? PAS DE PANIQUE Contrôlez et équilibrez l astme de votre enfant Membre de la Fédération Française de Pneumologie Avec le soutien de la Direction Générale de la Santé et le parrainage
Plus en détailTITRE : «Information et consentement du patient en réadaptation cardiovasculaire»
TITRE : «Information et consentement du patient en réadaptation cardiovasculaire» MC Iliou, R Brion, C Monpère, B Pavy, B Vergès-Patois, G Bosser, F Claudot Au nom du bureau du GERS Un programme de réadaptation
Plus en détailPour réduire sa consommation Ouvrons le dialogue
Alcool Pour réduire sa consommation Ouvrons le dialogue Pour réduire sa consommation Alcool Vous envisagez de réduire votre consommation de boissons alcoolisées, mais vous vous posez des questions : vous
Plus en détailARRÊTÉ du. Projet d arrêté fixant le programme d'enseignement de santé et social en classe de seconde générale et technologique
RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Ministère de l Éducation nationale NOR : MENE1007267A ARRÊTÉ du Projet d arrêté fixant le programme d'enseignement de santé et social en classe de générale et technologique Le Ministre
Plus en détailUne échelle d évaluation semistructurée. B. Gravier
Une échelle d évaluation semistructurée : la HCR-20 B. Gravier Exemple de jugement clinique structuré: The Historical Clinical Risk Management 20 item scale HCR - 20 Echelle utilisée par les cliniciens
Plus en détailMieux vivre avec votre asthme
Mieux vivre avec votre asthme L éducation thérapeutique pour bien gérer votre asthme au quotidien Bien gérer sa maladie permet de reconnaître et maîtriser les symptômes afin de limiter la gêne respiratoire.
Plus en détailSANTE ECOLE ENSEIGNANTS
SANTE ECOLE ENSEIGNANTS Formation des directeurs 13 mai 2014 Nadine Colin, déléguée MGEN SANTE ECOLE ENSEIGNANTS 1. La MGEN, acteur de santé? 2. Eléments de réflexion et de débats 3. Dispositifs et outils
Plus en détailAlcool : Oui, on peut dire «non» au verre de trop
Alcool : Oui, on peut dire «non» au verre de trop Dossier de presse Novembre 2013 CONTACTS PRESSE Inpes : Vanessa Lemoine Tél : 01 49 33 22 42 Email : vanessa.lemoine@inpes.sante.fr TBWA \ Corporate :
Plus en détailPREUVE D ASSURABILITÉ DESCRIPTION DE LA PROTECTION
PREUVE D ASSURABILITÉ DESCRIPTION DE LA PROTECTION La présente demande d assurance comprend deux formulaires : Preuve d assurabilité Description de la protection et Questionnaire relatif aux renseignements
Plus en détailGHUPC Projet de transformation du site Hôtel Dieu. Pr S CHAUSSADE, Dr I. FERRAND
GHUPC Projet de transformation du site Hôtel Dieu Pr S CHAUSSADE, Dr I. FERRAND PREAMBULE - Déçisions du directoire de l APHP : 1) le site de l HTD ne serait pas fermé 2) le site de l HTD ne serait pas
Plus en détailTélé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale :
Télé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale : Docteur DARY Patrick, Cardiologue, Praticien Hospitalier Centre Hospitalier de St YRIEIX - Haute Vienne 87500 Situé
Plus en détailCohésion d Equipe - Team Building
Public concerné : Cadres et cadres supérieurs. Cohésion d Equipe - Team Building Objectifs : Comprendre les mécanismes de fonctionnement d une équipe. Comprendre les rôles de chacun et le rôle de l encadreur.
Plus en détailActions prévues pour l année à venir & synthèse des actions menées durant l'année écoulée
Actions prévues pour l année à venir & synthèse des actions menées durant l'année écoulée Fiche à envoyer pour le 31 décembre de chaque année à l Agence Régionale de Santé (ARS), à l attention du correspondant
Plus en détail4720.5560.46 (septembre 2009) 30 %
4720.5560.46 (septembre 2009) 30 % Prévenir le jeu excessif chez les adolescents C est toujours gagnant! Pourquoi ce dépliant? [ ] Le rôle des parents est déterminant dans la prévention du jeu excessif
Plus en détail2 La chaîne de survie canadienne : espoir des patients cardiaques
2 La chaîne de survie canadienne : espoir des patients cardiaques Les maladies cardiovasculaires sont la principale cause de décès au Canada. Bien que leur incidence ait diminué au cours des dernières
Plus en détailEfficacité de la réalité virtuelle pour faciliter la prévention de la rechute auprès de joueurs en traitement
Efficacité de la réalité virtuelle pour faciliter la prévention de la rechute auprès de joueurs en traitement Stéphane Bouchard*, Ph.D. Département de Psychoéducation et de Psychologie Université du Québec
Plus en détailN O S L I M I T E S?!
NOS LIMITES?! Cette brochure contient des informations essentielles sur l alcool et peut vous permettre de calculer votre. L alcool L alcool est une drogue licite et réglementée dont la substance psychoactive
Plus en détailEXEMPLE DE METHODOLOGIE POUR L ELABORATION D UN PROTOCOLE DOULEUR Marie AUBRY Infirmière référente douleur Hôpital TENON AP-HP Paris XX e SOMMAIRE
EXEMPLE DE METHODOLOGIE POUR L ELABORATION D UN PROTOCOLE DOULEUR Marie AUBRY Infirmière référente douleur Hôpital TENON AP-HP Paris XX e SOMMAIRE Etape n 1 : Faire l état des lieux Identifier la situation
Plus en détailLe test de dépistage qui a été pratiqué à la
élever CommenT UN enfant phénylcétonurique Le test de dépistage qui a été pratiqué à la maternité vient de révéler que votre bébé est atteint de phénylcétonurie. Aujourd'hui votre enfant va bien mais vous
Plus en détailLes stagiaires, au nombre de 12 maximum, disposent de tables de travail et de chaises.
Créé en 2005, l Institut Mots pour Maux est une association d accompagnement et d aide à la personne. Son objectif est de favoriser et de développer l amélioration de la condition de l être humain et son
Plus en détailLes effets nocifs du bruit sur l'homme
La santé n'est pas seulement l'absence de maladie mais un état de complet bien être physique, mental et social (OMS) Le bruit est un ensemble confus de sons non désirés (Littré) ou un ensemble de sons
Plus en détailMONITEUR-EDUCATEUR ANNEXE I : REFERENTIEL PROFESSIONNEL. Le moniteur-éducateur intervient dans des contextes différents :
MONITEUR-EDUCATEUR ANNEXE I : REFERENTIEL PROFESSIONNEL 1.1 DEFINITION DE LA PROFESSION ET DU CONTEXTE DE L INTERVENTION Le moniteur-éducateur participe à l'action éducative, à l'animation et à l'organisation
Plus en détailLa migraine. Foramen ovale perméable. Infarctus cérébral (surtout chez la femme)
La migraine 1/Introduction : Céphalée primaire (sans lésion sous-jacente). Deux variétés principales: Migraine sans aura (migraine commune). Migraine avec aura (migraine accompagnée). Diagnostic: interrogatoire
Plus en détailLe décret du 2 mars 2006 a institué le Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique de niveau V.
Siège social : 9 bis, rue Armand Chabrier 47400 TONNEINS Tél. : 05.53.64.61.57 Fax : 05.53.64.63.12 e-mail : adestonneins@yahoo.fr Site : www.adesformations.fr Antenne de Bazas 7 chemin Larriou 33430 BAZAS
Plus en détailMigraine et mal de tête : des "casse-tête"
Migraine et mal de tête : des "casse-tête" Tous concernés! De quoi s agit-il? Les migraines ne doivent pas être confondues avec les céphalées de tension, communément appelées les "maux de tête". En effet,
Plus en détailEsprit critique et dérives psychologique
Esprit critique et dérives psychologique L'esprit critique et l'autodéfense intellectuelle... Psy : clés d interprétation de notre environnement La construction et la transmission du savoir recouvre des
Plus en détailApproche centrée e sur le patient
Approche centrée e sur le patient Objectifs Prendre conscience des différences de type d approche Connaître le concept de l approche centrée sur le patient Savoir utiliser un outil d approche centrée sur
Plus en détailLES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS
LES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS 1. RÉFÉRENTIEL PROFESSIONNEL D ÉDUCATEUR SPÉCIALISÉ 2. RÉFÉRENTIEL ACTIVITÉS 3. RÉFÉRENTIEL DE 4. RÉFÉRENTIEL DE CERTIFICATION 5. RÉFÉRENTIEL DE FORMATION
Plus en détail