SAVOIR OBSERVER ET INTERVENIR EN SST. Renée Cossette et Bernard Larouche

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1 SAVOIR OBSERVER ET INTERVENIR EN SST Renée Cossette et Bernard Larouche COLLOQUE SST SAGUENAY

2 OBJECTIF Sensibiliser les participants aux principes d un savoir-observer: théorie et pratique Présenter un modèle de communication en 6 points d appui avec pratique.

3 CONTENU: 1e partie: Les attitudes du bon observateur: quoi et comment observer. Changement de paradigme: de surveillantcontrôlant passer en mode AIDANT. Trois exercices

4 CONTENU: 2e partie: Présentation d un modèle d intervention. Mises en situation.

5 OBSERVER ET COMMUNIQUER

6 POURQUOI DÉVELOPPER DE NOUVELLES HABILETÉS (EN SST)? Deux (2) alibis : 1)Parce qu on vit dans un milieu A N O R M A L 2) Pour CONTRIBUER (faire sa part) à ÉVITER DES BLESSURES.

7 EST-CE QU ON NAÎT SÉCURITAIRE? NON C est donc un processus, un cheminement, X X X X IL FAUT DONC APPRENDRE

8 DE NOUVEAUX RISQUES NATURE Pendant ans Risques ambiants : Faim Intempéries Animaux Ennemis Terrains escarpés, etc. DE NOS JOURS Risques électriques Thermiques Chimiques Mécaniques Hydrauliques Voire même nucléaires

9 POUR SE PROTÉGER DE CES NOUVEAUX RISQUES On a élaboré des lois, des règles, des procédures. On a fourni des CSS, des ÉPIs, des outils. On a diffusé des formations techniques. Etc. Mais les accidents surviennent encore.

10 CE QUI N EST PAS ENCORE AJUSTÉ EN SST NOS ATTITUDES et NOS COMPORTEMENTS

11 POURQUOI AGIR SUR LES COMPORTEMENTS? Iceberg des accidents Mortalité Pertes de temps Blessures nécessitant traitement médical Premiers soins Accidents évités de peu Comportements à risque

12 HABILETÉS DU BON OBSERVATEUR Relevez les attitudes les qualités - les habiletés du bon observateur

13 Exercice 2: Cherchez l erreur

14 EXERCICE 2:Cherchez l erreur PRINCIPE Il faut reconnaître avec précision et détail (contenu et quantité) tous les éléments à observer; cela facilite la tâche de l observateur. STRATÉGIE: Explorer systématiquement et séquentiellement.

15 EXERCICE 3: LA MAISON PRINCIPE: Mon intention d observation détermine les éléments sur lesquels je vais diriger mon attention et tirer mes observations. Donc: En fonction de mon intention, j observe des éléments particuliers ou spécifiques.

16 EXERCICE 4: La figure complexe de REY

17 EXERCICE 4: La figure de Rey PRINCIPE: Pour bien observer, il est très important de ne pas surcharger sa mémoire à court terme. STRATÉGIE: Avoir une liste ou un protocole d éléments à observer.

18 OBSERVER: dans un contexte de SST OBSERVER, C EST: Comparer, à l aide de tous mes sens, mon environnement de travail avec des normes données dans l intention d aider la personne et l organisation à demeurer sécuritaire.

19 OBSERVER et INTERVENIR RIGUEUR Savoir observer Se donner des outils (fiches d observation) Compiler et analyser ses observations. POUR ÊTRE EN CONTRÔLE DE SON DOSSIER SST CHALEUR Savoir communiquer (= mettre en commun) Présuppose une relation (égalitaire) sur le plan humain. POUR UN CLIMAT DE CONFIANCE ENTRE PARTENAIRES.

20 Après l observation, c est la communication

21 3 croyances Il n y a pas de problème de sécurité, Il n y a qu un problème de gestion.

22 3 croyances L intervention sur les comportements désirés a un impact beaucoup plus globalisant et rapide sur le développement d une culture sécurité, que celle axée sur la correction d écart.

23 3 croyances Intervenir sur des situations à faible niveau de risque développe chez l individu une attitude sécuritaire beaucoup plus globalisante et rapide que celle axée sur les situations à risque majeur.

24 Notre stratégie d intervention Intervenir car le comportement est le résultat de notre gestion. Intervenir sur les bons comportements et attitudes désirées. Intervenir sur les situations à faible niveau de risque.

25 Un modèle pour intervenir Les 6 clés de la communication pour augmenter l impact de son leadership.

26 Les mots : Pour nous faire comprendre C est le message lui-même et les mots qui le composent. En communication, la parole est la traduction de nos pensées. Trouver le mot juste exige de la concentration et de la vivacité d esprit. Les mots n ont pas la même signification pour tout le monde. La quantité d informations livrées ne garantit en rien une meilleure compréhension. Porter une attention particulière aux formulations de phrases négatives. Bannir de son vocabulaire les mots «malheureusement» et «impossible».

27 Le non verbal : pour attirer l attention Toujours se rappeler que l on ne peut pas ne pas communiquer. Pour ce que les gens voient : les mouvements physiques, les mimiques, le regard, les manières, etc. Notre corps parle constamment. Il a son propre langage, ses propres expressions et sa propre personnalité. Chaque geste est un mot et chaque mot peut être traduit de bien des façons. Le sourire : reflet d un état d esprit positif, indique la confiance. Le regard : premier signal de communication reflète à lui seul ce que l on ressent ou l on pense;

28 Le ton: pour se faire entendre Par la voix, la qualité des sons, l élocution et l intonation. Le ton, la sonorité et le débit reflètent nos intentions, notre sincérité, nos pensées et notre état d esprit. Peut traduire notre motivation, notre engagement, notre confiance et notre crédibilité. La crédibilité du message est véhiculée en bonne partie par le ton, l intonation et la qualité de la voix. La voix exprime toujours plus que le message qu elle essaie de transmettre. Les non-dits sont constamment exprimés par la voix et souvent à notre insu.

29 Les faits: de quoi s agit il? Un fait, c est la description fidèle de la réalité. Justes et précis, ils doivent être le reflet exact de la situation et éviter toute interprétation. Décrire les actions telles que vues et observées en évitant : le jugement: bon, mauvais, excellent; l évaluation; l opinion.

30 Les émotions : de quoi s agit-il? Permettent d établir plus facilement un lien avec les autres. C est par l émotion dite et ressentie que l interlocuteur détectera notre authenticité, ce qui le motivera à passer à l action. Il semble difficile de décrire nos propres émotions, nous aurions donc tous à gagner en enrichissant notre vocabulaire affectif. Être spécifique sur nos descriptions : se développer un vocabulaire personnel de base (voir annexe). Il y a 2 catégories d émotions : agréables et désagréables. ( content / pas content ) Éviter les mots vagues et généraux : je me sens bien/mal.

31 La demande : de quoi s agit-il? Nous formulons une demande lorsque nous voulons influencer autrui pour qu il modifie un comportement ou lorsque nous approuvons un comportement qu il doit maintenir. Permet de formuler un besoin et/ou une attente. Permet de cibler un geste et /ou une attitude. La demande imprécise sème la confusion; ne doit laisser place à aucune interprétation.

32 La demande : de quoi s agit-il? La demande formulée sous la forme négative : risque de provoquer une réaction négative et même de la résistance. Dans un environnement propice à l échange. Formuler ce que nous voulons plutôt que ce que nous ne voulons pas. Les demandes qui ne sont pas accompagnées des émotions et des besoins peuvent être entendues comme des exigences.

33 Et pour réussir Il est nécessaire d'avoir de la pratique

34 ON VOUS REMERCIE POUR CES 4 HEURES DE VOTRE VIE ACCORDÉE.

35 1358, Chemin Bruce Dunham (Québec) J0E 1M

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