L'ÉVOLUTION RÉCENTE DES GRANDES CATEGORIES DE REVENUS PERCUS PAR LES MENAGES EN 2002
|
|
- Jérémie Milot
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 L'ÉVOLUTION RÉCENTE DES GRANDES CATEGORIES DE REVENUS PERCUS PAR LES MENAGES EN 2002 Décembre 2003 Virginie SINGER
2 2 SOMMAIRE LES REVENUS SALARIAUX... 3 I. ) LES SALAIRES DANS LE SECTEUR PRIVE L'évolution des salaires bruts à structure constante... 4 Le salaire mensuel de base... 4 L'évolution par grandes catégories socioprofessionnelles (en euros courants)... 5 Le SMIC et la garantie mensuelle de rémunération... 5 Principaux indicateurs sur les salaires Les effets des politiques salariales Evolution du salaire brut moyen Les négociations salariales Evolution des "périphériques" du salaire L intéressement La participation Participation et intéressement Le plan d épargne d entreprise Evolution du salaire net de prélèvement à la source La situation du personnel d encadrement en Les tendances II. ) EVOLUTION DES REVENUS DANS LA FONCTION PUBLIQUE D'ETAT L'évolution de l'indice des traitements Les tendances pour III. ) COMPARAISONS EUROPEENNES DES EVOLUTIONS SALARIALES EN 2001 ET Augmentations nominales des salaires Augmentations réelles des salaires SOURCES - Les graphiques et tableaux proviennent essentiellement d «INSEE Première» (publication de l INSEE), - des «Premières informations et premières synthèses» de la DARES (ministère du Travail et des Affaires sociales). - et des Comptes nationaux de l INSEE 2
3 3 LES REVENUS SALARIAUX Pour mémoire : Tableau 1 : Évolution des prix à la consommation hors tabac (en % par rapport à l'année précédente) * 1,1 0,6 0,5 1,6 1,6 1,7 1,7 * prévision faite en juin 2003 En glissement, les prix à la consommation (hors tabac) ont augmenté de 2,1 % entre décembre 2001 et décembre 2002, après 1,3 % en (variation des prix à la consommation hors tabac en %) : + 0,1 % au cours du mois d octobre + 0,7 % au cours des trois derniers mois (août-septembre-octobre) + 1,9 % au cours des 12 derniers mois (octobre 2002-octobre 2003) Prévisions pour l année 2003 L INSEE prévoyait, au mois de juin, une évolution des prix à la consommation (hors tabac) de 1,7 % en moyenne annuelle pour 2003, et de 1,3 % en glissement annuel en décembre Rappel : Augmentation en moyenne annuelle et augmentation en glissement Lorsqu on raisonne «en glissement», on considère les salaires à deux dates différentes, par exemple à un an d intervalle, de décembre à décembre. La hausse en glissement présente deux caractéristiques : elle exprime les hausses successives entre les deux périodes mais elle est indépendante du moment où sont intervenues ces hausses. Lorsqu on raisonne «en moyenne», on compare le salaire moyen d une année au salaire moyen de l année précédente. On compare ainsi les salaires des douze mois de la deuxième année et les salaires des douze mois de l année initiale. 3
4 4 I. ) LES SALAIRES DANS LE SECTEUR PRIVÉ Méthodologie : Il existe trois manières d'apprécier l'évolution des salaires : - l'évolution des salaires à structure constante, c'est-à-dire à qualification, ancienneté et durée du travail constantes, - l'évolution du salaire perçu par un même salarié en activité pendant chacune des deux années considérées, - l'évolution du salaire moyen calculé en rapportant chaque année le montant total des salaires versés au nombre de salariés. 1. L'évolution des salaires bruts à structure constante Le salaire mensuel de base Il s'agit du salaire mensuel brut de base hors primes, indemnités et autres formes de rémunération. Tableau 2 : Évolution de l indice de salaire mensuel brut de base en moyenne annuelle Source : DARES Variation en moyenne annuelle (en %) ,6 1,7 2,4 2,5 En moyenne annuelle, la hausse de l indice de salaire brut de base atteint 2,5 % en 2002, après 2,4 % en En termes réels, compte tenu d une progression annuelle des prix hors tabac de 1,7 %, la moyenne annuelle est de 0,8 point. Tableau 3 : Évolution de l indice de salaire mensuel brut de base en glissement annuel Source : DARES Variation en glissement annuel (en %) ,6 2,0 2,6 2,5 4
5 5 Le glissement annuel du salaire mensuel de base se situe à 2,5 % fin 2002 (décembre 2001 à décembre 2002), alors qu il était de 2,6 % un an plus tôt (décembre 2000 à décembre 2001). En termes réels, compte tenu d un glissement annuel des prix (hors tabac) de 2,1 %, le glissement annuel est de seulement 0,4 point. L'évolution par grandes catégories socioprofessionnelles (en euros courants) En 2002, les ouvriers ont bénéficié d augmentations un peu plus fortes (2,7 %) que les autres catégories dont les augmentations se chiffrent à 2,6 % pour les employés et 2,3 % pour les techniciens - agents de maîtrise et pour les cadres. Tableau 4 : Évolution de l indice du salaire mensuel brut de base ÉVOLUTION DE L INDICE DU SALAIRE MENSUEL BRUT DE BASE (en %) Variation en moyenne annuelle Variation en glissement trimestriel e tri e tri e tri er tri e tri ,0 1,6 1,9 2,7 2,7 Ouvriers (40 %) 0,5 0,7 0,5 0,8 0,6 1,7 1,7 1,5 2,5 2,6 Employés (24 %) 0,7 0,8 0,4 0,8 0,5 1,3 1,5 1,6 2,2 2,3 Techniciens, AM (22 0,6 0,5 0,3 0,9 0,6 %) 1,6 1,8 1,8 2,2 2,3 Cadres (15 %) 0,5 0,4 0,3 0,9 0,5 1,8 1,6 1,7 2,4 2,5 Ensemble des salariés 0,6 0,6 0,4 0,8 0,5 Source : Enquête trimestrielle sur l activité et les conditions d emploi de la main-d œuvre (ACEMO), MES-DARES Au 2 eme trimestre 2003, la hausse du salaire mensuel de base a été légèrement moins importante pour les cadres et les employés (0,5 %) que pour les ouvriers et les professions intermédiaires (0,6 %). Sur un an (juin 2002-juin 2003), les ouvriers et les employés ont été augmentés de 2,5 %, les professions intermédiaires de 2,4 %, et les cadres de seulement 2,0 %. Sur la même période, les prix ont augmenté de 1,8 %. Le SMIC et la garantie mensuelle de rémunération Le nombre total de salariés bénéficiaires du SMIC ou des garanties mensuelles de rémunération (GRM) s'élèverait à au 1 er juillet Au sein des entreprises non agricoles et hors intérim, salariés sont concernés. Rappel : L article 32 de la loi du 19 janvier 2000 relative aux 35 heures (loi Aubry II) prévoit la création de garanties mensuelles de rémunération assurant aux salariés payés au salaire minimum, une rémunération mensuelle au moins identique à celle qu ils percevaient avant la réduction collective du temps de travail, si celle-ci a eu lieu après le 15 juin 1998, date de promulgation de la première loi Aubry. 5
6 6 Au 1 er juillet 2002, 14,0 % des salariés des entreprises marchandes non agricoles ont bénéficié de la revalorisation du SMIC horaire (+ 2,4 %) ou de la garantie mensuelle de rémunération (+ 1,8 %) pour les salariés dont la durée du travail a été réduite. Ces salariés se répartissent de la façon suivante : 7,1 % des salariés concernés ont bénéficié de la revalorisation du SMIC horaire, c est-à-dire d un niveau de rémunération horaire au moins égal à 6,83 au 1 er juillet 2002 ; 6,9 % des salariés concernés ont bénéficié d une garantie mensuelle de rémunération. Leur rémunération horaire est supérieure au SMIC. Cette proportion de 14,0 % pour l ensemble de ces deux catégories de salariés est en légère hausse (+ 0,1 point) par rapport à juillet 2001 (13,9 %) mais s approche de celle constatée en juillet 1997 (14,1 %) année marquée par un fort relèvement du SMIC (+ 4 %). La proportion des salariés au SMIC ou à la GRM est de 33,1 % dans les très petites entreprises. Dans les entreprises de plus de 500 salariés, cette proportion tombe à 4,4 %. De même, il y a davantage de bénéficiaires dans les secteurs à fort recours au temps partiel et aux CDD. Tableau 5 : Nombre et proportion de bénéficiaires du SMIC et de la GMR selon la taille de l entreprise 1 à 9 salariés 10 à 19 salariés 20 à 49 salariés 50 à 99 salariés 100 à 249 salariés 250 à 499 salariés 500 salariés et plus SMIC GMR Total 23,0 % ,1 % 33,1 % 7,2 % ,1 % 14,3 % 4,7 % ,5 % 13,2 % 3,6 % ,4 % 14,0 % 2,7 % ,0 % 11,7 % 1,2 % ,1 % 5,3 % 1,3 % ,1 % 4,4 % Total ,1 % ,9 % 14,0 % Source : DARES- enquêtes ACEMO Le 1 er juillet 2003, le SMIC horaire est porté à 7,19, soit une revalorisation de 5,3 %. Cette augmentation résulte du nouveau mode de revalorisation, destiné à supprimer les cinq GRM existantes et à harmoniser l ensemble des rémunérations minimales. Les revalorisations des GRM s étalent de 1,6 % à 3,2%. 6
7 7 Tableau 6 : Augmentation du SMIC et des GRM en 2002 et 2003 Au 1 er juillet 2002 Au 1 er juillet 2003 SMIC : + 2,4 % + 5,3 % Garantie mensuelle de rémunération (GRM) : + 1,8 % GRM1 : + 3,2 % GRM2 : + 2,8 % GRM3 : + 2,2 % GRM4 : + 1,8 % GRM5 : + 1,6 % Tableau 7 : Le SMIC et les GRM depuis 2000 Au 01/01/2000 Au 01/07/2000 Au 01/07/2001 Au 01/07/2002 Au 01/07/2003 GMR 1 (RTT entre le 15/06/1998 et le 30/06/1999) GMR 2 (RTT entre le 01/07/1999 et le 30/06/2000) GMR 3 (RTT entre le 01/07/2000 et le 30/06/2001) GMR 4 (RTT entre le 01/07/2001 et le 30/06/2002) GMR 5 (RTT à partir du 01/07/2002) 6 797,18 F 6 895,74 F 1 081, , , ,68 F 6 981,46 F 1 094, , , ,38 F 1 113, , , , , , , ,74 SMIC horaire 40,72 F 42,02 F 6,67 6,83 7,19 Source : Ministère de l Emploi et de la Solidarité Les services aux particuliers, le commerce ou l industrie agroalimentaire sont les secteurs qui emploient le plus de salariés au SMIC ou à la GRM. 7
8 8 Graphique 1 : Proportion de salariés bénéficiaires des relèvements du SMIC (ou GMR) au 1 er juillet, depuis 1987 Source : INSEE 8
9 9 Principaux indicateurs sur les salaires Tableau 8 : Principaux indicateurs sur les salaires Variation en % (100 en décembre 1998) 2 e trim. 3 e trim. 4 e trim. 1 er trim. 2 e trim. 3 derniers Sur 1 an mois Salaires Horaires de base ouvriers (SHBO) 115,5 116,3 116,9 117,9 118,6 +0,6 +2,7 Mensuels de base ouvriers (SMBO) 108,3 109,0 109,5 110,4 111,0 +0,6 +2,5 Mensuels de base employés (SMBE) 107,7 108,5 108,9 109,8 110,4 +0,5 +2,5 Mensuels de base Professions intermédiaires (SMBPI) 107,3 107,8 108,1 109,2 109,9 +0,6 +2,4 Mensuels de base cadres (SMBC) 107,8 108,2 108,5 109,5 110,0 +0,5 +2,0 Mensuels de base de l ensemble des salariés (SMB) 107,8 108,5 108,9 109,8 110,4 +0,5 +2,4 Durée hebdomadaire du travail Ensemble des salariés (en h) 35,69 35,66 35,64 35,64 35,63 Source : DARES, Liaisons sociales 9
10 10 Tableau 9 : Indice des salaires horaires de base des ouvriers (SHBO) par secteur Source : Enquête trimestrielle sur l activité et les conditions d emploi de la main-d œuvre (ACEMO), DARES 10
11 11 Tableau 10 : Indice des salaires mensuels de base (SMB) par catégorie et secteur Source : Enquête trimestrielle sur l activité et les conditions d emploi de la main-d œuvre (ACEMO), DARES 11
12 12 2. Les effets des politiques salariales Évolution du salaire brut moyen Tableau 11 : Gains bruts mensuels selon la catégorie professionnelle dans les établissements de 10 salariés et plus, en 2001 En 2001 Salaire de base Structure du gain brut (en %) Heures supplémentaires Primes et compléments de salaire Gain brut mensuel (en ) Ouvriers ,0 1,4 12,7 Employés ,0 0,7 11,3 Professions intermédiaires ,4 0,8 12,9 Cadres ,8 0,2 12,0 TOTAL ,7 0,9 12,4 Source : MES-DARES Le gain brut mensuel moyen en équivalent temps plein d un salarié travaillant dans un établissement dont les effectifs sont égaux ou supérieurs à 10 personnes, s élevait à en 2001, toutes primes confondues, soit une hausse de 2,6 % par rapport à 2000, selon l enquête annuelle gains de la DARES. Cette hausse correspond à un gain de pouvoir d achat de 1,3 % puisque l indice des prix (hors tabac) s est accru de 1,3 % en moyenne annuelle en Les secteurs qui rémunèrent le mieux sont, comme en 2000, ceux des services aux entreprises, et notamment ceux de la recherche et développement (3 270 ) et du conseilassistance (3 170 ). Les progressions les plus fortes se situent dans les secteurs de l industrie automobile (+ 4,0 %) et de la construction (+ 4,1 %). Dans l industrie, ce sont la production de combustibles et de carburants (3 040 ), la pharmacie-parfumerie- entretien (2 870 ), le secteur de l eau, du gaz et de l électricité (2 760 ) qui assurent les meilleures rémunérations. Les rémunérations les plus faibles se rencontrent dans l habillement-cuir-chaussures (1 650 ), le commerce de détail (1 660 ), ainsi que les secteurs des services personnels et domestiques (1 370 ). Ces secteurs aux rémunérations les plus faibles emploient une main-d œuvre moins qualifiée ou plus féminine que la moyenne. Dans les établissements de 10 salariés et plus, le salaire de base représente 86,7 % du gain total moyen en 2001, la rémunération des heures supplémentaires 0,9 % et les primes 12,4 %. 12
13 13 Par rapport à 2000, la part des heures supplémentaires reste stable, tandis que celle des primes diminue de 0,4 point. Ces dernières conservent un poids plus important dans la rémunération des ouvriers et des professions intermédiaires que dans celle des cadres et des employés. Tableau 12 : Les gains bruts moyens dans les établissements de plus de 10 salariés 13
14 14 Tableau 13 : Écarts de rémunérations mensuelles hommes-femmes par catégorie professionnelle en 2001 Gain mensuel 2001 (en ) Ecart hommes-femmes (en %) Ensemble Hommes Femmes En 2001 En 2000 Ouvriers ,8 24,2 Employés ,7 7,9 Professions intermédiaires ,6 15,4 Cadres ,5 28,0 Ensemble ,8 22,5 Source : DARES, mai 2003 Les négociations salariales Négociations salariales de branche Les négociations salariales de branche ont marqué le pas en 2002, retrouvant leur niveau de 2000, après le regain de dynamisme observé en accords ont été signés en 2002, soit le même nombre à peu près qu en 2000 et un net recul sur 2001 (407). Ce recul est surtout sensible au niveau infranational. Ce ralentissement se confirme si on limite l étude aux branches de plus de salariés (214 branches, plus de 9 millions de salariés). Le nombre total d avenants salariaux est en baisse : 119 contre 153 ; le nombre de branches ayant eu au moins un relèvement aussi : 116 contre 142. Les hausses des salaires garantis sont plus nombreuses que celles des salaires minima hiérarchiques (SMH). Les négociations sur les salaires réels restent rares. En ce qui concerne le montant des relèvements, on note : - pour les SMH, une plus grande fréquence des hausses inférieures à 2 %, ceci devant toutefois être relativisé car certaines branches ont pratiqué en plus une compensation des salaires minima lors du passage aux 35 h ; - pour les salaires garantis, la moyenne pondérée des augmentations est en hausse (3,5 % contre 3,3 %), mais les hausses de salaires supérieures à 4 % sont moins nombreuses. Les négociations s étalent sur l année, avec une légère concentration en fin d année. Négociations salariales d entreprise La négociation sur les salaires apparaît relativement faible. Les facteurs de cette faiblesse : programmes de hausses pluriannuels les années précédentes dans les grandes entreprises, en accompagnement de la RTT ; ralentissement de la croissance économique et remontée du chômage ; inflation mesurée pendant le premier semestre. 14
15 15 3. Évolution des "périphériques" du salaire L intéressement 3,7 % des entreprises et 28 % des salariés (4,1 millions de salariés) sont couverts par un accord d intéressement en ,5 millions de salariés ont reçu une prime d intéressement en ,1 Md ont été distribués en 2001 (contre 3,5 Md au titre de 2000). La prime moyenne s élève à en 2001 (990 en 2000). C est dans les entreprises de 50 à 99 salariés que la prime moyenne est la plus faible (999 ). Les salariés des entreprises les plus petites (moins de 10 salariés) reçoivent la prime d intéressement la plus généreuse en moyenne (2 392 ). La participation 2,5 % des entreprises appliquent un accord de participation et 40 % des salariés (5,8 millions de salariés) sont couverts par un accord de participation en ,2 millions de salariés ont reçu une prime de participation en ,6 Md ont été distribués en 2001 (4,1 Md en 2000). La prime moyenne s élève à (976 en 2000). Elle varie en moyenne d environ dans les entreprises les plus grandes à près de dans les plus petites. Participation et intéressement En 2001, 5,5 millions de salariés (soit 37,5 % des effectifs des entreprises non agricoles) ont reçu une prime au titre d au moins l un des deux systèmes d un montant moyen de Au total, 15 % des salariés ont touché à la fois une prime de participation et d intéressement, en moyenne à hauteur de Ce cumul varie de dans les très petites entreprises à dans les très grandes entreprises. 15
16 16 Le plan d épargne d entreprise Fin 2000, 3 % des entreprises disposent d un PEE, et 30 % des salariés y ont accès. Ces proportions augmentent avec la taille des entreprises : au-delà de 500 salariés, plus d une entreprise sur deux a mis en place un plan d épargne et les deux tiers des salariés en disposent. La fréquence des PEE, comme l existence d accords de participation ou d intéressement, est très variable selon le secteur d activité : la quasi totalité (95 %) des salariés de l énergie disposent d un plan d épargne d entreprise. Les fonds investis dans les PEE proviennent : - du versement des primes d intéressement (36 %) - de versements volontaires (24 %) - du versement des primes de participation (19 %) - de l abondement de l employeur (22 %) Tableau 14 : Accords relatifs aux dispositifs d épargne salariale selon la taille de l entreprise Source : Enquête ACEMO, DARES 16
17 17 Tableau 15 : Distribution de primes d intéressement et de participation selon la taille de l entreprise 17
18 18 Tableau 16 : Primes annuelles moyennes de participation et d intéressement Source : DARES 18
19 19 4. Évolution du salaire net de prélèvement à la source Les Français gagnent bruts par mois en moyenne en 2001, et net de cotisations. Pour un temps complet, la moitié des salaires nets sont inférieurs à Les 10 % de salariés les moins payés ont perçu 930, tandis que les 10 % les mieux payés ont gagné plus de par mois. Entre 2000 et 2001, le pouvoir d achat du salaire brut moyen a progressé de 0,8 %. En faisant abstraction des effets de structure, le salaire moyen brut a gagné 0,1 point de pouvoir d achat. L éventail des salaires a été peu modifié. Les cadres ont touché en 2001 un salaire net moyen 2,6 fois plus élevé que celui des ouvriers ou des employés. Ce rapport reste assez stable depuis plusieurs années. Tableau 17 : Salaire annuel moyen net en 2001 Salaire annuel moyen net Gains de pouvoir d achat Cadres ,9 % Professions intermédiaires ,6 % Employés ,6 % Ouvriers ,8 % ENSEMBLE ,1 % Source : INSEE La situation du personnel d encadrement en 2002 Les résultats de l enquête «ESOPE» permettent de tirer les enseignements suivants : Évolution des rémunérations Un peu plus de 60 % des personnes ayant répondu ont vu leur rémunération brute annuelle augmenter en La majorité d entre elles ont reçu une augmentation comprise entre 2 et 5 %. Près de 60 % des salariés augmentés ont reçu une augmentation collective ou mixte (collective et individuelle), et plus de 40 % une augmentation totalement individuelle. Il apparaît également que les entreprises ont tendance à flexibiliser leur politique de rémunération, en récompensant les efforts de leurs salariés par des éléments «périphériques» de rémunération. En effet, près de deux tiers des salariés bénéficient d éléments variables dans leur rémunération. Les primes et l intéressement occupent une place significative : près de 62 % de la population ont reçu une prime en 2002, et 57 % de l intéressement. Les périphériques du salaire représentent en moyenne moins de 5 % de leur rémunération. 19
20 20 Graphique2 : Ventilation des rémunérations Est restée stable 26% NP 3% A diminué 11% A augmenté 60% Source : ESOPE Types d augmentations de salaire Tableau 18 : Types d augmentations de salaire du personnel d encadrement ENQUÊTE ESOPE Augmentations générales 29 % Augmentations individuelles - dont uniquement augmentations individuelles - dont augmentations générales et individuelles 71 % 40 % 31 % Source : ESOPE 2003 Les mesures individuelles restent majoritaires : les augmentations individuelles concernent 40 % de la population augmentée en 2002 (contre 42 % en 2001). Les salariés jugent leur rémunération Seuls 4,24 % des salariés sont très satisfaits de leur rémunération. Près de la moitié de la population ayant répondu se déclare mécontente. 20
21 21 Graphique 5 : Les salariés jugent leur rémunération Concernant votre rémunération, vous diriez que vous êtes : 50,00% 40,00% 30,00% 46,06% 49,70% 20,00% 10,00% 0,00% 4,24% Très satisfait Plutôt satisfait Mécontent Source : Enquête ESOPE 21
22 22 5. Les tendances er trimestre 2003 L indice du salaire mensuel brut dans le secteur privé a augmenté de 0,8 % au 1 er trimestre Au premier trimestre, les cadres et les professions intermédiaires ont bénéficié d une revalorisation plus importante de leur salaire mensuel de base : + 0,9 %. Les ouvriers et les employés ont enregistré des hausses de 0,8 % de leur salaire mensuel de base. 2 ème trimestre 2003 L indice du salaire mensuel brut de base (SMB) de l ensemble des salariés a progressé de 0,5 % au cours du 2 eme trimestre de l année Au cours de ce trimestre, les prix à la consommation ont augmenté de 0,1 %. Le SMB gagne ainsi 0,6 point de pouvoir d achat au 2 eme trimestre Les augmentations varient selon les catégories socioprofessionnelles : de 0,5 % pour les cadres et les employés, à 0,6 % pour les professions intermédiaires et les ouvriers. Le glissement annuel du SMB se situe à 2,4 % en juin 2003, contre 2,6 % un an plus tôt. En termes réels, compte tenu d un glissement annuel des prix de 1,8 % (juin 2002 à juin 2003), le SMB gagne 0,6 point de pouvoir d achat comme l année précédente à la même période. Les prévisions pour fin 2003 Selon l INSEE, «début 2003, la croissance des salaires a été favorisée par l accélération des prix à la consommation enregistrée fin 2002 et début Les nouvelles dispositions sur le recours et la rémunération des heures supplémentaires y ont également contribué. En revanche, la hausse du chômage a probablement pesé sur les évolutions salariales». La forte revalorisation des minima légaux en juillet 2003 et l accélération des prix à la consommation entre fin 2002 et début 2003, auront un effet positif sur le SMB. Toutefois, cet effet serait tempéré par la poursuite de la hausse du chômage, qui continuerait de peser sur le pouvoir de négociation des syndicats et sur les revendications salariales. Le SMB progresserait ainsi, selon les prévisions de l INSEE en juin 2003, de 2,7 % en glissement annuel et de 2,6 % en moyenne annuelle. Le nombre de personnes accédant à la réduction du temps de travail s amenuisant, la progression du salaire horaire de base ouvrier (SHBO) devrait continuer sa décélération. En glissement annuel (décembre 2002-décembre 2003), le SHBO connaîtrait ainsi une progression de 2,8 %, après une hausse de 3,5 % sur l année précédente. 22
23 23 II. ) ÉVOLUTION DES REVENUS DANS LA FONCTION PUBLIQUE D'ÉTAT 1. L'évolution de l'indice des traitements Salaire brut En 2001, le salaire annuel brut moyen des 1,86 million d agents titulaires et non titulaires de l État s élève à , correspondant à un traitement indiciaire brut de et à des compléments de rémunérations de Le salaire brut moyen versé dans la fonction publique a été de (contre en 2000), en hausse de 1,9 % par rapport à 2000, soit une progression de 0,2 % en euros constants. Salaire net Le salaire net moyen s élève à (contre 1944 en 2000), soit une augmentation de 2 % en euros courants par rapport à Cette croissance est due pour 1,8 % aux revalorisations salariales, et pour 0,2 % aux seules évolutions de la gratification moyenne des agents. Au total, la progression du pouvoir d achat du salaire moyen net a atteint 0,3 % en 2001 (0,2 % en 2000). L INSEE note que «la croissance du pouvoir d achat du salaire net avoisinait 1,0% l an en 1998 et en Son ralentissement en 2000 se confirme en 2001, en liaison notamment avec une inflation plus importante.» Les primes et rémunérations annexes progressent plus vite que le traitement brut fixé selon la grille indiciaire de la fonction : respectivement 4,6 % contre 1,5 % en euros courants en 2001, et 2,8 % contre - 0,2 % en euros constants en Le salaire des agents en activité deux années consécutives a augmenté pour sa part de 2,2 % en euros constants (2,0 % entre 1999 et 2000). En 2001, la moitié des agents titulaires gagne par mois moins de (1 849 en 2000). L éventail des salaires est resté stable par rapport à l année précédente. 2. Les tendances pour 2003 Après une progression de 1,3 % en 2002, l indice des traitements bruts de la fonction publique d État resterait inchangé sur l année Cependant, compte tenu des autres éléments de rémunération (primes, indemnités, heures supplémentaires, ) et des effets de structure (GVT), le salaire moyen par tête (SMPT) dans les administrations publiques progresserait en moyenne annuelle sur l année 2003 (+2,3% après + 2,9 % en 2002). 23
24 24 Tableau 19 : Évolution de l indice du traitement mensuel brut de base des fonctionnaires titulaires de l État (en %) Variation en moyenne annuelle Variation en glissement trimestriel ème tri.02 3 ème tri.02 4ème tri.02 1 er tri ème tri.02 1,9 1,5 1,3 1,5 Catégories C et D (35 %) 0,0 0,0 0,7 0,0 0,0 1,4 1,2 1,0 1,3 Catégorie B (36 %) 0,0 0,0 0,7 0,0 0,0 1,2 1,1 0,9 1,3 Catégorie A (29 %) 0,0 0,0 0,7 0,0 0,0 1,4 1,2 1,0 1,4 Ensemble des catégories (100 %) 0,0 0,0 0,7 0,0 0,0 0,5 1,7 1,7 1,9 Indice des prix à la consommation (y compris tabac) de l ensemble des ménages 0,5 0,4 0,4 1,4-0,1 Source : INSEE Tableau 20 : Éléments du salaire moyen des agents de l État Niveau moyen ( ) Évolution 2001/2000 (%) En euros courants En euros constants Salaire brut ,9 + 0,2 Traitement brut ,5-0,2 Indemnité de résidence ,2 + 1,5 Supplément familial ,2-1,4 Primes et rémunérations annexes ,6 + 2,8 Salaire net de prélèvement ,0 + 0,3 Source : INSEE 24
25 25 III. ) COMPARAISONS EUROPÉENNES DES ÉVOLUTIONS SALARIALES EN 2001 ET 2002 D après une étude de l Observatoire International des Relations Industrielles, les augmentations salariales négociées collectivement dans les pays de l Union européenne tournent en moyenne autour de 3,8 % en 2001, et de 3,5 % en 2002, des variations majeures existant cependant selon les pays. La reprise de l augmentation moyenne de 3,8 % en 2001 à 3,5 % en 2002 confirme la fin de la modération salariale dans certains pays. Cependant, compte tenu de l augmentation des prix et de la productivité, il semble que la modération ait généralement persisté, mais dans une moindre mesure. Les comparaisons internationales significatives sont difficiles compte tenu des différences rencontrées dans les systèmes nationaux d élaboration des salaires, dans les relations industrielles, la fiscalité et la Sécurité sociale C est pourquoi les augmentations salariales indiquées dans le graphique ci-dessous doivent être considérées avec la plus grande prudence. 1. Augmentations nominales des salaires Graphique 3 : Augmentations salariales nominales dans l Union européenne, % Allemagne Autriche Belgique Danemark Finlande France Irlande Italie Luxembourg Pays-bas Portugal Espagne R-U Moyenne Moyenne zone euro Source : Observatoire International des Relations Industrielles 25
26 26 - En 2001, les augmentations salariales nominales variaient entre 7,5 % en Irlande et 2,1 % en Allemagne. L augmentation moyenne s est située à 3,7 %. Si l on considère uniquement les pays de la Zone Euro, l augmentation moyenne s élevait également à 3,9 %. - En 2002, les augmentations salariales nominales ont varié entre 5,4 % en Grèce et 2,1 % en Autriche. L augmentation moyenne s est située à 3,4 %. En ne considérant que les pays de la Zone Euro, l augmentation salariale nominale moyenne se situait à 3,5 %. - L augmentation moyenne a donc diminué au sein de l Union européenne de 0,3 point entre 2001 et Dans la Zone Euro, la décrue a été de 0,4 point de 2001 à Augmentations réelles des salaires Pour l ensemble des pays de l Union européenne, 2001 a vu l inflation se réduire après plusieurs années de croissance, passant d une moyenne de 2,4% pour la période décembre 2000 à décembre 2001 à une moyenne de 2,1% pour la période décembre 2001 à décembre Cependant, elle a continué à éroder les augmentations salariales nominales dans de nombreux pays. Graphique 4 : Augmentations salariales réelles dans l Union européenne, En % 4 3,5 3 2,5 2 1,5 1 0,5 0-0,5-1 Allemagne Autriche Belgique Danemark Finlande France Irlande Italie Luxembourg Pays-bas Portugal Espagne R-U Moyenne Moyenne Zone euro Source : Observatoire International des Relations Industrielles - En 2001, l augmentation moyenne s élevait à 0,8 %. La fourchette des augmentations salariales réelles se situait entre 3,5 % en Irlande et - 0,7 % aux Pays-Bas. Dans la zone euro, l augmentation moyenne se situait à 0,7 %. 26
27 27 - En 2002, l augmentation moyenne se situait à 0,7 %. La fourchette des augmentations salariales réelles se situait entre 2,2 % au Luxembourg et 0,6 % au Portugal. Dans la zone euro, l augmentation moyenne s est située à moins de 0,7 %. - Au niveau de l Union européenne, l augmentation moyenne réelle a légèrement décrue : - 0,1 point de pourcentage de 2001 à Dans la Zone Euro, l augmentation moyenne a été stable en 2001 et Soit des réductions moins importantes qu au niveau nominal. - Entre 2000 et 2001, les salaires réels moyens avaient augmenté de 0,3 point, précédés d une baisse de 0,9 point entre 1999 et La tendance à la hausse s inverse donc. La faible baisse des salaires réels en 2002 s explique par le fait que le taux de croissance des salaires réels diminue dans 5 pays et augmente dans 8 pays. 27
28 28 TABLE DES ILLUSTRATIONS Tableau 1 : Evolution des prix à la consommation hors tabac 3 Tableau 2 : Evolution de l indice de salaire mensuel brut de base en moyenne annuelle 4 Tableau 3 : Evolution de l indice de salaire mensuel brut de base en glissement annuel 4 Tableau 4 : Evolution de l indice du salaire mensuel brut de base 5 Tableau 5 : Nombre et proportion de bénéficiaires du SMIC et de la GMR selon la taille de l entreprise 6 Tableau 6 : Augmentation du SMIC et des GRM en 2002 et Tableau 7 : Le SMIC et les GRM depuis Graphique 1 : Proportion de salariés bénéficiaires des relèvements du SMIC (ou GMR) au 8 1 er juillet, depuis Tableau 8 : Principaux indicateurs sur les salaires 9 Tableau 9 : Indice des salaires horaires de base des ouvriers (SHBO) par secteur 10 Tableau 10 : Indice des salaires mensuels de base (SMB) par catégorie et secteur 11 Tableau 11 : Gains bruts mensuels selon la catégorie professionnelle dans les établissements de 10 salariés et plus, en Tableau 12 : Les gains bruts moyens dans les établissements de plus de 10 salariés 13 Tableau 13 : Ecarts de rémunérations mensuelles hommes-femmes par catégorie professionnelle en Tableau 14 : Accords relatifs aux dispositifs d épargne salariale selon la taille de l entreprise 16 Tableau 15 : Distribution de primes d intéressement et de participation selon la taille de l entreprise 17 Tableau 16 : Primes annuelles moyennes de participation et d intéressement 18 Tableau 17 : Salaire annuel moyen net en Graphique2 : Ventilation des rémunérations 20 Tableau 18 : Type d augmentation de salaire du personnel d encadrement 20 Graphique 5 : Les salariés jugent leur rémunération 21 Tableau 19 : Evolution de l indice du traitement mensuel brut de base des fonctionnaires titulaires de l Etat (en %) 24 Tableau 20 : Eléments du salaire moyen des agents de l Etat 24 Graphique 3 : Augmentations salariales nominales dans l Union européenne, Graphique 4 : Augmentations salariales réelles dans l Union européenne,
LA RÉDUCTION DU TEMPS DE TRAVAIL : UNE COMPARAISON DE LA POLITIQUE DES «35 HEURES» AVEC LES POLITIQUES D AUTRES PAYS MEMBRES DE L OCDE
LA RÉDUCTION DU TEMPS DE TRAVAIL : UNE COMPARAISON DE LA POLITIQUE DES «35 HEURES» AVEC LES POLITIQUES D AUTRES PAYS MEMBRES DE L OCDE par John P. Martin, Martine Durand et Anne Saint-Martin* Audition
Plus en détailOBSERVATOIRE DE L EPARGNE EUROPEENNE
Conférence de presse du 22 juin 2001 Fiscalité des produits d épargne: une comparaison internationale Il n existe pas de véritable point de vue européen en matière de fiscalité des produits d épargne.
Plus en détailpublication de la direction de l'animation de la recherche, des études et des statistiques
Dares Analyses FÉVRIER 2014 N 016 publication de la direction de l'animation de la recherche, des études et des statistiques L EMPLOI DANS LES TRÈS PETITES ENTREPRISES EN DÉCEMBRE 2012 Les entreprises
Plus en détailLES RETRAITES. Dossier d information. Avril 2010
LES RETRAITES en france Dossier d information Avril 2010 LES RETRAITES en france Dossier d information Avril 2010 Contact presse Éva Quickert-Menzel 01 44 38 22 03 Sommaire Chiffres-clés des retraites...
Plus en détailLes salariés de l économie sociale et solidaire
L'Économie sociale et solidaire Les salariés de l économie sociale et solidaire L'EMPLOI SALARIÉ L ESS, un employeur déterminant de l économie régionale 20 Relative précarité de l emploi dans l ESS 22
Plus en détailLa Modération salariale en France : quelques éléments d analyse. (Version provisoire)
La Modération salariale en France : quelques éléments d analyse Rozenn Desplatz (DP), Stéphanie Jamet (DARES), Vladimir Passeron (INSEE), Fabrice Romans (INSEE) 1 (Version provisoire) Résumé Cet article
Plus en détailLe Bulletin de salaire
Le Bulletin de salaire Mentions obligatoires : Le bulletin de salaire doit mentionner les éléments suivants : - Les coordonnés du Syndicat de copropriétaires dont dépend le salarié - Le numéro de SIRET
Plus en détailENSAE, 1A Maths. Roland Rathelot roland.rathelot@ensae.fr. Septembre 2010
Initiation à l économie ENSAE, 1A Maths Roland Rathelot roland.rathelot@ensae.fr Septembre 2010 Les ménages (1/2) Les ressources des ménages La consommation L épargne Les ménages comme agents économiques
Plus en détailLa situation financière des SNF françaises Quelques éléments de diagnostic élaborés à partir des comptes nationaux
La situation financière des SNF françaises Quelques éléments de diagnostic élaborés à partir des comptes nationaux 21 novembre 2014 Gilbert Cette 1. Définitions et sources Valeur ajoutée aux coûts des
Plus en détailMODE D EMPLOI LOI POUR LE POUVOIR D ACHAT : Rachat de jours de repos, déblocage anticipé de la participation, prime exceptionnelle...
MODE D EMPLOI Valérie Coutteron LOI POUR LE POUVOIR D ACHAT : Rachat de jours de repos, déblocage anticipé de la participation, prime exceptionnelle... LA LOI N 2008-111 DU 8 FÉVRIER 2008 pour le pouvoir
Plus en détailVeufs MARS 2015. Veuvage, vos droits. B Retraite de réversion. B Allocation de veuvage. B Autres prestations
Veufs MARS 2015 Veuvage, vos droits B Retraite de réversion B Allocation de veuvage B Autres prestations Veuvage, vos droits À la perte de votre conjoint, de nombreuses démarches sont à accomplir. L Assurance
Plus en détailQuelle part de leur richesse nationale les pays consacrent-ils à l éducation?
Indicateur Quelle part de leur richesse nationale les pays consacrent-ils à l éducation? En 2008, les pays de l OCDE ont consacré 6.1 % de leur PIB cumulé au financement de leurs établissements d enseignement.
Plus en détailLe creusement des inégalités touche plus particulièrement les jeunes et les pauvres
LE POINT SUR LES INÉGALITÉS DE REVENU Le creusement des inégalités touche plus particulièrement les jeunes et les pauvres Résultats issus de la Base de données de l OCDE sur la distribution des revenus
Plus en détailFocus. Lien entre rémunération du travail et allocation de chômage
Focus Lien entre rémunération du travail et allocation de chômage Introduction Le travailleur qui devient chômeur et qui est admissible sur base de prestations de travail se voit, en application du principe
Plus en détailDossier d information. DROITS RECHARGEABLES Elargissement de l accès au droit d option pour prendre en compte les difficultés d application
DROITS RECHARGEABLES Elargissement de l accès au droit d option pour prendre en compte les difficultés d application MARS 2015 DROITS RECHARGEABLES Mars 2015 SOMMAIRE Une application problématique dans
Plus en détailTRAVAIL ET GESTION DE L EMPLOI?
INDICATIONS COMPLÉMENTAIRES E n s e l i m i t a n t à u n e présentation graphique simple et en insistant sur les déterminants de l'offre et de la demande, on expliquera l'analyse néoclassique du fonctionnement
Plus en détailEffectifs et taux de réponse par discipline
observatoire régional #36 Synthèse régionale août 2013 à Master mixte Enquête sur le devenir au 1 er décembre 2012 des diplômés de Master mixte promotion 2010 349 diplômés de M2 mixte en 2010 sur 399 interrogés
Plus en détailPouvoir d achat - 124. Revenu mensuel en Autriche. Tableau: Revenu mensuel en Autriche Valide au 31 mars 2009
Revenu mensuel en Autriche ans d expérience, a) célibataire et b) marié et père de 2 enfants c) et d) sans revenir chaque jour à la maison et preste 5 heures supplémentaires Tableau: Revenu mensuel en
Plus en détailÂge effectif de sortie du marché du travail
Extrait de : Panorama des pensions 2013 Les indicateurs de l'ocde et du G20 Accéder à cette publication : http://dx.doi.org/10.1787/pension_glance-2013-fr Âge effectif de sortie du marché du travail Merci
Plus en détailGUIDE RETRAITE COMPLÉMENTAIRE AGIRC ET ARRCO LE LIVRET DU RETRAITÉ. n o 2. Le livret du retraité
GUIDE RETRAITE COMPLÉMENTAIRE AGIRC ET ARRCO LE LIVRET DU RETRAITÉ Guide salariés n o 2 MARS 2015 Le livret du retraité Sommaire La retraite, en bref... 3 Points clés... 4 Points de repères... 8 Points
Plus en détailDOCUMENT DE TRAVAIL : ENQUÊTE ANNUELLE SUR LES DANS LES PME DE SEINE-SAINT SAINT DENIS (Données 2012)
Février 2014 DOCUMENT DE TRAVAIL : ENQUÊTE ANNUELLE SUR LES MOUVEMENTS D EMPLOI D DANS LES PME DE SEINE-SAINT SAINT DENIS (Données 2012) Délégation au DéveloppementD Économique, à l Emploi, à la Formation
Plus en détailAVANTAGES EN NATURE 4 AVANTAGE EN NATURE REPAS 4 TITRES - RESTAURANT 4 AVANTAGE EN NATURE LOGEMENT (EVALUE FORFAITAIREMENT) 4
LETTRE D ACTUALITE SOCIALE GROUP S MANAGEMENT SERVICES DONNEES ET CHIFFRES CLES POUR 2015 SOCIAL : GENERALITES ET ELEMENTS DE COTISATIONS 2 SMIC ET MINIMUM GARANTI 2 PLAFOND DE LA SECURITE SOCIALE 2 FORFAIT
Plus en détailéclairages QUI SONT LES ALLOCATAIRES INDEMNISÉS PAR L ASSURANCE CHÔMAGE? Près de 3 demandeurs d emploi sur 5 sont couverts par l Assurance chômage
éclairages ÉTUDES ET ANALYSES N 5 AVRIL 213 QUI SONT LES ALLOCATAIRES INDEMNISÉS PAR L ASSURANCE CHÔMAGE? L Unédic a réalisé une étude pour approfondir la compréhension de la population des allocataires
Plus en détailRETRAITES : Y A-T-IL UNE SOLUTION IDÉALE EN EUROPE POUR UN AVENIR?
RETRAITES : Y A-T-IL UNE SOLUTION IDÉALE EN EUROPE POUR UN AVENIR? Une question européenne mais traitée dans chaque Etat membre L avenir des systèmes de retraite et ses conséquences sur la zone euro, internationalise
Plus en détailContribution de solidarité
FLASH D INFORMATIONS N 19/2012 Contribution de solidarité Références - Loi n 82-939 du 04/11/1982, modifiée - Loi n 97-1239 du 29/12/1997 - Décret n 82-1001 du 25/11/1982 (J.O. du 27/11/1982) - Décret
Plus en détailPrincipaux partenaires commerciaux de l UE, 2002-2014 (Part dans le total des échanges de biens extra-ue, sur la base de la valeur commerciale)
55/2015-27 mars 2015 Commerce international de biens en 2014 Principaux partenaires commerciaux de l UE en 2014: les États-Unis pour les exportations, la Chine pour les importations Le commerce entre États
Plus en détailLa révision des indices du cours du franc suisse, nominaux et réels, pondérés par les exportations
La révision des indices du cours du franc suisse, nominaux et réels, pondérés par les exportations par Robert Fluri et Robert Müller, Direction de la statistique, Banque nationale suisse, Zurich BNS 42
Plus en détailCode du Travail, Art. L6222-23 à L6222-33
F I C H E P R A T I Q U E N 2 R E M U N E R A T I O N E T A I D E S L I E E S A U C O N T R A T D A P P R E N T I S S A G E L apprenti est titulaire d un contrat de travail de type particulier : il est
Plus en détailPremières estimations pour 2014 Le revenu agricole réel par actif en baisse de 1,7% dans l UE28
194/2014-15 décembre 2014 Premières estimations pour 2014 Le revenu agricole réel par actif en baisse de 1,7% dans l UE28 Par rapport à 2013, le revenu agricole réel par actif 1 a diminué de 1,7% dans
Plus en détailALLOCATIONS CHOMAGE. Effet au 01/07/2014
Questions sociales Note d information n 14-15 du 6 août 2014 ALLOCATIONS CHOMAGE Effet au 01/07/2014 Références Arrêté du 25 juin 2014 portant agrément de la convention du 14 mai 2014 relative à l indemnisation
Plus en détailREGARDS SUR L ÉDUCATION 2013 : POINTS SAILLANTS POUR LE CANADA
REGARDS SUR L ÉDUCATION 2013 : POINTS SAILLANTS POUR LE CANADA Regards sur l éducation est un rapport annuel publié par l Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) et portant sur
Plus en détailDares Analyses. PARTICIPATION, INTÉRESSEMENT ET ÉPARGNE SALARIALE EN 2012 Le plan d épargne entreprise devient le dispositif le plus répandu
Dares Analyses JUILLET 2014 N 053 publication de la direction de l'animation de la recherche, des études et des statistiques PARTICIPATION, INTÉRESSEMENT ET ÉPARGNE SALARIALE EN 2012 Le plan d épargne
Plus en détailà la Consommation dans le monde à fin 2012
Le Crédit à la Consommation dans le monde à fin 2012 Introduction Pour la 5 ème année consécutive, le Panorama du Crédit Conso de Crédit Agricole Consumer Finance publie son étude annuelle sur l état du
Plus en détailPROTOCOLE D ACCORD CONCERNANT LE COMPTE EPARGNE TEMPS
PROTOCOLE D ACCORD CONCERNANT LE COMPTE EPARGNE TEMPS Le présent protocole d accord crée un Compte Epargne Temps au sein de SGS et en définit les règles de fonctionnement et de gestion. Ce dispositif s
Plus en détailLes perspectives économiques
Les perspectives économiques Les petits-déjeuners du maire Chambre de commerce d Ottawa / Ottawa Business Journal Ottawa (Ontario) Le 27 avril 2012 Mark Carney Mark Carney Gouverneur Ordre du jour Trois
Plus en détailPrix de l énergie dans l Union européenne en 2010
COMMISSARIAT GÉNÉRAL AU DÉVELOPPEMENT DURABLE n 249 Septembre 2011 Prix de l énergie dans l Union européenne en 2010 OBRVATION ET STATISTIQU ÉNERG En 2010, le prix du gaz a diminué dans l Union européenne
Plus en détailFORTUNA di GENERALI. Fiche info financière assurance-vie pour la branche 23. FORTUNA di GENERALI 1
FORTUNA di GENERALI 1 TYPE D ASSURANCE-VIE GARANTIES Assurance-vie dont le rendement est lié à des fonds d investissement (branche 23). Fortuna di Generali garantit des prestations en cas de vie ou en
Plus en détailSommaire. L entrée en vigueur de l avenant n 21 sur les salaires minima au 1 er novembre 2013
informations sociales octobre novembre décembre 2013 Dans le cadre du mandat qu elle reçoit du FNCIP-HT, la Fédération Nationale de l Habillement informe chaque trimestre les entreprises à jour de paiement
Plus en détailTests de sensibilité des projections aux hypothèses démographiques et économiques : variantes de chômage et de solde migratoire
CONSEIL D ORIENTATION DES RETRAITES Séance plénière du 16 décembre 2014 à 14 h 30 «Actualisation des projections» Document N 5 Document de travail, n engage pas le Conseil Tests de sensibilité des projections
Plus en détailSPÉCIMEN. Couverture Maladie Universelle. Protection de base. Nous sommes là pour vous aider
Nous sommes là pour vous aider Couverture Maladie Universelle Protection de base SPÉCIMEN Vous trouverez dans ce dossier tout ce dont vous avez besoin pour obtenir la CMU : une présentation de la CMU,
Plus en détailQuel est le temps de travail des enseignants?
Quel est le temps de travail des enseignants? Dans les établissements publics, les enseignants donnent, en moyenne et par an, 779 heures de cours dans l enseignement primaire, 701 heures de cours dans
Plus en détailLes comptes nationaux et le SEC 2010
Les comptes nationaux et le SEC 2010 7 ème séminaire de la Banque nationale de Belgique pour enseignants en économie du secondaire Bruxelles, le 22 octobre 2014 Catherine RIGO Plan de l exposé Introduction
Plus en détailà Master professionnel Enquête sur le devenir au 1 er décembre 2013 des diplômés de Master professionnel promotion 2011
observatoire régional #41 Synthèse régionale août 2014 à Master professionnel Enquête sur le devenir au 1 er décembre 2013 des diplômés de Master professionnel promotion 2011 2 899 diplômés de M2 professionnel
Plus en détailL écart salarial entre les femmes et les hommes en Belgique
L écart salarial entre les femmes et les hommes en Belgique Rapport 2014 Table des matières Le rapport 2014... 5 1. Différences salariales générales... 6 1.1 L écart salarial en salaires horaires et annuels...
Plus en détailLES PRESTATIONS D ASSURANCE TRAITEMENT (Pour une invalidité de 104 semaines et moins)
FÉDÉRATION DU PERSONNEL DE SOUTIEN DE L ENSEIGNEMENT SUPÉRIEUR GUIDE POUR LES MEMBRES DU PERSONNEL DE SOUTIEN DES COLLEGES LES PRESTATIONS D ASSURANCE TRAITEMENT (Pour une invalidité de 104 semaines et
Plus en détailDares. Analyses PARTICIPATION, INTÉRESSEMENT ET ÉPARGNE SALARIALE EN 2008 : une baisse de près de 7 % des montants distribués
Dares Analyses Octobre 2 010 N 071 publication de la direction de l'animation de la recherche, des études et des statistiques PARTICIPATION, INTÉRESSEMENT ET ÉPARGNE SALARIALE EN 2008 : une baisse de près
Plus en détail1 - Salaires nets tous secteurs confondus
N 627 Résultats l enquête annuelle sur les s auprès s entreprises - Mai 2011 - L enquête annuelle sur les s auprès s entreprises, réalisée par voie postale par l ONS a donné les résultats présentés ci-ssous.
Plus en détailBienvenue dans votre FIBENligne
Bienvenue dans votre FIBENligne Retrouvez dans votre FIBENligne toutes les nouveautés FIBEN et l ensemble des services que la Banque de France met à votre disposition pour vous aider dans votre maîtrise
Plus en détailLes durées d emprunts s allongent pour les plus jeunes
Revenus Les durées d emprunts s allongent pour les plus jeunes Marie-Émilie Clerc, Pierre Lamarche* Entre 2005 et 2011, l endettement des ménages a fortement augmenté, essentiellement du fait de la hausse
Plus en détailFocus sur les politiques publiques de l épargne en France
Focus sur les politiques publiques de l épargne en France T. Mosquera Yon Banque de France 1 En France, les pouvoirs publics ont, dès 1818, souhaité mettre en place des dispositifs visant à encourager
Plus en détailLES ASSURANCES DE PERSONNES. Données clés 2011
LES ASSURANCES DE PERSONNES Données clés 211 2 Sommaire Sauf indications contraires, toutes les données ont pour origine les enquêtes statistiques de la direction des études et des statistiques FFSA-GEMA
Plus en détailAccord N 36 Le Compte Epargne Temps au GIE AtlantiCA En date du 25 septembre 2008
Accord N 36 Le Compte Epargne Temps au GIE AtlantiCA En date du 25 septembre 2008 Les organisations syndicales signataires : CFDT, SNECA-CGC, SUD AtlantiCA TABLE DES MATIERES L ACCORD INDEX TABLE DES MATIERES
Plus en détailEGALITÉ ENTRE LES FEMMES
ÉGALITÉ CHERCHEUSE FEMME ENSEIGNEMENT HOMME ÉTUDIANTE RECHERCHE EGALITÉ ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES Chiffres clés de la parité dans l enseignement supérieur et la recherche ÉGALITÉ entre les FEMMES
Plus en détailLes rachats de contrats d assurance-vie après 60 ans en 2012 FFSA
CONSEIL D ORIENTATION DES RETRAITES Séance plénière du 17 décembre 2013 à 14h30 «Etat des lieux sur l épargne en prévision de la retraite» Document N 8 Document de travail, n engage pas le Conseil Les
Plus en détailI. Entrée en vigueur de l avenant salaires n 21 à compter du 1 er novembre 2013
Les salaires minima applicables à compter du 1 er janvier 2015 CCN n 3241 En résumé : I. Entrée en vigueur de l avenant salaires n 21 à compter du 1 er novembre 2013 L avenant n 21 sur les salaires minima
Plus en détailTOUT SAVOIR SUR LE COMPTE ÉPARGNE TEMPS
CET épargne salariale TOUT SAVOIR SUR LE COMPTE ÉPARGNE TEMPS Sommaire Compte épargne temps 3 Historique 4 Mise en place 6 Alimentation 8 Utilisation 10 Optimiser le CET 14 COMPTE ÉPAR- GNE TEMPS Le Compte
Plus en détailEco-Fiche BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1
Eco-Fiche Janvier 2013 BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1 Retour sur l année 2012 : l atonie En 2012, le Produit Intérieur Brut (PIB) s est élevé à 1 802,1 milliards d euros, soit
Plus en détailLES ASSURANCES DE BIENS ET DE RESPONSABILITÉ. Données clés 2012
LES ASSURANCES DE BIENS ET DE RESPONSABILITÉ Données clés 2012 Sommaire Sauf indications contraires, toutes les données ont pour origine les enquêtes de la Direction des études et des statistiques FFSA-GEMA.
Plus en détail12.1. Le cumul emploi-retraite
12.1. Le cumul emploi-retraite Le cumul emploi-retraite est un dispositif qui permet de cumuler le bénéfice d une pension avec la perception de revenus d activité. Dans un premier temps soumis à certaines
Plus en détailLa prise en compte du travail à temps partiel dans les droits à retraite des différents régimes
CONSEIL D ORIENTATION DES RETRAITES Séance plénière du 9 juillet 2014 à 9 h 30 «Carrières précaires, carrières incomplètes et retraite» Document N 10 Document de travail, n engage pas le Conseil La prise
Plus en détailRégimes publics de retraite État de la situation. Perspectives des différents régimes publics de retraite. Plan
Régimes publics de retraite État de la situation Perspectives des différents régimes publics de retraite 79 e congrès de l ACFAS 10 mai 2011 Plan Portrait des régimes publics de retraite La pression démographique
Plus en détailSimulation d impact de l augmentation des salaires du personnel de l administration publique et du SMIG et du SMAG dans le secteur privé
Simulation d impact de l augmentation des salaires du personnel de l administration publique et du SMIG et du SMAG dans le secteur privé L augmentation des salaires du personnel de l administration publique
Plus en détailles derniers salaires qui comptent
1Ce sont les derniers salaires qui comptent Le montant de l allocation d aide au retour à l emploi est calculé sur la base du «salaire journalier de référence» établi à partir des rémunérations perçues
Plus en détailEmploi et Formation Secteur Publicité
Rapport statistique Emploi et Formation Secteur Publicité 2009-2010 AFDAS / R&D - Septembre 2012 Sommaire 1. DONNEES SUR L EMPLOI 3 1.1. POINT METHODOLOGIQUE ET PRECAUTIONS D USAGE 4 1.2. LES ENTREPRISES
Plus en détailRoyaume du Maroc. La masse salariale et ses impacts sur les équilibres économiques et financiers
Royaume du Maroc La masse salariale et ses impacts sur les équilibres économiques et financiers Table des Matières 1. Données sur la masse salariale...2 1.1. Importance de la masse salariale...2 1.2. Aggravation
Plus en détailPartie 2 : Qui crée la monnaie?
Partie 2 : Qui crée la monnaie? Marché monétaire Masse monétaire Banque centrale Prêteur en dernier ressort Notions clés I. La mesure de la création monétaire : la masse monétaire La masse monétaire n
Plus en détailTARIFICATION DES INSTRUMENTS FINANCIERS AU 01 JANVIER 2015
TARIFICATION DES INSTRUMENTS FINANCIERS AU 01 JANVIER 2015 I. Organismes de Placements Collectifs 1. SICAV émises par la BCEE Sous réserve d exceptions éventuelles prévues dans le prospectus d émission,
Plus en détailRégime social et fiscal des primes d intéressement
Régime social et fiscal des primes d intéressement Les primes d intéressement constituent pour le salarié un complément de rémunération. Cependant, afin de favoriser la mise en place d un régime d intéressement
Plus en détailMODE D EMPLOI CONTRAT D APPRENTISSAGE
MODE D EMPLOI CONTRAT D APPRENTISSAGE Mise à jour : 02/03/15 1 CONDITIONS GENERALES POUR ETRE APPRENTI p. 2 2 - ENREGISTREMENT DU CONTRAT p. 2 3 DEFINITION DU CONTRAT D APPRENTISSAGE p. 5 4 - EXECUTION
Plus en détail12ème. *Source : Centre d Analyse Stratégique «Les secteurs de la nouvelle croissance : une projection à l horizon 2030», Rapport n 48, janvier 2012
2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013 2013-T1 2013-T2 2013-T3 2013-T4 2014-T1 2014-T2 2014-T3 2014-T4 Fiche Synthèse Sectorielle juillet 2015 Activités juridiques, comptables,
Plus en détailDocument d études. direction de l'animation de la recherche, des études et des statistiques
Document d études direction de l'animation de la recherche, des études et des statistiques Numéro 170 Février 2012 LES TRAJECTOIRES SALARIALES DES JEUNES ENTRÉS SUR LE MARCHÉ DU TRAVAIL ENTRE 1995 ET 2002
Plus en détailL Europe des consommateurs : Contexte international Rapport Eurobaromètre 47.0
L Europe des consommateurs : Contexte international Rapport Eurobaromètre 47. Résumé La question de la position des consommateurs vis-à-vis du commerce international a été abordée en particulier par deux
Plus en détailACCORD NATIONAL INTERPROFESSIONNEL DU 22 MARS 2014 RELATIF A L INDEMNISATION DU CHOMAGE
ACCORD NATIONAL INTERPROFESSIONNEL DU 22 MARS 2014 RELATIF A L INDEMNISATION DU CHOMAGE Préambule Considérant la situation économique et, notamment, l impact de celle ci sur le marché de l emploi et le
Plus en détailNOUVELLE CONVENTION D ASSURANCE CHÔMAGE
IMPACT de la NOUVELLE CONVENTION D ASSURANCE CHÔMAGE MAI 2014 Page 1 sur 26 1. Impact global Issues de l accord signé en mars 2014 et valables pour 2 ans, les nouvelles règles d Assurance chômage ont été
Plus en détailACCORD RELATIF AU COMPTE EPARGNE TEMPS
ACCORD RELATIF AU COMPTE EPARGNE TEMPS Entre la Direction Générale de la société Herakles, représentée par Philippe BOULAN, en sa qualité de Directeur des Ressources Humaines, D une part, Et les organisations
Plus en détailLa rémunération de l apprenti :
F I C H E P R A T I Q U E N 2 R E M U N E R A T I O N E T A I D E S L I E E S A U C O N T R A T D A P P R E N T I S S A G E L apprenti est titulaire d un contrat de travail de type particulier : il est
Plus en détailL'INDICE DES PRIX A LA CONSOMMATION HARMONISÉ RÉVISÉ OU IPCH RÉVISÉ Pour les comparaisons entre les pays membres de l'union Européenne*
L'INDICE DES PRIX A LA CONSOMMATION HARMONISÉ RÉVISÉ OU IPCH RÉVISÉ Pour les comparaisons entre les pays membres de l'union Européenne* Évolutions en moyenne de l'ipch des 15 États membres de l'ue en décembre
Plus en détailBROCHURE DESTINÉE A ACCOMPAGNER LA MISE EN OEUVRE DE LA PART INCITATIVE DE LA TAXE D ENLEVEMENT DES ORDURES MENAGERES
BROCHURE DESTINÉE A ACCOMPAGNER LA MISE EN OEUVRE DE LA PART INCITATIVE DE LA TAXE D ENLEVEMENT DES ORDURES MENAGERES SOMMAIRE I- AVANT-PROPOS I.1- LES TROIS MODES DE FINANCEMENT DU SERVICE PUBLIC D ÉLIMINATION
Plus en détailSITUATION FINANCIÈRE DE L ASSURANCE CHÔMAGE
SITUATION FINANCIÈRE DE L ASSURANCE CHÔMAGE pour l année 2014 Janvier 2014 1/12 Situation financière de l Assurance chômage pour l année 2014 14 janvier 2014 Cette note présente la prévision de la situation
Plus en détailDEMANDE D IMMATRICULATION D UN TRAVAILLEUR notice explicative
o N 50560#02 L'ASSURANCE MALADIE notice explicative Qui doit établir cette déclaration? En application des articles L 312-1, R 312-4, R 312-5, R 312-6 du Code de la Sécurité Sociale, L est tenu de dé clarer
Plus en détailCegid Business Paie. Mise à jour plan de paie 01/11/2014. Service d'assistance Téléphonique 0 825 070 025
Cegid Business Paie Mise à jour plan de paie 01/11/2014 Service d'assistance Téléphonique 0 825 070 025 Mise à jour plan de paie Novembre 2014 Sommaire 1. MISE A JOUR NOVEMBRE 2014... 4 Eléments nationaux...
Plus en détailVous avez du talent, nous protégeons votre indépendance. Demande de pension d invalidité Notice explicative
Vous avez du talent, nous protégeons votre indépendance Demande de pension d invalidité Nature des pensions PENSION POUR INCAPACITE AU METIER (seulement les professions artisanales) Il s agit d une pension
Plus en détailCouverture Maladie Universelle
Nous sommes là pour vous aider Couverture Maladie Universelle Protection complémentaire Vous trouverez dans ce dossier tout ce dont vous avez besoin pour obtenir la CMU : une présentation de la CMU, une
Plus en détailLES EUROPEENS ET LA QUALITE DE VIE
LES EUROPEENS ET LA QUALITE DE VIE RAPPORT REDIGE PAR INRA (EUROPE) EUROPEAN COORDINATION OFFICE S.A. POUR La Direction Générale Emploi et Affaires sociales Sécurité sociale et intégration sociale Recherche
Plus en détailProtection sociale. 1 Les différents régimes de protection sociale en France
Protection sociale La multiplicité des régimes de protection sociale conduit les pluriactifs à des situations administratives complexes : chacune de leurs activités les rattache à une caisse spécifique.
Plus en détailPension AOW pour les assurés hors des Pays-Bas
Pension AOW pour les assurés hors des Pays-Bas Sommaire Qu est-ce que la pension AOW? 2 A qui est destinée la pension AOW? 2 Quand aurez-vous droit à la pension AOW? 4 Résider dans un pays et travailler
Plus en détailPart des salaires dans la valeur ajoutée
NOTE CGT SUR LES SALAIRES ET LE POUVOIR D ACHAT Augmenter les salaires pour renouer avec la croissance Montreuil, le 18 juin 2013 On ne peut pas parler salaires sans parler coût du capital. Dans une économie
Plus en détailI ADAPTATION DU TEMPS DE TRAVAIL A LA DUREE LEGALE DE 35 HEURES. Les alinéas 6 à 9 inclus de l article 5 de l accord national sont supprimés.
ACCORD NATIONAL DU 3 MARS 2006 PORTANT AVENANT A L ACCORD NATIONAL DU 28 JUILLET 1998 MODIFIE SUR L ORGANISATION DU TRAVAIL DANS LA METALLURGIE, A LA CONVENTION COLLECTIVE NATIONALE DES INGENIEURS ET CADRES
Plus en détailLe point sur les marchés des pensions. des pays de l OCDE OCDE
CONSEIL D ORIENTATION DES RETRAITES Séance plénière du 17 décembre 2013 à 14h30 «Etat des lieux sur l épargne en prévision de la retraite» Document N 13 Document de travail, n engage pas le Conseil Le
Plus en détailProgramme «financement» - Partie I Données de cadrage
Programme «financement» - Partie I Données de cadrage Indicateur n 4 : Évolution de la structure des recettes du régime général et des régimes d assurances sociales des administrations de sécurité sociale
Plus en détailCegid Business Paie. Mise à jour plan de paie 01/01/2014. Service d'assistance Téléphonique 0 825 070 025
Cegid Business Paie Mise à jour plan de paie 01/01/2014 Service d'assistance Téléphonique 0 825 070 025 Mise à jour plan de paie Janvier 2014 Sommaire 1. NOUVELLES VALEURS... 4 Eléments nationaux... 4
Plus en détailGUIDE PRATIQUE ÉTOILE pei 2 ÉTOILE percoi 2
GUIDE PRATIQUE ÉTOILE pei 2 ÉTOILE percoi 2 SOMMAIRE Composez votre dispositif sur mesure 4 Étoile PEI 2 - Étoile PERCOI 2 Principales caractéristiques 5 Conseils d optimisation pour le dirigeant et les
Plus en détailCollecter des informations statistiques
Collecter des informations statistiques FICHE MÉTHODE A I Les caractéristiques essentielles d un tableau statistique La statistique a un vocabulaire spécifique. L objet du tableau (la variable) s appelle
Plus en détailCegid Business Paie. Mise à jour plan de paie 01/03/2014. Service d'assistance Téléphonique 0 825 070 025
Cegid Business Paie Mise à jour plan de paie 01/03/2014 Service d'assistance Téléphonique 0 825 070 025 Mise à jour plan de paie Mars 2014 Sommaire 1. MISE A JOUR DE MARS 2014... 4 Eléments nationaux...
Plus en détail