Déontologie Minceur/Poids Bonnes pratiques de communication
|
|
- Thibaut Laviolette
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Déontologie Minceur/Poids Bonnes pratiques de communication Ces règles déontologiques 1 s appliquent aux denrées alimentaires, à savoir aliments diététiques et denrées alimentaires de consommation courante. L objectif de ces règles déontologiques est d accroître la sécurité juridique des opérateurs, la bonne information du consommateur et les conditions d une concurrence loyale en clarifiant une nouvelle situation juridique complexe du fait de l application combinée de règles transversales relatives aux allégations nutritionnelles et de santé et une législation verticale diététique, sachant que les premières s appliquent sans préjudice de la seconde Ces règles sont susceptibles d évoluer pour tenir compte des avis scientifiques rendus par l AESA, des autorisations délivrées par la Commission européenne en application du règlement 1924/2006. Le règlement 1924/2006 du 20 décembre 2006 concernant les allégations nutritionnelles et de santé portant sur les denrées alimentaires est entré en application le 1 er juillet Le règlement s applique sans préjudice de la directive 2002/46/CE «compléments alimentaires», de la directive cadre diététique 89/398/CEE et des directives spécifiques diététiques notamment la directive 96/8/CE relative aux denrées alimentaires destinées à être utilisées dans les régimes hypocaloriques destinés à la perte de poids. Le règlement CE 1924/2006 s'applique aux allégations nutritionnelles et de santé formulées dans les communications à caractère commercial, qu'elles apparaissent dans l'étiquetage ou la présentation des denrées alimentaires ou la publicité faite à leur égard, dès lors que les denrées alimentaires en question sont destinées à être fournies en tant que telles au consommateur final. Le règlement CE 1924/2006 définit une «allégation» comme tout message ou toute représentation, non obligatoire en vertu de la législation communautaire ou nationale, y compris une représentation sous la forme d'images, d'éléments graphiques ou de symboles, quelle qu'en soit la forme, qui affirme, suggère ou implique qu'une denrée alimentaire possède des caractéristiques particulières. 1 Remplaçant la doctrine «Déontologie spécifique aux produits diététiques relative à la publicité des aliments facilitant le contrôle du poids et l amaigrissement» révisée en dernier lieu en mai /12/07 1
2 L article 13.1.c du règlement CE 1924/2006 autorise pour les denrées alimentaires, les «allégations de santé qui décrivent ou mentionnent, sans préjudice de la directive 96/8/CE, l amaigrissement, le contrôle du poids, la réduction de la sensation de faim, l accentuation de la sensation de satiété ou la réduction de la valeur énergétique du régime alimentaire» sous réserve de remplir les conditions prévues dans le règlement. L article 2 points 2 et 3 de la directive 89/398/CEE dispose : «Sont interdites, dans l étiquetage et la présentation des denrées alimentaires de consommation courante et dans la publicité les concernant : - l utilisation des qualificatifs «diététique» ou «de régime» seuls ou en combinaison avec d autres termes, pour désigner ces denrées alimentaires ; - toute autre indication ou toute autre présentation susceptible de faire croire qu il s agit d une denrée alimentaire destinée à une alimentation particulière. Selon des dispositions à adopter conformément à la procédure prévue à l article 13 [comitologie], il peut être admis, pour les denrées alimentaires courantes qui conviennent à une alimentation particulière, de faire état de cette propriété». Interprétation : Les allégations visées par l article 13.1.c peuvent être utilisées par les aliments diététiques et par les autres denrées alimentaires pour autant, s agissant des aliments courants, que ces allégations ne viennent pas en conflit avec les dispositions spécifiques diététiques, qui doivent garder leur plein effet. Si de l ensemble des mentions, allégations et présentations utilisées, le consommateur moyen peut en déduire : - que la denrée «contribue/aide/participe à l amaigrissement, au contrôle du poids, etc» dans le cadre d une alimentation variée et équilibrée, la denrée sera positionnée en denrée alimentaire de consommation courante. - que la denrée est «destinée à l amaigrissement, au contrôle du poids, etc» dans le cadre d un régime hypocalorique tel que défini par la directive 96/8/CE, alors celle-ci doit être positionnée comme un aliment diététique destiné aux régimes hypocaloriques destinés à la perte de poids et répondre aux critères fixés par cette réglementation. Pour pouvoir porter une allégation relative au contrôle du poids, le responsable de la commercialisation d un aliment courant doit respecter les modalités et procédures prévues par le règlement CE 1924/2006..De plus, dans le cas où le responsable de la commercialisation d un aliment courant souhaite faire état que celui-ci convient à un régime hypocalorique, il est soumis à la procédure d autorisation prévue à l article 2.3 de la directive 89/398/CEE. Dans tous le cas, un aliment courant ne devra pas créer de confusion avec les aliments diététiques destinés aux régimes hypocaloriques destinés à la perte de poids tel que défini par la directive 96/8/CE, conformément à la fois aux principes généraux du règlement 1924/2006 et à l article 2.2 de la directive 89/398/CEE. 05/12/07 2
3 Ce qu on peut entendre par : Amaigrissement : fait de maigrir, de perdre du poids Contrôle du poids : gérer son poids, le maintenir, ne pas trop prendre de poids, ou ne pas trop en perdre. Maintenir ou retrouver son poids de forme. Amincissement : affinement, maintenir, garder ou retrouver la ligne, harmonisation, remodelage de la silhouette ; Régime varié équilibré : alimentation qui inclut, en quantité adaptée (selon âge, sexe, activité physique) la consommation des différents groupes d aliments classés d après leurs caractéristiques nutritionnelles (pyramide / bateau / PNNS) Régimes hypocaloriques destinés à la perte de poids : menus variés et équilibrés dont l apport calorique se situe entre 800 et 1200 kcal, tel que défini dans la réglementation, et dont le but est la perte de poids 05/12/07 3
4 Il convient de respecter les recommandations de communication et de présentation ci-après : Principes généraux La communication ne doit pas inciter à remplacer l activité physique par la consommation d un aliment. Au contraire, il est recommandé de promouvoir de bonnes pratiques d hygiène de vie ainsi que de bons comportements alimentaires. Les allégations faisant référence au rythme ou à l importance de la perte de poids sont interdites. Cela interdit notamment tant dans les visuels que dans les rédactionnels, les publicités du type «perte de x kg en x jours /semaines», «maigrir en x jours : semaines», «j ai perdu x kilos», «objectif X kilos». Un régime alimentaire n étant pas aisé à suivre, la publicité ne doit pas comporter de promesse absolue du type «sans effort», «sans vous priver», «en mangeant tout ce que vous voulez», «sans régime», etc. Pour les aliments de consommation courante La publicité des aliments de consommation courante ne doit pas utiliser d indication ou de présentation susceptible de faire croire qu il s agit d un aliment diététique destiné aux régimes hypocaloriques destinés à la perte de poids. Ne peuvent figurer sur un aliment courant les mentions d étiquetage réservées aux aliments diététiques, à savoir : - Toute mention ou présentation susceptible de créer confusion avec la dénomination de vente des produits diététiques : «Substitut de la ration journalière totale pour contrôle du poids» «Substitut de repas pour contrôle du poids» «En-cas hypocalorique appauvri en glucides (ou en lipides) dont la valeur énergétique est de x kcal» - Toute Mention ou présentation replaçant la consommation de ces produits dans le cadre d un régime hypocalorique destiné à la perte de poids tel que défini par la directive 96/8/CE. Ex : le fait de citer sur un produit courant la référence à un régime hypocalorique n est pas acceptable L utilisation des qualificatifs «diététiques» ou «de régime», seuls ou en combinaison avec d autres termes, pour désigner des denrées alimentaires d alimentation courante est interdite. L allégation figurant sur un aliment courant doit être accompagnée d une référence à l importance d une alimentation variée et équilibrée et d un mode de vie sain dans la présentation, l étiquetage ou la publicité. 05/12/07 4
5 Pour les aliments diététiques destinés aux régimes hypocaloriques destinés à la perte de poids Les produits concernés sont classés en trois catégories et l'on distingue ceux qui sont destinés à remplacer entièrement la ration quotidienne, ceux qui sont destinés à remplacer partiellement la ration quotidienne et en France, les en-cas hypocaloriques qui sont destinés soit à la collation, soit à remplacer une partie de repas. La publicité ne doit pas laisser croire que c est le produit seul qui permet de mincir, de contrôler son poids, de réaliser un régime alimentaire efficace, etc. Il ne doit pas y avoir d ambiguïté sur le fait que c est le régime alimentaire hypocalorique qui est efficace. - S il s agit d un «substitut de la ration journalière», la publicité ne doit pas encourager une consommation exclusive durable et doit préciser que le produit ne peut être consommé pendant plus de trois semaines sans avis médical - S il s agit d un «substitut de repas», la consommation d un «substitut de repas» doit être placée dans le cadre d un régime alimentaire hypocalorique devant être complété par d autres aliments - S il s agit d un «en-cas hypocalorique», la consommation d un «en-cas hypocalorique» doit être placée dans le cadre d un régime alimentaire hypocalorique devant être complété par d autres aliments Il est également conseillé de renvoyer dans la publicité aux précautions d emploi de l étiquetage. Les mentions obligatoires en application de la directive 96/8/CE (et de l arrêté français du 20 juillet 1977) et les mentions destinées à compléter la dénomination de vente pour présenter les caractéristiques particulières du produit ne sont pas considérées comme des allégations et s appliquent conformément aux dispositions des textes diététiques pertinents. Cas particulier : obésité Il convient de rappeler que l article R du Code de la consommation et l article 7 du décret du 29 août 1991 stipulent que la publicité ne doit «pas faire état des propriétés de prévention, de traitement et de guérison des maladies humaines». Les expressions telles que «traitement de l obésité» ou «cure anti-obésité» sont interdites. Toute allégation sur la réduction du risque de maladie doit être autorisée au préalable conformément aux procédures du Règlement CE 1924/2006 prévues pour ces allégations (article 14 du règlement 1924/2006). 05/12/07 5
6 Produits diététiques destinés aux régimes à teneur très basse en énergie : Les produits destinés aux régimes très appauvris en énergie dits «très restrictifs» ou «très basses calories» (apports compris entre 400 et 800 kcal par jour ou repas inférieurs à 1/3 de cet apport énergétique) doivent être utilisés sous contrôle médical. Ces produits sont exclusivement destinés aux personnes dont le BMI est supérieur à 30 kg/m2. La durée maximale autorisée est de quatre semaines. Ces produits doivent comporter un avertissement informant le consommateur que ces régimes exposent à des risques graves pour la santé s'ils sont utilisés sans avis et sans surveillance médicale. A noter qu'en l'absence de dispositions harmonisées, c'est l'avis Cedap du 8 octobre 1997 qui fixe les critères de compositions et les mentions obligatoires pour ces produits. Ces produits sont appelés les "Very low calory diet" (VLCD) en anglais. Gestion de la période de transition Toute allégation décrivant ou mentionnant l amaigrissement, le contrôle du poids, la réduction de la sensation de faim, l accentuation de la sensation de satiété ou la réduction de la valeur énergétique du régime alimentaire doit, - si elle était utilisée conformément aux dispositions nationales avant janvier 2007, faire l objet d une demande d autorisation communautaire (via la liste des Etats membres) avant le 19 janvier 2008 (art. 28.6) - si elle n était pas utilisée avant janvier 2007, faire l objet d une autorisation communautaire préalable en application de l art ou de l art. 18 du règlement Allégations 1924/2006. Une demande d autorisation devra être adressée à la DGCCRF qui aura 15 jours pour la transmettre à la Commission et à l AESA. L Autorité aura 5 mois (+ 1 mois en cas de demande complémentaire) pour rendre un avis. En cas d avis positif, celui-ci sera entériné par la Commission et les Etats-membres dans les 2 mois (Pour plus de précisions, cf. Questions-Réponses ANIA/FCD sur les allégations nutritionnelles et de santé). La procédure d'autorisation de l'article 18 du règlement 1924/2006 sera ouverte à partir de février /12/07 6
Proposition de la Commission sur les allégations nutritionnelles et de santé en vue de mieux informer les consommateurs et d'harmoniser le marché
IP/03/1022 Bruxelles, le 16 juillet 2003 Proposition de la Commission sur les allégations nutritionnelles et de santé en vue de mieux informer les consommateurs et d'harmoniser le marché Aujourd'hui la
Plus en détail2 Service de Pharmacologie médicale et toxicologie 191, avenue du doyen Gaston Giraud 34295 Montpellier cedex 5
1 Les allégations de santé des compléments alimentaires sont désormais réglementées Décembre 2012 14 Décembre 2012, une mini révolution dans l étiquetage des denrées alimentaires : toute allégation d un
Plus en détailCompléments ments alimentaires Les règles du jeu - SCL / Strasbourg-Illkirch 14 octobre 2011
Compléments ments alimentaires Les règles du jeu - SCL / Strasbourg-Illkirch 14 octobre 2011 Bureau 4A : Nutrition & Information sur les denrées alimentaires Novel Food, Adjonction V&M, SBNP Compléments
Plus en détailINDICE DE FRÉQUENCE DES ACCIDENTS DE SERVICE
INDICATEUR 1 INDICE DE FRÉQUENCE DES ACCIDENTS DE SERVICE Mesurer la fréquence des accidents de service survenus dans l année. Renseigner sur la sinistralité dans le domaine des accidents de service entrainant
Plus en détailLA QUESTION DE LA PRISE DE POIDS CHEZ LE FUMEUR EN SEVRAGE TABAGIQUE
Jean-Paul BLANC Diététicien-Nutritionniste Neuilly sur Seine www.cabinet-de-nutrition-et-dietetique.eu LA QUESTION DE LA PRISE DE POIDS CHEZ LE FUMEUR EN SEVRAGE TABAGIQUE Au cours de la dernière décennie
Plus en détailCode de la publicité écologique
Code de la publicité écologique Code de la publicité écologique: Préambule Une société saine construit un avenir durable. De plus en plus, le souci de l'homme pour son environnement en constitue un élément
Plus en détailGRENADE / GARONNE 30 janvier 2014. Centrale de Restauration MARTEL Maryse LAFFONT, Diététicienne
LA RESTAURATION SCOLAIRE GRENADE / GARONNE 30 janvier 2014 Centrale de Restauration MARTEL Maryse LAFFONT, Diététicienne LES OBJECTIFS Apporter aux enfants une alimentation de Qualité pour répondre à leurs
Plus en détailLa Vache qui rit. CHARTE D ENGAGEMENT VOLONTAIRE DE PROGRÈS NUTRITIONNELS - Résultats -
La Vache qui rit CHARTE D ENGAGEMENT VOLONTAIRE DE PROGRÈS NUTRITIONNELS - Résultats - Le Groupe Bel, conscient du rôle à jouer par l industrie agroalimentaire dans la lutte contre les problèmes de santé
Plus en détailGUIDE POUR LA MISE SUR LE MARCHÉ DE DISPOSITIFS MÉDICAUX SUR MESURE APPLIQUE AU SECTEUR DENTAIRE
Actualisation Mai 2012 Direction de l'evaluation des Dispositifs Médicaux Département Surveillance du Marché GUIDE POUR LA MISE SUR LE MARCHÉ DE DISPOSITIFS MÉDICAUX SUR MESURE APPLIQUE AU SECTEUR DENTAIRE
Plus en détailÉDUCATION Côtes d Armor. Collèges publics. Charte de la restauration collective DIRECTION JEUNESSE PATRIMOINE IMMOBILIER
ÉDUCATION Côtes d Armor Collèges publics DIRECTION ÉDUCATION JEUNESSE PATRIMOINE IMMOBILIER Charte de la restauration collective Préambule Dans le cadre de l article 82 de la loi du 13 août 2004, le Département
Plus en détailCompléments alimentaires et cosmétiques Aspects légaux de l étiquetage
Compléments alimentaires et cosmétiques Aspects légaux de l étiquetage Roos De Brabandere VITASANA 2009 Contenu Compléments alimentaires - quelle législation est-elle d application? - exigences légales
Plus en détailLe point sur les compléments alimentaires
Le point sur les compléments alimentaires Médecin du Comité Régional et Sportif d Ile-de-France, Médecin de l Antenne Médicale de Prévention du Dopage d Ile-de-France Les compléments alimentaires doivent
Plus en détailLE CHAMP D APPLICATION
LES TEXTES Loi n 2001-420 du 15 mai 2001 relative aux nouvelles régulations économiques (art. 54 et 55) Décret n 2002-231 du 21 février 2002 modifiant le décret du 7 mars 2001 portant code des marchés
Plus en détailCharte PNNS Groupe CASINO Résultats
Charte PNNS Groupe CASINO Résultats Calendrier En 2008, Casino a signé Les une engagements charte d engagements de la charte de progrès PNNS ont nutritionnel été appréhendés du PNNS. Elle comprenait 10
Plus en détailSECURITE SANITAIRE DES ALIMENTS
PREFET DES PYRENEES-ATLANTIQUES Direction Départementale de la Protection des Populations des Pyrénées-Altantiques SECURITE SANITAIRE DES ALIMENTS Quelques règles à respecter, secteur de la remise directe
Plus en détailGoogle fait alors son travail et vous propose une liste de plusieurs milliers de sites susceptibles de faire votre bonheur de consommateur.
Quelques resultats de méthode : Entre le 20 Juillet et le 20 Octobre 2011 : Sur une liste de seulement 60 mots clés ou séquences clés 1. 7 sont premiers sur Google soit 12 % 2. 16 sont dans les 3 premiers
Plus en détailCODE DE CONDUITE DES FABRICANTS POUR LA COMMERCIALISATION DES PRÉPARATIONS POUR NOURRISSONS
CODE DE CONDUITE DES FABRICANTS POUR LA COMMERCIALISATION DES PRÉPARATIONS POUR NOURRISSONS (édition révisée 2010, rev. 1) Les sociétés qui fabriquent des préparations pour nourrissons et les commercialisent
Plus en détailLes compléments alimentaires
Les compléments alimentaires Vigilance et Respect des bonnes pratiques Les cahiers du collectif Eps N 2 Olivier COSTE Médecin conseiller Direction régionale Jeunesse, Sports et Cohésion Sociale «C Définition
Plus en détailCOMITE SCIENTIFIQUE DE L AGENCE FEDERALE POUR LA SECURITE DE LA CHAINE ALIMENTAIRE
1/8 COMITE SCIENTIFIQUE DE L AGENCE FEDERALE POUR LA SECURITE DE LA CHAINE ALIMENTAIRE AVIS 36-2006 Concerne : Contrôle de la composition des denrées alimentaires (dossier Sci Com 2005/25) Le Comité scientifique
Plus en détailVeille réglementaire
Veille réglementaire Anne Gerard 30/01/2012 AFNOR - Marseille En quoi consiste la fonction RQSE dans une IAA? Assurer la veille réglementaire et faire appliquer la réglementation (hygiène, environnement,
Plus en détailPUBLICITÉ ET CRÉDIT À LA CONSOMMATION. Les modifications apportées par la Loi du 1 er juillet 2010
PUBLICITÉ ET CRÉDIT À LA CONSOMMATION Les modifications apportées par la Loi du 1 er juillet 2010 La Directive «crédit à la consommation» du 23 avril 2008 a été transposée par la loi n 2010-737 du 1 er
Plus en détailCOMMUNICATION DES CABINETS Quels intérêts? Quels moyens? Quelles limites?
COMMUNICATION DES CABINETS Quels intérêts? Quels moyens? Quelles limites? Jeudi16 janvier 2014 www.oec-paris.fr / @OECParis Attention à la chronologie Avant la définition d une stratégie de communication
Plus en détailMairie de SAINT DIDIER SOUS RIVERIE 69440. Téléphone : 04 78 81 84 26 Télécopie : 04 78 81 87 57 MARCHE PUBLIC DE FOURNITURES COURANTES ET SERVICES
Mairie de SAINT DIDIER SOUS RIVERIE 69440 Téléphone : 04 78 81 84 26 Télécopie : 04 78 81 87 57 MARCHE PUBLIC DE FOURNITURES COURANTES ET SERVICES CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIERES Maître d ouvrage
Plus en détailAvis du Conseil National de la Consommation sur les informations des consommateurs-sites «comparateurs»
Conseil National de la Consommation 12 mai 2015 Avis du Conseil National de la Consommation sur les informations des consommateurs-sites «comparateurs» N NOR : EINC1511480V Trouver un produit, comparer
Plus en détail«Cette action contribue au PNNS». À CHÂTEAU THIERRY
«Cette action contribue au PNNS». «IL FAIT BIO À CHÂTEAU THIERRY A Chateau Thierry, la Municipalité souhaite développer les produits BIO et issus de filières de proximité dans les menus de la restauration
Plus en détailL équilibre alimentaire.
L équilibre alimentaire. Une bonne nutrition est un incontestable facteur de bonne santé. Dans la médecine traditionnelle chinoise, certains aliments bien utilisés servent de remèdes pour prévenir et traiter
Plus en détailFONC N T C IONN N E N L E S
BONBONS FONCTIONNELS SOLPIDIS est une entreprise espagnole située en Valence. Elle née avec l objectif d offrir a ses clients des produits innovants et fonctionnels. On est constamment en mouvement pour
Plus en détailLa contrefaçon par équivalence en France
BREVETS La contrefaçon par équivalence en France I. Introduction Si l'on considère une revendication de brevet qui remplit les conditions de validité au regard de l'art antérieur, le cas de contrefaçon
Plus en détailELASTICITE DE LA DEMANDE Calcul de l'elasticite & Applications Plan du cours I. L'elasticite de la demande & ses determinants II. Calcul de l'elasticite & pente de la courbe de demande III. Applications
Plus en détailRepenser notre façon d aborder les problèmes de poids : s inspirer d un nouveau paradigme. Fannie Dagenais, Dt.P., M.Sc.
Repenser notre façon d aborder les problèmes de poids : s inspirer d un nouveau paradigme Fannie Dagenais, Dt.P., M.Sc. Un problème de santé publique inquiétant Au Québec: 73 % des femmes veulent maigrir
Plus en détailRisques et dispositifs médicaux. «Responsabilités encourues» Isabelle Lucas-Baloup. 12, 13 et 14 octobre 2010
Risques et dispositifs médicaux «Responsabilités encourues» 1 Le circuit du dispositif médical Responsabilité D.M. approche systématique approche du produit implique analyse des missions et responsabilités
Plus en détailParis, le 17 mai 2010
Conseil National des Barreaux LEPRESIDENT SAINT-DENIS de LA REUNION Madame Fernande ANILHA Bâtonnier Ordre des Avocats Palais de Justice 5, avenue André Malraux 97490 SAINTE-CLOTILDE Paris, le 17 mai 2010
Plus en détailCATALOGUE DES FORMATIONS ET CONSEILS
Formations et Conseils en Hygiène et Diététique CATALOGUE DES FORMATIONS ET CONSEILS 2014 Hydiet Conseil 12 boulevard Victor Jauffret 13450 GRANS Tél. : 06 81 62 12 90 - Mail : contact@hydietconseil.com
Plus en détailCODE CIVIL FRANÇAIS (ANTERIEUR A 1960)
CODE CIVIL FRANÇAIS (ANTERIEUR A 1960) ARTICLES 1874 À 1914 DU PRÊT Téléchargé sur Le premier portail consacré au droit des affaires à Madagascar TITRE DIXIEME Du prêt Art. 1874 - Il y a deux sortes de
Plus en détailChamp d application. Sont visées par la présente Recommandation, les publicités :
PUBLICITE DES PRODUITS FINANCIERS ET D INVESTISSEMENT ET, SERVICES LIÉS Le Code consolidé sur les pratiques de publicité et de communication commerciale de l ICC (Chambre de commerce internationale) contient
Plus en détail1. FONCTION STANBDARD 2. BOUTONS 3. ICONES ET DESCRIPTIONS 4. MISE EN MARCHE DU TELEAVERTISSEUR 5. ARRET ET DU TELE AVERTISSEUR 6.
1. FONCTION STANBDARD 2. BOUTONS 3. ICONES ET DESCRIPTIONS 4. MISE EN MARCHE DU TELEAVERTISSEUR 5. ARRET ET DU TELE AVERTISSEUR 6. RECEPTION ET LECTURE DES MESSAGES 7. VERROUILLAGE ET DEVERROUILLAGE DES
Plus en détailLES COMPLÉMENTS ALIMENTAIRES
1 LES COMPLÉMENTS ALIMENTAIRES Anne Laude Professeur à l Université Paris V Les relations entre l'aliment et la santé sont étroites. Elles sont le thème prioritaire de santé publique choisi par la Présidence
Plus en détailFlorent Vaubourdolle Vendredi 27 mai 2011
STOCKAGE TRAÇABILITÉ PARTAGE ASPECTS JURIDIQUES Florent Vaubourdolle Vendredi 27 mai 2011 STOCKAGE TRAÇABILITÉ PARTAGE ASPECTS JURIDIQUES 1/ Quelles données? 2/ Problématiques juridiques vues par / pour
Plus en détailDocument de réflexion : Précisions et orientations sur les formes inappropriées de promotion des aliments pour nourrissons et jeunes enfants
Document de réflexion : Précisions et orientations sur les formes inappropriées de promotion des aliments pour nourrissons et jeunes enfants CONTEXTE 1. La bonne alimentation des nourrissons et des jeunes
Plus en détailCAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIERES
FOURNITURE ET LIVRAISON DE REPAS EN LIAISON FROIDE DESTINES AU SERVICE DE LA RESTAURATION SCOLAIRE DE LA COMMUNE DE SEMBLANÇAY N MARCHE : CANT.2009 CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIERES Personne
Plus en détailCharte nutritionnelle
Charte nutritionnelle NOTRE MISSION : CONSTRUIRE ET PRESERVER LE CAPITAL SANTE L équilibre alimentaire est un enjeu majeur de santé publique. De ce contexte, Nutrisens s engage à maintenir et à renforcer
Plus en détailEnterprise Europe Network, CCI de Lyon Contact : Catherine Jamon-Servel Tél : 04 72 40 57 46 Mail : jamon@lyon.cci.fr www.lyon.cci.
FICHE PRATIQUE LES PRODUITS BIOCIDES Enterprise Europe Network, CCI de Lyon Contact : Catherine Jamon-Servel Tél : 04 72 40 57 46 Mail : jamon@lyon.cci.fr www.lyon.cci.fr/een La Chambre de commerce et
Plus en détailGARANTIE LEGALE DU VENDEUR
GARANTIE LEGALE DU VENDEUR L ensemble des biens achetés auprès d Apple, y compris les biens qui ne sont pas de la marque Apple, sont couverts par la garantie légale de deux ans du vendeur contre les défauts
Plus en détailEmis le : 5/08/2011 Mis à jour : 10/2014
Emetteur : CRMA Limousin Page 1 sur 6 1. Quelle réglementation s applique à mon entreprise? Emis le : 5/08/2011 Toute entreprise artisanale ou industrielle est soumise au règlement sanitaire départemental.
Plus en détailTCAS Taxe sur les conventions d'assurances Exonérations Assurances sur la vie et contrats de rente viagère
Extrait du Bulletin Officiel des Finances Publiques-Impôts DIRECTION GÉNÉRALE DES FINANCES PUBLIQUES Identifiant juridique : BOI-TCAS-ASSUR-10-40-30-10-20120912 DGFIP TCAS Taxe sur les conventions d'assurances
Plus en détailPRESENTATION DU CONTRAT N 113 414 898
PRESENTATION DU CONTRAT N 113 414 898 Ce texte ne constitue qu'une présentation du contrat d'assurance. L'original est détenu par le Syndicat. Il peut être consulté auprès du Président. Résumé SNPSC au
Plus en détailCATALOGUE DE FORMATIONS 2014 2015
CATALOGUE DE FORMATIONS 2014 2015 Professionnels de l alimentation 06.47.75.88.57 HQSA Consulting contact@hqsafrance.fr Numéro de déclaration de prestataire de formation : SIRET SIRET : 804 : 284 284 420
Plus en détailVILLE DE FROUARD PRESTATIONS NETTOYAGE DES VITRES DES BATIMENTS COMMUNAUX CAHIER DES CLAUSES ADMINISTRATIVES PARTICULIERES (C.C.A.
VILLE DE FROUARD PRESTATIONS NETTOYAGE DES VITRES DES BATIMENTS COMMUNAUX CAHIER DES CLAUSES ADMINISTRATIVES PARTICULIERES (C.C.A.P) (le présent cahier des clauses administratives contient 10 pages dont
Plus en détailQualité. Sécurité Alimentaire
Le service Qualité Présentation du Service Démarche Qualité Qualité Réalisation des dossiers d agrément sanitaire pour les cuisines centrales >60 affermés API Réalisation des dossiers d accréditation en
Plus en détailRèglement relatif à l utilisation des ressources informatiques et de télécommunication
SECRÉTARIAT GÉNÉRAL Règlements, directives, politiques et procédures Règlement relatif à l utilisation des ressources informatiques et de télécommunication Adoption Instance/Autorité Date Résolution(s)
Plus en détailSensibilisation des opérateurs à l hygiène des aliments
Sensibilisation des opérateurs à l hygiène des aliments Le respect des bonnes pratiques d hygiène de fabrication, par chaque opérateur, constitue le préalable à toute démarche de maîtrise de la sécurité
Plus en détailCODE PROFESSIONNEL. déontologie. Code de déontologie sur les bases de données comportementales
déontologie Code de déontologie sur les bases de données comportementales 1 Code de déontologie sur les bases de données comportementales Préambule Les bases de données comportementales constituées principalement
Plus en détailChambre Professionnelle du Conseil.
NORMANDIE Chambre Professionnelle du Conseil. - STATUTS - STATUTS CPC Normandie-V3-Avril09 Page 1 sur 8 SOMMAIRE : ARTICLE 1 - Constitution et Désignation ARTICLE 2 - OBJET & DUREE ARTICLE 3 Territoire
Plus en détailLa presse quotidienne départementale et l autodiscipline publicitaire Etat des lieux (étude sur un mois de parution)
La presse quotidienne départementale et l autodiscipline publicitaire Etat des lieux (étude sur un mois de parution) Avril 2004 1 I/ SYNTHESE GENERALE DES RESULTATS Méthodologie 22 Titres différents examinés
Plus en détailPOLITIQUE RELATIVE AUX LOIS ANTI CORRUPTION D ALCOA, INC.
POLITIQUE RELATIVE AUX LOIS ANTI CORRUPTION D ALCOA, INC. CONTEXTE : Alcoa Inc. («Alcoa») et sa direction se sont engagés à mener toutes leurs activités dans le monde entier, avec éthique et en conformité
Plus en détailMarque déposée de GV RESTAURATION SERVICES SA
Marque déposée de GV RESTAURATION SERVICES SA N FR05/00392 SAS au capital de 53.357,16 Siège Social : 34, Rue de Paris 60330 LE PLESSIS BELLEVILLE - Téléphone : 03.44.58.14.21. - Fax : 03.44.58.20.98.
Plus en détailFEDERATION EUROPEENNE DES FABRICANTS D ALIMENTS COMPOSES EUROPÄISCHER VERBAND DER MISCHFUTTERINDUSTRIE EUROPEAN FEED MANUFACTURERS FEDERATION
FEDERATION EUROPEENNE DES FABRICANTS D ALIMENTS COMPOSES EUROPÄISCHER VERBAND DER MISCHFUTTERINDUSTRIE EUROPEAN FEED MANUFACTURERS FEDERATION Commentaires de la FEFAC sur la proposition de Règlement du
Plus en détailDEMANDE D AUTORISATION D UN SYSTEME DE VIDEOPROTECTION
HAUT-COMMISSARIAT DE LA REPUBLIQUE EN NOUVELLE-CALEDONIE DEMANDE D AUTORISATION D UN SYSTEME DE VIDEOPROTECTION Loi du 21 janvier 1995 modifiée, article 10 Décret du 17 octobre 1996 modifié ATTENTION :
Plus en détailLe marché des alicaments : un marché spécifique. Hiba El Dahr
Le marché des alicaments : un marché spécifique. Hiba El Dahr Série Thèses et Masters Ce Master est le numéro 60 de la série Thèses et Masters de l Institut Agronomique Méditerranéen de Montpellier. Cette
Plus en détailCARACTÉRISATION DE L OFFRE ALIMENTAIRE, PAR SECTEUR ET SEGMENT DE MARCHÉ
CARACTÉRISATION DE L OFFRE ALIMENTAIRE, PAR SECTEUR ET SEGMENT DE MARCHÉ Etude des produits transformés disponibles sur le marché français entre 2008 et 2011 ÉDITION 2015 2015 Etude du secteur des glaces
Plus en détailCODE DE CONDUITE DES AGENTS IMMOBILIERS CHARTE DE DÉONTOLOGIE
CODE DE CONDUITE DES AGENTS IMMOBILIERS ET CHARTE DE DÉONTOLOGIE 26 AVENUE VICTOR HUGO 75116 PARIS Tél.: 01-53-64-91-91 Fax.: 01-53-64-91-92 www.snpi.com PRÉAMBULE Le SNPI, organisme professionnel national
Plus en détailLES BIBLIOTHEQUES DE WINDOWS 7
LES BIBLIOTHEQUES DE WINDOWS 7 1 PRINCIPE Elles permettent de mieux trier et de retrouver ses fichiers, sans tenir compte de leur emplacement réel sur le disque dur. Ainsi, une Bibliothèque est un dossier
Plus en détailDéveloppement d une application pilote
Développement d une application pilote Nutri-TIC Flora Massanella Principes Cette seconde phase vise à mettre en pratique les conclusions obtenues lors de la phase A. L application web Nutri- TIC a donc
Plus en détailArchiver dans une entreprise privée commerciale Fiche 4 : au moins 5 ans
Sécurité Livre de paie (applicable jusqu au 31/07/1998) art. L. 143-5). Déclarations préalables à l embauche L. 320). Relevé mensuel des contrats de travail art. R. 320-1-1). Tous documents, en général,
Plus en détailmon maïs fourrage, (GNIS) rassemble toutes les parties prenantes de la filière semences française, soit 72 entreprises de sélection,
Ma vache, mon maïs fourrage, et moi 50 ans de progrès! Depuis maintenant 50 ans, le maïs fourrage a bénéficié avec succès du progrès génétique et de l innovation variétale. Il a su s inscrire durablement
Plus en détailCHARTE ÉTHIQUE ET DÉONTOLOGIQUE APPLICABLE AUX PÉDICURES-PODOLOGUES ET À LEURS SITES INTERNET À L ADRESSE DU GRAND-PUBLIC
CHARTE ÉTHIQUE ET DÉONTOLOGIQUE APPLICABLE AUX PÉDICURES-PODOLOGUES ET À LEURS SITES INTERNET À L ADRESSE DU GRAND-PUBLIC Avril 2015 Actualisation approuvée par le Conseil national du 10 avril 2015 A
Plus en détail1. Réponse de Nathalie COULAUD, journaliste au PARTICULIER
ARC / DOSSIER DU MOIS DE NOVEMBRE 2009/ www.unarc.asso.fr Les trois qualités et les trois défauts des syndics selon Au cours de notre Salon «indépendant», nous avons eu une conférence passionnante sur
Plus en détailTest : principe fondamental de la dynamique et aspect énergétique
Durée : 45 minutes Objectifs Test : principe fondamental de la dynamique et aspect énergétique Projection de forces. Calcul de durée d'accélération / décélération ou d'accélération / décélération ou de
Plus en détailLa certification ISO 22000
La certification ISO 22000 Maurice LE DOUARIN Responsable de la Restauration SILGOM Pôle de restauration collective Phases de travaux Travaux : 6,8 M Les travaux en quelques Equipements : 1,7 M chiffres
Plus en détailNouvelle norme de révision: Contrôle du rapport de gestion sur les comptes annuels (ou consolidés)
Nouvelle norme de révision: Contrôle du rapport de gestion sur les comptes annuels (ou consolidés) INTRODUCTION Historique 1. Le 6 octobre 1989, le Conseil de l IRE a approuvé une recommandation de révision
Plus en détailRèglement intérieur de la Cité
Règlement intérieur de la Cité 19 mai 2015 p.1 PREAMBULE Objectifs La Cité est un équipement municipal de soutien à la vie associative. C est un lieu d accueil, de promotion, d information, de formation
Plus en détailEmploi et Formation Secteur Publicité
Rapport statistique Emploi et Formation Secteur Publicité 2009-2010 AFDAS / R&D - Septembre 2012 Sommaire 1. DONNEES SUR L EMPLOI 3 1.1. POINT METHODOLOGIQUE ET PRECAUTIONS D USAGE 4 1.2. LES ENTREPRISES
Plus en détailLe soin diététique réalisé par un diététicien en établissement de santé
Recommandations pour la pratique clinique Le soin diététique réalisé par un diététicien en établissement de santé Recommandations Mai 2011 Association Française des Diététiciens Nutritionnistes 35 allée
Plus en détailClé USB. Quel type de données peut contenir une clé USB?
Qu est-ce qu une clé USB? Clé USB Une clé USB est un support de stockage amovible. Ce qui, en français, signifie que c est une mémoire que vous pouvez brancher et débrancher sur n importe quel ordinateur
Plus en détailANNEXE 1 RECOMMANDATIONS DEONTOLOGIQUES APPLICABLES AUX SERVICES SMS+ / MMS+
ANNEXE 1 RECOMMANDATIONS DEONTOLOGIQUES APPLICABLES AUX SERVICES SMS+ / MMS+ Outre les présentes règles déontologiques, l Editeur de service par SMS/MMS, ci-après l Editeur, s'engage à respecter l ensemble
Plus en détailDocument d information 1. Principaux aspects de la proposition de la Commission COM (2000) 716 du point de vue de l alimentation animale
Proposition de la Commission COM (2000) 716 établissant les principes généraux et les prescriptions générales du droit alimentaire, instituant l Autorité Alimentaire Européenne et fixant des procédures
Plus en détaillire les Étiquettes et trouver les sucres cachés
lire les Étiquettes et trouver les sucres cachés Objectif : Sensibiliser les élèves à ce qui se trouve dans leur nourriture et les aider à se méfi er des sucres cachés. Matériel Feuille à imprimer : Chaîne
Plus en détailNotice d information Banque Accord Mastercard PayPass
Notice d information Banque Accord Mastercard PayPass Contrat d assurance n 4.091.413 / 003 souscrit : - par BANQUE ACCORD - S.A au capital de 28 795 040 Euros - ORIAS n 07 023 261 www.orias.fr - 40 avenue
Plus en détailMAPPP/12-14 02/10/2012. Modalités de mise en œuvre du cofinancement public d un CP
MAPPP/12-14 02/10/2012 Modalités de mise en œuvre du cofinancement public d un CP L article 14 de la loi n 2009-179 du 17 fév.2009 dispose que : «/. Le contrat de partenariat est un contrat administratif
Plus en détailFonds d investissement Tangerine
Fonds d investissement Tangerine Prospectus simplifié Portefeuille Tangerine revenu équilibré Portefeuille Tangerine équilibré Portefeuille Tangerine croissance équilibrée Portefeuille Tangerine croissance
Plus en détailTOUT SAVOIR SUR LA CARTE BANCAIRE
TOUT SAVOIR SUR LA CARTE BANCAIRE Carte bancaire : plancher et plafond de paiement Dernière mise à jour le 11 juin 2009 à 09:17 par ericrg Les commerçants sont libres d'accepter ou non les paiements par
Plus en détailATELIER DROIT DES CONTRATS, DE LA CONSOMMATION ET DU COMMERCE ELECTRONIQUE
ATELIER DROIT DES CONTRATS, DE LA CONSOMMATION ET DU COMMERCE ELECTRONIQUE Présidence : Martine Behar-Touchais, professeur à l Université Paris Descartes (Paris V) Les clauses abusives à l épreuve de la
Plus en détailAssemblée Générale ASSOCIATION DES MAIRES RURAUX DU PUY-de-DÔME. La nouvelle règlementation Nutrition pour les cantines scolaires
Assemblée Générale ASSOCIATION DES MAIRES RURAUX DU PUY-de-DÔME Vendredi 9 Décembre 2011 Pontaumur La nouvelle règlementation Nutrition pour les cantines scolaires Emilie CHANSEAUME Lucile AUMOINE Céline
Plus en détailComment sélectionner des sommets, des arêtes et des faces avec Blender?
Comment sélectionner des sommets, des arêtes et des faces avec Blender? VVPix v 1.00 Table des matières 1 Introduction 1 2 Préparation d une scène test 2 2.1 Ajout d objets dans la scène.........................................
Plus en détailDU 3 JUILLET 1978 RELATIVE AUX CONTRATS DE TRAVAIL, LA CONVENTION COLLEC- MENSUEL GARANTI AUX OUVRIERS EN CAS D'INCAPACITE DE TRAVAIL
CONVENTION COLLECTIVE DE TRAVAIL N 12 BIS DU 26 FEVRIER 1979 ADAPTANT A LA LOI DU 3 JUILLET 1978 RELATIVE AUX CONTRATS DE TRAVAIL, LA CONVENTION COLLEC- TIVE DE TRAVAIL N 12 DU 28 JUIN 1973 CONCERNANT
Plus en détailCONDITIONS GENERALES D UTILISATION. 1.1 On entend par «Site» le site web à l adresse URL www.creativlink.fr édité par CREATIV LINK.
CONDITIONS GENERALES D UTILISATION Les présentes Conditions Générales lient tout Utilisateur du Site à CREATIV LINK à compter de la création d un compte sur le Site afin de bénéficier d une Prestation
Plus en détailAprès chirurgie bariatrique, quel type de tissu adipeux est perdu? Dr Emilie Montastier Hôpital Larrey, Toulouse
Après chirurgie bariatrique, quel type de tissu adipeux est perdu? Dr Emilie Montastier Hôpital Larrey, Toulouse Généralités / Contexte La chirurgie bariatrique: pas de relation quantitative claire entre
Plus en détailREGLEMENT DU JEU FESTIVAL DU FILM 2015 13.05.2015 17.05.2015
REGLEMENT DU JEU FESTIVAL DU FILM 2015 13.05.2015 17.05.2015 ARTICLE 1. ORGANISATION ET DUREE Europcar France, Société par Actions Simplifiée au capital de 10 880 000 euros, dont le siège social est situé
Plus en détailOptimiser les performances du mouvement de monte de l Axe Z.
Page/0 - BUT DE LA MANIPULATION : Optimiser les performances du mouvement de monte de l Axe Z. - LES PLANS D EXPERIENCE -LA METHODE DU DOCTEUR TAGUCHI. La mthodologie Taguchi de mise en oeuvre des plans
Plus en détail«Peut-on jeûner sans risque pour la santé?»
Le FIGARO du 21/10/2013, page 13 : Cet article est un document culturel qui témoigne à quel degré l establishment médical français ignore le jeûne. À mettre au frigo, pour le ressortir le jour où l'essai
Plus en détailFORMATION OBLIGATOIRE A L HYGIENE ALIMENTAIRE
FORMATION OBLIGATOIRE A L HYGIENE ALIMENTAIRE REFERENTIEL DE CAPACITE DE L OPERATEUR EN RESTAURATION COMMERCIALE (annexe II de l arrêté du 5 octobre 2011) Conseils d utilisation: Vous pouvez suivre la
Plus en détailCAHIER DES CLAUSES ADMINISTRATIVES ET TECHNIQUES PARTICULIERES (CCATP) Document commun aux deux lots. Marché à prix forfaitaire
CAHIER DES CLAUSES ADMINISTRATIVES ET TECHNIQUES PARTICULIERES (CCATP) «Achats d équipements musicaux pour la ville de Nice» Lot 1 : Achat d équipements musicaux pour l opéra de Nice Lot 2 : Achat de cloches
Plus en détailCultiver l esprit d équipe
Cultiver l esprit d équipe Les objectifs : Promouvoir une prise de conscience de la nécessité de travailler en équipe et de cultiver les liens entre les personnes pour consolider l esprit d équipe Fournir
Plus en détailRappel sur les bases de données
Rappel sur les bases de données 1) Généralités 1.1 Base de données et système de gestion de base de donnés: définitions Une base de données est un ensemble de données stockées de manière structurée permettant
Plus en détailANNEE SCOLAIRE EN COURS
La rédaction de cette circulaire de Rentrée relative au service de Restauration a été assurée par l Association des Parents d Élèves, section française (APE). Elle a été val idée par la direction du Lycée
Plus en détailGuide d usage du portail périscolaire de la Ville de Lorient
Guide d usage du portail périscolaire de la Ville de Lorient RESERVATION DES ACTIVITES PERSICOLAIRES PAR INTERNET Vous avez une difficulté à créer votre compte ou vous vous posez des questions sur la réservation
Plus en détailPROCEDURE D AGREMENT EN QUALITE DE BANQUE ET ETABLISSEMENT FINANCIER
PROCEDURE D AGREMENT EN QUALITE DE BANQUE ET ETABLISSEMENT FINANCIER PREFACE Dans le cadre de la mise en œuvre et du renforcement de la politique d'intégration sous-regionale, le Conseil des Ministres
Plus en détail1 - Connexion au service de gestion des demandes informatiques du lycée
1 - Connexion au service de gestion des demandes informatiques du lycée http://support.e-lycee-paca.fr Adresse du service en ligne à partir de tout point d accès internet, 24h/24. 1 Les identifiants sont
Plus en détailCONTRAT DE PERMANENCE TELEPHONIQUE EXTERNALISATION DE STANDARD
www.centratel.fr CONTRAT DE PERMANENCE TELEPHONIQUE EXTERNALISATION DE STANDARD CONTRAT A EDITER EN DOUBLE EXEMPLAIRE Date de réception du contrat par Centratel : (à remplir par Centratel) SOCIETE : SIRET
Plus en détail