Une interprétation générique de commandes en langue naturelle dans les systèmes de dialogues à base d ontologies

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Une interprétation générique de commandes en langue naturelle dans les systèmes de dialogues à base d ontologies"

Transcription

1 Une interprétation générique de commandes en langue naturelle dans les systèmes de dialogues à base d ontologies Laurent Mazuel Nicolas Sabouret Laboratoire d Informatique de Paris 6 - LIP6 8 rue du Capitaine Scott Paris {laurent.mazuel ;nicolas.sabouret}@lip6.fr RÉSUMÉ. Cet article présente une architecture générale vers une approche plus générique pour les agents conversationnels. Notre architecture contient des modules génériques (dans le sens d indépendant de l application) de traitement des langues naturelles (LN) basés sur les ontologies pour l interprétation de commandes. Nous nous intéresserons particulièrement à la présentation du générateur d évènements et du gestionnaire de dialogue, le tout reposant sur une approche ascendante pour l appariement des commandes de l utilisateur avec l ensemble des actions possibles. ABSTRACT. This paper presents a general architecture towards a more generic approach to conversational agents. Our architecture contains generic (in sense of application independent) natural language (NL) modules that are based on ontologies for command interpretation. We focus on the presentation of the event generator and dialogue manager modules which rely on a bottom-up approach for matching the user s command with the set of currently possible actions. MOTS-CLÉS : Interaction Humain-Agent, Commande en langue naturelle, Systèmes de dialogues, Agent assistant, Ontologies. KEYWORDS: Human-Agent interaction, Natural Language command, Dialogue Systems, Assistant agents, Ontologies.

2 1. Introduction Les travaux récents sur les Agents Conversationnels Animés (ACA) [CAS 00] et, de manière plus générale, sur les systèmes de dialogue [ALL 01] montrent que l interaction en langue naturelle est une étape cruciale vers une interaction humainagent plus intuitive. Cependant, les approches actuelles pour la description des interactions d un ACA s appuient essentiellement sur des méthodes de pattern-matching syntaxique [BIC 04]. La communauté des systèmes de dialogues [DZI 03, MIL 03] propose d utiliser des ontologies pour introduire la généricité dans ces systèmes. L objectif est de concevoir des algorithmes génériques dépendant uniquement du langage formel choisi pour modéliser l ontologie. Dans ce sens, les applications dépendent uniquement de leur ontologie et du résolveur spécifique au problème (e.g. [DZI 03, PAR 04]). Cependant, la plupart de ces systèmes utilisent un langage de description d ontologies ad-hoc, dépendant fortement du type d application. Par conséquent, ces ontologies décrivent de manière redondante le modèle de l application et la description des actions du système. Nous pensons au contraire qu il devrait être possible d extraire ces connaissances directement à partir du code du résolveur de problème. L ontologie fournit alors seulement les informations sémantiques complémentaires sur les relations entre les concepts de l application (ce qui est d ailleurs son rôle initial). D autre part, les systèmes qui utilisent une représentation générique des ontologies (e.g. [MIL 03]) reposent sur des modules de Traitement Automatique des Langues (TAL) dépendant de l application. L ontologie est utilisée pour lever des ambiguïtés mais l essentiel du système est complètement spécifique à l application. Cet article présente un système générique de TAL basé sur une ontologie de domaine et un langage agent permettant l introspection pour l interprétation des commandes de l utilisateur. Notre système extrait l ensemble des entrées possibles à partir du code de l agent et les évaluent en fonction de la commande utilisateur, en utilisant l ontologie comme lien sémantique. Nous utilisons un gestionnaire de dialogue basé sur un calcul de scores (du type [MAE 94]) pour faire des propositions à l utilisateur dans le cas de commandes partiellement ou mal comprises. Notre article est organisé de la façon suivante. Dans la deuxième section, nous donnons un aperçu de notre modèle de programmation agent. La troisième section présente notre système de TAL. Nous présenterons d abord notre parseur, puis notre algorithme pour l interprétation de commandes, puis notre gestionnaire de dialogue. 2. Présentation du modèle Nos agents sont programmés dans le langage VDL (View Design Language) 1. Le modèle VDL est basé sur la réécriture d arbre XML : la description de l agent est un arbre XML dont les noeuds représentent soit des données soit des actions. L agent réécrit son arbre à chaque pas d exécution en suivant certains noeuds dont la balise 1.

3 correspond à un mot-clef spécifique. Ce modèle permet aux agents d accéder pendant leur l exécution à la description de leurs actions afin de raisonner (par exemple pour planifier, analyser leur comportement, répondre à des questions sur leur fonctionnement, etc[sab 01]). Cette capacité d introspection est utilisée dans notre système de TAL non seulement pour construire l ensemble des commandes formelles possibles, mais aussi pour faire un retour à l utilisateur sur les commandes impossible. Enfin, la structure XML du langage est utilisée pour la génération de réponse en langue naturelle basé sur [BAT 97]. De plus, dans le modèle VDL, chaque agent possède une ontologie de domaine en OWL 2 qui doit contenir tous les concepts utilisés par l agent (i.e. les concepts VDL), soit comme balise XML, soit comme attributs (clé ou valeur), soit comme contenue CDATA. Nous noterons C V DL l ensemble des concepts VDL et C OW L l ensemble des concepts, instances ou noms de propriétés OWL. Nous définissons alors une fonction injective map V DL définie dec V DL à C OW L associant un concept VDL à un concept de l ontologie. Pour l interprétation des commandes, notre système se focalise sur la description des actions de l agent. En VDL, comme dans la plupart des modèles, les actions sont définies par un tuple < N, P, E > avec N comme nom d action, P comme ensemble de préconditions et E l ensemble des effets. De plus, les interactions avec l utilisateur ou les autres agents sont effectuées par des évènements externes. Les évènements externes (notés par la suite seulement évènements) sont la représentation formelle des commandes et sont envoyés à l agent en cours d exécution. Soit R l ensemble des actions de l agent. Pour une action donnée r R, nous pouvons définir quatre type de préconditions en VDL : 1) P e (r) est l ensemble des préconditions d évènement. Elles filtrent les commandes pouvant passer dans l action par subsumption des évènements reçus. 2) P s (r) est l ensemble des préconditions de structure. Elles sont utilisées pour vérifier la syntaxe de l évènement et ainsi garantir que l action pourra l exploiter. Les préconditions P s ne dépendent donc pas de l état interne de l agent, mais seulement de l évènement reçu. 3) P c (r) est l ensemble des préconditions de contexte, i.e. les préconditions dépendant uniquement de l état courant de l agent. 4) P cs (r) est l ensemble des préconditions contextuelles structurelles, i.e. les préconditions dépendant des évènements (sélectionnées par P e ) et de l état courant de l agent. Nous notons P e = r R P e (r). Pour tout e P e, nous notons R e (e) = {r R e P e (r)} l ensemble des actions associé à l élément e. 2.

4 Figure 1. Architecture générale 3. Interprétation des commandes en langue naturelle Cette section présente les algorithmes utilisés pour la construction d évènements VDL à partir de la commande de l utilisateur. Ces algorithmes sont basés sur l ontologie OWL de l agent et la description des actions de l agent en VDL Chaîne de TAL et architecture globale Dans notre projet, le module lexical est basé sur les modules étiqueteur et chunker 3 de OpenNLP 4, avec un lémmatiseur développé au LIP6 (voir figure 1). Comme montré par Milward [MIL 00] et évalué dans [SAB 05], l utilisation d un analyseur syntaxique (par opposition avec un simple chunker) n est pas efficace pour les commandes en langue naturelle. En effet, les utilisateurs emploient plus souvent des mots clefs que des phrases bien structurées (e.g. drop object low ou "take blue ). Nous utilisons donc actuellement une représentation du type sac de mots (après avoir enlever les mots blancs repérés par leur étiquette). Cette représentation pose un problème important de perte d informations dans le cas général (voir par exemple les travaux de Milward [MIL 00]), mais, conséquence du domaine des agents que nous avons considérés dans nos évaluations, cela n entraîne pas de pertes de performances et supprime les problèmes soulevés dans [SAB 05]. Le coeur de notre approche est l analyse sémantique des commandes. Notre objectif à long terme est d utiliser l ensemble des relations décrites dans les ontologies pour l appariement de concepts entre la commande et les connaissances de l agent. Dans la version actuelle, nous faisons simplement appel à la relation de synonymie owl :sameas de OWL. Notre analyse sémantique repose sur l hypothèse de connectivité sémantique [SAD 97] enrichie par la relation de synonymie : tout les concepts ap- 3. Le chunker permet de découper la phrase en groupes nominaux et groupes verbaux, afin de supprimer une partie des ambiguïtés de l étiqueteur. 4.

5 paraissant dans une commande pertinente sont soit directement associés à un concept de l agent défini dans l ontologie, soit associés à un concept de l ontologie en relation sameas avec un concept de l agent. Plus formellement, si S est le sac de mots issu de l analyse lexicale et syntaxique de la commande, nous pouvons définir l ensemble C des concepts reconnus : C = {v C V DL s S. map V DL (v) = s ou map V DL (v) owl :sameas s} 3.2. Génération d évènements Notre approche s inspire de l approche ascendante adoptée entre autres par Allen [ALL 96]. Cette approche utilise classiquement une liste de compétence prédéfinie et essaye alors d apparier la commande en langue naturelle avec une des commandes formelles disponibles (e.g. [PAR 04, DZI 03]). L inconvénient majeur de cette approche est que ces listes de compétence doivent décrire tous les cas de dialogue possible, y compris les dialogues concernant des actions impossibles. Pour éviter ce problème, nous proposons d adopter une approche ascendante constructive basée sur l analyse des préconditions des actions de l agent. Le problème de la génération des commandes formelles (évènements) à partir des préconditions a été largement étudié pour la validation de logiciel (e.g. [BOT 02]) et la génération de cas de test. De manière similaire, notre approche utilise les informations contextuelles pour construire l ensemble des évènements exploitable par l agent à l instant présent. Notre système construit ainsi la liste des évènements possibles (du point de vue de l agent), sans se préoccuper de l appariement avec la commande utilisateur. De la même manière, en relâchant les contraintes sur les préconditions liées au contexte (P c et P cs ), nous construisons la liste des évènements actuellement impossible, c.-à.-d les évènements qui seraient acceptés par l agent dans un autre état que l état courant. Nous évitons ainsi l utilisation de listes de compétences puisque les évènements possibles et impossibles sont obtenus directement à partir de la description des actions de l agent en VDL. Nous utilisons tout d abord les préconditions d évènement (P e ) pour fournir le squelette initial de l évènement. Comme P e filtre les évènements externes en utilisant la subsumption, tous les évènements construits par addition de sous-éléments à un squelette e P e seront acceptés. Réciproquement, tous les évènements acceptables doivent être construits à partir d un squelette. Nous noterons Υ l ensemble (infini) de tous les noeuds VDL possibles. Pour construire l ensemble des évènements possibles, nous devons retirer de P e les squelettes d évènements lié à des actions ne pouvant pas être exécutés dans l état courant : P e+c = e P e p r R e(e) P c (r), eval(p, e) =

6 avec eval : Υ 2 {, } la fonction d évaluation d une précondition : p P(r), eval(p, e) = ssi la précondition p est valide en tenant compte de l évènement e et du contexte courant de l agent. P e+c est l ensemble des squelettes d évènements pouvant être accepté par l agent en tenant compte des contraintes liées au contexte (P c ). On peut remarquer que P e+c P e. Nous utilisons ensuite les préconditions de structure et les préconditions structurelles contextuelles (P s et P cs ) comme un ensemble de contraintes sur les évènements afin de faire évoluer les squelettes vers des évènements résultats. Pour tout e P e, nous notons refine(e, r) Υ l évènement obtenu à partir du squelette e et de l ensemble des préconditions P s (r) P cs (r) de l action r R e (e) en utilisant notre algorithme de génération de cas de test évoqué ci-avant. L algorithme complet pour refine est trop long pour être présenté ici. Il dépend fortement de la sémantique opérationnelle du langage VDL et est basé sur une interprétation récursive des termes VDL suivant des règles spécifiques en fonction des mots clefs du langage rencontrés. Nous pouvons maintenant construire les ensembles E et F d évènements syntaxiquement corrects : E = F = {refine(e, r), e P e+c, r R e (e) p P s (r) P cs (r), eval(p) = } {refine(e, r), e P e, r R e (e) p P s (r), eval(p) = } E est l ensemble des évènements possible : tous les évènements de E sont acceptés par l agent et tous les évènements acceptables sont dans E. Inversement, F est l ensemble des évènements actuellement impossible, i.e. les évènements qui ne sont pas acceptable par l agent dans son état courant mais qui seraient acceptés dans un autre état. A partir de ces deux ensembles, le système de TAL doit sélectionner l évènement le plus proche de la commande utilisateur. Notre proposition consiste à calculer un degré de pertinence pour chaque évènement et de déterminer les sous-ensembles d évènements de E et F ayant la pertinence maximale. Pour tout noeud n Υ et pour tout concept c C, nous notons contains(n, c) le prédicat permettant de déterminer si c apparaît quelque part dans le noeud n : contains(n, c) = x sub(n) c {tag(x), attributes(x), content(x)} avec sub(n) l ensemble de tous les sous-éléments directs ou indirects de n Υ. Nous appelons pertinence d un évènement e E F la valeur : p(e) = card({c C contains(e, c)}) card(c) Nous construisons alors les sous-ensembles de pertinence maximale E et F : X {E, F }, X = {e X p(e) = max({p(x), x X})}. Nous obtenons ainsi

7 l ensemble E des évènements possibles et l ensemble F des évènements actuellement impossible à partir de E et F : { if max({p(x), x X}) = 0 X = X otherwise pour X {E, F} et X {E, F }. Notons que, par construction, tous les évènements de E (resp. F) ont la même probabilité : e E, p(e) = p E and e F, p(e) = p F. De plus, e F, nous notons np(e) l ensemble des préconditions invalides qui rendent cet évènement e impossible : np(e) = {p P c (e) P s (e) P cs (e) eval(p) = } 3.3. Le gestionnaire de dialogue Notre gestionnaire de dialogue (GD) est basé sur un système de scores comme dans [MAE 94]. Nous utilisons deux seuils définis dans l intervalle [0, 1] correspondant aux tell me et do it de Patty Maes [MAE 94]. p min (tell me) est la valeur minimal pour qu un évènement puisse être considéré comme une commande comprise mais imprécise et p max (do it) est la limite par delà laquelle l évènement est considéré comme étant une représentation fidèle à la commande 5. La réponse donnée par le gestionnaire dépend de la position de p E et p F par rapport à p min et p max. Les exemples donnés sont ceux d une communication avec un robot virtuel pouvant prendre des objets de différentes formes, tailles et couleurs et pouvant les poser sur une grille 3 3 : 1) Si p E p max, la commande est considérée comme correctement comprise par le système. Le GD envoie soit l évènement à l agent (si E = 1), soit informe l utilisateur d une ambiguïté (si E > 1). Par exemple : U : Take something red S : I can either take object square red, take object triangle red. 2) Si p min < p E < p max et p E < p F, l évènement le mieux compris est impossible (p F > p E ) mais quelque chose de proche a été compris et est possible (p E > p min ). Le GD demande à l utilisateur de reformuler. Il affiche l ensemble des préconditions fausses des évènements impossible ( e Fmax np(e)) et la liste des évènements possibles E. U : Put it on the upper left cell (alors que la case en haut à gauche est déjà occupée) S : I can t because : the content of upper left cell is not empty. Therefore, i can either : - drop object in the upper middle, in the upper right, in the center left or in the lower left 5. Patty Maes propose empiriquement d utiliser les valeurs p min = 0.3 et p max = 0.8.

8 3) Si p min < p E < p max et p F < p E, les évènements impossibles peuvent être ignorés, mais le système n est pas sur d avoir compris la commande (p E < p max ). Il demande à l utilisateur de confirmer sa commande en lui affichant les évènements possibles. U : Take the blue or red triangle form (alors qu il n y a pas de triangle bleu) S : Do you mean take object triangle red? 4) Si p E p min et p max p F, le système comprend correctement une commande impossible. Il préviens l utilisateur que sa commande est impossible en lui donnant la liste de préconditions fausse np(e), e F max. U : Take the blue red figure (alors que la main tient déjà une forme) S : I can t because : the content of hand is not empty. 5) Si p E p min et p min < p F < p max, le système pense avoir compris une commande mais qui ne peut pas être exécutée. Le GD demande confirmation à l utilisateur. 6) Si p E p min et p F p min, le système n a pas compris la commande de l utilisateur et le prévient. Notre gestionnaire de dialogue produit donc différentes réponses en fonction des différentes situations du contexte, des commandes comprises ou ambiguës, des événements possibles ou impossibles Conclusion & perspectives Nous avons présenté une architecture de TAL générale pour l interprétation de commandes basée sur l idée que les algorithmes génériques peuvent être paramétrés par le code de l agent et une ontologie de domaine. Notre système repose sur une approche ascendante constructive à partir des préconditions des actions. Même si nous utilisons le langage VDL pour programmer les agents, l approche en est indépendante et peux être facilement adaptée à d autres modèles capable d introspection. Nous avons réalisé une évaluation préliminaire de notre système qui montre que le feedback fourni par le gestionnaire de dialogue permet à l utilisateur de s aligner sur l ontologie de l agent. Notre système explique à l utilisateur pourquoi une commande donnée ne peux pas être acceptée et peux montrer ce qu il attend. Les utilisateurs ont ainsi la sensation que le système est plus intelligent avec notre approche constructive avec gestionnaire qu avec les approches classiques. L évaluation montre que les limites du système résident dans l analyse sémantique minimale faite avec l ontologie (utilisation de synonymes uniquement). Pour palier ce problème, nous proposons d utiliser des mesures de distances sémantique (comme celle résumée par [BUD 06] par exemple) pour associer les concepts de la commande humaine avec les concepts de l agent liés à ceux de l ontologie. Cette méthode doit à terme permettre au système d interpréter des commandes non prévues par le programmeur de l agent.

9 5. Bibliographie [ALL 96] ALLEN J., MILLER B. W., RINGGER E. K., SIKORSKI T., «A Robust System for Natural Spoken Dialogue.», ACL, 1996, p [ALL 01] ALLEN J., BYRON D., DZIKOVSKA M., FERGUSSON G., GALESCU L., STENT A., «Towards Conversational Human-Computer Interaction», AI Magazine,, [BAT 97] BATEMAN J. A., «Enabling technology for multilingual natural language generation : the KPML development environment», Nat. Lang. Eng., vol. 3, n o 1, 1997, p , Cambridge University Press. [BIC 04] BICKMORE T. W., «Unspoken rules of spoken interaction», vol. 47, n o 4, 2004, p , ACM Press. Commun. ACM, [BOT 02] BOTELLA B., TAILLIBERT P., GOTLIEB A., «Test de logiciel», vol. 21, chapitre Utilisation des contraintes pour la génération automatique de cas de test structurels, p , RSTI-TSI, [BUD 06] BUDANITSKY A., HIRST G., «Evaluating WordNet-based measures of semantic distance», Computational Linguistics, vol. 32, n o 1, 2006, p [CAS 00] CASSEL J., SULLIVAN J., PREVOST S., CHURCHILL E., Embodied Conversational Agents, MIT Press, [DZI 03] DZIKOVSKA M. O., ALLEN J. F., SWIFT M. D., «Integrating linguistic and domain knowledge for spoken dialogue systems in multiple domains», Proc. of IJCAI-03 Workshop on Knowledge and Reasoning in Practical Dialogue Systems, August [MAE 94] MAES P., «Agents that reduce workload and information overload», Communications of the ACM, vol. 37, n o 7, 1994, p [MIL 00] MILWARD D., «Distributing Representation for Robust Interpretation of Dialogue Utterances.», ACL, 2000, p [MIL 03] MILWARD D., BEVERIDGE M., «Ontology-based dialogue systems», Proc. 3rd Workshop on Knowledge and reasoning in practical dialogue systems (IJCAI03), Acapulco, Mexico, August 2003, p [PAR 04] PARAISO E. C., BARTHÈS J.-P. A., TACLA C. A., «A Speech Architecture for Personal Assistants in a Knowledge Management Context.», ECAI, 2004, p [SAB 01] SABOURET N., SANSONNET J., «Automated Answers to Questions about a Running Process», Proc. CommonSense 2001, 2001, p [SAB 05] SABOURET N., MAZUEL L., «Commande en langage naturel d agents VDL», Proc. 1st Workshop sur les Agents Conversationnels Animés (WACA), 2005, p [SAD 97] SADEK D., BRETIER P., PANAGET E., «ARTIMIS : Natural Dialogue Meets Rational Agency.», IJCAI (2), 1997, p

Vers une approche générique pour l interprétation de commandes en langage naturel

Vers une approche générique pour l interprétation de commandes en langage naturel Vers une approche générique pour l interprétation de commandes en langage naturel Laurent Mazuel, Nicolas Sabouret Laboratoire d Informatique de Paris 6 (LIP6) 104 av du Président Kennedy 75016 Paris FRANCE

Plus en détail

Une méthode d apprentissage pour la composition de services web

Une méthode d apprentissage pour la composition de services web Une méthode d apprentissage pour la composition de services web Soufiene Lajmi * Chirine Ghedira ** Khaled Ghedira * * Laboratoire SOIE (ENSI) University of Manouba, Manouba 2010, Tunisia Soufiene.lajmi@ensi.rnu.tn,

Plus en détail

Principe de symétrisation pour la construction d un test adaptatif

Principe de symétrisation pour la construction d un test adaptatif Principe de symétrisation pour la construction d un test adaptatif Cécile Durot 1 & Yves Rozenholc 2 1 UFR SEGMI, Université Paris Ouest Nanterre La Défense, France, cecile.durot@gmail.com 2 Université

Plus en détail

Structuration des décisions de jurisprudence basée sur une ontologie juridique en langue arabe

Structuration des décisions de jurisprudence basée sur une ontologie juridique en langue arabe Structuration des décisions de jurisprudence basée sur une ontologie juridique en langue arabe Karima Dhouib, Sylvie Després Faiez Gargouri ISET - Sfax Tunisie, BP : 88A Elbustan ; Sfax karima.dhouib@isets.rnu.tn,

Plus en détail

Formula Negator, Outil de négation de formule.

Formula Negator, Outil de négation de formule. Formula Negator, Outil de négation de formule. Aymerick Savary 1,2, Mathieu Lassale 1,2, Jean-Louis Lanet 1 et Marc Frappier 2 1 Université de Limoges 2 Université de Sherbrooke Résumé. Cet article présente

Plus en détail

An Ontology-Based Approach for Closed-Loop Product Lifecycle Management

An Ontology-Based Approach for Closed-Loop Product Lifecycle Management An Ontology-Based Approach for Closed-Loop Product Lifecycle Management THÈSE N O 4823 (2010) PRÉSENTÉE LE 15 OCTOBRE 2010 À LA FACULTÉ SCIENCES ET TECHNIQUES DE L'INGÉNIEUR LABORATOIRE DES OUTILS INFORMATIQUES

Plus en détail

Reconstruction de bâtiments en 3D à partir de nuages de points LIDAR

Reconstruction de bâtiments en 3D à partir de nuages de points LIDAR Reconstruction de bâtiments en 3D à partir de nuages de points LIDAR Mickaël Bergem 25 juin 2014 Maillages et applications 1 Table des matières Introduction 3 1 La modélisation numérique de milieux urbains

Plus en détail

Construction et maintenance d une ressource lexicale basées sur l usage

Construction et maintenance d une ressource lexicale basées sur l usage Construction et maintenance d une ressource lexicale basées sur l usage Laurie Planes 1, (1) Inbenta France, 164 route de Revel, 31400 TOULOUSE lplanes@inbenta.com Résumé. Notre société développe un moteur

Plus en détail

Techniques d analyse et de conception d outils pour la gestion du processus de segmentation des abonnés des entreprises de télécommunication

Techniques d analyse et de conception d outils pour la gestion du processus de segmentation des abonnés des entreprises de télécommunication Techniques d analyse et de conception d outils pour la gestion du processus de segmentation des abonnés des entreprises de télécommunication R. Carlos Nana Mbinkeu 1,3, C. Tangha 1, A. Chomnoue 1, A. Kuete

Plus en détail

Utilisation des tableaux sémantiques dans les logiques de description

Utilisation des tableaux sémantiques dans les logiques de description Utilisation des tableaux sémantiques dans les logiques de description IFT6281 Web Sémantique Jacques Bergeron Département d informatique et de recherche opérationnelle Université de Montréal bergerja@iro.umontreal.ca

Plus en détail

Préparer un état de l art

Préparer un état de l art Préparer un état de l art Khalil DRIRA LAAS-CNRS, Toulouse Unité de recherche ReDCAD École Nationale d ingénieurs de Sfax Étude de l état de l art? Une étude ciblée, approfondie et critique des travaux

Plus en détail

Dafoe Présentation de la plate-forme UIMA

Dafoe Présentation de la plate-forme UIMA Laboratoire d Informatique de l université Paris-Nord (UMR CNRS 7030) Institut Galilée - Université Paris-Nord 99, avenue Jean-Baptiste Clément 93430 Villetaneuse, France 11 juillet 2007 Plates-formes

Plus en détail

LIVRE BLANC Décembre 2014

LIVRE BLANC Décembre 2014 PARSING MATCHING EQUALITY SEARCH LIVRE BLANC Décembre 2014 Introduction L analyse des tendances du marché de l emploi correspond à l évidence à une nécessité, surtout en période de tension comme depuis

Plus en détail

Classification Automatique de messages : une approche hybride

Classification Automatique de messages : une approche hybride RECIAL 2002, Nancy, 24-27 juin 2002 Classification Automatique de messages : une approche hybride O. Nouali (1) Laboratoire des Logiciels de base, CE.R.I.S., Rue des 3 frères Aïssiou, Ben Aknoun, Alger,

Plus en détail

Editing and managing Systems engineering processes at Snecma

Editing and managing Systems engineering processes at Snecma Editing and managing Systems engineering processes at Snecma Atego workshop 2014-04-03 Ce document et les informations qu il contient sont la propriété de Ils ne doivent pas être copiés ni communiqués

Plus en détail

REMOTE DATA ACQUISITION OF EMBEDDED SYSTEMS USING INTERNET TECHNOLOGIES: A ROLE-BASED GENERIC SYSTEM SPECIFICATION

REMOTE DATA ACQUISITION OF EMBEDDED SYSTEMS USING INTERNET TECHNOLOGIES: A ROLE-BASED GENERIC SYSTEM SPECIFICATION REMOTE DATA ACQUISITION OF EMBEDDED SYSTEMS USING INTERNET TECHNOLOGIES: A ROLE-BASED GENERIC SYSTEM SPECIFICATION THÈSE N O 2388 (2001) PRÉSENTÉE AU DÉPARTEMENT D'INFORMATIQUE ÉCOLE POLYTECHNIQUE FÉDÉRALE

Plus en détail

Big Data et Graphes : Quelques pistes de recherche

Big Data et Graphes : Quelques pistes de recherche Big Data et Graphes : Quelques pistes de recherche Hamamache Kheddouci Laboratoire d'informatique en Image et Systèmes d'information LIRIS UMR 5205 CNRS/INSA de Lyon/Université Claude Bernard Lyon 1/Université

Plus en détail

Hervé Couturier EVP, SAP Technology Development

Hervé Couturier EVP, SAP Technology Development Hervé Couturier EVP, SAP Technology Development Hervé Biausser Directeur de l Ecole Centrale Paris Bernard Liautaud Fondateur de Business Objects Questions à: Hervé Couturier Hervé Biausser Bernard Liautaud

Plus en détail

Plan du cours : Zippers. Des fonctions sur les listes avec position. Des fonctions sur les listes avec position

Plan du cours : Zippers. Des fonctions sur les listes avec position. Des fonctions sur les listes avec position Plan du cours : Le problème : naviguer efficacement une structure de données Ce qui ne marche pas Ce qui marche : les de Huet Exemples Comment dériver des pour tout type de données Pour en savoir plus

Plus en détail

Evolution et architecture des systèmes d'information, de l'internet. Impact sur les IDS. IDS2014, Nailloux 26-28/05/2014 pascal.dayre@enseeiht.

Evolution et architecture des systèmes d'information, de l'internet. Impact sur les IDS. IDS2014, Nailloux 26-28/05/2014 pascal.dayre@enseeiht. Evolution et architecture des systèmes d'information, de l'internet. Impact sur les IDS IDS2014, Nailloux 26-28/05/2014 pascal.dayre@enseeiht.fr 1 MVC et le web 27/05/14 2 L'évolution des systèmes informatiques

Plus en détail

Vers une approche Adaptative pour la Découverte et la Composition Dynamique des Services

Vers une approche Adaptative pour la Découverte et la Composition Dynamique des Services 69 Vers une approche Adaptative pour la Découverte et la Composition Dynamique des Services M. Bakhouya, J. Gaber et A. Koukam Laboratoire Systèmes et Transports SeT Université de Technologie de Belfort-Montbéliard

Plus en détail

Grandes lignes ASTRÉE. Logiciels critiques. Outils de certification classiques. Inspection manuelle. Definition. Test

Grandes lignes ASTRÉE. Logiciels critiques. Outils de certification classiques. Inspection manuelle. Definition. Test Grandes lignes Analyseur Statique de logiciels Temps RÉel Embarqués École Polytechnique École Normale Supérieure Mercredi 18 juillet 2005 1 Présentation d 2 Cadre théorique de l interprétation abstraite

Plus en détail

Plan 1/9/2013. Génération et exploitation de données. CEP et applications. Flux de données et notifications. Traitement des flux Implémentation

Plan 1/9/2013. Génération et exploitation de données. CEP et applications. Flux de données et notifications. Traitement des flux Implémentation Complex Event Processing Traitement de flux de données en temps réel Romain Colle R&D Project Manager Quartet FS Plan Génération et exploitation de données CEP et applications Flux de données et notifications

Plus en détail

XML, PMML, SOAP. Rapport. EPITA SCIA Promo 2004 16 janvier 2003. Julien Lemoine Alexandre Thibault Nicolas Wiest-Million

XML, PMML, SOAP. Rapport. EPITA SCIA Promo 2004 16 janvier 2003. Julien Lemoine Alexandre Thibault Nicolas Wiest-Million XML, PMML, SOAP Rapport EPITA SCIA Promo 2004 16 janvier 2003 Julien Lemoine Alexandre Thibault Nicolas Wiest-Million i TABLE DES MATIÈRES Table des matières 1 XML 1 1.1 Présentation de XML.................................

Plus en détail

Forthcoming Database

Forthcoming Database DISS.ETH NO. 15802 Forthcoming Database A Framework Approach for Data Visualization Applications A dissertation submitted to the SWISS FEDERAL INSTITUTE OF TECHNOLOGY ZURICH for the degree of Doctor of

Plus en détail

intelligence artificielle et cognitique"

intelligence artificielle et cognitique Dialogue on Education, 11h-11h10 Course overview on "Automatisation avancée, intelligence artificielle et cognitique" Prof. Dr. Jean-Daniel Dessimoz, MBA, HES-SO / HEIG-VD 11:00-11:10, 18 November 2014

Plus en détail

RÉSUMÉ DE THÈSE. L implantation des systèmes d'information (SI) organisationnels demeure une tâche difficile

RÉSUMÉ DE THÈSE. L implantation des systèmes d'information (SI) organisationnels demeure une tâche difficile RÉSUMÉ DE THÈSE L implantation des systèmes d'information (SI) organisationnels demeure une tâche difficile avec des estimations de deux projets sur trois peinent à donner un résultat satisfaisant (Nelson,

Plus en détail

Expériences de formalisation d un guide d annotation : vers l annotation agile assistée

Expériences de formalisation d un guide d annotation : vers l annotation agile assistée Expériences de formalisation d un guide d annotation : vers l annotation agile assistée Bruno Guillaume 1,2 Karën Fort 1,3 (1) LORIA 54500 Vandœuvre-lès-Nancy (2) Inria Nancy Grand-Est (3) Université de

Plus en détail

BIG Data et R: opportunités et perspectives

BIG Data et R: opportunités et perspectives BIG Data et R: opportunités et perspectives Guati Rizlane 1 & Hicham Hajji 2 1 Ecole Nationale de Commerce et de Gestion de Casablanca, Maroc, rguati@gmail.com 2 Ecole des Sciences Géomatiques, IAV Rabat,

Plus en détail

Proposition de sujet de thèse CIFRE EUROCOPTER / LGI2P

Proposition de sujet de thèse CIFRE EUROCOPTER / LGI2P EUROCOPTER SAS Groupe EADS Marignane Ecole des Mines d Alès Laboratoire de Génie Informatique et d Ingénierie de Production LGI2P Nîmes Proposition de sujet de thèse CIFRE EUROCOPTER / LGI2P Titre Domaine

Plus en détail

LES OUTILS D ALIMENTATION DU REFERENTIEL DE DB-MAIN

LES OUTILS D ALIMENTATION DU REFERENTIEL DE DB-MAIN LES OUTILS D ALIMENTATION DU REFERENTIEL DE DB-MAIN Les contenues de ce document sont la propriété exclusive de la société REVER. Ils ne sont transmis qu à titre d information et ne peuvent en aucun cas

Plus en détail

Laboratoire 4 Développement d un système intelligent

Laboratoire 4 Développement d un système intelligent DÉPARTEMENT DE GÉNIE LOGICIEL ET DES TI LOG770 - SYSTÈMES INTELLIGENTS ÉTÉ 2012 Laboratoire 4 Développement d un système intelligent 1 Introduction Ce quatrième et dernier laboratoire porte sur le développement

Plus en détail

SparkInData. Place de Marché des applications Spatiales 09-04-2015

SparkInData. Place de Marché des applications Spatiales 09-04-2015 SparkInData Place de Marché des applications Spatiales 09-04-2015 SparkInData / Concept Place de marché Plateforme fédérative Haute valeur ajoutée Acteurs reconnus Consortium homogène Architecture Big

Plus en détail

Une proposition d extension de GML pour un modèle générique d intégration de données spatio-temporelles hétérogènes

Une proposition d extension de GML pour un modèle générique d intégration de données spatio-temporelles hétérogènes 303 Schedae, 2007 Prépublication n 46 Fascicule n 2 Une proposition d extension de GML pour un modèle générique d intégration de données spatio-temporelles hétérogènes Samya Sagar, Mohamed Ben Ahmed Laboratoire

Plus en détail

Expression des contraintes. OCL : Object C o n t r a i n t L a n g u a g e

Expression des contraintes. OCL : Object C o n t r a i n t L a n g u a g e P r o b l é m a t i q u e OCL : O b j e c t C o n s t r a i n t L a n g u a g e Le langage de contraintes d UML Les différents diagrammes d UML permettent d exprimer certaines contraintes graphiquement

Plus en détail

Cours Base de données relationnelles. M. Boughanem, IUP STRI

Cours Base de données relationnelles. M. Boughanem, IUP STRI Cours Base de données relationnelles 1 Plan 1. Notions de base 2. Modèle relationnel 3. SQL 2 Notions de base (1) Définition intuitive : une base de données est un ensemble d informations, (fichiers),

Plus en détail

Once the installation is complete, you can delete the temporary Zip files..

Once the installation is complete, you can delete the temporary Zip files.. Sommaire Installation... 2 After the download... 2 From a CD... 2 Access codes... 2 DirectX Compatibility... 2 Using the program... 2 Structure... 4 Lier une structure à une autre... 4 Personnaliser une

Plus en détail

26th of March 2014, Paris

26th of March 2014, Paris P : 1 Continuité Numérique : un enjeu d efficacité pour l industrie supporté par les standards Standard STEP AP 242 ISO 10303 : modèles CAO 3D avec tolérancement gérés en configuration Résumé du white

Plus en détail

RAPID 3.34 - Prenez le contrôle sur vos données

RAPID 3.34 - Prenez le contrôle sur vos données RAPID 3.34 - Prenez le contrôle sur vos données Parmi les fonctions les plus demandées par nos utilisateurs, la navigation au clavier et la possibilité de disposer de champs supplémentaires arrivent aux

Plus en détail

Manuel d utilisation 26 juin 2011. 1 Tâche à effectuer : écrire un algorithme 2

Manuel d utilisation 26 juin 2011. 1 Tâche à effectuer : écrire un algorithme 2 éducalgo Manuel d utilisation 26 juin 2011 Table des matières 1 Tâche à effectuer : écrire un algorithme 2 2 Comment écrire un algorithme? 3 2.1 Avec quoi écrit-on? Avec les boutons d écriture........

Plus en détail

Big Data et Graphes : Quelques pistes de recherche

Big Data et Graphes : Quelques pistes de recherche Big Data et Graphes : Quelques pistes de recherche Hamamache Kheddouci http://liris.cnrs.fr/hamamache.kheddouci Laboratoire d'informatique en Image et Systèmes d'information LIRIS UMR 5205 CNRS/INSA de

Plus en détail

Chap 4: Analyse syntaxique. Prof. M.D. RAHMANI Compilation SMI- S5 2013/14 1

Chap 4: Analyse syntaxique. Prof. M.D. RAHMANI Compilation SMI- S5 2013/14 1 Chap 4: Analyse syntaxique 1 III- L'analyse syntaxique: 1- Le rôle d'un analyseur syntaxique 2- Grammaires non contextuelles 3- Ecriture d'une grammaire 4- Les méthodes d'analyse 5- L'analyse LL(1) 6-

Plus en détail

Université de XY University of XY. Faculté XY Faculty of XY

Université de XY University of XY. Faculté XY Faculty of XY Université de XY University of XY Faculté XY Faculty of XY Le présent supplément au diplôme suit le modèle élaboré par la Commission européenne, le Conseil d'europe et l'unesco/cepes. Le supplément vise

Plus en détail

Problématiques de recherche. Figure Research Agenda for service-oriented computing

Problématiques de recherche. Figure Research Agenda for service-oriented computing Problématiques de recherche 90 Figure Research Agenda for service-oriented computing Conférences dans le domaine ICWS (International Conference on Web Services) Web services specifications and enhancements

Plus en détail

Supervision et infrastructure - Accès aux applications JAVA. Document FAQ. Page: 1 / 9 Dernière mise à jour: 15/04/12 16:14

Supervision et infrastructure - Accès aux applications JAVA. Document FAQ. Page: 1 / 9 Dernière mise à jour: 15/04/12 16:14 Document FAQ Supervision et infrastructure - Accès aux EXP Page: 1 / 9 Table des matières Introduction... 3 Démarrage de la console JMX...4 I.Généralités... 4 II.WebLogic... 5 III.WebSphere... 6 IV.JBoss...

Plus en détail

Stratégie IT : au cœur des enjeux de l entreprise

Stratégie IT : au cœur des enjeux de l entreprise Stratégie IT : au cœur des enjeux de l entreprise Business Continuity Convention Tunis 27 Novembre 2012 Sommaire Sections 1 Ernst & Young : Qui sommes-nous? 2 Stratégie IT : au cœur des enjeux de l entreprise

Plus en détail

Filtrage stochastique non linéaire par la théorie de représentation des martingales

Filtrage stochastique non linéaire par la théorie de représentation des martingales Filtrage stochastique non linéaire par la théorie de représentation des martingales Adriana Climescu-Haulica Laboratoire de Modélisation et Calcul Institut d Informatique et Mathématiques Appliquées de

Plus en détail

Comment créer un diagramme de Gantt avec OpenOffice.org

Comment créer un diagramme de Gantt avec OpenOffice.org Comment créer un diagramme de Gantt avec OpenOffice.org Version 1.9 du 05.05.2005 Réalisé avec : OOo 2.0 Plate-forme / Os : Toutes Distribué par le projet Sommaire 1 Une rapide introduction : Diagramme

Plus en détail

Cours 1 : La compilation

Cours 1 : La compilation /38 Interprétation des programmes Cours 1 : La compilation Yann Régis-Gianas yrg@pps.univ-paris-diderot.fr PPS - Université Denis Diderot Paris 7 2/38 Qu est-ce que la compilation? Vous avez tous déjà

Plus en détail

Cours de Master Recherche

Cours de Master Recherche Cours de Master Recherche Spécialité CODE : Résolution de problèmes combinatoires Christine Solnon LIRIS, UMR 5205 CNRS / Université Lyon 1 2007 Rappel du plan du cours 16 heures de cours 1 - Introduction

Plus en détail

1-Introduction 2. 2-Installation de JBPM 3. 2-JBPM en action.7

1-Introduction 2. 2-Installation de JBPM 3. 2-JBPM en action.7 Sommaire 1-Introduction 2 1-1- BPM (Business Process Management)..2 1-2 J-Boss JBPM 2 2-Installation de JBPM 3 2-1 Architecture de JOBSS JBPM 3 2-2 Installation du moteur JBoss JBPM et le serveur d application

Plus en détail

INTRODUCTION AUX TECHNOLOGIES D INGENIERIE DES DONNEES DIRIGEE PAR LES MODELES

INTRODUCTION AUX TECHNOLOGIES D INGENIERIE DES DONNEES DIRIGEE PAR LES MODELES INTRODUCTION AUX TECHNOLOGIES D INGENIERIE DES DONNEES DIRIGEE PAR LES MODELES Les contenus de ce document sont la propriété exclusive de la société REVER. Ils ne sont transmis qu à titre d information

Plus en détail

1.The pronouns me, te, nous, and vous are object pronouns.

1.The pronouns me, te, nous, and vous are object pronouns. 1.The pronouns me, te, nous, and vous are object pronouns.! Marie t invite au théâtre?!! Oui, elle m invite au théâtre.! Elle te parle au téléphone?!! Oui, elle me parle au téléphone.! Le prof vous regarde?!!!

Plus en détail

Application Form/ Formulaire de demande

Application Form/ Formulaire de demande Application Form/ Formulaire de demande Ecosystem Approaches to Health: Summer Workshop and Field school Approches écosystémiques de la santé: Atelier intensif et stage d été Please submit your application

Plus en détail

We Generate. You Lead.

We Generate. You Lead. www.contact-2-lead.com We Generate. You Lead. PROMOTE CONTACT 2 LEAD 1, Place de la Libération, 73000 Chambéry, France. 17/F i3 Building Asiatown, IT Park, Apas, Cebu City 6000, Philippines. HOW WE CAN

Plus en détail

The new consumables catalogue from Medisoft is now updated. Please discover this full overview of all our consumables available to you.

The new consumables catalogue from Medisoft is now updated. Please discover this full overview of all our consumables available to you. General information 120426_CCD_EN_FR Dear Partner, The new consumables catalogue from Medisoft is now updated. Please discover this full overview of all our consumables available to you. To assist navigation

Plus en détail

Recherche d information en langue arabe : influence des paramètres linguistiques et de pondération de LSA

Recherche d information en langue arabe : influence des paramètres linguistiques et de pondération de LSA RÉCITAL 2005, Dourdan, 6-10 juin 2005 Recherche d information en langue arabe : influence des paramètres linguistiques et de pondération de LSA Siham Boulaknadel (1,2), Fadoua Ataa-Allah (2) (1) LINA FRE

Plus en détail

ÉTUDE DE L EFFICACITÉ DE GÉOGRILLES POUR PRÉVENIR L EFFONDREMENT LOCAL D UNE CHAUSSÉE

ÉTUDE DE L EFFICACITÉ DE GÉOGRILLES POUR PRÉVENIR L EFFONDREMENT LOCAL D UNE CHAUSSÉE ÉTUDE DE L EFFICACITÉ DE GÉOGRILLES POUR PRÉVENIR L EFFONDREMENT LOCAL D UNE CHAUSSÉE ANALYSIS OF THE EFFICIENCY OF GEOGRIDS TO PREVENT A LOCAL COLLAPSE OF A ROAD Céline BOURDEAU et Daniel BILLAUX Itasca

Plus en détail

Logiciel Libre Cours 3 Fondements: Génie Logiciel

Logiciel Libre Cours 3 Fondements: Génie Logiciel Logiciel Libre Cours 3 Fondements: Génie Logiciel Stefano Zacchiroli zack@pps.univ-paris-diderot.fr Laboratoire PPS, Université Paris Diderot 2013 2014 URL http://upsilon.cc/zack/teaching/1314/freesoftware/

Plus en détail

Vérification de programmes et de preuves Première partie. décrire des algorithmes

Vérification de programmes et de preuves Première partie. décrire des algorithmes Vérification de programmes et de preuves Première partie. décrire des algorithmes Yves Bertot September 2012 1 Motivating introduction A partir des années 1940, il a été compris que l on pouvait utiliser

Plus en détail

Évaluation et implémentation des langages

Évaluation et implémentation des langages Évaluation et implémentation des langages Les langages de programmation et le processus de programmation Critères de conception et d évaluation des langages de programmation Les fondations de l implémentation

Plus en détail

THÈSE. présentée à TÉLÉCOM PARISTECH. pour obtenir le grade de. DOCTEUR de TÉLÉCOM PARISTECH. Mention Informatique et Réseaux. par.

THÈSE. présentée à TÉLÉCOM PARISTECH. pour obtenir le grade de. DOCTEUR de TÉLÉCOM PARISTECH. Mention Informatique et Réseaux. par. École Doctorale d Informatique, Télécommunications et Électronique de Paris THÈSE présentée à TÉLÉCOM PARISTECH pour obtenir le grade de DOCTEUR de TÉLÉCOM PARISTECH Mention Informatique et Réseaux par

Plus en détail

et Active Directory Ajout, modification et suppression de comptes, extraction d adresses pour les listes de diffusion

et Active Directory Ajout, modification et suppression de comptes, extraction d adresses pour les listes de diffusion et Active Directory Ajout, modification et suppression de comptes, extraction d adresses pour les listes de diffusion Copyright 2009 Alt-N Technologies. 3 allée de la Crabette Sommaire Résumé... 3 MDaemon

Plus en détail

Proposition des cadres d évaluation adaptés à un système de RI personnalisé

Proposition des cadres d évaluation adaptés à un système de RI personnalisé Proposition des cadres d évaluation adaptés à un système de RI personnalisé Mariam Daoud, Lynda Tamine-Lechani Laboratoire IRIT, Université Paul Sabatier 118 Route de Narbonne, F-31062 TOULOUSE CEDEX 9

Plus en détail

OPEN DATA : CHALLENGES ET PERSPECTIVES D ENTREPOSAGE

OPEN DATA : CHALLENGES ET PERSPECTIVES D ENTREPOSAGE OPEN DATA : CHALLENGES ET PERSPECTIVES D ENTREPOSAGE «Journée Open Data» 5 Novembre 2013 Présenté par : Imen Megdiche Directeur de thèse : Pr. Olivier Teste (SIG-IRIT) Co-directeur de thèse : Mr. Alain

Plus en détail

Grégoire de Lassence. Copyright 2006, SAS Institute Inc. All rights reserved.

Grégoire de Lassence. Copyright 2006, SAS Institute Inc. All rights reserved. Grégoire de Lassence 1 Grégoire de Lassence Responsable Pédagogie et Recherche Département Académique Tel : +33 1 60 62 12 19 gregoire.delassence@fra.sas.com http://www.sas.com/france/academic SAS dans

Plus en détail

Iyad Alshabani SysCom - CReSTIC Université de Reims 17/02/2011 1

Iyad Alshabani SysCom - CReSTIC Université de Reims 17/02/2011 1 SysCom - CReSTIC Université de Reims 17/02/2011 1 Motivation Gestion des expérimentations Avec les workflows Simulation Simulation des Systèmes Distribués ANR USS SimGrid Campagne de Test et gestion de

Plus en détail

OCL - Object Constraint Language

OCL - Object Constraint Language OCL - Object Constraint Language Laëtitia Matignon laetitia.matignon@univ-lyon1.fr Département Informatique - Polytech Lyon Université Claude Bernard Lyon 1 2012-2013 Laëtitia Matignon SIMA - OCL - Object

Plus en détail

Haka : un langage orienté réseaux et sécurité

Haka : un langage orienté réseaux et sécurité Haka : un langage orienté réseaux et sécurité Kevin Denis, Paul Fariello, Pierre Sylvain Desse et Mehdi Talbi kdenis@arkoon.net pfariello@arkoon.net psdesse@arkoon.net mtalbi@arkoon.net Arkoon Network

Plus en détail

Module Title: French 4

Module Title: French 4 CORK INSTITUTE OF TECHNOLOGY INSTITIÚID TEICNEOLAÍOCHTA CHORCAÍ Semester 2 Examinations 2010 Module Title: French 4 Module Code: LANG 6020 School: Business Programme Title: Bachelor of Business Stage 2

Plus en détail

Nom de l application

Nom de l application Ministère de l Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique Direction Générale des Etudes Technologiques Institut Supérieur des Etudes Technologiques de Gafsa Département Technologies de l Informatique

Plus en détail

L apprentissage automatique

L apprentissage automatique L apprentissage automatique L apprentissage automatique L'apprentissage automatique fait référence au développement, à l analyse et à l implémentation de méthodes qui permettent à une machine d évoluer

Plus en détail

Est-il possible de réduire les coûts des logiciels pour mainframe en limitant les risques?

Est-il possible de réduire les coûts des logiciels pour mainframe en limitant les risques? DOSSIER SOLUTION Programme de rationalisation des logiciels pour mainframe (MSRP) Est-il possible de réduire les coûts des logiciels pour mainframe en limitant les risques? agility made possible Le programme

Plus en détail

Solutions Exploitation de contenus

Solutions Exploitation de contenus Solutions Exploitation de contenus Company profile Start in 2006 : 5 engineers + experimented business angels 5 years of profitable double digit growth Listed on Euronext in Nov 2009 (MLMGL FR0010827741)

Plus en détail

M1 : Ingénierie du Logiciel

M1 : Ingénierie du Logiciel M1 : Ingénierie du Logiciel UNIVERSITE PIERRE & MARIE CURIE (PARIS VI) Examen Réparti 2eme partie 16 Mai 2013 (2 heures avec documents : tous SAUF ANNALES CORRIGEES). Barème indicatif sur 20,5 points (max

Plus en détail

SHAREPOINT PORTAL SERVER 2013

SHAREPOINT PORTAL SERVER 2013 Powered by TCPDF (www.tcpdf.org) SHAREPOINT PORTAL SERVER 2013 Sharepoint portal server 2013 DEVELOPING MICROSOFT SHAREPOINT SERVER 2013 CORE SOLUTIONS Réf: MS20488 Durée : 5 jours (7 heures) OBJECTIFS

Plus en détail

INTRODUCTION AUX METHODES D INGENIERIE DES DONNEES DIRIGEE PAR LES MODELES

INTRODUCTION AUX METHODES D INGENIERIE DES DONNEES DIRIGEE PAR LES MODELES INTRODUCTION AUX METHODES D INGENIERIE DES DONNEES DIRIGEE PAR LES MODELES Les contenus de ce document sont la propriété exclusive de la société REVER. Ils ne sont transmis qu à titre d information et

Plus en détail

Architecture à base de composants pour le déploiement adaptatif des applications multicomposants

Architecture à base de composants pour le déploiement adaptatif des applications multicomposants Architecture à base de composants pour le déploiement adaptatif des applications multicomposants Dhouha Ayed, Chantal Taconet, et Guy Bernard GET / INT, CNRS Samovar 5157 9 rue Charles Fourier 91011 Évry,

Plus en détail

Entreposage de données complexes pour la médecine d anticipation personnalisée

Entreposage de données complexes pour la médecine d anticipation personnalisée Manuscrit auteur, publié dans "9th International Conference on System Science in Health Care (ICSSHC 08), Lyon : France (2008)" Entreposage de données complexes pour la médecine d anticipation personnalisée

Plus en détail

Le langage SQL Rappels

Le langage SQL Rappels Le langage SQL Rappels Description du thème : Présentation des principales notions nécessaires pour réaliser des requêtes SQL Mots-clés : Niveau : Bases de données relationnelles, Open Office, champs,

Plus en détail

PARIS ROISSY CHARLES DE GAULLE

PARIS ROISSY CHARLES DE GAULLE GPS 2 34 1 E 49 0 46 N GPS* 2 56 56 E 49 0 12 N Votre contact / Your contact: et / and: Accueil : Cabines téléphoniques publiques Reception: Public telephone kiosks Navette Shuttle AÉROPORT DE TT CAR TRANSIT

Plus en détail

Génération de code à partir d une spécification B : Application aux bases de données

Génération de code à partir d une spécification B : Application aux bases de données Génération de code à partir d une spécification B : Application aux bases de données Amel Mammar * Régine Laleau ** Université du Luxembourg, LACL, Université Paris 12 SE2C, 6 rue Richard Courdenhove-Kalergi

Plus en détail

ANGULAR JS AVEC GDE GOOGLE

ANGULAR JS AVEC GDE GOOGLE ANGULAR JS AVEC GDE GOOGLE JUIN 2015 BRINGING THE HUMAN TOUCH TO TECHNOLOGY 2015 SERIAL QUI SUIS-JE? ESTELLE USER EXPERIENCE DESIGNER BUSINESS ANALYST BRINGING THE HUMAN TOUCH TO TECHNOLOGY SERIAL.CH 2

Plus en détail

Pour une innovation productive

Pour une innovation productive Pour une innovation productive Par Didier Givert, Directeur Associé de PRTM Et Jean-Marc Coudray, Directeur Général de PlanView France Mots clés : Gestion de Portefeuille, Gouvernance informatique, Pilotage

Plus en détail

Conception des systèmes répartis

Conception des systèmes répartis Conception des systèmes répartis Principes et concepts Gérard Padiou Département Informatique et Mathématiques appliquées ENSEEIHT Octobre 2012 Gérard Padiou Conception des systèmes répartis 1 / 37 plan

Plus en détail

Les capitalistes sociaux sur Twitter : détection via des mesures de similarité

Les capitalistes sociaux sur Twitter : détection via des mesures de similarité Les capitalistes sociaux sur Twitter : détection via des mesures de similarité Nicolas Dugué, Anthony Perez LIFO - Université d Orléans rue Léonard de Vinci B.P. 6759 F-45067 ORLEANS Cedex 2 FRANCE RÉSUMÉ.

Plus en détail

Apprentissage Automatique

Apprentissage Automatique Apprentissage Automatique Introduction-I jean-francois.bonastre@univ-avignon.fr www.lia.univ-avignon.fr Définition? (Wikipedia) L'apprentissage automatique (machine-learning en anglais) est un des champs

Plus en détail

UML et les Bases de Données

UML et les Bases de Données CNAM UML et les Bases de Données UML et les Bases de Données. Diagramme de classes / diagramme d objets (UML)...2.. Premier niveau de modélisation des données d une application...2.2. Les éléments de modélisation...2.2..

Plus en détail

Business Intelligence simple et efficace

Business Intelligence simple et efficace Business Intelligence simple et efficace avec Excel et PowerPivot Jean-Philippe GOUIGOUX Table des matières 1 Chapitre 1 Présentation de PowerPivot A. L analyse de données.....................................................

Plus en détail

C.E.S.I.T Comités des EXPLOITANTS DE SALLES INFORMATIQUES et TELECOM I T I L PRESENTATION DU REFERENTIEL

C.E.S.I.T Comités des EXPLOITANTS DE SALLES INFORMATIQUES et TELECOM I T I L PRESENTATION DU REFERENTIEL I T I L PRESENTATION DU REFERENTIEL loitation 1 1 Introduction 1.1. Description du document Ce document présente les grandes lignes du référentiel ITIL exploitants de salles informatiques dans le cadre

Plus en détail

ADAPT: un modèle de transcodage des nombres. Une application des systèmes de production au développement

ADAPT: un modèle de transcodage des nombres. Une application des systèmes de production au développement ADAPT: un modèle de transcodage des nombres Une application des systèmes de production au développement Référence Barrouillet, P., Camos, V., Perruchet, P., & Seron, X. (2004). A Developmental Asemantic

Plus en détail

Toni Lazazzera toni.lazazzera@tmanco.com. Tmanco is expert partner from Anatole (www.anatole.net) and distributes the solution AnatoleTEM

Toni Lazazzera toni.lazazzera@tmanco.com. Tmanco is expert partner from Anatole (www.anatole.net) and distributes the solution AnatoleTEM T e l e c o m m a n a g e m e n t c o m p e t e n c e Toni Lazazzera toni.lazazzera@tmanco.com Tmanco SA CH 6807 Taverne www.tmanco.com +41 91 930 96 63 Reduce your telecom invoices up to 30% through better

Plus en détail

MapReduce. Malo Jaffré, Pablo Rauzy. 16 avril 2010 ENS. Malo Jaffré, Pablo Rauzy (ENS) MapReduce 16 avril 2010 1 / 15

MapReduce. Malo Jaffré, Pablo Rauzy. 16 avril 2010 ENS. Malo Jaffré, Pablo Rauzy (ENS) MapReduce 16 avril 2010 1 / 15 MapReduce Malo Jaffré, Pablo Rauzy ENS 16 avril 2010 Malo Jaffré, Pablo Rauzy (ENS) MapReduce 16 avril 2010 1 / 15 Qu est ce que c est? Conceptuellement Données MapReduce est un framework de calcul distribué

Plus en détail

Plan. Department of Informatics

Plan. Department of Informatics Plan 1. Application Servers 2. Servlets, JSP, JDBC 3. J2EE: Vue d ensemble 4. Distributed Programming 5. Enterprise JavaBeans 6. Enterprise JavaBeans: Special Topics 7. Prise de recul critique Enterprise

Plus en détail

SERVEUR DÉDIÉ DOCUMENTATION

SERVEUR DÉDIÉ DOCUMENTATION SERVEUR DÉDIÉ DOCUMENTATION Release 5.0.6.0 19 Juillet 2013 Copyright 2013 GIANTS Software GmbH, All Rights Reserved. 1/9 CHANGE LOG Correction de bug divers (5.0.6.0) Ajout d une option de relance automatique

Plus en détail

Corps des nombres complexes, J Paul Tsasa

Corps des nombres complexes, J Paul Tsasa Corps des nombres complexes, J Paul Tsasa One Pager Février 2013 Vol. 5 Num. 011 Copyright Laréq 2013 http://www.lareq.com Corps des Nombres Complexes Définitions, Règles de Calcul et Théorèmes «Les idiots

Plus en détail

How to Login to Career Page

How to Login to Career Page How to Login to Career Page BASF Canada July 2013 To view this instruction manual in French, please scroll down to page 16 1 Job Postings How to Login/Create your Profile/Sign Up for Job Posting Notifications

Plus en détail

VÉZINA NICOLE Chaire GM en ergonomie de l UQAM

VÉZINA NICOLE Chaire GM en ergonomie de l UQAM ANALYSE DES DÉTERMINANTS DE LA QUALITÉ DE COUPE DU WHIZARD : VERS LA CONCERTATION DES ACTIONS ET L ÉLABORATION D UNE FORMATION OUELLET SYLVIE Centre d étude des intéractions biologiques entre la santé

Plus en détail

Compte-rendu de Hamma B., La préposition en français

Compte-rendu de Hamma B., La préposition en français Compte-rendu de Hamma B., La préposition en français Badreddine Hamma To cite this version: Badreddine Hamma. Compte-rendu de Hamma B., La préposition en français. Revue française de linguistique appliquée,

Plus en détail