SURVIE DES CANCERS DE L ENFANT EN FRANCE,
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- Eliane Bonnet
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1 SURVIE DES CANCERS DE L ENFANT EN FRANCE, RAPPORT DU 21 NOVEMBRE 2007 Investigateur principal : Dr Emmanuel DESANDES, Registre National des Tumeurs Solides de l'enfant, CHU Nancy Co-investigateurs : Dr Claire BERGER, Dr Jacqueline CLAVEL, Pr François DEMEOCQ, Dr Brigitte LACOUR, Dr Isabelle TRON, Registre des Cancers de l Enfant de Rhône-Alpes, Saint-Etienne. Registre National des Hémopathies Malignes de l Enfant et Registre des Cancers de l Enfant du Val-de-Marne, Villejuif. Registre des Cancers de l Enfant d Auvergne-Limousin, Clermont-Ferrand. Registre National des Tumeurs Solides de l Enfant et Registre Lorrain des Cancers de l Enfant, Nancy. Registre des Cancers de l Enfant de Bretagne, Rennes. Etude réalisée avec le soutien financier de l InVS 1) Rappel des objectifs Dans le cadre du partenariat avec l Institut de la Veille Sanitaire (InVS) concernant la mise à disposition d indicateurs épidémiologiques sur les cancers de l enfant, un précédent travail a permis de produire des chiffres d incidence à partir de 6 registres de population et a donné lieu à publication 1 en L'objectif du projet actuel, proposé à l InVS fin 2005, était d étudier la survie globale des enfants atteints de cancer en France sur la période à partir des données de 5 registres de cancer de l enfant (régions Auvergne et Limousin, Bretagne, Lorraine et Rhône-Alpes et département du Val-de-Marne). Les résultas de cette étude seront publiés dans la revue «European Journal of Cancer» 2. 2) Patients et méthodes a) Inclusions L'étude a porté sur les cas incidents de cancer de l'enfant survenus dans les zones couvertes par les 5 registres pédiatriques du cancer, soit environ 24% du territoire, au cours de la période Les registres d'auvergne, Lorraine, Rhône-Alpes et Val-de-Marne couvraient l'ensemble de la période , celui de Bretagne la période et celui du Limousin la période Les enfants atteints de syndromes myélodysplasiques ou d autres maladies myéloprolifératives (sousgroupe diagnostique «I.d» de la 3 ème version de l «International Classification of Childhood Cancer» (ICCC) 3 ), enregistrés de façon hétérogène par les registres pédiatriques durant la période , ont été exclus de l étude.
2 b) Données Les données fournies par les registres pour chaque cas sont : - les caractéristiques de l'enfant : sexe, date et lieu de naissance ; - les données sur la pathologie : date de diagnostic, morphologie et topographie de la tumeur selon la 3 ème édition de la Classification Internationale des Maladies pour l'oncologie, (ICD-O) 4, stade d'extension initial ; - les informations sur le suivi : date des dernières nouvelles, statut vital aux dernières nouvelles. La recherche du statut vital des enfants atteints de cancer a été effectuée par croisement avec le fichier du Répertoire National d Identification des Personnes Physiques (RNIPP) 5 ou par consultation du fichier d état civil de la mairie des lieux de naissance. Pour les enfants dont le lieu de naissance était inconnu ou qui n'ont pas été trouvés dans le fichier du RNIPP, une nouvelle recherche active a été effectuée dans le dossier médical : pour 76 cas en Auvergne-Limousin (19%), 97 cas en Bretagne (15%), 28 cas en Lorraine (6%), 366 cas en Rhône-Alpes (24%) et 118 cas en Val de Marne (32%). Si la date des dernières nouvelles figurant dans le dossier étaient antérieure au 1er janvier 2006, le statut vital a été obtenu soit auprès du médecin traitant du patient, soit à la mairie du lieu de naissance quand il a pu être retrouvé. c) Analyse statistique L analyse de la survie globale a été effectuée en prenant pour date d origine la date du diagnostic et pour date de point le 1 er janvier La survie globale a été estimée en utilisant la méthode de Kaplan-Meier 6. La durée médiane du suivi a été calculée en utilisant la méthode inverse de Kaplan-Meier 7. Les courbes de survie selon l'âge, le sexe, la période et les sous-types diagnostiques ont été comparées à l aide du test Khi-deux d égalité du log-rank 8. L'évolution de la survie entre périodes a été évaluée par un test de tendance du log-rank 9. Les pourcentages de changement annuel des taux de survie à 5 ans ont été estimés par régression linéaire du logarithme des taux de survie à 5 ans 10. Enfin, les risques relatifs de décès en fonction des différents critères socio-démographiques, cliniques et histologiques et leurs intervalles de confiance à 95% (IC95%) ont été estimés par modèle de Cox 11. Toutes les analyses ont été effectuées à l aide du logiciel de statistique SAS version 9.1 (SAS Institute Inc., 1996). Les tests bilatéraux ont été effectués au seuil de 5%. 3) Résultats De 1990 à 1999, cas de cancers chez des enfants âgés de 0 à 14 ans ont été enregistrés par les registres pédiatriques. Leur répartition par registre et par groupe diagnostique selon l'iccc est présentée sur le tableau 1. Le registre de Rhône-Alpes a contribué pour cas, le registre de Bretagne pour 667 cas, celui de Lorraine pour 608 cas, celui d Auvergne-Limousin pour 402 cas et celui du Val-de-Marne pour 359 cas. La répartition des cas par groupe diagnostique était similaire dans les différents registres pédiatriques.
3 Tableau 1 : Répartition des cas de cancers de l'enfant enregistrés au cours de la période par registre et par groupe diagnostique selon l'iccc!! " " # $% & '( $ " % ( ' " ( $) " * ( $ * + % ( ' *! ( % *, $ -, $( ' Le tableau 2 présente les données de suivi des enfants selon les groupes diagnostiques. Le suivi médian était de 10,3 années pour l ensemble des cancers, similaire pour les différents groupes. Le pourcentage de cas perdus de vue à 5 ans, 7 ans, et 10 ans était respectivement de 1,8%, 5,0% et 8,2% et 983 décès ont été recensés sur l'ensemble de la période de suivi Tableau 2 : Suivi jusqu'à 2006 des cas de cancers de l'enfant enregistrés au cours de la période par groupe diagnostique de l'iccc " # $ %&&' %&&& " # ( $ ) %&&' *' ' +, -. ( /..!. ". " # $% & '( $. " % ( '. " ( $). ". * ( $. * + % ( '. *! ( %. *, $ -,. $( '. Globalement, tous cancers confondus, les taux de survie étaient de 82,5% [IC95% : 81,3-83,8] à 2 ans, 75,2% [IC95% : 73,8-76,6] à 5 ans, 73,4% [IC95% : 72,0%-74,9%] à 7 ans, et 72,2% [IC95% : 70,7-73,7] à 10 ans (tableau 3).
4 Les taux de survie restaient supérieurs à 90%, même à 10 ans, pour les lymphomes de Hodgkin et de Burkitt, les rétinoblastomes et les carcinomes thyroïdiens. En revanche, ils étaient particulièrement bas pour les leucémies aiguës myéloblastiques (LAM) et les tumeurs du Système Nerveux Central (SNC), et tout particulièrement les tumeurs neuro-ectodermiques primitives centrales (cpnet). Tableau 3 : Taux de survie globale à 2, 5, 7, et 10 ans selon les groupes et sous-groupes diagnostiques, " 0 * %' 0. &. 0. &. 0. &. 0. &. $ ( %'.+ 2 %3&41& %32 113%7 1*3.41' 3' 1.3*7 1% ( + / ' & '( $) , , ( + / ' & '( $) ' &%32 42 &3*& & &*3* ' 42 53&&%3% &' 3% % % % + 4 % % % % 2 4 $$ $$ ! 0" 1&1 163*41' 3% %35+2 3% &3& %364.13& % , $ $ '' & '( $ , $ 6 5! % $( ' , $ + ' , $ $! ! 0"0 6%. 1&3% & & *31163' *31163' 7 ( # %' % &13' 4&63+%' ' 3' 7 &13' 4&63+%' ' 3' 7 &13' 4&63+%' ' 3' 7 &13' 4&63+%' ' 3' 7! ( **+ &' & *3%&%3% %3%&' %3%&' 367! ( 6& 1+3&4+631&' 3*7 1% &7 1% &7 1% &7! %&% ' 3*&' 367 1%3+4+.3*12 3' 7 ++3*4.&351*3& %357 8 $ ( ( 95 : % $ %&' 2 ' % %3% *4+' 3.163&7 +.3' 4.2 3%1%3&7 # ( & ( % ( & ( ! : %%& %36& &41136&' *3* &3%7 1&32 41*362 13*7 + % ( '! % ( ' + % ( ) $ &. &* ' & &3&& &%3&7 2 %3*41*312 &3+7! ( % $ ; % ! *3.42 % * *3' 153&7 1*3*41' Variation de la survie avec l âge et le sexe Le tableau 4 montre les variations du taux de survie à 5 ans avec l'âge. Les cas de leucémies et de tumeurs cérébrales de moins d un an ont eu une survie plus faible que les cas plus âgés. Toutefois, la survie des cas de LAM de plus de 10 ans était également abaissée. A l'inverse, la survie à 5 ans des cas de neuroblastomes était bien meilleure lorsque le diagnostic avait été porté avant l'âge d un an. Nous n'avons observé aucune différence significative des taux de survie à 5 ans entre les deux sexes (tableau 5).
5 Tableau 4 : Taux de survie globale à 5 ans (S 5 ) par groupe diagnostique selon l âge au diagnostic, ; % %5.& %' %5 0. &. 0. &. 0. &. 0. &. $ ( *.3+5&357 5+* 1& %7 6' 2 1& &7 *** %31153' 7 ( + / ' & '( $) ( + / ' & '( $) ' 3' 4%13%%' ' 3' &3+&.3+7 %1* &% &.3&7 %2 2 2 & ' & % % % + 4 % % % % 2 4 $$ $$ ! 0" +' 5.3' 46* * ' 3+7 * &3&1%357 *65 +& % , $ $ ! 0"0 %% &3%&%32 7 %+* +* &32 7 * * %6 +% %2 2 3' 7 ( # 5' %' '.6 &53* 42 13&%' ' 3' 7 + %' ' * %' '! ( %3*&.3.7 %6* 2 & ' & % 41.31&+357 %5 1% &.3%7! ( %% &' 3& 4163&%' ' 3' 7 ** 1* %&%357 *.' 3' 4' 3' %' ' 3' 7 5 *.3' 4' 3' +1357! % %' ' % ' &% ' 4.*351&3.7 %* %2 %3.7 * 0$ *+ +' 3% 45' 3&1&367.* 2 ' 32 41' 3' &% * 4.' ' 3&1+357 # ( & ( % ( & ( ! : * &*367 *& 2 +3* 41631& %6 1+3& 4.53' && ' 3*&13*7 9 $ % %' ' & 1.3' 45.3' %' ' 3' 7 * *%' ' 3' &+3%7! &3& %*6& & &+1 1+3* &7 &1* 1.3' 41*3*11317
6 Tableau 5 : Taux de survie globale à 5 ans (S 5 ) par groupe diagnostique selon le sexe, < = 0. &. 0. &. $ (.+' 163' 4+& &+ 1+3* 41*351&3&7 ( + / ' & '( $) , , ( + / ' & '( $) *&% 2 &3' 42.35&*3+7 %6& 2 &3& 42 53&&53& % % % + 4 % % % % 2 4 $$ $$ 0.1 -! 0" 5%& %32 1' 3& ' 4.2 3%+13&7 5 % , $ $ '' & '( $ , $ + ' , $ $! ! 0"0 % ' 3+153&7 %.' 1*3' &3*7 ( #.. &+36 4&%36%' ' 3' 7 5+ &132 4&63+%' ' 3' 7! ( &6 2 * &' 3*7 %66 2 & &5317! ( *1 153% 4.13.&' 3+7 %* ' 3' &6367! %' + 1%35 4+*32 2 ' 3%7 2. 1%32 4+*3*2 %367 8 $ ( ( 95 : % $ %%% ' 7 1& % # ( & ( % ( & ( ! :.' 1& &' 3&7 +& 2 13' 41&3' &53&7 + % ( '! % ( ' + % ( ) $ & *&+3.7! ( % $ ; % - -! %&* *3&1+317 % Variation de la survie en fonction du stade d'extension Les taux de survie à 5 ans des cancers classés stade IV ou métastatiques étaient nettement plus bas que ceux des cancers des stades I à III ou non métastatiques, sauf dans les cas des lymphomes de Burkitt, des rétinoblastomes et des carcinomes thyroïdiens, dont la survie restait élevée quel que soit leur stade d'extension initial (tableau 6).
7 Tableau 6 : Survie globale à 5 ans (S 5 ) par groupe diagnostique en fonction du stade d'extension initial, " ( :: ( 0. &. 0. & &' 3% 42 13' &63* &6357 > % < % % + 4 % % % % 2 4 $$ $$ ! 0" 15& +13% ' *&3* 4%+365*3%7 >> 5 % <<, $ $ << '' & '( $ <, $ 6 5! % $( ' ! 0"0 % ' 3.&' 3+7 %* %..357 >> ( # &2 &+3& 4&635%' ' 3' 7 6 %' ' -! ( %&1 2 &3* 42 53&&63+7 *& +&3' 4.*3% >>! ( 6* 12 3% &* *3& 4+3*1&3.7 =! % ' 3*2 63*7 *1 5' 31 4**3*.&367 >> 8 $ ( < ( 95 : % << 90$ % % 41% *' ' 653*7 >> # ( & ( << % ( & ( << 9! : %' *3*&53+7 % *2 3% >> + % ( ' + % ( ) << 9$ 2 * ' 3' &5317 %6 2 63& 4+635%' ' 3' 7! ( % $ ; % -.! *%5' 1& ' 2 %357 61'.% >> >; ' 3'.?>>; ' 3' %?@; ' 3%' - Variation de la survie selon la région d'enregistrement Globalement, toutes localisations confondues, les taux de survie à 5 ans étaient légèrement mais non significativement plus élevés dans le Val-de-Marne et en Rhône-Alpes que dans les autres régions (tableau 7). Toutefois, des différences significatives apparaissaient pour les leucémies (67,6 [59,0-76,2] en Auvergne- Limousin versus 79,8 [72,1-87,5] dans le Val-de-Marne) et pour les sarcomes des tissus mous (41,7 [22,0-61,4] en Auvergne-Limousin versus 68,1 [49,9-86,4] dans le Val-de-Marne).
8 Tableau 7 : Taux de survie globale à 5 ans selon les régions d'enregistrement, &. 0. &. 0. &. 0. &. 0. &. $ ( &3' 1+3*7 1' & ' %3*7 1&32 41*3% ( + / ' & '( $) ( + / ' & '( $) &3% 42 ' 3&& ' 3%&.3*7 2 &3' 42 %3&&+3*7 2 & &63&7 & %' ' 3' % % % + 4 % % % % 2 4 $$ $$ ! 0" +53% & 4.13*1* & &35+& & *7 5 % , $ $ '' & '( $ ! 0" &351%3%7 +&3* %32 7 1*3* 4+' *7 163* ' 3+7 +& *7 ( # %' ' & &%' ' 3' 7 & %3&%' ' 3' 7 &132 4&63+%' ' 3' 7 %' '! ( 2 & %' ' 3' ' 4113*& % 41.36&2 3& &*3%7 &*36 42 *3%%' ' 3' 7! ( %' ' +*3. 46' 3' &+3' 7 +*3. 46' 3' &+3' 7 1% &.3% %' ' 3' 7! 1.3' 4.131&* *3*&' 317 1%3& &3*7 163& 4.+3' &%3&7 8 $ ( ( 95 : % $ 5%31 4**3' +% %3& %3+ 4+&36&63&7 1' 3+ 4.&32 2 % % 45&3& # ( & ( ! : &32 %' ' 3' *3*%' ' 3' & 41535%' ' 3' ' 4113*& &32 %' ' 3' 7 9$ ( ( 1*3% %361& *32 2 ' %12 3*7 113& 41*312 63' 7! &3' 1+3*7 1' & ' %3*7 1&32 41*3%2 13.7
9 - Variation de la survie par période de 5 ans Le taux de survie globale à 5 ans tous cancers confondus est passé de 72,4% [IC95% : 70,3-74,6] pour la période à 77,7% [IC95% : 75,8-79,6] pour la période (p<0,01 ; tableau 8). Les taux étaient stables pour les lymphomes, les rétinoblastomes et les carcinomes dont la survie était déjà élevée au début de la période d'étude. Un gain de survie significatif a été observé pour les sarcomes d Ewing (+19,5%), les LAM (+15,7%) et les LAL (+7,4%). Pour l ensemble des cancers, le taux d augmentation annuelle des taux de survie à 5 ans était de 1,2% (p=0,03). L analyse selon le groupe diagnostique montre que l'augmentation annuelle n'est significative que pour les leucémies (augmentation annuelle de1,5% ; p=0,04). Tableau 8 : Evolution des taux de survie entre les deux périodes de 5 ans ( et ) %&&' %&&5 %&&.%&&& 0.&. 0.&. $ ( 52 & 1' * * %3+7 >> ( + / ' & '( $) <<, <<, ( + / ' & '( $) < 8 *' * &*3+7 **+ &' 3*42 +36&53% % % % + 4 % % % % 2 4 $$ $$ ! 0" 6&. +53*4.&35+&3' 7 5' * ' 3+1' 3' 7 5 % , $ $ '' & '( $ , $ ! 0"0 %1' +13' 4.&3&153%7 %5. 163% ' 367 ( # 52 & %' ' 3' 7.6 %' ( %' % 2 53' &%3*7 %* %&5367! ( *' 1' 3' 45&3&&' 3%7 %& &&63.7! %' &7 > 8 $ ( ( 95 : % < 9 0$ &. +&3*4.& & # 8 $ % ( & ( ! :.1 2 *3641*36&*3*7 +* &53*7 + % ( '! % ( ' + % ( ) $ &41*3+&13%7 +% 2 2 3' 41&3+&+367! ( % $ ; %! %1' * 1*3541' % &3+7 >> >; ' 3'.?>>; ' 3' %?@; ' 3%'
10 - L analyse multivariée est présentée dans le tableau 9. L'analyse multivariée par modèle de Cox a confirmé les résultats précédents : (1) le risque de décès était accru chez les enfants de moins d un an, tout particulièrement pour les leucémies, les lymphomes et les tumeurs du SNC ; (2) aucune variation des taux de survie entre les garçons et les filles n a été observée; (3) les cancers métastatiques ou de stade IV avaient un risque de décès significativement augmenté d'un facteur 2 pour les lymphomes, 2,7 pour les tumeurs du SNC et 4,4 pour les autres tumeurs solides ; (4) enfin, les deux périodes de 5 ans et , il y a eu une réduction significative du risque de décès de 0,8 pour l ensemble des cancers ; l analyse par groupe diagnostique montre que cette réduction n'est significative que pour les leucémies. Tableau 9 : Analyse multivariée pour les cas de cancers diagnostiqués entre 1990 et 1999 Modèle de Cox incluant le sexe, le groupe d âge, le stade du cancer et la période du diagnostic. 0/ 0, (! $ $ $ ( 8! 0" > (? % A '' B ( % ( % % ( % % % $( $( $) - $( $( $( $) - $( " ) Discussion Les données de survie présentées dans cette étude sont similaires à celles observées en France au niveau national pour les leucémies et les lymphomes malins non-hodgkiniens 12, et à celles rapportées dans d autres pays industrialisés présentées dans le tableau n 10 ci-après. C Les résultats canadiens récemment publiés 25 montrent des taux de survie souvent supérieurs, ce qui s explique par la période plus récente de leurs données ( ). En effet, nous constatons également dans notre étude une augmentation de la survie au cours du temps et les résultats canadiens sont proches de nos résultats pour la période présentés dans le tableau n 8.
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12 Notre étude met en évidence une amélioration de la survie des enfants atteints de cancer durant les années 90 de 1,2% par an, essentiellement pour les leucémies aiguës (lymphoblastiques et myéloblastiques) et pour les tumeurs d Ewing. L amélioration de la survie a également été observée aux Etats-Unis et dans la plupart des pays de l Union européenne 26,27. En France, pour les leucémies aiguës, ce résultat a récemment été rapporté à l échelon national 12 et semble être lié aux progrès thérapeutiques (tant dans la prise en charge des cancers eux-mêmes que des effets secondaires précoces des traitements). Concernant les tumeurs d Ewing l utilisation de traitement systémique en complément à la chirurgie a considérablement amélioré le pronostic de ces cancers 28. Toutefois le pronostic reste plus péjoratif pour les enfants de moins d un an atteints de leucémie ou de tumeurs du système nerveux central, élément retrouvé tant dans des études en population générale que dans des essais cliniques 12,14,18,19,27,29. A l inverse, la survie des cas de neuroblastomes est meilleure lorsque le diagnostic a été porté avant l'âge d un an, après ajustement sur le stade au diagnostic 20,27,30,31. La mise en évidence de faibles taux de survie observés (notamment pour les leucémies) dans la région Auvergne-Limousin parait surprenant. En effet, depuis la formation en 1980 de la Société française d oncologie pédiatrique (SFOP), officiellement créée en 1984, les pratiques thérapeutiques en France sont relativement standardisées 32. Cette différence de survie observée en Auvergne-Limousin peut être le fruit du hasard ou s expliquer par une différence en terme d accès aux soins. Comparée aux autres zones géographiques, la région Auvergne-Limousin a la plus faible densité de population (environ 50 habitants au km²) ; Ce facteur démographique lié à une faible densité du système de santé pourrait entraîner une plus grande difficulté d accès aux soins, responsable d un retard dans la prise en charge expliquant ainsi une mortalité supérieure. Les différences de survie que nous observons doivent néanmoins être interprétées avec énormément de précaution car nous n avons pas pris en compte certains facteurs biologiques pouvant influencer la survie, comme par exemple, dans les leucémies aiguës lymphoblastiques, la présence du chromosome Phi, le phénotype T et le faible statut d hyperploïdie. 5) Conclusion Cette étude basée sur les données de 5 registres pédiatriques du cancer fournit des données de survie actualisées pour la France métropolitaine. Les prochaines estimations pourront s'appuyer à la fois sur les registres régionaux en activité et sur les registres nationaux. En parallèle, une réflexion est engagée au sein de la Société Française de Lutte Contre les Cancers de l Enfant et de l Adolescent afin de mettre en place le suivi de cohortes de patients inclus dans les registres nationaux pour mieux connaître les risques de mortalité et morbidité tardives.
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