PHYSIQUE DES MATÉRIAUX : PARTIE POLYMÈRES
|
|
- Raoul Philippe Delorme
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 PHYSIQUE DES MATÉRIAUX : PARTIE 1 Pr. J. Lecomte-Beckers Chapitre 4 : Température de transition des polymères
2 4.1 La transition vitreuse Les polymères peuvent montrer deux comportements. PMMA Polystyrène Polybutadiène Polyisoprène Sont durs et rigides à T ambiante (état vitreux) Sont mous et flexibles à 125 C (état caoutchouteux) Sont durs et rigides à -195 C (Pression atm.) (état vitreux) Sont mous et flexibles à T ambiante (état caoutchouteux) Les polymères ont des propriétés viscoélastiques dépendantes de T. Il existe une température dite de transition vitreuse (Tg). Si T>Tg le polymère est caoutchouteux Si T<Tg le polymère est vitreux 2
3 4.2 Mouvements moléculaires dans un polymère amorphe Dans un polymère, il peut se produire quatre catégories de mouvements moléculaires : 1. Translation de molécules entières qui permet l écoulement. 2. Flexion et torsion combinée de segments (40 à 50 atomes) de carbone de molécules qui conduisent à l élasticité du matériau (Force de rappel). 3. Mouvement de quelques atomes le long de la chaîne principale ou à côté des groupes fonctionnels. 4. Vibration des atomes autour de leur position d équilibre. Cependant, les atomes n ont pas des positions d équilibre régulières au sein du polymère amorphe contrairement aux mailles cristallines. Les mouvements sont classés par énergie d activation décroissante. (ie : de 1 à 4 il faut de - en - d énergie thermique (kt) pour les activer) 3
4 4.2 Mouvements moléculaires dans un polymère amorphe (suite) La Tg est la température à laquelle les mouvements 1 et 2 sont gelés et pour lesquelles le matériau possède suffisamment d énergie pour activer les mouvements 3 et 4. Cependant, toutes les molécules ne possèdent pas la même énergie à une T donnée. Comme la répartition d énergie suit une distribution de Boltzmann, même si T<Tg, il arrive que des mouvements de type 2 et 1 se produisent si le temps d observation est très long. T2 >T1 4
5 4.3 Détermination de la Tg Une méthode classique pour déterminer la Tg consiste à observer une propriété thermodynamique (ex. : T) par rapport au volume spécifique ʋ. [cm 3 /g] On observe une augmentation brutale de la pente de la courbe (ʋ=f(t)) et par extrapolation des deux segments, on en déduit la Tg. Il n existe pas de rupture nette entre l état vitreux et l état caoutchouteux. La transition ne se fait pas brutalement mais sur une plage de température autour de Tg. Autre manière de déterminer la Tg est la mesure de l indice de réfraction du matériau. 5
6 4.3 Détermination de la Tg (suite) La vitesse de chauffage ou de refroidissement influence la valeur de la Tg ainsi déterminée. Les longues molécules enchevêtrées ne peuvent répondre instantanément à un changement de T. (il faut un certains temps pour que les molécules adoptent une nouvelle configuration d équilibre pour une T donnée) - Il est donc difficile de faire des mesures thermodynamiques sur des polymères. - Les mesures de Tg se font très lentement (chauffage très lents) pour permettre aux molécules d adopter en même temps leur configuration d équilibre. 6
7 4.3 Détermination de la Tg (suite) Dans le cas des polymères semi-cristallins, le volume spécifique présente une discontinuité en fonction de la T, contrairement à un changement de pente à la Tg. Transition vitreuse = Transformation de 2 éme ordre (ʋ-t continu, dʋ/dt T discontinu) Fusion = Transformation du 1 er ordre (ʋ-t discontinu) - Comme les polymères ont toujours une partie amorphe, ils ont tous une Tg. - A l inverse, tous les polymères n ont pas un point de fusion (Tm) cristallin comme ils ne cristallisent pas tous. 7 Tm
8 4.3 Détermination de la Tg (suite) La technique couramment utilisé pour déterminer la Tg d un polymère est la DSC. (Differential Scanning Calorimetry) - De petits échantillons de polymères et une référence inerte sont isolés et chauffés. - L enthalpie est mesurée en fonction de la T (ΔH entre Référence et échantillon est ). - Un système de contrôle se charge de maintenir à la même T les échantillons et la référence. La vitesse de chauffe est préprogrammé dans la machine. Comme les chaînes de polymères n ont pas la possibilité de répondre instantanément au changement de T, la mesure ne se fait pas à l équilibre. (v= 5 à 20 C/min) Incertitude sur la plage de Tg pour un même polymère. 8 Polymère semi-cristallin
9 4.3 Détermination de la Tg (suite) A la Tg, la capacité calorifique de l échantillon subitement Besoin plus de puissance ( à la référence) pour maintenir la vitesse de chauffe Cette différence entre l éch. et la réf. entraîne un abaissement de la courbe DSC A Tm, les cristaux ont tendance à fondre à une T cste La fusion absorbe de l énergie à T fixe (chaleur latente de fusion) La chaleur absorbée par l échantillon est subitement beaucoup plus importante ( référence) Un creux marqué (endothermique) apparaît alors sur la courbe. Au refroidissement, la cristallisation se produit en fournissant à la matière une grande quantité de chaleur. La cristallisation (solidification) se produit à une T <Tm (surfusion de germination) Un pic exothermique apparaît. 9
10 4.4 Facteurs influençant la Tg En général, la transition vitreuse dépend de 5 facteurs. 1. Le volume libre de polymère ʋf est le volume du polymère qui n est pas occupé par les molécules elles-mêmes. volume spécifique du polymère (cm³/g) Plus ʋf est grand, plus les molécules peuvent bouger et plus bas est la Tg. On estime à la Tg que pour les polymères,. volume spécifique des molécules compactées (cm³/g) La Tg à tendance à augmenter lorsque la pression extérieure augmente fortement. En effet, les hautes pressions compriment les polymères et réduisent ʋf (ʋs cst). La mobilité des molécules et la Tg car il faut plus d énergie thermique pour provoquer les mouvements des chaînes de polymère. 10
11 4.4 Facteurs influençant la Tg (suite) 2. Les forces d attractions entre les molécules. Plus les liaisons sont fortes, plus l énergie thermique pour les rompre est élevée. Comme dans le cas du polyacrylonitrile, les fortes liaisons dipolaires font que même s il s agit d un polymère linéaire, ce dernier n est pas thermoplastique. En fait la Tg de ce polymère est plus élevée que sa température de dégradation thermique. On peut mesurer par la grandeur δ, le paramètre de solubilité, qui est une mesure des forces intermoléculaires. 11
12 4.4 facteurs influençant la Tg (suite) 3. La mobilité interne des chaînes qui est une fonction de leur liberté à tourner autour des liaisons. Les groupements de substitution et le reste de la chaîne sont situés le plus loin possible pour θ = 0 (configuration d énergie minimum). Lorsque la liaison tourne, les groupements de substitution se juxtaposent et de l énergie est requise pour aller au-delà de cette situation. Une rotation complète est requise pour obtenir un mouvement de type 1 et 2 12
13 4.4 facteurs influençant la Tg (suite) Exemple 1 Polymère T g ( C) E 0 (kcal/mol) Siloxane de Polydiméthyle ~0 Polyéthylène Polytétrafluoroéthylène 6.2 > La Tg augmente en fonction de l énergie d activation E0 pour différents polymères (ayant le même paramètre de solubilité ). Le Siloxane possède une beaucoup plus grande mobilité de ses groupements substitutions que les deux autres polymères car : - faible polarisation des liaisons - le Si a un plus grand diamètre atomique que le C dans le Siloxane Exemple 2 Tg (poly-α-méthylstyrène) > Tg polystyrène car le groupe méthyle introduit une gêne géométrique supplémentaire pour la rotation des liaisons Energie d activation Tg. 13
14 4.4 Facteurs influençant la Tg (suite) 4. La rigidité des chaînes. Les chaînes ayant des difficultés à se tordre ou à fléchir entrainent des Tg plus élevées. La rigidité va de paire avec l énergie d activation. Les chaînes qui ont des doubles liaisons C=C dans la chaîne principale (polyimides) et ceux avec des chaînes principales fortement aromatiques ont une très grande rigidité de chaîne Tg élevée. Ces polymères sont très utiles à T >> mais sont très difficile à mettre en forme 14
15 4.4 Facteurs influençant la Tg (suite) 5. La longueur de chaîne. La température de transition vitreuse d une chaîne de longueur x varie selon : Valeur asymptotique de Tg pour une longueur de chaîne infinie Cste pour un polymère donné Plus les chaînes sont courtes, plus est grande leur mobilité (Si x, Tg ). - La diminution de la Tg avec x est seulement perceptible pour les chaînes relativement courte. - Pour les polymères commerciaux, x est suffisamment grand pour que. L ajout de plastifiant aux polymères les rend plus souple. Il agit comme intermédiaire entre les chaînes en formant des liaisons secondaires de moins forte intensité que les chaînes elles-mêmes. Facilite les mouvements de type 1 et 2 Revient à utiliser un polymère ayant des longueurs de chaîne plus courtes 15
16 4.5 Effet de la copolymérisation sur la Tg La Tg pour copolymères statistiques peut être approximée à partir des Tg,i des homopolymères et de leur proportion volumique wi : Cette relation forme la base d une méthode estimant la Tg de polymères hautement cristallins pour lesquels les propriétés de la phase amorphe sont masquées par les phases cristallines. 16
17 4.6 Thermodynamique du mélange Le point de fusion du cristal (Tm) est un changement de phase. (cf. métaux, céramiques et molécules organiques à bas poids moléculaire) L énergie de Gibbs associé à la fusion est donnée par. Au point de fusion (Tm) de la phase cristalline,. est l énergie nécessaire pour vaincre les forces de liaisons cristallines à T et P cstes, et est indépendante de la longueur de chaîne pour autant qu elle soit assez grande. est une mesure du désordre. 17
18 4.6 Thermodynamique du mélange (suite) D une part, pour une masse ou un volume donné de polymère, plus les chaînes sont courtes et plus elles conduisent au désordre ( ) lors de la fusion (nbre d arrangements >>). Tm de la partie cristalline lorsque la longueur de chaîne. La dispersion de la longueur de chaîne entraîne une dispersion de Tm. D autre part, pour les chaînes de polymères fortement liées entre elles, il en résulte une énergie de liaison plus forte plus important Tm. De même, les chaînes peu mobiles qui le restent à l état liquide entraînent une entropie de fusion ( ) plus faible Tm. 18
19 4.7 Thermodynamique du mélange (suite) Exemple : Expliquer l effet de n sur la température de fusion du nylon (polyamide) Structure du nylon 6/6 x - Si n, l impact des ponts H entre chaînes et Tm. - A la limite, lorsque n tend vers l infini, Tm tend vers celle du polyéthylène et est minimale (seulement forces de Van der Waals). n Tm ( C) (g/cm³) Limite de traction (psi) Absorption d eau (% en 24h) (PE) ~0 19
20 4.7 L état amorphe métastable Si on refroidit rapidement un polymère de Tm à T(<Tg), comme ses chaînes sont peu mobiles en-dessous de la Tg, il est possible d obtenir un état amorphe métastable dans les polymères pour lesquels l équilibre correspondrait à une portion de phase cristalline. Cet état amorphe va persister tant que le matériau est maintenu en dessous de sa Tg. Un recuit du matériau à une T située entre la Tg et la Tm permet alors de contrôler la cristallisation. 20
21 4.7 L état amorphe métastable (suite) Exemple : Fabrication en deux étapes & cristallinité des bouteilles en PET 1 ère étape Mise à forme de préformes de forte épaisseur à l état amorphe. (trempe en-dessous de Tg depuis l état liquide et n est donc pas semi-cristallin) 2 ème étape - Réchauffage et soufflage rapide de la préforme entre 68 C (Tg) et 262 C (Tm). - Le recuit de la matière provoque sa cristallisation en de très fines cristallites. (< que la longueur d onde de la L.V. bouteille transparente) - Le haut de la bouteille (partie du bouchon) qui n a pas subi de recuit reste amorphe. 21
22 4.8 Influence de la copolymérisation sur les propriétés La copolymérisation statistique a une influence intéressante sur Tm et Tg : 1. Dans le cas où deux unité structurales sont assez similaires au niveau géométrique pour former un réseau cristallin, la Tm va varier linéairement avec la teneur en copolymères entre la Tm de chacune des homopolymères correspondant. 2. Dans d autres cas, l incorporation de faibles quantités de B dans A va interrompre le réseau formé par A et va faire pur et vice-versa. la Tm par rapport à celle de A 3. Pour les compositions intermédiaires, les interruptions (défauts) seront telles que les cristallites ne pourront plus se former. 22
23 4.8 Influence de la copolymérisation sur les propriétés Les propriétés physiques des copolymères statistiques sont déterminés par leur position sur le diagramme (Composition et T d utilisation). 23
24 4.8 Influence de la copolymérisation sur les propriétés Région 1 : - Le polymère est amorphe et homogène - Il est transparent s il est pur (ne comporte qu une seule phase) - La frontière entre l état fondu et caoutchouteux n est pas bien définie A T>>, le matériau s écoule plus facilement et perd de son caractère élastique. Pour T>Tg ou T>Tm, la viscosité des polymères >> celle des matériaux non polymères. Région 5 : - Le polymère est amorphe et vitreux (dur, rigide et fragile). T<Tg - Il est aussi transparent s il est pur Ex. Le PMMA (polyméthacrylate de méthyle) et le polystyrène sont des homopolymères 24 qui sont dans cet état physique.
25 4.8 Influence de la copolymérisation sur les propriétés Région 2 et 3 : - cristallites rigides dispersés dans une matrice amorphe relativement souple et caoutchouteuse Si les indices de réfraction des cristaux et de la phase amorphe sont alors le matériau va être soit translucide soit opaque en fonction : - de la taille des cristallites - du degré de cristallinité - de l épaisseur de l échantillon. Les cristallites la mobilité des chaînes le matériau n est pas élastique mais la matrice caoutchouteuse confère une bonne flexibilité et ténacité. La rigidité dépend fortement du degré de cristallinité du polymère Plus les régions cristallines sont rigides, plus le polymère est rigide dans l ensemble. Ex. Le polyéthylène est un cas d homopolymère qui présente ces propriétés. (à T ambiante, il est situé entre sa Tg et sa Tm) 25
26 4.8 Influence de la copolymérisation sur les propriétés Région 4 et 6 : - Cristallites rigides dispersés dans une matrice amorphe à l état vitreux. - Les 2 phases sont rigides le matériau est dur, raide et rigide - La présence de 2 phases entraîne le plus souvent l opacité Exemple : Les nylons 6/6 et 6 sont des exemples d homopolymères qui sont dans une région qui est en-dessous de leurs Tg et Tm. 26
27 4.9 Effet de la réticulation Une légère réticulation ne modifie fondamentalement pas les choses. (Ex. cas des pneus en caoutchouc) Si la réticulation est importante et se produit à l état fondu amorphe, cela va réduire voire empêcher l alignement des chaînes Limite fortement ou empêche la cristallisation La réticulation limite la mobilité des chaînes Tg peut Si la réticulation est plus importante qu un lien entre chaîne pour 40 à 50 atomes de C sur la chaîne principale, les mouvements de type 2 ne peuvent se produire et le polymère se dégrade avant d atteindre sa Tg. 27
28 4.10 Autres transitions D autres transitions que la Tg et la Tm sont parfois observées dans les polymères : - Certains polymères peuvent former plus d une nature de cristal. - Des transformations de second ordre se produisent en-dessous de la Tg (cela provient du fait que des mouvements «de type 3» de groupe d atomes plus petit que ceux qui forment la Tg) Ces autres transitions peuvent influencer considérablement les propriétés : - Les plastiques amorphes tenaces comme le polycarbonate ont une telle transition en-dessous de la température ambiante. - Les plastiques amorphes fragiles comme le polystyrène ou le PMMA n ont pas cette transition. Il existe une autre transition (TLL) à T > Tg mais est sujette à controverse : Transition liquide-liquide ou transition liée à la présence d impuretés? 28
Les composites thermoplastiques
Les composites thermoplastiques Définition Par définition, un thermoplastique (anglais :thermoplast) est un matériau à base de polymère (composé de macromolécules) qui peut être mis en forme, à l état
Plus en détailSIMULATION DU PROCÉDÉ DE FABRICATION DIRECTE DE PIÈCES THERMOPLASTIQUES PAR FUSION LASER DE POUDRE
SIMULATION DU PROCÉDÉ DE FABRICATION DIRECTE DE PIÈCES THERMOPLASTIQUES PAR FUSION LASER DE POUDRE Denis DEFAUCHY Gilles REGNIER Patrice PEYRE Amine AMMAR Pièces FALCON - Dassault Aviation 1 Présentation
Plus en détailPartie Observer : Ondes et matière CHAP 04-ACT/DOC Analyse spectrale : Spectroscopies IR et RMN
Partie Observer : Ondes et matière CHAP 04-ACT/DOC Analyse spectrale : Spectroscopies IR et RMN Objectifs : Exploiter un spectre infrarouge pour déterminer des groupes caractéristiques Relier un spectre
Plus en détail1/2000. Informations pour les utilisateurs des systèmes d'analyse thermique METTLER TOLEDO. Sommaire
1/2000 Informations pour les utilisateurs des systèmes d'analyse thermique METTLER TOLEDO Chers clients L'année 2000 sera pour METTLER TOLEDO extrêmement intéressante dans le domaine de l'analyse thermique.
Plus en détailEtudier le diagramme température-pression, en particulier le point triple de l azote.
K4. Point triple de l azote I. BUT DE LA MANIPULATION Etudier le diagramme température-pression, en particulier le point triple de l azote. II. BASES THEORIQUES Etats de la matière La matière est constituée
Plus en détailThermal Value Excellence
Thermal Value Excellence Systèmes de détermination du point de goutte Excellence DP70 DP90 Points de goutte et de ramollissement Simple, normalisé, avec enregistrement vidéo Détermination du point de goutte
Plus en détailAIDE-MÉMOIRE LA THERMOCHIMIE TABLE DES MATIERES
Collège Voltaire, 2014-2015 AIDE-MÉMOIRE LA THERMOCHIMIE http://dcpe.net/poii/sites/default/files/cours%20et%20ex/cours-ch2-thermo.pdf TABLE DES MATIERES 3.A. Introduction...2 3.B. Chaleur...3 3.C. Variation
Plus en détailPremier principe de la thermodynamique - conservation de l énergie
Chapitre 5 Premier principe de la thermodynamique - conservation de l énergie 5.1 Bilan d énergie 5.1.1 Énergie totale d un système fermé L énergie totale E T d un système thermodynamique fermé de masse
Plus en détailLa fabrication des objets techniques
CHAPITRE 812 STE Questions 1 à 7, 9, 11, 14, A, B, D. Verdict 1 LES MATÉRIAUX DANS LES OBJETS TECHNIQUES (p. 386-390) 1. En fonction de leur utilisation, les objets techniques sont susceptibles de subir
Plus en détailSOMMAIRE Thématique : Matériaux
SOMMAIRE Thématique : Matériaux Rubrique : Connaissances - Conception... 2 Rubrique : Essais... 7 Rubrique : Matériaux...11 1 SOMMAIRE Rubrique : Connaissances - Conception Connaître les matières plastiques...
Plus en détail1 ère partie : tous CAP sauf hôtellerie et alimentation CHIMIE ETRE CAPABLE DE. PROGRAMME - Atomes : structure, étude de quelques exemples.
Référentiel CAP Sciences Physiques Page 1/9 SCIENCES PHYSIQUES CERTIFICATS D APTITUDES PROFESSIONNELLES Le référentiel de sciences donne pour les différentes parties du programme de formation la liste
Plus en détailRelations structure-propriétés dans les élastomères fortement
Relations structure-propriétés dans les élastomères fortement chargés A. AZOUG a, A. CONSTANTINESCU a, R.M. PRADEILLES-DUVAL a, R. NEVIÈRE b a. Laboratoire de Mécanique des Solides - CNRS UMR 7649, École
Plus en détailPlan du chapitre «Milieux diélectriques»
Plan du chapitre «Milieux diélectriques» 1. Sources microscopiques de la polarisation en régime statique 2. Etude macroscopique de la polarisation en régime statique 3. Susceptibilité diélectrique 4. Polarisation
Plus en détailChapitre 11 Bilans thermiques
DERNIÈRE IMPRESSION LE 30 août 2013 à 15:40 Chapitre 11 Bilans thermiques Table des matières 1 L état macroscopique et microcospique de la matière 2 2 Énergie interne d un système 2 2.1 Définition.................................
Plus en détailINFLUENCE de la TEMPERATURE. Transition ductile/fragile Choc Thermique Fluage
INFLUENCE de la TEMPERATURE Transition ductile/fragile Choc Thermique Fluage Transition ductile/fragile Henry Bessemer (UK)! 1856 : production d'acier à grande échelle Pont des Trois-Rivières 31 janvier
Plus en détailFICHE DE DONNEES DE SECURITE
PAGE 1/7 DATE DE MISE A JOUR : 16/11/2011 1/ - IDENTIFICATION DU PRODUIT ET DE LA SOCIETE Identification du produit : Gaines, films, housses, et/ou sacs transparents et colorés en polyéthylène. Famille
Plus en détailInformation. BASES LITTERAIRES Etre capable de répondre à une question du type «la valeur trouvée respecte t-elle le cahier des charges?
Compétences générales Avoir des piles neuves, ou récentes dans sa machine à calculer. Etre capable de retrouver instantanément une info dans sa machine. Prendre une bouteille d eau. Prendre CNI + convocation.
Plus en détailChapitre XIV BASES PHYSIQUES QUANTITATIVES DES LOIS DE COMPORTEMENT MÉCANIQUE. par S. CANTOURNET 1 ELASTICITÉ
Chapitre XIV BASES PHYSIQUES QUANTITATIVES DES LOIS DE COMPORTEMENT MÉCANIQUE par S. CANTOURNET 1 ELASTICITÉ Les propriétés mécaniques des métaux et alliages sont d un grand intérêt puisqu elles conditionnent
Plus en détailUtilisation historique de nanomatériaux en pneus et possibilités de nouveaux développements
Utilisation historique de nanomatériaux en pneus et possibilités de nouveaux développements 7 juin 2012 Francis Peters Bien qu il n y ait pas de nano particules dans les usines qui produisent les mélanges
Plus en détailMESURE DE LA TEMPERATURE
145 T2 MESURE DE LA TEMPERATURE I. INTRODUCTION Dans la majorité des phénomènes physiques, la température joue un rôle prépondérant. Pour la mesurer, les moyens les plus couramment utilisés sont : les
Plus en détailSujet proposé par Yves M. LEROY. Cet examen se compose d un exercice et de deux problèmes. Ces trois parties sont indépendantes.
Promotion X 004 COURS D ANALYSE DES STRUCTURES MÉCANIQUES PAR LA MÉTHODE DES ELEMENTS FINIS (MEC 568) contrôle non classant (7 mars 007, heures) Documents autorisés : polycopié ; documents et notes de
Plus en détailRésonance Magnétique Nucléaire : RMN
21 Résonance Magnétique Nucléaire : RMN Salle de TP de Génie Analytique Ce document résume les principaux aspects de la RMN nécessaires à la réalisation des TP de Génie Analytique de 2ème année d IUT de
Plus en détailStockage de chaleur solaire par sorption : Analyse et contrôle du système à partir de sa simulation dynamique
Stockage de chaleur solaire par sorption : Analyse et contrôle du système à partir de sa simulation dynamique Kokouvi Edem N TSOUKPOE 1, Nolwenn LE PIERRÈS 1*, Lingai LUO 1 1 LOCIE, CNRS FRE3220-Université
Plus en détailVARIO 200 / 200ZR LE FOUR À CÉRAMIQUE DOTÉ D UNE TECHNOLOGIE DE CUISSON RÉVOLUTIONNAIRE. www.zubler.de
FR VARIO 200 / 200ZR LE FOUR À CÉRAMIQUE DOTÉ D UNE TECHNOLOGIE DE CUISSON RÉVOLUTIONNAIRE www.zubler.de Made in Germany Précision, innovation, pérennité et haute qualité. De telles valeurs sont pour nous
Plus en détailJean-Marc Schaffner Ateliers SCHAFFNER. Laure Delaporte ConstruirAcier. Jérémy Trouart Union des Métalliers
Jean-Marc Schaffner Ateliers SCHAFFNER Laure Delaporte ConstruirAcier Jérémy Trouart Union des Métalliers Jean-Marc SCHAFFNER des Ateliers SCHAFFNER chef de file du GT4 Jérémy TROUART de l Union des Métalliers
Plus en détailPROTECTION DEs MAINs ET DEs BRAs INfORMATIONs TEChNIquEs
Les accidents qui touchent les mains sont la première cause d accidents avec arrêt de tra- tuer tous les gestes de notre quotidien et sont également un outil essentiel dans notre travail. Préservons-les,
Plus en détailColle époxydique multi usages, à 2 composants
Notice Produit Edition 20 01 2014 Numéro 9.11 Version n 2013-310 01 04 02 03 001 0 000144 Colle époxydique multi usages, à 2 composants Description est une colle structurale thixotrope à 2 composants,
Plus en détailGénéralités. Aperçu. Introduction. Précision. Instruction de montage. Lubrification. Conception. Produits. Guides à brides FNS. Guides standards GNS
Généralités Aperçu Introduction Précision Instruction de montage Lubrification Conception page............................. 4............................. 5............................. 6.............................
Plus en détailVis à billes de précision à filets rectifiés
sommaire Calculs : - Capacités de charges / Durée de vie - Vitesse et charges moyennes 26 - Rendement / Puissance motrice - Vitesse critique / Flambage 27 - Précharge / Rigidité 28 Exemples de calcul 29
Plus en détailManuel de validation Fascicule v4.25 : Thermique transitoire des structures volumiques
Titre : TTLV100 - Choc thermique dans un tuyau avec condit[...] Date : 02/03/2010 Page : 1/10 Manuel de Validation Fascicule V4.25 : Thermique transitoire des structures volumiques Document : V4.25.100
Plus en détailLa reconnaissance moléculaire: la base du design rationnel Modélisation moléculaire: Introduction Hiver 2006
La reconnaissance moléculaire: la base du design rationnel En 1890 Emil Fisher a proposé le modèle "serrure et clé" pour expliquer la façon de fonctionner des systèmes biologiques. Un substrat rentre et
Plus en détailPHYSIQUE Discipline fondamentale
Examen suisse de maturité Directives 2003-2006 DS.11 Physique DF PHYSIQUE Discipline fondamentale Par l'étude de la physique en discipline fondamentale, le candidat comprend des phénomènes naturels et
Plus en détailPHYSIQUE-CHIMIE. Partie I - Propriétés de l atome
PHYSIQUE-CHIMIE Ce sujet traite de quelques propriétés de l aluminium et de leurs applications. Certaines données fondamentales sont regroupées à la fin du texte. Partie I - Propriétés de l atome I.A -
Plus en détailDISQUE DUR. Figure 1 Disque dur ouvert
DISQUE DUR Le sujet est composé de 8 pages et d une feuille format A3 de dessins de détails, la réponse à toutes les questions sera rédigée sur les feuilles de réponses jointes au sujet. Toutes les questions
Plus en détail2.7 Le bétonnage par temps chaud par temps froid
Chapitre Les bétons courants.7 Le bétonnage par temps chaud par temps froid.7.1 - Le bétonnage par temps chaud 3 Granulats Les conditions climatiques lors de la mise en œuvre ont une grande influence sur
Plus en détailÉTUDE DE L EFFICACITÉ DE GÉOGRILLES POUR PRÉVENIR L EFFONDREMENT LOCAL D UNE CHAUSSÉE
ÉTUDE DE L EFFICACITÉ DE GÉOGRILLES POUR PRÉVENIR L EFFONDREMENT LOCAL D UNE CHAUSSÉE ANALYSIS OF THE EFFICIENCY OF GEOGRIDS TO PREVENT A LOCAL COLLAPSE OF A ROAD Céline BOURDEAU et Daniel BILLAUX Itasca
Plus en détailElectrification statique - Problèmes et solutions L application des sources ionisantes. Auteur: Dr Mark G Shilton, CChem, MRSC. (Copie du document
Electrification statique - Problèmes et solutions L application des sources ionisantes. Auteur: Dr Mark G Shilton, CChem, MRSC. (Copie du document présenté à la Conférence sur la sécurité et la fiabilité
Plus en détailMicroscopies Électroniques
Microscopies Électroniques M2 Microscopie Électronique en Transmission Diffraction Nicolas Menguy Institut de Minéralogie et Physique des Milieux Condensés Plan Le microscope électronique en transmission
Plus en détailTous les produits de la gamme SAF offrent des résistances :
Fiche Technique Strengths Are Flex La gamme SAF est basée sur une technologie et des polymères méthacrylates brevetés. Ces adhésifs de nouvelle génération permettent d adhérer sur de nombreux supports
Plus en détailVariantes du cycle à compression de vapeur
Variantes du cycle à compression de vapeur Froid indirect : circuit à frigoporteur Cycle mono étagé et alimentation par regorgement Cycle bi-étagé en cascade Froid direct et froid indirect Froid direct
Plus en détailBREVET DE TECHNICIEN SUPÉRIEUR QUALITÉ DANS LES INDUSTRIES ALIMENTAIRES ET LES BIO-INDUSTRIES
~--------------~~-----~- ----~-- Session 2009 BREVET DE TECNICIEN SUPÉRIEUR QUALITÉ DANS LES INDUSTRIES ALIMENTAIRES ET LES BIO-INDUSTRIES U22 - SCIENCES PYSIQUES Durée: 2 heures Coefficient : 3 Les calculatrices
Plus en détailLe point sur les biomatériaux
N 8 juin 200 Le point sur les biomatériaux Au Sommaire Les travaux du CST Suite à l étude sur les priorités en matière d innovation pour la filière plasturgie, réalisée pour la DGE par Ernst & Young en
Plus en détailAtelier : L énergie nucléaire en Astrophysique
Atelier : L énergie nucléaire en Astrophysique Elisabeth Vangioni Institut d Astrophysique de Paris Fleurance, 8 Août 2005 Une calculatrice, une règle et du papier quadrillé sont nécessaires au bon fonctionnement
Plus en détailNote technique. Consommation électrique d'un poêle à granulés à émission directe
Note technique Consommation électrique d'un poêle à granulés à émission directe Version / Date Version 1.0 du 06/02/2012 Auteur David Chénier 2012, Amoès SAS. Toute utilisation, reproduction intégrale
Plus en détailLe chauffe-eau à pompe à chaleur: fiche technique à l intention des installateurs
Le chauffe-eau à pompe à chaleur: fiche technique à l intention des installateurs 1. Bases 1.1. Fonctionnement du chauffe-eau à pompe à chaleur (CEPAC) Comme son nom l indique, un chauffe-eau pompe à chaleur
Plus en détailComprendre l Univers grâce aux messages de la lumière
Seconde / P4 Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière 1/ EXPLORATION DE L UNIVERS Dans notre environnement quotidien, les dimensions, les distances sont à l échelle humaine : quelques mètres,
Plus en détailDIFFÉRENTS TYPES DE MATIÈRES PLASTIQUES
DIFFÉRENTS TYPES DE MATIÈRES PLASTIQUES Les plastiques inventés au XX ième siècle ont remplacé les matériaux traditionnels comme le bois ou le métal. Les recherches menées pour améliorer et diversifier
Plus en détailNOTIONS ÉLEMENTAIRES SUR LES PNEUS
CE QU IL Y A DANS UN PNEU CEINTURES BANDE DE ROULEMENT ISOLANT DE NAPPES CARCASSE À ARCEAUX DROITS GARNITURE INTÉRIEURE CARCASSE TRINGLE FLANC La GARNITURE INTÉRIEURE du pneu maintient l air dans le pneu.
Plus en détailSoudage par ultrasons
Soudage par ultrasons Séminaire de méthodes de production Mathias Heyraud et Philippe Paccaud MT BA5 25 novembre 2011 Sous la responsabilité de : Jacques Jacot, Alain Dufaux, Jean-Daniel Lüthi Table des
Plus en détailhérence d L'a Le pneu
Le pneu L'adhérence Le pneu L adhérence Editeur : Société de Technologie Michelin 23, rue Breschet, 63000 Clermont-ferrand Dépôt légal : janvier 2001 Société de Technologie Michelin, 2001 ISBN 2-06-100011-8
Plus en détailTECHNOLOGIE DE MESURE
TECHNOLOGIE DE MESURE Capteur de pression et de température Système de sécurité Accessoires Fabriqué en Allemagne TECHNOLOGIE DE MESURE Un aperçu de la compétence Gneuss Sans mercure en version standard
Plus en détailUn nouveau standard d étanchéité pour une durée de vie accrue
Un nouveau standard d étanchéité pour une durée de vie accrue Roulements rigides à billes munis de joints RSL et RSH Propriétés d étanchéité améliorées Faible frottement Durée de vie accrue Roulements
Plus en détailFiche technique Mai, 2011 Dernière version : Oct 2010. Produits transparents : SJ 3460 : non adhésif SJ 3560 : Muni d un adhésif acrylique VHB
Dual Lock 250 Système de fixation ouvrable et refermable Fiche technique Mai, 2011 Dernière version : Oct 2010 Description du produit Produits transparents : SJ 3460 : non adhésif SJ 3560 : Muni d un adhésif
Plus en détailSystème d énergie solaire et de gain énergétique
Système d énergie solaire et de gain énergétique Pour satisfaire vos besoins en eau chaude sanitaire, chauffage et chauffage de piscine, Enerfrance vous présente Néo[E]nergy : un système utilisant une
Plus en détailDoctorat ParisTech T H È S E. l École Nationale Supérieure d'arts et Métiers
École doctorale n 432 : Sciences des Métiers de l Ingénieur 2013-ENAM-0013 Doctorat ParisTech T H È S E pour obtenir le grade de docteur délivré par l École Nationale Supérieure d'arts et Métiers Spécialité
Plus en détailRDP : Voir ou conduire
1S Thème : Observer RDP : Voir ou conduire DESCRIPTIF DE SUJET DESTINE AU PROFESSEUR Objectif Compétences exigibles du B.O. Initier les élèves de première S à la démarche de résolution de problème telle
Plus en détailANALYSE SPECTRALE. monochromateur
ht ANALYSE SPECTRALE Une espèce chimique est susceptible d interagir avec un rayonnement électromagnétique. L étude de l intensité du rayonnement (absorbé ou réémis) en fonction des longueurs d ode s appelle
Plus en détailCompte rendu de LA37 B, TP numéro 1. Evolution de la température et du degrée d'hydratation
4 6 8 2 4 8 22 26 3 34 38 42 46 5 54 58 62 66 7 74 78 83 89 96 8 44 Bertin Morgan Compte rendu de LA37 B, TP numéro. Les essais effectués par le laboratoire des ponts et chaussés nous ont fournis la température
Plus en détail' Département de Chimie Analytique, Académie de Médecine, 38 rue Szewska,
J. Phys. IVFrance 11 (2001) O EDP Sciences, Les Ulis Limites des solutions solides dans le système binaire CdBr2-AgBr A. Wojakowska, A. Gorniak and W. ~awel' Laboratoire d'analyse Thermique, Département
Plus en détailP M L R O G W. sylomer. Gamme de Sylomer Standard. Propriétés Méthode de test Commentaires. Polyuréthane (PUR) Cellulaire mixte
Matière : Couleur : Polyuréthane (PUR) Cellulaire mixte Gris Recommandations d usage : Pression (dépend du facteur de forme) Déflexion Pression statique maximum :. N/mm ~ % Pression dyn. maximum :. N/mm
Plus en détail1.2 Coordinence. Notion de liaison de coordinence : Cas de NH 3. et NH 4+ , 3 liaisons covalentes + 1 liaison de coordinence.
Règle de l octet : tendance qu on les atomes à s entourer de 8 électrons dans l édifice moléculaire. Ce n est pas une règle générale. Composés respectant la règle de l octet Composés ne respectant pas
Plus en détaildocument proposé sur le site «Sciences Physiques en BTS» : http://nicole.cortial.net BTS AVA 2015
BT V 2015 (envoyé par Frédéric COTTI - Professeur d Electrotechnique au Lycée Régional La Floride Marseille) Document 1 - Etiquette énergie Partie 1 : Voiture à faible consommation - Une étiquette pour
Plus en détailLycée Galilée Gennevilliers. chap. 6. JALLU Laurent. I. Introduction... 2 La source d énergie nucléaire... 2
Lycée Galilée Gennevilliers L'énergie nucléaire : fusion et fission chap. 6 JALLU Laurent I. Introduction... 2 La source d énergie nucléaire... 2 II. Équivalence masse-énergie... 3 Bilan de masse de la
Plus en détailEau chaude sanitaire FICHE TECHNIQUE
FICHE TECHNIQUE Eau chaude sanitaire 2 5 6 6 CONNAÎTRE > Les besoins d eau chaude sanitaire > Les modes de production > La qualité de l eau > Les réseaux de distribution > La température de l eau REGARDER
Plus en détailÉJECTEURS. CanmetÉNERGIE Juillet 2009
ÉJECTEURS CanmetÉNERGIE Juillet 2009 ÉJECTEURS 1 ÉJECTEURS INTRODUCTION Les éjecteurs sont activés par la chaleur perdue ou la chaleur provenant de sources renouvelables. Ils sont actionnés directement
Plus en détailDiscover the NYCAST Advantage. Produits en nylon moulé par coulage Formats standards et sur mesur
Discover the NYCAST Advantage Produits en nylon moulé par coulage Formats standards et sur mesur Découvrez les avantages de NYCAST Cast Nylons Limited (CNL) est le premier producteur de nylon moulé par
Plus en détailLa relève de chaudière, une solution intermédiaire économique et fiable.
111 39 240 1812 906 La relève de chaudière, une solution intermédiaire économique et fiable. La relève de chaudière, qu est ce que c est? On parle de relève de chaudière lorsqu on installe une pompe à
Plus en détailPompe à chaleur Air-Eau. Confort et économies
Pompe à chaleur Air-Eau Confort et économies Le système de chauffage réversible de l avenir! Un pas en avant pour réduire les émissions de CO₂. L augmentation des émissions de CO₂ et autres gaz à effet
Plus en détailDÉVERSEMENT ÉLASTIQUE D UNE POUTRE À SECTION BI-SYMÉTRIQUE SOUMISE À DES MOMENTS D EXTRÉMITÉ ET UNE CHARGE RÉPARTIE OU CONCENTRÉE
Revue Construction étallique Référence DÉVERSEENT ÉLASTIQUE D UNE POUTRE À SECTION BI-SYÉTRIQUE SOUISE À DES OENTS D EXTRÉITÉ ET UNE CHARGE RÉPARTIE OU CONCENTRÉE par Y. GALÉA 1 1. INTRODUCTION Que ce
Plus en détailT.I.P.E. Optimisation d un. moteur
LEPLOMB Romain Année universitaire 2004-2005 LE ROI Gautier VERNIER Marine Groupe Sup B, C, D Professeur accompagnateur : M. Guerrier T.I.P.E Optimisation d un moteur 1 1. Présentation du fonctionnement
Plus en détailAdhésif structural pour le collage de renforts
Notice Produit Edition 18/07/2014 Numéro 3022 Version N 2014-253 N identification : 020206040010000001 Adhésif structural pour le collage de renforts Description est une colle structurale thixotrope à
Plus en détailNormes CE Equipements de Protection Individuelle
E. P. I D O C U M E N T D I N F O R M A T I O N Normes CE Equipements de Protection Individuelle Normes CE EQUIPEMENTS DE PROTECTION INDIVIDUELLE Définitions : E.P.I : Tout dispositif ou moyen destiné
Plus en détailSUIVI CINETIQUE PAR SPECTROPHOTOMETRIE (CORRECTION)
Terminale S CHIMIE TP n 2b (correction) 1 SUIVI CINETIQUE PAR SPECTROPHOTOMETRIE (CORRECTION) Objectifs : Déterminer l évolution de la vitesse de réaction par une méthode physique. Relier l absorbance
Plus en détailAcoustique et thermique
Chapitre 3 Acoustique et thermique 1. Préambule 2. Étude de systèmes constructifs 29 Chapitre 3 Acoustique et thermique 1. Préambule Les bonnes solutions thermiques n améliorent pas forcément l acoustique!
Plus en détailMEDIACLAVE. La stérilisation rapide, reproductible et sûre des milieux
MEDIACLAVE La stérilisation rapide, reproductible et sûre des milieux MEDIACLAVE La stérilisation rapide, reproductible et sûre des milieux Les milieux de culture bactérienne sont très largement utilisé,
Plus en détailChapitre 4 - Spectroscopie rotationnelle
Chapitre 4 - Spectroscopie rotationnelle 5.1 Classification Déterminer à quelle catégorie (sphérique, symétrique, asymétrique) appartiennent ces molécules : a) CH 4, b) CH 3 F, c) CH 3 D, d) SF 6, e) HCN,
Plus en détail= RÉALISATION DE QUALITÉ DURABLE
PAVÉS EN BETON CONCEPTION APPROPRIÉE + MISE EN OEUVRE PROFESSIONNELLE = RÉALISATION DE QUALITÉ DURABLE 10 règles de base pour une mise en œuvre correcte de revêtements de pavés en béton 1 2 3 4 5 6 7 8
Plus en détailFiche d application. 7 octobre 2013 1.0
MINISTÈRE DE L ÉGALITÉ DES TERRITOIRES ET DU LOGEMENT MINISTÈRE DE L ÉCOLOGIE, DU DÉVELOPPEMENT DURABLE ET DE L ÉNERGIE Diagnostic de Performance Energétique Fiche d application Date Version 7 octobre
Plus en détailThermodynamique (Échange thermique)
Thermodynamique (Échange thermique) Introduction : Cette activité est mise en ligne sur le site du CNRMAO avec l autorisation de la société ERM Automatismes Industriels, détentrice des droits de publication
Plus en détailExemples d utilisation de G2D à l oral de Centrale
Exemples d utilisation de G2D à l oral de Centrale 1 Table des matières Page 1 : Binaire liquide-vapeur isotherme et isobare Page 2 : Page 3 : Page 4 : Page 5 : Page 6 : intéressant facile facile sauf
Plus en détailPremier principe : bilans d énergie
MPSI - Thermodynamique - Premier principe : bilans d énergie page 1/5 Premier principe : bilans d énergie Table des matières 1 De la mécanique à la thermodynamique : formes d énergie et échanges d énergie
Plus en détailMario Geiger octobre 08 ÉVAPORATION SOUS VIDE
ÉVAPORATION SOUS VIDE 1 I SOMMAIRE I Sommaire... 2 II Évaporation sous vide... 3 III Description de l installation... 5 IV Travail pratique... 6 But du travail... 6 Principe... 6 Matériel... 6 Méthodes...
Plus en détailkst ag Module thermoactif klima system technologie klima system technologie
kst ag Module thermoactif system klima technologie klima system technologie 2 Confort climatique et bien-être Le module thermoactif de KST AG intègre la masse du bâtiment dans la gestion énergétique du
Plus en détailModule HVAC - fonctionnalités
Module HVAC - fonctionnalités Modèle de radiation : DO = Discrete Ordinates On peut considérer l échauffement de solides semi transparents causé par le rayonnement absorbé par le solide. On peut également
Plus en détailL efficience énergétique...
......Une technique intelligente de régulation au service Edgar Mayer Product Manager CentraLine c/o Honeywell GmbH 02 I 2009 Grâce aux techniques de régulation intelligentes d aujourd hui, il est possible
Plus en détailMETHODES D ANALYSE DES COMPOSES AMORPHES
Elisabeth Adam Pascal Bouffandeau Alexandre Darraspen Romuald Fix Sébastien Jouve Olivier Welker METHO D ANALYSE COMPOSES AMORPHES Sommaire 1. DÉFINITION DE L ÉTAT AMORPHE... 3 1.1. CLASSIFICATION MATÉRIAUX...
Plus en détailTECHNIQUES: Principes de la chromatographie
TECHNIQUES: Principes de la chromatographie 1 Définition La chromatographie est une méthode physique de séparation basée sur les différentes affinités d un ou plusieurs composés à l égard de deux phases
Plus en détailAccumuler la chaleur avec des ballons système individuels.
ÉNERGIES RENOUVELABLES Ballons système Accumuler la chaleur avec des ballons système individuels. BALLON TAMPON BALLON D EAU CHAUDE / CHAUFFE-EAU BALLON COMBINÉ / À PRÉPARATION D EAU CHAUDE INSTANTANÉE
Plus en détailRupture et plasticité
Rupture et plasticité Département de Mécanique, Ecole Polytechnique, 2009 2010 Département de Mécanique, Ecole Polytechnique, 2009 2010 25 novembre 2009 1 / 44 Rupture et plasticité : plan du cours Comportements
Plus en détailTPG 12 - Spectrophotométrie
TPG 12 - Spectrophotométrie Travail par binôme Objectif : découvrir les conditions de validité et les utilisations possibles de la loi de Beer-Lambert I- Tracé de la rosace des couleurs Choisir un des
Plus en détailChauffage par induction
Guide Power Quality Section 7: Efficacité Energétique www.leonardo-energy.org/france Edition Août 2007 Chauffage par induction Jean Callebaut, Laborelec Décembre 2006 1 Introduction... 3 2 Principes physiques...
Plus en détailInteractions des rayonnements avec la matière
UE3-1 : Biophysique Chapitre 2 : Interactions des rayonnements avec la matière Professeur Jean-Philippe VUILLEZ Année universitaire 2011/2012 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés.
Plus en détailStyrodur C, un XPS exempt de CFC, HCFC et HFC. De l air, tout simplement. Ecologique, tout simplement.
Styrodur C, un XPS exempt de CFC, HCFC et HFC. De l air, tout simplement. Ecologique, tout simplement. Isolation thermique plus qu une simple protection de l environnement Une isolation thermique optimale
Plus en détailSemi-conducteurs. 1 Montage expérimental. Expérience n 29
Expérience n 29 Semi-conducteurs Description Le but de cette expérience est la mesure de l énergie d activation intrinsèque de différents échantillons semiconducteurs. 1 Montage expérimental Liste du matériel
Plus en détailEffets électroniques-acidité/basicité
Université du Maine Faculté des Sciences Retour Révisions de cours Effets électroniquesacidité/basicité Il est très important dans un cours de himie organique de connaitre ces notions qui vont intervenir
Plus en détailFonctions de plusieurs variables
Module : Analyse 03 Chapitre 00 : Fonctions de plusieurs variables Généralités et Rappels des notions topologiques dans : Qu est- ce que?: Mathématiquement, n étant un entier non nul, on définit comme
Plus en détailDalle Activ Kerkstoel Activation du noyau de béton
Dalle Activ Kerkstoel Activation du noyau de béton Basé sur l expérience, piloté par l innovation L activation du noyau de béton : un système bien conçu, économe et durable. Construire selon ce principe,
Plus en détailEXERCICE II. SYNTHÈSE D UN ANESTHÉSIQUE : LA BENZOCAÏNE (9 points)
Bac S 2015 Antilles Guyane http://labolycee.org EXERCICE II. SYNTHÈSE D UN ANESTHÉSIQUE : LA BENZOCAÏNE (9 points) La benzocaïne (4-aminobenzoate d éthyle) est utilisée en médecine comme anesthésique local
Plus en détailMICROTRON MB 550 / MB 800
MICROTRON MB 550 / MB 800 Mélangeur de laboratoire TECHNIQUE D HOMOGÉNÉISATION ET DE MÉLANGE AU LABORATOIRE POUR DES ECHANTILLONS SÉCABLES ET LIQUIDES MICROTRON - Mélangeur de laboratoire Lors de la préparation
Plus en détail5 Applications. Isolation intérieure des murs de fondation. ISOFOIL est un panneau isolant rigide laminé d un pare-vapeur d aluminium réfléchissant.
FICHE TECHNIQUE 120-1.4 07.21.13.13 1 Nom du produit ISOFOIL 2 Manufacturier ISOFOIL est fabriqué par Groupe Isolofoam, entreprise québécoise et important manufacturier de produits isolants depuis plus
Plus en détail