Tests diagnostiques en infectiologie

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Tests diagnostiques en infectiologie"

Transcription

1 Tests diagnostiques en Infectiologie François BOUCHER MD, FRCPC Objectifs 1. Savoir choisir le test diagnostique le plus approprié pour le diagnostic précis des maladies infectieuses chez le nouveau-né et l'enfant; 2. Comprendre et décrire les limitations des tests diagnostiques par l'exemple de l'utilisation de tests de façon inappropriée ou inutile. Plan "The Good, the Bad, and the Ugly " Diagnostic des infections bactériennes Diagnostic des infections virales ABC de la sérologie Diagnostic moléculaire Test diagnostiques en maladies infectieuses pédiatriques "The Good" Diagnostic définitif Résultats suggestifs Aides au diagnostic "The Bad" Tests inappropriés "The Ugly " Tests inutiles Résultats ininterprétables Le Futur dès maintenant! Tests de diagnostic moléculaire en usage The Good Diagnostic positif HIV-PCR Cultures virales Tests de dépistage rapide des virus Résultats suggestifs Protéine C-réactive et infection bactérienne Enzymes hépatiques et infections à herpèsvirus Agglutinines froides et Mycoplasma pneumoniae Aides au diagnostic: ils entrainent une modification de la prise en charge Tests de sensibilité bactérienne Anticorps hétérophiles et MNI à EBV Septembre

2 The Bad Tests inappropriés Radiographie de contrôle dans la pneumonie de l'enfant: non indiquée à moins de complications "Sérologie virale" pour le diagnostic des infections virales Charge virale du VIH pour le diagnostic de l'infection périnatale à VIH Tests sérologiques après transfusions ou infusion d'igiv The Bad Résultats confondants Cultures urinaire de CMV chez nouveau-né > 3 semaines Culture de selles positive pour C. difficile Cultures de gorge positives pour streptocoques Groupe-C or G The Ugly Tests inappropriés ou inutiles "TORCH screen" CMV IgM pendant la grossesse Diagnostic de l'infection urinaire sur un spécimen prélevé par sac "Crypto LA" test sur LCR au CHUL Antigènes bactériens sur le LCR (Directigen) Tests qui ne sont pas réalisés Culture de gorge pour SGA Culture d'urines avant d'administrer des antibiotiques Tout pus qui n'est pas cultivé Avant tout: Pourquoi effectuer ce test? Cela aidera-t-il vraiment à élininer ou confirmer le diagnostic? Le résultat modifiera-t-il la prise en charge clinique de ce patient? Dépistage antigénique de l'influenza Dépistage antigénique de l'adenovirus PCR sur le LCR pour entérovirus et méningocoque Avant tout: Quel test demander? Culture Bacterienne Virale Mycobactéries Atypiques Détection antigénique Sérologie Diagnostic moléculaire Etc. Septembre

3 Avant tout: Quel test demander? Culture Bacterienne Virale Mycobactéries Atypiques Détection antigénique Sérologie Diagnostic moléculaire Etc. NE PAS LAISSER LA PRÉPOSÉE DÉCIDER DU TEST À DEMANDER!!! Avant tout: Comment bien effectuer le prélèvement? Culture d'urines Document de la SCP AAP 2002 Gorge Technique appropriée Cultures virales Toujours penser "Culture" pour le diagnostic, "Sérologie" pour l'état d'immunité Hémocultures En prélever DEUX si cathéter présent! Cultures de selles et recherche de parasites Deux, c'est suffisant Avant tout: Comment interpréter le résultat? Contexte clinique Mononucléose infectieuse Diarrhée post-antibiotiques vs colite à C. difficile Agglutinines froides et M. pneumoniae Connaître les valeurs normales de votre laboratoire Particulièrement pour les tests sérologiques "S-IB" sur l'antibiogramme? Pourquoi un antibiotique n'est pas inclus à l'antibiogramme? En cas de doute: Appelez les techniciens Avant tout: Comment interpréter le résultat? Valeurs prédictives positive et négative (VPP+ et VPP-) Rapport de vraisemblance (RV+ et RV-) Valeurs prédictives Valeur prédictive positive (VPP): Le pourcentage des individus ayant un résultat positif qui sont actuellement atteints de la maladie. VPP = VP / (VP + FP) Valeur Prédictive Négative (VPN): Le pourcentage des individus ayant un résultat négatif qui sont actuellement exempts de la maladie. VPN = VN / (VN + FN) Rapport de vraisemblance Pour un résultat donné, c'est le rapport de la probabilité d'être malade sur la probabilité de ne pas l'être RV+: La probabilité qu'un résultat positif soit trouvé chez un patient avec, versus sans, la maladie. RV+ = Sensibilité / (1 - Spécificité). RV+ = [VP / (VP + FN)] / [FP / (FP + VN)] RV-: La probabilité qu'un résultat négatif soit trouvé chez un patient sans, versus avec, la maladie. RV- = (1- Sensibilité) / Spécificité. RV- = [FN / (VP + FN)] / [VN / (FP + VN)] Septembre

4 Courbe d'efficacité du récepteur (Receiver Operating Characteristic) Rapport de vraisemblance ("Likelihood ratio") Les rapports de vraisemblance (" likelihood ratios ") sont des indices qui facilitent le calcul de la probabilité post test de maladie. Ils correspondent, pour un résultat d'examen donné, au rapport de la probabilité d'être malade sur la probabilité de ne pas l'être. Il varie donc selon que le résultat de l'examen diagnostique est positif ou négatif. Le rapport de vraisemblance d'un test positif est le rapport (sensibilité/1-spécificité). Le rapport de vraisemblance d'un test négatif est le rapport (1- sensibilité/spécificité) Rapport de vraisemblance ("Likelihood ratio") L'ampleur du changement de la probabilité de maladie que l'on avait avant le test à celle que l'on obtient après le test varie selon le rapport de vraisemblance. Plus le rapport de vraisemblance d'un test est grand et plus le rapport de vraisemblance d'un test négatif est petit, plus le test est utile cliniquement (voir le tableau). Plus le rapport de vraisemblance d'un test positif est élevé, plus il nous permet de confirmer la maladie. Plus le rapport de vraisemblance d'un test négatif est petit, plus il nous permet d'exclure la maladie. Infections bactériennes Culture de gorge Culture de dépistage inappropriée (sauf FKP) Recherche de pathogènes spécifiques: Streptococcus pyogenes (Groupe A) Corynebacterium diphtheriae Neisseria gonorrheae (ensemencement au chevet) Arcanobacterium haemolyticum (Milieu HBA: "Human blood agar") Test de dépistage rapide Peu sensible ( 70%) Confirmer un résultat négatif par culture (AAP) Interprétation des streptocoques groupe C et G? Protéine C-réactive "Acute-phase reactant" Partie de la réponse inflammatoire Augmente plus rapidement que la VS Plus spécifique que la VS pour les infections bactériennes PCR aussi observée S/P chirurgie Infections à Adenovirus Infections bactérienes chez patients neutropéniques et chez le nouveau-né, même prématuré Septembre

5 Protéine C-réactive Utile au diagnostic des infections bactériennes Chez les enfants fébriles en général Enfants fébriles et neutropéniques Sepsis chez le nouveau-né Utile au suivi des infections bactériennes Réponse clinique dans l'ostéomyélite et l'arthrite septique Suivi clinique chez les nourrissons Pas utile au diagnostic de la bactériémie occulte Délai de heures Anticorps anti-sga: ASLO, Strepacol ou Streptozyme? ASLO: standard historique Strepacol Mesure qualitative et semiquantitative Détecte l'aslo (166 Todd units) ET d'autres anticorps à des antigènes extracellulaires du SGA Streptolysine Streptokinase Hyaluronidase DNAse NADase Plus sensible que l'aslo: 20% ASLO et Strepacol Positifs chez patients atteints de Pharyngite à SGA RAA Glomerulonéphrite post-sga Cellulite invasive ou non Cinétique Positivé en-dedans d'une semaine du début de l'infection Pic en 3-5 semaines Disparition en 6-12 mois après traitementt C. Difficile chez l'enfant Première bactérie qui colonise l'intestin néonatal Portage asymptomatique fréquent: Nouveau-né (ad 1 mois): 15% à 64% 1-2 ans: 3 à 33% 3-18 ans: 5 à 8% Peut être retrouvé avec d'autres entéropathogènes Pourquoi le nourrisson colonisé est-il asymptomatique? Récepteurs à la toxine sur les entérocytes Absents? Non. Diminution de l affinité pour les toxines A et B Rôle protecteur de la couche de mucine Des anticorps maternels Immaturité immunitaire Réponse inflammatoire moindre? Rôle de l allaitement maternel Colonisation moins fréquente à 6mois avec AM Protection par les anticorps d origine maternelle Présentation clinique chez l'enfant: Colite aigue A. Diarrhée profuse en général (± sévère) B. Diarrhée sanglante Douleurs abdominales Signes généraux suggestifs: Fièvre Toxicité systémique Leucocytose Mégacôlon toxique Colite pseudo-membraneuse à la colonoscopie McFarland. J Ped Gastroenterol Nutr 2000;31:220 Septembre

6 Présentation clinique chez l enfant: Colite prolongée Tests diagnostiques pour la toxine du C. difficile Diarrhée prolongée Perte de poids Ballonnement abdominal Poutanen. CMAJ 2004;171(1):51 En pédiatrie (SCP 2000) éviter de demander le test de recherche de toxine si le patient ne présente pas un tableau clinique suggestif de CACD Penser d abord à: Diarrhée d origine virale Diarrhée post-antibiotiques (sans signes de colite) Intolérance au lactose Etc. Tests de sensibilité aux antibiotiques In vitro Kirby-Bauer E-test D-test Sensibilité des bactéries aux antibiotiques : CMI La détermination de la sensibilité des bactéries aux antibiotiques : CMB 8 µg/ml On dilue l antibiotique dans des tubes successifs On incube les bactéries pendant 24 heures 8 µg/ml Un volume précis de milieu de culture en provenance des tubes «clairs» est ensemencé sur un milieu de culture CMI = 1 µg/ml Après 24 heures, on observe une croissance Bactérienne dans certains tubes CMB = 2 µg/ml Après 24 heures, on observe une croissance sur certains milieux Septembre

7 Tests diagnostiques en infectiologie Kirby-Bauer Disk-Diffusion test E-Test This Etest strip contains graduated concentrations of ampicillin ranging from µg/ml (not shown) to 256 µg/ml placed on an agar plate growing Escherichia coli. Since the intersection of the growth-inhibition margin lies between two minimum inhibitory concentrations (MICs) 0.38 and 0.5 µg/ml the test is interpreted at the highest value (0.5 µg/ml). This organism is defined as susceptible since the MIC lies below the breakpoint of 8 µg/ml or lower. D-Test Détection des BLSE par le E-test Positive double disk diffusion test (D-Test) shows induction of clindamycin (CC) resistance by erythromycin (E) in this methicillin-resistant Staphylococcus aureus isolate. This is indicated by the blunting of the clindamycin zone of inhibition, which appears as a D shape. Confirmatory extended-spectrum ß-lactamase (ESBL) with use of the Etest. The strip on the left contains cefotaxime + clavulanic acid (CTL) and cefotaxime (CT). The strip on the right contains ceftazidime + clavulanic acid (TZL) and ceftazidime (TZ). The organism is ESBL-positive based on the deformation of the CT ellipse, but may also be determined by the CT and TZ minimum inhibitory concentrations (MICs) and the CT:CTL MIC ratio or the TZ:TZL MIC ratio. Specimens pour culture virale Infections virales Septembre 2010 Les virus sont des parasites cellulaires Obtenir des cellules! Au fond d'ulcères ou de vésicules non croûtées Écouvillon à la marge anale plutôt que culture de selles Épithelium respiratoire: nasopharynx (profond) Urine: cellules desquamantes Éviter les écouvillons à l'alginate de calcium: Coton meilleur! 7

8 Specimens pour culture virale Specimens pour culture virale Infection Virus Preferred specimen Infection Virus Preferred specimen CNS (encephalitis, aseptic meningitis) Eye (conjunctivitis, keratitis) GI tract Genital tract Heart Enterovirus HSV Mumps Rabies Adenovirus, enterovirus, HSV Adenovirus Rotavirus, Norovirus HSV Coxsackievirus B, Influenza A/B CMV Throat, rectal swab, CSF CSF, vesicle fluid, brain Bx Throat swab, urine, CSF Biopsy (nape of the neck) Throat, conjunctival swab, corneal scrapings Stool or rectal swab EIA or EM on stool Vesicle fluid, endocervical swab Throat, stool, rectal swab, Pericardial fluid Throat, Pericardial fluid, urine Hepatitis Mononucleosis Respiratory tract Hep A, B & C, EBV CMV Enterovirus EBV CMV HIV Adeno, Cox, ECHO HSV CMV Enterovirus Influenza Parainfluenza RSV Rhinovirus Not cultured Throat, urine, liver Throat, rectal swab, urine Not cultured Urine Blood (RT-PCR) Throat swab or wash Oral swab Throat swab, urine Throat swab, rectal swab Throat or nasal swab Nasopharyngeal aspirate Nasal swab or wash Specimens pour culture virale Infection Urinary tract Rash: vesicular Rash: Maculopapular Virus Adenovirus, CMV HSV, VZV, Vaccinia Adeno, enterovirus Parainfluenza, RSV Rubella, Rubeola Preferred specimen Urine Vesicle fluid or cells Throat or rectal swab Nasopharyngeal aspirate Usually not cultured Sérologie Tests sérologiques Résultats des tests sérologiques: Interprétation pour le diagnostic Surtout pour la détermination du statut immunitaire IgG VZV: enfants > 14 ans avec histoire négative de varicelle, avant la vaccination IgG Rubéole: femmes jeunes, ou enceintes IgG Parvovirus B19: femmes enceintes CMV IgG: femmes travaillant en garderie qui souhaitent une grossesse IgG Toxoplasmose: femmes enceintes Sérologie des "Entérovirus": pas utile Etc. Le Standard: deux tests à deux semaines d'intervalle Changement de deux dilutions ou plus dans une direction ou l'autre (= variation x4 du titre) Mais Un test positif pour Mycoplasma pneumoniae Titre FC > 1:32 corrobore une suspicion basée sur un diagnostic clinique compatible Apparition et persistance des anticorps: Tableau Septembre

9 Anticorps d'origine maternelle: Persistance chez le nourrisson Réponse sérologique à l'infection aigue par le virus HBV avec guérison Agent ou maladie Cytomégalovirus Toxoplasma gondii Syphilis VIH Hépatite C Persistance des Ac acquis par voie trans-placentaire 4-9 mois 8 mois VDRL: 6 mois Tests spécifiques (FTA-ABS): mois mois mois Réponse sérologique à l'infection aigue par le virus HBV avec chronicisation Sérologie HBV: Interprétation des résultats Stade de l'infection Infection précoce Infection primaire Infection passée ou immunisations Immunité naturelle Hépatite chronique Hépatite chronique active Présence des anticops Négatif ou Anti-HBc + (Total et IgM) AntiHBc + (Total et IgM) et HBsAg +. HBV-DNA. Anti-HBs + Anti-HBc + VCA IgG (élevé) ± EA (élevé), EBNA +. HBsAg + et HBeAg + Diagnostic de l'infection à EBV : Anticorps hétérophile Le test de Paul-Bunnell est désormais remplacé par des tests plus sensibles basés sur l'agglutination ou l'elisa, utilisant un antigène purifié Sensibilité: 85% pour la MNI causée par l'ebv Un test positif est diagnostic: 60% en-dedans de 2 semaines 80-90% en un mois Négativation en 3-6 mois Diagnostic de l'infection à EBV : Anticorps hétérophile Faux positifs: 3% Persistance à des niveaux faibles après l'infection aigue Hépatite A ou B Leucémie, lymphome Carcinome du pancréas Faux negatifs: 10-15% Enfants < 5 ans (50%?) 10% des patients avec MNI causée par EBV IM ne forments jamais d'ac heterophiles Septembre

10 Réponse sérologique à l'infection aigue par le virus EBV avec guérison Sérologie HBV: Interprétation des résultats Stade de l'infection Primaire Convalescent ou ancien Réactivation Présence des anticorps VCA IgM ou IgG (habituellement élevé) ± EA (élevé), EBNA Négatif VCA IgG ± EA (faible), EBNA +. VCA IgG (élevé) ± EA (élevé), EBNA +. Incidence approximative des infections périnatales non bactériennes Infections congénitales CMV HSV Syphilis Toxoplasma Rubéole 1% des naissances vivantes (5-20% nourrissons de 1-2 mois) pour 1000 naissances pour 1000 naissances pour 1000 naissances ~ Zéro Pourcentage des infections congénitales inapparentes CMV > 90% Rubéole 60-70% Toxoplasmose 75% Syphilis 50% HSV rare; < 5% Diagnostic des infections périnatales TORCH a été pendant longtemps un acronyme utile mais a conduit à la prescription d'un test diagnostic inexistant et difficile à interpréter: la "Sérologie du TORCH" La sérologie est parfois le meilleur moyen de diagnostiquer certaines infections périnatales, (i.e. syphilis, toxoplasmose, parvovirus) mais n'a AUCUNE utilité dans la plupart des cas (i.e: HSV, CMV, entérovirus, VIH) Septembre

11 Diagnostic des infections périnatales non-bactériennes en 2008 Toxoplasmose congénitale: Diagnostic Sérologie CMV - HSV - Toxoplasmose ++++ Rubéole +/- Syphilis +++ *: inoculation à l'animal Culture * * Histopath PCR Histoire clinique et résultats de laboratoire Éhographies Sérologie maternelle PCR sur le liquide amniotique Chez l'enfant: Sérologie IgG, IgM, IgA PCR Sang, LCR, urine Tomographie axiale cérébrale Examen ophtalmologique Toxoplasmose congénitale: Diagnostic La sérologie (IgM) est actuellement le meilleur moyen de dépistage chez le nouveau-né MAIS les tests commercialement disponibles sont peu fiables (souvent faussement positifs) Une sérologie négative chez la mère ou le nouveauné infirme ce diagnostic Un test IgM positif nécessite confirmation par un laboratoiree de référence (Palo Alto Foundation TSL) Tests d'avidité des IgG Inoculation à l'animal PCR Diagnostic moléculaire Tests diagnostiques moléculaires: Amplification In vitro Polymerase-Chain-Reaction 1. Amplification de séquence génomique Polymerase chain reaction (PCR) Transcription-mediated amplification (TMA) Nucleic acid sequence based amplification (NASBA) (tests de charge virale) Strand displacement amplification (SDA) PCR en temps réel 2. Amplification du signal Branched-chain DNA (bdna) Hybrid capture (HC) Invader Septembre

12 Évolution du PCR Tests de diagnostic moléculaire actuellement disponibles Reverse-Transcriptase PCR: RT-PCR Real-Time PCR: Q-PCR, qrtpcr, KPCR Etc PCR B. pertussis N. meningitidis N. gonorrheae M. tuberculosis M. pneumoniae C. trachomatis B. burgdorferi Legionella pneumophila Hépatite B Hépatite C HSV, CMV, EBV, VZV Parvovirus B19 HHV-8 (Sarcome de Kaposi) Human papillomavirus (HPV) Métapneumovirus humain Grippe porcine et autre Tests de diagnostic moléculaire actuellement disponibles Tests de diagnostic moléculaire disponibles RT-PCR IH Coronavirus (SARS-CoV) Entérovirus (Coxsackie & ECHO) (myocarde, sang, LCR) EBV ("Real-time" RT-PCR sur les tissus, le sang, le LCR ou la salive) Hépatite C Rotavirus (RT-PCR et Real-time RT-PCR) Real-time PCR SGB MRSA et ERV B. pertussis M. tuberculosis B. burgdorferi HSV, VZV CMV (tissus, sang, plasma) EBV HHV-8 (Kaposi) HIV M. pneumoniae Influenza virus RSV Adenovirus Human metapneumovirus Parvovirus B19 Tests de diagnostic moléculaire disponibles Hybridation In situ (ISH) CMV Coxsackievirus (myocarde, sang, LCR) Hépatite B Hépatite C HSV HHV-8 Fluorescent in situ hybridization (FISH) bdna Hépatite C Merci! François Boucher, MD, FRCPC Septembre

MICROBIOLOGIE. 1. Strep A et Urine Slide. 2. Coloration de Gram 3. Virologie (HCV, HBV, HIV)

MICROBIOLOGIE. 1. Strep A et Urine Slide. 2. Coloration de Gram 3. Virologie (HCV, HBV, HIV) MICROBIOLOGIE 1. Strep A et Urine Slide (page 1) 2. Coloration de Gram (page 1) 3. Virologie (HCV, HBV, HIV) (page 1) 4. UKNEQAS Microbiology (page 2) 5. QCMD (page 4) Les programmes 1, 2 et 3 sont organisés

Plus en détail

HEPATITES VIRALES 22/09/09. Infectieux. Mme Daumas

HEPATITES VIRALES 22/09/09. Infectieux. Mme Daumas HEPATITES VIRALES 22/09/09 Mme Daumas Infectieux Introduction I. Hépatite aigu II. Hépatite chronique III. Les différents types d hépatites A. Hépatite A 1. Prévention de la transmission 2. Vaccination

Plus en détail

Diagnostic des Hépatites virales B et C. P. Trimoulet Laboratoire de Virologie, CHU de Bordeaux

Diagnostic des Hépatites virales B et C. P. Trimoulet Laboratoire de Virologie, CHU de Bordeaux Diagnostic des Hépatites virales B et C P. Trimoulet Laboratoire de Virologie, CHU de Bordeaux Diagnostic VHC Dépistage: pourquoi? Maladie fréquente (Ac anti VHC chez 0,84% de la population soit 367 055

Plus en détail

Vaccinologie et Stratégie de Développement des Vaccins

Vaccinologie et Stratégie de Développement des Vaccins Vaccinologie et Stratégie de Développement des Vaccins Vaccinologie 1977 - Terme utilisé par Jonas Salk. 1983 - Rassemble tous les aspects des vaccinations : biologiques, immunologiques et cliniques ainsi

Plus en détail

Tests rapides de dépistage

Tests rapides de dépistage Tests rapides de dépistage Maladies infectieuses Marqueurs cardiaques Marqueurs de tumeurs Grossesse Rhumatologie Allergies Drogues > Pour un diagnostic rapide et économique > Résultats exacts et fiables

Plus en détail

Apport de la biologie moléculaire au diagnostic des parasitoses

Apport de la biologie moléculaire au diagnostic des parasitoses Apport de la biologie moléculaire au diagnostic des parasitoses M-H H BESSIERES,, S. CASSAING, A. BERRY, R. FABRE, J-F.. MAGNAVAL Service de Parasitologie-Mycologie Diagnostic biologique d une d parasitose

Plus en détail

Hépatite B. Le virus Structure et caractéristiques 07/02/2013

Hépatite B. Le virus Structure et caractéristiques 07/02/2013 Hépatite B Le virus Structure et caractéristiques o o o Famille des Hepadnaviridae Genre orthohepadnavirus Enveloppé, capside icosaédrique, 42 nm 1 Le virus Structure et caractéristiques En microscopie

Plus en détail

Vaccins du futur Atelier «Croisière dans l archipel des nouveaux vaccins»

Vaccins du futur Atelier «Croisière dans l archipel des nouveaux vaccins» Vaccins du futur Atelier «Croisière dans l archipel des nouveaux vaccins» Bernard Duval Institut National de Santé Publique du Québec 18 avril 2002 Objectifs Grands axes de la réponse immunitaire Conjugaison

Plus en détail

Item 127 : Transplantation d'organes

Item 127 : Transplantation d'organes Item 127 : Transplantation d'organes Date de création du document 2008-2009 Table des matières * Introduction... 1 1 Allogreffe de moelle ou de cellules souches...1 2 Transplantation d'organes... 2 3 Diagnostic...3

Plus en détail

Streptocoque B :apports des tests en fin de grossesse, nouvelles propositions.

Streptocoque B :apports des tests en fin de grossesse, nouvelles propositions. Streptocoque B :apports des tests en fin de grossesse, nouvelles propositions. Exemple d une étude prospective sur la place d un test de détection rapide du SGB. HONORAT Raphaële 1, ASSOULINE Corinne 1,

Plus en détail

Fièvre sans foyer chez l enfant de moins de 3 mois

Fièvre sans foyer chez l enfant de moins de 3 mois Fièvre sans foyer chez l enfant de moins de 3 mois Dr Sophie Blumental Service de Maladies Infectieuses Pédiatriques Hôpital Universitaire des Enfants Reine Fabiola Bruxelles INTRODUCTION Fièvre = symptôme

Plus en détail

Infection à CMV et allogreffe de cellules souches hématopoïétiques : Expérience du Centre National de Greffe de Moelle Osseuse, Tunis.

Infection à CMV et allogreffe de cellules souches hématopoïétiques : Expérience du Centre National de Greffe de Moelle Osseuse, Tunis. Infection à CMV et allogreffe de cellules souches hématopoïétiques : Expérience du Centre National de Greffe de Moelle Osseuse, Tunis. Tarek Ben Othman Congrès de la STPI, 24 avril 2009 Plan Introduction

Plus en détail

DÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE

DÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE DÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE Le présent livret a été rédigé à l attention des patients et de leurs familles. Il ne doit pas remplacer les conseils d un spécialiste en immunologie. 1 Egalement Disponible

Plus en détail

Christian TREPO, MD, PhD

Christian TREPO, MD, PhD PEG INTERFERON MONOTHERAPI E Christian TREPO, MD, PhD Unmet medical needs in chronic HBV infection Inhibition of viral replication Normalisation of ALT Improvement in liver necroinflammation Improvement

Plus en détail

Suivi ambulatoire de l adulte transplanté rénal au-delà de 3 mois après transplantation

Suivi ambulatoire de l adulte transplanté rénal au-delà de 3 mois après transplantation SYNTHESE DES RECOMMANDATIONS PROFESSIONNELLES Suivi ambulatoire de l adulte transplanté rénal au-delà de 3 mois après transplantation Novembre 2007 OBJECTIF Assurer une qualité optimale du suivi et de

Plus en détail

CONTROVERSE : IDR OU QUANTIFERON LORS D'UN CONTAGE EN EHPAD?

CONTROVERSE : IDR OU QUANTIFERON LORS D'UN CONTAGE EN EHPAD? CONTROVERSE : IDR OU QUANTIFERON LORS D'UN CONTAGE EN EHPAD? Hélène MANGEARD François MALADRY Tuberculose : infection mycobactérienne Infection mycobactérienne chronique (M. Tuberculosis ++ ou bacille

Plus en détail

LES DÉFICITS IMMUNITAIRES COMBINÉS SÉVÈRES

LES DÉFICITS IMMUNITAIRES COMBINÉS SÉVÈRES LES DÉFICITS IMMUNITAIRES COMBINÉS SÉVÈRES Le présent livret a été rédigé à l attention des patients et de leurs familles. Il ne doit pas remplacer les conseils d un spécialiste en immunologie. 1 Egalement

Plus en détail

LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86

LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86 LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT

Plus en détail

L hépatite C pas compliqué! Véronique Lussier, M.D., F.R.C.P.C. Gastroentérologue Hôpital Honoré-Mercier 16 avril 2015

L hépatite C pas compliqué! Véronique Lussier, M.D., F.R.C.P.C. Gastroentérologue Hôpital Honoré-Mercier 16 avril 2015 L hépatite C pas compliqué! Véronique Lussier, M.D., F.R.C.P.C. Gastroentérologue Hôpital Honoré-Mercier 16 avril 2015 Objectifs de la présentation Décrire l évolution clinique et la prise en charge d

Plus en détail

313-40013-B MIS À JOUR EN MARS 2013

313-40013-B MIS À JOUR EN MARS 2013 313-40013-B MIS À JOUR EN MARS 2013 SOMMAIRE 1 - La vaccination, comment ça marche? 3, 4 et 5 2 - Les vaccins détériorent-ils LA protection naturelle contre les maladies? 6 3 - Avec autant de vaccins,

Plus en détail

IMMUNOLOGIE. La spécificité des immunoglobulines et des récepteurs T. Informations scientifiques

IMMUNOLOGIE. La spécificité des immunoglobulines et des récepteurs T. Informations scientifiques IMMUNOLOGIE La spécificité des immunoglobulines et des récepteurs T Informations scientifiques L infection par le VIH entraîne des réactions immunitaires de l organisme qui se traduisent par la production

Plus en détail

Les hépatites virales chroniques B et C

Les hépatites virales chroniques B et C Les hépatites virales chroniques B et C www.aqodad.ma Service d hépato-gastroentérologie CHU HASSAN II; Fès 6èmes journées médicales d Al Hoceima; Le 28 09 2013 1 Introduction Problème majeur de santé

Plus en détail

FICHE D INFORMATION AVANT UNE TRANSFUSION

FICHE D INFORMATION AVANT UNE TRANSFUSION FICHE D INFORMATION AVANT UNE TRANSFUSION Madame, Monsieur, Si votre état de santé nécessite une transfusion sanguine, ce document est destiné à vous informer sur les avantages et les risques de la transfusion,

Plus en détail

Hépatite = inflammation du foie. Pr Bronowicki CHU Nancy - 17.11.2011 Conférence mensuelle - section de Forbach

Hépatite = inflammation du foie. Pr Bronowicki CHU Nancy - 17.11.2011 Conférence mensuelle - section de Forbach Hépatite = inflammation du foie Pr Bronowicki CHU Nancy - 17.11.2011 Conférence mensuelle - section de Forbach 1 Hépatites virales chroniques 2 Histoire naturelle Hépatite aiguë Guérison Hépatite chronique

Plus en détail

Chapitre III Le phénotype immunitaire au cours de la vie

Chapitre III Le phénotype immunitaire au cours de la vie Chapitre III Le phénotype immunitaire au cours de la vie Le phénotype immunitaire d un individu caractérise sa capacité à répondre, grâce aux effecteurs de l immunité adaptative, aux différents agents

Plus en détail

Évolution des pratiques vaccinales : 3. vaccination après la grossesse

Évolution des pratiques vaccinales : 3. vaccination après la grossesse Évolution des pratiques vaccinales : 3. vaccination après la grossesse Professeur Emmanuel Grimprel Service de Pédiatrie Générale, Hôpital Trousseau, Paris Université Pierre et Marie Curie, Paris Déclaration

Plus en détail

Infiltrats pulmonaires chez l immunodéprimé. Stanislas FAGUER DESC Réanimation médicale 16-17 septembre 2009

Infiltrats pulmonaires chez l immunodéprimé. Stanislas FAGUER DESC Réanimation médicale 16-17 septembre 2009 Infiltrats pulmonaires chez l immunodéprimé Stanislas FAGUER DESC Réanimation médicale 16-17 septembre 2009 Complications pulmonaires en onco-hématologie (Mokart et al Chest 2003) ~ 20 % des patients ~

Plus en détail

DIAGNOSTIC SEROLOGIQUE DE LA SYPHILIS

DIAGNOSTIC SEROLOGIQUE DE LA SYPHILIS DIAGNOSTIC SEROLOGIQUE DE LA SYPHILIS A-L. Basse-Guérineau 1,2 et le comité de relecture 3 1 Institut de veille sanitaire ; 2 Laboratoire de virologie, Hôpital Saint-Vincent de Paul, Paris ; 3 N. Dupin

Plus en détail

LA PERITONITE INFECTIEUSE FELINE

LA PERITONITE INFECTIEUSE FELINE Marie-Hélène BONNET 8, Avenue de l Amiral Narbonne 111120 Bize Minervois Tél. 04.68.40.61.50 Email : manoirperceval@wanadoo.fr LA PERITONITE INFECTIEUSE FELINE A lire très attentivement, et à faire lire

Plus en détail

La lutte contre la tuberculose est régie par l arrêté royal du 17 octobre 2002.

La lutte contre la tuberculose est régie par l arrêté royal du 17 octobre 2002. Le diagnostic de la tuberculose bovine La lutte contre la tuberculose est régie par l arrêté royal du 17 octobre 2002. 1. Tuberculination Dans la première phase d une infection de tuberculose bovine (Mycobacterium

Plus en détail

PARTIE II : RISQUE INFECTIEUX ET PROTECTION DE L ORGANISME. Chapitre 1 : L Homme confronté aux microbes de son environnement

PARTIE II : RISQUE INFECTIEUX ET PROTECTION DE L ORGANISME. Chapitre 1 : L Homme confronté aux microbes de son environnement PARTIE II : RISQUE INFECTIEUX ET PROTECTION DE L ORGANISME Chapitre 1 : L Homme confronté aux microbes de son environnement I- Les microbes dans notre environnement Qu est-ce qu un microbe? Où se trouvent-ils?

Plus en détail

Prophylaxie infectieuse après exposition professionnelle

Prophylaxie infectieuse après exposition professionnelle 1 Prophylaxie infectieuse après exposition professionnelle Introduction Le personnel soignant est régulièrement confronté au risque de contamination par le virus de l immunodéficience humaine (VIH) mais

Plus en détail

Y a-t-il une place pour un vaccin thérapeutique contre l hépatite B? H. Fontaine, Unité d Hépatologie Médicale, Hôpital Cochin

Y a-t-il une place pour un vaccin thérapeutique contre l hépatite B? H. Fontaine, Unité d Hépatologie Médicale, Hôpital Cochin Y a-t-il une place pour un vaccin thérapeutique contre l hépatite B? H. Fontaine, Unité d Hépatologie Médicale, Hôpital Cochin Objectifs thérapeutiques Inhibition de la réplication virale Négativation

Plus en détail

NOUVELLES TECHNIQUES : POUR QUELLES AVANCÉES EN MICROBIOLOGIE MÉDICALE

NOUVELLES TECHNIQUES : POUR QUELLES AVANCÉES EN MICROBIOLOGIE MÉDICALE NOUVELLES TECHNIQUES : POUR QUELLES AVANCÉES EN MICROBIOLOGIE MÉDICALE Dr Frédérique GOURIET Fédération de Bactériologie Virologie et Hygiène hospitalière URMITE CNRS-IRD UMR 6236 1 Immunochromatographic

Plus en détail

Protégeons-nous ensemble!

Protégeons-nous ensemble! Grippe saisonnière. Protégeons-nous ensemble! Informations importantes pour vous et votre famille. www.sevaccinercontrelagrippe.ch www.ofsp.admin.ch B C Qu est-ce que la grippe saisonnière et quels en

Plus en détail

Service d ambulance. Normes. de soins aux patients. et de transport

Service d ambulance. Normes. de soins aux patients. et de transport Service d ambulance Normes de soins aux patients et de transport Ministère de la Santé et des Soins de longue durée Direction des services de santé d urgence Avril 2000 (Mise à jour : octobre 2002) Soins

Plus en détail

Direction des risques biologiques, environnementaux et occupationnels Institut national de santé publique du Québec

Direction des risques biologiques, environnementaux et occupationnels Institut national de santé publique du Québec AVIS DÉPISTAGE DE L IMMUNITÉ CONTRE LA RUBÉOLE Comité sur l immunisation du Québec Direction des risques biologiques, environnementaux et occupationnels Institut national de santé publique du Québec Juin

Plus en détail

Maladies transmises sexuellement (MTS)

Maladies transmises sexuellement (MTS) Maladies transmises sexuellement (MTS) La sexualité est une dimension normale et saine de la vie De nos jours, de nombreuses infections se transmettent par les relations sexuelles. On les appelle infections

Plus en détail

Intérêt diagnostic du dosage de la CRP et de la leucocyte-estérase dans le liquide articulaire d une prothèse de genou infectée

Intérêt diagnostic du dosage de la CRP et de la leucocyte-estérase dans le liquide articulaire d une prothèse de genou infectée Intérêt diagnostic du dosage de la CRP et de la leucocyte-estérase dans le liquide articulaire d une prothèse de genou infectée C. Rondé-Oustau, JY. Jenny,J.Sibilia, J. Gaudias, C. Boéri, M. Antoni Hôpitaux

Plus en détail

Item 95 Maladies sexuellement transmissibles : infections urogénitales à gonocoque et Chlamydia trachomatis (en dehors de la maladie de Nicolas-Favre)

Item 95 Maladies sexuellement transmissibles : infections urogénitales à gonocoque et Chlamydia trachomatis (en dehors de la maladie de Nicolas-Favre) Annales de dermatologie et de vénéréologie (2012) 139, A57 A61 Disponible en ligne sur www.sciencedirect.com I. MODULES TRANSDISCIPLINAIRES Module 7 : Santé et environnement, maladies transmissibles Item

Plus en détail

L investigation chez la personne infectée par le VIH

L investigation chez la personne infectée par le VIH P O U R Q U O I P A R L E R D U V I H E N 2 0 0 4? 2 L investigation chez la personne infectée par le VIH quand et comment utiliser les différents tests de laboratoire? par Harold Dion Paul, un homme de

Plus en détail

Définition de l Infectiologie

Définition de l Infectiologie Définition de l Infectiologie Discipline médicale clinique Spécialisée. Prise en charge des Maladies Infectieuses et Tropicales. Actuelles, émergentes ou ré-émergentes. Référents dans le cadre d un maillage

Plus en détail

Coombs direct positif (et tout ce qui se cache derrière) : Gestion et interprétation. Dr J.C. Osselaer, Luxembourg, 14.12.2006

Coombs direct positif (et tout ce qui se cache derrière) : Gestion et interprétation. Dr J.C. Osselaer, Luxembourg, 14.12.2006 Coombs direct positif (et tout ce qui se cache derrière) : Gestion et interprétation Dr J.C. Osselaer, Luxembourg, 14.12.2006 Etiologie d'un Coombs Direct positif 1. Autoanticorps immunisation contre GR

Plus en détail

Vivre en santé après le traitement pour un cancer pédiatrique

Vivre en santé après le traitement pour un cancer pédiatrique PRÉCAUTIONS POUR LES INDIVIDUS SANS RATE FONCTIONNELLE La rate, c est quoi? La rate est un organe situé du coté gauche, vers le haut de l abdomen, sous les côtes, derrière l estomac. Une rate normale a

Plus en détail

SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES

SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES Dr Virginie NAEL Service de Santé au travail du personnel hospitalier CHU Nantes 44èmes journées FMC ANMTEPH / SOHF - Lausanne - Septembre

Plus en détail

Les pathologies infectieuses en pédiatrie

Les pathologies infectieuses en pédiatrie Les pathologies infectieuses en pédiatrie Université Catholique de Louvain VAN der LINDEN Dimitri (avec la collaboration de SANZOT Gauthier) - 2013-1 PATHOLOGIES INFECTIEUSES EN PÉDIATRIE - Table des matières

Plus en détail

Stratégies de dépistage des bactéries multirésistantes. Qui? Pourquoi? Comment? Après? L exemple des MRSA

Stratégies de dépistage des bactéries multirésistantes. Qui? Pourquoi? Comment? Après? L exemple des MRSA Stratégies de dépistage des bactéries multirésistantes à l hôpital et en MRS: Qui? Pourquoi? Comment? Après? L exemple des MRSA Prof. Dr. Youri Glupczynski Unité d Hygiène hospitalière & Laboratoire de

Plus en détail

Vaccination et tuberculose en Gériatrie. Unité de Prévention et de Dépistage: Centre de vaccination et centre de lutte anti tuberculeuse CH Montauban

Vaccination et tuberculose en Gériatrie. Unité de Prévention et de Dépistage: Centre de vaccination et centre de lutte anti tuberculeuse CH Montauban Vaccination et tuberculose en Gériatrie Unité de Prévention et de Dépistage: Centre de vaccination et centre de lutte anti tuberculeuse CH Montauban VACCINATIONS 2 Personnes âgées et vaccinations Avec

Plus en détail

Vaccination contre la grippe saisonnière

Vaccination contre la grippe saisonnière le point sur risques infectieux > Vaccinations Vaccination contre la grippe saisonnière Questions / Réponses - Professionnels de santé Document élaboré le 14 octobre 2014 1 - Quand a lieu la campagne de

Plus en détail

Evaluation d une nouvelle méthode pour le dosage des anticorps dirigés contre le virus Epstein-Barr

Evaluation d une nouvelle méthode pour le dosage des anticorps dirigés contre le virus Epstein-Barr Travail de diplôme Evaluation d une nouvelle méthode pour le dosage des anticorps dirigés contre le virus Epstein-Barr Ecole Supérieure de la Santé TAB 51 Département d immunologie Accompagnants : Mercedes

Plus en détail

Traitement antibiotique probabiliste des urétrites et cervicites non compliquées

Traitement antibiotique probabiliste des urétrites et cervicites non compliquées Bon usage Mise au point Traitement antibiotique probabiliste des urétrites et cervicites non compliquées Actualisation Octobre 2008 MESSAGES CLÉS L évolution de la résistance du gonocoque aux quinolones

Plus en détail

Résistance aux Antimicrobiens: Ensemble, nous pouvons réduire ce risque

Résistance aux Antimicrobiens: Ensemble, nous pouvons réduire ce risque Résistance aux Antimicrobiens: Ensemble, nous pouvons réduire ce risque Débats de Santé Publique 2014 Carmem Lúcia Pessoa-Silva, MD, PhD Health Security and Environment, WHO Headquarters, Geneva pessoasilvacl@who.int

Plus en détail

altona altona RealStar CMV PCR Kit 1.0 always a drop ahead. 04/2015 altona Diagnostics GmbH Mörkenstr. 12 22767 Hamburg Germany

altona altona RealStar CMV PCR Kit 1.0 always a drop ahead. 04/2015 altona Diagnostics GmbH Mörkenstr. 12 22767 Hamburg Germany altona DIAGNOSTICS altona DIAGNOSTICS RealStar CMV PCR Kit 1.0 04/2015 altona Diagnostics GmbH Mörkenstr. 12 22767 Hamburg Germany phone +49 40 548 06 76-0 fax +49 40 548 06 76-10 e-mail info@altona-diagnostics.com

Plus en détail

TEST ELISA (ENZYME-LINKED IMMUNOSORBENT ASSEY)

TEST ELISA (ENZYME-LINKED IMMUNOSORBENT ASSEY) TEST ELISA (ENZYME-LINKED IMMUNOSORBENT ASSEY) Lise Vézina, technicienne de laboratoire Michel Lacroix, agronome-phytopathologiste Direction de l innovation scientifique et technologique Au Laboratoire

Plus en détail

Ministère de la santé, de la jeunesse et des sports. Comité technique des infections nosocomiales et des infections liées aux soins

Ministère de la santé, de la jeunesse et des sports. Comité technique des infections nosocomiales et des infections liées aux soins Ministère de la santé, de la jeunesse et des sports. DIRECTION GENERALE DE LA SANTE DIRECTION DE L HOSPITALISATION ET DE L ORGANISATION DES SOINS Comité technique des infections nosocomiales et des infections

Plus en détail

Hépatite C une maladie silencieuse..

Hépatite C une maladie silencieuse.. Hépatite C une maladie silencieuse.. F. Bally Centre de Maladies Infectieuses et Epidémiologie Institut Central des Hôpitaux Valaisans Histoire Années 70 Hépatite non-a-non-b = hépatite post-transfusionelle

Plus en détail

Diagnostic et suivi virologique des hépatites virales B et C. Marie-Laure Chaix Virologie Necker

Diagnostic et suivi virologique des hépatites virales B et C. Marie-Laure Chaix Virologie Necker Diagnostic et suivi virologique des hépatites virales B et C Marie-Laure Chaix Virologie Necker OUTILS DIAGNOSTIQUES VHC Transaminases Recherche des Anticorps! Tests indirects - Anticorps! ELISA! RIBA

Plus en détail

POURQUOI L HYGIENE HYGIENE = PROPRETE HYGIENE = PREVENTION DES INFECTIONS COMMUNAUTAIRES ET DES INFECTIONS ASSOCIEES AUX SOINS

POURQUOI L HYGIENE HYGIENE = PROPRETE HYGIENE = PREVENTION DES INFECTIONS COMMUNAUTAIRES ET DES INFECTIONS ASSOCIEES AUX SOINS Prise en charge d un «résident septique» en Etablissements Médico Sociaux PRÉVENTION DES RISQUES INFECTIEUX EN ETABLISSEMENTS MÉDICO SOCIAUX INFECTIONS NOSOCOMIALES ET COMMUNAUTAIRES ASSOCIÉES AUX SOINS

Plus en détail

Précautions standard et complémentaires : quelles mesures pour quels patients?

Précautions standard et complémentaires : quelles mesures pour quels patients? 5 ème journée des référents en antibiothérapie Précautions standard et complémentaires : quelles mesures pour quels patients? Philippe Berthelot, Unité d hygiène inter hospitalière, Service des Maladies

Plus en détail

INFORMATIONS pour le médecin qui contrôle et complète le formulaire

INFORMATIONS pour le médecin qui contrôle et complète le formulaire Vaccination des étudiants du Baccalauréat en Médecine de Lausanne INFORMATIONS pour le médecin qui contrôle et complète le formulaire La vaccination du personnel de santé est recommandée par l Office fédéral

Plus en détail

Les maladies ou infections sexuellement transmissibles (MST)

Les maladies ou infections sexuellement transmissibles (MST) Les maladies ou infections sexuellement transmissibles (MST) MST est le terme utilisé pour décrire toute maladie, toute infection transmise par un rapport sexuel avec une personne déjà contaminée, et qui

Plus en détail

LISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B

LISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B LISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B Actualisation février 2009 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication

Plus en détail

MINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES DIRECTION GENERALE DE LA SANTE- DDASS DE SEINE MARITIME

MINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES DIRECTION GENERALE DE LA SANTE- DDASS DE SEINE MARITIME Département des situations d urgence sanitaire Personne chargée du dossier : Evelyne FALIP/Nicole BOHIC Tél : 01 40 56 59 65/02 32 18 31 66 evelyne.falip@sante.gouv.fr MINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES

Plus en détail

Indication du test. Contexte clinique. LDBIO-TOXO II IgG 0459 CONFIRMATION NOTICE D'UTILISATION

Indication du test. Contexte clinique. LDBIO-TOXO II IgG 0459 CONFIRMATION NOTICE D'UTILISATION LDBIO-TOXO II IgG 0459 CONFIRMATION #TOXO II - 24G (24 tests) #TOXO II - 12G (12 tests) #TOXO II - 96G (96 tests) Indication du test 1 Technique d'immunoblot pour usage diagnostique in vitro NOTICE D'UTILISATION

Plus en détail

Le titrage de l AgHBs: un témoin du statut du patient et de la réponse au traitement. Denis Ouzan Institut Arnault Tzanck, Saint-Laurent-du-Var

Le titrage de l AgHBs: un témoin du statut du patient et de la réponse au traitement. Denis Ouzan Institut Arnault Tzanck, Saint-Laurent-du-Var Le titrage de l AgHBs: un témoin du statut du patient et de la réponse au traitement Denis Ouzan Institut Arnault Tzanck, Saint-Laurent-du-Var Objectifs pédagogiques Connaitre les problèmes pratiques posés

Plus en détail

Devenir des soignants non-répondeurs à la vaccination anti-vhb. Dominique Abiteboul - GERES Jean-François Gehanno Michel Branger

Devenir des soignants non-répondeurs à la vaccination anti-vhb. Dominique Abiteboul - GERES Jean-François Gehanno Michel Branger Devenir des soignants non-répondeurs à la vaccination anti-vhb Dominique Abiteboul - GERES Jean-François Gehanno Michel Branger Contexte Hépatite B = risque professionnel pour les soignants Passé futur

Plus en détail

Projet de grossesse : informations, messages de prévention, examens à proposer

Projet de grossesse : informations, messages de prévention, examens à proposer DOCUMENT D INFORMATION POUR LES PROFESSIONNELS Projet de grossesse : informations, messages de prévention, examens à proposer Septembre 2009 DÉFINITION ET OBJECTIF Dès lors qu ils expriment un projet de

Plus en détail

Les Infections Associées aux Soins

Les Infections Associées aux Soins Les Infections Associées aux Soins Dr Catherine Sartor EOH Conception Assistance Publique Hôpitaux de Marseille Ecole IFSI, Marseille, 12 septembre 2014 Définitions 2007 Infection Nosocomiale (IN) 1999

Plus en détail

Ce que les femmes enceintes doivent savoir au sujet de la grippe H1N1 (appelée grippe porcine auparavant)

Ce que les femmes enceintes doivent savoir au sujet de la grippe H1N1 (appelée grippe porcine auparavant) Ce que les femmes enceintes doivent savoir au sujet de la grippe H1N1 (appelée grippe porcine auparavant) 3 mai 2009, 15 h HNE Sur cette page : Que dois-je faire si je contracte ce nouveau virus et que

Plus en détail

Evaluation des coûts de dépistage d Entérocoques Résistants aux Glycopeptides : Résultats préliminaires

Evaluation des coûts de dépistage d Entérocoques Résistants aux Glycopeptides : Résultats préliminaires Evaluation des coûts de dépistage d Entérocoques Résistants aux Glycopeptides : culture versus PCR Résultats préliminaires J. Assoukpa, L. Dupraz, D. Lecointe UFHHLIN, Centre Hospitalier Sud Francilien,

Plus en détail

Guide des vaccinations Édition 2006. Direction générale de la santé Comité technique des vaccinations

Guide des vaccinations Édition 2006. Direction générale de la santé Comité technique des vaccinations Guide des vaccinations Édition 2006 Direction générale de la santé Comité technique des vaccinations 200 La vaccination contre les infections invasives à méningocoque Depuis l introduction du vaccin contre

Plus en détail

Le Livre des Infections Sexuellement Transmissibles

Le Livre des Infections Sexuellement Transmissibles Le Livre des Infections Sexuellement Transmissibles sommaire Qu est-ce qu une IST? p. 5 La blennorragie gonococcique p. 7 La chlamydiose p. 8 L hépatite B p. 9 L herpès génital p. 10 Les mycoplasmes et

Plus en détail

À utiliser. dispensé de. dispense de Medicaid. concernant la UTILISATION PRÉVUE. chez. culture de. Le VRS est. moitié des. enfants sont 3, 5, 6

À utiliser. dispensé de. dispense de Medicaid. concernant la UTILISATION PRÉVUE. chez. culture de. Le VRS est. moitié des. enfants sont 3, 5, 6 À utiliser avec l'analyseur Sofia uniquement Complexité CLIA : Modérée pour les patients pédiatriques âgés entre 7 et 19 ans Complexité CLIA : DISPENSÉ DE RÉGLEMENTATION pour less enfants âgés de moins

Plus en détail

LES HEPATITES VIRALES

LES HEPATITES VIRALES LES HEPATITES VIRALES Infect virales atteignant préférentiellement le foie avec lés inflammatoires, altérat hépatocytaire (cytolsye hépatique) et élévat des transaminases. Etiolo gie Transm ission Contam

Plus en détail

Prévention anténatale du risque infectieux bactérien néonatal précoce

Prévention anténatale du risque infectieux bactérien néonatal précoce RECOMMANDATIONS POUR LA PRATIQUE CLINIQUE Prévention anténatale du risque infectieux bactérien néonatal précoce Recommandations SEPTEMBRE 2001 Service recommandations et références professionnelles SOMMAIRE

Plus en détail

Leucémies de l enfant et de l adolescent

Leucémies de l enfant et de l adolescent Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE

Plus en détail

Otite Moyenne Aiguë. Origine bactérienne dans 70 % des cas. Première infection bactérienne tous âges confondus

Otite Moyenne Aiguë. Origine bactérienne dans 70 % des cas. Première infection bactérienne tous âges confondus Otite Moyenne Aiguë OMA / modèle Origine bactérienne dans 70 % des cas Première infection bactérienne tous âges confondus Efficacité prouvée des antibiotiques Une des première cause d utilisation des antibiotiques

Plus en détail

TEST DE DÉTECTION DE LA PRODUCTION D INTERFÉRON γ POUR LE DIAGNOSTIC DES INFECTIONS TUBERCULEUSES

TEST DE DÉTECTION DE LA PRODUCTION D INTERFÉRON γ POUR LE DIAGNOSTIC DES INFECTIONS TUBERCULEUSES TEST DE DÉTECTION DE LA PRODUCTION D INTERFÉRON γ POUR LE DIAGNOSTIC DES INFECTIONS TUBERCULEUSES Classement NABM : non inscrit code : non codé DÉCEMBRE 2006 Service évaluation des actes professionnels

Plus en détail

vaccin pneumococcique polyosidique conjugué (13-valent, adsorbé)

vaccin pneumococcique polyosidique conjugué (13-valent, adsorbé) EMA/90006/2015 EMEA/H/C/001104 Résumé EPAR à l intention du public vaccin pneumococcique polyosidique conjugué (13-valent, adsorbé) Le présent document est un résumé du rapport européen public d évaluation

Plus en détail

Existe t il des effets pervers à l identification du portage de BMR?

Existe t il des effets pervers à l identification du portage de BMR? Existe t il des effets pervers à l identification du portage de BMR? J P Bedos, Réanimation, Hôpital Mignot Journée Antibio Résistance et Infections, 5 décembre 2013 Effets pervers des Conflits d intérêt

Plus en détail

Enseignement de Virologie (part. 2) Pr. Y. BAKRI Plan du cours

Enseignement de Virologie (part. 2) Pr. Y. BAKRI Plan du cours Université Mohammed V-Agdal Département de Biologie Faculté des Sciences Filière SVI Semestre 4 Année Universitaire : 2009-2010 Module optionnel: Biologie Humaine (M 16.1) Elément : Parasitologie - Virologie

Plus en détail

Hépatite chronique B Moyens thérapeutiques

Hépatite chronique B Moyens thérapeutiques Hépatite chronique B Moyens thérapeutiques Dr Olfa BAHRI Laboratoire de Virologie Clinique Institut Pasteur de Tunis INTRODUCTION Plus de 300. 10 6 porteurs chroniques de VHB dans le monde Hépatite chronique

Plus en détail

Comité d organisation

Comité d organisation Workshop Comité d organisation Khadija Akarid Abdelkrim Benbouzid Abdellah Badou Nadia Bouhaddioui Zakaria Chraïbi Hassan Fellah Jamal Hafid Fouad Seghrouchni Faculté polydisciplinaire de Safi Laboratoire

Plus en détail

Guide des vaccinations Édition 2012. Direction générale de la santé Comité technique des vaccinations

Guide des vaccinations Édition 2012. Direction générale de la santé Comité technique des vaccinations Guide des vaccinations Édition 2012 Direction générale de la santé Comité technique des vaccinations 293 Vaccinations pour les personnels de santé INTRODUCTION La vaccination des personnels de santé a

Plus en détail

Evalua&on tests diagnos&ques. Arnaud Fontanet

Evalua&on tests diagnos&ques. Arnaud Fontanet Evalua&on tests diagnos&ques Arnaud Fontanet Résultats d un test diagnos&que Maladie «Gold standard» Test expérimental + a b a+b - c d c+d a+c b+d Evaluation tests diagnostiques. Arnaud Fontanet 2 Résultats

Plus en détail

Virus de l hépatite B

Virus de l hépatite B Virus de l hépatite B Virus de l hépatite B Hépatite aiguë B Virus de l hépatite B Hépatite aiguë B Persistance de l antigène HBs 10% - 90% Virus de l hépatite B Hépatite aiguë B faible ou absente Persistance

Plus en détail

Une gamme de services dédiés à la qualité cellulaire

Une gamme de services dédiés à la qualité cellulaire Une gamme de services dédiés à la qualité cellulaire Autres services Clean Cells met également en œuvre son expertise dans des programmes : d'ingénierie pour la conception de laboratoires, d'accompagnement

Plus en détail

Il est bien établi que le réseau d eau hospitalier peut

Il est bien établi que le réseau d eau hospitalier peut Les micro-organismes de l eau impliqués dans les infections nosocomiales Depuis 2001 chez Pall, en charge de l information scientifique et réglementaire dans les domaines d applications couverts par la

Plus en détail

Guide du parcours de soins Titre ACTES ET PRESTATIONS AFFECTION DE LONGUE DURÉE. Hépatite chronique B

Guide du parcours de soins Titre ACTES ET PRESTATIONS AFFECTION DE LONGUE DURÉE. Hépatite chronique B Guide du parcours de soins Titre ACTES ET PRESTATIONS AFFECTION DE LONGUE DURÉE Hépatite chronique B Février 2015 Ce document est téléchargeable sur : www.has-sante.fr Haute Autorité de Santé Service des

Plus en détail

TEST DE DÉPISTAGE DE L IMMUNITÉ CONTRE LE

TEST DE DÉPISTAGE DE L IMMUNITÉ CONTRE LE TEST DE DÉPISTAGE DE L IMMUNITÉ CONTRE LE 14 TÉTANOS ET LA ROUGEOLE 14.1 INTRODUCTION Soumaïla MARIKO Comme on l a déjà précisé au chapitre 1, des tests de dépistage de l immunité contre le tétanos et

Plus en détail

Annales du Contrôle National de Qualité des Analyses de Biologie Médicale

Annales du Contrôle National de Qualité des Analyses de Biologie Médicale Annales du Contrôle National de Qualité des Analyses de Biologie Médicale ARN du virus de l hépatite C : ARN-VHC ARN-VHC 03VHC1 Novembre 2003 Edité : mars 2006 Annales ARN-VHC 03VHC1 1 / 8 ARN-VHC 03VHC1

Plus en détail

Le don de moelle osseuse :

Le don de moelle osseuse : DON DE MOELLE OSSEUSE Le don de moelle osseuse : se décider aujourd hui, s engager pour longtemps LA MOELLE OSSEUSE ET SA GREFFE La moelle osseuse C est le tissu mou dans le centre du corps des os qui

Plus en détail

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 1 décembre 2010

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 1 décembre 2010 COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 1 décembre 2010 MENVEO, poudre et solution pour injection Vaccin méningococcique des groupes A, C, W-135 et Y conjugué B/1 flacon + 1 seringue préremplie (CIP: 360 379-1)

Plus en détail

Apport d un nouveau test Interféron Gamma

Apport d un nouveau test Interféron Gamma Apport d un nouveau test Interféron Gamma Dr D. Bonnet Service de maladies infectieuses Bichat Claude bernard Tuberculose 1/3 population mondiale infectée par BK Primo infection asymptomatique 90% des

Plus en détail

+ Questions et réponses

+ Questions et réponses HÉPATITE B L hépatite B c est quoi? L hépatite B est un type de maladie du foie causée par le virus de l hépatite B, une des formes les plus courantes de l hépatite virale (les autres sont le virus de

Plus en détail

QUESTIONS FREQUEMMENT POSEES AUX EXPERTS DU SERVICE TELEPHONE VERT SIDA (800861061) ISTITUTO SUPERIORE DI SANITA

QUESTIONS FREQUEMMENT POSEES AUX EXPERTS DU SERVICE TELEPHONE VERT SIDA (800861061) ISTITUTO SUPERIORE DI SANITA QUESTIONS FREQUEMMENT POSEES AUX EXPERTS DU SERVICE TELEPHONE VERT SIDA (800861061) ISTITUTO SUPERIORE DI SANITA INFORMATIONS SUR LE TEST DE DEPISTAGE Q. Quels examens médicaux doit-on faire pour détecter

Plus en détail

Vaccination des voyageurs dont la sérologie VIH est positive.

Vaccination des voyageurs dont la sérologie VIH est positive. Vaccination des voyageurs dont la sérologie VIH est positive. Pr Jean Beytout Service des maladies infectieuses et tropicales CHU de Clermont-Ferrand. Comité Technique des Vaccinations Conclusion Le principal

Plus en détail

Z I G U I N C H O R SITUATION ECONOMIQUE ET SOCIALE REGIONALE 2013. Service Régional de la Statistique et de la Démographie de Ziguinchor

Z I G U I N C H O R SITUATION ECONOMIQUE ET SOCIALE REGIONALE 2013. Service Régional de la Statistique et de la Démographie de Ziguinchor Z I G U I N C H O R REPUBLIQUE DU SENEGAL Un Peuple Un But Une Foi ------------------ MINISTERE DE L ECONOMIE, DES FINANCES ET DU PLAN ------------------ AGENCE NATIONALE DE LA STATISTIQUE ET DE LA DEMOGRAPHIE

Plus en détail