RAPPORT D'ENQUÊTE DPI RAP RAPPORT D ENQUÊTE
|
|
- Adèle Dupuis
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 RAPPORT D ENQUÊTE EN Chute mortelle d un coordonnateur survenue le 4 octobre 2012 à l'entreprise Moisson Montréal inc. située au 6880, chemin Côte-de-Liesse à Montréal, arrondissement Saint-Laurent Direction régionale de Montréal-3 Inspecteurs : Carole Grenon, ing. Ramdane Djedid, ing. Date du rapport : 28 février 2013
2 Rapport distribué à : Monsieur, directeur général Moisson Montréal inc.; Docteure Christine Pecto, coroner Bureau du coroner; Docteur Richard Massé, directeur de la santé publique Agence de la santé et des services sociaux de Montréal.
3 TABLE DES MATIÈRES 1 RÉSUMÉ DU RAPPORT 1 2 ORGANISATION DU TRAVAIL STRUCTURE GÉNÉRALE DE L ÉTABLISSEMENT ORGANISATION DE LA SANTÉ ET DE LA SÉCURITÉ DU TRAVAIL MÉCANISMES DE PARTICIPATION PROGRAMME DE PRÉVENTION 5 3 DESCRIPTION DU TRAVAIL DESCRIPTION DU LIEU DE TRAVAIL DESCRIPTION DU TRAVAIL À EFFECTUER 8 4 ACCIDENT : FAITS ET ANALYSE CHRONOLOGIE DE L'ACCIDENT CONSTATATIONS ET INFORMATIONS RECUEILLIES INFORMATION RELATIVE À L EXPÉRIENCE DU COORDONNATEUR ACCIDENTÉ DESCRIPTION DES ÉQUIPEMENTS ET MATÉRIELS UTILISÉS LORS DE L ACCIDENT TÉMOIGNAGES RECUEILLIS ET CONSTATATIONS LOIS, RÈGLEMENTS ET NORMES ÉNONCÉS ET ANALYSE DES CAUSES LA CONCEPTION DE L OUVERTURE DU GARDE-CORPS DE LA MEZZANINE PERMET AU COORDONNATEUR D ACCÉDER AU VIDE L IMPROVISATION D UNE MÉTHODE DE DÉMÉNAGEMENT D UN BUREAU EXPOSE LE COORDONNATEUR À UNE CHUTE CONCLUSION CAUSES DE L'ACCIDENT 18 LA CONCEPTION DE L OUVERTURE DU GARDE-CORPS DE LA MEZZANINE PERMET AU COORDONNATEUR D ACCÉDER AU VIDE. 18 L IMPROVISATION D UNE MÉTHODE DE DÉMÉNAGEMENT D UN BUREAU EXPOSE LE COORDONNATEUR À UNE CHUTE AUTRES DOCUMENTS ÉMIS LORS DE L ENQUÊTE 18 ANNEXES ANNEXE A : L accidenté 19 ANNEXE B : Liste des témoins et autres personnes rencontrés 20 ANNEXE C : Références bibliographiques 21
4 SECTION 1 1 RÉSUMÉ DU RAPPORT Description de l'accident Le 4 octobre 2012, vers 8 h 20, dans les locaux de l entreprise Moisson Montréal inc., un coordonnateur tombe d une mezzanine haute d environ 4,3 m alors qu il effectue une manœuvre pour le déplacement d un meuble. Les portillons du garde-corps de la mezzanine étaient ouverts lors de l accident. Conséquences Le coordonnateur décède des suites de ses blessures, quelques heures plus tard. Photo nº 1 : Reconstitution illustrant la position du coordonnateur après sa chute (source : CSST) Moisson Montréal inc., 4 octobre 2012 page 1
5 Abrégé des causes L analyse et l enquête de l accident permettent d établir deux causes à l origine de l accident : La conception de l ouverture du garde-corps de la mezzanine permet au coordonnateur d accéder au vide; L improvisation d une méthode de déménagement d un meuble expose le coordonnateur à une chute. Mesures correctives À la suite de l accident, le rapport d intervention RAP , daté du 4 octobre 2012, contient une décision interdisant l ouverture des portillons du garde-corps de la mezzanine avant que des mesures correctives ne soient mises en place pour éliminer le danger de chute. Le présent résumé n'a pas comme tel de valeur légale et ne tient lieu ni de rapport d'enquête, ni d'avis de correction ou de toute autre décision de l'inspecteur. Il ne remplace aucunement les diverses sections du rapport d'enquête qui devrait être lu en entier. Il constitue un aide-mémoire identifiant les éléments d'une situation dangereuse et les mesures correctives à apporter pour éviter la répétition de l'accident. Il peut également servir d'outil de diffusion dans votre milieu de travail. Moisson Montréal inc., 4 octobre 2012 page 2
6 SECTION 2 2 ORGANISATION DU TRAVAIL 2.1 Structure générale de l établissement L établissement est une entreprise à but non lucratif qui a pour missions la collecte et la distribution de denrées alimentaires destinées aux banques alimentaires et autres organismes communautaires intervenant sur l Île-de-Montréal. L entreprise est classée. L établissement emploie 42 travailleurs sur un quart de travail de jour, de 7 h à 15 h 30 et ce, du lundi au vendredi. L établissement accueille également de 30 à 50 bénévoles réguliers. Par ailleurs, certaines entreprises prêtent gratuitement les services de leurs travailleurs ponctuellement pour effectuer certaines tâches. Moisson Montréal inc., 4 octobre 2012 page 3
7 Le coordonnateur accidenté Figure nº 1 : Organigramme de l entreprise (source : Moisson Montréal inc.) Moisson Montréal inc., 4 octobre 2012 page 4
8 2.2 Organisation de la santé et de la sécurité du travail Mécanismes de participation Un comité de santé et sécurité du travail est mis en place dans l établissement depuis le printemps Celui-ci est constitué de cinq représentants des travailleurs et de quatre représentants de l employeur. Le comité se réunit une fois par mois. On trouve entre autres dans les comptes-rendus de ces réunions le suivi du plan d action des mesures correctives envisagées ainsi que l analyse des accidents s il y a lieu. À l embauche, les nouveaux travailleurs reçoivent une formation en santé et sécurité portant sur les règles de sécurité générales à observer dans l établissement. Un Guide d accueil du bénévole individuel est également disponible. Ce guide traite, entre autres, des exigences en matière d équipements de protection individuelle, des règles de circulation dans l entrepôt, de l évacuation d urgence ainsi que de la liste des secouristes en milieu de travail. Un formulaire de présence est rempli après chaque activité de formation en santé et sécurité. La coordination des mécanismes de participation est assurée par la directrice des ressources humaines. La gestion en est assurée par le directeur général Programme de prévention L employeur a développé un programme de prévention en collaboration avec une conseillère de l Association paritaire pour la santé et la sécurité du travail du secteur affaires sociales (ASSTSAS). Le programme en question, complété au printemps 2012, s intitule : La santé sécurité et l environnement chez Moisson Montréal. Le document s articule autour de plusieurs sujets, dont la politique de l établissement en matière de santé et de sécurité. Il traite aussi de certains risques propres aux activités pratiquées dans l établissement, notamment la manutention et l entreposage du matériel, l utilisation des équipements tels que les chariots élévateurs et les transpalettes électriques, les travaux en hauteur et la prévention des chutes. Ce dernier point est abordé au chapitre cinq du programme de prévention. Il y est notamment rappelé que le port d un harnais de sécurité est obligatoire lors de travaux effectués à partir d une nacelle ou d une plateforme élévatrice à bras articulé et lorsqu il y a un risque de chute de plus de trois mètres. Un harnais de sécurité, de marque «Titan», est disponible à cet effet. Celui-ci est approuvé par l Association canadienne de normalisation (CSA), classes A. Sa plaque signalétique indique une capacité maximale de 181 kg. Moisson Montréal inc., 4 octobre 2012 page 5
9 SECTION 3 3 DESCRIPTION DU TRAVAIL 3.1 Description du lieu de travail L accident est survenu sur une mezzanine surplombant les zones de triage des denrées alimentaires (fraîches et sèches). Cette mezzanine se situe au cœur de l établissement, entre la zone de déchargement et l entrepôt des denrées alimentaires. Quatre rangées de palettiers à simple profondeur sont disposées perpendiculairement à la mezzanine dans cet entrepôt dont la superficie est de 3809 m 2. Photo nº 2 : Aménagement de la mezzanine (source : CSST) Moisson Montréal inc., 4 octobre 2012 page 6
10 On trouve sur la mezzanine trois bureaux d une superficie de 19 m 2 chacun, et un quatrième de 22 m 2, pour un total de 78 m 2. On y trouve également une salle des machines d une superficie de 73 m 2. La voie de circulation devant les bureaux de la mezzanine est d une largeur de 2 m. L accident est survenu près du troisième bureau de la mezzanine, identifié «no c» dans la figure nº 2. Figure nº 2 : Plan d aménagement de la mezzanine (source : Moisson Montréal inc.) Photo nº 3 : Portillons de la mezzanine (source : CSST) Moisson Montréal inc., 4 octobre 2012 page 7
11 3.2 Description du travail à effectuer Le jour de l accident, Monsieur B (ci-après nommé «le coordonnateur accidenté») prend l initiative d effectuer lui-même le déménagement d un meuble 1 qui lui avait été attribué par le directeur de la logistique lors de la réunion matinale. Le meuble en question, destiné à son propre usage, se trouve dans le troisième bureau en haut de la mezzanine. Le trajet prévu pour le déménagement du meuble, à partir du département de l expédition vers son bureau au département de la distribution, est illustré dans la figure nº 3. Pour effectuer cette tâche, le coordonnateur accidenté utilise un chariot élévateur à conduite debout de marque «Raymond» ainsi qu une palette de bois. L allocation des meubles reçus en don est normalement sous la responsabilité de l adjointe du directeur général. Une politique spécifique est d ailleurs prévue à cet effet. La politique en question, qui s adresse à tous les membres du comité de gestion de Moisson Montréal inc., établit les critères d acceptation et la procédure de distribution du mobilier et des équipements reçus en don ainsi que les responsabilités de chaque intervenant. Ainsi est-il rappelé au troisième point de cette politique que le département de la logistique est responsable de la cueillette du mobilier ou des équipements qui seront utilisés dans l établissement, tandis que leur installation est planifiée avec le directeur des opérations immobilières. 1 Un bureau en mélamine à deux tiroirs. Moisson Montréal inc., 4 octobre 2012 page 8
12 Trajet prévu par le coordonnateur accidenté pour le déménagement du meuble de la mezzanine vers le bureau de la distribution X Figure nº 3 : Plan de positionnement de la mezzanine dans l établissement (source : Moisson Montréal inc.) Moisson Montréal inc., 4 octobre 2012 page 9
13 4 ACCIDENT : FAITS ET ANALYSE 4.1 Chronologie de l'accident SECTION 4 Le matin du 4 octobre 2012, le coordonnateur accidenté arrive au travail aux environs de 7 h. Après la réunion matinale, vers 8 h 10, il se présente dans le bureau de madame C, ci-après nommée «Madame C», afin de voir le meuble à déménager. Vers 8 h 15, il va à l entrepôt chercher un chariot élévateur. Il installe une palette de bois sur les fourches du chariot et se dirige vers la mezzanine. Il monte l escalier menant en haut de la mezzanine puis ouvre les portillons du garde-corps. Il redescend et positionne le chariot élévateur en face de l ouverture de la mezzanine, puis lève les fourches et dépose la palette sur le plancher de la mezzanine. Il entre dans le bureau de Madame C. Celle-ci retient la porte de son bureau pendant que le coordonnateur accidenté traîne le meuble jusqu à la palette. Il soulève une extrémité du meuble et la positionne sur la palette. Le panneau latéral du meuble se retrouve coincé entre deux planches de la palette de bois. Madame C observe le coordonnateur accidenté qui se déplace vers le bord de la mezzanine où il se positionne entre le tablier du chariot élévateur et le garde-corps de la mezzanine. En tentant de replacer le meuble sur la palette, le coordonnateur accidenté perd l équilibre et tombe de la mezzanine. Vers 8 h 30, les pompiers, les policiers et les ambulanciers arrivent sur les lieux. Le coordonnateur décède à l hôpital des suites de ses blessures le soir du 4 octobre Photo nº 4 : Reconstitution illustrant la position du coordonnateur après sa chute (source : CSST) Moisson Montréal inc., 4 octobre 2012 page 10
14 4.2 Constatations et informations recueillies Information relative à l expérience du coordonnateur accidenté Le coordonnateur accidenté est entré en fonction dans l établissement en juillet 2011 en tant que. D octobre 2011 à février 2012, il occupe le poste de coordonnateur du tri et de la distribution. De février 2012 au jour de l accident, il occupe le poste de coordonnateur. En tant que coordonnateur, le coordonnateur accidenté avait plusieurs responsabilités dont voici le détail, tel que libellé dans la description des tâches de l employeur pour son poste de travail : «- S assurer de l encadrement adéquat des bénévoles réguliers et ponctuels; - Sélectionner les denrées à distribuer; - S assurer du bon fonctionnement de la distribution des denrées avec le personnel en place; - S assurer de la réception efficace des denrées; - S assurer de garder les zones de travail propres; - S assurer du respect des règles de santé sécurité; - S assurer du respect des règles d hygiène et de salubrité; - S assurer de l exactitude des données dans le système d entreposage; - Rédiger les rapports hebdomadaires et mensuels; - Favoriser un bon climat de travail; - Assurer le remplacement de certains collègues de travail pendant les vacances et les absences sur une courte période; - Toute autre tâche connexe.» Le curriculum vitæ du coordonnateur accidenté indique que celui-ci avait été dans un emploi antérieur. Cela explique d ailleurs pourquoi il était autorisé à utiliser un chariot élévateur dans l établissement. Moisson Montréal inc., 4 octobre 2012 page 11
15 4.2.2 Description des équipements et matériels utilisés lors de l accident Chariot élévateur : - Il s agit d un chariot élévateur électrique à conduite debout de marque «Raymond»; - Les capacités nominales du chariot apparaissent dans la photo nº 4; - La plaque signalétique du chariot indique que celui-ci a été fabriqué selon les spécifications de la norme ANSI / ITSDF B La largeur du tablier du chariot élévateur est de 86 cm. Photo nº 6 : Plaque signalétique du chariot élévateur de marque «Raymond» (source : CSST) Photo nº 5 : Chariot élévateur de marque «Raymond» (source : CSST) Bureau : Les dimensions du meuble sont : - Largeur : 107 cm; - Hauteur : 74 cm; - Profondeur : 77 cm; - Profondeur du panneau central : 64 cm; - Hauteur des deux tiroirs : 46 cm; - Largeur des tiroirs : 41 cm; - Épaisseur des panneaux : 2,5 cm; Endroit où s est trouvé coincé le panneau latéral du bureau - Le poids du meuble est d environ 58 kg. Photo nº 7 : Position du bureau sur la palette après l accident (source : CSST) Moisson Montréal inc., 4 octobre 2012 page 12
16 Palette de bois : ses dimensions sont : - Largeur : 122 cm; - Longueur : 103 cm; - L espacement entre les planches de la palette varie entre 2,5 cm et 7,5 cm. L espace libre entre le tablier du chariot élévateur et le côté droit du garde-corps de la mezzanine est d environ 50 cm. C est à cet endroit qu était placé le coordonnateur accidenté. Garde-corps de la mezzanine : Ses dimensions sont : - Distance entre l ouverture et l extrémité gauche du garde-corps : 312 cm; - Distance entre l ouverture et l extrémité droite du garde-corps : 124 cm; - Hauteur : 107 cm; - Hauteur de la lisse intermédiaire : 48 cm; - Largeur de l ouverture incluant l espace entre les deux portillons :188 cm; - Espace entre les deux portillons de l ouverture : 9 cm; - Largeur d un portillon de l ouverture : 89 cm. Notez bien : les deux portillons de l ouverture du garde-corps de la mezzanine s ouvrent seulement vers l intérieur Témoignages recueillis et constatations Photo nº 8 : Palette de bois (source : CSST) Dans le bureau de la distribution se trouvent deux meubles avec ordinateurs, dont l un était utilisé par le coordonnateur accidenté et le second par un collègue. À la suite d un réaménagement du département de la distribution, un troisième travailleur est affecté à l équipe du coordonnateur accidenté, au bureau de la distribution. Le coordonnateur accidenté lui cède son ancien meuble. Le directeur attribue au coordonnateur accidenté un meuble inutilisé qui se trouve dans le bureau de Madame C sur la mezzanine. Ce sujet a été abordé lors de la réunion matinale, le jour même de l accident, et le déménagement de ce meuble devait se faire après la pause du matin. Toutefois, les détails du déménagement n avaient pas été précisés. Il n est pas dans les tâches habituelles d un coordonnateur d utiliser un chariot élévateur et de déménager des meubles. En effet, lorsque l installation ou le déménagement Moisson Montréal inc., 4 octobre 2012 page 13
17 d un meuble ou d un équipement est planifié dans l établissement, la tâche est habituellement confiée à Monsieur D (ci-après nommé «Monsieur D»), qui était au travail et disponible le jour de l accident. Si l utilisation d un chariot élévateur est requise, Monsieur D demande l assistance d un cariste. Au besoin, il sollicite l aide d un bénévole pour la manutention des meubles ou des équipements. Ainsi, la technique utilisée lors du chargement d un bureau, par exemple, à partir de la mezzanine, consiste à ce que deux personnes soulèvent le bureau et l installent sur la palette en se tenant toutes les deux loin de l ouverture de la mezzanine. Par la suite, les deux travailleurs se placent derrière la charge et commencent à pousser un à la fois, tantôt à gauche, tantôt à droite, pour faire glisser la palette jusqu au bord de la mezzanine, afin qu elle soit enfourchée par le chariot élévateur. Il est relativement rare que des meubles soient déménagés depuis ou vers la mezzanine. Par contre, des barils de 200 litres d'eau glycolée sont régulièrement acheminés vers la salle des machines située du côté gauche sur la mezzanine, l eau glycolée étant nécessaire au système de chauffage de l édifice. Cela explique, en grande partie, pourquoi le garde-corps de la mezzanine est pourvu de portillons pivotants qui peuvent s ouvrir vers l intérieur. La largeur de l ouverture du garde-corps de la mezzanine correspond à la largeur de la porte de la salle des machines Lois, règlements et normes Selon la Loi sur la santé et la sécurité du travail (S-2.1)(LSST), 51. L'employeur doit prendre les mesures nécessaires pour protéger la santé et assurer la sécurité et l'intégrité physique du travailleur. Il doit notamment ( ) 3 s'assurer que l'organisation du travail et les méthodes et techniques utilisées pour l'accomplir sont sécuritaires et ne portent pas atteinte à la santé du travailleur ; ( ) 9 informer adéquatement le travailleur sur les risques reliés à son travail et lui assurer la formation, l'entraînement et la supervision appropriés afin de faire en sorte que le travailleur ait l'habileté et les connaissances requises pour accomplir de façon sécuritaire le travail qui lui est confié; Moisson Montréal inc., 4 octobre 2012 page 14
18 Selon le Règlement sur la santé et la sécurité du travail (S-2.1, r-13) (RSST), 10. Ouvertures verticales : Toute ouverture pratiquée dans un mur qui présente un danger de chute pour un travailleur ou pour tout objet doit être pourvue d'un garde-corps ou d'un écran de protection. 11. Exceptions : Les articles 9 et 10 ne s'appliquent pas lorsque l'utilisation d'un couvercle, d'un garde-corps ou d'un écran de protection a pour effet d'empêcher l'accomplissement d'une tâche qui ne pourrait raisonnablement être exécutée autrement. Dans un tel cas, le couvercle, le garde-corps ou l'écran de protection peut être retiré, mais uniquement pendant la durée des travaux. Le port d'un harnais de sécurité est alors obligatoire pour tout travailleur exposé à un danger de chute dans l'ouverture, sauf si le travailleur est protégé par un autre dispositif qui lui assure une sécurité équivalente ou par un filet de sécurité. 31. Passerelles et plates-formes fixes : Les passerelles et les plates-formes fixes doivent : ( ) 2 être munies de garde-corps conformes aux articles 12 et 13 sur les côtés exposés aux chutes, si leur hauteur au-dessus du sol ou du plancher est supérieure à 450 mm, sauf s'il s'agit d'un quai de débarquement ou d'une plate-forme de chargement; ( ) 346. Dispositifs de protection contre les chutes : Le port d'un harnais de sécurité est obligatoire pour tout travailleur exposé à une chute de plus de 3 m de sa position de travail, sauf si le travailleur est protégé par un autre dispositif lui assurant une sécurité équivalente ou par un filet de sécurité, ou lorsqu'il ne fait qu'utiliser un moyen d'accès ou de sortie. Selon la norme MHI/SMA MH , article 6.4.3, portant sur les spécifications pour la conception, la fabrication et l installation de plateformes de travail métalliques dans les milieux industriels, les ouvertures dans les garde-corps, destinées à permettre le déchargement ou le chargement de matériel depuis ou vers la plateforme, doivent être protégées en tout temps. 4.3 Énoncés et analyse des causes La conception de l ouverture du garde-corps de la mezzanine permet au coordonnateur d accéder au vide. La mezzanine, située à 4,3 m du sol, est munie d un garde-corps. La conception du garde-corps de la mezzanine devait tenir compte du fait que des barils d'eau glycolée de 200 litres doivent être régulièrement acheminés vers la salle des machines située du côté gauche sur la mezzanine, l eau glycolée étant nécessaire au système de chauffage de l édifice. Cela explique, en grande partie, pourquoi le garde-corps de la mezzanine est pourvu de portillons pivotants pouvant s ouvrir vers l intérieur. La largeur de l ouverture du garde-corps de la mezzanine correspond à Moisson Montréal inc., 4 octobre 2012 page 15
19 la largeur de la porte de la salle des machines. L ouverture des deux portillons du garde-corps de la mezzanine crée un accès vers le vide de 188 cm de largeur. Les articles 11 et 346 du RSST stipulent que dans le cas où, entre autres, un garde-corps a pour effet d'empêcher l'accomplissement d'une tâche qui ne pourrait raisonnablement être exécutée autrement, le garde-corps peut être retiré, mais uniquement pendant la durée des travaux. Le port d'un harnais de sécurité est alors obligatoire pour tout travailleur exposé à un danger de chute dans l'ouverture, sauf si le travailleur est protégé par un autre dispositif qui lui assure une sécurité équivalente ou par un filet de sécurité. Par ailleurs, l article de la norme MHI/SMA MH , portant sur les spécifications pour la conception, la fabrication et l installation de plateformes de travail dans les milieux industriels, stipule que les ouvertures dans les garde-corps, destinées à permettre le déchargement ou le chargement de matériel depuis ou vers la plateforme, doivent être protégées en tout temps. L employeur a prévu, dans son programme de prévention, de protéger les travailleurs contre les chutes de hauteur, notamment au chapitre cinq où il est mentionné que le port d un harnais de sécurité est obligatoire lors des travaux effectués à partir d une nacelle ou d une plateforme élévatrice à bras articulé et lorsqu il y a un risque de chute de plus de trois mètres. Un harnais de sécurité, de marque «Titan», est disponible à cet effet. Celui-ci est approuvé par l Association canadienne de normalisation (CSA), classes A. Sa plaque signalétique indique une capacité maximale de 181 kg. Cependant, la mezzanine n est pas munie d un quelconque point d ancrage qui aurait permis aux travailleurs d assujettir leur harnais de sécurité lorsqu ils effectuent des tâches sur le bord de la mezzanine alors que les portillons sont ouverts. Le coordonnateur accidenté place les fourches du chariot élévateur dans l ouverture du gardecorps sur le plancher de la mezzanine. Le chariot élévateur est positionné approximativement au centre de l ouverture de la mezzanine. Cela laisse un espace libre d environ 50 cm entre le tablier du chariot élévateur et le côté droit du garde-corps de la mezzanine. Le coordonnateur accidenté se positionne devant cet espace libre, au bord du vide, lorsqu il s efforce de dégager le meuble coincé sur la palette. Ainsi, bien qu il soit exposé au vide, le coordonnateur accidenté ne porte pas de harnais de sécurité. L analyse des faits permet d affirmer que la conception de l ouverture du garde-corps de la mezzanine permet au coordonnateur d accéder au vide. Cette cause est retenue L improvisation d une méthode de déménagement d un bureau expose le coordonnateur à une chute. Après avoir examiné les dimensions du meuble inutilisé se trouvant dans le troisième bureau sur la mezzanine, le directeur décide que ce meuble serait mis à la disposition du coordonnateur accidenté, dans le bureau de la distribution. Ce sujet avait été évoqué au cours de la réunion matinale, le jour même de l accident. Au lieu de laisser l adjointe du directeur général s occuper du déménagement du meuble, en appliquant la procédure habituelle, le coordonnateur accidenté prend l initiative de déménager le meuble seul, sans demander d aide. Pourtant, il s agit là d une tâche que le coordonnateur accidenté, en sa qualité de coordonnateur Moisson Montréal inc., 4 octobre 2012 page 16
20 aurait pu déléguer à d autres travailleurs, notamment au soutien à l entretien du bâtiment qui se charge habituellement de ce genre de tâche avec, au besoin, l aide d autres travailleurs ou de bénévoles. Le coordonnateur accidenté installe la palette de bois enfourchée par le chariot élévateur sur le plancher de la mezzanine dans l ouverture du garde-corps. Il traîne ensuite le meuble de l intérieur du bureau jusqu à la palette. Le poids du meuble, environ 58 kg, ainsi que ses dimensions rendent très ardue sa manipulation par une seule personne. Pour le placer sur la palette, il soulève le meuble un côté à la fois. C est ainsi que le panneau latéral gauche du meuble se trouve coincé entre deux lattes de la palette, car l épaisseur des panneaux constituant le meuble est inférieure à l espace entre les lattes de la palette. Le meuble se trouve ainsi dans une position inadéquate pour le transport. Le coordonnateur accidenté entreprend alors une manœuvre pour le décoincer afin de le repositionner sur la palette. Le coordonnateur accidenté se positionne à la droite du tablier du chariot élévateur sur le bord de la mezzanine pour décoincer le meuble. Ce faisant, il se place en bordure du vide. Il chute de 4,3 mètres. Cette méthode de travail improvisée s est avérée dangereuse puisqu elle a entraîné la chute mortelle du coordonnateur. Cette cause est retenue. Moisson Montréal inc., 4 octobre 2012 page 17
21 SECTION 5 5 CONCLUSION 5.1 Causes de l'accident L enquête nous a permis de retenir les causes suivantes pour expliquer cet accident : La conception de l ouverture du garde-corps de la mezzanine permet au coordonnateur d accéder au vide. L improvisation d une méthode de déménagement d un bureau expose le coordonnateur à une chute. 5.2 Autres documents émis lors de l enquête Rapport RAP : à la suite de l accident, le 4 octobre 2012, les inspecteurs interdisent l ouverture des portillons du garde-corps de la mezzanine avant que des mesures correctives ne soient mises en place pour éliminer le danger de chute. Moisson Montréal inc., 4 octobre 2012 page 18
22 ANNEXE A L accidenté Nom, prénom : Sexe : masculin Âge : Fonction habituelle : coordonnateur Fonction lors de l accident : coordonnateur Expérience dans cette fonction : Ancienneté chez l employeur : Syndicat : non Moisson Montréal inc., 4 octobre 2012 page 19
23 ANNEXE B Liste des témoins et des autres personnes rencontrées Moisson Montréal inc., 4 octobre 2012 page 20
24 ANNEXE C Références bibliographiques QUÉBEC. Loi sur la santé et la sécurité du travail : L.R.Q., chapitre S-2.1, à jour au 10 janvier 2012, Québec, Éditeur officiel du Québec, 2012, vi, 67, xii p. QUÉBEC. Règlement sur la santé et la sécurité du travail, S-2.1, r. 13, à jour au 6 mars 2012, Québec, Éditeur officiel du Québec, 2012, vii, 115 p. MATERIAL HANDLING INDUSTRY OF AMERICA. STORAGE EQUIPMENT MANUFACTURERS ASSOCIATION, AMERICAN NATIONAL STANDARD INSTITUTE. Specification for the design, manufacture, and installation of industrial steel work platforms, Charlotte, SMA, 2009, iv, 21 p. (MHI/SMA MH ). Moisson Montréal inc., 4 octobre 2012 page 21
RAPPORT D'ENQUÊTE DPI4063250 RAP0319223 RAPPORT D ENQUÊTE. Direction régionale de Montréal 3
EN003584 RAPPORT D ENQUÊTE Direction régionale de Montréal 3 Accident mortel survenu à une personne le 15 octobre 2005 sur le site du Stationnement Idéal inc. au 1225, rue Metcalfe à Montréal Nicole Dionne,
Plus en détailRAPPORT D'ENQUÊTE D'ACCIDENT DIRECTION RÉGIONALE ÎLE-DE-MONTRÉAL-1 ACCIDENT MORTEL SURVENU À UN EMPLOYEUR AU 426, RUE GAGNÉ, LASALLE LE 7 JUILLET 2003
EN003429 RAPPORT D'ACCIDENT DIRECTION RÉGIONALE ÎLE-DE-MONTRÉAL-1 ACCIDENT MORTEL SURVENU À UN EMPLOYEUR AU 426, RUE GAGNÉ, LASALLE LE 7 JUILLET 2003 PAUL LÉTOURNEAU, ING., INSPECTEUR TABLE DES MATIÈRES
Plus en détailRAPPORT D'ENQUÊTE D'ACCIDENT DIRECTION RÉGIONALE DE L'ÎLE DE MONTRÉAL-5
EN003100 RAPPORT D'ENQUÊTE D'ACCIDENT DIRECTION RÉGIONALE DE L'ÎLE DE MONTRÉAL-5 ACCIDENT MORTEL SURVENU À UN TRAVAILLEUR LE 30 MAI 1998 À L'USINE VIAU, FABRICATION CULINAR INC. SITUÉE AU 2097, RUE VIAU
Plus en détailRAPPORT D'ENQUÊTE RAPPORT D ENQUÊTE. Direction régionale de Montréal-1
EN003649 RAPPORT D ENQUÊTE Direction régionale de Montréal-1 Accident mortel survenu à un travailleur, le 17 août 2006 à l'entreprise Samuels Signs & Lighting, au magasin Zellers de la plaza Côte-des-Neiges
Plus en détailRAPPORT RAPPORT D ENQUÊTE D ACCIDENT DIRECTION RÉGIONALE DE QUÉBEC
EN003495 RAPPORT D ENQUÊTE D ACCIDENT DIRECTION RÉGIONALE DE QUÉBEC ACCIDENT MORTEL SURVENU À UN TRAVAILLEUR LE 15 JANVIER 2004, À QUÉBEC, SUR UN CHANTIER DE CONSTRUCTION DE TELUS. PAR : MONSIEUR JEAN
Plus en détailRAPPORT D'ENQUÊTE DPI4194437 RAP0963236 RAPPORT D ENQUÊTE
RAPPORT D ENQUÊTE EN004015 Accident mortel survenu à un travailleur de l'entreprise Les toitures Mario Lemieux inc., le 12 décembre 2013, sur un chantier situé au 8999, avenue Morgan à Chertsey Direction
Plus en détailMASTER PREVENTION DES RISQUES ET NUISANCES TECHNOLOGIQUES
MASTER PREVENTION DES RISQUES ET NUISANCES TECHNOLOGIQUES 1 I. Les textes applicables Décret du 8 janvier 1965 modifié qui concerne les mesures de protection applicables aux établissements dont le personnel
Plus en détailErgonomie et. service de pneus >>>
Ergonomie et AMÉLIORER L ENVIRONNEMENT DE TRAVAIL service de pneus >>> DEPUIS PLUSIEURS MOIS, UN CONSEILLER D AUTO PRÉVENTION, UN ERGONOME DE LA CSST ET DES TRAVAILLEURS ET EMPLOYEURS DE CONCESSIONNAIRES
Plus en détail1- LES CHUTES DE PERSONNES...
7 1-1- LES CHUTES DE PERSONNES... sont la cause de plusieurs accidents de travail Les chutes n ont pas de cible. Qui n est pas tombé dans un stationnement, en sortant de sa voiture, en se rendant à sa
Plus en détailRAPPORT D ENQUÊTE D ACCIDENT
EN003548 RAPPORT D ENQUÊTE D ACCIDENT Direction régionale de Montréal 1 Accident mortel survenu à un travailleur le 10 mars 2004 sur la rue Dickson à Montréal Inspectrice : Line Goulet, ing. Date du rapport
Plus en détailLes palettiers FI-2011. www.aspimprimerie.qc.ca
Les palettiers Bien que cette fiche ait été élaborée à partir de sources reconnues comme fiables et crédibles, l ASP imprimerie, ses administrateurs et son personnel n assument aucune responsabilité des
Plus en détailLe déneigement des véhicules lourds. transport
Le déneigement des véhicules lourds transport TABLE DES MATIÈRES L élimination du danger à la source : éviter le travail en hauteur!...p. 5 En hauteur, mais en toute sécurité! Utiliser des moyens collectifs
Plus en détailDroits et obligations des travailleurs et des employeurs
Droits et obligations des travailleurs et des employeurs La Loi sur la santé et la sécurité du travail (LSST) vise à assurer des conditions de santé et de sécurité minimales dans les entreprises québécoises.
Plus en détailAMÉNAGEMENT DE BUREAU ACHAT DE MOBILIERS ET D ACCESSOIRES DE BUREAU CRITÈRES ERGONOMIQUES
AMÉNAGEMENT DE BUREAU ACHAT DE MOBILIERS ET D ACCESSOIRES DE BUREAU CRITÈRES ERGONOMIQUES Service des ressources humaines Secteur santé et sécurité du travail Janvier 2007 Depuis plus de 15 ans, le Secteur
Plus en détailNom de l institution : Adresse : Ville : Province : Code postal : Adresse de livraison : (si autre que ci-dessus) Ville :
Insérez votre logo 4.2.2 Vérification des espaces et des services Note : Le formulaire «Vérification des espaces et des services» est un rapport standard d installation simplifié. Il fournit des données
Plus en détailDOUBLE PARK ECO «La solution» DESCRIPTION TECHNIQUE
DOUBLE PARK ECO «La solution» DESCRIPTION TECHNIQUE P2-F et P4-F 185 (Modèle standard) P2-F et P4-F 170 MODELE P2/4-F 170 P2/4-F 185 (Standard) P2/4-F 195 P2-F et P4-F 195 H 325 340 350 DH 156 171 181
Plus en détailTechniques de l informatique 420.AC. DEC intensif en informatique, option gestion de réseaux informatiques
Plan de cours Techniques de l informatique 420.AC DEC intensif en informatique, option gestion de réseaux informatiques 420-691-MA Stage en entreprise Site du stage en entreprise : http://stages.cmaisonneuve.qc.ca/evaluation/1748/
Plus en détailRestauration d entreprise
A s s o c i a t i o n d e s R e s p o n s a b l e s d e S e r v i c e s G é n é r a u x F a c i l i t i e s M a n a g e r s A s s o c i a t i o n Restauration d entreprise L article R. 4228-19 du Code
Plus en détailTAP-PAR. Test d aptitudes physiques pour paramédics. Description du test
TAP-PAR Test d aptitudes physiques pour paramédics Description du test INTRODUCTION Le travail de paramédic nécessite une capacité physique supérieure à celle de la population moyenne. En effet, ceux-ci
Plus en détailVEILLE RÉGLEMENTAIRE Sécurité des personnes Fiche VRE.30
VEILLE RÉGLEMENTAIRE Sécurité des personnes Fiche VRE.30 Incendie Code du Travail R4216-1 à R4216-7 ; R4216-11 à R4216-34 Code du Travail R4225-8 Code du Travail R4227-34 à R4227-36 Code du Travail R4227-1
Plus en détailTABLE DES MATIÈRES A. INTRODUCTION B. LIGNES DIRECTRICES C. COMMENTAIRES
TABLE DES MATIÈRES A. INTRODUCTION A-1 Domaine d application 1 A-2 Principes généraux 1 A-3 Contenu du Guide d application 2 A-4 Référence au chapitre I, Bâtiment 3 A-5 Entretien et réparation 4 A-6 Mise
Plus en détailArrêté Royal du 7 juillet 1994 fixant les normes de base en matière de prévention contre l incendie et l explosion : Notice explicative
Arrêté Royal du 7 juillet 1994 fixant les normes de base en matière de prévention contre l incendie et l explosion : Notice explicative A n n e x e 1 Annexe 1 1.2.1 hauteur d un bâtiment La hauteur h d'un
Plus en détailMéthodes pour monter et descendre un escalier
PRINCIPES POUR LE DÉPLACEMENT SÉCURITAIRE DES BÉNÉFICIAIRES PDSB Méthodes pour monter et descendre un escalier ASSTSAS 2008 L Association paritaire pour la santé et la sécurité du travail du secteur affaires
Plus en détail26/02/2011. Structure principale sur mur porteur et ferme intermédiaire. Charpente traditionnelle. Structure principale. Structure principale.
Pièces constitutives d une charpente Charpente traditionnelle Structure principale Structure principale sur mur porteur et ferme intermédiaire 2 1 5 4 3 1 - Panne 2 - Panne faitière 3 - Sablière 4 - Chevron
Plus en détailJulie Baron, agente de communication Association Sectorielle Transport Entreposage (ASTE)
Responsables: Pierre Bouliane, chargé de projet Association Sectorielle Transport Entreposage (ASTE) Denis Lincourt, chargé de projet Préventex, Association paritaire du textile Julie Baron, agente de
Plus en détail2.000 Kg DESCRIPTION TECHNIQUE
«La solution» 2.000 Kg DESCRIPTION TECHNIQUE SP2-F et SP4-F 295/310 SP2-F et SP4-F 295/310 MODELE H DH SP2/4-F 295 295 163 SP2/4-F 310* 310 163 *Standard Garage avec porte frontale devant parking mécanique
Plus en détail1 la loi: la loi du 4 août 1996 relative au bien-être des travailleurs lors de l'exécution de leur travail;
Arrêté royal du 30 août 2013 fixant des dispositions générales relatives au choix, à l'achat et à l'utilisation d'équipements de protection collective (M.B. 7.10.2013) Chapitre I er. - Dispositions relatives
Plus en détailAVIS CONCERNANT LE SYSTÈME DE GESTION DES DEMANDES D ÉVALUATION DU BUREAU D ÉVALUATION MÉDICALE DU MINISTÈRE DU TRAVAIL DOSSIER 01 18 22
AVIS CONCERNANT LE SYSTÈME DE GESTION DES DEMANDES D ÉVALUATION DU BUREAU D ÉVALUATION MÉDICALE DU MINISTÈRE DU TRAVAIL DOSSIER 01 18 22 AVRIL 2002 TABLE DES MATIÈRES INTRODUCTION... 1 1. PORTÉE DE L'ÉVALUATION...
Plus en détailLa sécurité avec les échelles et les escabeaux
1 La sécurité avec les échelles et les escabeaux Pour changer des ampoules, nettoyer des fenêtres, accéder à une toiture, entretenir un système de ventilation et de climatisation ou entreposer les dossiers
Plus en détailDIRECTIVE POUR LE TRAVAIL EN HAUTEUR
DIRECTIVE POUR LE TRAVAIL EN HAUTEUR Direction des ressources matérielles Adopté en comité de direction Novembre 2014 TABLE DES MATIÈRES 1. Objectif... 1 2. Types de chute... 1 3. Les types de risque
Plus en détail«La solution» DESCRIPTION TECHNIQUE
«La solution» DESCRIPTION TECHNIQUE P2-f & P4-f - 185/180 - Standard P2-f & P4-f - 170/165 - Compact P2-f & P4-f - 200/195 - Confort MODELE H DH P2f-4f - 185/180 - Standard 340 171 P2f-4f - 170/165 - Compact
Plus en détailCOMBISAFE ESCALIER UNIVERSEL TM MODE D EMPLOI
COMBISAFE ESCALIER UNIVERSEL TM MODE D EMPLOI SOMMAIRE ESCALIER UNIVERSEL TM SOMMAIRE GÉNÉRALITÉ... 3 Introduction... 4 PRINCIPAUX ELEMENTS... 5 Accroches... 5 ASSEMBLAGE... 7 Assemblage de base... 7 ACCROCHES
Plus en détailEpreuve écrite d admissibilité du Mercredi 15 Janvier 2014 DOSSIER REPONSE
SUJET DE CONCOURS COMMUN AUX CENTRES DE GESTION : CONCOURS D ADJOINT TECHNIQUE DE 1ERE CLASSE SESSION 2014 SPECIALITE «ENVIRONNEMENT, HYGIENE» Epreuve écrite d admissibilité du Mercredi 15 Janvier 2014
Plus en détailPrésenté par. Carl Tremblay, ing.
Présenté par Carl Tremblay, ing. Familiariser les participants avec la réglementation québécoise. Familiariser les participants avec la notion de modification et de modernisation des appareils de transport
Plus en détailLES TRANSPALETTES ET TRANSPALETTES GERBEURS A CONDUCTEUR ACCOMPAGNANT
N ewsletter N 24 mai 2010 Tous les éléments cités sur cette lettre d informations sont donnés à titre indicatif. Ils ne constituent en aucune façon une reproduction exhaustive ou littérale des prescriptions
Plus en détailPROGRAMME D HABILETÉS EN FAUTEUIL ROULANT (WSP-F)
PROGRAMME D HABILETÉS EN FAUTEUIL ROULANT (WSP-F) LIGNES DIRECTRICES POUR LE PARCOURS À OBSTACLES VERSION 4.1 CANADIENNE-FRANÇAISE Les activités d entraînement et d évaluation du WSP-F 4.1 peuvent se dérouler
Plus en détailRAPPORT D'ENQUÊTE DPI4170354 RAP0837690 RAPPORT D ENQUÊTE
RAPPORT D ENQUÊTE EN003954 Accident mortel survenu à un pompier de la Ville de Montréal, le 13 juillet 2012, face au, rue Dutrisac dans l arrondissement Saint-Laurent à Montréal Direction régionale de
Plus en détailListe d inspection des lieux (CFMA)
Liste d inspection des lieux (CFMA) Basée sur le Règlement sur la santé et la sécurité du travail (adopté en mai 2010) Atelier ou lieu: Inspecté par : Date de l inspection : Page 1 sur 5 Liste des lieux
Plus en détailFICHE TECHNIQUE # 64 INTÉGRATION COMPÉTENTE ET SÉCURITAIRE DES NOUVEAUX EMPLOYÉS
FICHE TECHNIQUE # 64 INTÉGRATION COMPÉTENTE ET SÉCURITAIRE DES NOUVEAUX EMPLOYÉS Chez les jeunes de 15 à 24 ans, 54 % des accidents du travail surviennent dans les six premiers mois de l emploi. Pour tous
Plus en détailUne habitation accessible dès la conception élévateurs et ascenseurs résidentiels
CF 63c Une habitation accessible dès la conception élévateurs et ascenseurs résidentiels la conception universelle Des personnes de toutes tailles et de tous âges habitent et visitent nos résidences. Il
Plus en détailLE TRAVAIL EN HAUTEUR
F I C H E P R E V E N T I O N N 0 2 «H Y G I E N E S E C U R I T E» LE TRAVAIL EN HAUTEUR STATISTIQUES Avec près d une centaine d agent victime de chutes de hauteur durant les 5 dernières années dans les
Plus en détailDécrets, arrêtés, circulaires
Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DES TRANSPORTS, DE L ÉQUIPEMENT, DU TOURISME ET DE LA MER Arrêté du 15 janvier 2007 portant application du décret n o 2006-1658 du 21 décembre 2006
Plus en détailLa sécurité des palettiers
Guide de prévention La sécurité des palettiers Fabrication, achat, installation et utilisation La sécurité des palettiers Fabrication, achat, installation et utilisation Ce document a été préparé par la
Plus en détailGRILLE D AUTODIAGNOSTIC. en santé et en sécurité du travail. Chariots élévateurs
Identification de l équipement: Date: Chariots élévateurs 3 Éléments du chariot 1 Mât d élévation 2 Vérin 3 Fourches 4 Tablier du porte-fourches 5 Roues motrices 6 Roues de direction 7 Châssis 8 Frein
Plus en détailÉTABLISSEMENTS RECEVANT DU PUBLIC (ERP) INSTALLATIONS OUVERTES AU PUBLIC (IOP) NOTICE D ACCESSIBILITÉ AUX PERSONNES HANDICAPÉES
ÉTABLISSEMENTS RECEVANT DU PUBLIC (ERP) INSTALLATIONS OUVERTES AU PUBLIC (IOP) NOTICE D ACCESSIBILITÉ AUX PERSONNES HANDICAPÉES Textes de référence : Champ d application : Code de la Construction et de
Plus en détailMécanique véhicules lourds
Mécanique véhicules lourds sont des emplacements situés sous le niveau du sol qui servent à l en tretien ou à la réparation des véhicules. Il existe notamment : des fosses pour réparer ou inspecter les
Plus en détailCatalogue produits. - Plates-formes élévatrices & transports publics
Catalogue produits - Plates-formes élévatrices & transports publics 2 P r e s e n tat i o n Imaginez un monde rempli d obstacles. Un monde où vous ne contrôleriez plus les bâtiments, boutiques, restaurants
Plus en détailProtocole de sécurité chargement déchargement
Protocole de sécurité chargement déchargement Note pratique de prévention N.P.P.-01/2007 CRAM Centre Ouest Caisse Régionale d Assurance Maladie Centre Ouest 37 avenue du Président René Coty - 87048 LIMOGES
Plus en détailStation informatique. Station informatique
STATION informatique Rousseau vous présente ici tout un éventail de produits et accessoires pour compléter et agrémenter votre station informatique. Désormais présents dans tous les services, les ordinateurs
Plus en détailGRUES ET ÉQUIPEMENTS DE LEVAGE
/ Hygiène et sécurité NORMES D EXPLOITATION Réf. : Aperam Safety ST 007 Grues et équipements de levage Publication : 15.05.2012 Version : v0 Rév. : AM Safety 007 v2 10.11.2010 GRUES ET ÉQUIPEMENTS DE LEVAGE
Plus en détailPOLITIQUE EN MATIÈRE DE SURVEILLANCE VIDÉO (adoptée le 15 janvier 2010)
POLITIQUE EN MATIÈRE DE SURVEILLANCE VIDÉO (adoptée le 15 janvier 2010) Note : Le générique masculin est utilisé sans discrimination uniquement dans le but d alléger le texte. 1. Introduction La Commission
Plus en détailBrochure technique. Garde-corps. bpa Bureau de prévention des accidents
Brochure technique Garde-corps bpa Bureau de prévention des accidents Eviter les chutes dans les bâtiments Les garde-corps remplissent une fonction importante dans les bâtiments: ils protègent des chutes
Plus en détail3.00. Catalogue produit
3.00 Catalogue produit PRESENTATION 2 La liberté de mouvement passe par une accessibilité véritable monte-escaliers. Cette gamme complète nous permet de trou- 30 années d expérience Stepless est une division
Plus en détailLES DOUCHES ET LES BASSINS OCULAIRES D URGENCE
LES DOUCHES ET LES BASSINS OCULAIRES D URGENCE LES DOUCHES ET LES BASSINS OCULAIRES D URGENCE Tous les jours, des milliers de Néo-Brunswickois travaillent près de produits chimiques dangereux. Même si
Plus en détailRapport d'évaluation CCMC 12835-R IGLOO Wall Insulation
CONSTRUCTION Rapport d'évaluation CCMC 12835-R IGLOO Wall Insulation RÉPERTOIRE Révision Jamais Réévaluation Non : NORMATIF : 07 21 23.06 Publication en de l'évaluation : 1997-12-08 Réévaluation cours
Plus en détailParking. Les places accessibles devront être les plus proches de l entrée.
Parking Si vous avez un parking privé, 2% des places devront être accessibles : largeur minimum 3,30 m, place et devers de pente maxi 2%, signalétique horizontale et verticale. Les places accessibles devront
Plus en détailDécrets, arrêtés, circulaires
Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DE L ÉGALITÉ DES TERRITOIRES ET DU LOGEMENT Arrêté du 14 mars 2014 fixant les dispositions relatives à l accessibilité des logements destinés à l
Plus en détailGestion de la prévention Planifier les mesures d urgence. étapes
Gestion de la prévention Planifier les mesures d urgence Des flammes s échappent du moteur d un camion. De l essence coule sous une automobile. La fourche d un chariot élévateur perce un contenant d électrolyte
Plus en détailLA RUBRIQUE «SUR MESURE»
LA RUBRIQUE «SUR MESURE» MOYENS D ACCÈS EN HAUTEUR NOS EXPERTS ONT IMAGINÉ VOS SOLUTIONS. Maintenance industrielle, aéronautique, agro-alimentaire, logistique, transport, btp, entretien de mobilier urbain
Plus en détailSERVICE DE TRANSPORT ADAPTÉ GUIDE DE L USAGER
SERVICE DE TRANSPORT ADAPTÉ GUIDE DE L USAGER BIENVENUE À BORD! Vous trouverez dans le présent Guide de l usager tous les renseignements que vous devez connaître sur l utilisation du service de transport
Plus en détailÉtudes et recherches. Système d ancrage de garde-corps sur des toits plats pour les couvreurs RAPPORT R-678. André Lan Renaud Daigle
Équipements de protection Études et recherches RAPPORT R-678 Système d ancrage de garde-corps sur des toits plats pour les couvreurs André Lan Renaud Daigle Solidement implanté au Québec depuis l980, l
Plus en détailGarde-corps. bfu bpa upi. Base: norme sia 358. Les bâtiments doivent répondre à un besoin humain fondamental, celui de se sentir en sécurité.
bfu bpa upi Mb 9401 Garde-corps Base: norme sia 358 Les bâtiments doivent répondre à un besoin humain fondamental, celui de se sentir en sécurité. Habitations, magasins, bâtiments administratifs, écoles
Plus en détailLinstallation d un escalier dans la. un escalier de béton à double quart tournant en kit. Construire soi-même LABEL. Label. Label D E I S O N L A
maçonnerie Construire soi-même un escalier de béton à double quart tournant en kit Bricoler du Côté d e la M ais o n Label BRICOLER DU CÔTÉ DQUALITÉ E LA MAISON LABEL BRICOLER DU CÔTÉ DE LA MAISON Label
Plus en détailPROTECTIONS COLLECTIVES
PROTECTIONS COLLECTIVES SOMMAIRE PROTECTIONS COLLECTIVES DE RIVES ET TOITURES presse rapide et ses consoles, protections avec poteaux, protection de rive par traversée de mur 3 CONSOLES POUR PLANCHERS
Plus en détailCODE DU TRAVAIL. Nombre de dégagements réglementaires. Nombre total d'unités de passage Moins de 20 personnes 1 1. 1 + 1 dégagement accessoire (a)
CODE DU TRAVAIL Art. R. 235-4.- Les dispositions de la présente section s'appliquent aux établissements mentionnés à l'article R. 232-12. Les bâtiments et les locaux régis par la présente section doivent
Plus en détailwww.combilift.c o m LA VENTE LE SERVICE LA LOCATION General Enquires : +353 47 80500 Combilift
LA VENTE LE SERVICE LA LOCATION VOTRE PARTENAIRE MONDIAL RÉSEAU DE CONCESSIONNAIRES DANS PLUS DE 60 MARCHÉS LAURÉAT DE PLUSIEURS PROJETS Combilift LA SOLUTION SUR MESURE POUR LA MANUTENTION General Enquires
Plus en détailSommaire Table des matières
Notice de montage 1 Sommaire Table des matières I. Mise en garde... 3 II. Avant de commencer... 4 1. Préparer vos outils... 4 2. Pièces nécessaires pour le montage de votre porte Keritek... 5 III. Étape
Plus en détailLES ESCALIERS. Les mots de l escalier
Les mots de l escalier L escalier :ouvrage constitué d une suite régulière de plans horizontaux (marches et paliers) permettant, dans une construction, de passer à pied d un étage à un autre. L emmarchement
Plus en détailAppareils de transport mécanique 07 (ascenseur, escalier ou trottoir roulants)
transport mécanique 07 - Respecte les normes du Code de construction du Québec- Chapitre 1, Bâtiment et Code national du bâtiment-canada 1995 (modifié) - Résulte du vécu des personnes ayant une déficience
Plus en détailCe guide se divise en six chapitres, dont quatre sont dédiés à une catégorie de bâtiment :
INTRODUCTION Constructions de pointe et d usage courant, les escaliers métalliques doivent répondre à d autres exigences, que celle de pouvoir passer d un niveau à un autre. L un des principaux points
Plus en détailCHAPITRE V III: LES RESSOURCES MATÉRIELLES
CHAPITRE V III: LES RESSOURCES MATÉRIELLES SECTION 8.3 : LA GESTION DES BIENS MEUBLES ET IMMEUBLES PAGE : 1 POLITIQUE SUR LES TRANSPORTS AVEC UN VÉHICULE LOURD Adoptée : CAD-8927 (14 10 08) Modifiée :
Plus en détailFICHE TECHNIQUE #36 LÉGISLATION ET INTERVENANTS EN SANTÉ ET EN SÉCURITÉ DU TRAVAIL
FICHE TECHNIQUE #36 LÉGISLATION ET INTERVENANTS EN SANTÉ ET EN SÉCURITÉ DU TRAVAIL DÉFINITIONS ET CHAMP D'APPLICATION La législation québécoise en matière de santé et de sécurité du travail est constituée
Plus en détailCADRE BATI : ERP NEUFS ET EXISTANTS
3ème RENCONTRE TECHNIQUE DE L'ACCESSIBILITE CADRE BATI : ERP NEUFS ET EXISTANTS Patricia QUOY et Carole ROUGEOLLÉ DDT 91 - STANE 29/06/12 CADRE REGLEMENTAIRE Définition d'un ERP (R.123-2 du CCH) = lieu
Plus en détailLes palettiers, les palettes et la sécurité du travail. entreposage
Les palettiers, les palettes et la sécurité du travail entreposage Avis de non-responsabilité VIA PRÉVENTION ne donne aucune garantie relative à l exactitude, la fiabilité ou le caractère exhaustif de
Plus en détailSurveillance de la santé. Brochure d information dans la cadre du "bien-être au travail"
Surveillance de la santé Brochure d information dans la cadre du "bien-être au travail" Sommaire Sommaire 1 1. Introduction 2 2. Analyse des risques 3 2.1. Etablissement de la liste des risques 3 2.2.
Plus en détailLa notion d accident de trajet
La notion d accident de trajet Article juridique publié le 06/02/2015, vu 1161 fois, Auteur : Maître Joan DRAY La notion d accident de trajet est distincte de celle d accident du travail et bénéficie d
Plus en détailQuestion Qu est-ce qu est qu une preuve de protection? Devrais-je voir un document quelconque?
Qu est-ce qu est qu une preuve de protection? Devrais-je voir un document quelconque? Votre entrepreneur devrait avoir, ou peut facilement obtenir, un document de Travail sécuritaire NB qui indique qu
Plus en détailInvitation à soumissionner n PTD/10/056. Annexe I Cahier des charges
Invitation à soumissionner n PTD/10/056 Annexe I Cahier des charges Sommaire : I II III IV Introduction générale Descriptif des bâtiments à libérer (P&G et CAM) Descriptif du bâtiment à occuper (Nouveau
Plus en détailChariot élévateur : prière de ne pas renverser. entreposage
Chariot élévateur : prière de ne pas renverser entreposage Avis de non-responsabilité VIA PRÉVENTION ne donne aucune garantie relative à l exactitude, la fiabilité ou le caractère exhaustif de l information
Plus en détailGUIDE D ACCUEIL SANTÉ ET SÉCURITÉ À L ATTENTION D UN NOUVEL EMPLOYÉ INFORMATION DE BASE
Secteur Santé et Sécurité École Polytechnique Février 2014 GUIDE D ACCUEIL SANTÉ ET SÉCURITÉ À L ATTENTION D UN NOUVEL EMPLOYÉ INFORMATION DE BASE 1 LA GESTION DE LA SANTÉ ET SÉCURITÉ À POLYTECHNIQUE MONTRÉAL
Plus en détailSoulever et porter correctement une charge
Soulever et porter correctement une charge Sommaire Cette brochure explique comment éviter de se surmener ou d avoir un accident en soulevant et en portant une charge. Le port et le levage d une charge
Plus en détail1. REGLEMENTATION : 2. INTRODUCTION :
1. REGLEMENTATION : Décret n 65-48 du 8 janvier 1965 modifié portant règlement d'administration publique pour l'exécution des dispositions de la partie IV du Code du travail en ce qui concerne les mesures
Plus en détailINSTRUCTIONS COMPLÉTES
INSTRUCTIONS COMPLÉTES Le Service de plans du Canada, un organisme fédéral-provincial, favorise le transfert de technologie au moyen de feuillets, de croquis et de plans de construction qui montrent comment
Plus en détailRAPPORT MISE A L ACCESSIBILITE DE 6 ECOLES PRIMAIRES. Ecole de MIRANGO I
RAPPORT MISE A L ACCESSIBILITE DE 6 ECOLES PRIMAIRES Ecole de MIRANGO I Vincent DAVID Le 21 décembre 2010 Table des matières 1- Les outils d accessibilité principalement utilisés 1-1 Les rampes d accès
Plus en détailGuide de l Accessibilité. des Etablissements. Recevant du Public
Guide de l Accessibilité des Etablissements Recevant du Public Direction du Développement Commerce Tourisme Réaliser un projet qui garantit l égalité d accès : S assurer que les entrées principales soient
Plus en détailLes dimensions mentionnées sont pour la plupart reprises dans la réglementation (STS54, NBN EN 3509), RGPT, arrêté royal du 07/07/97)
Préliminaires Les dimensions mentionnées sont pour la plupart reprises dans la réglementation (STS54, NBN EN 3509), RGPT, arrêté royal du 07/07/97) Ces obligations assurent la sécurité dans les escaliers
Plus en détailManutentions manuelles Statistique nationale / Ile de France 1992
Unité d Ergonomie Faculté de Médecine Pitié-Salpêtrière 91, bd de l Hôpital 75 634 Paris cedex 13 www.ergonomie.chups.jussieu.fr DIPLÔME D ERGONOMIE ET DE PHYSIOLOGIE DU TRAVAIL option1 Ergonomie du travail
Plus en détailPLACE DE L ACADIE MISE À JOUR DES ÉTUDES ACOUSTIQUES À PARTIR DES PLANS DE SITE RÉVISÉS SOUMIS EN DATE DU 3 DÉCEMBRE 2008
MJM CONSEILLERS EN ACOUSTIQUE INC MJM ACOUSTICAL CONSULTANTS INC 55, Côte des Neiges, Bureau 0 Montréal (Québec) Tél.: (5) 77-98 HS A6 Fax: (5) 77-986 Site internet: www.mjm.qc.ca Courrier électronique:
Plus en détailSynthèse Mon projet d emploi
Synthèse Mon projet d emploi Nom : Date : Complété par : TÉVA Estrie 2012 La synthèse permet de recueillir les informations notées dans les questionnaires et de constater les ressemblances et les différences
Plus en détailLes échelles de palettier et la sécurité du travail. entreposage
Les échelles de palettier et la sécurité du travail entreposage Avis de non-responsabilité VIA PRÉVENTION ne donne aucune garantie relative à l exactitude, la fiabilité ou le caractère exhaustif de l information
Plus en détail.4..ESCALIER. Critères d'accessibilité répondant aux besoins des personnes ayant une déficience visuelle. 4.1 Concept de base
énovation.4..escalie. 4.1 Concept de base S assurer que l emplacement des escaliers soit uniforme d un étage à l autre pour que leur localisation soit prévisible. egrouper l'escalier et les principaux
Plus en détailles escaliers La pose Guide d installation pour bricoleurs Préparation des outils Prêt à installer Moulé à votre style de vie
les escaliers La pose Guide d installation pour bricoleurs Préparation des outils Prêt à installer Moulé à votre style de vie Guide d installation d un escalier pour bricoleurs L escalier représente souvent
Plus en détailLe maçon à son poste de travail
Fiche Prévention - E2 F 03 14 Le maçon à son poste de travail Partie 2 : la protection face au vide La réalisation de murs en maçonnerie est une opération courante sur les chantiers du bâtiment (maison
Plus en détailManuel de montage et d emploi
Manuel de montage et d emploi Barrière manuelle Index Page 1. Caractèristiques techniques 2 2. Dimensions de montage 3 3. Montage 4 3.1. Montage de la barrière manuelle 4 3.2. Montage de l haubannage 5
Plus en détailJean-Marc Schaffner Ateliers SCHAFFNER. Laure Delaporte ConstruirAcier. Jérémy Trouart Union des Métalliers
Jean-Marc Schaffner Ateliers SCHAFFNER Laure Delaporte ConstruirAcier Jérémy Trouart Union des Métalliers Jean-Marc SCHAFFNER des Ateliers SCHAFFNER chef de file du GT4 Jérémy TROUART de l Union des Métalliers
Plus en détailLE PLAN DE PREVENTION
1 Association des Directeurs et Responsables de Services Généraux Facilities Manag ers Association LE PLAN DE PREVENTION Avertissement : ce document est un exemple établi pour un besoin particulier. Il
Plus en détailMANUEL DES POLITIQUES, PROCÉDURES ET RÈGLEMENTS ADMINISTRATIFS
MANUEL DES POLITIQUES, PROCÉDURES ET RÈGLEMENTS ADMINISTRATIFS POLITIQUE EN MATIÈRE DE SURVEILLANCE VIDÉO Code : Politique 2.13 Date d entrée en vigueur : Le 30 avril 2007 Nombre de pages : 11 et annexe
Plus en détailCommune X. Quelles nouvelles exigences pour l accessibilité de la voirie? Les prescriptions techniques de l arrêté du 15 janvier 2007
Commune X Quelles nouvelles exigences pour l accessibilité de la voirie? Les prescriptions techniques de l arrêté du 15 janvier 2007 Centre d'études Techniques de l'équipement Méditerranée Les cheminements
Plus en détailProgramme ministériel sur la santé et la sécurité au travail
Programme ministériel sur la santé et la sécurité au travail Guide pour les employés travaillant seuls Version 1.0 Février 2012 Guide pour les employés travaillant seuls 1 Guide pour les employés travaillant
Plus en détailCONVENTION DE MISE A DISPOSITION SALLES COMMUNALES EMILE ROUSSEAU
CONVENTION DE MISE A DISPOSITION SALLES COMMUNALES EMILE ROUSSEAU ENTRE : Monsieur le Maire, agissant es-qualité en vertu des délibérations du 25 septembre 2014 et du 24 octobre 2013, Désigné ci-après
Plus en détail