Module 1 «Compréhension et contrôle des zoonoses» Module 2 «Emergence et développement des zoonoses»

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Module 1 «Compréhension et contrôle des zoonoses» Module 2 «Emergence et développement des zoonoses»"

Transcription

1 Module 1 «Compréhension et contrôle des zoonoses» Module 2 «Emergence et développement des zoonoses»

2 COURS ZOONOSES (Du 6 au 30 avril 2010) Ce cours est organisé conjointement par l'institut Pasteur, l'agence Française de Sécurité Sanitaire des Aliments et l'ecole Nationale Vétérinaire d'alfort, avec la contribution de l'institut National de Veille Sanitaire Co-directeurs du cours Dr Henri-Jean BOULOUIS Ecole Nationale Vétérinaire d'alfort Maisons-Alfort Dr Marc SAVEY Agence Française de Sécurité Sanitaire des Aliments Maisons-Alfort Dr Noël TORDO Institut Pasteur Paris Directeur du Pôle Epidémiologie et Santé Publique de l Institut Pasteur Co-directeur de l Ecole Pasteur-Cnam de Santé Publique Dr Arnaud FONTANET Unité d Epidémiologie des Maladies Emergentes Institut Pasteur - Paris

3 Organisation générale et objectifs L objectif général de la formation est de rassembler et de transmettre de façon cohérente les principaux acquis issus des recherches et des activités opérationnelles les plus récentes autour des différents aspects des zoonoses, sans frontière entre médecine de l homme et médecine des animaux, dans une perspective de compréhension globale pour la connaissance et l action. L objectif de chacun des modules est de fournir des concepts, des méthodes et un langage commun à l ensemble des auditeurs autour d une part, de la problématique «compréhension et contrôle des zoonoses, évaluation des risques associés» (module 1) et d autre part de la problématique «émergence et développement des zoonoses» (module 2). L enseignement dispensé s efforcera (i) de définir et discuter les principaux concepts nécessaires à la compréhension des zoonoses, à l évaluation des risques associés et aux différentes méthodes de contrôle, (ii) de démontrer la synergie entre les différentes disciplines mobilisables en matière de maladies transmissibles (bactériologie, virologie, parasitologie, biologie moléculaire, génétique, épidémiologie, écologie, sciences humaines, ) appliquées aux problématiques propres aux zoonoses. La formation permettra aux différents acteurs de la santé publique humaine et vétérinaire, au plan régional, national ou international, qu ils soient intervenants opérationnels (surveillance, évaluation, contrôle) ou acteurs de la recherche, de disposer d une vision synthétique combinée à la connaissance des principaux points critiques concernant les zoonoses. Dates et lieux de cours Module 1 : Module 2 : «Compréhension et contrôle de zoonoses, évaluation des risques associés» du 6 au 16 avril 2010 (attention 9 jours du fait du lundi de Pâques) une semaine à l ENVA, Maisons-Alfort ; une semaine à l Institut Pasteur, Paris «Emergence et développement des zoonoses» du 19 au 30 avril 2010 les deux semaines à l Institut Pasteur, Paris Organisation de l enseignement Il s agit, en combinant cours magistraux, études de cas, tables rondes interactives et ateliers, d illustrer la diversité des agents zoonotiques et des systèmes de transmission correspondants ainsi que l apport des différentes disciplines concourant à la compréhension des maladies transmissibles aussi bien en termes conceptuel qu opérationnel, dans une perspective réellement multidisciplinaire et multimétier. Chaque module de deux semaines consécutives, soit 10 journées de formation à temps plein, comportera des cours magistraux, des études de cas, des tables rondes et des ateliers interactifs.

4 Typologie des interventions Pour chaque type d enseignement et chaque sujet, les objectifs et les modalités de présentation sont précisés ci-dessous. Cours magistral Cours le plus souvent thématiquement articulé avec les études de cas, table ronde ou atelier l aprèsmidi (un seul intervenant en général). Étude de cas Étude rétrospective focalisée sur un sujet, conduite par des binômes d élèves à partir de documents conduisant à un exposé et une discussion, avec deux ou trois intervenants qui viendront faire partager leur expérience (prévoir une présentation Powerpoint de 15 à 20 mn par intervenant). Table ronde La table ronde a pour but de faire présenter, à l ensemble de la classe, par deux ou trois élèves, l ensemble des aspects d une problématique. Trois à quatre intervenants auront préalablement exposé chacun un aspect du sujet (prévoir une présentation Powerpoint de 20 à 30 mn par intervenant) afin de permettre une discussion structurée et ouverte pouvant nourrir des réponses ou justifier leur absence dans le cadre de la problématique. Réflexion méthodologique sur l utilisation des outils d investigation propre à l épidémiologie, la microbiologie, biologie moléculaire, l immunologie et la biologie intégrative pour répondre aux questionnements propres aux zoonoses. Trois à quatre élèves seront chargés (i) de recenser les questions de l ensemble de leurs collègues sur le thème, en introduction (15 mn) ; (ii) d animer au décours des présentations des intervenants une discussion générale de type indications et limites méthodologiques, ouverture prospective du thème. Les intervenants présenteront les principales contributions méthodologiques au sujet ainsi que les enjeux associés en termes de santé publique et santé animale (présentation Powerpoint de 30 à 40 mn par intervenant).

5 MODULE 1 COMPREHENSION ET CONTROLE DES ZOONOSES EVALUATION DES RISQUES ASSOCIES Semaine 1 (Ecole Nationale Vétérinaire d'alfort) Mardi 6 avril h00-10h00 Présentation du cours H.-J. BOULOUIS (ENVA), M. SAVEY (AFSSA) et N. TORDO (Inst. Pasteur) 10h30-12h30 Agents zoonotiques et zoonoses : cadre M. SAVEY général et définitions (AFSSA, Maisons Alfort)) 14h00-15h30 Histoire naturelle des zoonoses au travers F. MOUTOU de la relation homme/animal : de la "révolution néolithique" (AFSSA, Maisons-Alfort) aux différentes formes modernes de cohabitation 16h00-17h30 Diversité et évolution de la circulation des agents A. THERON infectieux et parasitaires chez les animaux (Université de Perpignan) vertébrés (faune domestique et sauvage) : de l'avènement de la microbiologie à la globalisation - 1) Aspects parasitaires Mercredi 7 avril h00-10h30 Diversité et évolution de la circulation des agents C. CHASTEL infectieux et parasitaires chez les animaux (Université de Rennes) vertébrés (faune domestique et sauvage) : de l'avènement de la microbiologie à la globalisation - 2) Aspects viraux 11h00-12h30 Diversité et évolution de la circulation des agents S. BRISSE infectieux et parasitaires chez les animaux vertébrés (faune domestique et sauvage) : de l'avènement de la microbiologie à la globalisation - 3) Aspects bactériens Maladie de Chagas : histoire et actualité d une zoonose J.-F. PAYS complexe, modalité de traitement et possibilité de (CHU Necker, Paris) développement hors du sous-continent latino-américain Jeudi 8 avril h00-10h30 Evolution des facteurs de risque associés au J.-J. BENET développement et au contrôle de maladies (ENVA, Maisons-Alfort) zoonotiques chez l'homme et l'animal. et N HADDAD Exemple de la tuberculose (ENVA, Maisons-Alfort) 11h00-12h30 Evolution des facteurs de risque associés au B. GARIN-BASTUJI développement et au contrôle de maladies (AFSSA, Maisons-Alfort) zoonotiques chez l'homme et l'animal. Exemple de la brucellose

6 Apports croisés de la biologie phénotypique et moléculaire ainsi que de l'épidémiologie descriptive pour caractériser l'origine de l'exposition dans deux zoonoses majeures de l'homme : la brucellose et la tuberculose à M. bovis M.-L. BOSCHIROLI (AFSSA, Maisons-Alfort) B. GARIN-BASTUJI (AFSSA, Maisons-Alfort) et S. GODREUIL (CHRU, Montpellier) Vendredi 9 avril h00-10h30 Réduction de la listériose humaine en France : un V. GOULET exemple d adaptation du système de surveillance (InVS, Saint-Maurice) de la maladie et du contrôle des denrées alimentaires 11h00 12h30 Epidémiologie descriptive et surveillance : problématiques R. LANCELOT originales des zoonoses en santé publique vétérinaire (CIRAD, Montpellier) dans les pays du Sud Table ronde Toxoplasmose : le bébé, le mouton et le chat. Le progrès S. BRETAGNE de la compréhension du cycle biologique et du diagnostic (Univ. Paris XII, Créteil) chez l'homme permet-il de justifier l'hétérogénéité des R. CHERMETTE politiques de santé publique en Europe (dépistage, contrôle)? (ENV d'alfort) et V. GOULET (InVS, Saint-Maurice)

7 MODULE 1 COMPREHENSION ET CONTROLE DES ZOONOSES EVALUATION DES RISQUES ASSOCIES Semaine 2 Lundi 12 avril h00-10h30 Evaluation des risques : 1 - Evaluation qualitative des risques en matière B. DUFOUR de zoonoses d'origine non alimentaire (ENVA, Maisons-Alfort) 10h30-11h30 Formalités administratives à l Institut Pasteur S. MALOT 11h30-13h00 Evaluation des risques : 2 - Evaluation quantitative des risques en matière J.-C. AUGUSTIN de zoonoses d'origine alimentaire (ENVA, Maisons-Alfort) 14h30-17h00 Table ronde Risque lié à la Fièvre Q en santé humaine : situations en France, en Hollande et en Australie - Des modalités de transmission à la stratégie de contrôle H. DE VALK (InVS, Saint-Maurice) et E. ROUSSET (AFSSA, Sophia-Antipolis) Mardi 13 avril h00-10h30 La rage : une zoonose à contrôle vaccinal toujours évolutive : N. TORDO 1) diversité des virus et des cycles épidémiologiques 11h00-12h30 La rage : une zoonose à contrôle vaccinal toujours évolutive : J. BARRAT 2) rôle des faunes sauvages et domestiques (AFSSA, Nancy) 14h00-15h30 Circulation d'agents zoonotiques en système d'élevage G. SALVAT avicole : les salmonelles (AFSSA, Ploufragan) 15h45-17h45 Etude de cas Apport des outils de la bactériologie classique et moléculaire G. SALVAT pour caractériser les salmonelles zoonotiques, identifier leur et S. GRANIER origine et monitorer leur antibiorésistance : les cas de (AFSSA, Maisons-Alfort) Salmonella.e. Typhimurium DT 104 et S.e. Enteritidis S. LE HELLO et Y. MILLEMANN(ENVA, Maisons-Alfort) Mercredi 14 avril h00-10h30 Les agents zoonotiques vectorisés : histoire naturelle F. RODHAIN des vecteurs 11h00-12h30 Les vecteurs : génétique des populations et évolution A.-B. FAILLOUX des facteurs de risque

8 Table ronde Transmission par les tiques des virus de la Fièvre de A. IZRI Crimée-Congo et de la TBE : comment comprendre (Hôp. Avicennes, Bobigny) la diversité des situations épidémiologiques et tenter H. ZELLER de prévoir l'évolution du risque correspondant? (ECDC, Stockholm) F. RODHAIN et Ph. DESPRES Jeudi 15 avril h00-10h30 Bases de la diversité, de la réceptivité et de la A.-J. DESSEIN sensibilité de l'homme à l'infection (Faculté Médecine Timone, Marseille) 11h00-12h30 Pourquoi un agent transmissible est-il caractérisé J.-P. HUGOT comme agent zoonotique (infections partagées et (Hôp. Robert Debré, Paris) principe de causalité) et pourquoi ne peut-il l'être : et J. VIALARD exemple des mycobactéries non tuberculeuses et (ENVL, Lyon) de Mycobacterium avium subsp paratuberculosis Méthodes et systèmes de surveillance dans le règne D. CALAVAS animal : principes généraux et problématique particulière et P. HENDRIKX dans le cadre des zoonoses (AFSSA, Lyon) B. DUFOUR (ENVA, Maisons-Alfort) Vendredi 16 avril h00-10h30 Systèmes de surveillance des zoonoses aux Etats-Unis B. CHOMEL le cas particulier de la faune sauvage et des «nouveaux (Univ. Californie, USA) animaux de compagnie» 11h00-12h30 Biologie intégrative et zoonoses : un apport spécifique J. ZINSSTAG indispensable, de la caractérisation moléculaire à la (Swiss Trop. Institute, Bâle) transmission dans les populations (espace/temps) : exemples de la tuberculose et de la rage Evaluation des connaissances

9 Lundi 19 avril 2010 MODULE 2 EMERGENCE ET DEVELOPPEMENT DES ZOONOSES Semaine 1 9h00-10h00 Présentation du cours H.-J. BOULOUIS (ENVA), M. SAVEY (AFSSA) et N. TORDO (Inst. Pasteur) 10h00-12h30 Emergence et zoonoses, cadre nosologique général et M. SAVEY problèmes originaux (AFSSA, Maisons Alfort) 14h00-16h00 De la barrière d'espèce à la barrière de transmission, J.-C. MANUGUERRA des aspects moléculaires aux échanges interspécifiques : et A. FONTANET 1) le virus du SRAS 16h15-17h30 De la barrière d'espèce à la barrière de transmission, A. ANDREMONT des aspects moléculaires aux échanges interspécifiques : (Hôpital Bichat, Paris) 2) l'exemple des bactéries résistantes aux antibiotiques Mardi 20 avril h00-10h30 Arthropodes vecteurs et émergences des maladies P. REITER virales. Comportement des agents zoonotiques et des agents strictement inféodés à l'homme 11h00-12h30 Quand et comment un agent transmissible devient-il S. VAN DER WERF un agent zoonotique? Apport de l'épidémiologie et de la biologie expérimentale : le cas des IAHP 14h00-17h30 Etude de cas Emergence de l'esb et évaluation du potentiel zoonotique en Grande-Bretagne : , D. CALAVAS et T. BARON (AFSSA, Lyon) et M. SAVEY (AFSSA, Maisons Alfort) Mercredi 21 avril h00-10h30 Rôle des faunes sauvages et domestiques dans le J.-P. DEDET développement des zoonoses : l'exemple des (Faculté Médecine, Montpellier) leishmanioses, conséquence pour la surveillance de l'émergence dans différents contextes 11h00-12h30 Influence du changement climatique sur l'émergence S. MORAND de maladies zoonotiques (CNRS et Université de Montpellier) Epidémie de Kala Azar et génétique humaine : de A.J. DESSEIN l'investigation opérationnelle à l épidémiologie (Faculté Médecine, Marseille) moléculaire et la recherche génétique J.-P. DEDET (Faculté Médecine, Montpellier) et G. MILON

10 Jeudi 22 avril h30-11h30 Pluralité des fonctions d'hôtes chez l'animal et l'homme : J. GUILLOT évolution dans le temps et l'espace. (ENVA, Maisons-Alfort) 1) Cestodoses imaginale et larvaire 13h30-14h30 Pluralité des fonctions d'hôtes chez l'animal et l'homme : évolution dans le temps et l espace. 2) Les poxvirus, évolution et développement des zoonoses associées aux cowpox et aux monkeypox 2) Poxvirus, evolution and development of zoonoses H. HENTTONEN associated to cowpox and monkeypox (FFRI, Finland) 14h30-17h30 Table ronde - Round-table New cycles for Poxvirus: rats, humans and cowpox Nouveau cycle des Poxvirus : rats, hommes et cowpox J.-C. DESENCLOS (InVS, Saint-Maurice) H. HENTTONEN (FFRI, Finland) et J.-P. HUGOT (MNHN, Paris) Vendredi 23 avril h00-11h00 Influence des déplacements de populations (humaines Ph. MARIANNEAU et/ou animales) et des transformations des écosystèmes anthropisés dans l'émergence des zoonoses. 1) Le cas des Hantavirus et des Arenavirus 11h00-12h30 Influence des déplacements de populations (humaines N. BOULANGER et/ou animales) et des transformations des écosystèmes (Fac. Pharmacie, Illkirch) anthropisés dans l'émergence des zoonoses. 2) Le cas de la maladie de Lyme Diversité virale : des maladies strictement animales aux Ph. MARIANNEAU zoonoses extensives à transmissions interhumaines, le cas des virus influenza et des filovirus V. JESTIN (AFSSA, Ploufragan) et J.-C. MANUGUERRA (Institut Pasteur)

11 MODULE 2 EMERGENCE ET DEVELOPPEMENT DES ZOONOSES Semaine 2 Lundi 26 avril h00-10h30 Les batraciens, les reptiles et les poissons sont-ils des N. CHAI sources futures significatives de zoonoses? (MNHN, Paris) 11h00-12h30 Risques zoonotiques émergents et prise de décision B WOLFER publique (INRA, Ivry/Seine) 14h00-15h00 Chauves-souris, vecteurs de virus émergents N. TORDO 15h30-17h30 Table ronde Nouveaux animaux de compagnie (NAC) et commerce N. CHAI (MNHN) international. Quels risques, dans quelles circonstances? P. ARNE (ENVA, Maisons-Alfort) et F. MOUTOU (AFSSA, Maisons-Alfort) Mardi 27 avril h00-10h30 Surveillance et détection des émergences : indicateurs P. HENDRIKX globaux ou surveillance spécifique? (AFSSA, Lyon) 1) L'apport de la surveillance des maladies animales 11h00-12h30 Surveillance et détection des émergences : indicateurs N. CAILLERE globaux ou surveillance spécifique? (InVS, Saint Maurice) 2) L'apport de la surveillance des maladies humaines 14h00-17h30 Etude de cas Fièvre de la vallée du Rift : un paradoxe de la D. FONTENILLE surveillance? (IRD, Montpellier) R. LANCELOT (CIRAD, Montpellier) M. BOULOY et M. GRANDADAM Mercredi 28 avril h00-10h30 Réémergences de zoonoses parasitaires d'origine P. BOIREAU alimentaire : causes et conséquences pour les systèmes (AFSSA, Maisons-Alfort) de veille et de surveillance chez les animaux et chez l'homme (exemple de la trichinellose) 11h00-12h30 Une zoonose à réservoir tellurique, le charbon : émergence, N. MADANI réémergence ou menace? (AFSSA, Maisons-Alfort) Les primates : réservoir permanent d'agents zoonotiques? A. AYOUBA Du VIH aux fièvres hémorragiques (IRD, Montpellier) H. CONTAMIN (Cynbiose, Lyon) et A. BLANCHER (CHU, Toulouse)

12 Jeudi 29 avril h00-10h30 West-Nile : conditions et conséquences de l'émergence, S. ZIENTARA comparaison Ancien et Nouveau Monde (AFSSA, Maisons-Alfort) 11h00-12h30 Peste : émergence et ré-émergence d une zoonose E. CARNIEL Fausse ou vraie émergence : découverte ou (re)connaissance M. CORNET à propos de la maladie de Lyme, de la listériose et des chlamydioses aviaires K. LAROUCAU et P. MARTIN (AFSSA, Maisons-Alfort) Vendredi 30 avril h00-10h30 Une zoonose extensive : la fièvre jaune. Emergence A. SALL historique et développement des cycles (Institut Pasteur, Dakar) épidémiologiques sylvestre et urbain 11h00-12h30 Les risques : du principe de prévention au O. GODARD principe de précaution (Ecole Polytechnique, Palaiseau) Evaluation des connaissances

MASTER (LMD) PARCOURS MICROORGANISMES, HÔTES, ENVIRONNEMENTS (MHE)

MASTER (LMD) PARCOURS MICROORGANISMES, HÔTES, ENVIRONNEMENTS (MHE) MASTER (LMD) PARCOURS MICROORGANISMES, HÔTES, ENVIRONNEMENTS (MHE) RÉSUMÉ DE LA FORMATION Type de diplôme : Master (LMD) Domaine ministériel : Sciences, Technologies, Santé Mention : BIOLOGIE DES PLANTES

Plus en détail

SUPPLÉMENT AU DIPLÔME D ETUDES FONDAMENTALES VETERINAIRES Supplément n 2012-01 Délivré par l INP-Ecole Nationale Vétérinaire de Toulouse

SUPPLÉMENT AU DIPLÔME D ETUDES FONDAMENTALES VETERINAIRES Supplément n 2012-01 Délivré par l INP-Ecole Nationale Vétérinaire de Toulouse SUPPLÉMENT AU DIPLÔME D ETUDES FONDAMENTALES VETERINAIRES Supplément n 2012-01 Délivré par l INP-Ecole Nationale Vétérinaire de Toulouse Le présent supplément au diplôme suit le modèle élaboré par la Commission

Plus en détail

Définition de l Infectiologie

Définition de l Infectiologie Définition de l Infectiologie Discipline médicale clinique Spécialisée. Prise en charge des Maladies Infectieuses et Tropicales. Actuelles, émergentes ou ré-émergentes. Référents dans le cadre d un maillage

Plus en détail

Master 2. Mention : «Ecosciences, Microbiologie» Domaine : Sciences Technologies Santé Responsable : F. Menu

Master 2. Mention : «Ecosciences, Microbiologie» Domaine : Sciences Technologies Santé Responsable : F. Menu Master 2 Mention : «Ecosciences, Microbiologie» Domaine : Sciences Technologies Santé Responsable : F. Menu Université Claude Bernard Lyon I Établissements cohabilités (spécialités 1,2,4) : INSA VetAgro

Plus en détail

Tuberculose bovine. Situation actuelle

Tuberculose bovine. Situation actuelle Tuberculose bovine Situation actuelle 21 mai 2013 Dr G. Peduto Vétérinaire cantonal Service de la consommation et des affaires vétérinaires 1 Tuberculose bovine La Suisse est indemne depuis 1959 Dernier

Plus en détail

Intrants médicamenteux en agriculture et en santé : les écosystèmes microbiens sont-ils un problème ou une solution?

Intrants médicamenteux en agriculture et en santé : les écosystèmes microbiens sont-ils un problème ou une solution? Les Rencontres de l Inra au Salon de l agriculture Intrants médicamenteux en agriculture et en santé : les écosystèmes microbiens sont-ils un problème ou une solution? Lundi 23 février 2015 Programme 14h30

Plus en détail

SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES

SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES Dr Virginie NAEL Service de Santé au travail du personnel hospitalier CHU Nantes 44èmes journées FMC ANMTEPH / SOHF - Lausanne - Septembre

Plus en détail

Transmission des maladies infectieuses. «maladies transmissibles»

Transmission des maladies infectieuses. «maladies transmissibles» Transmission des maladies infectieuses «maladies transmissibles» 1 Généralités I. Un germe (agent pathogène) qui nécessite II. Un hôte (ou cible) : l homme [H] ou l animal [An] III. Entre les 2, il y a

Plus en détail

Les Maladies Tropicales, la Société de Pathologie Exotique. et l Institut Pasteur

Les Maladies Tropicales, la Société de Pathologie Exotique. et l Institut Pasteur Les Maladies Tropicales, la Société de Pathologie Exotique et l Institut Pasteur Un partenariat qui a bien plus de 100 ans Beaucoup des grands noms de la recherche française sur les maladies tropicales

Plus en détail

Programme international de formation

Programme international de formation Programme international de formation La science n a pas de patrie, car la connaissance appartient à l humanité, c est un flambeau qui illumine le monde. Louis Pasteur Le Réseau International des Instituts

Plus en détail

Epidémiologie appliquée aux sciences vétérinaires DES DAOA DES - DEA

Epidémiologie appliquée aux sciences vétérinaires DES DAOA DES - DEA Epidémiologie appliquée aux sciences vétérinaires DES DAOA DES - DEA Claude SAEGERMAN Département des maladies infectieuses et parasitaires, Service d épidémiologie et analyse de risques appliquées aux

Plus en détail

Vaccinations - Rédaction Dr BOUTON

Vaccinations - Rédaction Dr BOUTON 20-14 Vaccinations - Rédaction Dr BOUTON Chaque personnel navigant est responsable de la mise à jour des ses vaccins. 1 - VACCINATION OBLIGATOIRE La vaccination contre la fièvre jaune (vaccination anti-amarile)

Plus en détail

La résistance d'agents infectieux aux médicaments antimicrobiens

La résistance d'agents infectieux aux médicaments antimicrobiens DECLARATION COMMUNE DES ACADEMIES DU G SCIENCE 2013 La résistance d'agents infectieux aux médicaments antimicrobiens Une menace globale pour l'humanité Depuis l introduction dans les années 40 du premier

Plus en détail

Vaccinations. Actualités et perspectives

Vaccinations. Actualités et perspectives Vaccinations Actualités et perspectives Cet ouvrage présente les travaux du groupe d experts réunis par l Inserm dans le cadre de la procédure d expertise collective, pour répondre aux questions posées

Plus en détail

SEMINAIRE «CLIMAT ET SANTE» En partenariat avec le CRVOI

SEMINAIRE «CLIMAT ET SANTE» En partenariat avec le CRVOI Projet Adaptation au Changement Climatique (ACClimate). Un projet de la Commission de l Océan Indien, cofinancé par le Fonds français pour l Environnement Mondial (FFEM), le Ministère français des Affaires

Plus en détail

Hygiène alimentaire en restauration collective

Hygiène alimentaire en restauration collective 1 2 3 4 5 6 7 Catalogue 2011 Audit, conseil et formation Hygiène alimentaire en restauration collective Laboratoire Départemental de la Côte-d'Or Sommaire 1 2 3 4 5 6 7 Sensibilisation à l hygiène alimentaire

Plus en détail

Université Saint-Joseph

Université Saint-Joseph Université Saint-Joseph Faculté de pharmacie Actuellement, le métier de pharmacien est un métier polyvalent, ouvert à plusieurs activités dans le domaine de la santé individuelle et publique. Mis à part

Plus en détail

Hygiène alimentaire en restauration collective

Hygiène alimentaire en restauration collective Catalogue de formations 2012 Audit, conseil et formation Hygiène alimentaire en restauration collective Laboratoire Départemental de la Côte-d'Or 1 2 3 4 5 6 7 8 Sommaire Sensibilisation à l hygiène alimentaire

Plus en détail

Signalement et gestion des infections respiratoires aiguës (IRA) et des gastroentérites aiguës (GEA) 19 juin 2014

Signalement et gestion des infections respiratoires aiguës (IRA) et des gastroentérites aiguës (GEA) 19 juin 2014 Signalement et gestion des infections respiratoires aiguës (IRA) et des gastroentérites aiguës (GEA) 19 juin 2014 Nadège Caillere, Cire Océan Indien Dr Joao Simoes, Cellule de veille, d alerte et de gestion

Plus en détail

GL BIOCONTROL Le Mas Bas CIDEX 1040 30 250 ASPERES GSM : +33 (0)6 81 71 31 83 - Fax : +33 (0)9 55 25 40 31 Email : contact@gl-biocontrol.

GL BIOCONTROL Le Mas Bas CIDEX 1040 30 250 ASPERES GSM : +33 (0)6 81 71 31 83 - Fax : +33 (0)9 55 25 40 31 Email : contact@gl-biocontrol. PRESENTATION DE LA SOCIETE GL BIOCONTROL GL BIOCONTROL Le Mas Bas CIDEX 1040 30 250 ASPERES GSM : +33 (0)6 81 71 31 83 - Fax : +33 (0)9 55 25 40 31 Email : contact@gl-biocontrol.com - Web : www.gl-biocontrol.com

Plus en détail

MASTER 2 CONTAMINANTS EAU SANTE

MASTER 2 CONTAMINANTS EAU SANTE MASTER 2 CONTAMINANTS EAU SANTE RÉSUMÉ DE LA FORMATION Type de diplôme : Master (LMD) Domaine ministériel : Sciences, Technologies, Santé Présentation PLUS D'INFOS Crédits ECTS : 60 Cette spécialité couvre

Plus en détail

CROPSAV POITOU-CHARENTES. Section spécialisée domaine vétérinaire Tuberculose bovine

CROPSAV POITOU-CHARENTES. Section spécialisée domaine vétérinaire Tuberculose bovine CROPSAV POITOU-CHARENTES Section spécialisée domaine vétérinaire Tuberculose bovine Plan de la présentation La situation sanitaire Les mesures de surveillance de la tuberculose mises en place en Poitou-Charentes

Plus en détail

Présentation des intervenants et modérateurs

Présentation des intervenants et modérateurs «NOSOPICARD 2015», 20 ème Rencontre d Hygiène Hospitalière, de Prévention et de Lutte contre les Infections Associées aux Soins Présentation des intervenants et modérateurs Roland GORI est : Professeur

Plus en détail

ACADÉMIE NATIONALE DE PHARMACIE

ACADÉMIE NATIONALE DE PHARMACIE ACADÉMIE NATIONALE DE PHARMACIE SANTÉ PUBLIQUE - MÉDICAMENT - PRODUITS DE SANTÉ - BIOLOGIE - SANTÉ ET ENVIRONNEMENT Fondée le 3 août 1803 sous le nom de Société de Pharmacie de Paris Reconnue d utilité

Plus en détail

ENTENTE INTERDEPARTEMENTALE

ENTENTE INTERDEPARTEMENTALE ENTENTE INTERDEPARTEMENTALE DE LUTTE CONTRE LA RAGE ET AUTRES ZOONOSES ETAT D AVANCEMENT DES TRAVAUX 2011 SUR L ECHINOCOCCOSE ALVEOLAIRE et autres zoonoses Toutous, vous saurez tout sur l échino! Note

Plus en détail

Réseau National de Laboratoires * * * * * * * * * *

Réseau National de Laboratoires * * * * * * * * * * République du Sénégal Ministère de la Santé et de l Action Sociale Direction Générale de la Santé Direction des Laboratoires Réseau National de Laboratoires * * * * * * * * * * PLAN DE FORMATION DES PERSONNELS

Plus en détail

FICHE D INFORMATION AVANT UNE TRANSFUSION

FICHE D INFORMATION AVANT UNE TRANSFUSION FICHE D INFORMATION AVANT UNE TRANSFUSION Madame, Monsieur, Si votre état de santé nécessite une transfusion sanguine, ce document est destiné à vous informer sur les avantages et les risques de la transfusion,

Plus en détail

Liste des matières enseignées

Liste des matières enseignées Liste des matières enseignées Domaine : Sciences de la Nature et de la Vie Filière : Biologie Parcours : Tronc Commun Semestre1 VHG Coefficient Cours TD/TP Crédits/s. unité crédits U.E fondamental : 13

Plus en détail

Les animaux vertébrés sont-ils réservoirs de rickettsies?

Les animaux vertébrés sont-ils réservoirs de rickettsies? Les animaux vertébrés sont-ils réservoirs de rickettsies? Bernard DAVOUST 1,2, Oleg MEDIANNIKOV 2, Jean-Lou MARIÉ 1,2, Cristina SOCOLOVSCHI 2, Philippe PAROLA 2 et Didier RAOULT 2 1 - Direction régionale

Plus en détail

Conseils aux voyageurs

Conseils aux voyageurs Conseils aux voyageurs Informations issues du site du Ministère des Affaires Etrangères en France : http://www.diplomatie.gouv.fr/ Entrée / Séjour : Un visa d entrée est nécessaire pour les ressortissants

Plus en détail

les deux premières années du Bachelor of Science en sciences pharmaceutiques

les deux premières années du Bachelor of Science en sciences pharmaceutiques UNIVERSITÉ DE FRIBOURG SUISSE FACULTÉ DES SCIENCES UNIVERSITÄT FREIBURG SCHWEIZ MATHEMATISCH-NATURWISSENSCHAFTLICHE FAKULTÄT Plan d'études pour les deux premières années du Bachelor of Science en sciences

Plus en détail

1 er MASTER CONCEPT «UN MONDE UNE SANTE»

1 er MASTER CONCEPT «UN MONDE UNE SANTE» 1 er MASTER CONCEPT «UN MONDE UNE SANTE» In Partnership with Le Master 2 MAN-IMAL c est : Formation innovante et interdisciplinaire (Médecins, Véto, Ingénieurs agro/iaa, Biologistes ) Double compétence

Plus en détail

Hygiène alimentaire en restauration

Hygiène alimentaire en restauration 2 0 1 5 Catalogue de formations Audit, conseil et formation Hygiène alimentaire en restauration Laboratoire Départemental de la Côte-d'Or (LDCO) Sommaire 1A 1B 23 4 5 6 7A 7B 8 Sensibilisation à l hygiène

Plus en détail

Animal de compagnie. Les fiches pratiques de la concurrence et de la consommation

Animal de compagnie. Les fiches pratiques de la concurrence et de la consommation Les fiches pratiques de la concurrence et de la consommation Animal de compagnie Les animaux de compagnie sont des animaux dont l'homme a la garde, notamment dans son foyer, pour son agrément et qui ne

Plus en détail

Quelles sont les maladies hautement contagieuses susceptibles d être hospitalisées en réanimation en France?

Quelles sont les maladies hautement contagieuses susceptibles d être hospitalisées en réanimation en France? 53 e congrès national d anesthésie et de réanimation. Infirmiers. Infirmier(e)s de réanimation 2011 Sfar. Tous droits réservés. Quelles sont les maladies hautement contagieuses susceptibles d être hospitalisées

Plus en détail

Infestation par Dipylidium caninum,

Infestation par Dipylidium caninum, Fiche technique n 24 Infestation par Dipylidium caninum, le téniasis félin à Dipylidium Parmi tous les vers qui peuvent infester le chat, Dipylidium caninum est un parasite fréquemment rencontré dans le

Plus en détail

Rapport d évaluation du master

Rapport d évaluation du master Section des Formations et des diplômes Rapport d évaluation du master Infectiologie : microbiologie, virologie, immunologie de l Université Paris 7 Denis Diderot Vague D 2014-2018 Campagne d évaluation

Plus en détail

OIE 12, rue de Prony 75017 Paris France Tel.: 33 (0)1 44 15 18 88 Fax: 33 (0)1 42 67 09 87 www.oie.int oie@oie.int

OIE 12, rue de Prony 75017 Paris France Tel.: 33 (0)1 44 15 18 88 Fax: 33 (0)1 42 67 09 87 www.oie.int oie@oie.int Original : anglais Juillet 2006 RAPPORT DE LA RÉUNION DU BUREAU DE LA COMMISSION SCIENTIFIQUE POUR LES MALADIES ANIMALES Paris, 3-4 juillet 2006 Une réunion du Bureau de la Commission scientifique de l

Plus en détail

- 2 - faire industriel dans la mise au point des produits biologiques. L Institut Roche de Recherche et Médecine Translationnelle (IRRMT, basé à

- 2 - faire industriel dans la mise au point des produits biologiques. L Institut Roche de Recherche et Médecine Translationnelle (IRRMT, basé à Information presse Roche, l Agence Nationale de Recherches sur le Sida et les hépatites virales (ANRS), le Baylor Research Institute (BRI) et Inserm Transfert mettent en place une coopération stratégique

Plus en détail

Présentation Générale

Présentation Générale Mars 2009 Présentation Générale 1- Le Master Recherche en Sciences de la Vie et de la Santé à Nice Objectifs, environnement scientifique, organisation Enseignements, les spécialités, les cours et les stages

Plus en détail

Annexe 7. Fiche standardisée pour l enquête auprès des responsables des différents systèmes.

Annexe 7. Fiche standardisée pour l enquête auprès des responsables des différents systèmes. Annexe 7. Fiche standardisée pour l enquête auprès des responsables des différents systèmes. Cher expert, Le Comité scientifique de l AFSCA a pris l initiative d évaluer le caractère organisationnel de

Plus en détail

La lutte contre la tuberculose est régie par l arrêté royal du 17 octobre 2002.

La lutte contre la tuberculose est régie par l arrêté royal du 17 octobre 2002. Le diagnostic de la tuberculose bovine La lutte contre la tuberculose est régie par l arrêté royal du 17 octobre 2002. 1. Tuberculination Dans la première phase d une infection de tuberculose bovine (Mycobacterium

Plus en détail

S. Kernéis, T. Ancelle, V. Naneix-Laroche, N. Amrane, JP. Leroy, T. Hanslik, O. Launay

S. Kernéis, T. Ancelle, V. Naneix-Laroche, N. Amrane, JP. Leroy, T. Hanslik, O. Launay Etude AMARCOR Tolérance et immunogénicité du vaccin contre la fièvre jaune chez des sujets recevant une corticothérapie par voie générale : étude de cohorte observationnelle S. Kernéis, T. Ancelle, V.

Plus en détail

Hygiène alimentaire en restauration

Hygiène alimentaire en restauration 2 0 1 4 Catalogue de formations Audit, conseil et formation Hygiène alimentaire en restauration Laboratoire Départemental de la Côte-d'Or (LDCO) Sommaire 1A 1B 23 4 5 6 7A 7B 89 Sensibilisation à l hygiène

Plus en détail

Valorisation des patrimoines. Conseil et accompagnement stratégique

Valorisation des patrimoines. Conseil et accompagnement stratégique Valorisation des patrimoines Conseil et accompagnement stratégique Dans un contexte d évolutions continues des règlementations et de recherche d optimisation, loin des grands programmes de constructions

Plus en détail

Streptocoque B :apports des tests en fin de grossesse, nouvelles propositions.

Streptocoque B :apports des tests en fin de grossesse, nouvelles propositions. Streptocoque B :apports des tests en fin de grossesse, nouvelles propositions. Exemple d une étude prospective sur la place d un test de détection rapide du SGB. HONORAT Raphaële 1, ASSOULINE Corinne 1,

Plus en détail

Physiopathologie : de la Molécule à l'homme

Physiopathologie : de la Molécule à l'homme Mention Sciences du Vivant Spécialité de Master : Physiopathologie : de la Molécule à l'homme Pourquoi, comment, combien, contourner, greffer, restaurer, inhiber, suppléer Responsables : Dr Gilles Prévost

Plus en détail

METHODOLOGIE GENERALE DE LA RECHERCHE EPIDEMIOLOGIQUE : LES ENQUETES EPIDEMIOLOGIQUES

METHODOLOGIE GENERALE DE LA RECHERCHE EPIDEMIOLOGIQUE : LES ENQUETES EPIDEMIOLOGIQUES Enseignement du Deuxième Cycle des Etudes Médicales Faculté de Médecine de Toulouse Purpan et Toulouse Rangueil Module I «Apprentissage de l exercice médical» Coordonnateurs Pr Alain Grand Pr Daniel Rougé

Plus en détail

Rapport de l AERES sur la structure fédérative : sous tutelle des établissements et organismes : «Du malade à la molécule» Université Aix Marseille 2

Rapport de l AERES sur la structure fédérative : sous tutelle des établissements et organismes : «Du malade à la molécule» Université Aix Marseille 2 Section des Unités de recherche Rapport de l AERES sur la structure fédérative : «Du malade à la molécule» sous tutelle des établissements et organismes : Université Aix Marseille 2 Juin 2011 Section des

Plus en détail

Notre métier : Vous accompagner dans votre Projet

Notre métier : Vous accompagner dans votre Projet Notre métier : Vous accompagner dans votre Projet Formation initiale en alternance (scolaire ou apprentissage) Formation continue FORMATION INITIALE > Bac Pro Bio Industries de Transformation Accéder x

Plus en détail

Jean-Christophe Richard Véronique Merle CHU de Rouen

Jean-Christophe Richard Véronique Merle CHU de Rouen Gestion d un cas de portage d entérocoque résistant aux glycopeptides (ERG- ERV) Jean-Christophe Richard Véronique Merle CHU de Rouen IXème Journée régionale de Prévention des infections associées aux

Plus en détail

Implication des Corevih dans l arrivée des ADVIH: Expérience du Corevih LCA

Implication des Corevih dans l arrivée des ADVIH: Expérience du Corevih LCA Implication des Corevih dans l arrivée des ADVIH: Expérience du Corevih LCA Réunion Icône 2015 STRASBOURG Laurence Boyer - PH -SMIT- CHU Nancy Contexte Plan VIH/Sida/IST- 2010/14: Augmenter le dépistage:

Plus en détail

Les animaux en EHPAD : règles d hygiène

Les animaux en EHPAD : règles d hygiène 5 ème journée régionale de formation et d information. Prévention du risque infectieux en EHPAD CHRU de LILLE Les animaux en EHPAD : règles d hygiène Annie BRENET, CDS Hygiéniste ARLIN Picardie Jeudi 23

Plus en détail

Les Infections Associées aux Soins

Les Infections Associées aux Soins Les Infections Associées aux Soins Dr Catherine Sartor EOH Conception Assistance Publique Hôpitaux de Marseille Ecole IFSI, Marseille, 12 septembre 2014 Définitions 2007 Infection Nosocomiale (IN) 1999

Plus en détail

Infection par le VIH/sida et travail

Infection par le VIH/sida et travail Documents publiés dans la collection VIH-sida du ministère de la Santé et de la Protection sociale : COLLECTION VIH/SIDA Sida-MST (maladies sexuellement transmissibles) Transmission - Diagnostic/dépistage

Plus en détail

Prévenir... par la vaccination

Prévenir... par la vaccination Prévenir... par la vaccination 6 La vaccination...... Soit c est OBLIGATOIRE (2)... Les vaccinations obligatoires pour l ensemble de la population et dont les lois sont inscrites dans le Code de la Santé

Plus en détail

UN VEAU PAR VACHE ET PAR AN

UN VEAU PAR VACHE ET PAR AN RÉSEAUX D ÉLEVAGE POUR LE CONSEIL ET LA PROSPECTIVE COLLECTION THÉMA UN VEAU PAR VACHE ET PAR AN Pour les éleveurs allaitants dont la principale activité est de faire naître des veaux, il est primordial

Plus en détail

ECHOGRAPHIE EN GYNECOLOGIE ET EN OBSTETRIQUE

ECHOGRAPHIE EN GYNECOLOGIE ET EN OBSTETRIQUE ECHOGRAPHIE EN GYNECOLOGIE ET EN OBSTETRIQUE (Diplôme Interuniversitaire National d ) 17/02/2015 avec Bordeaux, Brest, Lille, Lyon, Marseille, Nantes, Paris V et XII, Toulouse et Tours Objectifs : Formation

Plus en détail

Référentiel Officine

Référentiel Officine Référentiel Officine Inscrire la formation dans la réalité et les besoins de la pharmacie d officine de demain - Ce référentiel décrit dans le cadre des missions et des activités du pharmacien d officine

Plus en détail

Histoire et Sociologie de la Santé Publique Vétérinaire INRA - Ritme. Décembre 2009

Histoire et Sociologie de la Santé Publique Vétérinaire INRA - Ritme. Décembre 2009 Histoire et Sociologie de la Santé Publique Vétérinaire INRA - Ritme. Décembre 2009 Entre médecine humaine et médecine vétérinaire: l usage et l abandon de la vaccination dans la prophylaxie de la tuberculose

Plus en détail

TEST DE DÉTECTION DE LA PRODUCTION D INTERFÉRON γ POUR LE DIAGNOSTIC DES INFECTIONS TUBERCULEUSES

TEST DE DÉTECTION DE LA PRODUCTION D INTERFÉRON γ POUR LE DIAGNOSTIC DES INFECTIONS TUBERCULEUSES TEST DE DÉTECTION DE LA PRODUCTION D INTERFÉRON γ POUR LE DIAGNOSTIC DES INFECTIONS TUBERCULEUSES Classement NABM : non inscrit code : non codé DÉCEMBRE 2006 Service évaluation des actes professionnels

Plus en détail

Fondation PremUp. Mieux naître pour mieux vivre

Fondation PremUp. Mieux naître pour mieux vivre Fondation PremUp Mieux naître pour mieux vivre Une fondation de coopération scientifique initiée par les pouvoirs publics en 2007 6 membres fondateurs : L Assistance Publique des Hôpitaux de Paris, l Inserm,

Plus en détail

La coopération décentralisée est inscrite dans la transversalité et se nourrit des échanges et pratiques confiés aux missions de l Agence.

La coopération décentralisée est inscrite dans la transversalité et se nourrit des échanges et pratiques confiés aux missions de l Agence. 1 Une mission «coopération décentralisée» existe depuis 8 ans à l ARENE Île-de-France. Résultat d une délibération sur l action internationale votée par la Région Île-de-France souhaitant que celle ci

Plus en détail

LES MISSIONS DE LA DDPP 13 s organisent autour de 3 axes :

LES MISSIONS DE LA DDPP 13 s organisent autour de 3 axes : LES MISSIONS DE LA DDPP 13 s organisent autour de 3 axes : I - Pôle sécurité qualité et loyauté de l alimentation, Santé et Protection Animale, Protection de l Environnement constitué de 4 services : Service

Plus en détail

Comment devenir référent? Comment le rester?

Comment devenir référent? Comment le rester? Comment devenir référent? Comment le rester? Patrick CHOUTET Service des Maladies infectieuses CHU Bretonneau Tours RICAI décembre 2005 Quels enjeux? autres que le pouvoir Total Outpatient antibiotic use

Plus en détail

Lecture critique. Maîtrise de la diffusion de la résistance aux antibiotiques l hôpital : le rôle de l hygiène hospitalière D. Lepelletier, N.

Lecture critique. Maîtrise de la diffusion de la résistance aux antibiotiques l hôpital : le rôle de l hygiène hospitalière D. Lepelletier, N. Maîtrise de la diffusion de la résistance aux antibiotiques l hôpital : le rôle de l hygiène hospitalière D. Lepelletier, N. Marty Lecture critique Monica Attinger - Unité HPCI Forum HH 10 mars 2015 Article

Plus en détail

Résistance aux Antimicrobiens: Ensemble, nous pouvons réduire ce risque

Résistance aux Antimicrobiens: Ensemble, nous pouvons réduire ce risque Résistance aux Antimicrobiens: Ensemble, nous pouvons réduire ce risque Débats de Santé Publique 2014 Carmem Lúcia Pessoa-Silva, MD, PhD Health Security and Environment, WHO Headquarters, Geneva pessoasilvacl@who.int

Plus en détail

Apport de la biologie moléculaire au diagnostic des parasitoses

Apport de la biologie moléculaire au diagnostic des parasitoses Apport de la biologie moléculaire au diagnostic des parasitoses M-H H BESSIERES,, S. CASSAING, A. BERRY, R. FABRE, J-F.. MAGNAVAL Service de Parasitologie-Mycologie Diagnostic biologique d une d parasitose

Plus en détail

ARRÊTÉ du. Projet d arrêté fixant le programme d'enseignement de santé et social en classe de seconde générale et technologique

ARRÊTÉ du. Projet d arrêté fixant le programme d'enseignement de santé et social en classe de seconde générale et technologique RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Ministère de l Éducation nationale NOR : MENE1007267A ARRÊTÉ du Projet d arrêté fixant le programme d'enseignement de santé et social en classe de générale et technologique Le Ministre

Plus en détail

LISTE DES CENTRES NATIONAUX DE REFERENCE 2006-2011

LISTE DES CENTRES NATIONAUX DE REFERENCE 2006-2011 LISTE DES CENTRES NATIONAUX DE REFERENCE 2006-2011 Professeur Jean-Jacques HAUW CH PITIE-SALPETRIERE SERVICE D'ANATOMIE PATHOLOGIQUE-NEUROLOGIE 47/83 bd de l'hôpital - 75651 PARIS CEDEX 13 Tél. : 01 42

Plus en détail

Sommaire de la séquence 7

Sommaire de la séquence 7 Sommaire de la séquence 7 De tout temps, l Homme a été frappé par des maladies mortelles qui décimaient des populations entières lors d épidémies connues comme la peste ou le choléra. Malgré ces fléaux,

Plus en détail

Vaccination des voyageurs dont la sérologie VIH est positive.

Vaccination des voyageurs dont la sérologie VIH est positive. Vaccination des voyageurs dont la sérologie VIH est positive. Pr Jean Beytout Service des maladies infectieuses et tropicales CHU de Clermont-Ferrand. Comité Technique des Vaccinations Conclusion Le principal

Plus en détail

PSDP et usage des pénicillines - ESAC

PSDP et usage des pénicillines - ESAC Plan National d alerte sur les Antibiotiques 2011/2016 Déclinaison régionale Pr Pierre DELLAMONICA CHU de Nice ARS 29/11/12 1 Plans précédents 2001/2005 et 2007/2010 «Menace de santé publique majeure»

Plus en détail

Service d ambulance. Normes. de soins aux patients. et de transport

Service d ambulance. Normes. de soins aux patients. et de transport Service d ambulance Normes de soins aux patients et de transport Ministère de la Santé et des Soins de longue durée Direction des services de santé d urgence Avril 2000 (Mise à jour : octobre 2002) Soins

Plus en détail

Organiser une permanence d accès aux soins de santé PASS

Organiser une permanence d accès aux soins de santé PASS Établissements de santé Droits et accueil des usagers Organiser une permanence d accès aux soins de santé PASS Recommandations et indicateurs Préface Faire face aux inégalités de santé qui touchent tout

Plus en détail

CONSEIL SCIENTIFIQUE ET ADMINISTRATIF DE LA SFNC DU 27 11 2011

CONSEIL SCIENTIFIQUE ET ADMINISTRATIF DE LA SFNC DU 27 11 2011 CONSEIL SCIENTIFIQUE ET ADMINISTRATIF DE LA SFNC DU 27 11 2011 Présents : Chazal J., Civit T., Cornu Ph., Dauger F., Devaux B., Hladky J.P.,, Lejeune J.P., Menei Ph., Mertens P., Moreau J.J., Mottolese

Plus en détail

Programme DPC des infirmiers

Programme DPC des infirmiers Catalogue de formations de la FNFCEPPCS pour l année 2015 Programme DPC des infirmiers Le catalogue peut évoluer en cours d année ; nous vous en tiendrons informés. 1 L INFIRMIER DE CENTRE DE SANTÉ FACE

Plus en détail

Tests de détection de l interféron γ et dépistage des infections tuberculeuses chez les personnels de santé

Tests de détection de l interféron γ et dépistage des infections tuberculeuses chez les personnels de santé Tests de détection de l interféron γ et dépistage des infections tuberculeuses chez les personnels de santé Réunion GERES du 6 juillet 2007 : D Abiteboul,, E Bouvet, A Buonaccorsi,, G Carcelain,, M Domart-Rançon,

Plus en détail

Il est bien établi que le réseau d eau hospitalier peut

Il est bien établi que le réseau d eau hospitalier peut Les micro-organismes de l eau impliqués dans les infections nosocomiales Depuis 2001 chez Pall, en charge de l information scientifique et réglementaire dans les domaines d applications couverts par la

Plus en détail

Programme National de Prévention des infections associées aux soins en ES, 2009-2012

Programme National de Prévention des infections associées aux soins en ES, 2009-2012 Programme National de Prévention des infections associées aux soins en ES, 2009-2012 Pr Coordonnateur Groupe de Pilotage du Programme National de Lutte contre les Infections Nosocomiales Séminaire National

Plus en détail

Evaluation des coûts de dépistage d Entérocoques Résistants aux Glycopeptides : Résultats préliminaires

Evaluation des coûts de dépistage d Entérocoques Résistants aux Glycopeptides : Résultats préliminaires Evaluation des coûts de dépistage d Entérocoques Résistants aux Glycopeptides : culture versus PCR Résultats préliminaires J. Assoukpa, L. Dupraz, D. Lecointe UFHHLIN, Centre Hospitalier Sud Francilien,

Plus en détail

Les débouchés des diplômés de L LMD Sciences de la Nature et de la Vie

Les débouchés des diplômés de L LMD Sciences de la Nature et de la Vie Les débouchés des diplômés de L LMD Sciences de la Nature et de la Vie Pour quel métier vous êtes fait? Des doutes sur ta formation actuelle : faut-il poursuivre? Vous avez une idée de métier mais est-ce

Plus en détail

Master en Biochimie et Biologie moléculaire et cellulaire (BBMC)

Master en Biochimie et Biologie moléculaire et cellulaire (BBMC) Master en Biochimie et Biologie moléculaire et cellulaire (BBMC) BIOLOGIE MOLÉCULAIRE EN CONDITIONS PHYSIOLOGIQUES ET PATHOLOGIQUES Département de Biologie Faculté de Médecine Université de Namur Master

Plus en détail

Audition publique sur la vaccination. Levée de l obligation vaccinale? Suivi de la synthèse et des recommandations de la Commission d Audition

Audition publique sur la vaccination. Levée de l obligation vaccinale? Suivi de la synthèse et des recommandations de la Commission d Audition Audition publique sur la vaccination des enfants par le BCG. Levée de l obligation vaccinale? Suivi de la synthèse et des recommandations de la Commission d Audition 13-14 novembre 2006 Société française

Plus en détail

Compétitivité des produits laitiers locaux: vers une standardisation du «fènè», un lait spontanément fermenté au Mali

Compétitivité des produits laitiers locaux: vers une standardisation du «fènè», un lait spontanément fermenté au Mali Compétitivité des produits laitiers locaux: vers une standardisation du «fènè», un lait spontanément fermenté au Mali S. Wullschleger, B. Bonfoh; A. Sissoko, I. Traoré; S. Tembely, J. Zinsstag, C. Lacroix,

Plus en détail

dossier de presse nouvelle activité au CHU de Tours p a r t e n a r i a t T o u r s - P o i t i e r s - O r l é a n s

dossier de presse nouvelle activité au CHU de Tours p a r t e n a r i a t T o u r s - P o i t i e r s - O r l é a n s dossier de presse nouvelle activité au CHU de Tours lat ransplantation hépatique p a r t e n a r i a t T o u r s - P o i t i e r s - O r l é a n s Contact presse Anne-Karen Nancey - Direction de la communication

Plus en détail

Qu est-ce que la peste?

Qu est-ce que la peste? Département fédéral de l'intérieur DFI Office fédéral de la santé publique OFSP Unité de direction Santé publique Qu est-ce que la peste? État : 1 juin 2008 Réponses aux questions fréquemment posées concernant

Plus en détail

Gestion de la crise sanitaire grippe A

Gestion de la crise sanitaire grippe A Gestion de la crise sanitaire grippe A Sommaire de la présentation Nature du risque lié au virus A H1N1 Plan gouvernemental de pandémie grippale Mesures de protection Historique de la grippe La grippe

Plus en détail

Cahier des charges de formation à la sensibilisation aux Risques Psycho-Sociaux (RPS) à l INRA de Jouy-en-Josas

Cahier des charges de formation à la sensibilisation aux Risques Psycho-Sociaux (RPS) à l INRA de Jouy-en-Josas Cahier des charges de formation à la sensibilisation aux Risques Psycho-Sociaux (RPS) à l INRA de Jouy-en-Josas Cahier des charges formation RPS INRA/FP : Jouy-en-Josas page 1 sur 10 I. Contexte INRA national

Plus en détail

Développement de systèmes de surveillance en entreprise à l Institut de Veille Sanitaire

Développement de systèmes de surveillance en entreprise à l Institut de Veille Sanitaire Développement de systèmes de surveillance en entreprise à l Institut de Veille Sanitaire JL Marchand E Imbernon M Goldberg (Département Santé Travail) Présentation / rappels Département Santé Travail de

Plus en détail

Année Universitaire 2008-2009

Année Universitaire 2008-2009 Année Universitaire 2008-2009 1 ère Année DIPLOME INTER UNIVERSITAIRE de SEXOLOGIE et du DIU D ETUDES BIOLOGIQUES, PSYCHOLOGIQUES, et SOCIALES de la SEXUALITE HUMAINE Les cours auront lieu : Le Vendredi

Plus en détail

Gestion intégrée des risques technologiques émergents

Gestion intégrée des risques technologiques émergents Gestion intégrée des risques technologiques émergents Bruno Debray Délégué scientifique Direction des risques accidentels GIS 3SGS 2011 DCO 17/10/2011 1 / 1 Contexte Les risques émergents : une préoccupation

Plus en détail

Mise en place de référents grippe au sein d un centre hospitalier

Mise en place de référents grippe au sein d un centre hospitalier Mise en place de référents grippe au sein d un centre hospitalier Sophie FOUCAULT, IDE Hygiéniste, FFC Service ECLIN P.MIR, C.JACOB, Praticiens de Santé au Travail R.HUE, Praticien Hygiéniste, Service

Plus en détail

GRANDS PRIX ATTRIBUÉS EN 2012

GRANDS PRIX ATTRIBUÉS EN 2012 Paris, le 18 septembre 2012 GRANDS PRIX ATTRIBUÉS EN 2012 PRIX LAMONICA DE NEUROLOGIE (Fondation pour la recherche biomédicale P.C.L) (125 000 ). Le prix est décerné à Brigitte KIEFFER, Directeur de recherche

Plus en détail