Épidémiologie de l Hépa/te C

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1 Épidémiologie de l Hépa/te C Anne Frésard SMIT CHU St- E5enne AG du COREVIH Auvergne- Loire 16 septembre 2014

2 Prévalence Hépa/te C 9 % 170 millions de personnes touchées par le VHC

3 Transmission du VHC dans les pays «développés» : consomma/on de drogues +++ par voie IV, partage de seringue ou du matériel de prépara5on +++ Par voie nasale (paille), Par voie fumée (partage de la pipe à crack si blessures aux mains lors de la prépara5on du crack ou de saignements de lèvres) dans les pays en développement : l u5lisa5on de matériel d injec/on non stérile et la transfusion de produits sanguins non testés

4 Transmission du VHC transfusion de produits sanguins a joué un rôle majeur dans la diffusion de l infec5on en Europe de l Ouest et en Amérique du Nord jusqu au début des années Aujourd hui, le risque de transmission du VHC par transfusion est devenu infime dans les pays développés. le risque de transmission lors des soins invasifs (injec5ons, dialyse, certains actes endoscopiques), a joué un rôle dans la transmission du VHC jusqu à la fin des années 1990, mais le risque de transmission est devenu infime

5 Transmission du VHC tatouage ou piercing à risque dès lors que du matériel en contact avec le sang est réu5lisé sans stérilisa5on préalable ; transmission par voie sexuelle extrêmement faible chez les couples hétérosexuels stables. Augmentée en cas de rapports sexuels trauma5ques (HSH afeints par le VIH) Transmission materno- fœtale: 5% (x 4 en cas de co- infec5on VIH).

6 EN FRANCE

7 France = pays de faible endémicité pour les virus des hépa5tes B et C (prévalence des infec5ons chroniques < 1%) Les personnes nées dans les pays de forte prévalence pour le VHB et/ou le VHC (AFRIQUE SUBSAHARIENNE- ASIE DU SUD/EST) représente une part importante des personnes porteuses chroniques des virus B et C en France. VHB ET VHC EN FRANCE

8 Les hépa5tes chronique B et C = Problème de Santé publique Gravité poten5elle : risque d évolu5on vers la cirrhose et/ou le carcinome hépato cellulaire Nombre de personnes infectées Coût de prise en charge

9 Ø Incidence des nouvelles infec5ons liées au VHB et au VHC en forte diminu5on (2 dernières décennies) Ø Modes de contamina5on ont évolué ü Dépistage obligatoire du VHB pendant la grossesse et sérovaccina5on des no- nés de mères porteuses chroniques ü Améliora5on des précau5ons d hygiène et d asep5e en milieu médical et communautaire ü Sécurisa5on transfusionnelle ü Réduc5on des risques liés aux soins

10 Prévalence en France métropolitaine enquête de séroprévalence 2004 HEPATITE B HEPATITE C personnes porteuses de l Ag HBs Prévalence = 0,65 % 44,8 % connaissent leur statut personnes ont été en contact avec le VHC (sérologie +) Prévalence = 0,84 % 57,4 % connaissent leur statut L ARN viral était détecté chez 65 % des sujets an:- VHC posi:fs correspondant à sujets infectés par le VHC 0,53 % VHC chronique

11 Hépa/tes virales B et C France personnes adultes (18-80 ans) en France métropolitaine (la moi5é l ignore) VHB VHC trois fois plus fréquentes chez les personnes en situa5on de précarité hépa/tes chroniques 5 à 10 % des cas pour l'hépa5te B chez l'adulte 50 % à 90 % des cas pour l'hépa5te C cirrhose et/ ou un cancer du foie décès annuels

12 Prévalence de l infec/on par le VHC Popula/on générale (InVs 2004) AC an5 VHC : 0, 84 % ( personnes ont été infectées dans leur vie) Variable selon l âge (0,04% (18-29) à 2,28% (40-49)) Selon le pays de naissance 1,69% à 10,17% France métropolitaine : 0,73% Trois fois plus élevée chez les benéficiaires de la CMUc (2,49% vs 0,74%) 2/3 infectés chroniques ( pers.) Prévalence d infec/on VHC chronique = 0,53%

13 Prévalence de l infec/on par le VHC Nouveaux donneurs de sang (dépistage obligatoire des AC an5 VHC depuis 1990 et de l ARN VHC depuis 1991) Parmi les nvx donneurs en sérologies posi5ves dont 60 % virémie posi5ve : prévalence 0,03% Le % de personnes virémiques diminue avec le temps (80 % en 2001) (en faveur d une baisse d incidence) Entre 1992 et 2002 : prévalence des sérologies posi5ves divisée par 5 (meilleure sélec5on des donneurs- techniques de dépistage) et entre 2002 et 2012 encore divisée par 3 : réduc5on de la prévalence dans la popula5on générale

14 Prévalence du VHC chez les donneurs de sang ( )

15 Prévalence de l infec/on par le VHC Popula/ons exposées MIGRANTS InVs 2004 : 1,65 % (personnes nées dans les pays de moyenne endémicité) à 10 % (forte endémicité : Moyen Orient) Dans les structures d accueil des personnes migrantes en situa5on de précarité : 2 à 5% Prévacar 2010 : prévalence plus élevée chez les personnes détenues nées en Asie (12,4%) ou en Europe de l Est (12,3%) par rapport à celles nées en France (5%)

16 Prévalence de l infec/on par le VHC USAGERS DE DROGUES (COQUELICOT): 60 % (2004) 44% (2011) Figure 1 Séroprévalence du VIH et du VHC par classe d âge, Coquelicot, France, 2004 Figure 1 HIV and HCV prevalence by range of age, Coquelicot, France, 2004 Pourcentage VIH VHC 0 < Classe d âge (années) =>40 9 % chez les moins de 30 ans

17 Prévalence de l hépa5te C chez les usagers de drogues (Coquelicot 2011)

18 Prévalence de l infec/on par le VHC PERSONNES DÉTENUES (Prévacar2010) : 4,8 % (5x plus élevée que la popula5on générale) Plus importante chez les femmes (11,8 %) que chez les hommes (4,5%) 2,5 % forme chronique ARN+

19 Prévalence de l infec/on par le VHC HSH (Prévagay Paris) Prévalence du VHC = 1%

20 Incidence du VHC en France Pas de données à l échelle na5onale permefant d es5mer le taux de nouvelles contamina5ons Le taux de nouveaux diagnos5cs

21 SURVEILLANCE DE L ACTIVITÉ DE DÉPISTAGE DU VHC EN FRANCE

22 Surveillance de l ac/vité de dépistage de l hépa/te C Différents réseaux et enquêtes Labo d AM (LabHep 2010) Consulta5ons de CDAG ( ) Données de remboursement de l AM ( )

23 Données assurance maladie

24 LaboHep 2010 échan5llon de LABM Environ sérologies de dépistage de l hépa/te C réalisées, majoritairement dans le secteur privé (69 %) et pour plus d un quart d entre elles, en Ile de France.

25 LaboHep 2010 Ac/vité sérologique globale an/- VHC pour hab par région Nombre de tests confirmés posi/fs pour hab par région

26 Distribu/on par sexe et âge des personnes diagnos/quées posi/ves pour les AC an/ VHC LabHep2010 Une majorité d hommes (59 %) plus jeunes que les femmes (45 ans versus 53 ans). les hommes de 40 à 49 ans = le /ers des personnes dépistées posi/ves pour les AC an/- VHC

27 Ac/vité de dépistage des AC an/ VHC par âge et sexe dans les CDAG Tests réalisés en majorité chez des hommes (54 %) Les hommes testés ont entre 20 et 29 ans (48 %) et entre 30 et 39 ans (22 %) Les femmes testées sont plus jeunes : 75 % ont moins de 30 ans et ¼ < 20 ans

28 Distribu/on de la posi/vité des AC an/ VHC par âge et sexe dans les CDAG Hommes = 68 % dans la classe d âge des ans chez 34 % des hommes dans la classe d âge des ans chez un 5ers (31 %) des femmes 59 % des femmes testées posi5ves âgées de moins de 40 ans Taux de posi/vité des an/corps an/- VHC plus élevé chez les hommes (1,03 %) que chez les femmes (0,56 %) le plus élevé (2,4 %) dans la classe d âge des ans chez les hommes augmente avec l âge chez les femmes passant de 0,18 % chez les moins de 20 ans à 3 % chez les 60 ans et plus

29 Répar//on par région du taux de séroposi/vité VHC dans les CDAG

30 Données épidémiologiques SURVEILLANCE NATIONALE DE L HÉPATITE C PÔLES DE RÉFÉRENCE

31 Circonstances de découverte de la sérologie VHC posi/ve Circonstances de découverte de la sérologie VHC des patients nouvellement pris en charge pour une hépatite C au sein des pôles de référence - Données % 80% 60% 40% 20% 0% Fortuite Facteurs de risques Démarche diagnostique Autres circonstances

32 Répar//on par sexe des exposi/ons à risque Répartition par sexe des expositions à risque des patients nouvellement pris en charge pour une hépatite C au sein des pôles de référence 2001 (N=3336) / 2004 (N=2791) et 2007 (N=2423) - Données Femmes Hommes 50% 45% 40% 35% 30% 25% 20% 15% 10% 5% 0% transfusion (a) drogues IV (b) drogues nasales (b) exposition professionnelle exposition nosocomiale (c) autre facteur (d) aucun facteur de risque retrouvé (a) transfusion de sang ou dérivés sanguins avant 1991 (b) utilisation de drogues IV ou drogues nasales : consommation actuelle ou passée (c) Chirurgies, endoscopies, dialyse, etc. (d) Conjoint VHC, entourage VHC, acupuncture, injections diverses, tatouages, piercing, etc.

33 Répar//on par classe d âge et sexe Répartition par classe d âge et sexe des patients nouvellement pris en charge pour une hépatite C au sein des pôles de référence 2001 (N=3336) 2004 (N=2791) et 2007 (N=2423) - Données % 40% Femmes Hommes 35% 30% 25% 20% 15% 10% 5% 0% groupe d'âge <18 ans ans ans ans ans ans 70 ans et+

34 Stade clinique à la prise en charge Stade clinique des patients nouvellement pris en charge pour une hépatite C au sein des pôles de référence - Données N= N= N= N= N= N= N= 2423 n % n % n % n % n % n % n % Stade Renseigné , , , , , , ,4 Alat normales , , , , , , ,0 Hépatite Chronique , , , , , , ,5 Cirrhose 253 8, , , , , , ,3 Cirrhose 26 1,2 43 1,5 49 1,6 23 0,8 49 1,9 48 2,1 41 1,7 décompensée Carcinome hépatocellulaire 19 0,7 33 1,1 23 0,8 26 1,0 36 1,6 26 1,1 46 2,1 Hépatite aiguë 13 0,4 13 0,4 13 0,5 20 0,8 20 0,9 14 0,6 9 0,4 Guérison , , , ,4 :

35 Génotypes des pa/ents virémiques Répartition des génotypes chez les patients virémiques. Patients nouvellement pris en charge pour une hépatite C au sein des pôles de référence - Données % 30% 25% 20% 15% 1a 1b 3 10% 5% 2 4 0% Genotype 1a Genotype 1b Genotype 1 non a,b Genotype 2 Genotype 3 Genotype 4

36 Surveillance sanitaire en Rhône-Alpes Numéro spécial Surveillance hépatites B et C mai 2014 C ELLULE DE L INSTITUT DE VEILLE SANITAIRE EN RÉGION (CIRE) RHONE- ALPES

37 Ac/vité de dépistage de l hépa/te C région Rhône- Alpes- Auvergne Hépatite C Tableau 3 : Activités de dépistage de l hépatite sources de données, région Rhône-Alpes, Fran C (anticorps anti-vhc) à partir de différentes nce, Sources Indicateurs Rhône- Alpes Assurance- Maladie (2012) Nombre de tests Ac anti- VHC remboursés pour habitants 30 Auvergne 29 France métropolitaine Minimum observé en France métropolitaine (Pays de Loire) Maximum observé en France métropolitaine 56 (Paca) Enquête LaboHep (2010) Activité sérologique de dépistage de l Ac anti-vhc pour habitants (Pays de la Loire) 79 (Ile de France) Nombre de tests Ac anti- VHC confirmés positifs pour habitants (Pays de Loire) 107 (Ile de France) CDAG ( ) Taux de positivité de l Ac anti-vhc (%) 0,74 0,44 0,82 0,35 (Corse) 1,35 (Nord Pas-de- Calais)

38 Le 3 ème plan na/onal de luie contre les hépa/tes B et C ( ) le renforcement du dépistage des hépactes B et C la réduc5on de la transmission VHB et VHC le renforcement de l accès aux soins la mise en place de mesures complémentaires adaptées au milieu carcéral la poursuite et le renforcement de la surveillance et des connaissances épidémiologiques.

39 Bilan/évalua/on du plan hépa/tes Défaut persistant de préven5on (vaccina5on) Insuffisance d accès au dépistage Délais de mise à disposi5on de nouveaux ou5ls Inégalités d accès aux soins Données épidémiologiques incomplètes (y compris dans les TOM)

40 Rapport «prise en charge des personnes infectées par les virus de l hépa5te B ou de l hépa5te C» 19 mai 2014 Recommanda5on HAS mai 2014 : place des tests d orienta5on diagnos5que (TROD) dans la stratégie de dépistage de l hépa5te C

41 RECOMMANDATIONS DÉPISTAGE DU VHC (ANAES 2001)

42 Dépistage ciblé des personnes ayant un ou plusieurs facteurs de risque personnes ayant reçu des produits sanguins stables avant 1988 ou des produits sanguins labiles avant 1992 ou une greffe de /ssu, de cellules ou d organe avant 1992 personnes ayant u5lisé au moins une fois dans leur vie des drogues par voie intraveineuse Personnes ayant eu une exposi5on à des actes de soins invasifs avant 1997 pa5ents hémodialysés enfants nés de mère séroposi5ve pour le VHC partenaires sexuels et membres de l entourage familial de sujets afeints d hépa5te C.

43 Dépistage ciblé du VHC (Anaes 2001). personnes incarcérées ou l ayant été (partage d objets coupants, pra5ques addic5ves) personnes originaires ou ayant reçu des soins dans les pays à forte prévalence du VHC personnes ayant eu un tatouage ou un piercing, de la mésothérapie ou de l acupuncture réalisés en l absence de matériel à usage unique ou personnel ; pa5ents ayant un taux d ALAT (alanine- aminotransférase) supérieur à la normale sans cause connue ; ATCD d ictère non expliqué pa5ents séroposi5fs pour le VIH ou porteurs du VHB. Dépistage obligatoire de chaque don de sang

44 Enquête de prévalence de personnes méconnaissaient leur statut VHC femmes > 90 % originaires de zones de faible endémicité ans : ¼ ans : 3/ hommes 80 % originaires de zones de faible endémicité

45 !"#$###!&&#%'%!##$### %"#$### ))#"%) %##$### ()#(%"!(#$'$ "#$### #!"!#"$%!"!#$ (%#'(% %"&&'( %$#'%&!'#")*!&#'$$!%#)&$ "*#'$"!#)&& '+#)'% $!#!&'!%#)(* %#**" "#+%+!!#"$) +'&&'(,-./01#2( #2( #2(,-./01#2( #2( #2( )"&&'( *'&&'( 7"22#8(('2!1$'9:1(!#!9!1;)7 <=2":'2!1$'9:1(!#!9!1;)7

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47 Faire évoluer les stratégies de dépistage des hépa/tes Diversifier l offre et les acteurs du dépistage : médecins de ville, hôpital, CDAG/CIDDIST, milieu communautaire poursuivre le dépistage ciblé en fonc5on des facteurs de risque l élargir aux hommes de 18 à 60 ans et aux femmes enceintes dès la 1 ère consulta/on prénatale Associer dans tous les cas la recherche des TROIS VIRUS: VHB- VHC- VIH Simplifier les facteurs de risque devant inciter au dépistage : transfusion ou acte invasif avant 1992 séjour prolongé dans les pays de forte endémicité les tatouages et les piercings Intérêt du déploiement des TROD MINISTÈRES DES AFFAIRES SOCIALES ET DE LA SANTÉ Prise en charge des personnes infectées par les virus de l hépatite B ou de l hépatite C RAPPORT DE RECOMMANDATIONS 2014 Sous la direction du Pr Daniel Dhumeaux et sous l égide de l ANRS et de l AFEF

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