La saine alimentation et le mode de vie physiquement actif en milieu scolaire

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1 Le point sur La saine alimentation et le mode de vie physiquement actif en milieu scolaire Information nécessaire pour aider les partenaires locaux, régionaux et nationaux à passer à l action. L ensemble des fiches thématiques constituera la base d outils d intervention complémentaires au Plan stratégique, à la Plateforme et à l Alignement stratégique de Québec en Forme.

2 TABLE DES MATIÈRES INTRODUCTION... 1 JALONS HISTORIQUES DE L ÉDUCATION À LA SANTÉ... 2 BREF PORTRAIT DE LA SAINE ALIMENTATION ET DU MODE DE VIE PHYSIQUEMENT ACTIF EN.. 2 OCCASIONS D ETRE PHYSIQUEMENT ACTIF... 3 DEPLACEMENT ACTIF... 3 OFFRE ALIMENTAIRE ET CONVIVIALITE DES REPAS... 4 L ORGANISATION DE L OFFRE ALIMENTAIRE... 4 COMPOSITION DE L OFFRE ALIMENTAIRE... 4 CONTEXTE ET CONVIVIALITE DES REPAS... 5 ÉDUCATION, PROMOTION ET COMMUNICATIONS... 5 DEPUIS L ARRIVEE DU FONDS QUEBEC EN FORME... 5 QUELQUES EXEMPLES DE PROJETS ET D ACTIONS DE NOS PARTENAIRES... 6 DONNÉES PROBANTES ET PRATIQUES PROMETTEUSES... 7 LEVIERS INSTITUTIONNELS... 8 ENCADREMENT LEGISLATIF... 8 ENCADREMENTS MINISTERIELS... 8 ENCADREMENT ADMINISTRATIF... 9 LES PROGRAMMES DES SERVICES EDUCATIFS COMPLEMENTAIRES... 9 VISION DE CHANGEMENT... 9 CHANGEMENTS SOUHAITÉS ET PISTES D ACTION PERSPECTIVES RÉFÉRENCES Québec en Forme, 2013

3 INTRODUCTION Le cheminement scolaire est une période cruciale pour les enfants et les adolescents; il exerce une influence importante sur leur développement car, au cours de cette période, ils acquièrent des habitudes alimentaires et un mode de vie physiquement actif qu ils maintiendront toute leur vie (1) (2). En effet, lorsque les saines habitudes de vie sont acquises au cours des premières années de vie, elles ont plus de chances d être conservées à l âge adulte. De nombreux chercheurs et instances concernées, dont les Centers for Disease Control and Prevention et l Organisation mondiale de la santé, soulignent que l adoption de saines habitudes de vie contribue à favoriser la concentration en classe et la capacité d apprentissage des jeunes (3) (4). L école québécoise a comme mission principale d instruire, de socialiser et de qualifier. Par ailleurs, les services de garde en milieu scolaire ont comme mission de veiller au bien-être général des enfants et de poursuivre, dans le cadre du projet éducatif de l école, leur développement global par des activités tenant compte de leurs intérêts et de leurs besoins, en complémentarité avec les services éducatifs de l école. De cette façon, le milieu scolaire bénéficie de plusieurs leviers favorables pour faire en sorte que les jeunes adoptent et maintiennent une saine alimentation et un mode de vie physiquement actif. Le programme de formation de l école québécoise (5) du MELS (ministère de l Éducation, du Loisir et du Sport), tout comme les services éducatifs complémentaires, doivent être considérés comme la pierre angulaire pour que les élèves acquièrent de saines habitudes de vie, puisqu ils comportent divers points d ancrage. En effet, les domaines généraux de formation, les compétences disciplinaires et transversales ainsi que les programmes de promotion et de prévention peuvent servir d assises pour les intégrer. L éducation à la santé est importante, et elle devrait être abordée selon une approche globale. Ainsi, la mise en place d interventions multidimensionnelles, comportant des mesures éducatives et environnementales, s avère plus efficace que celles se limitant strictement à l éducation à la santé (6) (7). Depuis 2004, ce type d approche s inscrit notamment dans la démarche École en santé qui est proposée conjointement par le MSSS (ministère de la Santé et des Services sociaux) et le MELS (8). De plus, il sera primordial de considérer les travaux conjoints MSSS-MELS sur les pratiques de promotion et de prévention à privilégier en contexte scolaire et auxquels Québec en Forme participe, afin d obtenir toutes les informations nécessaires pour passer à l action. Ce chantier est présentement en cours afin d assurer une réelle intégration des contenus et des pratiques à privilégier et qui sont communs à l ensemble des thématiques dont la saine alimentation et le mode de vie physiquement actif, dans le but d en faciliter la planification et l intégration à la réalité scolaire et d assurer une meilleure efficacité des interventions. 1

4 JALONS HISTORIQUES DE L ÉDUCATION À LA SANTÉ (9) Depuis longtemps au Québec, l éducation à la santé est bien implantée en milieu scolaire. Les premières pressions pour inscrire l éducation à la santé dans les programmes scolaires sont apparues à l époque du courant hygiéniste pour répondre à des obligations de santé publique. En effet, on voulait allier besoins de la population et éducation à la santé pour que l enseignement de l hygiène et d exercices corporels soit introduit sur les bancs d école. Au début des années 80, l éducation à la santé a été intégrée dans le programme scolaire québécois. Deux champs disciplinaires étaient concernés, soit l éducation physique et le programme de formation personnelle et sociale. C est en 1992, dans la foulée de la Politique de la santé et du bien-être du MSSS, que les éducateurs physiques sont devenus des acteurs incontournables en éducation à la santé après avoir déposé un mémoire démontrant les liens entre l activité physique et la prévention des problèmes de santé. Maintenant, dans le Programme de formation de l école québécoise on retrouve un seul espace disciplinaire qui concerne l éducation à la santé et c est sous la troisième compétence de l éducation physique et à la santé, adopter un mode de vie sain et actif. Au fil du temps, on peut voir une certaine évolution en ce qui concerne l un des domaines généraux de formation, soit la santé et le bien-être, qui ratisse un peu plus large en tentant de responsabiliser l élève et de l amener à prendre en charge sa santé en l aidant à faire des choix éclairés. De plus, il ne s agit plus de la responsabilité de deux enseignants, mais bien de l ensemble des acteurs gravitant autour de l école et qui doivent mettre en place des initiatives permettant à l élève d acquérir cette compétence. Il est bien connu que, pour l école et sa propre mission, les saines habitudes de vie n ont du sens que si elles contribuent à la réussite éducative de l élève. C est pourquoi, pour parvenir à changer des pratiques organisationnelles, il demeure primordial d arrimer les priorités de la santé publique avec celles des besoins définis par l école. BREF PORTRAIT DE LA SAINE ALIMENTATION ET DU MODE DE VIE PHYSIQUEMENT ACTIF EN Au Québec, des données préoccupantes sur les habitudes de vie des jeunes ont justifié l urgence d agir dans ce domaine, et c est ce qui a conduit le MSSS (ministère de la Santé et des Services sociaux) à lancer son Plan d action gouvernemental de promotion des saines habitudes de vie et de prévention des problèmes reliés au poids , Investir pour l avenir (10). Par la suite, le MELS (ministère de l Éducation, du Loisir et du Sport) appuya cet objectif avec sa Politique-cadre pour une saine alimentation et un mode de vie physiquement actif : Pour un virage santé à l'école (11). Les éléments de portrait qui sont présentés ont été recueillis dans différents documents de références, soit l Avis du Comité scientifique de Kino-Québec L activité physique, le sport et les jeunes Savoir et agir (12), l état de situation de Québec en Forme (Enquête Propel) (13), le Bilan de la mise en œuvre de la Politique-cadre pour une saine alimentation et un mode de vie physiquement actif : Pour un virage santé à l'école du MELS (14), l Enquête sur l offre alimentaire et d activité physique dans les écoles du Québec : Principaux constats à l égard de la Politique-cadre «pour un virage santé» (15) et le Portrait de l environnement alimentaire dans les écoles primaires et secondaire du Québec (16) (17). 2

5 Occasions d être physiquement actif Il est important d obtenir un portrait global et complet des occasions d être physiquement actif dans les écoles du Québec. Par ailleurs, selon le bilan de l implantation de la politique-cadre, la plupart des écoles primaires offrent aux jeunes de nombreuses occasions d être physiquement actifs lors des pauses et des récréations (67 %), et pendant les périodes supervisées par le service de garde (69 %); il est à noter que 86 % des écoles primaires offrent un service de garde. Pendant la période du dîner, le constat est le même pour 59 % des écoles primaires et secondaires. En revanche, seulement 35 % des écoles primaires et secondaires offrent des activités parascolaires qui se déroulent après l école (14). L Avis du Comité scientifique de Kino-Québec illustre clairement les déterminants et les éléments de mieux-être associés aux activités physiques et sportives, démontrant ainsi l importance de l activité physique sur la santé globale du jeune. Comme mentionné précédemment, l école dispose de plusieurs leviers et occasions pour inciter les jeunes à pratiquer régulièrement des activités physiques et sportives. Le cours d éducation physique et à la santé est obligatoire puisqu il fait partie du Programme de formation de l école québécoise. Ce dernier est un levier déterminant pour stimuler et développer l intérêt et les aptitudes des jeunes pour l activité physique tout au long de leur cheminement scolaire. Le conseil d établissement joue un rôle clé dans la détermination des choix de cours en grille-horaire, c est-à-dire qu il peut influencer positivement la fréquence et la durée des cours d éducation physique et à la santé selon la vocation de l école. Malgré ce contexte favorable à l activité physique, plusieurs raisons pourraient expliquer le fait que les jeunes ont de la difficulté à suivre les recommandations actuelles au regard du nombre de minutes pendant lesquelles ils doivent être physiquement actifs chaque jour. Dans la récente Enquête sur l offre alimentaire et d activité physique dans les écoles du Québec i, on observe, entre autres, qu un nombre important d écoles n offrent pas une diversité d activités physiques et sportives telles que des activités parascolaires individuelles (ex : cirque, escalade, karaté, etc.), ou que certaines lacunes empêchent les jeunes de pratiquer des activités qui leur plaisent (ex : la gymnastique) malgré les installations en place (15). C est le cas de près d une école sur trois au primaire, et d une école sur deux au secondaire. Le volet préscolaire et primaire sera peu abordé dans cette fiche (voir la fiche du développement moteur). Déplacement actif L une des pistes d intervention intéressantes concerne le transport actif des élèves vers l école. Or, bien que la majorité des écoles primaires et secondaires offrent aux jeunes la possibilité de venir à l école à pied ou à vélo, on observe un déclin de ce type de déplacement depuis les dernières années. À l heure actuelle, l offre de moyens pour favoriser le transport actif demeure insuffisante. En 2008, il y avait des voies cyclables et piétonnières à proximité de seulement la moitié des écoles secondaires et d à peine 21 % des écoles primaires. Par ailleurs, on observe que la plupart des écoles ont installé des supports à vélo pour leurs élèves, mais que peu d entre elles mettent en place des activités spéciales pour promouvoir le transport actif (15). i L enquête sur l offre alimentaire et d activité physique dans les écoles du Québec a été réalisée entre octobre 2008 et juin 2009 auprès d un échantillon représentatif des écoles francophones de la province. Au total, 207 écoles situées dans 11 des 17 régions administratives y ont participé. 3

6 Offre alimentaire et convivialité des repas Dans les dernières années, l arrivée de la politique-cadre «Pour un virage santé à l école» a permis aux écoles d entamer une démarche de modification et d encadrement des aliments offerts. Le récent bilan de cette politique-cadre, l enquête sur l offre alimentaire et d activité physique dans les écoles du Québec, ainsi que le portrait de l environnement alimentaire dans les écoles primaires et secondaires du Québec, ont fait état de plusieurs constats similaires au regard du virage amorcé par les écoles depuis L organisation de l offre alimentaire Le bilan du ministère de l Éducation, du Loisir et du Sport nous montre que 53 % des écoles primaires et 84 % des écoles secondaires ont un service alimentaire principal (cafétéria, service de traiteur, cassecroûte). On constate que 42 % des écoles primaires et 8 % des écoles secondaires n offrent aucun service alimentaire à leurs élèves. Le récent portrait sur l environnement alimentaire des écoles primaires et secondaires révèle qu en moyenne 70 % des élèves du primaire et 76 % des élèves et du secondaire dînent à l école, ce qui inclut ceux qui apportent un lunch de la maison. Le responsable du service alimentaire est aussi responsable de l élaboration du menu dans 72 % des écoles primaires et 62 % des écoles secondaires, tandis qu environ la moitié des écoles demandent à une nutritionniste d approuver le menu. Par ailleurs, peu de responsables des services alimentaires des écoles primaires et secondaires (35 % et 59 % respectivement) ont une formation dans le domaine de la restauration et de la nutrition (16) (17). Enfin, l approvisionnement en produits alimentaires occasionne certaines difficultés puisque l industrie alimentaire semble avoir été prise de court par le virage santé dans les écoles. (14) (16) (17) Composition de l offre alimentaire Plusieurs établissements primaires et secondaires ont encore des efforts à faire autant pour le service principal que pour les machines distributrices en ce qui concerne : l offre de produits céréaliers à grains entiers; l offre de desserts et de collations à base de fruits, de produits laitiers et de produits céréaliers à grains entiers; l offre d une variété de jus de fruits purs à 100 % (non sucrés) et de jus de légumes, en plus du lait et de l eau (36 % des écoles primaires et 28 % des écoles secondaires ne disposent pas de fontaine d eau sur les lieux de repas); les produits contenant des gras saturés et des gras trans; les charcuteries offertes au menu du jour ou à la carte; la présence de boissons riches en sucre ajouté (77 % des écoles secondaires offrent ces boissons dans leurs machines distributrices); la présence de produits dont la liste des ingrédients débute par «sucre» ou un équivalent. Lors des fêtes ou des occasions spéciales, près de 75 % des services de garde offrent aux enfants des aliments riches en sucre ou avec des substituts de sucre et 50 % offrent des grignotines. Le quart des 4

7 services de garde avait utilisé des aliments à titre de récompense au cours de la dernière année, ce qui n est pas une pratique recommandée (16). Lors d événements spéciaux, une majorité d écoles secondaires servent des fruits et des légumes, 83 % offrent des jus de fruits et de légumes, et 55 % du lait ou des produits laitiers (17). La qualité nutritionnelle globale de l offre alimentaire au repas du midi a été évaluée à partir d un indice d accès à une offre alimentaire favorable et défavorable à la saine alimentation ii. On constate qu à peine le tiers des écoles primaires (32 %) et très peu d écoles secondaires (6 %) présentaient, à la fois, l ensemble des éléments favorables à une saine alimentation et aucun des éléments qui y sont défavorables (16) (17). Contexte et convivialité des repas De manière générale, 43,9 % des élèves du primaire et 54,4 % de ceux du secondaire considèrent que la cafétéria est un endroit agréable pour manger. Cependant, 43,7 % des élèves du primaire et 53,8 % de ceux du secondaire estiment que la cafétéria est trop bruyante. De plus, seulement 53,5 % des enfants du primaire et 64,8 % des jeunes du secondaire estiment avoir assez de temps pour manger (13). Éducation, promotion et communications Le bilan de la politique-cadre montre que près de 90 % des établissements organisent occasionnellement ou fréquemment des activités visant à sensibiliser et à encourager les élèves à adopter une saine alimentation et un mode de vie physiquement actif. Une importante proportion d établissements (75 %) organise des activités ponctuelles qui intègrent la saine alimentation, offre des occasions de pratiquer des activités physiques et sportives (74 %) et organise des activités de sensibilisation (66 %) pour leur personnel. Néanmoins, peu d établissements offrent de la formation au personnel sur la saine alimentation et le mode de vie physiquement actif. DEPUIS L ARRIVEE DU FONDS QUEBEC EN FORME Dans le premier mandat de Québec en Forme, plusieurs comités d action locaux (CAL), maintenant appelés regroupements locaux de partenaires (RLP), ont choisi d intégrer des périodes d activités physiques, notamment de la psychomotricité, dans la grille-horaire des écoles. Ces activités étaient généralement animées par des personnes embauchées par les CAL. À l heure actuelle, ce type d interventions est encore présent dans plusieurs RLP. En 2007 et jusqu à 2012, on observe un virage vers la création d environnements favorables à l activité physique; certaines écoles ont dû se remettre en question et modifier leur façon de faire. L importante augmentation des RLP soutenus par Québec en Forme, leur nombre est passé de 4 à 141 RLP entre 2002 et 2012, fait en sorte qu aujourd hui plus de 1889 écoles sont rejointes, soit 80 % des écoles du Québec. En 2012, les investissements de Québec en ii Offre alimentaire favorable à la saine alimentarion : présence de lait nature, de légumes ou fruits, d une demiportion du Guide alimentaire canadien de viandes et substituts et de produits céréaliers faits de grains entiers. Offre alimentaire défavorable à la saine alimentation : présence de boissons avec sucre ajouté, d aliments de faible valeur nutritive et riches en sucre et de mets composés de charcuterie et de friture. 5

8 Forme dans le réseau scolaire représentent plus de $, dont près des deux tiers (62 %) sont alloués à des actions en mode de vie physiquement actif. Quelques exemples de projets et d actions de nos partenaires Paliers local, régional et national Pour le palier local, bien que chaque milieu ait défini différemment ses priorités d action et les interventions à mettre en place, il est possible de faire ressortir les grandes tendances au regard des changements souhaités présentés à la page 10. Pour le palier régional et national, on compte actuellement 65 projets (d autres sont à venir) et certains concernent les changements souhaités par Québec en Forme. Changements souhaités en SA (saine alimentation) et en MVPA (mode de vie physiquement actif) 1. Des intervenants formés en SA et MVPA par des programmes reconnus Exemples d actions ou de projets LOCAL RÉGIONAL NATIONAL Formation d enseignants, d éducateurs physiques ou d éducatrices en service de garde scolaire Ça mijote en Mauricie! Bien manger, bien bouger (Estrie) Formation cuisine santé (Abitibi- Témiscamingue) Consortium Jeunesse de la terre à la table Équilibre : Bien dans sa tête, bien dans sa peau Formation sur les environnements favorables 2. Intégration de mesures et de politiques en SA et MVPA au projet éducatif et au plan de réussite scolaire 3. Davantage d occasions d être actif (offre de services diversifiée en activité physique) Animation d activités sportives dans les écoles avec organisation conjointe quartier et municipalité, afin d offrir des services accessibles pour les jeunes Interventions en psychomotricité et développement moteur Programme de leadership jeunesse Démarche d animation et d aménagement de cours d école Cours d école (Montérégie) Transfert d expertise en psychomotricité (Montréal) Tennis Québec : Tournée scolaire Fille active : Découvrir l activité physique dans le plaisir Go! Le Grand défi Pierre Lavoie 6

9 4. Une plus grande accessibilité à une offre alimentaire saine 5. Davantage d actions de sensibilisation, de communication et d occasions d apprentissage visant le développement des compétences des jeunes en alimentation 6. Convivialité des repas 7. Davantage de plans d action pour des déplacements actifs Actions visant à améliorer l offre alimentaire ou à faciliter l accès à des aliments sains Animation d activités liées à la saine alimentation (ateliers culinaires, éducation, etc.) Accès bouffe santé (Centre-du-Québec) Ça mijote en Mauricie Soutenons l action, pour des environnements alimentaires à Laval Transport actif écoresponsable (TAER) (Lanaudière) Fondation de l Institut de tourisme et d hôtellerie du Québec : La santé au menu Association pour la santé publique du Québec : Urbanisme et environnement alimentaire autour des écoles Les Ateliers 5 épices : Petits cuistots/parents en réseaux La Tablée des chefs/coffre d outils alimentaires Équilibre : Bien dans sa tête, bien dans sa peau, Derrière le miroir et Ton influence a du poids Réseau du sport étudiant du Québec : Gobes-tu ça? Vélo Québec : À pied à vélo, ville active Société canadienne du cancer : Trottibus DONNÉES PROBANTES ET PRATIQUES PROMETTEUSES Une approche globale en promotion de la santé pour améliorer les habitudes de vie des jeunes en lien avec l alimentation et l activité physique est reconnue et fait écho aux recommandations d organismes internationaux de santé tels que l Organisation mondiale de la santé et les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) (18). Récemment, les CDC ont fait état de lignes directrices élaborées à partir de la littérature scientifique et des meilleures pratiques observées de 1995 à 2009 par rapport à la promotion de la santé en milieu scolaire, plus particulièrement pour promouvoir une alimentation saine et l activité physique (19). Les approches de type «École en santé» sont globales puisqu elles cherchent à agir simultanément sur quatre grands champs d intervention : le jeune, l école, la famille et la communauté (8). Les travaux entourant cette approche ont permis de cerner les conditions d efficacité et les meilleures pratiques de promotion de la santé et de prévention en milieu scolaire. De plus, la synthèse des recommandations Réussite éducative, santé et bien-être : agir efficacement en contexte scolaire, publiée en 2010 par l INSPQ (Institut national de santé publique du Québec), s appuie sur le cadre de référence de l approche École en santé (20). Des travaux sont actuellement menés par l INSPQ pour, d une part, 7

10 identifier les pratiques communes à un ensemble de problèmes auxquels les jeunes sont confrontés et, d autre part, pour élaborer un modèle intégré d interventions de promotion et de prévention en milieu scolaire. LEVIERS INSTITUTIONNELS Encadrement législatif La Loi sur l instruction publique oblige toutes les écoles à offrir l éducation physique comme matière obligatoire. Encadrements ministériels Le Plan d action gouvernemental de promotion des saines habitudes de vie et de prévention des problèmes reliés au poids Investir pour l avenir vise notamment la mise en place d environnements favorables à une saine alimentation et à un mode de vie physiquement actif. Dans sa politique-cadre «Pour un virage santé à l école», le MELS (ministère de l Éducation, du Loisir et du Sport) invite les milieux scolaires à implanter une politique alimentaire et des mesures pour favoriser une saine alimentation et un mode de vie physiquement actif. Les commissions scolaires sont notamment invitées à se doter d une politique locale en saine alimentation et en mode de vie physiquement actif. Les politiques locales doivent inclure les trois thèmes suivants : l environnement scolaire; l éducation, la promotion et la communication; la mobilisation des partenaires. Le Programme de formation de l école québécoise du MELS comprend différents volets, ou compétences, liés au développement de saines habitudes de vie. Au préscolaire, la 1 re compétence à développer est : Agir avec efficacité dans différents contextes sur le plan sensoriel et moteur. Au primaire et au secondaire, le programme d éducation physique et à la santé comporte trois compétences visant l acquisition de saines habitudes de vie, soit : compétence 1. Agir dans divers contextes de pratique d'activités physiques; compétence 2. Interagir dans divers contextes de pratique d'activités physiques; compétence 3. Adopter un mode de vie sain et actif. Enfin, les domaines généraux de formation, ou DGF, peuvent servir de points d ancrage au développement des compétences transversales et des compétences disciplinaires. Trois des cinq DGF peuvent s arrimer aux saines habitudes de vie. Selon le contexte, un DGF peut être intégré au projet éducatif. Le DGF «Santé et bien-être» vise la responsabilisation de l élève dans l adoption de saines habitudes de vie. 8

11 Le DGF «Environnement et consommation» permet l intégration de thèmes comme le transport actif, la consommation de boissons énergisantes et les pratiques de l industrie agroalimentaire. Le DGF «Médias» peut, entre autres, permettre d aborder la question de l image corporelle. L approche École en santé, qui découle de l Entente MELS-MSSS, propose aux écoles une démarche globale, concertée et structurante en matière de prévention et de promotion, pour favoriser la santé, le bien-être et la réussite éducative des jeunes. Des ressources humaines relevant des commissions scolaires ou des centres de santé et de services sociaux peuvent accompagner les écoles désireuses de s engager dans la démarche. Encadrement administratif Le plan stratégique du ministère de l Éducation, du Loisir et du Sport et les conventions de gestion et réussite éducative MELS-Commissions scolaires incluent une orientation ministérielle qui touche l environnement sain et sécuritaire, plus spécifiquement la prévention de la violence et la promotion de la saine alimentation et d un mode de vie physiquement actif. Les orientations des commissions scolaires et du MELS doivent être intégrées dans les projets éducatifs ou dans les plans de réussite des écoles. Les programmes des services éducatifs complémentaires Plus particulièrement, le Programme de services de promotion et de prévention a pour objectif de donner à l élève un environnement favorable à l acquisition de saines habitudes de vie et de compétences qui contribueront à sa santé et à son bien-être. Soulignons que les actions de ce programme visent, entre autres choses, à : rendre accessibles des installations qui permettent la pratique d activités physiques; s entendre avec les municipalités sur l utilisation de l école et des cours de récréation en dehors des heures d enseignement; surveiller les menus des cafétérias d école; demander la collaboration des parents pour que des collations santé garnissent les boîtes à lunch; fournir aux élèves des occasions de faire des choix orientés sur leur santé et leur bien-être; donner la priorité à la démarche qui rend les élèves capables de comparer leurs choix alimentaires et les conséquences sur leur vie actuelle et future. VISION DE CHANGEMENT Au regard de la situation québécoise actuelle concernant l intégration des saines habitudes de vie dans le milieu scolaire, des données probantes et prometteuses, des recommandations de divers experts, ainsi que des défis et opportunités observés, il est possible de dégager huit éléments prioritaires sur lesquels on devrait agir. Pour Québec en Forme, le changement dans le milieu scolaire se concrétisera ainsi Faire en sorte qu il y ait davantage : d intervenants formés en saine alimentation (SA) et en mode de vie physiquement actif (MVPA) par des programmes reconnus; 9

12 d intégration des mesures et des politiques en SA et en MVPA au projet éducatif et au plan de réussite scolaire; d occasions d être physiquement actif; de plans d action pour des déplacements actifs; d accessibilité à une offre alimentaire saine; de convivialité lors des repas; d actions de sensibilisation et de communication ainsi que d occasions d apprentissage visant le développement des compétences des jeunes en alimentation; d interactions entre l école, la famille et les membres de la communauté. CHANGEMENTS SOUHAITÉS ET PISTES D ACTION Afin de maximiser la pérennité des interventions et d utiliser les leviers en place, il est primordial que plusieurs acteurs contribuent activement à mettre en place, dans le milieu scolaire, des changements durables en lien avec les saines habitudes de vie. En effet, les changements souhaités, proposés et présentés dans le tableau suivant, devraient se faire à partir d un plan d action intégré et concerté dans une communauté. Le quatrième but visant l amélioration de l environnement sain et sécuritaire des établissements se rattachant aux conventions de partenariat entre le MELS et les commissions scolaires ainsi qu aux conventions de gestion et de réussite éducative entre les commissions scolaires et les écoles devraient servir à inscrire et à actualiser les leviers institutionnels présents dans le paysage actuel, c està-dire ceux de la politique-cadre du MELS «Pour un virage santé à l école» et de l approche École en santé. Changements souhaités et exemples de pistes d action en SA (saine alimentation) et MVPA (mode de vie physiquement actif) Des intervenants formés en SA et MVPA par des programmes reconnus Assurer la qualité des interventions et des activités dans les établissements scolaires. Offrir une formation de base et continue en éducation à la santé, en alimentation et en activité physique adaptée aux différents corps professionnels : enseignants, éducateurs physique, éducatrices et responsables des services de garde, gestionnaires, opérateurs et responsables de l offre alimentaire, intervenants de divers domaines. Intégration de mesures et de politiques en SA et MVPA au projet éducatif et au plan de réussite Utiliser les points d ancrage des domaines généraux de formation et les compétences transversales visées par le Programme de formation de l école québécoise pour intégrer de façon transversale l éducation à la santé, pour développer les connaissances, attitudes et compétences des jeunes en alimentation et en activité physique, et pour leur offrir des occasions d expérimenter ces dernières. Inscrire, au Programme de promotion et de prévention des services éducatifs, des activités liées à l adoption d une saine alimentation et d un mode de vie physiquement actif; Inscrire, au Programme de services de soutien des services éducatifs, l élaboration ou l utilisation d outils, d informations et de formations sur l importance des saines habitudes de vie pour la réussite des élèves à l intention des parents, du personnel scolaire et de la communauté. Maximiser les effets bénéfiques des cours d éducation physique et à la santé en y intégrant des activités et des occasions d apprentissage et d expérimentation en lien avec les saines habitudes de vie. Davantage d occasions d être actif Offrir une programmation sécuritaire, diversifiée et de qualité pour la pratique interscolaire et intramuros de sports axés sur le plaisir et l apprentissage qui respectent les besoins, intérêts et capacités des jeunes. 10

13 Optimiser les occasions d être actif (matin, récréations, heure du dîner, parascolaire, etc.). Dans les cours d éducation physique et à la santé, optimiser le temps actif des élèves et offrir un maximum d heures de cours. Impliquer les jeunes dans la détermination de l offre de service. Collaborer à l amélioration du cadre bâti en aménageant les aires intérieures et extérieures (voies piétonnières et cyclables, cours d école). Mettre à la disposition des jeunes du matériel en bon état, sécuritaire et en quantité suffisante (équipements sportifs). Davantage de plans d action pour des déplacements actifs Collaborer à l amélioration du cadre bâti en aménageant les aires intérieures et extérieures (voies piétonnières et cyclables, cours d école). Une plus grande accessibilité à une offre alimentaire saine Favoriser et appuyer les démarches des services alimentaires pour qu ils aient accès à un approvisionnement d aliments et produits adéquat et respectant les recommandations de la Politique-cadre pour une saine alimentation et un mode de vie physiquement actif : Pour un virage santé à l'école du MELS. Actualiser la politique alimentaire locale en respectant la politique-cadre du MELS. Susciter la participation des nutritionnistes dans l élaboration des menus. Instaurer une mesure alimentaire universelle, c est-à-dire un programme d accès pour tous à des repas du midi sains et équilibrés, afin de contribuer à la réussite scolaire et d enrayer la sous-alimentation chez certains élèves. Ces repas pourraient être accessibles à tous grâce à des tarifs établis selon le revenu familial. Convivialité des repas Actualiser la politique alimentaire locale en respectant la politique-cadre du MELS et en tenant compte des besoins et préférences alimentaires des jeunes. Collaborer à l amélioration du cadre bâti en aménageant les aires intérieures et extérieures (cuisines, salle à manger conviviale, fontaines d eau, jardins, tables à pique-nique, etc.). Mettre à la disposition des jeunes du matériel en bon état, sécuritaire et en quantité suffisante (tables, microondes, etc.). Davantage d actions de sensibilisation, de communication et d occasions d apprentissage et d expérimentation visant le développement des compétences des jeunes en alimentation Offrir aux jeunes des occasions d apprentissage et d expérimentation afin de développer leurs compétences; ces activités sont axées sur le plaisir et l apprentissage, et elles respectent leurs besoins, intérêts et capacités. Intégrer fréquemment des activités de sensibilisation à la saine alimentation. Interactions entre l école, la famille et les membres de la communauté Impliquer les parents à la vie scolaire en élaborant des stratégies adaptées à la réalité de chaque milieu afin de motiver les familles à participer aux activités et programmes scolaires. Accroître la concertation avec les municipalités, les centres communautaires et les organisations sportives afin d utiliser au mieux les ressources du milieu (ententes et prêts de services pour installations et équipements sportifs, ressources humaines, etc.). S assurer que les investissements futurs tiennent compte des goûts évolutifs des jeunes. PERSPECTIVES Voir les liens avec les fiches suivantes Le développement moteur des 0-9 ans Les saines habitudes de vie et la réussite éducative La défavorisation et la dévitalisation La qualité de l intervention 11

14 RÉFÉRENCES 1. Dobbins, M. et coll. The effectiveness of school-based interventions in promoting physical activity and fitness among children and youth: A systematic review. EPHPP, Kolbe, L.J. Schools could help prevent cardiovascular disease, cancer and diabetes. Chronic Disease Notes and Reports. 2000, Vol. 14, 1 p World Health Organization. World Health Organization Process for Global Strategy on Diet, Physical Activity and Health. s.l. : (en ligne: page consultée juillet 2012, 2003b. 4. Centers for Disease and Control and Prevention. Chronic Disease Prevention: Poromising Practices: Opportunities for Prevention. Atlanta : s.n., Ministère de l'éducation. Programme de formation de l'école québécoise:éducation préscolaire, enseignement primaire (version approuvée). Québec:gouvernement du Québec : s.n., Stewart-Brown, S. What is the evidence on school health promoting in improving health disease and, specifically, what is yhe effectiveness of the health promoting schools approach? Copenhagen:WHO Regional Office for Europe (Health Evidence Network report), Warren JM, et coll. Evaluation of a pilot school programme aimed at the prevention of obesity in children. Health Promotion Int, 2003, Vols. 18: Comité national d'orientation École en santé. Guide à l'intention du milieu scolaire et de ses partenaires. Pour la réussite éducative et le bien-être des jeunes. Québec : ministère de l'éducation, du Loisir et du Sport, ministère de la Santé et des Services sociaux, Institut national de santé publique du Québec, Association québécoise d'établissement de santé et des services sociaux, Otis, Joanne. L'éducation de la santé en milieu scolaire: d'hier à aujourd'hui. s.l. : Université du Québec à Montréal, Ministère de la Santé et des Services sociaux. Plan d'action gouvernemental de promotion des saines habitudes de vie et de prévention des problèmes reliés au poids , Investir pour l'avenir. s.l. : Gouvernement du Québec, Ministère de l'éducation, du Loisir et du Sport. Politiquecadre pour une saine alimentation et un mode de vie physiquement actif: Pour un virage santé à l'école. s.l. : Gouvernement du Québec, Comité scientifique de Kino-Québec. L'activité physique, le sport et les jeunes-savoir et agir. s.l. : Secrétariat au loisir et au sport, ministère de l'éducation, du loisir et du Sport, gouvernement du Québec., Québec en Forme. Enquête Propel Ministère de l'éducation, du Loisir et du Sport. Bilan de la mise en oeuvre de la Politique-cadre pour une saine alimentation et un mode de vie physiquement actif Morin, Pascale et coll. L'Enquête sur l'offre alimentaire et d'activité physique des écoles du Québec: Principaux constats à l'égard de la Politique-cadre "pour un virage santé". s.l. : Université de sherbrooke, Institut national de santé publique du Québec. Portrait de l'environnement alimentaire dans les écoles primaires du Québec. s.l. : Gouvernement du Québec, Institut national de santé publique du Québec. Portrait de l'environnement alimentaire dans les écoles secondaires du Québec. s.l. : Gouvernement du Québec, Veugelers, P.J., Fitzgerald, A.L. Effectiveness of school programs in preventing childhood obesity:a multilevel comparison. s.l. : American Journal of Public Health, (3), Centers fo Disease ans Control and Prevention. School Health Guidelines to Promote Healthy Eating and Physical Activity. s.l. : MMWR, Institut national de santé publique du Québec. Réussite éducative, santé et bien-être: agir efficacement en contexte scolaire-synthèse des recommandations. s.l. : Gouvernement du Québec,

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