Le Risque de Crédit Bancaire
|
|
- Aurélien Ledoux
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Le Risque de Crédit Bancaire Christian Turbé Haute Ecole de Gestion de Genève Finance et gestion des Risques
2 Plan Du Cours Introduction Le besoin de financement de l Entreprise Les grands types de crédit et leurs caractéristiques Les composantes du risque de crédit L analyse du risque de crédit & pricing La documentation-crédit Organisation du processus-crédit au sein de la banque Page 2
3 Un Exemple De Financement Structuré : Le LBO Leveraged Buy Out : C est un «Achat d une entreprise, financé partiellement par emprunts, dans le cadre d un schéma juridique spécifique et fiscalement optimisé où les dirigeants sont associés en partenariat avec des investisseurs professionnels spécialisés» C est un financement d actif : repose sur les cash-flow futurs générés par la cible Financement bilantaire Page 3
4 Le LBO, Mode De Financement Privilégié D une Acquisition D entreprise Très peu d opérations d acquisition se font sans recours à la dette, par : Nécessité : Insuffisance des fonds propres des acquéreurs Volonté : Limiter la mise de fonds propres (investisseurs financiers) Augmenter la rentabilité des fonds propres et donc de l investissement (effet de levier) Page 4
5 Effet De Levier, Vice Et Vertu Le recours à la dette permet d augmenter, resp. de maximiser, la rentabilité des fonds propres mis dans l acquisition : Tant que : le coût de votre dette< rentabilité de la cible Mais : L effet de levier joue à la hausse comme à la baisse L effet joue plus fortement à la baisse qu à la hausse Page 5
6 Le Rôle De La Banque Dans Une Opération D acquisition Acheteur Management Investisseurs Banque Entreprise Cible Conseils Juristes Vendeur Page 6
7 Ce Que La Banque Va Regarder / Analyser : Stratégie : Motivation poursuivie par l acheteur Intégration verticale/horizontale Diversification géographique Complémentarité avec activités de l acquéreur Clients (nombre, diversification) Positionnement de la cible (parts de marché, concurrence, ) Secteur économique : Cyclique Technologie : nouvelle, risque technologique Degré de maturité Nature des contrats avec les clients Page 7
8 Ce Que La Banque Va Regarder/Analyser : Management : Expérience & qualification Engagement et association au succès de l acquisition Adhésion et association au succès de l opération Actionnariat : Investisseurs financiers : track record, capacité Implications dans la gestion Sortie de l opération (Exit) Montage juridique et fiscal : Validité du montage en vue de son optimisation : levier fiscal Page 8
9 Ce Que La Banque Va Regarder/Analyser : Prix : Montant Méthodes de valorisation de la cible : DCF (discounted cash-flow, ) Multiple sur Transactions comparables Cash-Flow : Niveau Stabilité Récurrence % des CF prévisionnels affecté au remboursement de la dette Capacité à faire face aux : Investissements nécessaires Croissance du BFR Page 9
10 Le Rôle Central Du Business Plan (n-2, n-1,n) Rapports annuels (t) Due Diligence 20% 20% Atteste le niveau de confiance dans les perspectives futures Détermine les CF prévisionnels Plausibilise le prix payé par l acquéreur (évaluation par le DCF) Détermine la capacité d endettement de la cible Structurer le profil de remboursement de la dette (n, n+1,n+2,...) 60% Business Plan complet (hypothèses+projections financières) Atteste de la capacité à assurer le service de la dette Page 10
11 Structuration Du Financement FONDS PROPRES 35-50% X=36% DETTE JUNIOR 0-20% X=15% DETTE SENIOR 40-60% X=49% Page 11
12 Les Différents Types De Dette D acquisition Nature % de la Transaction Durée Garanties Marge TRI Fonds propres 35%-50% Sans Ø 20-30% 2,5-4,5% payable/ Dette Junior Mezanine 0-20% 7-10 ans, sans amortissement Créance de 2ème rang Subordonnée capitalisable (PIK) Participation à la PV en capital 15-20% Dette Senior 40-60% 5-7 ans, amortissable Créance de 1er rang Capital cible Actifs 2-3% payable semestre/an 5-7% Page 12
13 Quelques Critères Pratiques De Financement : Prix payé = 5-6*EBITDA Fonds propres>35% Dette Senior/EBITDA<3-4 Dette nette totale/ebitda< EBIT/Frais financiers>2.25 Cash-Flow /Service de la dette>1.1 Page 13
14 Les Clauses Standards D un Crédit Senior Durée Marge Amortissement Garanties 5-7 ans Constante ou dégressive en fonction de l évolution des ratios d endettement Annuel, linéaire ou progressif Nantissement de 100% du capital de la cible Cession de(s) assurance(s) homme(s)-clef Ne pas distribuer de dividendes Engagement Ne pas contracter de nouvelles dettes et engagements Ne pas céder/nantir les actifs de la société Informer la banque de tout évènement pouvant affecter la marche des affaires Affectation du cash-flow excédentaire Covenant Financier Information Cash-Flow/service de la dette Dette nette/ebitda EBIT/Frais financiers Remise de situation mensuelle, trimestrielle Remise des budgets, rapports d audit annuels Page 14
15 Quelques Péchés Rencontrés : Projections irréalistes : Syndrome Xcel : trop d attention aux chiffres pas assez aux hypothèses sous-jacentes Hypothèses de croissance du CA/RN/Cash-Flow N N+1 & N+1 N+5 Attention au haut de cycle économique Surestimation des synergies escomptées Économie d échelle insuffisamment étayées Sous estimation des coûts d intégration Synergies négatives Sous estimation des aspects humains dans l intégration post-acquisition Un taux d actualisation du CF sans rapport avec le coût du capital Le poids de la Valeur Résiduelle dans l évaluation de la cible Page 15
16 Conclusion Peu d acquisitions de sociétés sans recours à la dette Attention au niveau de dette et aux effets de levier négatif Page 16
17 Les Différents Types De LBO Leveraged Buy Out (LBO): Acquisition d une entreprise avec effet de levier Leveraged Buy In : Acquisition d une entreprise avec effet de levier, où les repreneurs remplacent le management existant. Leveraged Management Buy Out (LMBO) : LBO réalisé par le management de la société Leveraged management Buy In (LMBI) : Acquisition d une entreprise avec un repreneur externe s appuyant sur le management en place Buy In Management Buy Out (BIMBO) : Acquisition d une société par un team composé de repreneurs externes associé à des dirigeants en place de la société LBO secondaire (Recapitalisation) : Montage d un nouvel LBO sur une société ayant déjà fait l objet d un LBO, permettant ainsi aux investisseurs initiaux une sortie partielle en cash par ajout d une nouvelle portion de dette. Page 17
18 Plan Du Cours Introduction Le besoin de financement de l Entreprise Les grands types de crédit et leurs caractéristiques Les composantes du risque de crédit L analyse du risque de crédit & pricing La documentation-crédit Organisation du processus-crédit au sein de la banque Page 18
19 Le Crédit Hypothécaire Dans Le Financement De L Entreprise Crédit garanti par un gage sur un bien immobilier Le gage est matérialisé par : une cédule=valeur mobilière une hypothèque Crédit hypothécaire=mode privilégié de financement de l entreprise suisse. Crédit hypothécaire finance : L exploitation (le BFR) Les investissements de l entreprise Le bien immobilier lui-même Distinction avec un crédit d investissement standard : Le crédit ne finance pas l actif donné en gage Page 19
20 Le Crédit Hypothécaire Type de bien remis en gage : Actifs nécessaires à l exploitation elle même : Usine Bureau Locaux commerciaux Actifs non nécessaires à l exploitation : Immeuble de rendement appartenant à l entreprise Actif immobilier appartenant à son propriétaire Page 20
21 Les Composantes Du Crédit Hypothécaire Valeur d actif Taux d avance Taux d effort Taux de capitalisation Amortissement Taux d intérêt Fixe/Variable Page 21
22 Le Crédit Hypothécaire : Méthodes D Évaluation Valeur de rendement, VR Valeur Intrinsèque, VI Valeur de Gage, VG Page 22
23 Le Crédit Hypothécaire : Méthodes D Évaluation Valeur de rendement, VR: L objet est évalué à partir de sa capacité à générer un Cash-Flow récurrent/perpétuel. Cette méthode s apparente le plus aux méthodes d évaluation d actifs par la méthode du Discounted Cash Flow : actions, VR=ΣiCFi Etat locatif brut -Charges annexes =Etat Locatif net +Vacants (louables dans les 6 mois) -correction de loyer (marché vs loyer) -correction pour entretien =Etat locatif à capitaliser NB : Dans le cas de la valeur de rendement d un objet immobilier, on considère une détention perpétuelle de l objet, cad qu il n y a pas de dernier flux lié à la revente de l objet.la valeur de rendement correspond donc à la somme à l infini des termes CFi d une suite arithmétique. Page 23
24 Le Taux De Capitalisation Comme pour tout calcul d actualisation, le taux d actualisation dépend du risque sur les CF : Plus le risque lié à l objet est important, plus le taux est élevé Coût des Capitaux Frais de gestion Prime de risque Taux de Capitalis ation Page 24
25 Valeur De Rendement : Exemple De Calcul Page 25
26 La Valeur Intrinsèque Valeur Intrinsèque, VI Valeur de remplacement de l objet, ie le coût que représenterait la construction d un objet similaire sur le même terrain. La valeur intrinsèque repose sur une estimation du cout de construction par m2 et m3 Page 26
27 La Valeur De Gage Valeur de Gage, VG : Moyenne pondérée des valeurs de gage VG et valeur intrinsèque VI : VG=(2VR+VI)/3 En soit la valeur de gage n a aucune signification économique. Accorde une plus grande importance (2x) à la valeur de rendement par rapport à la valeur intrinsèque (1x), sans vouloir ignorer celle-ci. Page 27
28 La Notion De Taux D Avance La banque ne financera qu une fraction de la valeur retenue de l actif remis en gage= taux d avance Le taux d avance dépend du type de bien gagé : Plus l actif immobilier est liquide, plus le taux d avance sera élevé Exple : Villa de luxe vs villa standard Plus la valeur de l actif est cyclique, plus le taux d avance sera faible Page 28
29 Type D Objet Et Taux D Avance Type d Objet Taux d avance 1er rang Taux d avance 2ème rang Taux de capitalisation Valeur de Gage Immeuble d habitation ,25 (VI+2VR)/3 Villa de luxe (> 3mn) ,25 (VIVR)/2 Immeuble Commercial ,75 (VI+2VR)/3 Hotel VR Immeuble Artisanal (VI+2VR)/3 Immeuble Industriel ,25 (VI+2VR)/3 Terrain à batir, viabilisé 50 0 VI Page 29
30 Le Taux D Amortissement Par l amortissement de la dette, celle-ci demeure inférieure à la valeur économique du bien et de sa diminution due à son utilisation et à son vieillissement : Valeur économique Dette A Dette B Page 30
31 Le Taux D Effort Revenus bruts Ratios de couverture usuels : Salaires Pensions+/- Bonus moyen 3 ans Dette / EBITDA Couverture de la dette Service de la dette : Intérêts (Free CF+i) / (Amortissement+i) Amortissement Charges d entretien =<33% Page 31
32 Les Paradoxes Du Financement Hypothécaire Aux Entreprises Quelle est la valeur de rendement d un actif immobilier nécessaire à l exploitation de l entreprise Quelle est la nécessité pour une entreprise d avoir des actifs immobiliers non nécessaires à son exploitation, hors activité. Rentabilité>Rentabilité d exploitation -->Réflexion sur les activités de la société : céder/investir,... Rentabilité<Rentabilité d exploitation -->Diminution de la rentabilité des fonds propres -->Céder les actifs et restituer les liquidités aux actionnaires Page 32
33 Les Pièges À Éviter Pour la banque : Se Concentrer sur la valeur de gage et non sur la capacité de l entreprise à générer un cash-flow d exploitation permettant de rembourser la dette Se reposer sur une garantie illusoire Eviter une analyse financière de l entreprise : solvabilité actuelle et future Pour l entreprise : Solution de facilité Masque les problèmes d exploitation de l entreprise Permet de ne plus respecter la règle d or du bilan Page 33
34 Les Pièges À Éviter Privilégier le financement bilantaire reposant sur la capacité de l entreprise elle même de générer un cash-flow suffisant pour faire face à son endettement, amortissement et intérets A envisager dans les cas ou le bilan ne supporte pas la dette nécessaire : Restructuration de dettes existantes (Work Out) Projets à risque élevé Financement de l actif concerné Privilégier les gages sur les actifs non nécessaires à l exploitation et dont la capacité à générer des CF esdt indépendante de l entreprise elle même Page 34
35 Plan Du Cours Introduction Le besoin de financement de l Entreprise Les grands types de crédit et leurs caractéristiques Les composantes du risque de crédit L analyse du risque de crédit & pricing La documentation-crédit Organisation du processus-crédit au sein de la banque Page 35
36 Le Processus De Crédit Au Sein D Une Banque Demande Analyse Décision Mise en place Suivi Administration Collecte documents nécessaires Visites Entretiens Structuration du crédit Négociation des termes et conditions Analyse Quantitative Analyse Qualitative Détermination du rating Préparation support de décision Comité de crédit Documentation : Contrat/garanties Signature Comptabilisation Décaissement Satisfaction des conditions préalables Suivi du crédit sur la durée de vie Détection des signes de risque accru Révision du risque Vérification du respect des termes contractuels : Paiements Covenants Page 36
37 Les Composantes Du Risque De Crédit Le risque financier Le risque de documentation Le risque d administration Page 37
38 Le Risque Financier Risque lié au défaut du débiteur : Débiteur ne paie pas les montants dus en capital et intérêts à leurs échéances contractuelles Composante principale du risque de crédit La perte en cas de défaut du débiteur = Perte=Probabilité de défaut PD* Perte sachant que débiteur a fait défaut LGD Page 38
39 Le Risque De Documentation Risque lié à la documentation contractuelle du crédit : Documentation reflète improprement ou partiellement l opération approuvée Acte de nantissement mal rédigé-->garantie n est pas valable Plus l opération est complexe, plus ce risque est important Composante importante de ce risque = Risque juridique Inclure des clauses contraires aux dispositions légales Importance du fort juridique Page 39
40 Le Risque D Administration Risque lié à un mauvais suivi du crédit sur sa durée de vie Risque qui vient s ajouter au risque financier Exple : ne pas demander le renouvellement d une garantie à son échéance Page 40
41 Les Composantes Du Risque De Crédit Risque de documentation et risque d administration : S ajoutent au risque financier. Sont des risques latents : ne se matérialisent que si le débiteur fait défaut ou est en situation difficile. Le risque financier résulte du débiteur, Les risques de documentation et d administration sont liés à la banque elle-même. Page 41
42 Les Composantes Du Risque De Crédit Demande Analyse Décision Mise en place Suivi Administration Risque Financier Risque Documentation Risque Administration Page 42
43 Plan Du Cours Introduction Le besoin de financement de l Entreprise Les grands types de crédit et leurs caractéristiques Les composantes du risque de crédit L analyse du risque de crédit & pricing La documentation-crédit Organisation du processus-crédit au sein de la banque Page 43
44 Analyse Boursière Vs Analyse Crédit BOURSE Capacité d appréciation du titre CT/MT Maximiser la valeur de l entreprise Rentabilité Capitalisation boursière Politique de dividendes Maximiser l effet de levier ( Rcp) Propres Ratios : PER/Price to book.. CREDIT Capacité de remboursement MT/LT Minimiser le risque Solvabilité Solvabilité indépendante de la capi Neutre sur l analyse crédit Capacité d endettement Ratios de solvabilité Page 44
45 Les Buts De L analyse Financière De L entreprise Déterminer la capacité de l entreprise à rembourser ses engagements financiers à leur échéance Structurer le crédit en fonction de : Buts du crédit De la capacité financière de l entreprise Analyse crédit = Collecte et traitement de l information Page 45
46 Quels Sont Les Risques Que L On Cherche À Évaluer Source : Ernst & Young et Eco Diagnostic Page 46
47 Les Composantes De L Analyse De Crédit Données Composantes de l Analyse Données Quantitatives Données Qualitatives Historiques Données Prospectives Entreprise Secteur Page 47
48 Les Documents Nécessaires À L Analyse De Crédit Données Rapports annuels (3 années) Données Quantitatives Historiques Données Prospectives Budget Plan de trésorerie Business Plan : hypothèses+chiffres Données Entreprise Management Produit Organisation Clients Prix/Coûts Qualitatives Secteur Caractéristiques Concurrence Perspectives Page 48
49 Analyse Financière : Bilan POSTE QUOI COMMENT Bilan Immobilisations Actif circulant Equilibre général du bilan Equilibre général du bilan Solvabilité immédiate Corporelles : Qualité Incorporelles : Recherche de non valeur Clients Diversification Qualité Stocks : Qualité+Age Fonds Propres/Total bilan Calcul du Fonds de Roulement Couverture des immobilisations par des capitaux permanents Quick Ratio : (Liquidités+Créances clients) /Dettes CT Current Ratio : Actifs circulant/dettes CT Composition Politique d amortissement : rapidité. Réserves latentes, écart de valeur bilan externe et interne (bilans CH) Composition Goodwill, Frais de recherche et de développement Politique de comptabilisation et d amortissement Composition, diversification, Age Délai moyen de paiement Politique de provisionnement et de recouvrement Composition et méthode de comptabilisation (LIFO, FIFO, ) Rotation des stocks Page 49
50 Analyse Financière : Bilan POSTE QUOI COMMENT Fonds Propres Passif CT et LT Dette court terme Proportion Composition Evolution Endettement Couverture par les actifs CT FP / Total bilan Part des bénéfices qui sont reportés Proportion des bénéfices reportées Gearing : Dettes / Total bilan Leverage : Dettes / Fonds propres Echeance des dettes Dette / EBITDA Capacité d endettement / Service de la dette Acid test¤t Ratio (Cf slide précédent) Fournisseurs : Délai moyen de paiement Composition, dépendance Rotation des fournisseurs Engagement hors bilan Risques cachés Endettement de sociétés non consolidées Leasing : flux futurs Autres engagements (garanties données) Engagements au titre d opérations à terme ou sur produits dérivés Page 50
51 Analyse Financière : Compte D exploitation POSTE QUOI COMMENT Chiffre d affaires Evolution Croissance N/N-1 Effet prix-volume Comparaison sectorielle Composition : clients/géographie Marge brute Evolution Evolution N/N-1 Charges d exploitation Soldes intermédiaires de gestion Evolution des principaux postes Résultat avant intérets, amortissement (EBITDA) Composition du résultat net Maitrise des couts Investissement passé par PP Croissance N/N-1 Pourcentage du CA Mesure effective de la performance de l entreprise, indépendante de la politique de financement et des impots Dissolution de réserves latentes (Bilans ET pp CH) Contribution des produits hors exploitation dans le résultat Amortissement Politique Rapidité d amortissement aspects fiscaux Page 51
52 Quelques Travers De L analyse Quantitative De L Entreprise Calculer une batterie de ratios : -Sans les interpréter -Sans tenir compte des spécificités de l entreprise et son secteur Le calcul de ratios ne constituent par une analyse financière en soi Se reposer sur le calcul de ratios sur base de données historiques : Analyse statique Considère implicitement que le passé se reproduira dans le futur Limite l importance de l analyse des données prospectives Analyse dynamique : budget et business plan et des ratios prospectifs Difficultés d interprétation des ratios pour les entreprises multi-sectorielles Page 52
53 Analyse Financière : Budget & Plan De Trésorerie POSTE QUOI COMMENT Plausibilité Probabilité de réalisation du plan : réaliste/ambitieux/optimiste Analyse des hypothèses sous tendant le budget : Plausibilité par rapport à N-1 et track record de l entreprise Comparaison avec ratios et soldes intermédiaires historiques : marge brute/ebitda/ca, charges d exploitation Ressources nécessaires à disposition : financière, humaine, technologique Budget Cohérence avec le Business Plan de l entreprise Suivi régulier de la performance : comparaison mensuel, YTD, Rolling forecast Facteurs exogènes pouvant influencer la réalisation du plan Analyse des facteurs de risque Solvabilité Existence des ressources financières suffisantes Calcul des ratios de solvabilité et de service de la dette Plan de trésorerie Solvabilité Existence des ressources financières suffisantes de manière permanente Page 53
54 Analyse Financière : Business Plan POSTE QUOI COMMENT Business Plan Existence d une stratégie à MT de l entreprise Solvabilité+Equilibre financier Business Plan complet : analyse marché, hypothèses, partie chiffrée=pp+bilan+trésorerie+plan d investissement Analyse des hypothèses de croissance : Internes à l entreprise : croissance, marge, Externes : croissance éco, du marché, etc Comparaison avec track record stratégique de l entreprise Comparaison avec ratios historiques Existence des ressources nécessaires : financières, humaines, Plausibilité : taux de croissance annuel et CAGR Analyse des facteurs externes pouvant influencer meo du plan Stress testing du plan par rapport a ces facteurs exogènes Calcul des principaux ratios sur base des projections : Equilibre/endettement Calcul du Cash Flow/Free Cash-Flow Service et couverture de la dette Page 54
55 Business Plan : Les Travers Les Plus Souvent Rencontrés Taux de croissance N/N+1 N+1/N+5 : CAGR réaliste mais 1ère année trop optimiste Syndrome Xcel, travailler plus les chiffres que les hypothèses : Ne pas étayer les hypothèses sous-jacentes aux plans chiffrés Multiplier les scénarios chiffrés Ne pas plannifier les ressources nécessaires à la mise en oeuvre du plan : Capex Croissance du BFR induite par la croissance des activités Absence de plan de trésorerie Dans les opérations d acquisitions : Surestimer les synergies positives Sous-estimer les synergies négatives Sous-estimer les délais de mises en oeuvre Ne pas distinguer : Variables d actions : grandeur sur laquelle vous pouvez agir Paramètres : grandeur qui vous est donné et sur laquelle vous ne pouvez pas agir Ne pas identifier les facteurs qui pourraient s opposer à la mise en oeuvre du plan Page 55
56 La Capacité D endettement De L entreprise Calcul d une capacité d endettement théorique de l entreprise. Elle représente le montant de dette que l entreprise pourrait assumer, càd payer les intérêts afférents et amortir sur une durée «raisonnable», tenant compte de : Résultat d exploitation Coût moyen de la dette financière Taux d imposition Durée de remboursement de la dette Page 56
57 La Capacité D endettement : Méthode De Calcul Il existe différentes méthodes de calcul de la capacité d endettement de l entreprise. Une méthode : Chiffre d'affaires 0 Bénéfice d'exploitation (EBIT) 0 - impôts calculés 0 + amortissements comptables 0 - RECAPEX (Investissement de renouvellement) 0 - dividendes 0 Free Cash Flow 0 Période de remboursement en années 7 Taux d'imposition calculé 25.00% Taux d'intérêt (coûts calculés des capitaux étrangers) 6.00% Taux d'intérêt après impôts 4.50% Capacité d'endettement maximale d'exploitation 0 Total des dettes portants intérêts 0 Utilisation Capacité d'endettement #DIV/0! Page 57
58 Recommandations/Conseils L analyse commence avec l interprétation de ces ratios : -Comparaison inter-temporelle -Comparaison inter-sectorielle -Comparaison par rapport au Budget et Projection Compléter l analyse des données historiques par une analyse des données prospectives : Budget Plan de trésorerie Business Plan Page 58
59 Analyse Des Données Qualitatives De l Entreprise DIMENSION BUT COMMENT Management Organisation Capacité à gérer Compétence/Expérience Organisation de la société CV/Interview/Visite sur place Connaissance de leur entreprise et secteurs d activités Réponse rapide et complète aux questions posées Etablissement régulier de tableaux de bord permettant de suivre la performance de l entreprise/budget/plan/marché Organigramme Séparation des fonctions Fonctions pourvues Produits Portefeuille produits Répartition du CA par produits/clients/age Dépendance Existence de produits de substitution/nouvelle technologie Technologie Outil de production Technologie propriétaire/dépendance technologique/barrière à l entrée Ancienneté de la technologie. >technologie de substitution Clients Portefeuille clients Diversification/Qualité Page 59
60 Analyse Des Données Qualitatives De l Entreprise DIMENSION BUT COMMENT Positionner l entreprise dans son secteur Analyse sectorielle indpendante Matrice BCG Stratégie Déterminer concurrence Existence de buts définis Existence d un plan pour les atteindre Analyse SWOT Forces de Porter Comparaison avec autres clients du même secteur Analyse des princiaux concurrents : taille, part de marché, nouveaux entrants, technologie, avantages concurrenciels, positionnement Comparaison avec autres clients du même secteur Business Plan complet : analyse marché/entreprises/ Business Plan : existence d hypothèses clairement définies La partie chiffrée reflète ces hypothèses Page 60
61 Travers De L Analyse Des Données Qualitatives Dimension difficile à analyser : Comment juger de la qualité du management? -->Modestie, modestie, modestie -->Objectiver le jugement Ne pas s en remettre qu aux données et explications fournies par l entreprise Difficulté/Impossibilité à se procurer des données externes et indépendantes Garder son esprit critique Multiplier les sources externes et indépendantes d infos Page 61
62 Structuration De l Endettement De l Entreprise ANALYSE FINANCIERE ANALYSE SECTORIELLE CREDIT BESOINS DE L ENTREPRISE PROJECTIONS Page 62
63 Structuration De l Endettement De l Entreprise Étape clef du processus d octroi de crédit : l analyse financière de l entreprise doit être complétée par l analyse des spécificités de la transaction qui sera financée par le crédit. Les deux analyses se font généralement concomitamment. A risque financier de l entreprise donné, il s agit d optimiser la structure du crédit sous les contraintes suivantes : Risque Besoins de l entreprise Durée Juridique Page 63
64 Structuration De L endettement De L entreprise A l issue de la structuration de l opération l ensemble des termes du crédit seront définis : -Débiteur -Montant du crédit -Forme -Durée -Profil d amortissement -Garanties éventuelles -Autres clauses : Covenants financiers Autres engagements CF Chapitre «La documentation de crédit», les clauses d un contrat de crédit Page 64
65 La Notion De Rating Rating débiteur Rating transactionnel Les composantes du rating et leur poids relatif Probabilité de défaut Compatibilité Bale II Page 65
66 Le Rating Crédit Le rating de crédit est une appréciation synthétique du débiteur résultant de l analyse financière faite. C est une note. A chaque note il peut être attribué une probabilité de défaut (PD) et la perte en cas de défaut (Loss Given Default, LGD) Page 66
67 Le Rating Crédit Le rating permet : Une standardisation du processus d analyse crédit au sein de la banque Une appréciation synthétique du débiteur Une comparaison de débiteurs différents Un suivi de l évolution dans le temps de la qualité du débiteur Objectiver la décision de crédit Objectiver le pricing du crédit en fonction de la qualité du débiteur Page 67
68 Les Composantes Du Rating Comparaison Prévision Evolution temporelle Données qualitatives 33% Comparaison sectorielle Secteur Management Données quantitatives 67% Organisation Page 68
69 Rating et Probabilité de Défaut (PD) Taux de défaut cumulé sur 3 ans (20 ans) Standard & Poors AAA-AA A BBB BB B Moodys Aaa-Aa A Baa Ba B Taux 0.1% 0.3% 1.0% 7.5% 20.0% Source : Bale II, A. Sardi, Afges Editions Page 69
70 Les Limites Du Rating Crédit Mécanisation du processus de décision : Ne plus interpréter les ratios en fonction de la spécificité de l entreprise Part limitée à l appréciation et l expérience de l analyste Analyse dépend de la pondération des différentes composantes Sur ou sous évaluation de l entreprise Au travers du rating, comparaison d entreprises qui ne le sont pas : Différents rating en fonction du type de débiteur : Grandes entreprises/pme/petites entreprises Entreprises de négoce Page 70
71 Les Limites Du Rating Crédit Le rating repose grandement sur le calcul de ratios historiques Les données prospectives sont peu/pas prises en compte dans le rating Ce sont les CF futurs qui remboursent les dettes Qu est ce qui est raté, le débiteur ou le crédit? Certaines banques ont 2 rating : rating débiteur-rating transaction Le rating ne tient pas compte de la structuration du crédit Page 71
72 Le Pricing Du Crédit Les composantes du pricing Le cout des fonds propres bancaires Le taux de marché La marge Le cout du risque Le cout d administration Page 72
73 Les Composantes Du Pricing Du Crédit Coût de refinancement de la banque sur marché interbancaire Coût des Capitaux Coût de la perte attendue en cas de défaut sur la classe de rating Coût de la perte attendue Coût lié à l octroi et la gestion du crédit Coûts de gestion Rémunération minimale des fonds propres nécessaire au crédit Coûts des Fonds Propres Cout du Crédit Page 73
74 Plan Du Cours Introduction Le besoin de financement de l Entreprise Les grands types de crédit et leurs caractéristiques Les composantes du risque de crédit L analyse du risque de crédit & pricing La documentation-crédit Organisation du processus-crédit au sein de la banque Page 74
75 Annexe 1: Définition Effet de levier : Impact du poids relatif de la dette D de l entreprise sur la rentabilité de ses capitaux propres CP : Rc=r + (r-i)*d/cp où : Rc=rentabilité des CP; r=rentabilité économique; i=taux d intérêts EBIT : Résultat d exploitation de l entreprise. EBIT=Chiffres d affaires - Coûts des produits vendus - Amortissements EBITDA : Résultat de l entreprise avant amortissement, intérêts et impôt EBITDA=Chiffres d affaires - Coûts des produits vendus Besoins en fonds de roulement : Solde entre les emplois de l actif circulant et les ressources du passif à court terme : (Stocks matières 1ères+produits finis+ débiteurs clients)-(fournisseurs+autres dettes d exploitation) Les entreprises payant généralement leurs fournisseurs avant d être payées par leurs clients, leur BFR est positif et génère donc un besoin de financement. Ce besoin est couvert par le fonds de roulement de la société et des crédits court terme. Le BFR augmente avec la croissance de l activité et réduit d autant le cash-flow de l entreprise. Son taux de croissance est au moins égal à la croissance de l activité, voire supérieur. Page 75
76 Annexe 2: Définition Cash-Flow : Flux de trésorerie effectivement généré par l exploitation de la société. CF= Résultat net+dotation nette aux amortissements et provisions Free Cash-Flow : Flux libres de trésorerie générés par l exploitation de la société et après investissement. FCF=CashFlow +/- Éléments exceptionnels - Investissement - Variation du BFR - Dividendes Évaluation selon la méthode du Discounted Cash-Flow : La valeur actuelle d une entreprise VE est égale à la somme de ses cash-flow futurs actualisés CFA, plus sa valeur résiduelle actualisée VRA, moins ses Dettes nettes. L actualisation de ces flux se fait au coût du capital de la société qui tient compte de ses dettes et de ses fonds propres : VE= CFA+VRA-Dettes Page 76
77 Annexe 2 : Bibliographie Historique : «La Bourse et la vie, Economie et religion au Moyen Âge», Jacques Le Goff, Pluriel Hisoire, Hachette Littérature «La dynamique du Capitalisme», Fernand Braudel, Champs Flammarion «Civilisation matérielle, économie et capitalisme» Fernand Braudel, Armand Collin «La Banque En Occident», H. Van der Wee, R. Bogaert, G. Kurgan-Van Hentenryk, Fonds Mercator L analyse financière de crédit : Corporate Credit Analysis, Nick Collet & Charles Schell, Euromoney Publications PLC Analyse du bilan et du résultat, J. Leimgruber & U. Prochinig, SSEC Edition Accounting for growth, stripping the camouflage from company accounts, Terry Smith, Century Business Gestion Financière de l Entreprise : Gestion Financière de l entreprise, Briley Myers Page 77
Le Risque de Crédit Bancaire
Le Risque de Crédit Bancaire Christian Turbé Haute Ecole de Gestion de Genève Finance et Gestion des Risques 21 janvier 2007 Plan du cours Introduction Le besoin de financement de l Entreprise Les grands
Plus en détailMETHODES D EVALUATION
METHODES D EVALUATION C.R.A. PANSARD & ASSOCIES Présentation du 27 septembre 2004 G. Lévy 1 METHODES D EVALUATION SOMMAIRE 1 Définition et approche de la «valeur» 2 - Les principales méthodes d évaluation
Plus en détailDISCOUNTED CASH-FLOW
DISCOUNTED CASH-FLOW Principes généraux La méthode des flux futurs de trésorerie, également désignée sous le terme de Discounted Cash Flow (DCF), est très largement admise en matière d évaluation d actif
Plus en détailComment valoriser une entreprise et sur quels critères? ISEC 22 novembre 2011 Evaluation d entreprises
1 Comment valoriser une entreprise et sur quels critères? ISEC 22 novembre 2011 Evaluation d entreprises Sommaire Préambule Comment bien évaluer une entreprise? Le diagnostic Le business plan L approche
Plus en détailINTRODUCTION EN BOURSE EVALUATION D ENTREPRISE
INTRODUCTION EN BOURSE EVALUATION D ENTREPRISE Avril 2013 EVALUATION D ENTREPRISE 1 Introduction en bourse Une introduction en bourse est avant tout une opération financière. Les avantages financiers de
Plus en détailLes clés de l évaluation. Hervé Bardin
Les clés de l évaluation Hervé Bardin Evaluation d entreprise : principes généraux Evaluation d entreprise : principes généraux Que veut-on évaluer? Contexte de l évaluation Typologie des méthodes d évaluation
Plus en détailValoriser dans une optique de développement: réussir une levée de fonds
ENTREPRISE ET PATRIMOINE RDV TransmiCCIon 23 mai 2013 Valoriser dans une optique de développement: réussir une levée de fonds Conseil en fusions-acquisitions et ingénierie financière Intégrité indépendance
Plus en détailAnnexe A de la norme 110
Annexe A de la norme 110 RAPPORTS D ÉVALUATION PRÉPARÉS AUX FINS DES TEXTES LÉGAUX OU RÉGLEMENTAIRES OU DES INSTRUCTIONS GÉNÉRALES CONCERNANT LES VALEURS MOBILIÈRES Introduction 1. L'annexe A a pour objet
Plus en détailDiagnostic financier - Corrigé
Diagnostic financier - Corrigé Nous effectuerons ce diagnostic financier en présentant d abord une étude de rentabilité et de profitabilité du groupe Nestor, ensuite une étude de la structure financière
Plus en détailANALAYSE FINANCIERE 1] BILAN FONCTIONNEL
ANALAYSE FINANCIERE 1] BILAN FONCTIONNEL Il donne une vision plus économique, il présente la manière dont les emplois sont financés par les ressources. Il permet de mieux comprendre le fonctionnement de
Plus en détailChapitre 3 - L'interprétation des documents financiers et la planification financière. Plan
Chapitre 3 - L'interprétation des documents financiers et la planification financière Plan Le bilan - présentation et signification des postes Structure en grandes masses - Le BFR Les ratios de structure
Plus en détailLes opérations à effet de levier - LBO. Isabelle Martinez Master CCA2
Les opérations à effet de levier - LBO Isabelle Martinez Master CCA2 Définition Un LBO ou Leveraged Buy Out est le rachat des actions d'une entreprise par un ou plusieurs fonds d investissement spécialisés.
Plus en détailInformation financière pro forma 2012 consolidée Icade-Silic
COMMUNIQUE DE PRESSE Paris, le 27 mars 2013 Information financière pro forma 2012 consolidée Icade-Silic Conformément à ce qui avait été annoncé lors de la publication des comptes annuels, Icade publie
Plus en détailLes principaux types de crédits commerciaux
Le Financement de l entreprise : Les principaux types de crédits commerciaux Christian Turbé, Membre de la Direction, BCG Office de la Promotion Économique du Canton de Genève Petit- Déjeuner des Start-Up,
Plus en détailCommuniqué de presse. Paris, le 15 février 2012
Communiqué de presse RESULTATS ANNUELS 2011 Solides résultats 2011 et accroissement du patrimoine Paris, le 15 février 2012 Résultats 2011 o Progression de +14% du cash-flow courant par action à 2,14 o
Plus en détailDOSSIER DE GESTION. Sommaire
102 Allée de Barcelone 31000 TOULOUSE Forme juridique : ENTREPRISE INDIVIDUELLE Régime fiscal : R. Simplifié Date exercice : 01/07/2012 au 30/06/2013-12 DOSSIER DE GESTION Sommaire Présentation de l'exploitation
Plus en détailCommuniqué de presse 5 mars 2015
RESULTATS ANNUELS 2014 : DYNAMIQUE DE CROISSANCE CONFIRMEE Accélération de la croissance organique des ventes Nouvelle progression du résultat opérationnel courant de +10,6% Hausse du résultat net des
Plus en détailLes Demandes de Crédit :
Les Demandes de Crédit : Le rôle d une banque commerciale et les différents types de crédits Christian Turbé, Membre de la Direction, BCGE Office de la Promotion Économique du Canton de Genève Petit- Déjeuner
Plus en détailChapitre 3 L interprétation des documents financiers et la planification financière
Chapitre 3 L interprétation des documents financiers et la planification financière Réponses aux Questions et problèmes 1. Actif Passif Actif immobilisé Capitaux propres Machines 46 000 Capital social
Plus en détailNorme comptable internationale 7 Tableau des flux de trésorerie
Norme comptable internationale 7 Tableau des flux de trésorerie Objectif Les informations concernant les flux de trésorerie d une entité sont utiles aux utilisateurs des états financiers car elles leur
Plus en détailLe WACC est-il le coût du capital?
Echanges d'expériences Comptabilité et communication financière Dans une évaluation fondée sur la méthode DCF, l objectif premier du WACC est d intégrer l impact positif de la dette sur la valeur des actifs.
Plus en détailCOMMUNIQUÉ DE PRESSE. Sèvres, le 28 avril 2015
COMMUNIQUÉ DE PRESSE Sèvres, le 28 avril 2015 Progression de la croissance Internet à +4,1%, chiffre d affaires consolidé en légère baisse et renforcement des partenariats avec les grands acteurs du web
Plus en détailC e g e r e a l - R é s u l t a t s a n n u e l s 2013 : Une année de consolidation et de certifications
Paris, le 14 février 2014 8h Information réglementée C e g e r e a l - R é s u l t a t s a n n u e l s 2013 : Une année de consolidation et de certifications Indicateurs clés : Loyers IFRS à 43,3 M (+12,1%)
Plus en détailCarrefour : Résultats annuels 2012 Hausse du chiffre d affaires et du résultat net part du Groupe Renforcement de la structure financière
Carrefour : Résultats annuels 2012 Hausse du chiffre d affaires et du résultat net part du Groupe Renforcement de la structure financière Chiffres clés 2012 Croissance des ventes du Groupe : +0,9% à 76,8
Plus en détailComment évaluer une banque?
Comment évaluer une banque? L évaluation d une banque est basée sur les mêmes principes généraux que n importe quelle autre entreprise : une banque vaut les flux qu elle est susceptible de rapporter dans
Plus en détailPrincipes d octroi de crédit et rôle des garanties. Eric Schneider 25.01.2008
Principes d octroi de crédit et rôle des garanties Eric Schneider 25.01.2008 Introduction «Mieux vaut un bon crédit en blanc qu un crédit mal garanti» Vieil adage bancaire Responsabilité Principes d octroi
Plus en détailThéorie Financière 3. Tableau de financement et planning financier
Théorie Financière 3. Tableau de financement et planning financier Objectifs de la session 1. Montrer comment les informations comptables permettent de déterminer les cash flows 2. Comprendre le concept
Plus en détailLE PROCESSUS D OCTROI D UN CREDIT COMMERCIAL ET LES CRITERES DE DECISION
LE PROCESSUS D OCTROI D UN CREDIT COMMERCIAL ET LES CRITERES DE DECISION Marija Vukmanovic, Director, chef de secteur clientèle entreprises Office de Promotion Economique du Canton de Genève Petit-déjeuner
Plus en détailen juste valeur par résultat Placements détenus jusqu à échéance
Normes IAS 32 / Instruments financiers : Présentation Normes IAS 39 / Instruments financiers : Comptabilisation et Evaluation Normes IFRS 7 / Instruments financiers : Informations à fournir Introduction
Plus en détailLes ratios financiers de l industrie alimentaire : définitions et évolution comparative à long terme
Commission Consultative Spéciale Alimentation CCE 2005-822 JPT/NB 12 septembre 2005 Les ratios financiers de l industrie alimentaire : définitions et évolution comparative à long terme Le présent document
Plus en détailESSEC. Cours «Management bancaire» Séance 3 Le risque de crédit
ESSEC Cours «Management bancaire» Séance 3 Le risque de crédit Plan de la séance 3 : Le risque de crédit (1) Les opérations de crédit Définition d un crédit La décision de crédit Les crédits aux petites
Plus en détailLa méthode des scores, particulièrement de la Banque de France
La méthode des scores, particulièrement de la Banque de France Devant la multiplication des défaillances d entreprises au cours des années 80 et début des années 90, la Banque de France a produit des travaux
Plus en détailMise en œuvre des IFRS dans la banque
Mise en œuvre des IFRS dans la banque Responsables financiers et comptables des institutions financières Experts Comptables Commissaires aux Comptes Comprendre les fondements des normes IFRS Savoir traiter
Plus en détailFiche. Le diagnostic financier. 1 Introduction. 2 Le contexte du diagnostic. A Les objectifs du diagnostic financier. B Les préalables du diagnostic
Le diagnostic financier Fiche 1 1 Introduction Le diagnostic financier permet d évaluer le potentiel de l entité. Il peut se faire en différentes occasions (achat d entreprise, placements, demande d emprunt,
Plus en détailRésultats financiers du 1 er trimestre 2015 Numericable-SFR retrouve le chemin de la croissance avec un EBITDA en hausse de 21%
Communiqué de presse Saint-Denis, le 12 mai 2015 Résultats financiers du 1 er trimestre 2015 Numericable-SFR retrouve le chemin de la croissance avec un EBITDA en hausse de 21% Leader sur le marché de
Plus en détailChiffre d affaires 2014 pro forma : 3 370,1 M Résultat Net Part du Groupe pro forma : 92,8 M
Communiqué de presse Chiffre d affaires pro forma : 3 370,1 M Résultat Net Part du Groupe pro forma : 92,8 M Paris, le 19 mars 2015 Le Conseil d administration du Groupe Sopra Steria, réuni le 17 mars
Plus en détailMise en ligne des comptes annuels 2014
Saint-Denis, le 6 mars 2015 Mise en ligne des comptes annuels Le Groupe annonce la mise en ligne de ces comptes consolidés pour l année et rappelle à cette occasion les éléments financiers principaux de
Plus en détailOPÉRATIONS DE CESSION
OPÉRATIONS DE CESSION Anticipation des difficultés de mise en œuvre de la norme IFRS 5 «Actifs non courants détenus en vue de la vente et activités abandonnées» Paris le 23/09/2014 Sandra Dujardin Antoine
Plus en détailLa Banque Nationale divulgue des résultats record au premier trimestre de 2014
COMMUNIQUÉ PREMIER TRIMESTRE 2014 La Banque Nationale divulgue des résultats record au premier trimestre de 2014 L information financière contenue dans le présent document est basée sur les états financiers
Plus en détailInternational Financial Reporting Standards (IFRS) Mise en place et Impacts. 2 février 2005
International Financial Reporting Standards (IFRS) Mise en place et Impacts 2 février 2005 QUE SONT LES IFRS? Les IFRS ont été élaborées par l International Accounting Standards Board (IASB) en vue de
Plus en détailAOF. L analyse fondamentale. bourse. mini-guide. Comment investir en Bourse? Mai 2009
AOF mini-guide bourse «Comment investir en Bourse? L analyse fondamentale Mai 2009 L analyse fondamentale SOMMAIRE Les objectifs de l analyse fondamentale p. 4 Comment lire les comptes d une société cotée?
Plus en détailRapport intermédiaire. Comptes du Groupe au 30 juin 2015
Rapport intermédiaire Comptes du Groupe au 30 juin 2015 2 Message des présidents En présentant de très bons résultats semestriels dans un environnement global incertain, la BCV démontre une nouvelle fois
Plus en détailPRINCIPES ET APPROCHES DE L EVALUATION D ENTREPRISES
PRINCIPES ET APPROCHES DE L EVALUATION D ENTREPRISES Plan Introduction Partie 1: Rappel des principales méthodes d évaluation financière Partie 2: la méthode Discounted Cash Flow Partie 3: la méthode des
Plus en détail1 er trimestre 2014-2015 : Résultats en ligne avec les objectifs annuels
COMMUNIQUÉ DE PRESSE Paris, le 10 mars 2015 1 er trimestre : Résultats en ligne avec les objectifs annuels Solide croissance organique de 3,3% EBITDA en hausse de 1,5% Résultat net multiplié par 3,3 Perspectives
Plus en détailCommuniqué de presse S1 2014-2015
Communiqué de presse 27 novembre 2014 Huizingen, Belgique Communiqué de presse S1 2014-2015 (Résultats pour le premier semestre clôturé le 30 septembre 2014) Le chiffre d affaires semestriel a connu une
Plus en détailLe financement adossé de l immobilier en gestion de patrimoine : une modélisation simple
Le financement adossé de l immobilier en gestion de patrimoine : une modélisation simple Laurent Batsch ahier de recherche n 2005-01 Le financement adossé est une des modalités de financement de l investissement
Plus en détailRecueil de formules. Franck Nicolas
Recueil de formules Nous avons répertorié dans cette section, les différentes formules expliquées tout au long de cet ouvrage, afin de vous permettre de trouver rapidement l opération que vous souhaitez
Plus en détailÉTATS FINANCIERS CONSOLIDÉS
ÉTATS FINANCIERS CONSOLIDÉS PERIODE DU 1 ER AVRIL AU 31 DECEMBRE 2004-1 - COMPTE DE RÉSULTAT CONSOLIDÉ Période du 1 er avril au 31 décembre 2004 2003 2003 Exercice clos le Notes Pro forma 31 mars 2004
Plus en détailExercices & cours de Gestion en vidéo - BTS MUC. Liste des formules. (Consultez également «Liste des tableaux»)
Liste des formules (Consultez également «Liste des tableaux») Table des matières LES CALCULS COMMERCIAUX... 4 Le coefficient multiplicateur... 4 Montant de TVA... 4 TVA collectée... 4 TVA déductible...
Plus en détailTABLE DES MATIÈRES TITRE I- LES ÉTATS FINANCIERS... 7 TITRE II- LA FISCALITÉ CORPORATIVE... 55
TABLE DES MATIÈRES TITRE I- LES ÉTATS FINANCIERS...................................... 7 TITRE II- LA FISCALITÉ CORPORATIVE.................................. 55 Table des matières 3 TITRE I LES ÉTATS
Plus en détailRAPPORT INTERMÉDIAIRE DEUXIÈME TRIMESTRE 2015. Propulsés par l expérience client
RAPPORT INTERMÉDIAIRE DEUXIÈME TRIMESTRE 2015 Propulsés par l expérience client Rapport de gestion intermédiaire Au 30 juin 2015 Faits saillants trimestriels 3 Commentaires préalables au rapport de gestion
Plus en détail- - Créances sur les établissements de crédit et. chèques postaux
BILAN AU 31 DÉCEMBRE 2005 ACTIF DEC 2005 DEC 2004 PASSIF DEC 2005 DEC 2004 Valeurs en caisse,banques centrales, Trésor public, Banques centrales, Trésor public, Servicesdes 197 427 113 253 Service des
Plus en détail(en millions d euros) 2013-2014 2014-2015 Ventes 247,1 222,9 Marge brute (55,7) (30,8) En pourcentage du chiffre d affaires -22,5 % -13,8 %
RESULTATS ANNUELS 2014-2015 Chiffre d affaires 2014-2015 consolidé : 222,9 millions d euros Perte opérationnelle courante 2014-2015 : 125,9 millions d euros Poursuite du recentrage stratégique sur le cœur
Plus en détailDu résultat social au résultat consolidé Novembre 2011
Du résultat social au résultat consolidé Novembre 011 Du résultat social au résultat consolidé Préambule Les comptes consolidés ont pour but de présenter le patrimoine, la situation financière et les résultats
Plus en détailComptes statutaires résumés Groupe Delhaize SA
Comptes statutaires résumés Groupe Delhaize SA Le résumé des comptes annuels de la société Groupe Delhaize SA est présenté ci-dessous. Conformément au Code des Sociétés, les comptes annuels complets, le
Plus en détailRésultats annuels 2005
Résultats annuels 2005 SOMMAIRE Chiffres clés Activité 2005 - Crédit-Bail Immobilier/Location Longue Durée - Location simple Résultats 2005 Structure financière LOCINDUS en bourse Perspectives pour 2006
Plus en détailÉtats financiers consolidés. Aux 31 octobre 2011 et 2010
BANQUE LAURENTIENNE DU CANADA ÉTATS FINANCIERS CONSOLIDÉS Aux 31 octobre 2011 et 2010 Les présents états financiers consolidés présentent des données financières récentes se rapportant à la situation financière,
Plus en détailSOMMAIRE DES ETATS FINANCIERS CONSOLIDES
SOMMAIRE DES ETATS FINANCIERS CONSOLIDES Bilan Compte de résultat Tableau des flux de trésorerie Variation des capitaux propres Annexe aux comptes consolidés 1 Transition aux normes IFRS 2 Principes et
Plus en détail2. La croissance de l entreprise
2. La croissance de l entreprise HEC Lausanne Vincent Dousse 2007 1 2.1. Les succursales Définition: Etablissement commercial qui, sous la dépendance d une entreprise dont elle fait juridiquement partie(établissement
Plus en détailExemple de dossier de crédit bien documenté 1. Demande de crédit par un emprunteur existant
Exemple de dossier de crédit bien documenté 1 Demande de crédit par un emprunteur existant Légende : le texte en noir correspond à la contribution de l emprunteur et de son conseiller. Le texte en bleu
Plus en détailRéglementation prudentielle. en assurance. Plan. - I - Les principes de la comptabilité générale et leur application à l assurance
Réglementation prudentielle en assurance Principes de comptabilité : comment lire les comptes des entreprises d assurance? Franck Le Vallois Commissaire-contrôleur des assurances Plan - I - Les principes
Plus en détailL'analyse de la structure financière
2 L'analyse de la structure financière Les différentes conceptions La structure financière d une entreprise dépend principalement des contraintes technico-économiques liées à la nature des activités développées
Plus en détailLes tableaux de flux de trésorerie en règles françaises et internationales : essai de synthèse
Synthèse // Réflexion // Une entreprise/un homme // Références Les tableaux de flux de trésorerie en règles françaises et internationales : essai de synthèse Particulièrement utiles pour évaluer la capacité
Plus en détailFinancer la transmission de votre entreprise
Financer la transmission de votre entreprise Laurent Genest Directeur principal, Transfert d entreprises Banque Nationale Claude Lafond Directeur principal, Investissements Caisse de dépôt et placement
Plus en détail3. Le pilotage par le cash
Cependant, l allocation du capital engagé ne peut pas toujours être opérée à des niveaux très fins. Il est néanmoins intéressant de tenter de le répartir sur de plus grands périmètres (diverses activités
Plus en détailB - La lecture du bilan
8.2 La lecture des comptes annuels B - La lecture du bilan Référence Internet Saisissez la «Référence Internet» dans le moteur de recherche du site www.editions-tissot.fr pour accéder à ce chapitre actualisé
Plus en détailLa Banque Nationale divulgue des résultats record au troisième trimestre de 2013
COMMUNIQUÉ TROISIÈME TRIMESTRE La Banque Nationale divulgue des résultats record au troisième trimestre de L information financière fournie dans le présent communiqué est basée sur les états financiers
Plus en détailLa mesure et la gestion des risques bancaires : Bâle II et les nouvelles normes comptables
La mesure et la gestion des risques bancaires : Bâle II et les nouvelles normes comptables Cycle de Conférence à la Cour de Cassation 21 février 2005 Alain Duchâteau Directeur de la Surveillance Générale
Plus en détailGLOSSAIRE. ASSURÉ Personne dont la vie ou la santé est assurée en vertu d une police d assurance.
GLOSSAIRE 208 RAPPORT ANNUEL 2013 DU MOUVEMENT DESJARDINS GLOSSAIRE ACCEPTATION Titre d emprunt à court terme et négociable sur le marché monétaire qu une institution financière garantit en faveur d un
Plus en détailCOMPTABILITE D ENTREPRISE METHODE COMPTABLE
COMPTABILITE D ENTREPRISE METHODE COMPTABLE Qu est ce que la comptabilité? La comptabilité est un ensemble d enregistrement, de traitement, au niveau interne elle permet aux dirigeants de faire des choix.
Plus en détailCOURS GESTION FINANCIERE SEANCE 4 CHOIX DU NIVEAU DU FONDS DE ROULEMENT PLANS DE TRESORERIE FINANCEMENTS ET PLACEMENTS A COURT TERME
COURS GESTION FINANCIERE SEANCE 4 CHOIX DU NIVEAU DU FONDS DE ROULEMENT PLANS DE TRESORERIE FINANCEMENTS ET PLACEMENTS A COURT TERME SEANCE 4 CHOIX DU NIVEAU DU FONDS DE ROULEMENT PLANS DE TRESORERIE FINANCEMENTS
Plus en détail---------------------------------------------------- Rapport Financier Semestriel 30/06/2013 --------------------------------------
RAPPORT FINANCIER SEMESTRIEL 1 er janvier 30 juin 2013 ---------------------------------------------------- Rapport Financier Semestriel 30/ -------------------------------------- Société anonyme au capital
Plus en détailNorme internationale d information financière 9 Instruments financiers
Norme internationale d information financière 9 Instruments financiers IFRS 9 Chapitre 1 : Objectif 1.1 L objectif de la présente norme est d établir des principes d information financière en matière d
Plus en détailSelon la charte de l expertise en évaluation immobilière, 3 ème édition Juin 2006, la valeur vénale est :
COMPAGNIE NATIONALE DES EXPERTS IMMOBILIERS * 1 Alain MANZON Expert Immobilier-Consultant JANVIER 2013 N d agrément - 1004 - Diplômé de l Enseignement Supérieur RD559 Beauvallon Guerre vieille 83310 GRIMAUD
Plus en détailHausse de 78% du résultat net record à 313 millions d euros. Signature d un contrat d itinérance 2G / 3G avec Orange
RESULTATS ANNUELS 2010 Paris, le 9 mars 2011 Chiffre d affaires à plus de 2 milliards d euros Marge d EBITDA Groupe à plus de 39% Hausse de 78% du résultat net record à 313 millions d euros Signature d
Plus en détailCAISSE REGIONALE DU CREDIT AGRICOLE MUTUEL D AQUITAINE
CAISSE REGIONALE DU CREDIT AGRICOLE MUTUEL D AQUITAINE Eléments d appréciation du prix de rachat des CCI émis par la CRCAM d Aquitaine dans le cadre de l approbation par l'assemblée générale des sociétaires,
Plus en détailComment évaluer son entreprise dans un contexte de crise?
IPCF Institut Professionnel des Comptables et Fiscalistes agréés SOMMAIRE p. 1/ Comment évaluer son entreprise dans un contexte de crise? p. 5/ L avis CNC 2011/23 relatif au traitement comptable des contrats
Plus en détailExercices terminés les 31 mai 2009 et 2008. États financiers consolidés
Exercices terminés les 31 mai 2009 et 2008 États financiers 27 Rapport de la direction aux actionnaires de 5N Plus inc. Les ci-joints sont la responsabilité de la direction de 5N Plus inc. et ont été
Plus en détailARGAN. Société anonyme à directoire et conseil de surveillance au capital de 28.324.256 Euros
ARGAN Société anonyme à directoire et conseil de surveillance au capital de 28.324.256 Euros Siège social : 10, rue Beffroy 92200 Neuilly sur Seine R.C.S. Nanterre B 393 430 608 Comptes consolidés au 31
Plus en détail25 / 06 / 2008 APPLICATION DE LA RÉFORME BÂLE II
25 / 06 / 2008 APPLICATION DE LA RÉFORME BÂLE II Avertissement Cette présentation peut comporter des éléments de projection et des commentaires relatifs aux objectifs et à la stratégie de la Société Générale.
Plus en détailLA MESURE DES PERFORMANCES DES COMPAGNIES D ASSURANCES
LA MESURE DES PERFORMANCES DES COMPAGNIES D ASSURANCES Séminaire - Atelier La mesure des performances des compagnies d assurances 1 ère communication Généralités sur les processus d évaluation des activités
Plus en détailCBC Banque et Assurance : qui sommes nous?
CBC Banque et Assurance : qui sommes nous? Modèle de Distribution : Placements & Gestion d actifs PARTICULIERS Retail Banking Personal Banking Banque Privée PROFESSIONNELS Professions Libérales Indépendants
Plus en détailComptes Consolidés 2014
Comptes Consolidés 2014 Page 1 4.2 Comptes consolidés 4.2.1 Compte de résultat consolidé... 3 4.2.2 Résultat global consolidé... 4 4.2.3 Situation financière consolidée... 5 4.2.4 Variation des capitaux
Plus en détailAu second semestre 2010 : Sur l année 2010 : Perspectives 2011 :
11.05 Valeo : résultat net de 365 millions d euros en 2010, soit 3,8 % du chiffre d affaires ; performance opérationnelle en avance sur le plan stratégique présenté en mars 2010 Au second semestre 2010
Plus en détailGROUPE. Comptes consolidés. Au 31décembre 2013
GROUPE Comptes consolidés Au 31décembre 2013 1 SOMMAIRE SOMMAIRE... 2 BILAN CONSOLIDE... 3 COMPTE DE RESULTAT... 4 TABLEAU DES FLUX DE TRESORERIE... 5 PRINCIPES ET METHODES... 6 PRINCIPES ET METHODES DE
Plus en détailRAPPORT INTERMÉDIAIRE PREMIER TRIMESTRE 2015. Propulsés par l expérience client
RAPPORT INTERMÉDIAIRE PREMIER TRIMESTRE 2015 Propulsés par l expérience client Rapport de gestion intermédiaire Au 31 mars 2015 Faits saillants trimestriels 3 Commentaires préalables au rapport de gestion
Plus en détailDCG session 2010 UE4 Finance d entreprise Corrigé indicatif. Dossier 1 - Diagnostic financier
DCG session 2010 UE4 Finance d entreprise Corrigé indicatif Dossier 1 - Diagnostic financier 1. Intérêt des tableaux de flux de trésorerie - Analyse de l évolution de la trésorerie Les tableaux de flux
Plus en détailLA CRH EST LA CENTRALE FRANCAISE DE REFINANCEMENT DU LOGEMENT. son unique activité est le refinancement des prêts acquéreurs au Logement des banques
LA CRH EST LA CENTRALE FRANCAISE DE REFINANCEMENT DU LOGEMENT son unique activité est le refinancement des prêts acquéreurs au Logement des banques 1 PRÉSENTATION DE LA CRH La CRH est un établissement
Plus en détailEnquête de 2004 auprès des intermédiaires financiers de dépôts : banques à charte, sociétés de fiducie, caisses populaires et coopératives de crédit
Enquête unifiée auprès des entreprises - annuelle Enquête de 2004 auprès des intermédiaires financiers de dépôts : banques à charte, sociétés de fiducie, caisses populaires et coopératives de crédit Guide
Plus en détailCOMPTE DE RESULTAT CONSOLIDE...
1 SOMMAIRE COMPTE DE RESULTAT CONSOLIDE... 3 ETAT DU RESULTAT GLOBAL... 4 BILAN CONSOLIDE : ACTIF... 5 BILAN CONSOLIDE : PASSIF... 6 TABLEAU DE VARIATION DES CAPITAUX PROPRES CONSOLIDES... 7 TABLEAU DES
Plus en détail2. La définition du chiffre d affaires prévisionnel, traduisant par secteur, l estimation du volume d activité raisonnablement réalisable;
Le plan financier (Pacioli N 87) 1. Le Tableau de financement Le tableau de financement est un outil conçu spécialement pour assurer l équilibre "besoins-ressources" de l entreprise pour une politique
Plus en détailCegedim : Le retour à une croissance solide se confirme
SA au capital de 13 336 506,43 euros R. C. S. Nanterre B 350 422 622 www.cegedim.com COMMUNIQUE DE PRESSE Page 1 Information Financière Trimestrielle au 31 décembre 2014 IFRS - Information Réglementée
Plus en détailDrug Mart/Pharmaprix. de 28. décembre 2013). Les Compagnies Loblaw. bonne position. Faits saillants du 11 413 $ Produits Produits, compte
COMMUNIQUÉ DE PRESSEE Les Compagnies Loblaw limitée annonce une hausse de 68,4 % du montant ajusté du bénéfice par action 2) pour le quatrième trimestre de BRAMPTON, ONTARIO Le 26 février 2015 Les Compagnies
Plus en détailCommunication financière
Communication financière Résultats au 30 / 06 / 2014 COMPTES CONSOLIDES AU 30/06/2014 En application de la circulaire n 56/G/2007 émise par Bank Al Maghrib en date du 08 octobre 2007, notamment l article
Plus en détailRESULTATS ANNUELS 2013 PRESENTATION SFAF
RESULTATS ANNUELS 2013 PRESENTATION SFAF JEUDI 27 FEVRIER 2014 SOMMAIRE 01 - FAITS MARQUANTS 2013 02 RÉSULTATS ANNUELS 2013 03 PERSPECTIVES 1 LE GROUPE LINEDATA UN GROUPE MONDIAL 3 nouveaux bureaux en
Plus en détailANALYSE DES ÉTATS FINANCIERS ET ÉVALUATION D ENTREPRISES Jacques Douville, CA, MBA et Catherine Lenfant, CA, MBA
ANALYSE DES ÉTATS FINANCIERS ET ÉVALUATION D ENTREPRISES Jacques Douville, CA, MBA et Catherine Lenfant, CA, MBA TABLE DES MATIÈRES I. ANALYSE DES ÉTATS FINANCIERS...3 A. Nature des états financiers...
Plus en détailFinance pour non financiers
Finance pour non financiers Managers non financiers Responsables opérationnels ayant à dialoguer avec les comptables et les financiers Savoir communiquer avec les financiers dans l entreprise : comptabilité,
Plus en détailSOMMAIRE. Bulletin de souscription
SOMMAIRE Flash-emprunt subordonné «Tunisie Leasing 2011-2» Chapitre 1 : Responsables de la note d opération 1.1. Responsables de la note d opération 1.2. Attestation des responsables de la note d opération
Plus en détailCroissance soutenue et résultats solides en 2012 *** Accor s engage dans un plan de transformation profond pour accélérer sa croissance
Communiqué de Presse 20 février 2013 Croissance soutenue et résultats solides en 2012 *** Accor s engage dans un plan de transformation profond pour accélérer sa croissance Résultats solides en 2012 Progression
Plus en détailFIRST ASSET REIT INCOME FUND. Rapport intermédiaire de la direction sur le rendement du Fonds pour la période du 1 er janvier 2013 au 30 juin 2013
FIRST ASSET REIT INCOME FUND Rapport intermédiaire de la direction sur le rendement du Fonds pour la période du 1 er janvier 2013 au 30 juin 2013 Fonds : First Asset REIT Income Fund Titres :, Période
Plus en détail