Annexes jointes : - Suivi des paramètres physico-chimiques et microbiologiques dans les réseaux d eau chaude sanitaire
|
|
- Dominique Soucy
- il y a 5 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Référence : PT/HYG/012-A Page :Page 1 Objet : Le présent protocole précise les bonnes pratiques de surveillance des installations de distribution d eau chaude afin de maintenir la qualité physico-chimique et microbiologique de cette eau. Dans ce cadre, il organise la vérification régulière de la qualité de l eau chaude sanitaire distribuée, pour la détection rapide d une éventuelle dégradation ou contamination par la présence en particulier de légionelles. Mots clés : Actions préventives / Ballon / Chauffe-eau / Carnet sanitaire / Contamination / Eau chaude sanitaire / Gestion des risques / Légionelles / Légionelloses / Réseau / Surveillance / Documents de référence Critère HAS (V2007) : 15b Circulaire DGS/SD7A/SD5C/DHOS/E4 N du 22 avril 2002 relative à la prévention du risque lié aux légionelles dans les établissements de santé. L eau dans les établissements de santé, guide, DHOS et DGS, Formation GRETA : «la gestion du risque «Légionelles», octobre Annexes jointes : - Suivi des paramètres physico-chimiques et microbiologiques dans les réseaux d eau chaude sanitaire Validation Rédaction : Groupe de travail «Sécurité de l eau» Approbation : Comité de Lutte contre les Infections Nosocomiales (CLIN) Validation : Direction de la Qualité et de l Accréditation Date d application : 02/03/2009 Diffusion Pour application : - Direction des Travaux Pour classement : - Direction - Comité de lutte contre les Infections Nosocomiales (CLIN) - Equipe Opérationnelle d hygiène Hospitalière (EOHH) - Cellule de la Gestion des Risques - Direction des Soins Infirmiers, de Rééducation et Médico-Techniques - Direction de la Qualité et de l Accréditation
2 Référence : PT/HYG/012-A Page :Page 2 Liste des matériels et des consommables nécessaires : - Carnet sanitaire - Thermomètres à installer à la sortie des ballons - Bandelettes chlore réactives - Vannes de purge équipées de dispositifs de protection, à installer à la sortie des ballons - Gants isolants I - DEFINITIONS L eau chaude sanitaire est produite par accumulation, semi-accumulation ou par production instantanée, à partir du réseau d eau froide de l établissement. Elle est utilisée pour l entretien et le nettoyage des locaux hospitaliers, l hygiène du personnel, la toilette des patients Une installation à risque est une installation qui renferme un circuit d eau chaude ou réchauffée, à une température comprise entre 25 C et 43 C, et qui produit des microgouttelettes d eau (de diamètre inférieur à 5 micromètres par pulvérisation, bouillonnement ou impaction à forte pression de surface. En ce qui nous concerne, le risque se situe essentiellement au niveau des douches qui génèrent des aérosols pouvant être inhalés par les usagers. Le respect des consignes de températures en différents points des installations d eau chaude sanitaire constitue un moyen de prévention efficace pour limiter la prolifération des légionelles.
3 Référence : PT/HYG/012-A Page :Page 3 II PREVENTION : SURVEILLANCE REGULIERE DES PARAMETRES PHYSICO-CHIMIQUES ET MICROBIOLOGIQUES A MESURE DE LA CONCENTRATION EN CHLORE (LIBRE ET TOTAL) QUAND? 3 fois par semaine minimum. QUI? Un agent du service OU? - Au niveau du réservoir de la station de puisage (début du circuit de distribution). - Au niveau de la cuisine. - Au niveau d une unité de soins de fin du circuit de distribution. - Au niveau du garage ou de l unité de soins MOREL. COMMENT? Avec des bandelettes réactives. Les résultats lus sont consignés par l agent ayant effectué le test, dans le carnet sanitaire tenu au secrétariat des s Techniques. En cas de résultat non conforme (chlore total < 0.5 ppm), le taux de chlore est réajusté par les services s.
4 Référence : PT/HYG/012-A Page :Page 4 B MESURE DE LA TEMPERATURE Cette mesure est effectuée dans le but d évaluer le risque de dégradation de la qualité de l eau chaude sanitaire et de limiter le risque de prolifération de légionelles ; les légionelles se développant préférentiellement dans une eau dont la température est comprise entre 25 et 43 C. QUAND? 1 fois / jour : selon calendrier à préciser (au moins un contrôle hebdomadaire de l ensemble des ballons du site). QUI? Un agent du service. OU? A la sortie de chaque ballon. COMMENT? A partir des thermomètres installés sur le réseau d eau chaude, relever la température de l eau, à la sortie de chaque ballon. Se munir de gants isolants. Procéder comme suit : - purger - relever la température - si la température est inférieure à 50 C, régler le thermostat pour obtenir une température supérieure à 50 C. Les données relevées sont consignées par l agent ayant effectué les mesures, dans le carnet sanitaire, tenu au secrétariat des services s. Indiquer sur le carnet sanitaire : - la date de la mesure, - le nom de l opérant,
5 Référence : PT/HYG/012-A Page :Page 5 - le(s) service(s) où les mesures ont été effectuées, - les numéros des ballons dont la température a été relevée, - les températures relevées à la sortie de chaque ballon. C MESURE DE LA CONCENTRATION EN LEGIONELLES QUAND? 1 fois par an. Effectuer le prélèvement le matin, avant soutirage d eau. QUI? Convention avec le Laboratoire Départemental d Analyses (LDA) OU? Les points à prélever sont les suivants : - fond d un ballon d eau chaude au minimum - Points d usage les plus défavorisés (douches) : o Une douche par unité d hospitalisation o 1 douche du vestiaire des services s o 1 douche de l internat o 1 douche de la cuisine o 1 douche de Cerletti. COMMENT? - Réaliser le prélèvement sur le premier litre d eau obtenu : «Premier jet». - Renseigner la fiche de prélèvement établie en 2 exemplaires, en indiquant : o La date o Les nom, prénom du préleveur o L heure de chaque prélèvement o Les points de prélèvements - Un exemplaire de la fiche de prélèvement est conservé dans le carnet sanitaire. - Transmettre les échantillons d eau prélevés au laboratoire conventionné, pour analyse. - Transport à température ambiante si < 6 heures sinon dans des emballages réfrigérés à 4 C. - Analyse dans les 24 heures après prélèvement (exceptionnellement sous 48 heures).
6 Référence : PT/HYG/012-A Page :Page 6 - Les résultats d analyse sont retournés à la direction des travaux et conservés dans le carnet sanitaire. En cas de résultats non conformes, mettre en application le protocole : «Conduite à tenir en cas de risque de légionellose nosocomiale».
7 Référence : PT/HYG/012-A Page :Page 7 Suivi des paramètres physico-chimiques et microbiologique dans les réseaux d eau chaude sanitaire
8 Référence : PT/HYG/012-A Page :Page 8 Paramètres contrôlés Points de contrôle Qui Fréquence Matériel Méthode Réservoir de puisage) (station 3 fois / semaine Bandelettes réactives Noter les résultats sur le carnet sanitaire Cuisine 3 fois / semaine Bandelettes réactives Noter les résultats sur le carnet sanitaire Concentration en chlore libre Unité de soins de fin de circuit de distribution 3 fois / semaine Bandelettes réactives Noter les résultats sur le carnet sanitaire Garage ou MOREL 3 fois / semaine Bandelettes réactives Noter les résultats sur le carnet sanitaire Température Sortie de chaque ballon Fond d un ballon d eau chaude LDA 1 fois / jour (selon calendrier à préciser) 1 fois / an Port de gants isolants - purger - relever la T - Si T < 50 C : régler le thermostat pour obtenir une T > 50 C. -Tracer l opération sur le carnet sanitaire. - Soutirer les dépôts avant prélèvements - Tracer l opération et les résultats d analyse sur le carnet sanitaire. Concentration en Légionelles Points d usage les plus défavorisés : - 1douche / unité d hospitalisation - 1 douche du vestiaire des services s - 1 douche de l internat - 1 douche de la cuisine - 1 douche de Cerletti LDA 1 fois / an - 1 er jet - Le matin, avant soutirage d eau. - Tracer l opération et les résultats d analyse sur le carnet sanitaire.
Ouverture d un pavillon médical : Mesures mises en œuvre pour la mise en eau et suivi bactériologique
Ouverture d un pavillon médical : Mesures mises en œuvre pour la mise en eau et suivi bactériologique Congrès de la SF2H - 9 Juin 2011 S. Coudrais Biohygiéniste Unité d Hygiène et Epidémiologie - Groupement
Plus en détailRecommandations pour la surveillance de la température de l eau chaude sanitaire
Délégation territoriale du Val-d Oise Recommandations pour la surveillance de la température de l eau chaude sanitaire Maîtriser la température de l eau chaude sanitaire L exploitant d un réseau d eau
Plus en détailLaboratoire Départemental d Analyses Premier semestre 2015 I T. mon Département, Ain
Laboratoire Départemental d Analyses Premier semestre 2015 O N I T A R RESTAU E V I T C COLLE FORMATIONS Ain mon Département, Introduction La réglementation européenne impose à tout personnel travaillant
Plus en détailCARNET SANITAIRE DE VOTRE INSTALLATION D'EAU
CARNET SANITAIRE DE VOTRE INSTALLATION D'EAU (Indiquer le nom de l installation) Directions Régionale et Départementales des Affaires Sanitaires et Sociales du Nord-Pas-de-Calais Ministère de l emploi,
Plus en détailSYSTEM O. Contrôler la température sur l ensemble de votre réseau...
SYSTEM O Contrôler la température sur l ensemble de votre réseau... Contexte réglementaire La prévention des risques sanitaires est une priorité pour les maitres d ouvrage en particulier dans les Etablissements
Plus en détailIl est bien établi que le réseau d eau hospitalier peut
Les micro-organismes de l eau impliqués dans les infections nosocomiales Depuis 2001 chez Pall, en charge de l information scientifique et réglementaire dans les domaines d applications couverts par la
Plus en détailEau chaude sanitaire FICHE TECHNIQUE
FICHE TECHNIQUE Eau chaude sanitaire 2 5 6 6 CONNAÎTRE > Les besoins d eau chaude sanitaire > Les modes de production > La qualité de l eau > Les réseaux de distribution > La température de l eau REGARDER
Plus en détailLE PROJET QUALITE-GESTION DES RISQUES- DEVELOPPEMENT DURABLE
LE PROJET QUALITE-GESTION DES RISQUES- DEVELOPPEMENT DURABLE 1 LA POLITIQUE QUALITE-GESTION DES RISQUES Depuis 2003, la Direction s engage à poursuivre, la démarche qualité et à développer une gestion
Plus en détailBallon d'eau chaude sanitaire et composants hydrauliques
ccessoires allon d'eau chaude sanitaire et composants hydrauliques Page 21 allon d'eau chaude sanitaire et composants hydrauliques allon d'eau chaude sanitaire de 3 l 155 12 9 9 8 7 555 P 3 25 215 55 5
Plus en détailGESTION DES RISQUES Cartographie COVIRISQ
GESTION DES RISQUES Cartographie COVIRISQ PLAN Préambule Historique de la démarche Cartographie Organigramme Situation actuelle Constat Préambule OVE comprend : Un secteur social Un secteur médico-social
Plus en détailRésumé des modifications intervenues : simplification et clarification des actions descriptives
Référence : PT/RES/006-B Page :Page 1 sur 5 Objet : Maîtriser les dangers microbiologiques, biologiques, chimiques et physiques lors des opérations d épluchage, lavage et désinfection des légumes terreux,
Plus en détailSYSTEM O. Un système unique pour des réseaux distincts Eau froide sanitaire Eau chaude sanitaire
SYSTEM O Un système unique pour des réseaux distincts Eau froide sanitaire Eau chaude sanitaire CONCEPTION, CHOIX DES MATÉRIAUX ET MAINTENANCE : La sécurité des réseaux passe par une bonne conception,
Plus en détailConception et maintenance des réseaux d eau à l intérieur des bâtiments
Conception et maintenance des réseaux d eau à l intérieur des bâtiments Olivier CORREC Mél : olivier.correc@cstb.fr Contexte des réseaux d eau sanitaire Exigences générales : o Sécuriser la consommation
Plus en détaildes réseaux (ECS) Vanne d'équilibrage auto-nettoyante pour réseaux sanitaires w w w. s o g o b a. c o m
Equilibrage & Maintenance des réseaux (ECS) Vanne d'équilibrage auto-nettoyante pour réseaux sanitaires Vanne d'équilibrage auto-nettoyante pour réseaux sanitaires G R K N E T E v o l u t i o n La solution
Plus en détailEau chaude sanitaire
4 rue du maréchal FOCH, 68 460 LUTTERBACH 03 89 50 06 20 ou eie68@alteralsace.org La lettre d information d Alter Alsace Energies dans le cadre du défi des familles éco-engagées : N 8 Janvier 2013 Eau
Plus en détailHygiène alimentaire en restauration collective
1 2 3 4 5 6 7 Catalogue 2011 Audit, conseil et formation Hygiène alimentaire en restauration collective Laboratoire Départemental de la Côte-d'Or Sommaire 1 2 3 4 5 6 7 Sensibilisation à l hygiène alimentaire
Plus en détailVERSION 2011. Ce document doit être complété et signé par l installateur agréé Soltherm ayant réalisé les travaux
VERSION 2011 Valable pour les travaux faisant l objet d une facture finale datée au plus tôt du 1 er janvier 2011. Ce document doit être complété et signé par l installateur agréé Soltherm ayant réalisé
Plus en détailQualité Sécurité Environnement
Qualité Sécurité Environnement FORMATION AUDIT CONSEIL EXPERTISE >> Catalogue 2014 Nos innovations: e-learning, évaluation des compétences personnalisation Formation Hygiène Alimentaire ISO 9001 : 2008...
Plus en détailInstallations d eau chaude sanitaire dans les bâtiments (SIA 385/1 et 385/2)
Information du domaine Sanitaire eau gaz Installations d eau chaude sanitaire dans les bâtiments (SIA 385/1 et 385/2) Introduction La norme SIA 385/1 «Installations d eau chaude sanitaire dans les bâtiments
Plus en détailRESTAURANTS SCOLAIRES COMMUNAUX RESTAURANT DU CENTRE DE LOISIRS SANS HEBERGEMENT «RÉGLEMENTATION RELATIVE AU FONCTIONNEMENT»
Page 1 ANNEE SCOLAIRE 2014/2015 RESTAURANTS SCOLAIRES COMMUNAUX RESTAURANT DU CENTRE DE LOISIRS SANS HEBERGEMENT «RÉGLEMENTATION RELATIVE AU FONCTIONNEMENT» Le Maire de la Commune de Labouheyre, Vu l article
Plus en détailAnnexes jointes Annexe 1 : Fiches d entretien par zone Annexe 2 : Fiche de traçabilité
Référence : PT/HYG/003-C Page :Page 1 sur 15 Objet : - Permettre de dispenser des soins de qualité dans un environnement maîtrisé (garantie de propreté visuelle et bactériologique). - Eviter la propagation
Plus en détailCoordination de la Gestion des risques. Bilan - Programme
Coordination de la Gestion des risques Bilan - Programme La démarche Mise en place en 2007 Regroupe l ensemble des Vigilances Sanitaire. Associe le programme CLIN Associe les risques liés aux vigilances
Plus en détailLe chauffe eau à accumulation électrique
Le chauffe eau à accumulation électrique I) Composition d un chauffe eau électrique Leurs constitutions sont sensiblement les mêmes entre chaque fabriquant : Habillage Départ eau chaude Isolant Cuve Anode
Plus en détailHygiène alimentaire en restauration collective
Catalogue de formations 2012 Audit, conseil et formation Hygiène alimentaire en restauration collective Laboratoire Départemental de la Côte-d'Or 1 2 3 4 5 6 7 8 Sommaire Sensibilisation à l hygiène alimentaire
Plus en détailDescription du système. Pompe 1 : Pompe de régulation du retour sur le poêle.
Description du système Pompe 1 : Pompe de régulation du retour sur le poêle. La vitesse de la pompe varie de façon à ce que la température de l eau qui reparte vers le poêle soit toujours de 60 C. Le débit
Plus en détailHYGIENE EN RESTAURATION COLLECTIVE
HYGIENE EN RESTAURATION COLLECTIVE Dr Erick KEROURIO DIRECTION DEPARTEMENTALE DE LA PROTECTION DES POPULATIONS DE L ESSONNE Le cadre réglementaire LA RESTAURATION COLLECTIVE Notion de «clientèle» captive
Plus en détailMinistère des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes
Ministère des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes Direction générale de la santé Sous-direction «Prévention des risques liés à l environnement et à l alimentation» Bureau «Qualité des
Plus en détail2.0. Ballon de stockage : Marque : Modèle : Capacité : L. Lien vers la documentation technique : http://
2.0. Ballon de stockage : Capacité : L Lien vers la documentation technique : http:// Retrouver les caractéristiques techniques complètes (performances énergétiques et niveau d isolation, recommandation
Plus en détailSECURITE SANITAIRE ET RESTAURATION COLLECTIVE A CARACTERE SOCIAL
SECURITE SANITAIRE ET RESTAURATION COLLECTIVE A CARACTERE SOCIAL Références réglementaires : Règlement N 178/2002 établissant les principes généraux et les prescriptions générales de la législation alimentaire
Plus en détailHygiène alimentaire en restauration
2 0 1 5 Catalogue de formations Audit, conseil et formation Hygiène alimentaire en restauration Laboratoire Départemental de la Côte-d'Or (LDCO) Sommaire 1A 1B 23 4 5 6 7A 7B 8 Sensibilisation à l hygiène
Plus en détailVOTRE EAU CHAUDE ELECTRIQUE
G U I D E VOTRE EAU CHAUDE ELECTRIQUE SICAE Une réduction d'impôts peut être obtenue (sous certaines conditions) lors du remplacement de votre chauffe-eau électrique. Renseignez-vous auprès du Centre des
Plus en détailDISTRIBUTION DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR VOIE ORALE PAR L INFIRMIERE : RISQUE DE NON PRISE DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR LE PATIENT
INSTITUT DE FORMATION DES CADRES DE SANTE ASSISTANCE PUBLIQUE HOPITAUX DE PARIS ACTIVITE PROFESSIONNELLE N 8 : LE CADRE GERE LES RISQUES CONCERNANT LES PRESTATIONS, LES CONDITIONS DE TRAVAIL DES PERSONNELS,
Plus en détailTITRE DU PROJET Construction d un complexe de santé pour le compte de l ONG Education Pour la Santé et la Promotion de l Emploi (EPSPE)
TITRE DU PROJET Construction d un complexe de santé pour le compte de l ONG Education Pour la Santé et la Promotion de l Emploi (EPSPE) PAYS ET REGION DE MISE EN ŒUVRE DU PROJET Ce projet sera mise en
Plus en détailCOMPTE RENDU CONTRÔLE HYGIENOSCOPIE
COMPTE RENDU CONTRÔLE HYGIENOSCOPIE Client : JEAN CUISTOT TRAITEUR 31 RUE DE L 'OCEAN 17510 CHIVES jeancuistot.traiteur@club-internet.fr Tél. 05 46 33 64 21 Date de l'examen : 28-oct-2013 Technicien :
Plus en détailPROCÉDURE. Code : PR-DSI-000-31
Code : PR-DSI-000-31 PROCÉDURE Instance responsable : Direction des soins infirmiers Approuvée par : Diane Benoit Présentée et adoptée au comité de direction le : 16 janvier 2013 Entrée en vigueur le :
Plus en détailPLONGEZ AUX SOURCES DU CONFORT... Chauffe-eau électrique Chauffe-eau thermodynamique Chauffe-eau solaire ÉDITION 2013-2014
PLONGEZ AUX SOURCES DU CONFORT... Chauffe-eau électrique Chauffe-eau thermodynamique Chauffe-eau solaire ÉDITION 2013-2014 2 atlantic Avec ATLANTIC, Fabriqué en France vous trouverez toujours le chauffe-eau
Plus en détailformations professionnelles fin 2014 / début 2015 hygiène alimentaire en restauration collective audit, conseil et formation professionnelle
audit, conseil et formation professionnelle Stage 1 Bonnes pratiques d hygiène en restauration collective 19 et 26 novembre Stage 2 Règles d hygiène lors du service 3 décembre Stage 3 Le nettoyage et la
Plus en détailRemeha ZentaSOL. La nouvelle norme en matière de simplicité, design et rendement
Remeha ZentaSOL La nouvelle norme en matière de simplicité, design et rendement ZentaSOL Système de chauffe-eau solaire Remeha ZentaSOL L'énergie solaire est la source de chaleur la plus écologique et
Plus en détailSoltherm Personnes morales
Soltherm Personnes morales Annexe technique Valable pour les travaux faisant l objet d une facture finale datée au plus tôt le 1 er janvier 2015 ou dans des maisons unifamiliales/appartements dont la déclaration
Plus en détailRobinetterie «haut de gamme» + Systèmes Robinetterie pour installations d eau potable «Aquastrom T plus» «Aquastrom C» «Aquastrom P»
Innovation + Qualité Robinetterie «haut de gamme» + Systèmes Robinetterie pour installations d eau potable «Aquastrom T plus» «Aquastrom C» «Aquastrom P» Gamme de produits Conditions générales et directives
Plus en détailPRÉPARATION ET LIVRAISON DE REPAS EN LIAISON FROIDE POUR LE RESTAURANT SCOLAIRE
COMMUNE DE BRETTEVILLE SUR ODON PROCÉDURE ADAPTÉE PRÉPARATION ET LIVRAISON DE REPAS EN LIAISON FROIDE POUR LE RESTAURANT SCOLAIRE CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIÈRES C.C.T.P X:\CANTINE\CONSULTATION
Plus en détailLA QUALITE DE LA PRODUCTION
LA QUALITE DE LA PRODUCTION ET DES SERVICES Leçon 1 : Présenter le concept qualité Leçon 2 : Présenter le système HACCP Leçon 3 : Caractériser les autocontrôles C.M.P Chapitre : 1/17 Objectif 1 : Identifier
Plus en détailCONVENTION DE PORTAGE DE REPAS A DOMICILE EN LIAISON FROIDE Entre :
CONVENTION DE PORTAGE DE REPAS A DOMICILE EN LIAISON FROIDE Entre : L Office Privé d Hygiène Sociale, 91 rue Saint Pierre à Beauvais, d une part, Et : Nom Prénom :... Adresse :. Code Postal :... Ville
Plus en détailDocuments d'aide à la maintenance et à la conception des installations intérieur de distribution d eau
Documents d'aide à la maintenance et à la conception des installations intérieur de distribution d eau Thierry POLATO Agence Régionale de Santé Pays de la Loire Délégation territoriale de Maine-et-Loire
Plus en détailFormulaire standardisé pour un chauffe-eau solaire
Formulaire standardisé pour un chauffe-eau solaire Annexe au formulaire de demande de prime 1. Coordonnées du demandeur Nom du demandeur Adresse Adresse de l installation Rue : N : Code Postal : Commune
Plus en détailH A C C P. Hazard Analysis, Critical Control Point. Analyse des dangers, maîtrise des points critiques. Programme de formations.
H A C C P Hazard Analysis, Critical Control Point Analyse des dangers, maîtrise des points critiques Objectifs : L'HACCP est une norme de mise en œuvre destinée à évaluer les dangers, et, mettre en place
Plus en détailLA NORME RABC EN BLANCHISSERIE NOYONS SEPTEMBRE 2012
LA NORME RABC EN BLANCHISSERIE NOYONS SEPTEMBRE 2012 SOMMAIRE La norme RABC, qu est-ce que c est? Les grandes lignes La blanchisserie et la Fonction linge - incidences sur l application de la méthode Les
Plus en détailFormulaire standardisé pour un chauffe-eau solaire
1. Coordonnées du demandeur Nom du demandeur Adresse de l installation Rue : N :. Code Postal : Commune : Age du bâtiment : - plus de 5 ans - moins de 5 ans 2. 2. Coordonnées de l installateur agréé 1
Plus en détailCENTRE D EDUCATION ET DE SOINS SPECIALISES POUR ENFANTS POLYHANDICAPES «LE RIVAGE» LIVRET D ACCUEIL DU STAGIAIRE
CENTRE D EDUCATION ET DE SOINS SPECIALISES POUR ENFANTS POLYHANDICAPES «LE RIVAGE» LIVRET D ACCUEIL DU STAGIAIRE 12 rue aux raisins - 62600 BERCK SUR MER 03.21.89.44.01 - Fax : 03.21.89.44.82 Le mot d
Plus en détailCIRCULAIRE N 2983 DU 18/01/2010
CIRCULAIRE N 2983 DU 18/01/2010 Objet : Utilisation des fluides frigorigènes dans les installations de réfrigération A l'attention de(s) : Pour information : Monsieur l'administrateur général de l'administration
Plus en détailHygiène alimentaire. Réglementation. Restaurants et commerces alimentaires
Hygiène alimentaire Réglementation Restaurants et commerces alimentaires Hygiène alimentaire Sommaire Avant de s installer, les démarches à suivre p.3/4 Concevoir la cuisine p.5 Hygiène - Les bonnes pratiques
Plus en détailSommaire des documents de la base documentaire 15189 v2012 01/11/2013
La base documentaire a été complètement révisée pour être en conformité avec cette version 2012 de l ISO 15189. La cartographie des différents processus du LBM a également été modifiée (suppression du
Plus en détailManuel d entretien. Présentation de votre chauffe-eau. Poignées de préhension (haut et bas) Protection intérieure par émaillage. Isolation thermique
Présentation de votre chauffe-eau Poignées de préhension (haut et bas) Isolation thermique Protection intérieure par émaillage Canne de prise d eau chaude Doigt de gant du thermostat Anode magnésium Résistance
Plus en détailAstuces. L eau. moins. dépenser. pour
Astuces pour! dépenser moins 2 >>> ÉDITO eau est une ressource précieuse, indispensable dans nos logements, que ce soit pour l alimentation, la préparation des L repas, l hygiène ou tout simplement notre
Plus en détailL hygiène en restauration
L hygiène en restauration Remise directe au consommateur Avertissement : les fiches présentées dans cette rubrique ont valeur de première information synthétique et ne tiennent pas compte des spécificités
Plus en détailREGLEMENT INTERIEUR SERVICE DE RESTAURATION SCOLAIRE. Pris en application de la délibération du Conseil Municipal du 10 mars 2011
REGLEMENT INTERIEUR SERVICE DE RESTAURATION SCOLAIRE Pris en application de la délibération du Conseil Municipal du 10 mars 2011 Modifié par délibérations des 9 juin et 15 décembre 2011 NOM et Prénom de
Plus en détailGUIDE TECHNIQUE. Maîtrise du risque de développement des légionelles dans les réseaux d eau chaude sanitaire. Maîtrise du risque de développement
Maîtrise du risque de développement des légionelles dans les réseaux d eau chaude sanitaire Ce document vise à apporter au chef d établissement ou au responsable gestionnaire, une meilleure lisibilité
Plus en détailLes piscines à usage collectif Règles sanitaires. à usage collectif
Déclaration d ouverture La déclaration d ouverture d une piscine (accompagnée d un dossier justificatif) est à adresser en 3 exemplaires à la mairie d implantation de l établissement et un exemplaire en
Plus en détailévaluation des risques professionnels
évaluation des professionnels Inventaire des Etablissement : Faculté de Médecine Unité de travail : Laboratoire de Biochimie Médicale Année : 2013 Locaux Bureaux Salle de Microscopie Culture cellulaire
Plus en détailPARTIE 2 : MISE EN SERVICE PARTIE 1 : CONCEPTION PARTIE 3 : ENTRETIEN PARTIE 4 : EN SAVOIR PLUS METTRE EN SERVICE L INSTALLATION...
SOMMAIRE PARTIE 1 : REGLER LES TEMPERATURES DE PRODUCTION ET DE DISTRIBUTION... 4 PREVENIR LE RISQUE LEGIONELLE... 5 CHOISIR UNE SOLUTION PRODUCTION D ECS INDIVIDUELLE... 10 CHOISIR UNE SOLUTION DE PRODUCTION
Plus en détailC.C.T.P. D.P.G.F. LOT 8
Communauté de communes de la MONTAGNE BOURBONNAISE CONSTRUCTION D UN BATIMENT LOCATIF A USAGE ARTISANAL OU INDUSTRIEL Zone d activités du Mornier 03250 LE MAYET DE MONTAGNE Marché de travaux C.C.T.P. D.P.G.F.
Plus en détailPARTIE 5 NOTICE HYGIENE ET SECURITE
de en Martinik NOTICE HYGIENE ET SECURITE BUREAU VERITAS ASEM Dossier n 6078462 Révision 2 Octobre 2014 Page 1 de en Martinik SOMMAIRE 1. INTRODUCTION... 3 1.1 OBJET DE LA NOTICE... 3 1.2 CADRE REGLEMENTAIRE...
Plus en détailHygiène alimentaire. Introduction
Direction des études Mission Santé-sécurité au travail dans les fonctions publiques (MSSTFP) Hygiène alimentaire Introduction Le temps de travail ne permet pas souvent aux salariés de déjeuner chez eux
Plus en détailHygiène alimentaire, formations obligatoires, législation du travail
GUIDE PRATIQUE Guide des bonnes pratiques pour les restaurateurs Hygiène alimentaire, formations obligatoires, législation du travail Restaurateurs Quelles Restaurateurs sont vos obligations? Quelles sont
Plus en détailInstallations de plomberie
Service de l urbanisme, des biens et de l aménagement Installations de plomberie Guide à l intention des propriétaires pour l interprétation des règlements municipaux de la ville de Winnipeg concernant
Plus en détailBP/BL 150 à 500, B 650 à 1000
BP/BL à, B 6 à PRÉPARATEURS D EAU CHAUDE SANITAIRE INDÉPENDANTS BP Préparateurs ecs indépendants Performance, capacité de à litres BL Préparateurs ecs indépendants, capacité de à litres B Préparateurs
Plus en détailPRISE EN CHARGE D'UN PATIENT ATTEINT OU SUSPECT DE CLOSTRIDIUM DIFFICILE
PRISE EN CHARGE D'UN PATIENT ATTEINT OU SUSPECT DE CLOSTRIDIUM DIFFICILE PG SPI SUR 014 v1 2011 1/5 OBJET Conduite à tenir dans le cadre de l'arrivée d'un patient atteint ou suspect de portage de Clostridium
Plus en détailDocument unique d évaluation des risques professionnels
Document unique d évaluation des risques professionnels La loi n 91-1414 du 31 décembre 1991 (article L.230-2 du Code du travail), demande au chef d établissement de prendre toutes les mesures nécessaires
Plus en détailAide à l'application Chauffage et production d'eau chaude sanitaire Edition décembre 2007
Aide à l'application Chauffage et production d'eau chaude sanitaire 1. But et objet Une série d'aides à l'application a été créée afin de faciliter la mise en œuvre des législations cantonales en matière
Plus en détailHygiène de l eau potable avec Geberit Toujours en mouvement.
Hygiène de l eau potable avec Geberit Toujours en mouvement. Pour un système d'eau potable fiable SIMPLEMENT BIEN APPROVISIONNÉ Un risque méconnu. Les légionnelles. Lorsqu'il s'agit des dangers de la douche,
Plus en détailAUDIT 2009 des UCPC de Lorraine
AUDIT 2009 des UCPC de Lorraine Nom de l'établissement Date Nombre de préparations / an : Date d'installation: Personnes présentes Nom / Prénom Fonction Signature Réseau Oncolor 2010 1 SOMMAIRE Page I
Plus en détail40 ECO-CONSEILS 7 fiches pour une consommation annuelle d énergie plus légère.
«Consommer moins en consommant mieux» 40 ECO-CONSEILS 7 fiches pour une consommation annuelle d énergie plus légère. Maîtriser notre consommation en électricité, c est nous engager à adopter des gestes
Plus en détailREPUBLIQUE FRANÇAISE. REGLEMENT DES SERVICES PERISCOLAIRES 2013/2014 (RESTAURANT SCOLAIRE et GARDERIE et CENTRE D ANIMATION)
REPUBLIQUE FRANÇAISE M A I R I E DE P O N T H E V R A R D 5, PLACE DE LA MAIRIE 78730 PONTHEVRARD TELEPHONE : 01.30.41.22.13 - TELECOPIE : 01.30.88.20.26 EMAIL : PONTHEVRARD@ORANGE.FR REGLEMENT DES SERVICES
Plus en détailLE RÉFRIGÉRATEUR PRÊT À INSTALLER
LE RÉFRIGÉRATEUR PRÊT À INSTALLER sans aucune modification de la structure de votre paillasse! UNIMEDICAL LAB, est la solution professionnelle proposée par Unifrigor pour le laboratoire. Tables réfrigérées
Plus en détailFiche-conseil C5 Production d eau chaude sanitaire
Service d information sur les économies d énergie Fiche-conseil C5 Production d eau chaude sanitaire 1 Préparation de l eau chaude sanitaire 2 1) Différents systèmes de production A Chaudière combinée
Plus en détailREGLEMENT DU RESTAURANT SCOLAIRE DU RPI OZENAY-PLOTTES ECOLE LES JOYEUX CARTABLES
REGLEMENT DU RESTAURANT SCOLAIRE DU RPI OZENAY-PLOTTES ECOLE LES JOYEUX CARTABLES Article 1 Bénéficiaires Le restaurant scolaire municipal accueille les enfants scolarisés dans les écoles DU RPI OZENAY-PLOTTES.
Plus en détailde faible capacité (inférieure ou égale à 75 litres) doivent être certifiés et porter la marque NF électricité performance.
9.5. PRODUCTION D EAU CHAUDE sanitaire Les équipements doivent être dimensionnés au plus juste en fonction du projet et une étude de faisabilité doit être réalisée pour les bâtiments collectifs d habitation
Plus en détailwww.vac-location.com Location de Véhicules Autonomes de Cantonnement Solutions Base Vie Clés en Main pour Chantiers
www.vac-location.com Location de Véhicules Autonomes de Cantonnement Solutions Base Vie Clés en Main pour Chantiers CONTEXTE Application plus stricte des dispositions réglementaires relatives à l accueil
Plus en détailSECURITE SANITAIRE DES ALIMENTS
PREFET DES PYRENEES-ATLANTIQUES Direction Départementale de la Protection des Populations des Pyrénées-Altantiques SECURITE SANITAIRE DES ALIMENTS Quelques règles à respecter, secteur de la remise directe
Plus en détailRapport d hygiène pour le département du service d ambulance
Rapport d hygiène pour le département du service d ambulance Dans le cadre des exigences de qualité posées, l on aimerait savoir dans quelle mesure le nettoyage et la désinfection des ambulances suffisent
Plus en détailÉnergies renouvelables. 10 employés. Boucher/ Charcutier
Page1 REBUFFE SARL Contact : 21 rue Bouchevreau 53300 Ambrières les M. Gilles REBUFFE Vallées Dirigeant : 02 43 04 92 44 02 43 04 92 44 : 06 03 98 04 17 : 10 employés Boucher/ Charcutier Date de création
Plus en détailDécrire l'ensemble des mesures de maîtrise et des mesures de surveillance dans des procédures ou modes opératoires portés à la connaissance de tous.
DEMARCHE HACCP EN CUISINE CENTRALE Alimentation GROSJEAN L, Vénissieux Juin 2010 Objectif La démarche HACCP (de l'américain Hazard Analysis Critical Control Point) est une méthode préventive visant à maîtriser
Plus en détailCOMMUNAUTE DE COMMUNE DU GRAND CHAMBORD
COMMUNAUTE DE COMMUNE DU GRAND CHAMBORD CONSTRUCTION D UNE PLATEFORME BOIS ENERGIE 41 250 BRACIEUX Lot n 08 Sanitaires, MAITRE D ŒUVRE : SOCIETE D ARCHITECTURE BOITTE Siège social Agence de Romorantin
Plus en détailProtection du personnel
PROTOCOLE POUR L EVACUATION DES EXCRETAS PAR LES ENTREPRISES DE VIDANGE/NETTOYAGE ET LES ONG s (Version 1.0, 23 décembre 2010) Sommaire I. Objectifs du protocole II. Protection du personnel III. Aspects
Plus en détailFICHE METIER et PASSERELLES AGENT POLYVALENT DE RESTAURATION
FICHE METIER et PASSERELLES AGENT POLYVALENT DE RESTAURATION Domaines : Services à la population Sous domaine : Restauration collective Code fiche du répertoire des métiers territoriaux : 11/D/24 AGENT
Plus en détailRestauration d entreprise
A s s o c i a t i o n d e s R e s p o n s a b l e s d e S e r v i c e s G é n é r a u x F a c i l i t i e s M a n a g e r s A s s o c i a t i o n Restauration d entreprise L article R. 4228-19 du Code
Plus en détailTheta Double service BFC, SGE, SGS pour 20/30/40 kw capacité de chauffe
heta Double service BFC, SGE, SGS pour 20/30/40 kw capacité de chauffe Un module pour la production de l ECS et du chauffage central Echangeur à plaques avec circulateur ECS primaire, une vanne trois voies,
Plus en détailParties communes et services
Parties communes et services Ergonomie pratique en 128 points CHECKPOINT 95 Mettre des vestiaires et des sanitaires à la disposition des employés pour garantir un bon niveau d'hygiène et de propreté. POURQUOI
Plus en détailN o d organisme. Rendement actuel Cible Justification de la cible
Plan qualité 2015-2016 pour Soins continus Bruyère Objectifs et initiatives d amélioration BUT Mesure Changement Initiatives prévues Dimension de la qualité Objectif Mesure/indicateur Unité/population
Plus en détailLE FINANCEMENT. MSPD Eric Fretillere Conseil Régional de l Ordre des Médecins d Aquitaine CDOM 47Page 1
LE FINANCEMENT Il ne faut pas se le cacher, le financement est une difficulté et de nombreuses maisons médicales dans les 10 dernières années, qui fonctionnaient de manière satisfaisante, sont «décédées»
Plus en détailSystème Management Environnemental
Système Management Environnemental Laboratoire de Touraine Laboratoire de Touraine Laboratoire de Touraine - Bassin Eaux Pluviales Environnemental Politique Qualité Sécurité Environnement Sommaire Norme
Plus en détailNOTICE D'INSTALLATION, DE MISE
8908908902890256 8908908902890256 8908908902890256 NOTICE D'INSTLLTION, DE MISE EN SERVICE ET D'ENTRETIEN Optitherm 6.25/6.5 C Optitherm 5.25/6.25/6.5 B Tableau de commande 2 EXIGENCES RÉGLEMENTIRES ET
Plus en détailUne chaudière mixte est facilement identifiable : elle se déclenche chaque fois que vous ouvrez un robinet d eau chaude.
Comment choisir votre douche Le système en place chez vous Lorsque vous choisissez le type de douche dont vous voulez vous équiper, vous devez au préalable vérifier le système de production d eau chaude
Plus en détailPour pouvoir fréquenter le restaurant scolaire, l inscription préalable est obligatoire.
Chaque famille demandant l inscription de son ou de ses enfants en restauration scolaire s engage à respecter tous les points du présent règlement, notamment les modalités d inscription, de facturation
Plus en détailClassement des locaux en fonction de l exposition à l humidité des parois et nomenclature des supports pour revêtements muraux intérieurs
Commission chargée de formuler des Avis Techniques Groupe spécialisé n 9 Groupe spécialisé n 12 Groupe spécialisé n 13 Cloisons et contre-murs en plâtre Revêtements de sol et produits connexes Revêtements
Plus en détailMODE OPERATOIRE NORMALISE : Date d application :
1 / 14 Prénom / Nom Date, signature Rédacteur : Tony Jamault Vérificateur : Anthony Loussouarn Approbation : Isabelle Calard Table des matières 1 OBJECTIF DU MODE OPERATOIRE ET DOMAINE D APPLICATION...
Plus en détailFourniture de repas cuisinés en liaison froide pour le service de portage de repas à domicile
Fourniture de repas cuisinés en liaison froide pour le service de portage de repas à domicile CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIERES Maître d'ouvrage / Pouvoir Adjudicateur : Communauté de Communes
Plus en détailQuestions avant intervention pour dépannage Enomatic
Questions avant intervention pour dépannage Enomatic 1 La machine de fonctionne pas - absence de voyant lumineux? Contrôler que la fiche de la machine soit en place dans une prise 220V Fusible de la prise
Plus en détailVILLE D ESTAIRES ENTRETIEN DES LOCAUX SPORTIFS CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIERES (C.C.T.P.)
DEPARTEMENT DU NORD VILLE D ESTAIRES ENTRETIEN DES LOCAUX SPORTIFS CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIERES (C.C.T.P.) CHAPITRE I : DESCRIPTION DES OUVRAGES ARTICLE 1 : GENERALITES Le présent Cahier
Plus en détail