Management package : principes, enjeux et risques fiscaux
|
|
- Hubert Aubé
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Management package : principes, enjeux et risques fiscaux OLIVIER ARTHAUD / CNCC SYLVAIN QUAGLIAROLI / AFIC OLIVIER RAMOND 1 Sommaire 1) Généralités sur les outils d incitation des 1.1 Répartition de la rémunération des dirigeants 1.2 Contexte de la mise en place des management packages 1.3 Les enjeux de la valorisation des management packages 1.4 Le sweet equity 1.5 Les mécanismes de ratchet 1.6 Les principaux outils rencontrés en pratique 1.7 Synthèse des régimes fiscaux et sociaux applicables 2 1
2 Sommaire 2) Mécanismes applicables aux options 2.1 Principes des options 2.2 Principales clauses 2.3 La démarche d évaluation 3) Enjeux de valeur et problématiques d évaluation 3.1 Le modèle de Black and Scholes 3.2 Le modèle Binomial 3.3 Les simulations de Monte Carlo 3.4 Synthèse 3 Sommaire 4) Risques fiscaux 4.1 Enjeux 4. 2 Points de jurisprudence 5) Conclusion 4 2
3 Généralités sur les outils d incitation des Généralités sur les outils d incitation des 1.1 La rémunération des dirigeants Les salaires et bonus représentent moins de 50% de la rémunération des dirigeants Les compléments de rémunération sont essentiellement assis sur des mécanismes d accès au capital (Sweet Equity ou Ratchet) Les instruments de rémunération doivent répondre aux objectifs suivants : Motiver les en récompensant leurs performances Assurer leur fidélité à moyen terme Faire converger les intérêts des avec ceux des actionnaires Permettre éventuellement une prise de contrôle future du management 5 3
4 Généralités sur les outils d incitation des 1.2 Le contexte de la mise en place des Management Packages Constitution d un tour de table et répartition des fruits de l investissement en cas de succès (opération de LBO) Association des au succès des investisseurs Les Management Packages permettent aux de bénéficier d un effet de levier supérieur à celui des investisseurs financiers Transmission patrimoniale vers le management (LBO secondaire ou plus) 6 Généralités sur les outils d incitation des 1.3 Les enjeux de la valorisation des Management Packages Garantir l équité entre le management et les actionnaires financiers Pouvoir mesurer par le dirigeant la valeur des actifs qu on lui propose comme outil de rémunération Pour l émetteur, mesurer le coût des outils de rémunération et arbitrer en fonction Sécuriser le schéma d un point de vue fiscal 7 4
5 Généralités sur les outils d incitation des 1.4 Le sweet equity Répartition entre apport en capital (Equity) et prêts d actionnaires (Quasi Equity), différence entre investisseur financier et manager (effet de levier) Utilisation fréquente d obligations convertibles avec un objectif de non conversion 8 Généralités sur les outils d incitation des 1.4 Le sweet equity Capital holding K OC K Managers K Financiers K Managers 1000 K Financiers K K Sans conversion : Managers: 16,7 % Financiers : 83,3 % Après conversion : Managers: 8,3 % Financiers : 91,7% SI le TRI 25 % pas de conversion des OC par les investisseurs SI le TRI < 25 % conversion des OC en actions 9 5
6 Généralités sur les outils d incitation des 1.5 Les Mécanismes de ratchet Ils permettent aux d avoir accès lors de la sortie de l opération à une plus-value complémentaire en cas de réussite de LBO Il s agit d un accès supplémentaire au capital de la holding de reprise grâce à des options 10 Généralités sur les outils d incitation des 1.5 Les Mécanismes de ratchet : Capital holding : % Managers 90 % Financiers Attribution de BSA aux en fonction du TRI de l opération Capital des Managers TRI < 15 Aucun BSA 10% TRI > 15 et < 20 5% 15% TRI > 20 et < 30 10% 20% TRI > 30 15% 25% 11 6
7 Généralités sur les outils d incitation des 1.6 Les principaux outils rencontrés en pratique BSA BSPCE Actions de préférence OC Différents Outils Carried Interest Promesse de vente Value Shares Actions Gratuites Stocks Options 12 Généralités sur les outils d incitation des 1.7 Synthèse des régimes fiscaux applicables Principe Imposition si PP Imposition si PM BSA Taxation de la plus value lors de la cession du bon ou du titre acquis en exercice du bon Imposition en tranche marginale à 45 % + 4% + 15,5%= 64,5% Imposition à l IS au taux de 33 1/3% (sauf si régime long terme) Avantages : Possibilité de loger les BSA dans un PEA Effet de levier (mise initiale faible) Souplesse dans les conditions d émission BSA librement cessibles Inconvénients : Nécessité d une évaluation par un expert Paiement du prix d exercice du bon Risque de requalification en salaire 13 7
8 Généralités sur les outils d incitation des 1.7 Synthèse des régimes fiscaux applicables Principe Imposition si PP Imposition si PM O C - Taxation lors du remboursement ou de la revente des Obligations Convertibles Imposition en tranche marginale à : 45 % + 4% + 15,5%= 64,5% Imposition à l IS au taux de 33 1/3% (sauf si régime long terme) - Taxation lors de la vente des actions reçues en cas de conversion Avantages : Pas de risque de requalification en salaire Au bénéfice des, les OC permettent de récompenser leur performance en leur permettant de convertir leurs titres Au bénéfice des investisseurs, elles permettent à l inverse de diluer totalement les si leur management a été inefficace Inconvénients : Impossible de loger dans un PEA Le manager paie le prix de souscription Nécessité d une évaluation en cas de conversion éventuelle 14 Généralités sur les outils d incitation des 1.7 Synthèse des régimes fiscaux applicables Principe Imposition si PP Imposition si PM ADP/ Value Share - Taxation de la plus value lors de la cession des Actions De Préférence Imposition en tranche marginale à : 45 % + 4% + 15,5% = 64,5% Imposition à l IS au taux de 33 1/3% (sauf si régime long terme) Avantages : Une grande variété de droits peuvent être attachés aux ADP Possibilité de loger les Actions De Préférence dans un PEA Sécurité liée à l opposabilité à la société et aux tiers Inconvénients : Les droits financiers doivent donner lieu à une évaluation Les ADP sont achetées par le manager Lourdeur juridique (CAAP) 15 8
9 Généralités sur les outils d incitation des 1.7 Synthèse des régimes fiscaux applicables Promesse de vente Principe Imposition si PP Imposition si PM - Taxation lors de la cession des titres acquis suite à l exercice des promesses Imposition en tranche marginale à : 45 % + 4% + 15,5%= 64,5% Imposition à l IS au taux de 33 1/3% (sauf si régime long terme) Avantages : Simplicité de l outil Inconvénients : Paiement du prix de la promesse par le manager à l émission Pas de possibilité de loger la promesse dans un PEA Nécessite une évaluation par un expert Risque fiscal de remise en cause du régime des plus values (CAA de Paris, 28/11/2012) 16 Généralités sur les outils d incitation des 1.7 Synthèse des régimes fiscaux applicables Principe Imposition de la PV d acquisition Imposition de la PV de cession Stock Option & AGA Taxation à : - l IR - la Contribution salariale - aux prélèvements sociaux - la Contribution patronale 45 % (Traitements et salaires) 17 % 8% 30% Imposition à l IR au barème progressif 17 9
10 Généralités sur les outils d incitation des 1.7 Synthèse des régimes fiscaux applicables Avantages : Absence de risque Pas de financement nécessaire Les Prélèvements sociaux passent de 15,5% à 8% sur la PV mais la Contribution sociale est augmentée à concurrence de 7,5% L intérêt des stocks options est l effet de levier L intérêt des AGA est l absence de risque et de financement nécessaire Inconvénients : Les PV sont désormais qualifiées de revenus d activité Aucune attribution ne peut avoir lieu au profit d un manager détenant déjà 10% du capital La période d indisponibilité et d incessibilité et surtout la fiscalité devenue excessive Non éligible au régime des PEA 18 Généralités sur les outils d incitation des 1.7 Synthèse des régimes fiscaux applicables Principe BSPCE - Taxation de la plus value lors de la cession du titre acquis en exercice du bon Imposition - Imposition au taux de 19% +15,5% Avantages : Pas de plafond collectif ou individuel Souplesse d attribution Pas de délai d impossibilité entre l attribution et la cession des actions La plus value d acquisition n est pas imposable Inconvénients : Pas de gratuité Pas de dividendes tant que les BSPCE ne sont pas attribués Ne sont éligibles que les sociétés de moins de 15 ans dont 25 % du capital est détenu par des personnes physiques Non éligible au PEA Les BSPCE sont incessibles 19 10
11 Mécanismes applicables aux options 2. Mécanismes applicables aux options 2.1 Principes des options 2.2 Principales clauses qui accompagnent les options 2.3 La démarche d évaluation des BSA 20 11
12 Mécanismes applicables aux options 2.1 Principes des options Option d'achat Acheteur Prime Prix d'exercice Cours du sous-jacent à l'échéance Vendeur Option de vente Acheteur Prime Prix d'exercice Cours du sous-jacent à l'échéance Vendeur 21 Mécanismes applicables aux options 2.1 Principes des options Valeur d une option d achat Valeur de l'option Valeur temps Valeur intrinsèque Prix d'exercice Valeur du sous -jacent 22 12
13 Mécanismes applicables aux options 2.1 Principes des options Elément Evolution Option d achat (call) Option de vente (put) Cours du sous-jacent Prix d exercice de l option Volatilité du sousjacent Durée de vie de l option Taux d intérêt Dividendes ou coupon du sous-jacent 23 Mécanismes applicables aux options 2.2 Principales clauses qui accompagnent les options Clause de Tagalong Vesting Period Clauses de Bad ou Good Leaver Différentes clauses Clause de performance Clause de Drag-along 24 13
14 Mécanismes applicables aux options 2.3 La démarche d évaluation des BSA Analyse des caractéristiques de l option Définition du modèle de calcul Détermination des données = endettement, taux sans risque, volatilité Prise en compte des ajustements (Turnover, bad ou good leaver) Calcul : C * N1 où N1 est le nombre d actions à l origine N1 + N2 où N2 est le nombre de bons de souscription émis 25 Enjeux de valeur : Problématiques d évaluation 14
15 3. Enjeux de valeur : Problématiques d évaluation 3.1 Le modèle de Black and Scholes 3.2 Le modèle Binomial 3.3 Les simulations de Monte Carlo 3.4 Synthèse 26 Enjeux de valeur : Problématiques d évaluation 3.1 Le modèle de Black et Scholes 27 15
16 Enjeux de valeur : Problématiques d évaluation 3.1 Le modèle de Black et Scholes Exemple d application : Méthode de Black and Scholes Paramètres de calcul Prix du sous-jacent S 100 Prix d'exercice K 110 Maturité en jours (365) T 365 Volatilité en % (100*sigma) 30 Taux d'intérèt continu en % 4 Taux de dividende en % 0 CALL Valeur du CALL 9,63 28 Enjeux de valeur : Problématiques d évaluation 3.2 Le modèle binomial S0u f1u S0 u² f 2uu S0 f0 S0du f2u S0d f1d S0d² f2dd 29 16
17 Enjeux de valeur : Problématiques d évaluation 3.2 Le modèle binomial ,9 129,7 141,7 154,2 168,1 183,3 199, ,7 259,3 282,7 91, ,9 129,7 141,4 154,2 168,1 183,3 199, ,7 84,1 91, ,9 129,7 141,4 154,2 168,1 183,3 199,9 77,1 84,1 91, ,9 129,7 141,4 154,2 168,1 70,7 77,1 84,1 91, ,9 129,7 141,4 64,9 70,7 77,1 84,1 91, ,9 59,5 64,9 70,7 77,1 84,1 91, ,5 59,5 64,9 70,7 77,1 84, ,5 59,5 64,9 70,7 45, ,5 59,5 42,1 45, ,6 42,1 35,4 30 Enjeux de valeur : Problématiques d évaluation 3.2 Le modèle binomial Les probabilités de transition sont : p = e r T d = 0,4976 u - d e -rdt * (p*valeur haute + (1 p) * valeur basse ) Valeur du call à l'échéance = MAX ( 0, S-K) DEBUT ,85 14,1 19,8 1,2 36,3 47,5 60,5 75,2 91,4 109,1 128,5 149,6 172,7 5,7 8,6 12,6 18,2 25,6 34,9 46,3 59,6 74,4 90,7 108,4 127,7 9,63 2,9 4,6 7, ,5 23,9 33,5 45,3 58,9 73,7 89,9 Comparaison 1,2 2,1 3,5 5,7 9,2 14, ,1 44,6 58,1 Black and Scholes 0,4 0,7 1,3 2,3 4,1 7,1 12, ,4 0,1 0,1 0,3 0,5 1,1 2,2 4,4 8,9 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,
18 Enjeux de valeur : Problématiques d évaluation 3.3 Les simulations de Monte Carlo Principe : l'évaluation du parcours possible du prix futur du sous-jacent est réalisée par le calcul de nombreuses trajectoires aléatoires Les étapes de l'évaluation On ne retient que les scénarios de prix du sous-jacent qui s'inscrivent dans une distribution statistique du type "lognormal" On calcule le "pay-off" du package pour chaque scénario (application du "waterfall") 32 Enjeux de valeur : Problématiques d évaluation 3.3 Les simulations de Monte Carlo La valeur de l'option est égale à la somme probabilisée des "pay-off", pondérée par la probabilité d'occurrence de chaque horizon de sortie des investisseurs Actualisation de la valeur de l'option en fonction du taux d'intérêt sans risque Application des décotes pour incessibilité, Good / Bad leaving et risque de moindre diversification du portefeuille d'options 33 18
19 Enjeux de valeur : Problématiques d évaluation 3.3 Les simulations de Monte Carlo Avantages Flexibilité : la méthode permet d'évaluer tout type de package Précision des calculs : le grand nombre de scénarios gérés donne des résultats plus fins que la méthode binomiale Inconvénients Complexité des modèles financiers Importance de l'estimation de la volatilité attendue (prospective) du sous-jacent Importance de la justification des horizons de sortie et des niveaux de décote 34 Enjeux de valeur : Problématiques d évaluation 3.4 Synthèse L utilisation de Black and Scholes est limitée car : Ce modèle est peu adapté aux longues maturités Correction nécessaire de la volatilité Dans la pratique, il n y a jamais d options simples Les 6 paramètres ne doivent pas varier dans le temps Les autres modèles sont donc souvent plus adaptés 35 19
20 Enjeux de valeur : Problématiques d évaluation 3.4 Synthèse La valeur d un BSA proche de 10% de la valeur d un sous-jacent n est pas une vérité absolue Pour éviter tout risque fiscal, l évaluation doit être documentée et «démontrable» Les rapports d évaluation doivent faire preuve d un minimum de transparence et de pédagogie 36 Les risques fiscaux 20
21 4. Les risques fiscaux 4.1 Les enjeux 4.2 Points de jurisprudence 37 Les risques fiscaux 4.1 Les enjeux Les risques fiscaux impliquent : Une incertitude sur le coût de la rémunération pour l employeur : le risque fiscal est contre-productif Une incertitude du coût social et fiscal pour le salarié Risque de requalification en salaire + Carried interest Value Shares BSA/ BSSAR BSPCE BSPCE + + Coût social Coût social et fiscal pour le salarié pour l'employeur Quelles sont leurs origines?
22 Les risques fiscaux 4.1 Les enjeux La jurisprudence confirme le fait que l exercice des fonctions de dirigeant et la contribution à la valorisation du capital n est pas de nature à impliquer une requalification de la plus value en salaire Il faut néanmoins réaliser une évaluation des titres souscrits ou acquis et s assurer que le manager prenne un véritable risque d investisseur Le risque doit s illustrer par une remise de fonds et l existence d un aléa 39 Les risques fiscaux 4. 1 Les enjeux Une matière qui se caractérise par une grande vitalité et encore par une certaine hétérogénéité Hétérogénéité des pratiques et des expertises, faute de pratique/méthodologie de places reconnues et de préconisations pratiques sur le livrable (ex : calcul du bêta sur quelle période? Sur la base de quel indice de référence? Tests de sensibilité? Formalisation des rapports?) 40 22
23 Les risques fiscaux 4. 1 Les enjeux Les grandes mutations/évolutions subies par l évaluation financière sur les dix dernières années Une complexité croissante des techniques : les évaluateurs ont beaucoup progressé Une implication croissante de nombreux intervenants de places (IVSC, IASB, ESMA, AMF, ) Forte volatilité des paramètres et variables retenus dans les évaluations (taux sans risque, prime de marché, bêta, ) : cette volatilité complique la tâche des évaluateurs 41 Les risques fiscaux 4.1 Les enjeux Sur ce dernier point, l administration tend à remettre en question les faiblesses des modèles d évaluation (particulièrement du BSM) et des pratiques discrétionnaires des évaluateurs : Volatilité, taux d intérêt Décote pour illiquidité, décote pour non diversification du risque Les modèles pris dans leur globalité Sur le compte de l acte anormal de gestion et de l arrêt Raffypack (CE 5 janvier 2005) Des BSA attribués à prix minoré sont requalifiables en revenus distribués (art du CGI) «Toutes les sommes ou valeurs mises à la disposition des associés, actionnaires ou porteurs de parts et non prélevées sur les bénéfices» 42 23
24 Les risques fiscaux 4.1 Les enjeux Le travail de l administration est facilité par : Le contexte socio-politique «Les pratiques actuelles» en matière de rapport d évaluation et de méthodologies ne sont pas des «pratiques de places» - Une stratégie gagnante à faible coût Renvoie à la question de la formalisation des rapports : Transparence et opacité - Des pratiques divergentes dénotant d un manque de normalisation des pratiques Capacité des dirigeants et de l'administration à s'approprier le contenu technique de ces rapports 43 Les risques fiscaux 4.2 Points de jurisprudence actuelle Quelques arrêts de jurisprudence qui ont requalifié les Management Packages en salaires : Options d achats accordées gratuitement aux dirigeants en dehors du régime légal des stock options (CAA Nancy, 16 mai 2007) Indemnité de rachat «d une promesse de vente» (CAA Bordeaux, 1er juillet 2010) Fraction de la plus-value rémunérant un engagement de non-concurrence ( CAA Lyon, 25 janvier 2007) Souscription de BSA pour un prix d exercice fortement décoté par rapport à la valeur réelle de l action (CAA Marseille, 13 mars 2012) 44 24
25 Conclusion Conclusion Un environnement juridique complexe Des problèmes d évaluation importants Des risques fiscaux réels Des outils à manier avec une grande précaution 44 25
«PREPARER UN MANAGEMENT PACKAGE OPTIMISE» ECOLE DE FORMATION DU BARREAU 9 DECEMBRE 2010 LAURENT JULIENNE ALEXIS KATCHOURINE
«PREPARER UN MANAGEMENT PACKAGE OPTIMISE» ECOLE DE FORMATION DU BARREAU 9 DECEMBRE 2010 LAURENT JULIENNE ALEXIS KATCHOURINE 9 décembre 2010 REMARQUES PRÉLIMINAIRES Objectifs de la présentation : bases
Plus en détailEnjeux fiscaux des évaluations financières : règles, pratiques et actualité récente. Pierre Astolfi et Olivier Ramond IMA France 19 mars 2013
Enjeux fiscaux des évaluations financières : règles, pratiques et actualité récente Pierre Astolfi et Olivier Ramond IMA France 19 mars 2013 SOMMAIRE Enjeux et risques actuels de la valeur en fiscalité
Plus en détailActualité fiscale 25 juin 2015
INTERESSEMENT DES SALARIES Le projet de loi Macron Le projet de loi pour la croissance, l activité et l égalité des chances économiques, dite «loi Macron», a été présenté le 11 décembre 2014. Après de
Plus en détailSon Organisation, son Fonctionnement et ses Risques
La Bourse Son Organisation, son Fonctionnement et ses Risques Le Marché Financier a un double rôle : apporter les capitaux nécessaires au financement des investissements des agents économiques et assurer
Plus en détailComprendre les produits structurés
Comprendre les produits structurés Sommaire Page 3 Introduction Page 4 Qu est-ce qu un produit structuré? Quels sont les avantages des produits structurés? Comment est construit un produit structuré? Page
Plus en détailValoriser dans une optique de développement: réussir une levée de fonds
ENTREPRISE ET PATRIMOINE RDV TransmiCCIon 23 mai 2013 Valoriser dans une optique de développement: réussir une levée de fonds Conseil en fusions-acquisitions et ingénierie financière Intégrité indépendance
Plus en détailExercice du cours Gestion Financière à Court Terme : «Analyse d un reverse convertible»
Exercice du cours Gestion Financière à Court Terme : «Analyse d un reverse convertible» Quand la trésorerie d une entreprise est positive, le trésorier cherche le meilleur placement pour placer les excédents.
Plus en détailCERTIFICATS TURBOS Instruments dérivés au sens du Règlement Européen 809/2004 du 29 avril 2004
CERTIFICATS TURBOS Instruments dérivés au sens du Règlement Européen 809/2004 du 29 avril 2004 Emétteur : BNP Paribas Arbitrage Issuance B.V. Garant du remboursement : BNP Paribas S.A. POURQUOI INVESTIR
Plus en détailCERTIFICATS TURBOS INFINIS BEST Instruments dérivés au sens du Règlement Européen 809/2004 du 29 avril 2004
CERTIFICATS TURBOS INFINIS BEST Instruments dérivés au sens du Règlement Européen 809/2004 du 29 avril 2004 Emetteur : BNP Paribas Arbitrage Issuance B.V. Garant du remboursement : BNP Paribas S.A. POURQUOI
Plus en détailATELIER DE TRAVAIL. Atelier de travail, Aspects juridiques et financiers de l entreprise familiale, sur le thème : «Accès au capital privé»
ATELIER DE TRAVAIL Mardi 27 mars 2012 Atelier de travail, Aspects juridiques et financiers de l entreprise familiale, sur le thème : «Accès au capital privé» Animé par Valérie Tandeau de Marsac, Avocat-
Plus en détailOffre Isf 2013. 2013 fonds d investissement de proximité
Offre Isf 2013 2013 fonds d investissement de proximité du fip 123ISF 2013 Fiscalité La souscription au FIP 123ISF 2013 offre : Une réduction d ISF immédiate de 50% des versements effectués (déduction
Plus en détailMatinales Eponymes. Pourquoi et comment la liquidité intra-familiale?
Matinales Eponymes Pourquoi et comment la liquidité intra-familiale? Paris, le 4 novembre 2014 Organisation de la présentation Propos introductifs Pourquoi et comment la liquidité : enjeux et questions
Plus en détailLa Fiscalité de l Épargne Salariale
FISCALITÉ La Fiscalité de l Épargne Salariale Le cadre fiscal et social pour l entreprise A - Les versements dans les dispositifs Pour l entreprise Nature du versement Charges sociales et taxes patronales
Plus en détailÉpargne salariale et actionnariat salarié : des outils de rémunération globale
INTRODUCTION Épargne salariale et actionnariat salarié : des outils de rémunération globale 1 Les différents dispositifs d épargne salariale sont généralement présentés en plusieurs strates, auquel il
Plus en détailLes incitations fiscales à l investissement dans les PME
Les incitations fiscales à l investissement dans les PME avril 2012 1 De grandes réformes en 2011 La Loi de finances pour 2011 a apporté des modifications substantielles aux systèmes d'incitations fiscales
Plus en détailPATRIMOINE BIEN-ETRE. www.sigmagestion.com
PATRIMOINE BIEN-ETRE www.sigmagestion.com Présentation du FIP PATRIMOINE BIEN-ETRE Réduisez votre ISF de 50 % 1 ou votre IR de 18% 1, en contrepartie d une durée de blocage pouvant aller jusqu au 31 décembre
Plus en détailFISCALITÉ 2014 LOI DE FINANCES RECTIFICATIVE 2013 LOI DE FINANCES 2014
1 FISCALITÉ 2014 LOI DE FINANCES RECTIFICATIVE 2013 LOI DE FINANCES 2014 2 Fiscalité 2014 SOMMAIRE I. Imposition des revenus II. Optimisation de l impôt sur le revenu III. Imposition des plus-values IV.
Plus en détailNextStage. Un placement bloqué jusqu au 31/12/2019 (et au 31/12/2022 maximum sur décision de la société de gestion)
NextStage Un placement bloqué jusqu au 31/12/2019 (et au 31/12/2022 maximum sur décision de la société de gestion) FIP éligible à la réduction d ISF ou d IR Code ISIN : FR0011429505 NextStage soutient
Plus en détailMesures patrimoniales de la loi de finances 2014, de la loi de finances rectificatives pour 2013
Sources : Mesures patrimoniales de la loi de finances 2014, de la loi de finances rectificatives pour 2013 Loi de finances 2014 : http://www.assembleenationale.fr/14/ta/ta0267.asp Loi de finances rectificatives
Plus en détailRéunions patrimoniales Janvier Février 2013
Réunions patrimoniales Janvier Loi de Finances pour 2013 et 3 ème Loi de finances Rectificative pour 2012 Le présent document vous est transmis à titre personnel, il a été réalisé sur la base de l environnement
Plus en détailTURBOS WARRANTS CERTIFICATS. Les Turbos Produits à effet de levier avec barrière désactivante. Produits non garantis en capital.
TURBOS WARRANTS CERTIFICATS Les Turbos Produits à effet de levier avec barrière désactivante. Produits non garantis en capital. 2 LES TURBOS 1. Introduction Que sont les Turbos? Les Turbos sont des produits
Plus en détailCAISSE REGIONALE DU CREDIT AGRICOLE MUTUEL D AQUITAINE
CAISSE REGIONALE DU CREDIT AGRICOLE MUTUEL D AQUITAINE Eléments d appréciation du prix de rachat des CCI émis par la CRCAM d Aquitaine dans le cadre de l approbation par l'assemblée générale des sociétaires,
Plus en détailEstimation du coût de l incessibilité des BSA
Estimation du coût de l incessibilité des BSA Jean-Michel Moinade Oddo Corporate Finance 22 Juin 2012 Incessibilité des BSA Pas de méthode académique reconnue Plusieurs méthodes «pratiques», dont une usuelle
Plus en détailISF DIRECT 2010 RÉDUCTION ISF ASSURANCE CAPITAL. Ventures
ISF DIRECT 2010 RÉDUCTION ISF ET ASSURANCE CAPITAL Dans le cadre de la loi TEPA, SigEx Ventures Euro Fund vous propose un placement en direct pour réduire l intégralité de votre ISF et une option pour
Plus en détailPRODUITS DE BOURSE GUIDE DES WARRANTS. Donnez du levier à votre portefeuille! Produits non garantis en capital et à effet de levier
GUIDE DES WARRANTS Donnez du levier à votre portefeuille! PRODUITS DE BOURSE www.produitsdebourse.bnpparibas.com Produits non garantis en capital et à effet de levier COMMENT LES WARRANTS FONCTIONNENT-ILS?
Plus en détail123CAPITALISATION III
123CAPITALISATION III Hébergements Matériel médical Crèches FIP FONDS D INVESTISSEMENT DE PROXIMITÉ Document non contractuel édité en avril 2011. Ce document ne se substitue pas à la notice d information
Plus en détailGUIDE DES WARRANTS. Donnez du levier à votre portefeuille!
GUIDE DES WARRANTS Donnez du levier à votre portefeuille! Instrument dérivé au sens du Règlement Européen 809/2004 du 29 avril 2004 Produits non garantis en capital à effet de levier EN SAVOIR PLUS? www.listedproducts.cib.bnpparibas.be
Plus en détail123Ho l d i n g ISF 2009. Visa AMF n 09-064. Société de Conseil
Visa AMF n 09-064 123Ho l d i n g ISF 2009 L Autorité des Marchés financiers a apposé le visa n 09-064 en date du 20 mars 2009 sur un prospectus présentant cette opération, laquelle interviendra en une
Plus en détailLoi de finances pour 2014 et loi de finances rectificative pour 2013 : Quels sont les principaux changements?
Le 27 janvier 2014 Loi de finances pour 2014 et loi de finances rectificative pour 2013 : Quels sont les principaux changements? I. POUR LES ENTREPRISES 1.1 Nouvelle taxe exceptionnelle sur les hautes
Plus en détailFONDS D INVESTISSEMENT DE PROXIMITÉ
FIP 123CAPITALISATION 2012 FONDS D INVESTISSEMENT DE PROXIMITÉ Document non contractuel édité en avril 2012. Ce document ne se substitue pas au document d informations clés pour l investisseur («DICI»)
Plus en détailDOCUMENT POUR REMPLIR LA DÉCLARATION DES REVENUS DE 2012
N 2041 GB N 50143#17 DOCUMENT POUR REMPLIR LA DÉCLARATION DES REVENUS DE 2012 Ce document n a qu une valeur indicative. Il ne se substitue pas à la documentation officielle de l administration. DISPOSITIFS
Plus en détailSaint Max. FCPI-FIP : Comment bénéficier de la performance et de la réduction d impôts? Lundi 15 décembre 2008-18h30
FCPI-FIP : Comment bénéficier de la performance et de la réduction d impôts? Lundi 15 décembre 2008-18h30 Saint Max Francis VENNER AVENIR CONSEIL PATRIMOINE 6 clos de la tuilerie - 54460 LIVERDUN tél :
Plus en détailCertificats TURBO. Bénéficiez d un effet de levier en investissant sur l indice CAC 40! Produits non garantis en capital.
Certificats TURBO Bénéficiez d un effet de levier en investissant sur l indice CAC 40! Produits non garantis en capital. www.produitsdebourse.bnpparibas.com Les Certificats Turbo Le Certificat Turbo est
Plus en détailGenCap Croissance FIP
GenCap Croissance FIP GenCap Croissance Un fonds d investissement dédié aux PME régionales : L Aquitaine recèle des sphères d activité économique dynamiques avec des pôles industriels d excellence comme
Plus en détailUn holding d'investissement dans les PME
Un holding d'investissement dans les PME La Financière Viveris Diversifier Optimiser Capitaliser L objet de la Financière Viveris est de prendre des participations dans les petites et moyennes entreprises
Plus en détailLes modalités pratiques
Les modalités pratiques Avertissement Conformément à l article 211-4 du règlement général de l AMF (Autorité des Marchés Financiers), nous vous informons que cette opération s effectue hors du champ de
Plus en détailCA Oblig Immo (Janv. 2014)
CA Oblig Immo (Janv. 2014) Titre obligataire émis par Amundi Finance Emissions, véhicule d émission ad hoc de droit français Souscription du 14 janvier au 17 février 2014 Bénéficier d un rendement fixe
Plus en détailTRANSMISSION Tirez parti des opportunités fiscales avant fin 2012
14 NOVEMBRE 2011 CCI RENNES BRETAGNE TRANSMISSION Tirez parti des opportunités fiscales avant fin 2012 14 NOVEMBRE 2011 LES INTERVENANTS Me Hervé ORHAN Me Alexandre RUDEAU Arnaud DE KERMADEC Félix JOLIVET
Plus en détailINTRODUCTION EN BOURSE EVALUATION D ENTREPRISE
INTRODUCTION EN BOURSE EVALUATION D ENTREPRISE Avril 2013 EVALUATION D ENTREPRISE 1 Introduction en bourse Une introduction en bourse est avant tout une opération financière. Les avantages financiers de
Plus en détailLoi de finances pour 2011. Loi de finances rectificative pour 2010. Loi de financement de la sécurité sociale pour 2011
Lois budgétaires pour 2011 Loi de finances pour 2011 Loi de finances rectificative pour 2010 Loi de financement de la sécurité sociale pour 2011 1 Qui sommes nous? Service d ingénierie patrimoniale au
Plus en détailexpertises management packages conseil patrimonial et family office entreprises familiales immobilier
expertises management packages conseil patrimonial et family office entreprises familiales immobilier + Management Packages Qu ils soient négociés à l occasion d un changement de contrôle ou, dans les
Plus en détailSTOCK OPTIONS VUE D ENSEMBLE ET PRINCIPALE DIFFICULTE A EVITER. François Xavier Testu Agrégé des Facultés de droit
STOCK OPTIONS VUE D ENSEMBLE ET PRINCIPALE DIFFICULTE A EVITER François Xavier Testu Agrégé des Facultés de droit & Sidonie Hill Testu et Associés Avocats à la Cour Avertissement : Ce texte est paru à
Plus en détailActualités financières fiscales et patrimoniales 2014 LFR 2013 et LF2014
Sumatra Patrimoine Actualités financières fiscales et patrimoniales 2014 LFR 2013 et LF2014 Mardi 25 Mars 2014 Les Mardis d Athélia Qui sommes nous? Cabinet Conseil en Gestion de Patrimoine Indépendant
Plus en détailLes jeudis du patrimoine
Les jeudis du patrimoine Quelles solutions pouvez-vous envisager pour réduire votre impôt sur le revenu? Le 29 novembre 2012 19h30 07/12/2012 1 Présentation des héros du jour Couple : Sophie et Marc, 2
Plus en détailNEGOCIER AVEC UN FONDS
REPRISE D ENTREPRISE NEGOCIER AVEC UN FONDS INTERVENANT : Laurent JULIENNE HEC ENTREPRENEURS 9 septembre 2014 A. LE MONTAGE FINANCIER Obligations convertibles A. LA STRUCTURE TYPE 1. Structure financière
Plus en détailla fiscalité des valeurs mobilières en 2015
la fiscalité des valeurs mobilières en 2015 loi de finances 2015 loi n 2014-1654 du 29 décembre 2014 web conference - 10-02-2015 1 les lois de finances 2013 et 2014 régime des plus values simplification
Plus en détailNote informative aux clients de la BANQUE RAIFFEISEN et des CAISSES RAIFFEISEN affiliées en relation avec les produits financiers offerts
Note informative aux clients de la BANQUE RAIFFEISEN et des CAISSES RAIFFEISEN affiliées en relation avec les produits financiers offerts Cher client, chère cliente, La BANQUE RAIFFEISEN tient à vous informer
Plus en détailG&R Europe Distribution 5
G&R Europe Distribution 5 Instrument financier émis par Natixis, véhicule d émission de droit français, détenu et garanti par Natixis (Moody s : A2 ; Standard & Poor s : A au 6 mai 2014) dont l investisseur
Plus en détailLes obligations. S. Chermak infomaths.com
Les obligations S. Chermak Infomaths.com Saïd Chermak infomaths.com 1 Le marché des obligations est un marché moins médiatique mais tout aussi important que celui des actions, en terme de volumes. A cela
Plus en détailNord Cap V. Fonds d Investissement de Proximité
Nord Cap V Fonds d Investissement de Proximité FIP Nord Cap V Points-Clefs Participer à la vie économique en accompagnant indirectement le développement et la transmission de PME diversifiées du Nord de
Plus en détailLa Lettre COFIGE Patrimoine Octobre 2013 - N 12. Projet de loi de finances 2014 Projet de loi de financement de la Sécurité Sociale 2014
Madame, Monsieur, Le projet de loi de finances pour 2014 a été présenté en Conseil des ministres le 25 septembre. Le projet de loi de financement de la sécurité sociale pour 2014 a été quant à lui rendu
Plus en détailRISQUES ET NATURE SPECIFIQUES DES PRINCIPAUX INSTRUMENTS FINANCIERS
RISQUES ET NATURE SPECIFIQUES DES PRINCIPAUX INSTRUMENTS FINANCIERS La présente section vise à vous communiquer, conformément à la Directive, une information générale relative aux caractéristiques des
Plus en détailTurbos & Turbos infinis
& Turbos infinis L effet de levier en toute simplicité PRODUITS À EFFET DE LEVIER PRESENTANT UN RISQUE DE PERTE DU CAPITAL Avertissement : «PRODUITS A EFFET DE LEVIER PRESENTANT UN RISQUE DE PERTE DU CAPITAL»
Plus en détailLes Obligations Convertibles (introduction)
TROISIEME PARTIE Les Obligations Convertibles (introduction) Avril 2011 Licence Paris Dauphine 2011 Sommaire LES OBLIGATIONS CONVERTIBLES Sect 1 Présentation, définitions Sect 2 Eléments d analyse et typologie
Plus en détailLes stratégies de démembrement restent-elles pertinentes? Les clés d optimisation
Les stratégies de démembrement restent-elles pertinentes? Les clés d optimisation Animé par : Benoît Baron, Rédacteur en chef - L AGEFI ACTIFS Intervenants : Grégoire SALIGNON Directeur de l ingénierie
Plus en détailOffre Entreprises. L Epargne Salariale Crédit Agricole
Offre Entreprises L Epargne Salariale Crédit Agricole L Epargne Salariale, comment cela fonctionne? Versements des salariés PRIME DE PARTICIPATION PRIME D INTERESSEMENT VERSEMENTS VOLONTAIRES AFFECTATION
Plus en détailMembre du INVESTISSEMENT PME FIP FRANCE. Financer les PME. favorise la croissance
Membre du FIP FRANCE INVESTISSEMENT PME Financer les PME favorise la croissance Présentation du FIP FRANCE INVESTISSEMENT PME Dans le contexte économique actuel, nous pensons que les PME françaises ont
Plus en détailListe des notes techniques... xxi Liste des encadrés... xxiii Préface à l édition internationale... xxv Préface à l édition francophone...
Liste des notes techniques.................... xxi Liste des encadrés....................... xxiii Préface à l édition internationale.................. xxv Préface à l édition francophone..................
Plus en détailUsusphère en quelques mots
Ususphère en quelques mots Que faisons-nous? Ususphère est une plateforme de mise en relation entre investisseurs à la recherche d un placement démembré en SCPI. Les demandes des investisseurs en usufruit
Plus en détailL opération décrite ne constitue pas une offre au public de titres
Cette présentation a été établie par Globalstone. L opération décrite ne constitue pas une offre au public de titres financiers. Par conséquent, l opération - et la présente présentation ne donne pas lieu
Plus en détailThéorie Financière 8 P. rod i u t its dé dérivés
Théorie Financière 8P 8. Produits dit dérivés déié Objectifsdelasession session 1. Définir les produits dérivés (forward, futures et options (calls et puts) 2. Analyser les flux financiers terminaux 3.
Plus en détailBonus Cappés et Reverse Bonus Cappés
Bonus Cappés et Reverse Bonus Cappés Le prospectus d émission des certificats Bonus a été approuvé par la Bafin, régulateur Allemand, en date du 9 octobre 2009. Ce document à caractère promotionnel est
Plus en détailLES VALEURS MOBILIERES LA FISCALITE DES PLACEMENTS A LONG TERME
LES VALEURS MOBILIERES LA FISCALITE DES PLACEMENTS A LONG TERME Une note de Riviera Family Office Mise à jour : juillet 2004 Les principaux avantages fiscaux des valeurs mobilières Aucune imposition sous
Plus en détailLes valeurs mobilières. Les actions 3. Les droits et autres titres de capital 5. Les obligations 6. Les SICAV et FCP 8
Les actions 3 Les droits et autres titres de capital 5 Les obligations 6 Les SICAV et FCP 8 2 Les actions Qu est-ce qu une action? Au porteur ou nominative, quelle différence? Quels droits procure-t-elle
Plus en détailLes SCPI Fiscales URBAN PREMIUM DEFICIT FONCIER: URBAN PIERRE MALRAUX: URBAN VALEUR SCELLIER RENOVE INTERMEDIAIRE: URBAN PATRIMOINE 2
( Les SCPI Fiscales ) URBAN PREMIUM DEFICIT FONCIER: URBAN PIERRE MALRAUX: URBAN VALEUR SCELLIER RENOVE INTERMEDIAIRE: URBAN PATRIMOINE 2 INTRODUCTION Par leurs multiples avantages, les SCPI, tant fiscales
Plus en détailLe PEA : pour épargner dans un cadre fiscal avantageux (1)
Page 1 sur 5 Le PEA : pour épargner dans un cadre fiscal avantageux (1) Le Plan d Epargne en Actions (PEA) est une enveloppe fiscale destinée à recevoir des placements en actions européennes. Il n impose
Plus en détailMANDAT DE GESTION ISF 2015
MANDAT DE GESTION ISF 2015 1 AVERTISSEMENT Ce document n est pas contractuel et est réservé aux professionnels de la gestion de patrimoine (CIF) souhaitant obtenir des informations sur le mandat de gestion
Plus en détailalpha sélection est une alternative à un placement risqué en actions et présente un risque de perte en capital, en cours de vie et à l échéance.
alpha sélection alpha sélection est une alternative à un placement risqué en actions et présente un risque de perte en capital, en cours de vie et à l échéance. Instrument financier émis par Natixis (Moody
Plus en détailAGICAM 14 rue Auber 75009 Paris Paris, le 18 mai 2015
AGICAM 14 rue Auber 75009 Paris Paris, le 18 mai 2015 Objet : Modifications du FIA ALM ANDRENA Madame, Monsieur, Vous êtes porteurs de parts du FIA ALM ANDRENA (FR0010962936). 1. L opération Nous vous
Plus en détailtable des matières PARtie i introduction Notations courantes... XXIII Les auteurs... XXV Avant-propos... XXVII Remerciements...
table des matières Notations courantes............................................................... XXIII Les auteurs......................................................................... XXV Avant-propos.......................................................................
Plus en détailLES TURBOS INFINIS. Investir avec un levier adapté à votre stratégie!
LES TURBOS INFINIS Investir avec un levier adapté à votre stratégie! Produits présentant un risque de perte en capital, à destination d investisseurs avertis. Émetteur : BNP Paribas Arbitrage Issuance
Plus en détailS informer sur. Capital investissement:
S informer sur Capital investissement: les fonds communs de placement à risques destinés au grand public Qu est-ce que le capital investissement? Quels sont les segments d intervention du capital investissement?
Plus en détailPrésentation de la loi de finances pour 2013 et rappels des dispositifs des lois de finances rectificatives pour 2012
Présentation de la loi de finances pour 2013 et rappels des dispositifs des lois de finances rectificatives pour 2012 Présentation par l Ordre des avocats de Narbonne 1 Partie 1 : La fiscalité des particuliers
Plus en détailPLUS-VALUES DE CESSION DE TITRES REALISEES EN 2013 :
PLUS-VALUES DE CESSION DE TITRES REALISEES EN 2013 : REGIME D IMPOSITION DE DROIT COMMUN Les plus-values réalisée en 2013 seront, en principe, imposables au barème progressif de l impôt sur le revenu dès
Plus en détailGUIDE INVESTISSEURS. Donnez du sens à votre argent
GUIDE INVESTISSEURS Donnez du sens à votre argent Happy Capital vous propose d investir via sa plateforme de crowdequity. Le but de ce guide est de vous présenter la méthode Happy Capital et le processus
Plus en détailSécurisation et optimisation de votre Patrimoine professionnel SCI et holding : outils de protection de gestion et d optimisation
05.56.88.03.33 Aide à la création Comptabilité Gestion Fiscalité Social Juridique Commissariat Audit Sécurisation et optimisation de votre Patrimoine SCI et holding : outils de protection de gestion et
Plus en détailGlossaire des Instruments Financiers
Clientèle de Particuliers Glossaire des Instruments Financiers Au 1 er avril 2013 Le Glossaire des Instruments Financiers constitue, avec les Conditions Générales, les Conditions Particulières et le Guide
Plus en détailLe WACC est-il le coût du capital?
Echanges d'expériences Comptabilité et communication financière Dans une évaluation fondée sur la méthode DCF, l objectif premier du WACC est d intégrer l impact positif de la dette sur la valeur des actifs.
Plus en détailSAVOIR TIRER PARTI DES OPPORTUNITES FISCALES DE LA SOCIETE CIVILE A L'IR
SAVOIR TIRER PARTI DES OPPORTUNITES FISCALES DE LA SOCIETE CIVILE A L'IR Outil d'optimisation fiscale très performant par rapport à la détention directe d'un patrimoine, la société civile permet de choisir
Plus en détailNOTICE D INFORMATION WARRANTS ET CERTIFICATS INDEXES Edition Juin 2010 AVERTISSEMENT
NOTICE D INFORMATION WARRANTS ET CERTIFICATS INDEXES Edition Juin 2010 AVERTISSEMENT Toute opération de marché sur un instrument financier comporte des risques, du fait notamment des variations des taux
Plus en détail(Bâtiment Basse Consommation)
PREMELY Habitat 3 BBC (Bâtiment Basse Consommation) SCPI DE TYPE «SCELLIER BBC» Prorogation de la commercialisation jusqu au 20 décembre 2012. La période de souscription de PREMELY Habitat 3 BBC, prévue
Plus en détailNord Cap VI. Fonds d Investissement de Proximité
Fonds d Investissement de Proximité FIP Points-Clefs Participer à la vie économique en accompagnant indirectement le développement et la transmission de PME diversifiées du Nord de la France Viser des
Plus en détailLa levée de fonds loi TEPA ISF. 18 mai 2010
La levée de fonds loi TEPA ISF 18 mai 2010 Gilles LECOCGUEN Direction de la communication Responsable des services en ligne Stéphane COHEN Vice Président du CRO Paris IDF Sommaire 1) Contexte réglementaire
Plus en détailVotre fiduciaire de confiance au Luxembourg EXPERTISE COMPTABLE ET FISCALE CONSEIL ECONOMIQUE GESTION DES SALAIRES
Votre fiduciaire de confiance au Luxembourg EXPERTISE COMPTABLE ET FISCALE CONSEIL ECONOMIQUE GESTION DES SALAIRES ORDRE DES EXPERTS-COMPTABLES Membre inscrit I. Définitions Loi du 11 mai 2007 relative
Plus en détailObjet : Régime d imposition des plans d option sur acquisition d actions («stock option plans»)
Circulaire du directeur des contributions L.I.R. n 104/2 du 20 décembre 2012 1 L.I.R. n 104/2 Objet : Régime d imposition des plans d option sur acquisition d actions («stock option plans») 1. Traitement
Plus en détailPropriétés des options sur actions
Propriétés des options sur actions Bornes supérieure et inférieure du premium / Parité call put 1 / 1 Taux d intérêt, capitalisation, actualisation Taux d intéret composés Du point de vue de l investisseur,
Plus en détailInvestir dans des projets d entreprises à travers un mandat de gestion
OFFRE ISF 2013 Investir dans des projets d entreprises à travers un mandat de gestion D 123Club PME 2013 UN INVESTISSEMENT PERMETTANT DE BéNEFICIER DE 50% DE RéDUCTION D ISF JUSQU à 45 000 (cf. risques
Plus en détailA la découverte de l assurance vie HSBC France
A la découverte de l assurance vie HSBC France L assurance vie, le placement qui vous accompagne dans tous vos projets Depuis quelques années, l assurance vie est devenue le placement préféré des Français
Plus en détailTotal Sélection Période de souscription : Durée d investissement conseillée Éligibilité
Total Sélection Instrument financier émis par Natixis SA (Moody s : A2, Fitch : A, Standard & Poor s : A au 20 novembre 2014) dont l investisseur supporte le risque de crédit. Total Sélection est une alternative
Plus en détailSociété Anonyme au capital de 1.253.160 Euros Siège Social : 57 rue Saint-Cyr 69009 LYON 402 002 687 R.C.S.Lyon
Société Anonyme au capital de 1.253.160 Euros Siège Social : 57 rue Saint-Cyr 69009 LYON 402 002 687 R.C.S.Lyon Note d'information établie à la suite de la décision du Conseil d Administration du 8 décembre
Plus en détailOuverture du Club. Brice PINEAU, co-président
Bienvenue Ouverture du Club Brice PINEAU, co-président Table ronde Comment transmettre la culture Gestion Privée au retail? 1 ers retours du groupe de réflexion Harvest / Agefi Actifs Table ronde Benoît
Plus en détail123CAPITAL PME. Bénéficiez d une double réduction d impôt : ISF + impôt sur le revenu Sous réserve de conserver votre placement 8 ans minimum
FIP / FONDS D INVESTISSEMENT DE PROXIMITÉ 123CAPITAL PME Bénéficiez d une double réduction d impôt : ISF + impôt sur le revenu Sous réserve de conserver votre placement 8 ans minimum QUI EST 123VENTURE?
Plus en détailFCPI et FIP ISF Réduction d ISF en faveur de l investissement dans les PME La règle «de minimis» Calcul de la réduction d ISF : Réduction d ISF =
FCPI et FIP ISF Réduction d ISF en faveur de l investissement dans les PME Un avantage fiscal institué par la loi TEPA afin de permettre aux redevables de l ISF de bénéficier d une réduction d ISF en investissant
Plus en détailTURBOS Votre effet de levier sur mesure
TURBOS Votre effet de levier sur mesure Société Générale attire l attention du public sur le fait que ces produits, de par leur nature optionnelle, sont susceptibles de connaître de fortes fluctuations,
Plus en détailOPTIMISATION FISCALE DE L INVESTISSEMENT START UP
La Note Juridique automne 2014 OPTIMISATION FISCALE DE L INVESTISSEMENT START UP Investir au capital d une société start-up est risqué mais nécessaire au développement de l activité des entreprises françaises.
Plus en détailLe cadre fiscal et social de l épargne salariale pour l épargnant
Janvier 2015 Le cadre fiscal et social de l épargne salariale pour l épargnant France métropolitaine et D.O.M. (hors Mayotte) BANQUE DE GRANDE CLIENTÈLE / ÉPARGNE ET ASSURANCE / SERVICES FINANCIERS SPÉCIALISÉS
Plus en détailFIP INTER INVEST ISF 2015. Inter Invest FONDS D INVESTISSEMENT DE PROXIMITE SOCIETE DE GESTION. Document à caractère publicitaire
FIP INTER INVEST ISF 2015 FONDS D INVESTISSEMENT DE PROXIMITE Inter Invest Spécialiste en opérations Outre-mer depuis 1991 SOCIETE DE GESTION Document à caractère publicitaire FISCALITÉ DU FIP INTER INVEST
Plus en détail