ADAPTATION DE LA MECANOGRAPHIE POUR LA COMPTABILISATION DES DOSES INTEGREES. par. Mme R. TABARDEL-BRIAN et J. DULAU. Rapport CE A N 2128

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1 PREMIER MINISTRE COMMISSARIAT A L'ÉNERGIE ATOMIQUE ADAPTATION DE LA MECANOGRAPHIE POUR LA COMPTABILISATION DES DOSES INTEGREES par Mme R. TABARDEL-BRIAN et J. DULAU Rapport CE A N 2128 CENTRE DE PRODUCTION DE PLUTONIUM DE MARCOULE

2 CEA TABARDEL-BRIAN R., DULAU J. ADAPTATION DE LA MECANOGRAPHIE POUR LA COMPTABILISATION DES DOSES INTEGREES (1962). Sommaire. - Devant le nombre croissant de travailleurs appelés à être exposés à une irradiation d'origine nucléaire et avec le souci constant d'éviter les dépassements de Dose Maximum Admissible à ces agents, il convenait de trouver un système de diffusion de doses intégrées capable de nous renseigner, dans un délai de 48 h, sur le capital irradiation intégré au cours des périodes 3 mois et 12 mois consécutifs. Le mode de diffusion retenu fait appel aux services -de l'atelier Mécanographie du Centre de Marcoule. Le présent rapport expose la solution mécanographique apportée à ce problème. CEA TABARDEL-BRIAN R., DULAU J. ADAPTATION OF MECHANOGRAPHY TO THE MEASUREMENT OF INTEGRATED DOSES (1962). Summary. - Because of the increasing number of workers exposed to nuclear radiation, and with a view to avoiding doses above the maximum permissible dose for these workers, it was necessary to find a system whereby the total irradiation assimilated during periods of 3 and 12 consecutive months could be known and circulated rapidly, within 48 hours. The method chosen for this requires the services of the Mechanographic service of the Marcoule Centre. The present article describes the mechanographic solution to this problem.

3 - Rapport C.E. A. n CENTRE DE MARCOULE Service de Protection contre les Radiations ADAPTATION DE LA MECANOGRAPHIE POUR LA COMPTABILISATION DES DOSES INTEGREES par Mme R. TABARDEL-BRIAN et J. DULAU

4 ADAPTATION DE LA MECANOGRAPHIE POUR LA COMPTABILISATION DES DOSES INTEGREES Devant le nombre croissant de travailleurs appelés à être exposés à une irradiation d'origine nucléaire, il convenait de définir les conditions exactes de travail sous radiation. Dans ce but, la Commission Internationale de Protection Radiologique ainsi que de nombreuses commissions à l'échelon national ont défini et retenu des normes professionnelles basées sur le fait que pour la plupart des effets biologiques constatés, il existe un seuil de sensibilité au-dessous duquel l'effet produit sur l'organisme sera négligeable, même si l'irradiation doit durer plusieurs dizaines d'années. Il est bien entendu que l'organisme irradié est capable de restaurer tout ou une partie des dégâts biologiques produits dans de nombreux cas d'effets somatiques mais que les effets génétiques s'accumulent sans restauration possible. Pour ce dernier cas, les normes professionnelles ont été fixées de telle sorte que la part d'irradiation imputable à la vie professionnelle, rapportée à l'ensemble de la population, soit négligeable vis à vis des autres sources de rayonnement car l'humanité est exposée à des radiations multiples provenant : - du sol (dose reçue par individu au niveau des gonades, 30 à 100 mrem/an) - des rayons cosmiques (30 mrem/an au niveau de la mer) - de la présence d'une certaine quantité de K^O dans le sang (30 mrem/an) - d'objets lumineux (cadrans, boutons, 5 mrem/an) - rayons X (radiographies et radioscopies pouvant atteindre jusqu'à 20 r/mn dans la région observée)

5 retombées radioactives provoquées par les essais nucléaires (2 à 4 mrem/ an). Si l'on compare les niveaux d'irradiation dans ces diverses sources, on conçoit que l'irradiation professionnelle (à Marcoule 158 mrem/ an par agent en 1960) ne rentre que pour une faible part dans l'irradiation totale que nous subissons. En France, le Journal Officiel du 11 juillet 1957 a publié une circulaire ayant pour objet la protection contre les radiations ionisantes. Cette circulaire prévoit que pour les travailleurs professionnellement exposés, la dose maximum admissible peut atteindre 0,3 rem pendant quelques semaines, sans toutefois que la dose accumulée n'excède 3 rem pour une période de 3 mois et 5 rem pour 12 mois consécutifs. Pour une irradiation segmentaire : main, front, pied, cette Limite Maximum Admissible est reportée à 1,5 rem/ semaine avec une dose cumulée maximum de 9 rem/3 mois et 25 rem/ an. En février 1959, la Communauté Européenne de l'energie Atomique adoptait ces valeurs et les publiait dans le Journal Officiel des Communautés Européennes, en précisant que la dose intégrée à un instant donné doit toujours rester inférieure au facteur 5 (N-18), N étant l'âge de l'agent. En fait, la détermination de la dose effectivement intégrée par un individu est un problème difficile et toujours en voie d'amélioration. Le détecteur de rayonnement retenu est le dosimètre photographique porté par les travailleurs au niveau de la poitrine et au poignet, dosimètre qui permet de connaître la dose de rayonnement X, 7 et même approximativement j3 cumulée au cours du mois et par sommation, le capital irradiation trimestriel et annuel. Pour permettre d'effectuer les travaux en milieu radioactif, avec le souci constant d'éviter les dépassements de Dose Maximum Admissible et pour faciliter le choix des travailleurs, le Laboratoire de Photométrie du Service de Protection contre les Radiations du Centre de Marcoule,

6 - 3 - chargé de la diffusion des résultats lus sur films, doit pouvoir à chaque instant indiquer le capital irradiation des agents CE. A. et entreprises et nous avons vu plus haut l'importance de ce capital. Un premier essai à l'aide de fiches classées a permis de nous rendre compte que ces valeurs étaient assez longues à déterminer individuellement. Le Centre de Marcoule possédant un service de Mécanographie bien équipé, nous avons bénéficié de sa collaboration pour nous aider à résoudre ce problème. Les solutions ci-dessous, ont été retenues : I - Création d'un fichier "Nom" classé par ordre alphabétique à l'intérieur de chaque service et remis à jour chaque mois suivant les arrivées ou les départs d'agents. II - Avec Ce fichier, création en tabulatrices : - des bordereaux d'envoi et de retour des films J 11 " de développement / flg * 1 - des cartes magnéto-lecture s (M.L.)- fig. 2 - R.V. Ce fichier de cartes M.L* est composé d'une carte par agent comprenant : - au recto préperforés : n de Service n carte CE.A. n du film mois considéré zones de marquage - nombre de films portés - dose poitrine dans les trois plages (nu, étain, cadmium) - dose poignet dans les trois plages

7 au verso : zones de marquage - limite maximum admissible (poitrine, poignet, neutron) - dose neutron rapide. Les cartes M.L. établies par la Mécanographie reçoivent au Laboratoire de Photométrie, les renseignements obtenus au cours du développement des films correspondants et retournent ensuite à la Mécanographie où elles sont perforées. III - Les cartes M.L. sont ensuite interclassées avec les cartes extraites du fichier "Nom", reçoivent alors le nom et le prénom de l'agent afin de créer en tabulatrice simultanément : - les états nominatifs des résultats du mois (fig. 3) en 6 exemplaires. Ces états sont collationnés au Laboratoire de Photométrie avec les résultats du développement, - une carte récapitulative par agent (fig. 4) en interclassant les cartes M.L. avec les cartes récapitulatives obtenues le mois précédent. IV - Ces cartes récapitulatives vont, après passage en tabulatrice créer : - un état récapitulatif (fig. 5) qui fournira à la Photométrie les renseignements suivants : nom et prénom intégration des 3 derniers mois intégration des 12 derniers mois total général depuis l'arrivée de l'agent au CE.A. ainsi que les noms des agents classés par service ayant intégré : - de 1 à 2 rem et 2 à 3 rem au cours des 3 derniers mois, - de 2 à 3 rem, de 3 à 4 rem et de 4 à 5 rem au cours des 12 derniers mois. Toutes ces opérations se trouvent résumées dans le schéma (fig. 6.) Ce mode de diffusion de résultats a été mis en service le 1er avril Avec plus d'un an d'expérience, on peut conclure que cette méthode allège considérablement le travail administratif de la Photométrie

8 - 5 - et présente l'avantage de connaître 48 h après le développement le capital irradiation de tous les agents avec le maximum d'exactitude. Une méthode identique a été adoptée pour la diffusion des doses mensuelles intégrées par les stylos dosimètres. Cette technique est rentable; à Marcoule du fait de l'existence d'un service mécanographie dont les machines et un opérateur ne sont immobilisés que 25 heures par mois pour la comptabilisation des doses intégrées. Pour un même nombre d'agents, la création de toutes pièces d'un service mécanographique spécialisé, avec son entretien et son amortissement, serait plus discutable. Manuscrit reçu le 16 février 1962

9 A plutonium é» Morcout* ATOMIQUE Swvlc* 4* protection centra lu radiations SERVICE 4 BMKREtt B'EHVOI ET DE RETOUR DE FILM 4. à H* DE FILM *** NOM ET PRÉNOM OBSERVATIONS. A \uvtt oc man DATi Dt KtTOUK MS HIMS.- ^. Cmtrm é» u LECTUKS AU JHOJWÊTW fotemr m Ss Ce «fcr. fveloppehert OCTUMB VNUEtlCS fovtmnk N» S» i C4 «OCNET MM Ecran POtTMNC SU DOSES «4 mr C4 KHCNET Mht Etre» OBSERVATIONS i -~ LJ. "* ^.^ - Fig. 1 -

10 CAfcTE MÀ6MET0. LECTURE RECTO S S V 1!> 0. S 9 5 VERSO fi? J» uiti - Fig. 2 -

11 I I - ; SERVICt : MOIS : N" DE FILM NOM ET PRÉNOM RÉSULTAT DES MESURES BU MOIS nui FOURMI folonfi Un Ufid Nihtt DOSES HENSUEUB IN HlLLIMNTUINS fwn1l MI romnlt - Fig. 3 - * ja *.

12 (ACTE RECAPITULATIVE t22lfr« ittmtii llltflllliltldlltmllilltihil IIIKMIM Illl tin i in i MM n «n 1 m n 1) » I) * » S iiisfttsiiiifeisi sssi SSSSiiSS 555S5SSS W I «411 «111 ill II I 4I I S «till It Sill til II m U m M u lu M b «2222U2222 llflllllt - Fig. 4 -

13 7/17 RECAPITULATIF I 3 CE.A NOMS VENTILATION 8 TOTAUX 5 MOIS 12 MOIS GÉNÉRAI - Fig. 5 -

14 FICHIER NOMS S(MEMA RECAPITULATIF MIS A JOUR CHAQUE MOIS àorf/ereau " ENVOI CREATION tartej MAGNETO.LECTURE CARTE/ BORDEREAU CARTES RECAPITULATIVE/ MOI/ PRÉCÉDENTS MARQUAGE. ()Ef CARTE/ MàSNETO.LBCTURE PAR S.P.R. PERFORATION BTATt CREATION NOUVEtie. CARTE RECAPITUiAMM AVfC CARTES ffoms PERFORATION NOM/. PRENOMS. [>.JTRUCTION HJUITATS - Fig. 6 -

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