PUBERTE normale et pathologiques Colloque CORATA 15 mai 2014
|
|
- Antoinette Carignan
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 PUBERTE normale et pathologiques Colloque CORATA 15 mai 2014 Dr Maud Bidet Centre de pathologies gynécologiques rares Service d Endocrinologie Pédiatrique Hôpital Necker-Enfants Malades
2
3 PUBERTE Période de transition entre l enfance et la vie adulte caractérisée par : développement des caractères sexuels secondaires et des organes génitaux accélération de la croissance staturale acquisition de la fonction de reproduction
4 Stade de Tanner: fille Télarche
5 Puberté : fille Pilosité: P: pilosité pubienne A1 à A5 A: pilosité axillaire P1 à P5 Pubarche, Adrénarche Modifications vulvaires Pubère: S5P5A5 Organes génitaux internes: A la puberté: Utérus > 3,5cm de longueur; épaisseur du fond > à celle du col. Endomètre > 1mm. Ovaires: vol de 3 à 10cm3, aspect multifolliculaire
6 Puberté : fille Courbe de croissance: - Accélération de la vitesse de croissance. Age osseux: - Interprétation de l état des cartilages de croissance (Greulich et Pyle) Croissance: gain pubertaire moyen 20 à 25 cm. >1eres règles, croissance moyenne de 7 cm Règles: 2 à 3 ans après le début de poussée mammaire
7 Axe gonadotrope: Hypothalamus Dès 10 ème semaine de vie foetale GnRH oulhrh Hypophyse FSH LH Maximal en milieu de vie utérine Ovaires Ovules Utérus Utérus Vagin
8 Activation de l axe gonadotrope au cours de la vie Activation de l axe gonadotrope en fonction des périodes de la vie Vie fœtale Mini-Puberté Enfance Puberté puis vie adulte Graphe A Graphe B 6 mois de vie
9 Axe gonadotrope: Hypothalamus GnRH oulhrh Avant la naissance - Hypophyse FSH LH Stéroides maternels Ovaires Ovules Utérus Utérus Vagin
10 Axe gonadotrope: Hypothalamus - Stéroides maternels Hypophyse Ovaires GnRH oulhrh FSH LH A la naissance minipuberté Ovules Utérus Utérus Vagin
11 Activation de l axe gonadotrope au cours de la vie Activation de l axe gonadotrope en fonction des périodes de la vie Vie fœtale Mini-Puberté Enfance Puberté puis vie adulte Graphe A Graphe B 6 mois de vie
12 Evolution des gonadotrophines Enfance: LH indétectable FSH basse Juul et al 2012
13 Evolution des gonadotrophines Rapport LH/FSH Juul et al 2012
14 Ann N Y Acad Sci Jun 17;816:9-21. Development of the hypothalamicpituitary-ovarian axis. Apter D.
15 Test au LHRH 100ug Relefact Pic de LH > 5-6 UI/L LH/FSH >
16 Age de la ménarche Juul at al, 2012
17 Secular changes in age at onset of breast stage 2 of testicular volume of more than 3 ml during the last 60 years. Sorensen et Al, Horm Res Paediatr 2012; 77:137-45
18 Biro et al, BRECP study, cohorte prospective 1239 filles, 39% afroaméricaines PROS, filles, 9.6 % afro-américaines US Afroaméricaines Age my S2: 8.8 ans 27.9% des F < 8ans. Puberté précoce < 6 ans
19 Biro et al, BRECP study, cohorte prospective 1239 filles, 39% afroaméricaines PROS, filles, 9.6 % afro-américaines US F blanches Age my S2: 9.7 ans 6.7 % des F < 8ans. Puberté précoce < 7 ans
20 EUROPE Cohorte Danoise Télarche: 2006 cohort: S2: 9.86 years 1991 cohort: years Ménarche: 2006 cohort: years 1991 cohort: years 1991: 1100 filles 2006: 995 filles Juul et al,2009, 2012 Puberté précoce < 8 ans
21 Distribution S2 et ménarche Bourguignon et Juul, 2012,
22 Number of girls per year diagnosed with ENV puberty, PA, PT, and ICPP according to year of referral ( ) in a single tertiary pediatric endocrine center. Variante de la normale (8-9 ans) Premature Telarche Premature Adrenarche Idiopathic Central Precocious Puberty Mogensen S S et al. JCEM 2011;96: by Endocrine Society
23 Puberté précoce : Quand l évoquer? Quel Bilan? Qui Traiter? Apparition des caractères sexuels secondaires, les seins, sécrétions vaginales, parfois règles. avant l âge de 8 ans. Règles avant l âge de 10 ans.
24 Puberté précoce : Quand l évoquer? Quel Bilan? Qui Traiter? But du bilan: Confirmer le diagnostic de puberté précoce Préciser son origine (centrale ou périphérique) Son étiologie Apprécier son caractère évolutif - Courbe de croissance - Echographie pelvienne - Age osseux. - Estradiol, FSH, LH, test au LHRH.
25 U/L Pathologies Pubertés précoces vraies ou centrales (PPC) dues à une activation précoce de l axe hypothalamo-hypophysaire - LHRH dépendantes : test au LHRH pubère test LHRH pubertaire LH FSH E2 > pg/ml LH base: variable, > 0.3 UI/L Pic de LH > 5-6 UI/L LH/FSH > 0.66 min Neely EK, 1995, Carel 2009, Juul 2012.
26 Basal serum LH levels vs. peak LH levels during GnRH Mogensen S S et al. JCEM 2011;96: girls evaluated for precocious puberty. LH basal plus prédictif et mieux corrélé à puberté précoce centrale MAIS 2011 by Endocrine Society
27 Basal serum LH levels vs. peak LH levels during GnRH testing Mogensen S S et al. JCEM 2011;96: girls evaluated for precocious puberty. LH de base inférieur à limite de détection et pic >5. ICCPP: idiopathic central precocious puberty
28 Etiologies des PP centrales Idiopathiques le plus souvent chez la fille (90%) Organiques (10%) Arguments cliniques en faveur d une étiologie organique: très inconstants signes d HTIC macrocrânie tâches café au lait risque de méconnaître tumeur = cécité IRM hypophysaire et des voies optiques.
29 Etiologies des PP centrales Etiologies: Gliome des voies optiques (NF1) Hamartome hypothalamique Hydrocéphalie Kyste arachnoïdien Irradiation cérébrale Traumatisme crânien Hypothyroïdie Génétique
30 Puberté: déclenchement Nutrition Balance énergétique Masse grasse Poids de naissance Neurotransmetteurs : Stimulateurs: Glutamate, Kisspeptin, Leptine, Inhibiteurs: GABA, Ghreline Génétique 50 à 90 % de la variance de l âge pubertaire Déclenchement de la puberté Stress Environnement Perturbateurs endocriniens
31 Puberté: déclenchement Nutrition Balance énergétique Masse grasse Poids de naissance Neurotransmetteurs : Stimulateurs: Glutamate, Kisspeptin, Leptine, Inhibiteurs: GABA, Ghreline Génétique 50 à 90 % de la variance de l âge pubertaire Déclenchement de la puberté Stress Environnement Perturbateurs endocriniens Ségrégation familiale: 27.5% des pubertés précoces centrales Transmission autosomique dominante avec pénétrance variable selon le sexe
32 NJEM 2008; 358:
33 NJEM 2013; 368: Etude du génome complet chez 40 sujets avec puberté précoce dans 15 familles.
34 MHRN3: gène soumis à empreinte paternelle
35 Quand l évoquer? Quel Bilan? Qui Traiter? Puberté précoce :
36 Evolution des PP centrales : VARIABLE Formes évolutives (60 70%) signes nets d oestrogénisation accélération staturale avance d âge osseux test au LHRH de type pubertaire pic LH > pic FSH Formes peu évolutives (20 30%) signes d oestrogénisation peu marqués peu ou pas d avance d âge osseux taux d oestradiol prépubère test au LHRH de type prépubertaire Formes régressives (<10%) (Fontoura, 1989)
37 Traitement des PP centrales : indications Tenir compte de 3 facteurs : risque de petite taille définitive évolutivité de la puberté tolérance psychologique Immédiate si PP évolutive : Différée si : développement mammaire peu marquée pas d avance d âge osseux test LHRH pic LH/FSH < 0.6 taux oestradiol < 25 pg/ml Sous couvert surveillance rapprochée puberté + âge osseux
38 Traitement des PP centrales Analogues du LHRH Formes retard : 1 injection tous les 26 jours, puis possible tous les 3 mois (SC et IM). Traitement efficace PPC idiopathique ou neurogène diminution développement mammaire normalisation du taux plasmatique oestradiol test au LHRH plat après 7 è semaine ralentissement de vitesse de croissance après 6 mois ralentissement de progression de l âge osseux de 1 an durant la 1 è année de 0.4 an durant la 2 è année nécessité de traiter au moins 2 ans amélioration de taille prédictive
39 Traitement des PP centrales : alhrh Bénéfice du TT Difficile à évaluer Calculé à partir de taille prédite au début TT (Tp) et Taille finale (Tf) Taille finale Taille prédite Gain statural cm cm cm Boepple, Brauner, Rocicciolli, Adan, Bénéfice corrélé à : (Adan L, Clinical Endocrinology 2002) l avance d âge osseux si 2 ans gain = cm la taille prédite si < 155 cm gain = cm
40 U/L Pathologies Pseudo-pubertés précoces, périphériques: - dues à une sécrétion anormale d oestrogènes ou androgènes d origine périphérique, gonadique ou surrénalienne -LHRH indépendantes: test au LHRH plat. - Beaucoup plus rares Signes francs d oestrogénisation: - développement mammaire - vulve oestrogénisée test LHRH prépubertaire - métrorragies E2 souvent élevé LH et FSH de base non élevées voir freinées LH/FSH < O.66 min
41 Pathologies Pseudo-pubertés précoces, périphériques: - dues à une sécrétion anormale d oestrogènes ou androgènes d origine périphérique, gonadique ou surrénalienne -LHRH indépendantes: test au LHRH plat. Tumeurs de l ovaire: - Révélée par douleurs abdominales, masse palpable plus rarement signes de puberté - Sécrétion d oestrogènes: Tumeur de la granulosa - Sécrétion d androgènes, virilisation: tumeur de sertoli, leydig rarement gonadoblastome - Echo pelvienne, IRM pelvienne: tumeur ovarienne - Marqueurs ovariens: AMH et inhibine B (granulosa) et autres marqueurs de tumeurs ovariennes ( B-hCG, αfoetoprotéine, ACE, CA 125, CA 19-9 )
42 Pathologies Pseudo-pubertés précoces, périphériques: - dues à une sécrétion anormale d oestrogènes ou androgènes d origine périphérique, gonadique ou surrénalienne -LHRH indépendantes: test au LHRH plat. Kystes de l ovaire: -Clinique: développement mammaire + métrorragies - Echo : kyste ovarien pathologique si > mm - Biologie: Sécrétion autonome d oestradiol (test au LHRH plat) - Evolution: Peut être volumineux, risque de torsion. Régression spontanée en quelques semaines Mais suspecter syndrome de Mc Cune Albright +++ si plusieurs poussées d oestrogénisation
43 Prémature télarche Développement isolé des seins - aréoles non bombantes, pas de leucorrhées pas de pilosité pubienne pas d accélération staturale ni avance importante de l âge osseux écho: utérus non stimulé petits follicules test au LHRH type prépubère : pic FSH > pic LH oestradiol < 25 pg/ml. Diminution spontanée régression totale 70% plusieurs poussées avant régression Classique entre 6 mois-2 ans, Dans l enfance, attention à la vraie puberté précoce Aucun traitement
44 Prémature pubarche Développement précoce d une pilosité pubienne et/ou axillaire Parfois associé à d autres sg d androgénisation: acné, accélération staturale, avance modérée d âge osseux Liée à l augmentation plus précoce des androgènes S-DHEA, 4androstènedione Plus fréquent en cas de pathologie cérébrale, surpoids Eliminer une pathologie surrénalienne : déficit enzymatique... - dosage 17OH progestérone, testostérone, SDHEA, 4.
45 PUBERTE AVANCEE Début du développement mammaire entre 8 et 10 ans Peut induire réduction de taille finale de 5 cm Peut aggraver retard statural d un enfant déjà petit Indication à traitement par alhrh limitée? Amélioration de la taille finale? Pas de réel bénéfice
46 S2 Puberté avancée
47 alhrh S2 Puberté avancée freinée
48 AMH chez la petite fille Hagen, Juul, JCEM 2010: cohorte danoise 926 femmes: 46 enfants, 37 nourrissons
49 AMH chez la petite fille Lie Fong S, Laven JCEM 2012: cohorte hollandaise 804 femmes Pas d significative à l adolescence
50 AMH chez la petite fille Hagen, Juul, Human reprod 2012: COPENHAGEN Puberty Study Etude longitudinale de 85 filles en moy 3 ans Pas de variation à la puberté Faible variation intraindividuelle
51 AMH chez la petite fille Hagen, Juul, Human reprod 2012: COPENHAGEN Puberty Study Etude longitudinale de 85 filles en moy 3 ans 10% des filles avec AMH < 8 pmol/l
52 AMH chez la petite fille Turner Hagen, Juul, JCEM 2010: 172 filles Turner, +: 45X + : mosaïque +: 45X/46XX Valeur prédictive de l AMH chez les filles Turners (8 pmol/l)
53 RETARDS PUBERTAIRES
54 Retard pubertaire : définition Absence de développement mammaire après l âge de 13 ans et/ou absence de survenue des menstruations après l âge de 16 ans ou 4 ans après le début des seins 2 situations : IMPUBERISME AMENORRHEE PRIMAIRE
55 IMPUBERISME -absence de puberté secondaire à anomalie de l axe hypothalamo-hypophysaire-gonadique: - hypogonadisme hypergonadorope (gonadotrophines élevées) (40%) -hypogonadisme hypogonadotrope ( gonadotrophines non élevées) - retard pubertaire simple, plus rare chez fille (50%) diagnostic d élimination
56 Conduite à tenir devant un retard pubertaire Absence ou début de puberté? Retard simple ou pathologique? Nécessité de traiter? Interrogatoire Famille: taille, puberté Atcd personnels Symptomatologie (céphalées, digestive, odorat) Nutrition Etat psychologique Examen clinique Courbe de croissance Stade pubertaire Signes d hyperandrogénie Dysmorphie Anomalies OGE
57 Examens complémentaires Age osseux Oestradiol FSH, LH Créatinine, NFS, VS Ac endomysium LH, FSH LH, FSH N ou Insuffisance ovarienne AO > ans AO < ans Caryotype Hypogonadisme hypogonadotrope Retard simple Test au LHRH, Prolactine IRM cérébrale T4, TSH Test GH, Prolactine Pas de test au LHRH
58 Hypogonadisme hypergonadotrope -Syndrome de Turner Caryotype FSH élevée Fréquent : 1 / filles 45XO (50%cas) mosaïque (XO/XX, XO/XY ),délétions, isochromosome, chromosome en anneau Associé à un retard statural, anomalies morphologiques - Dysgénésie gonadique - Caryotype XX avec délétion du bras long du chr X. - Ou caryotype 46XY, souvent utérus présent, gonades non visibles
59 IOP attendue car pathologie connue FSH élevée Iatrogène Irradiation pelvienne IO constante si dose > 20 Gy- Ovaires préservés si dose < 7 Gy transposition des ovaires en dehors des champs d irradiation = traitement préventif efficace TBI conditionnement aux greffes de moelle osseuse: IO quasi constante Chimiothérapie agents alkylants (Endoxan, Busulfan ) risque IO augmente avec dose, âge (surtout après puberté) Toxique : galactosémie surcharge en galactose 1 phosphate IO partielle/complète - fertilité possible
60 Hypogonadisme hypogonadotrope (HH) acquis Tumeur de région hypothalamo-hypophysaire Crâniopharyngiome +++, Irradiation cérébrale déficit gonadotrope moins fréquent que déficit en GH possible si dose > 30 Gy - constant si dose > 45 Gy déficit gonadotrope souvent partiel parfois après une puberté précoce traité par alhrh Maladies infiltratives - histiocytose, sarcoïdose FSH nle, basse
61 Hypogonadisme attendu car pathologie connue FSH nle, basse Hypogonadisme hypogonadotrope FONCTIONNEL transitoire maladies digestives : Crohn, coeliaque insuffisance rénale anémie sévère : thalassémie, drépanocytose troubles du comportement alimentaire : anorexie mentale pathologies endocriniennes : Cushing, HCS non traitée
62 Hypogonadisme hypogonadotrope congénital syndromique FSH nle, basse Hypogonadisme hypogonadotrope (HH) congénital HH associé à d autres déficits hypophysaires: GH, TSH, ACTH, PRL Syndrome d interruption tige pituitaire avec post hypophyse ectopique Anomalie des gènes de différenciation de l antéhypophyse Prop-1 Associé à un syndrome génétique Syndrome de Prader-Willi retard mental, hypotonie, obésité, retard statural Syndrome de Laurence Moon Biedl rétinite pigmentaire, obésité, polydactylie Syndrome de CHARGE colobome, cardiopathie, atrésie des choanes, retard mental et statural, hypogénitalisme, anomalie de l oreille interne
63 Hypogonadisme hypogonadotrope CONGENITAL Associé à des troubles de l olfaction= sd de Kallmann de Morsier Lié à défaut de migration des neurones à GnRH et neurones olfactifs de l épithélium olfactif à l hypothalamus le long des nerfs olfactifs Anomalies des bulbes olfactifs à l IRM Anosmie ou hyposmie à l olfactométrie FSH nle, basse Anomalie gènes : KAL 1, FGFR1, FGF8, PROK2, PROKR2 Hypogonadisme hypogonadotrope ISOLE: Anomalie du Récepteur au GnRH
64 bulbes - sillons olfactifs D + G normaux bulbe D hypoplasique sillon D absent bulbe G sillon G absents
65 Conclusion - Puberté précoce: - seins < 8 ans, Vit de croissance. - Test au LHRH, - Le plus souvent centrales et idiopathiques - Retard pubertaire, aménorrhée primaire: - Absence de seins > 13ans, de règles à 16 ans, de règles 4 ans après le début de la poussée mammaire - Plus rarement idiopathiques, - Ne pas oublier les malformations en cas de développement pubertaire complet et aménorrhée primaire.
La puberté avant l âge Nouveaux aspects
La puberté avant l âge Nouveaux aspects Catherine Pienkowski Sophie Grandjean Unité d Endocrinologie et Gynécologie Médicale Hôpital des Enfants - Toulouse La puberté avant l âge Nouveaux aspects Introduction
Plus en détailBilans : tableau de conversion des unités
ANNEXES Bilans : tableau de conversion des unités Il est difficile de résumer dans un tableau les normes biologiques des bilans hormonaux, car la plupart d entre elles sont variables en fonction des laboratoires.
Plus en détailF us u ses c ouc u he h s s po p nt n a t né n es J. L J. an sac CHU H T ou
Fausses couches spontanées J Lansac CHU Tours Définition Avortement : expulsion produit de conception avant 22SA ou enfant
Plus en détailHyperplasie congénitale des surrénales par déficit en 21-hydroxylase
Hyperplasie congénitale des surrénales par déficit en 21-hydroxylase GUIDE - AFFECTION DE LONGUE DURÉE PNDS Cliquez ici LISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE Cliquez ici GUIDE MÉDECIN
Plus en détailExploration et Prise en charge d un couple infertile
Exploration et Prise en charge d un couple infertile Florence LESOURD Pôle d Obstétrique, Gynécologie et Médecine de la Reproduction CHU Paule de Viguier - Toulouse DIU de Médecine de la Reproduction-Gynécologie
Plus en détailLeucémies de l enfant et de l adolescent
Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE
Plus en détailGONADOTROPHINE CHORIONIQUE ENDO 5000 U.I./1 ml, lyophilisat et solution pour usage parentéral intramusculaire
ésumé des Caractéristiques du Produit 1 sur 5 21/09/2010 14:31 Mis à jour : 16/02/2010 1. DENOMINATION DU MEDICAMENT GONADOTROPHINE CHORIONIQUE ENDO 5000 U.I./1 ml, lyophilisat et solution pour usage parentéral
Plus en détailPITUITARY. Growth Hormone (GH) NUTRITIONAL FACTORS OTHER TISSUES LIVER. IGF- I + IGFBPs. IGF- I + IGFBPs BLOOD TARGET TISSUES
PITUITARY Growth Hormone (GH) LIVER NUTRITIONAL FACTORS OTHER TISSUES IGF- I + IGFBPs BLOOD IGF- I + IGFBPs TARGET TISSUES Principales causes de déficit en GH (GHD) Anomalies moléculaires (GH-N; Récepteur
Plus en détailBiométrie foetale. Comité éditorial pédagogique de l'uvmaf. Date de création du document 01/071011. - Support de Cours (Version PDF) -
Biométrie foetale Comité éditorial pédagogique de l'uvmaf Date de création du document 01/071011 Table des matières I Techniques de biométrie...3 I.1 Mesure de la longueur cranio-caudale...3 I.2 Mesure
Plus en détailNeurofibromatose 1 Maladie de Von Recklinghausen
Neurofibromatose 1 Maladie de Von Recklinghausen La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche
Plus en détailAtelier N 2. Consultation de patientes porteuses d une maladie générale
Atelier N 2 Consultation de patientes porteuses d une maladie générale Contre indica,ons à la grossesse Hypertension artérielle pulmonaire >30mmHg Maladie de Marfan (dilatation aortique>4 cm) Rétrécissement
Plus en détailLundis de la Santé - Brest 12 Décembre 2005. Tabac et Grossesse M. COLLET
Lundis de la Santé - Brest 12 Décembre 2005 Tabac et Grossesse M. COLLET Tabac et grossesse Problème majeur de santé publique 25 à 33 % des femmes fument pendant la grossesse Nombreuses conséquences obstétricales
Plus en détailModule 2. De la conception à la naissance
Module 2. De la conception à la naissance ITEM 17. Principales complications de la grossesse Diagnostics différentiels d une hémorragie génitale Hématurie Rectorragie Diagnostics différentiels de l HTA
Plus en détailTRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir?
TRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir? H Le Hors-Albouze Urgences pédiatriques Timone enfants Marseille Traumatismes crâniens (TC) de l enfant Grande fréquence même si incidence réelle mal
Plus en détailLe syndrome de Noonan
Le syndrome Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée à vous informer sur le syndrome de
Plus en détailchronique La maladie rénale Un risque pour bon nombre de vos patients Document destiné aux professionnels de santé
Document destiné aux professionnels de santé Agence relevant du ministère de la santé La maladie rénale chronique Un risque pour bon nombre de vos patients Clés pour la dépister et ralentir sa progression
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailContraception après 40 ans
Contraception après 40 ans Stratégies de choix des méthodes contraceptives chez la femme. Recommandations pour la pratique clinique Décembre 2004. ANAES/AFSSAPS Un vaste choix contraceptif Contraception
Plus en détailINTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES
INTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES QU EST-CE QUE LE MDRD? Il s agit d une formule permettant d estimer le débit de filtration glomérulaire et donc la fonction rénale La formule est la suivante :
Plus en détailLes tests thyroïdiens
Les tests thyroïdiens Mise à jour de juin 2007 par S. Fatio Réf: les images et les graphiques sont tirés de www.endotext.org (textbook d endocrinologie online et libre d accès) QuickTime et un décompresseur
Plus en détailLe syndrome CHARGE. La maladie. l Qu est-ce que le syndrome CHARGE? l Combien de personnes sont atteintes de ce syndrome?
La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée à vous informer sur le syndrome CHARGE.
Plus en détailphase de destruction et d'élimination de débris
LE POST PARTUM I ) Définition : c'est une période de 6 semaines allant de l'accouchement jusqu'au retour de couches (= règles). Pendant ce temps il est nécessaire d'effectuer une surveillance médicale
Plus en détailAssurance Maladie Obligatoire Commission de la Transparence des médicaments. Avis 2 23 Octobre 2012
Assurance Maladie Obligatoire Commission de la Transparence des médicaments Avis 2 23 Octobre 2012 Titre I : Nom du médicament, DCI, forme pharmaceutique, dosage, présentation HUMIRA (DCI : Adalimumab
Plus en détailLes différentes maladies du coeur
Auteur : Dr Pascal AMEDRO Les différentes maladies du coeur 1. Le cœur normal L oxygène capté dans l air va dans les poumons, où le sang «bleu» est alors oxygéné et devient «rouge». Il est conduit par
Plus en détailI - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE
I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE 1- Définition : Le diabète sucré se définit par une élévation anormale et chronique de la glycémie. Cette anomalie est commune à tous les types de diabète sucré, mais
Plus en détailGreffe de moelle osseuse: Guérir ou se soigner?
Greffe de moelle osseuse: Guérir ou se soigner? Malika Benkerrou Site de référence pédiatrique national sur la drépanocytose Hôpital Robert Debré, Paris 3èmes Journées de la Drépanocytose en Martinique
Plus en détailDiabète de type 1 de l enfant et de l adolescent
GUIDE - AFFECTION DE LONGUE DURÉE Diabète de type 1 de l enfant et de l adolescent Juillet 2007 Juillet 2007 1 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication
Plus en détailDENSITOMÉTRIE OSSEUSE : CE QUE LE RADIOLOGUE DOIT SAVOIR
DENSITOMÉTRIE OSSEUSE : CE QUE LE RADIOLOGUE DOIT SAVOIR C Andreux et F L Huillier H Guerini, A Feydy, X Poittevin, F Thevenin, R Campagna, JL Drapé, A Chevrot Hôpital COCHIN, Paris, France OBJECTIF Proposer
Plus en détailÀ compter de 2010 les codes du chapitre XVI ne doivent plus être employés au-delà de 2 ans. Créé le 1 er Mars 2011
FASCICULE VI AFFECTIONS DU NOUVEAU-NÉ Emploi des codes du chapitre XVI Le chapitre XVI est celui de Certaines affections dont l origine se situe dans la période périnatale. La définition de la période
Plus en détailCordarone et Thyroïde par François Boustani
Physiologie de la thyroïde : l hormonosynthèse thyroïdienne se fait à partir de l iode essentiellement d origine digestive et de la thyroglobuline qui est une protéine synthétisée par la thyroïde à partir
Plus en détailMaternité et activités sportives
Maternité et activités sportives L obstétricien est de plus en plus souvent interrogé sur les avantages et les risques de maintenir ou de débuter une APS ou de loisir pendant la grossesse. Transformations
Plus en détailHémochromatose génétique non liée à HFE-1 : quand et comment la rechercher? Cécilia Landman 11 décembre 2010
Hémochromatose génétique non liée à HFE-1 : quand et comment la rechercher? Cécilia Landman 11 décembre 2010 Métabolisme du fer : hepcidine Fer absorbé par les entérocytes des villosités duodénales : transporteur
Plus en détailANEMIE ET THROMBOPENIE CHEZ LES PATIENTS ATTEINTS D UN CANCER
ANEMIE ET THROMBOPENIE CHEZ LES PATIENTS ATTEINTS D UN CANCER Dr Michael Hummelsberger, Pr Jean-Gabriel Fuzibet, Service de Médecine Interne, Hôpital l Archet, CHU Nice 1. ANEMIE L étiologie de l anémie
Plus en détailLa migraine. Foramen ovale perméable. Infarctus cérébral (surtout chez la femme)
La migraine 1/Introduction : Céphalée primaire (sans lésion sous-jacente). Deux variétés principales: Migraine sans aura (migraine commune). Migraine avec aura (migraine accompagnée). Diagnostic: interrogatoire
Plus en détailGrossesse et HTA. J Potin. Service de Gynécologie-Obstétrique B Centre Olympe de Gouges CHU de Tours
Grossesse et HTA J Potin Service de Gynécologie-Obstétrique B Centre Olympe de Gouges CHU de Tours HTA et grossesse Pathologie fréquente : 2 à 5 % des grossesses (2 à 3 % des multipares, 4 à 8 % des primipares)
Plus en détailcompaction ventriculaire gauche sur la fonction ventriculaire chez l adulte
Influence des paramètres de non compaction ventriculaire gauche sur la fonction ventriculaire chez l adulte C. Defrance, K. Warin-Fresse, G. Fau, P. Guérin, B. Delasalle, P.D. Crochet La non compaction
Plus en détailLes Migraines et les céphalées. Dr G.Hinzelin Migraines et Céphalées Migraines et Céphalées La migraine représente entre 5 à 18% de la population française selon le sexe et en fonction des études. Est
Plus en détail7- Les Antiépileptiques
7- Les Antiépileptiques 1 Définition L épilepsie est un trouble neurologique chronique caractérisé par la survenue périodique et imprévisible de crises convulsives dues à l émission de décharges électriques
Plus en détailChapitre 1 : Introduction à la rééducation périnéale
Chapitre 1 : Introduction à la rééducation périnéale 1. Historique. Kegel (1949). Bourcier (1970). 1985 : reconnaissance officielle d acte de MK. Développement de la MK périnéale : facteur éco/p sociale
Plus en détailCéphalées. 1- Mise au point sur la migraine 2- Quand s inquiéter face à une céphalée. APP du DENAISIS
Céphalées 1- Mise au point sur la migraine 2- Quand s inquiéter face à une céphalée EPU DENAIN -14 novembre 2006 Dr Kubat-Majid14 novembre 2006 Dr KUBAT-MAJID Céphalées 1 Mise au point sur la migraine
Plus en détailInnovations thérapeutiques en transplantation
Innovations thérapeutiques en transplantation 3èmes Assises de transplantation pulmonaire de la région Est Le 16 octobre 2010 Dr Armelle Schuller CHU Strasbourg Etat des lieux en transplantation : 2010
Plus en détailMigraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques
Migraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques Dr Solène de Gaalon Service de neurologie- CHU Nantes Société française des migraines et céphalées Céphalées de tension
Plus en détailPseudotumor cerebri. Anatomie Le cerveau et la moelle épinière baignent dans un liquide clair, appelé le liquide céphalo-rachidien (LCR).
Hypertension intracrânienne idiopathique Pseudotumor cerebri Votre médecin pense que vous pouvez souffrir d hypertension intracrânienne idiopathique connue aussi sous le nom de «pseudotumeur cérébrale».
Plus en détailECHOGRAPHIE EN GYNECOLOGIE ET EN OBSTETRIQUE
ECHOGRAPHIE EN GYNECOLOGIE ET EN OBSTETRIQUE (Diplôme Interuniversitaire National d ) 17/02/2015 avec Bordeaux, Brest, Lille, Lyon, Marseille, Nantes, Paris V et XII, Toulouse et Tours Objectifs : Formation
Plus en détailPRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES. Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière.
PRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière. 75 Pas de conflits d intérêts. Définitions Pré éclampsie Définitions
Plus en détailImages en «franc» hypersignal T2 du pelvis féminin Atlas iconographique
Images en «franc» hypersignal du pelvis féminin Atlas iconographique Cavet M, Soyer P, Malzy P, Bendavid S, Merlin A, Martin-Grivaud S, Rymer R RADIOLOGIE VISCERALE ET VASCULAIRE, HOPITAL LARIBOISIERE
Plus en détailPOST-PARTUM DR HADJI DR BELAHRACHE. janvier 2013 CHU PARNET
POST-PARTUM DR HADJI DR BELAHRACHE janvier 2013 CHU PARNET DÉFINITION période qui s étend de l accouchement (après la délivrance) jusqu à la première menstruation -marquée par : o retour à la normale de
Plus en détailASPECT ECHOGRAPHIQUE NORMAL DE LA CAVITE UTERINE APRES IVG. Dr D. Tasias Département de gynécologie, d'obstétrique et de stérilité
Hôpitaux Universitaires de Genève ASPECT ECHOGRAPHIQUE NORMAL DE LA CAVITE UTERINE APRES IVG Dr D. Tasias Département de gynécologie, d'obstétrique et de stérilité Introduction (1) L IVG chirurgicale est
Plus en détailAccidents des anticoagulants
30 Item 182 Accidents des anticoagulants Insérer les T1 Objectifs pédagogiques ENC Diagnostiquer un accident des anticoagulants. Identifier les situations d urgence et planifier leur prise en charge. COFER
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 19 octobre 2011
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 19 octobre 2011 PEDIAVEN AP-HP G15, solution pour perfusion 1000 ml de solution en poche bi-compartiment, boîte de 4 (CIP: 419 999-0) PEDIAVEN AP-HP G20, solution pour
Plus en détailMais pourquoi je ne suis pas enceinte?
Mais pourquoi je ne suis pas? On a beau vouloir très fort un bébé, la nature ne nous obéit pas toujours au doigt et à l œil Ce qu il faut savoir pour être au top de sa fertilité et tomber plus facilement!...
Plus en détailCarte de soins et d urgence
Direction Générale de la Santé Carte de soins et d urgence Emergency and Healthcare Card Porphyries Aiguës Hépatiques Acute Hepatic Porphyrias Type de Porphyrie* Déficit en Ala déhydrase Ala Dehydrase
Plus en détailHTA et grossesse. Dr M. Saidi-Oliver chef de clinique-assistant CHU de Nice
HTA et grossesse Dr M. Saidi-Oliver chef de clinique-assistant CHU de Nice Définition HTA gravidique: Après 20 SA Systole> 140mmHg et/ou Diastole>90mmHg A 2 reprises séparées de plus de 6 heures Résolutive
Plus en détailFiche Produit Profils Médicalisés PHMEV
Guide méthodologique développé par l équipe de projets ci-dessous : Fiche Produit Profils Médicalisés PHMEV EQUIPE PROJET Chef de projet : Maryline CHARRA, Pharmacien Conseil Responsable de la mission
Plus en détailGUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE
GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE SOURCES : ligues reins et santé A LA BASE, TOUT PART DES REINS Organes majeurs de l appareil urinaire, les reins permettent d extraire les
Plus en détailintroduction & sommaire
introduction & sommaire 3 MT* - MALE TO SOMETHING est une brochure pour les personnes assignées hommes par les sciences biomédicales et qui sont en transition vers une identité fluide ou féminisée et toutes
Plus en détailNOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR. JAYDESS 13,5 mg, système de diffusion intra-utérin. Lévonorgestrel
NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR JAYDESS 13,5 mg, système de diffusion intra-utérin Lévonorgestrel Ce médicament fait l objet d une surveillance supplémentaire qui permettra l identification rapide
Plus en détailMigraine et mal de tête : des "casse-tête"
Migraine et mal de tête : des "casse-tête" Tous concernés! De quoi s agit-il? Les migraines ne doivent pas être confondues avec les céphalées de tension, communément appelées les "maux de tête". En effet,
Plus en détailPeut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY
Peut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY A quoi sert l imagerie conventionnelle dans le diagnostic
Plus en détail1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies :
1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies : a. Les troubles fonctionnels digestifs sont définis par les critères de Paris b. En France, le syndrome de l intestin irritable touche
Plus en détailPour l'instant, les connaissances actuelles ne permettent pas d'empêcher un cancer du sein de survenir.
Dépistage Pour l'instant, les connaissances actuelles ne permettent pas d'empêcher un cancer du sein de survenir. Par contre, nous pouvons tenter de le dépister plus tôt afin d'avoir plus de chances de
Plus en détailL agénésie isolée du corps calleux
L agénésie isolée du corps calleux Agénésie calleuse Dysgénésie du corps calleux La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus
Plus en détailCéphalées de tension. Hélène Massiou Hôpital Lariboisière, Paris
Céphalées de tension Hélène Massiou Hôpital Lariboisière, Paris Céphalée de tension : une maladie hétérogène La plus fréquente des céphalées primaires Diagnostic basé sur l interrogatoire Manque de spécificité
Plus en détailRÉFÉRENCES ET RECOMMANDATIONS MEDICALES
CHAPITRE VI RÉFÉRENCES ET RECOMMANDATIONS MEDICALES I - Situation juridique La notion de références médicales opposables (RMO) est apparue dans la convention nationale des médecins de 1993. La réforme
Plus en détailQuel apport de l imagerie dans les traitements anti-angiogéniques?
Quel apport de l imagerie dans les traitements anti-angiogéniques? L Fournier, D Balvay, CA Cuénod Service de radiologie, Hôpital Européen Georges Pompidou Laboratoire de Recherche en Imagerie, Equipe
Plus en détailPathologie VIH. Service maladies infectieuses Archet 1. Françoise ALEXIS, infirmière Monique BORGHI, infirmière 15 octobre 2013
Pathologie VIH Service maladies infectieuses Archet 1 Françoise ALEXIS, infirmière Monique BORGHI, infirmière 15 octobre 2013 Les traitements antirétroviraux Sont classés en 5 familles selon leur mode
Plus en détailActualisation de la prescription en biologie rhumatologie
Actualisation de la prescription en biologie rhumatologie Pathologies inflammatoires et connectivites Pathologies dégénératives Exclusion du métabolisme phosphocalcique et des marqueurs du remodelage osseux
Plus en détailUn test Pap pourrait vous sauver la vie
Un test Pap pourrait vous sauver la vie Un test Pap pourrait vous sauver la vie Vous avez 21 ans ou plus et êtes sexuellement active? Passez un test Pap! Si vous saviez qu un test Pap, qui prend 5 minutes,
Plus en détailAprès chirurgie bariatrique, quel type de tissu adipeux est perdu? Dr Emilie Montastier Hôpital Larrey, Toulouse
Après chirurgie bariatrique, quel type de tissu adipeux est perdu? Dr Emilie Montastier Hôpital Larrey, Toulouse Généralités / Contexte La chirurgie bariatrique: pas de relation quantitative claire entre
Plus en détailCANCERS ET RAYONNEMENTS IONISANTS Fortes doses: seconds cancers après radiothérapie
CANCERS ET RAYONNEMENTS IONISANTS Fortes doses: seconds cancers après radiothérapie Rencontres Nucléaire et Santé 08/02/2013 Pierre BEY Professeur émérite de Cancérologie;Radiothérapie Université de Lorraine
Plus en détailIndications de la césarienne programmée à terme
Indications de la césarienne programmée à terme Janvier 2012 Quelles sont les indications de la césarienne programmée? Utérus cicatriciel Transmissions mère-enfant d infections maternelles Grossesse gémellaire
Plus en détailLa grossesse. UE 2.2 cycles de la vie et grandes fonctions. Corinne Velly Infirmière Puéricultrice Cadre de Santé 13 mars 2014
La grossesse UE 2.2 cycles de la vie et grandes fonctions Corinne Velly Infirmière Puéricultrice Cadre de Santé 13 mars 2014 Plan La fécondation Le diagnostique de la grossesse La vie embryonnaire et foetale
Plus en détailLes nouveaux anticoagulants oraux, FA et AVC. Docteur Thalie TRAISSAC Hôpital Saint André CAPCV 15 février 2014
Les nouveaux anticoagulants oraux, FA et AVC Docteur Thalie TRAISSAC Hôpital Saint André CAPCV 15 février 2014 Un AVC toutes les 4 minutes 1 130 000 AVC par an en France 1 770 000 personnes ont été victimes
Plus en détailEvaluer le risque fracturaire: l outil FRAX (Fracture Risk Assessment Tool)
Evaluer le risque fracturaire: l outil FRAX (Fracture Risk Assessment Tool) F. FLAISLER Service de Rhumatologie Groupe Hospitalo-Universitaire CAREMEAU, Nîmes OSTÉOPOROSE DEFINITION AFSSAPS «Maladie diffuse
Plus en détailMention : STAPS. Sport, Prévention, Santé, Bien-être. Objectifs de la spécialité
Mention : STAPS Sport, Prévention, Santé, Bien-être Objectifs de la spécialité L'objectif de la spécialité «Sport, Prévention, Santé, Bien être» est de doter les étudiants de compétences scientifiques,
Plus en détailEXAMEN CLINIQUE D UN TROUBLE DE LA STATIQUE PELVIENNE
EXAMEN CLINIQUE D UN TROUBLE DE LA STATIQUE PELVIENNE Pr Claude Hocké Pôle Gynécologie- Obstétrique-Reproduction Hôpital Pellegrin CHU Bordeaux 1 INTERROGATOIRE IL RESTE FONDAMENTAL ET PEUT ÊTRE DIVISÉ
Plus en détailLe test de dépistage qui a été pratiqué à la
élever CommenT UN enfant ayant une drépanocytose Q Le test de dépistage qui a été pratiqué à la maternité vient de révéler que votre bébé est atteint de drépanocytose. Aujourd hui, votre enfant va bien,
Plus en détailIncontinence anale du post-partum
Incontinence anale du post-partum Laurent Abramowitz Unité de proctologie médico-chirurgicale de l hôpital Bichat, Paris Et cabinet libéral Prévalence Inc anale France (1) : 11% > 45 ans Damon et al (2):Pop
Plus en détailLes marqueurs biologiques des tumeurs endocrines digestives
Les marqueurs biologiques des tumeurs endocrines digestives Michèle d Herbomez DIU de Chirurgie Endocrinienne Lille 2009 Bilan biologique participe au Diagnostic Pronostic Suivi Trois types de marqueurs:
Plus en détailLe traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence
Le traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence Dominique GENDREL Necker-Enfants Malades Traiter en urgence en présence de trophozoïtes Plus de 80% des paludismes d importation en
Plus en détailMarseille 25 octobre 2012 Accompagnement du traitement chez les co-infectés VHC-VIH en pratique
Marseille 25 octobre 2012 Accompagnement du traitement chez les co-infectés VHC-VIH en pratique Dominique Larrey Service d Hépatogastroenterologie et transplantation Hôpital Saint Eloi CHU Montpellier
Plus en détailALLOGREFFE DE CELLULES SOUCHES HEMATOPOÏETIQUES (CSH) CHEZ 26 PATIENTS ATTEINTS DE β THALASSEMIES MAJEURES
ALLOGREFFE DE CELLULES SOUCHES HEMATOPOÏETIQUES (CSH) CHEZ 26 PATIENTS ATTEINTS DE β THALASSEMIES MAJEURES R. Belhadj, R.Ahmed Nacer, F.Mehdid, M.Benakli, N.Rahmoune, M.Baazizi, F. Kaci, F.Harieche, F.Zerhouni,
Plus en détailLa rétinite pigmentaire Rod-cone dystrophie Retinitis pigmentosa
Rod-cone dystrophie Retinitis pigmentosa La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée
Plus en détailObésité et psoriasis Données actuelles et questions au spécialiste en nutrition
Obésité et psoriasis Données actuelles et questions au spécialiste en nutrition Emilie MONTASTIER, Carle PAUL Endocrinologie, Nutrition, Dermatologie Université Paul Sabatier, Hôpital Larrey UMR CNRS 5165,
Plus en détailLes facteurs de croissance lignée blanche Polynucléaires neutrophiles Grastims
Les facteurs de croissance lignée blanche Polynucléaires neutrophiles Grastims 12 2014 HEMATOPOIESE Progéniteurs puis précurseurs Stimulation par facteur : activation spécifique de leur récepteur Moelle
Plus en détailProjet de grossesse : informations, messages de prévention, examens à proposer
DOCUMENT D INFORMATION POUR LES PROFESSIONNELS Projet de grossesse : informations, messages de prévention, examens à proposer Septembre 2009 DÉFINITION ET OBJECTIF Dès lors qu ils expriment un projet de
Plus en détailLe reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003
Pré-Requis : Corpus Médical Faculté de Médecine de Grenoble Le reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003 Sécrétion acide et peptique de l estomac Motricité œsophagienne et gastrique
Plus en détailSport et traumatisme crânien
Sport et traumatisme crânien Sylma M Pamara DIABIRA Neurochirurgie, CHU Rennes Commotion cérébrale «Perturbation physiologique, en général transitoire, de la fonction cérébrale à la suite d'un traumatisme
Plus en détailRevue du Rhumatisme 76 (2009) 222 226. Mise au point. Accepté le 19 septembre 2008 Disponible sur Internet le 14 février 2009
Revue du Rhumatisme 76 (2009) 222 226 Mise au point Impact de la contraception estroprogestative et progestative sur la densité minérale osseuse Impact of combined and progestogen-only contraceptives on
Plus en détailIl importe de noter que ce guide émet des recommandations conformes aux informations scientifiques disponibles au moment de sa publication, soit au
Il importe de noter que ce guide émet des recommandations conformes aux informations scientifiques disponibles au moment de sa publication, soit au 15 août 2011. Toutefois, ces recommandations n ont aucunement
Plus en détailPlan de la présentation
Quand la maladie vient compliquer la transition de l adolescence vers le merveilleux monde des adultes Développement d une clinique pour adolescents greffés Marie-France Vachon, M.Sc.Inf., CPON, CSIO,
Plus en détailQuoi de neuf dans la prise en charge du psoriasis?
Quoi de neuf dans la prise en charge du psoriasis? Nathalie QUILES TSIMARATOS Service de Dermatologie Hôpital Saint Joseph Marseille Ce que nous savons Le psoriasis Affection dermatologique très fréquente,
Plus en détailL endométriose. souvent méconnue. Brochure d information destinée aux femmes atteintes et aux personnes
L endométriose une maladie gynécologique évolutive, souvent méconnue Brochure d information destinée aux femmes atteintes et aux personnes intéressées Groupe d experts de l endométriose de la Société d
Plus en détailPsoriasis et travail dans le BTP. Pr E. Delaporte
Psoriasis et travail dans le BTP Pr E. Delaporte 30 Mai 2013 Janvier 2013 : File active de 335 malades traités (293) ou ayant été traités (42) par immunosupp./ modulateurs (MTX CyA biomédicaments) 214
Plus en détailDOMAINE 7 RELATIONS ET RÔLES
DOMAINE 7 RELATIONS ET RÔLES 327 Allaitement maternel inefficace (00104) 327 Allaitement maternel interrompu (00105) 328 Motivation à améliorer l allaitement maternel (00106) 329 Tension dans l exercice
Plus en détailLA CONTRACEPTION SUR L INFORMATION REÇUE EN
LA CONTRACEPTION 1 SATISFACTION DES PATENTES SUR L INFORMATION REÇUE EN POST PARTUM INTRODUCTION Contexte : 2 Élargissement des compétences de SF (contraception & gynécologie de prévention) (1) Rôle dans
Plus en détailUniversité Pierre et Marie Curie. Endocrinologie. Niveau DCEM1 - Examen National Classant 2006-2007. Pr. F. Duron & Coll.
Université Pierre et Marie Curie Endocrinologie Niveau DCEM1 - Examen National Classant 2006-2007 Pr. F. Duron & Coll. Mise à jour : 15 novembre 2006 2/311 Endocrinologie - Pr. F. Duron & Coll. 2006-2007
Plus en détailSport et gynécologie DOSSIER. 2011 : les bonnes résolutions! ÉDITORIAL. Société éditrice : EDIMARK SAS
l e c o u r r i e r d u s p é c i a l i s t e ÉDITORIAL 2011 : les bonnes résolutions! DOSSIER Sport et gynécologie Société éditrice : EDIMARK SAS CPPAP : 0312 T 81439 ISSN : 0759-1594 PÉRIODIQUE DE FORMATION
Plus en détailIntérêt diagnostic du dosage de la CRP et de la leucocyte-estérase dans le liquide articulaire d une prothèse de genou infectée
Intérêt diagnostic du dosage de la CRP et de la leucocyte-estérase dans le liquide articulaire d une prothèse de genou infectée C. Rondé-Oustau, JY. Jenny,J.Sibilia, J. Gaudias, C. Boéri, M. Antoni Hôpitaux
Plus en détail