Une année d activités DEPARTEMENT DE L ENFANT ET DE L ADOLESCENT

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Une année d activités DEPARTEMENT DE L ENFANT ET DE L ADOLESCENT"

Transcription

1 Une année d activités DEPARTEMENT DE L ENFANT ET DE L ADOLESCENT Rapport 2007

2 SOMMAIRE Préface... 3 Service médical de pédiatrie 5 Service de chirurgie pédiatrique. 10 Service développement et croissance 13 Service de gastroentérologie et transplantations pédiatriques. 16 Service d orthopédie pédiatrique 18 Service de psychiatrie de l enfant et de l adolescent 19 Service des soins intensifs et de néonatologie. 21 Service d accueil d urgences pédiatriques (SAUP) Consultation Santé Jeunes 26 Service de rééducation.. 28 Soins infirmiers 30 Service social.. 34 Services administratifs 37 Comptes et activités Constructions et travaux Donateurs et bénévolat.. 46 Publications 48 2

3 Préface 3

4 «Il se passe toujours quelque chose aux HUG». En paraphrasant les Galeries Lafayette, je fais référence à une année 2007 qui aura été celle d un grand chambardement pour le Département de Pédiatrie. Le jeu de la recomposition des départements a amené le Service de Psychiatrie de l Enfant et de l Adolescent et l Unité Santé Jeunes au Département, faisant de lui le Département de l Enfant et de l Adolescent (DEA). Une fois la surprise passée, nous nous sommes mis au travail pour intégrer de manière harmonieuse ces deux activités, amenant des cultures et des fonctionnements différents, qui enrichissent le DEA par la palette de prestations offertes à la population des enfants et adolescents. La réussite de cette recomposition a été optimale, malgré les contingences que représentent les axes de restrictions de Victoria. L efficience est une qualité reconnue à l Hôpital des Enfants. Ce n est pas fini car 2008 verra une continuation dans le changement : Nous retrouverons en effet deux services en pédiatrie : un service de pédiatrie générale avec l hospitalisation un service des spécialités pédiatriques avec l ambulatoire Le transfert de l activité de l ORL pédiatrique en chirurgie pédiatrique La restructuration complète du Service de Psychiatrie de l Enfant et de l Adolescent par la suppression de la barrière historique entre les deux. Force est de constater que toutes les catégories de notre personnel sont soumises à des changements de fonctionnement majeurs auxquels elles s adaptent de manière étonnante et parfaite. Que les 950 collaborateurs du DEA en soient remerciés car leur engagement, la qualité de notre service à la population, ainsi que nos missions académiques sont à la hauteur de nos espérances. Professeur Dominique C. Belli Chef du Département de l Enfant et de l Adolescent Président du Comité de gestion 4

5 SERVICE MEDICAL DE PEDIATRIE Cheffe de service Professeur S. Suter Chefs de service adjoints Professeur E. Girardin Dr C.-A. Haenggeli, CC 1 ère cheffe de clinique Dre S.Chalier Activités Service de Pédiatrie (1) Evolution en % Patients ambulatoires visites nouveaux traitements Patients semi hospitalisés journées d hospitalisation Patients hospitalisés entrées journées d hospitalisation durée séjour , Lits d hospitalisation lits en service taux d occupation (1) Recomposition des services selon nouvel organigramme 5

6 Unité de cardiopédiatrie Médecin adjoint agrégé responsable d unité Prof. M. Beghetti Evolution en % Consultations policlinique Echocardiogrammes Ambulatoires Hospitalisés Echocardiographie fœtale (Maternité) Echocardiographie transoesophagienne Electrocardiogrammes Ambulatoires Hospitalisés ECG de 24 heures (Holter) Tests d'effort Enregistrements tension artérielle 24 heures Cathétérismes cardiaques Cathétérismes interventionnels Chirurgie cardiaque Unité de néphrologie et métabolisme pédiatrique Médecin adjoint agrégé responsable d unité Prof. E. Girardin Evolution en % Consultations policlinique Néphrologie/métabolisme Rhumatologie Enfants hospitalisés Néphrologie Maladies métaboliques Unité métabolique Patients Allergologie Endocrinologie Gastroentérologie Néphrologie-métabolisme Divers Nombre de journées semi-hosp

7 Unité d'onco-hématologie pédiatrique Médecin adjoint responsable d unité Infirmière responsable Dr H. Oszahin. Mme F. Colleta-Gisel Evolution en % Consultations hémato Ponctions de moelle Ponctions lombaires Greffe de moelle 6 Unité d hospitalisation Med A1 Nombre d'admissions unité d'hospitalisation Nombre de journées d hospitalisation Durée moyenne de séjour lits en service 6 6 taux d occupation Nombre de journées semi-hosp (unité A1) Policlinique, unité UOHA Nombre de patients Nombre de journées d hospitalisation Nombre de journées semi-hosp (UOHA) Rappelons que l unité d oncologie-hématologique pédiatrique a le devoir de traiter des enfants atteints de cancers ainsi que des problèmes du sang, congénitaux ou acquis. Le traitement, à part les chimiothérapies pour les cancers, concerne également les transplantations allogéniques des cellules souches hématopoïétiques. Le traitement par chimiothérapie ou par transplantation des patients atteints de cancer est administré selon des protocoles multicentriques internationaux ; l unité d oncologie est régulièrement auditée par des comités pour le maintien de l accréditation. Pour les enfants atteints de maladies non malignes mais chroniques (hématologie et hémostase), la prise en charge est également assurée en accord avec des protocoles suisses et européens. La recherche clinique (protocoles internationaux et suisses) est un des points forts de l unité d oncologie pédiatrique. Dans ce contexte, cette année 2007 a été marquée par la réussite de deux accréditations : 1. La première en mars 2007 avec le COG (Children s Oncology Group/Cure Search). 2. Egalement dans le domaine de la recherche clinique, nous avons obtenu l accréditation JACIE (Joint Accreditation Committee-ISCT & EBMT) en novembre 2007 ce qui nous permet d être considéré comme centre de transplantation des cellules souches hématopoïétiques en Suisse romande, avec la collaboration de l unité d hématologie-oncologie pour adultes. 7

8 Unité de pneumologie pédiatrique Médecin adjoint agrégé responsable d unité Prof. C. Barazzone-Argiroffo, CC Evolution en % Consultations ambulatoires Consultations ambulatoires des mucoviscidoses Consultations internes d enfants hospitalisés Fonctions pulmonaires (y compris prestations internes) 1) Pléthysmographies ) Spirométrie pendant la consultation (nvl appareil) Total 1 et Tests d effort respiratoire Bronchoscopies Saturométries nocturnes (ambulatoires et hospitalisés Mesure du NO exhalé (dès octobre 2006) 148 Allergologie pédiatrique Médecin adjoint agrégé Dr P. Eigenmann, PD Evolution en % Consultations policlinique Consultations internes d enfants hospitalisés Tests de provocation Consultations Hôpital de Sion Neurologie pédiatrique Médecin adjoint agrégé Médecin adjointe Dr C.-A. Haenggeli, PD Dr C. Ménache-Starobinski Evolution en % Consultations Policlinique Neuro-orthopédie Neuropsychologie 115 Consultations externes à Clair-Bois 65 Consultations internes d enfants hospitalisés 181 Consultations à l unité de développement 37 8

9 Consultations de Médecine pour adolescents Médecin adjoint Dresse M. Caflisch Evolution en % Consultations ambulatoires Nombre de patients Nouveaux patients Age moyen ,2 Arrêt de suivi Groupe de Protection de l'enfant GPE Médecin adjoint Dresse M. Caflisch Evolution en % Consultations ambulatoires Nouveaux cas Age moyen des patients 7,5 6,5 +15 Maladies infectieuses Médecin responsable Dr Alain Gervaix Evolution en % Consultations d immuno-infectiologie Consultations des migrants Consultations intra-hospitalières

10 SERVICE DE CHIRURGIE PEDIATRIQUE Médecin-chef de service Médecins adjoints Infirmière responsable d unité Infirmière responsable du bloc Professeur Ch. Chardot Dr G. La Scala Mme A. Schoch Mme M. Micallef Evolution en % Hospitalisations Nombre d'admissions (séjours > 24h) Journées d'hospitalisation (séjours > 24h) Durée moyenne du séjour (séjours > 24h)* 3,8* 3,9* -4 lits en service taux d occupation Journées semi-hosp. (séjours < 24h) Chirurgie ambulatoire UCA, nb patients * Ce calcul ne tient pas compte des hospitalisations de moins de 24h non ambulatoires (semihosp.). Durée de séjour réelle en chirurgie pédiatrique en 2007 : 2,7 jours hors UCA ; 2,2 jours avec UCA Evolution en % Policlinique Chirurgie péd Pansements Urologie Pré-anesthésie Divers Total ambulatoires * Evolution en % Activité chirurgicale (chir. et ortho.) au SAUP Patients ambulatoires 8390** 8615* Patients semi-hospitalisés 717** 909* Patients hospitalisés 854** 899* Total activité chirurgicale au SAUP * -4,4* * Données janvier à mai 2006 non disponibles. Estimation à partir des données juin à décembre 2006 ** Données estimées à partir des données globales pour le SAUP et du ratio chirurgical global Evolution en % Activité du bloc opératoire Nombre de patients opérés ** ,7 Nombre d interventions ** ,7 Nombre d anesthésies ,7 10

11 Evolution en % Collaborations Neuchâtel Journées consultations Journées opératoires 6 6 Berne (fentes labio-palatines) Journées opératoires communes (dont 8 à Genève) Evolution en % Transplantations Transplantation hépatiques 5 Transplantations rénales 4 0 Greffes du foie 6 6 Faits marquants de l année 2007 L année 2007 a été une année difficile, marquée par d importantes contraintes dans le fonctionnement de l équipe médicale, et ceci nous a conduit à revoir la prise en charge de l urologie pédiatrique. A cet effet, une collaboration a débuté en avril 2007 avec l équipe du Professeur Pierre Mouriquand au CHU de Lyon. Cette équipe, de renom international, est l une des meilleures équipes françaises dans le domaine de l urologie pédiatrique. La collaboration Lyon-Genève fonctionne de façon très satisfaisante, et a permis de redynamiser notre activité d urologie pédiatrique ainsi que d assurer une formation complémentaire de grande qualité au Dr Jacques Birraux dans ce domaine. Au niveau des chefs de cliniques et internes, la réduction de la durée du travail en application de la loi sur le travail n ayant pas été compensée proportionnellement à l augmentation de l activité du service sur les dernières années, a produit les effets attendus : o Difficultés à contenir les heures supplémentaires o Report sur les 2 seuls cadres restants du travail non fait. Malgré ces contraintes, le niveau des prestations fournies par le service de chirurgie pédiatrique a été maintenu, tant en qualité qu en volume : ceci a été possible grâce à un effort important de tous les partenaires (bloc opératoire, service d hospitalisation, policlinique), en permettant les adaptations nécessaires aux réorganisations. Réalisations 2007 La principale innovation introduite en 2007 est le passage aux prescriptions informatisées (logiciel PRESCO), grâce au travail du Dr Giorgio La Scala, effectives depuis le 15/01/2007. L activité de recherche a été poursuivie, avec deux axes : clinique et fondamentale appliquée (laboratoire animé par le Dr Jacques Birraux). Ces travaux ont abouti à 17 articles originaux en 2007, à 6 chapitres de livres, une thèse, et à 34 communications à des congrès nationaux ou internationaux. La visibilité du service a été promue, avec 7 cours ou conférences nationales ou internationales, 2 interviews télévisées et la participation à un film. 11

12 Projets pour 2008 Poursuite du développement de l activité clinique - suivant les axes prioritaires du projet de service (chirurgie hépato-biliaire et transplantation, urologie, chirurgie mini-invasive), avec une attention particulière à la restructuration de l urologie pédiatrique. - avec renforcement de la chirurgie ambulatoire : la limitation principale est l insuffisance de structures pour héberger les familles, lorsque l hospitalisation de l enfant la nuit ou le week-end pourrait être évitée. - en veillant à continuer d assurer une qualité optimale de toutes les prestations, notamment les soins de médecine de proximité. Accueil de l ORL pédiatrique Le transfert d une grande partie de l activité d ORL pédiatrique (amygdalectomies et tonsillectomies) est prévu pour mai La préparation de ce transfert de patients (flux estimé : 300 à 350 patients / an) nécessite un travail concerté entre les différents partenaires: service de chirurgie pédiatrique, service d ORL, anesthésie pédiatrique, bloc opératoire, policlinique de pédiatrie, direction du département de l enfant et de l adolescent. 12

13 SERVICE DEVELOPPEMENT ET CROISSANCE Médecin cheffe de service Prof. P.S. Hüppi Unité de Développement Evolution en % Nombre de patients Nombre de journées d hospitalisation Moyenne de la durée d hospitalisation 25,8 21,8 +18 Taux d occupation (8 lits) Maternité périphérique Nombre total de naissances Enfants mort-nés Morts néonatales 14 Consultations ambulatoires Nombre total de consultations Nouveaux patients actifs Refus Partis 9 10 Décès 3 16 Pas venus mais facturés 70 Transferts CHUV ou Zürich 13 Transferts sécurité sociale 9 Critères d inclusions < 32 semaines de gestation < 1500 g 73 Asphyxie Sevrage 24 6 Psychosocial Grossesses gémellaires Triplés 12 2 Affections congénitales 9 Affections neurologiques 22 Cardiopathie congénitale 4 6 Retard de croissance intra-utérin sévère Problème génétique

14 Activités à la Maternité Les pédiatres du Service Développement & Croissance et les obstétriciens de la Maternité ont étroitement collaboré afin d assurer la meilleure prise en charge possible des mères et de leurs nourrissons, permettant ainsi un retour à domicile rapide, dans la mesure du possible. A noter que cette collaboration permet de: Faciliter les discussions de cas. Mieux cerner les problèmes éventuels. Améliorer la logistique des examens para-cliniques. Discuter et entreprendre rapidement les mesures thérapeutiques adéquates (ce qui est le cas pour environ 50% des enfants). Le dossier médical informatisé du nouveau-né a été achevé avec succès et sa diffusion électronique aux pédiatres installés en ville et alentours est en cours. UD- Lits Est hospitalisé à l Unité de Développement : Le grand prématuré (<32 semaines de gestation) qui, en période de croissance stable, profite de soins du développement ou d interventions médicales adaptés à son état actuel de maturité. L enfant de parents à risques (situations psychosociales difficiles) bénéficie de nos soins car toute une structure médicale et psychosociale est mise en place afin de garantir un retour à domicile adéquat et harmonieux pour l enfant. La Consultation du Développement La consultation du développement a pour buts de : dépister les troubles développementaux prévenir suffisamment tôt tout risque de morbidité développementale et pouvoir intervenir de manière spécifique afin de soulager et prévenir tout handicap permanent sans oublier le suivi de tout enfant présentant un risque de trouble du développement à la naissance et d évaluer de manière systématique les enfants à risques nous étant adressés par les pédiatres. Un enregistrement vidéo de la consultation permet une observation fine et longitudinale des compétences neuromotrices, cognitives et comportementales. La consultation est donc pluridisciplinaire ; elle se compose d un médecin spécialisé en pédiatrie néonatale et neurodéveloppementale, de psychologues du développement, de physiothérapeutes et d une assistante sociale qui peut participer en cas de besoin à la consultation. 14

15 Unité d endocrinologie et de diabétologie pédiatrique Médecin adjoint Dr. V. Schwitzgebel Evolution en % Activités Prestations cliniques Hospitalisations pour la diabétologie Consultations internes d enfants hospitalisés Test d endocrinologie à l unité métabolique Consultations à la policlinique de pédiatrie : Endocrinologie Diabétologie Réunions de l'équipe pluridisciplinaire 5 5 Enseignement aux enfants diabétiques (heures) Consultations téléphoniques urgentes (Nuits et week-end) Diététique Patients Endocrinologie Patients Diabétologie Psychologue Patients Endocrinologie Patients Diabétologie Tests endocriniens à l unité métabolique La consultation d Endocrinologie pédiatrique La consultation d'endocrinologie permet de suivre les enfants présentant des problèmes de croissance, de puberté, de thyroïde, de poids, ainsi que tout autre problème endocrinien. Les patients sont suivis très régulièrement, tous les 3 à 6 mois, et les nouveaux cas sont en progression constante. La consultation de Diabétologie pédiatrique Elle permet un suivi régulier des patients diabétiques afin d atteindre le meilleur équilibre métabolique possible. Quelques enfants ont pu bénéficier du nouveau matériel de pointe avec une lecture de glucose interstitiel en continue (Guardian et Real time). 15

16 SERVICE DE GASTROENTEROLOGIE ET TRANSPLANTATION PEDIATRIQUES Médecin chef de service Prof. D. Belli Unité de gastroentérologie pédiatrique Médecin adjointe Dr M. Schaeppi Evolution en % Consultations : Policlinique Enfants hospitalisés Actes techniques : Endoscopie haute Extraction corps étranger 8 9 Gastrostomie percutanée endoscopique Dilatation pneumatique oesophage 2 1 Biopsie jéjunale Recto-sigmoïdoscopie Colonoscopie Résection endoscopique polype 1 2 Biopsie rectale Biopsie du foie Sclérose varices oesophagiennes 3 3 Manométrie ano-rectale Manométrie grêle Manométrie oesophagienne 3 1 ph-métrie oesophagienne Breath-test lactose Breath-test urée Test direct coeliakie 21 Enregistrement TA 24h (greffe de foie) Vidange rectal / lavage rectal 1 4 Unité d Immuno-vaccinologie pédiatrique Médecin adjointe agrégée Prof. C.-A. Siegrist Laboratoire de Vaccinologie Evolution en % Nombre de tests Nombre d échantillons Nombre de points OFAS

17 En 2007, le nombre de demandes et de tests à encore augmenté de façon significative. L analyse des tests par antigènes indique une forte augmentation des demandes d analyse des anticorps contre les pneumocoques une prestation unique en Suisse. Les consultations de vaccinologie en l absence du patient (intégration des données cliniques et immunologiques) se montent actuellement à 59% des demandes d analyses. La moitié est destinée à des médecins extérieurs aux HUG et donc facturée. 17

18 SERVICE D ORTHOPEDIE PEDIATRIQUE Médecin chef de service. Médecins adjoints Infirmière responsable Prof. A. Kaelin Dr D. Ceroni, Dr V. De Rosa Mme M. Zaugg Evolution en % Patients hospitalisés Entrées journées d'hospitalisation durée de séjour 5.4 4,6 +8 lits en service taux d occupation Journées semi-hosp Actes chirurgicaux et réductions sous AG Traumatologie Interventions orthopédiques (actes) Evolution en % Activité ambulatoire Consultations orthopédie pédiatrique Traumatologie Neuro-orthopédie 245 Neuro-orthopédie Clair-Bois 87 Centre IMC de la Chaux-de-Fonds et Neuchâtel 39 Consultations des plâtres Plâtres urgences Plâtres pour hospitalisés 440 Photos moirées Examens de marche 71 Physiothérapie et ergothérapie Total des visites Consultations internes (sans le SAUP) Globalement on voit que l'activité ambulatoire augmente et que l'activité chirurgicale diminue ; ceci s'explique par le fait que des pathologies sont traitées différemment, les piedsbots, par exemple, n'ont plus de plâtres sous AG ni opérations lourdes, la correction se fait progressivement en ambulatoire. La durée d'occupation des salles d'opération est par contre restée stable, démontrant la lourdeur des cas chirurgicaux actuellement pris en charge. Durant cette année 2007, nous avons eu une importante activité de publications : 11 articles ont été publiés dans des journaux à politique éditoriale. 7 dans des journaux sans politique éditoriale 2 chapitres de livre 14 abstracts de congrès nationaux et internationaux ont été publiés. 18

19 SERVICE DE PSYCHIATRIE DE L ENFANT ET DE L ADOLESCENT Médecin chef de service Médecin adjoint agrégée Médecin adjoint Médecins adjointes IARS Prof. Francisco Palazio-Espasa jusqu au 30 septembre 2007 Prof. François Ansermet dès le 1 er octobre 2007 Dr Dora Knauer Dr Rémy Barbe Dr Nathalie Nanzer, Dr Aurora Venturini Mme G. Garnier Evolution en % Patients hospitalisés Médecine A Unité de crise Unité du Salève Journées d hospitalisation Lits en service Durée moyenne de séjour Patients semi-hospitalisés Nombre de patients Journées semi-hosp Hôpital de jour Clairival Hôpital de jour les Comptines Jardin d enfants thérapeutique Activités ambulatoires Nombre de visites Unité de crise Guidance infantile CEPS (prévention suicide) Guidance AI Nouveaux cas Unité de crise 101 CEPS 137 Guidance 796 Projets 2008 Remplacement des deux unités dites enfants et adolescents par la création de cinq unités soit : o Unité d Hospitalisation : cette unité regroupe le Salève et Médecine A2 afin d utiliser ces deux structures hospitalières dans une conception globale des soins hospitaliers sous une même direction. 19

20 o Unité de Crise : cette unité regroupe trois structures, soit l Hospitalisation de crise, le Centre Ambulatoire de Traitement Intensif en cours de mise en place en partenariat avec Children Action (qui permettra un fonctionnement ambulatoire d amont et d aval par rapport à l hospitalisation de crise), et enfin le Centre d Etude et Prévention du Suicide (CEPS) qui est entièrement porté sur le plan financier par Children Action. Ces trois structures devraient fonctionner en tripode au sein de l UCA sous la direction d un même chef d Unité. o Unité d Hospitalisation de Jour : cette unité regroupe les différents Hôpitaux de jour du SPEA, soit Clairival, les Comptines et le Jardin d Enfants Thérapeutique. Le projet est de les rassembler pour leur permettre des programmes différenciés et spécifiques, articulés en particulier autour des problématiques d interface avec la neuropédiatrie et la pédiatrie du développement. o Unité de Liaison : la création de cette Unité de liaison, favorisera un travail multidisciplinaire entre la pédopsychiatrie et les différentes spécialités de médecine et de la chirurgie de l enfant, dans le sens de la mise en place un pôle d excellence à Genève dans ce domaine. Les différents axes de la pédopsychiatrie de liaison seront regroupés en deux structures, à savoir d une part la liaison périnatale, d autre part la liaison enfantsadolescents. o Unité de Guidance Infantile : cette unité est le cœur historique du service et représente un pôle de compétence et de rayonnement autour de la psychiatrie du nourrisson et du jeune enfant, ainsi que des interventions psycho-thérapeutiques précoces. Cette unité inclut trois structures, soit la Consultation ambulatoire des jeunes enfants, un Centre d évaluation du langage et de la communication et enfin la Liaison avec le réseau ambulatoire autour de psychiatrie du nourrisson et du jeune enfant. 20

21 SERVICE DE NEONATOLOGIE ET DE SOINS INTENSIFS DE PEDIATRIE Médecin chef de service Prof. M. Berner Infirmière AIRS Mme Ch. Savin Unité de néonatologie Médecin adjoint responsable d'unité Infirmières responsables Dr R. Pfister Mmes C. Allemoz-Vassant et V. Launoy Evolution en % Nombre d'admissions patients hospitalisés Journées d'hospitalisation Durée moyenne d'hospitalisation 7 (7.4) Lits en service Taux d occupation Catégories de soins SSMI (%) Néonatologie lits intensifs (7) Evolution en % Ia (4 inf/patient/ 24h) Ib (3 inf/patient/ 24h) II (2 inf/patient/ 24h) III (1 inf/patient/ 24h) Admissions refusées dans l unité en 2007 En néonatologie, les transferts des mamans de 36 enfants ont du être refusés par manque de place ou de personnel nécessaires à leur prise en charge (42 en 2006). Unité de soins intensifs de pédiatrie Médecin adjoint agrégé responsable d unité Infrmières responsables Dr P. Rimensberger Mmes V. Bigot et V. Meyer Evolution en % Admissions Pédiatrie générale Néonatologie Chirurgie cardio-vasculaire Chirurgie générale Neurochirurgie Chirurgie transplantation Onco-hématologie

22 Evolution en % Orthopédie Ophtalmologie 0 1 ORL 0 6 Chirurgie maxillo-faciale Soins intermédiaires Entrées ambulatoires Journées d'hospitalisation Pédiatrie générale Néonatologie Chirurgie cardio-vasculaire Chirurgie générale Neurochirurgie Chirurgie transplantation Onco-hématologie Orthopédie Ophtalmologie 0 2 ORL 0 6 Chirurgie maxillo-faciale Soins intermédiaires Entrées ambulatoires Nombre de patients sous respiration assistée 331 Journées de respiration assistée Taux d occupation (%) lits en service 8 8 Durée moyenne de séjour Journées semi-hosp Catégories de soins (SSMI) Evolution % Ia 15% 23% Ib 48% 31% 35.4 II 33% 40% III 4% 6% Soins intermédiaires Evolution % Patients hospitalisé Journées d hospitalisation Durée de séjour Lits en service 3 3 Taux d occupation Journées semi-hosp Pour les USI, on note une augmentation remarquable de l activité cardio-chirurgicale tant en nombre qu en efficience (+22% pour les patients, + 1% pour le nombre de jours de ventilation et + 6.5% pour la durée de séjour). De même, l activité de transplantation, avec une hausse de 10% s accompagne cependant d une diminution des jours de ventilation (-60%) et de la durée de séjour (-30%). La diminution de l activité néonatologique aux USI avec une réduction des admissions et des cas nécessitant une ventilation mécanique (respectivement 18 et - 38%) traduit probablement l efficacité réjouissante de l utilisation toujours plus précoce de la 22

23 CPAP. En ce qui concerne les catégories de patients, il y a toujours moins d enfants et de nouveau-nés de catégories III dans les unités, confirmant la tendance à l hospitalisation de cas toujours plus complexes. Evolution du nombre de grands prématurés Prématuré < 32 semaines et/ou <1500g. Prématurés < 28 sem et/ou < 1000g Le nombre de grands prématurés reste incompressible dans les derniers dix ans malgré les efforts de prévention entrepris à de nombreux niveaux. Ce petit nombre d enfants consomme des ressources considérables avec un coût bénéfice universellement accepté comme positif. Activités en dehors des unités de soins Salle d'accouchement Avec 3812 naissances (3856 en 2006), l activité en salle d accouchement se stabilise. Un contrôle de qualité du relevé systématique des prestations en salle d accouchement est en cours. Les chiffres bruts sont que: 2147 interventions ont été nécessaires dont 1150 de stand-by 860 de réanimation simple 300 de réanimation intermédiaires et 175 de réanimation lourdes Ces chiffres représentent un total moyen de 5.9 interventions par jour et 3.7 heures d interventions avec une moyenne par intervention de 33 minutes s échelonnant de 26 à 103 minutes pour les réanimations lourdes. Cardiomobile Le cardiomobile a effectué 473 sorties pédiatriques en 2007 par rapport à un total de 323 en 2006 (+ 46%). 308 sorties concernaient des enfants de moins de 5 ans. Environ 40% des sorties ont lieu sur les horaires de nuit. Les principaux diagnostics par catégories restent les convulsions fébriles, les problèmes respiratoires et les TCC simples. Un nombre plus élevé de cas relèvent des catégories NACA 3 et 4 cette année. Dans un effort de collaboration inter-service, le CDC du SAUP participe à la couverture de ce service les jours de semaine depuis octobre 2007, permettant au CDC USI de s occuper plus spécifiquement de la salle d accouchement, des transports inter- et intra-hospitaliers ainsi que des examens d imagerie nécessitant une surveillance. 23

24 Décès 31 décès, (17 enfants et 14 nouveau-nés) ont été enregistrés en 2007, la majorité survenus à la suite d'une décision concertée d'arrêt de traitements pour raison de futilité ou de pronostic paraissant déraisonnable à long terme. Réalisation Guidelines en collaboration avec les cliniques privées du canton - Création du site Intranet de la néonatologie - Vision mère-enfant en néonatologie grâce au soutien de la fondation DEFITECH - 5 ème congrès mondial de Médecine Intensive Pédiatrique - Coopération internationale au développement de la néonatologie : Roumanie, Moldavie. Projets Création de chambres d hospitalisation «mère-enfant» à la Maternité, en collaboration avec la Fondation Artères - Informatisation des données patients, projet SISIF - Rénovation et extension de l unité de soins intensifs ; financement en grande partie par des dons. 24

25 SERVICE D ACCUEIL ET URGENCES PEDIATRIQUES (SAUP) Médecin chef de service. Prof. A. Gervaix, CC Infirmière responsable Mme S. Germain Evolution en % Patients repartis, moins de 24 heures Patients repartis, plus de 24 heures Patients semi-hospitalisés Patients hospitalisés Total patients Journées semi-hosp Journées hosp Total journées

26 UNITE SANTE JEUNES Responsable Dr Françoise Narring Evolution en % Consultations infirmières Actes infirmiers Consultations médico-infirmières Visites-accompagnements Téléphones aux patients Téléphones au réseau Le Programme adolescents et jeunes adultes des HUG a été créé en 2001 pour favoriser l accès aux soins des adolescents. L adolescence est, en effet, une période de développement physique, psychologique et sociale au cours de laquelle apparaissent des besoins de santé spécifiques, liés à la transition entre enfance et âge adulte Dans le département de l Enfant et de l Adolescent (DEA) et en lien avec le Service de médecine de premier recours SMPR (département de médecine communautaire et de premier recours DMCPR), l unité offre des soins aux jeunes à partir de 12 ans et jusqu à 25 ans, associant médecine générale et pédiatrie dans un même service de soins de premier recours (primary care). La collaboration au sein de l équipe, de spécialistes, psychiatres ou gynécologues, permet de faire un travail en complémentarité avec les autres services du réseau genevois comme le service de Santé de la Jeunesse (SSJ), les services psychiatriques - le service médico-pédagogique (SMP) ou les services de psychiatrie des HUG - les médecins de la ville (généralistes, internistes, pédiatres ou spécialistes) et les autres services des HUG. Consultation multidisciplinaire pour adolescents et jeunes adultes L équipe des médecins de l unité a effectué 3'263 consultations en 2007, dont 890 consultations avec un psychiatre et 479 consultations avec un gynécologue. Ce qui correspond à une moyenne de 272 consultations par mois, alors que 23% des rendez-vous étaient manqués ou annulés (comme en 2006). Les garçons représentent moins de 20% des jeunes accueillis. Les filles sont deux fois plus nombreuses parmi les patients des médecins de premier recours (32% de garçons). Les consultations de Gynécologie progressent en fonction de l offre, confirmant le besoin de consultations spécialisées pour les jeunes filles dans un lieu identifié et convivial (479 consultations en 2007 contre 373 l an dernier). Les consultations infirmières jouent un rôle important dans l accès aux soins des jeunes qui fréquentent la CSJ, en offrant un accueil à bas seuil et un accompagnement pour favoriser la continuité des soins en cas de difficultés d observance Les infirmières ont suivi 302 nouveaux patients en Les jeunes filles représentent 85% des patients suivis en 2007, qui comptent 2 clandestins et 53 requérants d asiles. 26

27 Soins en Groupe et programmes de soins spécifiques Programme contrepoids pour adolescents : La parole au corps : un groupe et des consultations. Une collaboration avec le SPEA. Groupe jeunes mères : Une collaboration avec le planning familial (CIFERN, unité DMCPR). Groupe pour les parents d adolescents souffrant de troubles du comportement alimentaire, anorexie mentale en particulier : Une collaboration avec le SPEA et la consultation pour adolescent Consultations de liaison pour les adolescents et les jeunes adultes Liaison dans les services de psychiatrie pour adolescents (SPEA) Liaison dans le service de Gynécologie Soins multidisciplinaires et mise à disposition de compétences spécifiques Soins infirmiers Soins aux adolescents en souffrance psychique Soins aux adolescents faisant usage de substances Soins aux adolescents malades chroniques, transition des soins Soins aux adolescents migrants Réponses aux questions des adolescents sur internet : ciao.ch Entretien de famille et accès aux soins 27

28 SERVICE DE REEDUCATION Physiothérapie Responsable : Mme Ch. Châtelain Evolution en % Nombre de patients hospitalisés traités Nombre de traitements internes Activité ambulatoire Orthopédie Neurologie Maladie neuromusculaire Cas respiratoires Divers Total patients Nombre de traitements En plus de nos traitements et des consultations, nous avons fait 128 photos moirées, 39 tests de marche et des bilans pour les myopathes et rhumatisants. Consultations pluridisciplinaires Unité de développement : 20h. par semaine. Encadrement des étudiants HES 20h. par semaine. Projets Réussir le regroupement des services de physiothérapie de la maternité et de la pédiatrie - Organiser un baby cours NDT Bobath en collaboration avec l association Physiotherapia Paediatrica au mois de février 28

29 Ergothérapie Responsable Mme F. de Tonnac Evolution en % Tt ambulatoires 45 min Tt hospitalisés 45 min Orthèses Adaptations Casques Bilans Visites domiciles/écoles Nombre de traitements Nous avons développé un nouveau type d attelle pour la supination du membre supérieur chez les enfants botoxés. Nous avons effectué 3 présentations pour faire connaître notre spécificité : - la première adressée aux neuropsychologues : la prise en charge des enfants TAC en ergothérapie pédiatrique - la deuxième adressée aux chirurgiens : l ergothérapie en pédiatrie et les orthèses - la troisième adressée aux neurologues : l ergothérapie en pédiatrie et les évaluations utilisées par le service. Projets Créer un bilan pour le membre supérieur pré et post botox, en liaison avec les cabinets privés d ergothérapie genevois. - Elargir les possibilités de traitements pour les problèmes visuo-moteurs. 29

30 Soins infirmiers 30

31 SOINS INFIRMIERS Infirmière responsable des soins : Mme S. Loiseau PRN Taux d adéquation : Pédiatrie + Médecine A2 (sans DEA) : 90 % USI/Néonatologie : 90 % Unités de soins : 90,7 % Résultats superposables à ceux de 2006 qui restent difficilement interprétables du fait des changements créés par DPI-Mi. Accréditation en Médecine A1 La JACIE.a effectué son contrôle, nous sommes dans l attente de la réponse positive. Cette année a vu la collaboration avec les infirmières du 5FL s intensifier. Les cours sont organisés pour les 2 équipes soignantes. Gestion du personnel 1. Suivi des absences par une gestion individualisée 2. Turn-over - Départs 13 postes soit environ 3.5 % de l effectif de base - Arrivées 12.3 postes Commentaires En 2007, on observe une grande stabilité dans l effectif soignant. L attractivité du Département reste présente. Les offres spontanées intra et extra HUG sont nombreuses et garantissent le recrutement du Département. Les demandes d emploi venant des infirmières diplômées de la HEDS So restent conséquentes, malheureusement on ne peut donner de réponses positives. Les remplacements en CDD pour les congés maternité ont été le plus souvent prolongés par des embauches en CDI pour les soignants les plus compétents. 3. Formation Formation soins de base : 46 collaborateurs Supervision cadres Pédiatrie 4 journées assurées par M. Moraga : Formation HUG + congrès : 2170,25 jours Formation Approche familiale 6 journées en 2006 et 2007 pour les cadres IRUS et SL. Principales réalisations en 2007 DPI-Mi Poursuite du déploiement et support important des équipes soignantes. SISIF Les USI/Néonatologie se sont préparées à l implantation de SISIF (Février 2008). 31

32 Gouvernance Depuis octobre 2006, les RS sont hiérarchiquement responsable des PPS, ceci dans l attente des décisions du Comité de Direction. DEA / SPEA En mai 2007, les équipes médico-soignantes administratives du SPEA sont transférées du Département de Psychiatrie vers le DEA. Mise en place de l organisation : nomination d une IARS. Prise de contact et intégration au DEA des équipes soignantes du Salève et de l UCA. Définition de la collaboration métier avec le Département de Psychiatrie et son IRS. Objectifs 2008 L objectif Victoria 2008 a produit des réflexions sur les axes suivants : Flux patients Définir les différentes catégories de lits au DEA : 1. Ouverture de 2 lits soins intermédiaires supplémentaires permettant une orientation des situations de soins intermédiaires vers 6 lits de soins intermédiaires à proximité des soins intensifs. 2. Définition des lits consacrés aux soins ambulatoires dans chaque unité. Répartition adaptée des ressources. 3. Ouverture de 2 lits supplémentaires dans la chambre d observation du SAUP. Critère d entrées pour la Chirurgie et l Orthopédie à définir et mettre en application. 4. Ouverture de 2 lits de traitement ambulatoire intensifs au SPEA. Objectif : diminuer les hospitalisations psychosociales en Pédiatrie. Redistribution des ressources En fonction de la redéfinition du flux patients, redistribuer les ressources humaines en intégrant la diminution de 10 postes infirmiers. 6 lits soins intermédiaires : postes infirmiers ouverts au personnel infirmier des unités de soins, formation à définir. Tournus. 5 lits chambres d observation au SAUP : poursuivre la démarche de prise en charge de patients hospitalisés de moins de 24h dans un service d urgence : information aux familles, suivi du patient, gestion des ressources en effectif. Travaux d aménagement des USI Déplacer les USI (pour 4-5mois) pour faciliter la mise en œuvre de travaux conséquents permettant d aménager les lits de soins intensifs et l ouverture des soins intermédiaires avec 2 lits supplémentaires. Gouvernance Intégrer dans la gestion du DEA les différents PPS selon directives du Comité de Direction. 32

33 Projet qualité : Accueil patients-familles : SAUP, Chirurgie. Susciter une remise en question sur l accueil des enfants et de leur famille pratiqué au sein du DEA : SAUP et Chirurgie dans un premier temps. Analyse des situations permettant, par des jeux de rôle et une réflexion positive, d étudier les différents comportements des soignants : écoute active, jugement de valeurs, réactions face à l agressivité des parents, des patients. Valider pour le DEA une attitude d accueil selon les critères définis lors des analyses de situations. 33

34 Service Social 34

35 SERVICE SOCIAL Evolution en % Total des nouvelles situations traitées GPE Suivis GPE Nouveaux dossiers sociaux Suivis dossiers sociaux Le service social est composé de trois assistantes sociales, dont deux à plein temps et une à 50 % ainsi que d une secrétaire à 50 %. Ce service est à disposition de tous les enfants hospitalisés ou suivis ambulatoirement et de leurs familles. Le but du service social consiste à soutenir et accompagner ces familles face aux difficultés liées à la maladie et/ou à l handicap. Les demandes de prise en charge arrivent par le biais du corps médical, infirmier, paramédical et par les services sociaux extérieurs. Evaluation et soutien Le service social est appelé à évaluer toute situation de famille en difficulté. Cette évaluation se fait par le biais d une anamnèse sociale qui donne une appréciation de la problématique familiale, économique et professionnelle. Lors d une hospitalisation, l organisation de la famille se trouve souvent bouleversée (fratrie à garder, arrêt de travail d un parent ce qui implique un manque à gagner, logement inadapté à l arrivée, à la maladie ou à l handicap de l enfant). Il est également très important d estimer l insertion sociale de la famille (ressources familiales, amicales et voisinage). Cette situation implique un soutien important des parents en vue de favoriser leur confiance et d obtenir une alliance dans une prise en charge hospitalière adéquate. Coordination et liaison Par un travail de coordination intra et extra hospitalier, le service social favorise les échanges entre les équipes hospitalières, les familles et les nombreux partenaires extérieurs. Il participe à la mise en place d un réseau adapté à chaque situation. Les liens de longue date tissés par le service social de l Hôpital des Enfants avec un certain nombre de services extérieurs tels que le Service de Protection des Mineurs, le Service Santé Jeunesse, l Hospice Général, le Service de l Assurance Maladie, le Centre LAVI (loi sur l aide aux victimes d infractions) etc, permet une meilleure adéquation de la prise en charge des situations. 35

36 Travail administratif et d information sociale et juridique Les assistantes sociales accomplissent un important travail administratif, d information sociale et juridique afin de soulager les conditions de vie souvent difficiles de ces familles : 1. problèmes d assurances : assurance maladie, assurance invalidité, assurance chômage, dérogation tarifaire 2. démarches avec les administrations : Office Cantonal de la Population, Administration Fiscale, Consulats etc. 3. recherche de logement 4. recherche de fonds privé 5. soutien dans la recherche de crèche 6. témoignages auprès des tribunaux et de la police. 36

37 Services administratifs 37

38 SERVICES ADMINISTRATIFS Administrateur : Adjointe : Secrétaire : M. Michel BLOCH Mme Paola FLORES Mme Nicole IMESCH Responsable des secrétariats médicaux : Responsable du secteur CAF/DU Responsable de la Gestion des Patients hospitalisés : Correspondante informatique : Mme Maryse VALLET M. Nicolas BORNAND M. Gilberto FERRI Mme Anouck MULLER Le Plan stratégique des HUG nous a conduit à intégrer certaines actions afin de relever d autres défis dans notre environnement médico-économique. Les mesures proposées dans le cadre du projet «Victoria» ont ciblé certains objectifs, le gain d efficience ou encore, l identification de nouvelles sources de revenus. Des outils de gestion, tels que les feuilles de route, fiches projets ou plan d actions, ont été conçus afin de mieux mesurer et suivre nos axes d amélioration. En début d années, nous avons également vécu une réorganisation des organigrammes par une recomposition des départements médicaux : le département de pédiatrie est devenu département de l enfant et de l adolescent en perdant les laboratoires mais en accueillant le service de psychiatrie de l enfant et de l adolescent, ainsi que la consultation «Santé Jeunes». Ainsi, le volume de nos activités s est agrandi avec de nouveaux collaborateurs, de nouveaux locaux et de nouvelles procédures de travail. Activités au sein du CAF-DU - Mise en production d un référentiel administratif - Mise à jour des cahiers des charges - Formation-action «Motivation-Ressources» - Nouveau standard téléphonique - Installation d un système de gestion de files d attente Tableau de bord des secrétariats - Courriers traités : 21'403 (baisse de 3 %) - Lettres de sortie : 4'764 (-2 %) - Rapports de consultations : 10'897 (- 6 %) - Rapports d assurances : 2'034 (- 2 %) - Rapports opératoires : 2'274 (-3 %) - Rapports AI : 1'434 (- 2 %) Le turn-over et l absentéisme expliquent ces baissent. Le déploiement de logiciels de reconnaissance vocale devrait apporter une aide au cours de l an prochain. La création d un bureau central de liaison assurantiel doit également soulager le travail des secrétariats. 38

39 Comptes et activités 39

40 COMPTES ET ACTIVITES L année 2007, avec la recomposition des départements et la mise en place des axes «Victoria», aura été l année des changements. Nouvelle appellation, nouvel organigramme, augmentation des volumes (postes, journées, visites, lits, budgets), mais un résultat fidèle aux prévisions, avec un déficit affiché de 1'119 KF. Hors l indemnité de comblement de 40,8 MF, les produits dépassent le budget de 2, 5 % pour atteindre 55,5 MF. La facturation stationnaire atteint le chiffre de 39,3 MF en progressant de 3 %. Les unités de soins ont connu des taux d occupation proche des 100 % tout au long de l année. La facturation des prestations ambulatoires à hauteur de 14,5 MF évolue de 16 %, tandis que le nombre de visites ne progresse que de 1 %! L amélioration du taux de couverture ambulatoire, suite aux recommandations de l audit effectué et à la mise à jour des feuilles de relevés de prestations en sensibilisant les acteurs, axe principal de l opération «Victoria» de notre département, a dépassé nos espérances. Au niveau des urgences, malgré une baisse de 4 % des visites, la facturation progresse de 25 %, là aussi, on remarque l effet «Victoria». Le total des charges comptabilisées atteint 97,5 MF, dépassant le budget de 2, 5 MF. Les frais de personnel représentent 89 % des charges, et avec 86,6 MF de réalisé, dépassent le budget de 1,7 %. Les dépenses en charges médicales, à 7,5 MF, dépassent le budget de 10,7 %. Seuls les services de chirurgie (hausse des activités) et de pédiatrie (oncologie) ont connu des évolutions par rapport à l an dernier. Compte tenu de la réalisation des objectifs d économie ou d amélioration de recettes projetés à 1,9 MF au titre de l opération «Victoria», de la surévaluation de l introduction des forfaits APDRG, du financement de l absorption du SPEA (impact 0,2 MF) et de certains éléments exceptionnels de fin d année, le résultat comptable même négatif peut être considéré comme globalement bon, et dans le lignée de celui réalisé l an dernier, proche de l équilibre. Annexes : Tableau de bord HUG Tableau de bord Activité Pédiatrie Indicateurs 40

41 41

42 42

43 37

44 Constructions et travaux 44

45 CONSTRUCTIONS ET TRAVAUX PL 9804 Rénovation partielle et l équipement de l hôpital des enfants existant Le Projet de loi ouvrant un crédit d investissement de Fr. 21'584'000. sera déposé à fin avril 2008 par le DCTI auprès du Conseil d Etat pour introduction au Grand Conseil et analyse par sa commission des travaux que l on espère encore d ici la fin Local des fonctions pulmonaires Rénovation du local des fonctions pulmonaires afin d offrir aux patients un lieu adapté, climatisé et fonctionnel pour les activités liées aux tests d effort (cardiologie pédiatrique et médecine du sport) et aux fonctions pulmonaires, plethysmographe (pneumologie pédiatrique). 45

46 Donateurs et Bénévolat 46

47 DONATEURS ET BENEVOLAT Le Comité de gestion du département de l enfant et de l adolescent tient à remercier chaleureusement les sociétés, fondations, associations, organisations, parents, familles et amis, ainsi que les partenaires ayant contribué au financement et/ou à l animation des activités ou des projets qui ont permis d améliorer le confort de nos petits patients, de les soutenir durant leurs séjours en apportant un peu de gaieté. Sans ces soutiens, de nombreuses actions n auraient pu voir le jour. Réalisations 2007 La Teuf à l hosto 2007 (fête de la musique) Réalisation d un dvd sur la Teuf à l hosto Aménagement de la salle de jeux pour les adolescents en Med B2 Financement d une arthérapeute pour le spea Restauration de l isolette en Med A1 Financement d une éducatrice de la petite enfance pour la halte garderie Décoration du couloir de la cardiologie pédiatrique par 83 portraits de Titeuf Aménagement final de la salle de jeux, unité BB Décoration de l unité des soins intensifs Décoration des chambres de l unité d onco-hématologie Projets 2008 Visio conférence en néonatologie Aménagement de la salle d attente de la policlinique d hématologie La Teuf à l hosto 2008 (le 18 juin) Aménagement «confort patients» de l unité métabolique Aménagement de la salle de séjour du centre de traitement ambulatoire intensif Rénovation et mise aux normes de la place de jeux du centre de jour Clairival Aménagement de la salle de jeux B1B2 Création d un cyber menthalo à l unité du Salève 47

CRITERES DE REMPLACEMENT

CRITERES DE REMPLACEMENT ANATOMIE ET CYTOLOGIE PATHOLOGIQUES - 7 semestres dans des services agréés pour le DES d anatomie et cytologie pathologiques, dont au moins 5 doivent être accomplis dans des services hospitalouniversitaires

Plus en détail

DOSSIER DE PRESSE OUVERTURE DU NOUVEL HOPITAL DE CANNES. Service Communication Tel. 04 93 69 75 70 Fax 04 93 69 70 09 Email : a.helbert@ch-cannes.

DOSSIER DE PRESSE OUVERTURE DU NOUVEL HOPITAL DE CANNES. Service Communication Tel. 04 93 69 75 70 Fax 04 93 69 70 09 Email : a.helbert@ch-cannes. Service Communication Tel. 04 93 69 75 70 Fax 04 93 69 70 09 Email : a.helbert@ch-cannes.fr DOSSIER DE PRESSE OUVERTURE DU NOUVEL HOPITAL DE CANNES Crédit Photo : Nicolas MASSON Cannes, le 6 avril 2011

Plus en détail

dossier de presse nouvelle activité au CHU de Tours p a r t e n a r i a t T o u r s - P o i t i e r s - O r l é a n s

dossier de presse nouvelle activité au CHU de Tours p a r t e n a r i a t T o u r s - P o i t i e r s - O r l é a n s dossier de presse nouvelle activité au CHU de Tours lat ransplantation hépatique p a r t e n a r i a t T o u r s - P o i t i e r s - O r l é a n s Contact presse Anne-Karen Nancey - Direction de la communication

Plus en détail

AUDIT BLOC OPERATOIRE

AUDIT BLOC OPERATOIRE AUDIT BLOC OPERATOIRE Forum Octobre 2006 G.Bossuat, inf, HPCI, CHUV 1 Rappel théorique Audit vient du mot latin «audire», écouter. L audit, est un processus méthodique, indépendant et documenté permettant

Plus en détail

INAUGURATION Du service de Pédiatrie Dossier de presse JEUDI 14 NOVEMBRE 2013

INAUGURATION Du service de Pédiatrie Dossier de presse JEUDI 14 NOVEMBRE 2013 Dossier de presse INAUGURATION Du service de Pédiatrie JEUDII 14 NOVEMBRE 2013 Le dossier Le service de Pédiatrie Introduction La Pédiatrie : Ses activités Quelques données chiffrées Son fonctionnement

Plus en détail

Hôpital performant et soins de qualité. La rencontre des extrêmes estelle

Hôpital performant et soins de qualité. La rencontre des extrêmes estelle Hôpital performant et soins de qualité. La rencontre des extrêmes estelle possible? 18 octobre 2012 Professeur Philippe KOLH CIO, Directeur du Service des Informations Médico-Economiques CHU de LIEGE Plan

Plus en détail

Visite test de certification V2014 Retour du CHU de Rennes GCS CAPPS Vendredi 12 juin 2015

Visite test de certification V2014 Retour du CHU de Rennes GCS CAPPS Vendredi 12 juin 2015 Visite test de certification V2014 Retour du CHU de Rennes GCS CAPPS Vendredi 12 juin 2015 CENTRE HOSPITALIER UNIVERSITAIRE DE RENNES Le CHU de Rennes Etablissement MCO, SSR, SLD de 1860 lits et places

Plus en détail

OFFRE EN STAGE SIP POUR LES ETUDIANT(E)S D ANNEE PROPEDEUTIQUE SANTE ET LES ETUDIANTS BACHELOR FILIERE SOINSINFIRMIERS

OFFRE EN STAGE SIP POUR LES ETUDIANT(E)S D ANNEE PROPEDEUTIQUE SANTE ET LES ETUDIANTS BACHELOR FILIERE SOINSINFIRMIERS OFFRE EN STAGE SIP POUR LES ETUDIANT(E)S D ANNEE PROPEDEUTIQUE SANTE ET LES ETUDIANTS BACHELOR FILIERE SOINSINFIRMIERS Filière : APS et Bachelor en soins infirmier Nom de l institution : CHUV Nom de l

Plus en détail

IMR PEC-5.51 IM V2 19/05/2015. Date d'admission prévue avec le SRR : Date d'admission réelle : INFORMATIONS ADMINISTRATIVES ET SOCIALES

IMR PEC-5.51 IM V2 19/05/2015. Date d'admission prévue avec le SRR : Date d'admission réelle : INFORMATIONS ADMINISTRATIVES ET SOCIALES DOSSIER D ADMISSION 1/6 Date d'admission souhaitée : Date de la demande : Date d'admission prévue avec le SRR : Date d'admission réelle : INFORMATIONS ADMINISTRATIVES ET SOCIALES Renseignements administratifs

Plus en détail

Les HUG en bref. Chiffres-clés basés sur l exercice 2013

Les HUG en bref. Chiffres-clés basés sur l exercice 2013 2014 Les HUG en bref Chiffres-clés basés sur l exercice 2013 Stratégie Missions, vision, valeurs 3 missions : soins, enseignement, recherche 1 vision : être l hôpital des Genevois et un centre universitaire

Plus en détail

INTRODUCTION GENERALE :

INTRODUCTION GENERALE : DÉPARTEMENT DE MÉDECINE INTERNE La Chaux-de-Fonds Rue de Chasseral 20 2300 La Chaux-de-Fonds tél. 032 967 27 28 / 032 967 27 32 fax 032 967 27 29 PD Dr D. Genné, méd.-chef de service Dr H. Zender, méd.-chef

Plus en détail

CONGRES HOPITECH AMIENS OCTOBRE 2012

CONGRES HOPITECH AMIENS OCTOBRE 2012 CONGRES HOPITECH AMIENS OCTOBRE 2012 NOUMBISSIE Emmanuel, ingénieur en organisation et méthodes à la direction générale de l hôpital marne la vallée ( Lagny) Transfert d activités sur un nouveau site :

Plus en détail

Centre Régional de soins Psychiatriques «Les Marronniers» MSP

Centre Régional de soins Psychiatriques «Les Marronniers» MSP Centre Régional de soins Psychiatriques «Les Marronniers» EDS CHS MSP MSP «La Traversée» Anémones 1 - Anémones 2-45 lits 30 lits Chênes - 45 lits Dont - Circuits de soins internés 25 lits - Circuit de

Plus en détail

Accès aux soins. avec couverture maladie. ACCèS AUX SOINS AVEC COUVERTURE MALADIE. d examens de santé. (CES) pour adultes Saint-Vincent

Accès aux soins. avec couverture maladie. ACCèS AUX SOINS AVEC COUVERTURE MALADIE. d examens de santé. (CES) pour adultes Saint-Vincent Accès aux soins avec couverture maladie Les centres d examens de santé Ce sont des structures qui proposent un «examen périodique de santé» qui représente un droit pour tout assuré social. L examen périodique

Plus en détail

SOMMAIRE COMMUNIQUÉ DE PRESSE. p. 3. p. 4 LE CESU. p. 5. Les outils. p. 6. Le centre de simulation. Quelques chiffres

SOMMAIRE COMMUNIQUÉ DE PRESSE. p. 3. p. 4 LE CESU. p. 5. Les outils. p. 6. Le centre de simulation. Quelques chiffres SOMMAIRE COMMUNIQUÉ DE PRESSE p. 3 LE CESU Les outils Le centre de simulation Quelques chiffres Un exemple : la formation à l emploi des infirmiers des services d urgences En annexe p. 4 p. 5 p. 6 p. 6

Plus en détail

Hospices cantonaux Centre Hospitalier Universitaire Vaudois DOSSIER DE PRESSE. Création du Centre romand hospitalo-universitaire de neurochirurgie

Hospices cantonaux Centre Hospitalier Universitaire Vaudois DOSSIER DE PRESSE. Création du Centre romand hospitalo-universitaire de neurochirurgie Hospices cantonaux Centre Hospitalier Universitaire Vaudois DOSSIER DE PRESSE Création du Centre romand hospitalo-universitaire de neurochirurgie 1. Le Centre romand hospitalo-universitaire de neurochirurgie

Plus en détail

Une nouvelle ère du soin. Stratégie horizon 2018 CENTRE HOSPITALIER UNIVERSITAIRE DE TOULOUSE

Une nouvelle ère du soin. Stratégie horizon 2018 CENTRE HOSPITALIER UNIVERSITAIRE DE TOULOUSE Une nouvelle ère du soin Stratégie horizon 2018 CENTRE HOSPITALIER UNIVERSITAIRE DE TOULOUSE ÉDITO Principal acteur dans l offre de soins de la région, le Centre Hospitalier Universitaire de Toulouse est

Plus en détail

Vers une approche managériale des tarifs T2A

Vers une approche managériale des tarifs T2A Vers une approche managériale des tarifs T2A Contribution de CAHPP Consultant Juin 2013 Page 1 sur 35 SOMMAIRE SOMMAIRE... Page 2 PRÉAMBULE... Page 3 PARTIE I : MÉTHODOLOGIE... Page 5 PARTIE II : IMPACT

Plus en détail

Tableau des garanties Contrats collectifs

Tableau des garanties Contrats collectifs Assurances santé conformes à la Convention du travail maritime, 2006 Tableau des garanties Contrats collectifs Conformité à la Convention du travail maritime (MLC) 2006 La conformité avec la Convention

Plus en détail

Secteur Protégé d Hématologie

Secteur Protégé d Hématologie INFORMATIONS PATIENTS Secteur Protégé d Hématologie Centre accrédité de greffe de moelle osseuse et de cellules souches d hématopoïétiques Le Secteur d Hématologie est destiné à des patients atteints de

Plus en détail

CAHIER DES CHARGES INFIRMIER-ÈRE DIPLÔMÉ-E

CAHIER DES CHARGES INFIRMIER-ÈRE DIPLÔMÉ-E Madame/Monsieur 1. DÉFINITION DE LA FONCTION Au service du projet institutionnel, la titulaire du poste : Exerce dans un cadre législatif et un contexte sanitaire connus (loi sur l exercice professionnel,

Plus en détail

Le référentiel professionnel du Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique

Le référentiel professionnel du Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique A R D E Q A F Le référentiel professionnel du Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique 1.1 Définition de la profession et du contexte de l intervention p. 2 1.2 Le référentiel d activités du Diplôme

Plus en détail

ASSURANCES ET MANAGEMENT DES RISQUES / SANTE, SOCIAL ET MEDICO-SOCIAL. Proposition d assurance Professionnels libéraux

ASSURANCES ET MANAGEMENT DES RISQUES / SANTE, SOCIAL ET MEDICO-SOCIAL. Proposition d assurance Professionnels libéraux ASSURANCES ET MANAGEMENT DES RISQUES / SANTE, SOCIAL ET MEDICO-SOCIAL Proposition d assurance Professionnels libéraux Questionnaire de déclaration d activité professionnelle Tous les proposants, quelle

Plus en détail

e-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé

e-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé e-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé Professeur Michèle Kessler CHU de Nancy et réseau Néphrolor L une des applications de la télémédecine est la télésurveillance à domicile,

Plus en détail

COMPTE RENDU D ACCREDITATION DE L'HOPITAL ET INSTITUT DE FORMATION EN SOINS INFIRMIERS CROIX-ROUGE FRANÇAISE

COMPTE RENDU D ACCREDITATION DE L'HOPITAL ET INSTITUT DE FORMATION EN SOINS INFIRMIERS CROIX-ROUGE FRANÇAISE COMPTE RENDU D ACCREDITATION DE L'HOPITAL ET INSTITUT DE FORMATION EN SOINS INFIRMIERS CROIX-ROUGE FRANÇAISE Chemin de la Bretèque 76230 BOIS-GUILLAUME Mois de juin 2001 SOMMAIRE COMMENT LIRE LE «COMPTE

Plus en détail

Equipe mobile SMES CH Sainte-Anne (Paris)

Equipe mobile SMES CH Sainte-Anne (Paris) Equipe mobile SMES CH Sainte-Anne (Paris) 1. Contexte local Géographie La psychiatrie adulte de l hôpital Sainte-Anne est orientée vers 7 secteurs psychiatriques adultes, que ce soit pour les hospitalisations,

Plus en détail

Les différentes maladies du coeur

Les différentes maladies du coeur Auteur : Dr Pascal AMEDRO Les différentes maladies du coeur 1. Le cœur normal L oxygène capté dans l air va dans les poumons, où le sang «bleu» est alors oxygéné et devient «rouge». Il est conduit par

Plus en détail

Bienvenue aux Soins Intensifs Pédiatriques

Bienvenue aux Soins Intensifs Pédiatriques SIP Août 2010 Route : 354 Bienvenue aux Soins Intensifs Pédiatriques Août 2010 1 Table des matières 1. Présentation du service p 3 2. Pathologies les plus courantes aux SIP. P 5 3. Objectifs de stage p

Plus en détail

Avantages - Voordelen. Organisation - Organisatie. Mutualité socialiste et syndicale de la province de Liège 319. Rue Douffet, 36 4020 Liège

Avantages - Voordelen. Organisation - Organisatie. Mutualité socialiste et syndicale de la province de Liège 319. Rue Douffet, 36 4020 Liège Organisation Organisatie Mutualité socialiste et syndicale de la province de Liège 319 Acupuncture Avantages Voordelen Assistance à l'étanger Biotélévigileance Détails Details Remboursement de 10 par séance,

Plus en détail

L hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines

L hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines L hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines Hôpital de jour (HDJ) Permet des soins ou examens nécessitant plateau

Plus en détail

ASSURANCE COLLECTIVE RÉSUMÉ DES GARANTIES. Régime d assurance collective multi-employeur RAPNQ-RBA

ASSURANCE COLLECTIVE RÉSUMÉ DES GARANTIES. Régime d assurance collective multi-employeur RAPNQ-RBA ASSURANCE COLLECTIVE RÉSUMÉ DES GARANTIES Régime d assurance collective multi-employeur RAPNQ-RBA Mars 2014 des garanties d assurance Assurance vie de base Adhérent Option 1 : 1 fois le salaire annuel

Plus en détail

SONDAGE NATIONAL SUR LA MÉDECINE PALLIATIVE QUESTIONNAIRE

SONDAGE NATIONAL SUR LA MÉDECINE PALLIATIVE QUESTIONNAIRE SONDAGE NATIONAL SUR LA MÉDECINE PALLIATIVE QUESTIONNAIRE Société canadienne des médecins de soins palliatifs Association médicale canadienne Collège des médecins de famille du Canada Collège royal des

Plus en détail

Le Centre Hospitalier Universitaire de Reims

Le Centre Hospitalier Universitaire de Reims Basse-Normandie Champagne-Ardenne Le Centre Hospitalier Universitaire de Reims RECRUTE DEUX PRATICIENS EN ANESTHÉSIE-RÉANIMATION À TEMPS PLEIN Missions : Renseignements & candidatures : 03 26 78 74 44

Plus en détail

Organiser une permanence d accès aux soins de santé PASS

Organiser une permanence d accès aux soins de santé PASS Établissements de santé Droits et accueil des usagers Organiser une permanence d accès aux soins de santé PASS Recommandations et indicateurs Préface Faire face aux inégalités de santé qui touchent tout

Plus en détail

Programme détaillé Analyse des actions de prévention précoce en PMI

Programme détaillé Analyse des actions de prévention précoce en PMI Programme détaillé Analyse des actions de prévention précoce en PMI La formation continue du Centre d Ouverture Psychologique Et Sociale (Copes) s adresse à tous les acteurs du champ médical, psychologique,

Plus en détail

Domaine Santé. Plan d études cadre Modules complémentaires santé. HES-SO, les 5 et 6 mai 2011. 1 PEC Modules complémentaires santé

Domaine Santé. Plan d études cadre Modules complémentaires santé. HES-SO, les 5 et 6 mai 2011. 1 PEC Modules complémentaires santé Domaine Santé Plan d études cadre Modules complémentaires santé HES-SO, les 5 et 6 mai 2011 1 PEC Modules complémentaires santé Plan d études cadre Modules complémentaires santé 1. Finalité des modules

Plus en détail

Nouveau plan greffe : Axes stratégiques pour l avenir

Nouveau plan greffe : Axes stratégiques pour l avenir Extrait Communiqué de presse Saint-Denis, le 12 avril 2012 Nouveau plan greffe : Axes stratégiques pour l avenir La dynamique du plan greffe 2000-2003 a généré un essor sans précédent de près de 50 % de

Plus en détail

Aide kinésithérapeute : une réalité?

Aide kinésithérapeute : une réalité? Aide kinésithérapeute : une réalité? Fabien Launay Cadre supérieur du pôle rééducation CHU de Dijon Dijon (21) Préambule : La fonction d aide-kinésithérapeute n est pas nouvelle. Elle peut être occupée

Plus en détail

PROFIL DE POSTE DU CONDUCTEUR AMBULANCIER SMUR :

PROFIL DE POSTE DU CONDUCTEUR AMBULANCIER SMUR : PROFIL DE POSTE DU CONDUCTEUR AMBULANCIER SMUR : IDENTIFICATION DU POSTE : Titre de la fonction : Conducteur Ambulancier SMUR*. Etablissement : Centre Hospitalier Régional Universitaire de Brest. Service

Plus en détail

Le parcours en greffe de cellules hématopoïétiques : greffe allogénique

Le parcours en greffe de cellules hématopoïétiques : greffe allogénique Le parcours en greffe de cellules hématopoïétiques : greffe allogénique Introduction Cette brochure vise à vous familiariser avec la greffe de cellules hématopoïétiques (GCH). Elle présente en quelques

Plus en détail

GUIDE PRATIQUE DE L ASSURANCE MALADIE :

GUIDE PRATIQUE DE L ASSURANCE MALADIE : GUIDE PRATIQUE DE L ASSURANCE MALADIE : Vous trouverez dans ce guide pratique les points essentiels de la réforme de l assurance-maladie : forfait de 1 euro, médecin traitant, aide à l acquisition d une

Plus en détail

Hospitalisation à Temps Partiel Soins de Suite et Réadaptation Affections cardio-vasculaires et Affections respiratoires Livret de séjour

Hospitalisation à Temps Partiel Soins de Suite et Réadaptation Affections cardio-vasculaires et Affections respiratoires Livret de séjour CENTRE HOSPITALIER de BOURG-EN-BRESSE CS 90401 900 route de Paris 01012 BOURG-EN-BRESSE CEDEX 04 74 45 44 08 Hospitalisation à Temps Partiel Soins de Suite et Réadaptation Affections cardio-vasculaires

Plus en détail

NUMÉRIQUEMENT VÔTRE L INNOVATION AU SERVICE DES PATIENTS ET DU MONDE MÉDICAL

NUMÉRIQUEMENT VÔTRE L INNOVATION AU SERVICE DES PATIENTS ET DU MONDE MÉDICAL NUMÉRIQUEMENT VÔTRE L INNOVATION AU SERVICE DES PATIENTS ET DU MONDE MÉDICAL DOSSIER DE PRESSE OCTOBRE 2013 1 SOMMAIRE I. UNE TECHNOLOGIE À LA POINTE DE L INNOVATION AU SERVICE DES PATIENTS ET DU CORPS

Plus en détail

Le GRAND CONSEIL de la République et canton de Genève décrète ce qui suit :

Le GRAND CONSEIL de la République et canton de Genève décrète ce qui suit : Secrétariat du Grand Conseil PL 10267 Projet présenté par le Conseil d Etat Date de dépôt: 22 mai 2008 Projet de loi ouvrant un crédit au titre d'indemnité cantonale d'investissement de 3 000 000 F, pour

Plus en détail

Diabète de type 1 de l enfant et de l adolescent

Diabète de type 1 de l enfant et de l adolescent GUIDE - AFFECTION DE LONGUE DURÉE Diabète de type 1 de l enfant et de l adolescent Juillet 2007 Juillet 2007 1 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication

Plus en détail

Centre Hospitalier de Béziers

Centre Hospitalier de Béziers Centre Hospitalier de Béziers Edito Établissement public de santé, le Centre Hospitalier de Béziers est l hôpital de référence du bassin de santé Ouest-Hérault de plus de 200 000 habitants. Sa taille et

Plus en détail

PLAN D ACTION 2012 2016 POUR ACCELER LA REDUCTION DE LA MORTALITE MATERNELLE ET NEONATALE

PLAN D ACTION 2012 2016 POUR ACCELER LA REDUCTION DE LA MORTALITE MATERNELLE ET NEONATALE Royaume du Maroc Ministère de la Santé PLAN D ACTION 2012 2016 POUR ACCELER LA REDUCTION DE LA MORTALITE MATERNELLE ET NEONATALE Fin du Compte à rebours 2015 Avec l appui de Contexte En souscrivant aux

Plus en détail

Complément à la circulaire DH/EO 2 n 2000-295 du 30 mai 2000 relative à l'hospitalisation à domicile

Complément à la circulaire DH/EO 2 n 2000-295 du 30 mai 2000 relative à l'hospitalisation à domicile http://www.sante.gouv.fr/adm/dagpb/bo/2001/01-01/a0010017.htm Bulletin Officiel n 2001-1 Direction de l'hospitalisation et de l'organisation des soins Page 1 sur 6 Complément à la circulaire DH/EO 2 n

Plus en détail

L hôpital dans la société. L expérience du CHU de Paris, l AP HP. Pierre Lombrail, Jean-Yves Fagon

L hôpital dans la société. L expérience du CHU de Paris, l AP HP. Pierre Lombrail, Jean-Yves Fagon L hôpital dans la société. L expérience du CHU de Paris, l AP HP. Pierre Lombrail, Jean-Yves Fagon Colloque Santé et Société Quels déterminants de santé et quel système de soins pour la santé de toute

Plus en détail

LE FINANCEMENT DES HOPITAUX EN BELGIQUE. Prof. G. DURANT

LE FINANCEMENT DES HOPITAUX EN BELGIQUE. Prof. G. DURANT LE FINANCEMENT DES HOPITAUX EN BELGIQUE Prof. G. DURANT La Belgique (11 millions d habitants) est un pays fédéral. Le financement est organisé au niveau national sauf le financement des infrastructures

Plus en détail

Le don de moelle osseuse :

Le don de moelle osseuse : DON DE MOELLE OSSEUSE Le don de moelle osseuse : se décider aujourd hui, s engager pour longtemps LA MOELLE OSSEUSE ET SA GREFFE La moelle osseuse C est le tissu mou dans le centre du corps des os qui

Plus en détail

Centres de santé. lien. créent du. Les Etablissements MGEN. Quand les soins. Kinésithérapie. Services. Accessibles. Innovation.

Centres de santé. lien. créent du. Les Etablissements MGEN. Quand les soins. Kinésithérapie. Services. Accessibles. Innovation. Services Pas d avance de frais Qualité des soins Médecine spécialisée Accessibles Innovation Mutualiste Kinésithérapie Animateurs Médecine générale Centres de santé Les Etablissements MGEN Quand les soins

Plus en détail

Calendrier des formations INTER en 2011

Calendrier des formations INTER en 2011 Calendrier des formations INTER en 2011 THEMES Liste des formations INTER MOTIVEZ ET DYNAMISEZ VOS EQUIPES 98 % de participants satisfaits et se sentant reconnus à la sortie de nos formations! L environnement

Plus en détail

Conférence de Presse 11/09/2013. «Système de Surveillance de la Santé Périnatale au Luxembourg»

Conférence de Presse 11/09/2013. «Système de Surveillance de la Santé Périnatale au Luxembourg» Conférence de Presse 11/09/2013 «Système de Surveillance de la Santé Périnatale au Luxembourg» La Santé Périnatale au Luxembourg Etat des lieux Présentation de deux rapports : Surveillance de la Santé

Plus en détail

Conférence de presse «Bientôt le nouvel hôpital» - Toulon - Lundi 4 avril 2011. Sommaire. 1 > Relever les défis de la santé du futur...

Conférence de presse «Bientôt le nouvel hôpital» - Toulon - Lundi 4 avril 2011. Sommaire. 1 > Relever les défis de la santé du futur... 1 Sommaire 1 > Relever les défis de la santé du futur... 3 Assurer les missions de santé publique du territoire... 3 Une tradition séculaire en santé publique... 3 Une réponse à la hauteur des besoins

Plus en détail

Unité de formation professionnelle du Ceras

Unité de formation professionnelle du Ceras Unité de formation professionnelle du Ceras 15 novembre 2013 : Journée romande de la commission latine d intégration professionnelle (CLIP) Cette présentation, susceptible d être d distribuée e aux personnes

Plus en détail

Le Centre de documentation du C.H.T. Est situé au rez de chaussée du Bâtiment T 7 Avenue Paul Doumer BP J5-98849 Nouméa.

Le Centre de documentation du C.H.T. Est situé au rez de chaussée du Bâtiment T 7 Avenue Paul Doumer BP J5-98849 Nouméa. Le Centre de documentation du C.H.T Est situé au rez de chaussée du Bâtiment T 7 Avenue Paul Doumer BP J5-98849 Nouméa Horaires : Ouvert du lundi au Jeudi : 8h00-16h00 et le vendredi : 8h00-15h00 Pour

Plus en détail

L ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE DU PATIENT EN 15 QUESTIONS - RÉPONSES

L ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE DU PATIENT EN 15 QUESTIONS - RÉPONSES L ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE DU PATIENT EN 15 QUESTIONS - RÉPONSES CONTEXTE 1. Pourquoi avoir élaboré un guide sur l éducation thérapeutique du En réponse à la demande croissante des professionnels de santé

Plus en détail

Découvrez L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE

Découvrez L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE Découvrez L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE 2014 L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE L Institut universitaire du cancer de Toulouse (IUCT) est un nouveau modèle français d organisation

Plus en détail

Infirmieres libérales

Infirmieres libérales Détail des programmes- Feuillets complémentaires à la plaquette générale Infirmieres libérales Stages courts 2012 Durées et dates disponibles sur un calendrier en annexe Santé formation Formations gratuites

Plus en détail

Plan de mise en œuvre du concept national maladies rares

Plan de mise en œuvre du concept national maladies rares Département fédéral de l'intérieur DFI Office fédéral de la santé publique OFSP Unité de direction Assurance maladie et accidents Etat 4 mai 2015 Plan de mise en œuvre du concept national maladies rares

Plus en détail

CONTRAINTES PSYCHOLOGIQUES ET ORGANISATIONNELLES AU TRAVAIL ET SANTE CHEZ LE PERSONNEL SOIGNANT DES CENTRES HOSPITALIERS:

CONTRAINTES PSYCHOLOGIQUES ET ORGANISATIONNELLES AU TRAVAIL ET SANTE CHEZ LE PERSONNEL SOIGNANT DES CENTRES HOSPITALIERS: CONTRAINTES PSYCHOLOGIQUES ET ORGANISATIONNELLES AU TRAVAIL ET SANTE CHEZ LE PERSONNEL SOIGNANT DES CENTRES HOSPITALIERS: Infirmier(e)s et aides soignant(e)s ETUDE ORSOSA État de santé, conditions de travail

Plus en détail

Assurance complémentaire santé OMS

Assurance complémentaire santé OMS Notice d information Edition 2014 Assurance complémentaire santé OMS BÉNÉFICIAIRES Le Groupement de Prévoyance et d Assurance des Fonctionnaires Internationaux (GPAFI) est une association à but non lucratif

Plus en détail

Fondation PremUp. Mieux naître pour mieux vivre

Fondation PremUp. Mieux naître pour mieux vivre Fondation PremUp Mieux naître pour mieux vivre Une fondation de coopération scientifique initiée par les pouvoirs publics en 2007 6 membres fondateurs : L Assistance Publique des Hôpitaux de Paris, l Inserm,

Plus en détail

Livret de Présentation (Extrait du livret des patients distribué à leur accueil)

Livret de Présentation (Extrait du livret des patients distribué à leur accueil) Livret de Présentation (Extrait du livret des patients distribué à leur accueil) Centre de Rééducation et de Réadaptation Fonctionnelles PASTEUR «Tout faire pour la personne, ne rien faire à sa place»

Plus en détail

Soins palliatifs en salle de naissance. Pierre Bétrémieux CHU de Rennes 9 octobre 2009 Chantilly

Soins palliatifs en salle de naissance. Pierre Bétrémieux CHU de Rennes 9 octobre 2009 Chantilly Soins palliatifs en salle de naissance Pierre Bétrémieux CHU de Rennes 9 octobre 2009 Chantilly La loi du 22 avril 2005 S applique au nouveau-né Rappelle l interdit de l obstination déraisonnable Et l

Plus en détail

L assurance-maladie pour les sportifs.

L assurance-maladie pour les sportifs. L assurance-maladie pour les sportifs. Offre pour la clientèle privée Aperçu 2012 vivacare, l assurance-maladie pour les sportifs. Les prestations proposées par vivacare sont spécialement conçues pour

Plus en détail

Sommaire INTRODUCTION... 4. I Les méthodes et principes... 8

Sommaire INTRODUCTION... 4. I Les méthodes et principes... 8 Sommaire INTRODUCTION... 4 I Les méthodes et principes... 8 II Le Centre Hospitalier dans son territoire de santé Constats Objectifs régionaux et perspectives... 11 II 1 Caractéristiques démographiques...

Plus en détail

Nouveaux rôles infirmiers : une nécessité pour la santé publique et la sécurité des soins, un avenir pour la profession

Nouveaux rôles infirmiers : une nécessité pour la santé publique et la sécurité des soins, un avenir pour la profession Position adoptée par Conseil national de l Ordre des infirmiers le 14 septembre 2010 Nouveaux rôles infirmiers : une nécessité pour la santé publique et la sécurité des soins, un avenir pour la profession

Plus en détail

Allocution d ouverture de Jean DEBEAUPUIS, Directeur Général de l Offre de soins

Allocution d ouverture de Jean DEBEAUPUIS, Directeur Général de l Offre de soins Allocution d ouverture de Jean DEBEAUPUIS, Directeur Général de l Offre de soins Université d été de la performance en santé - 29 août 2014- Lille Monsieur le président, Monsieur le directeur général,

Plus en détail

Dép. 75 «Enfant présent»

Dép. 75 «Enfant présent» Dép. 75 «Enfant présent» PRESENTATION DE L ACTION Intitulé, ancienneté et lieu d implantation Créée en 1987, l association Enfant Présent, dispositif multi-accueil à caractère préventif, dispose de plusieurs

Plus en détail

Parcours du patient cardiaque

Parcours du patient cardiaque Parcours du patient cardiaque Une analyse HAS à partir de la base QualHAS, des Indicateurs Pour l Amélioration de la Qualité & Sécurité des Soins (IPAQSS)- Infarctus du myocarde Linda Banaei-Bouchareb,

Plus en détail

MINISTÈRE DES AFFAIRES SOCIALES ET DE LA SANTÉ

MINISTÈRE DES AFFAIRES SOCIALES ET DE LA SANTÉ MINISTÈRE DES AFFAIRES SOCIALES ET DE LA SANTÉ _ Direction de la recherche, des études, de l évaluation et des statistiques _ Sous-direction observation de la santé et de l assurance maladie _ Bureau établissements

Plus en détail

Programme intercantonal de lutte contre la dépendance au jeu (PILDJ) Actions neuchâteloises

Programme intercantonal de lutte contre la dépendance au jeu (PILDJ) Actions neuchâteloises 1 Programme intercantonal de lutte contre la dépendance au jeu (PILDJ) Actions neuchâteloises Luca Fumagalli Adjoint au chef du Service des établissements spécialisés et délégué du canton au groupe d accompagnement

Plus en détail

Projet de santé. Nom du site : N Finess : (Sera prochainement attribué par les services de l ARS) Statut juridique : Raison Sociale :

Projet de santé. Nom du site : N Finess : (Sera prochainement attribué par les services de l ARS) Statut juridique : Raison Sociale : Projet de santé Nom du site : N Finess : (Sera prochainement attribué par les services de l ARS) Statut juridique : Raison Sociale : Adresse du siège social : Téléphone : Mail : Version : Etablie en date

Plus en détail

Tarifs de l hôpital universitaire pédiatrique de Bâle (UKBB)

Tarifs de l hôpital universitaire pédiatrique de Bâle (UKBB) Tarifs de l hôpital universitaire pédiatrique de Bâle (UKBB) valable à partir du 1 er janvier 2014 1 Introduction... 2 2 Traitements ambulatoires... 3 2.1 Interventions chirurgicales... 3 2.2 Diagnostics

Plus en détail

Aspects juridiques de la transplantation hépatique. Pr. Ass. F. Ait boughima Médecin Légiste CHU Ibn Sina, Rabat

Aspects juridiques de la transplantation hépatique. Pr. Ass. F. Ait boughima Médecin Légiste CHU Ibn Sina, Rabat Aspects juridiques de la transplantation hépatique Pr. Ass. F. Ait boughima Médecin Légiste CHU Ibn Sina, Rabat CONTEXTE - La greffe, longtemps image expérimentale, est une thérapeutique éprouvée - Première

Plus en détail

Organisation du suivi dans le cadre d un réseau

Organisation du suivi dans le cadre d un réseau Organisation du suivi dans le cadre d un réseau Mandovi Rajguru Pédiatre Maternité Hôpital Bichat Claude Bernard Journée des pédiatres de maternité GENIF 04 Juin 2009 Introduction Constitution d un réseau

Plus en détail

JURIDIC ACCESS. Le droit pour les professionnels de santé

JURIDIC ACCESS. Le droit pour les professionnels de santé La loi du 13 août 2004 relative à l Assurance Maladie a instauré la possibilité d une prise en charge partielle de l assurance de responsabilité civile professionnelle (RCP) par la CPAM, pour les médecins

Plus en détail

Protection Maternelle et Infantile Santé scolaire (33b) Professeur Dominique PLANTAZ Septembre 2004

Protection Maternelle et Infantile Santé scolaire (33b) Professeur Dominique PLANTAZ Septembre 2004 Protection Maternelle et Infantile Santé scolaire (33b) Professeur Dominique PLANTAZ Septembre 2004 Objectifs : indiquer les objectifs de prévention du Service départemental de Protection Maternelle et

Plus en détail

www.dondemoelleosseuse.fr

www.dondemoelleosseuse.fr Agence relevant du ministère de la santé www.dondemoelleosseuse.fr 01 Pourquoi devenir Veilleur de Vie? Le don de moelle osseuse peut sauver des vies. Chaque année, des milliers de personnes - enfants

Plus en détail

7 octobre 2014 Entretiens Jacques Cartier

7 octobre 2014 Entretiens Jacques Cartier Le projet de formation «Partenaires, jusqu à la fin» Déterminer avec le patient et ses proches les objectifs de ses soins en contexte de maladie grave et de fin de vie 7 octobre 2014 Entretiens Jacques

Plus en détail

La santé. Les établissements de l entité Mutualité Santé Services

La santé. Les établissements de l entité Mutualité Santé Services 1 solidaire Apporter une réponse concrète aux besoins de la population en matière de santé, selon des principes fondamentaux de solidarité et d entraide. Développer un important réseau d œuvres sanitaires

Plus en détail

I. Qu est ce qu un SSIAD?

I. Qu est ce qu un SSIAD? 1 Plan Introduction I. Qu est ce qu un SSIAD? II. L accompagnement du SSIAD III. Présentation du SSIAD de Meyssac et de Beynat IV. Les personnes prises en soin dans le SSIAD V. Présentation d une situation

Plus en détail

BILAN DE LA DAJ EN QUALITE D AUTO-ASSUREUR SUR LES RECLAMATIONS INDEMNITAIRES. Marjorie OBADIA/DAJ/10 janvier 2012

BILAN DE LA DAJ EN QUALITE D AUTO-ASSUREUR SUR LES RECLAMATIONS INDEMNITAIRES. Marjorie OBADIA/DAJ/10 janvier 2012 BILAN DE LA DAJ EN QUALITE D AUTO-ASSUREUR SUR LES RECLAMATIONS INDEMNITAIRES Marjorie OBADIA/DAJ/10 janvier 2012 Une place d auto-assureur unique en France : Rôle traditionnel de défense de l Institution

Plus en détail

Offre santé 2015 FGMM-CFDT

Offre santé 2015 FGMM-CFDT SOMILOR - HARMONIE MUTUELLE Offre santé 2015 FGMM-CFDT Réservée aux adhérents régime général La FGMM-CFDT a négocié pour vous une complémentaire santé groupe SOMILOR-HARMONIE MUTUELLE. Bénéficiez de tous

Plus en détail

admission aux urgences

admission aux urgences Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : admission

Plus en détail

va être opéré d un hypospadias

va être opéré d un hypospadias Votre enfant va être opéré d un hypospadias Introduction Le chirurgien urologue pédiatrique vous a confirmé le diagnostic d hypospadias et expliqué les avantages ainsi que les risques et complications

Plus en détail

Unité d onco-hématologie pédiatrique. Procédure de recueil de consentements du donneur. Codification du document : PO 3.2.2 Rédacteur : Dr V Gandemer

Unité d onco-hématologie pédiatrique. Procédure de recueil de consentements du donneur. Codification du document : PO 3.2.2 Rédacteur : Dr V Gandemer PO 3.2.2 version n 1 page1/5 Unité d onco-hématologie pédiatrique Procédure de recueil de consentements du donneur Codification du document : PO 3.2.2 Rédacteur : Dr V Gandemer Date d application : 1/12/2007

Plus en détail

Service d Hématologie clinique et Thérapie cellulaire Bâtiment Médico-Chirurgical - 3 ème et 4 ème étages

Service d Hématologie clinique et Thérapie cellulaire Bâtiment Médico-Chirurgical - 3 ème et 4 ème étages Centre Hospitalier Pontoise Service d Hématologie clinique et Thérapie cellulaire Bâtiment Médico-Chirurgical - 3 ème et 4 ème étages Chef de service : Dr Hugo GONZALEZ Accueil secrétariat 01 30 75 49

Plus en détail

3152 Infirmiers autorisés/infirmières autorisées

3152 Infirmiers autorisés/infirmières autorisées 3152 Infirmiers autorisés/infirmières autorisées Ce groupe de base comprend les infirmiers autorisés, les infirmiers praticiens, les infirmiers psychiatriques autorisés et les finissants d'un programme

Plus en détail

d infirmières et d infirmiers Pour être admissible au répit spécialisé sur référence Des services spécialisés intégrés en

d infirmières et d infirmiers Pour être admissible au répit spécialisé sur référence Des services spécialisés intégrés en DES SERVICES DES INTERVENTIONS DE RÉADAPTATION CIBLÉES ET SPÉCIFIQUES VISANT LE DÉVELOPPEMENT OPTIMAL DE LA PERSONNE ET AYANT COMME OBJECTIFS de favoriser l intégration et la participation sociales de

Plus en détail

1 ère partie Amont de l'hôpital : organiser la permanence des soins une obligation médicale!

1 ère partie Amont de l'hôpital : organiser la permanence des soins une obligation médicale! Plan «Urgences» 1 ère partie Amont de l'hôpital : organiser la permanence des soins une obligation médicale! Fiche 1.1 La permanence des médecins généralistes Mesure 1 Assurer la permanence de soins Mesure

Plus en détail

DON DE SANG. Label Don de Soi

DON DE SANG. Label Don de Soi DON DE SANG Label Don de Soi 2015 SOMMAIRE Les différents types de dons p.3 Le don de sang total Le don de plasma Le don de plaquettes Le don de moelle osseuse Que soigne-t-on avec un don de sang? p.7

Plus en détail

La Mutualité en chiffres

La Mutualité en chiffres La Mutualité en chiffres Édition 2012 La Mutualité en chiffres Édition 2012 La Mutualité, acteur principal de la complémentaire santé page 5 La complémentaire santé dans l activité des mutuelles Les prestations

Plus en détail

Une année d activités DEPARTEMENT DE L ENFANT ET DE L ADOLESCENT

Une année d activités DEPARTEMENT DE L ENFANT ET DE L ADOLESCENT Une année d activités DEPARTEMENT DE L ENFANT ET DE L ADOLESCENT Rapport 2008 SOMMAIRE Préface... 3 Service d accueil d urgences pédiatriques (SAUP) 5 Service de chirurgie pédiatrique 7 Service développement

Plus en détail

Quel avenir pour les équipes mobiles de soins palliatifs?

Quel avenir pour les équipes mobiles de soins palliatifs? Quel avenir pour les équipes mobiles de soins palliatifs? Aude Le Divenah Praticien hospitalier, chargée de mission, Direction de l hospitalisation et de l organisation des soins Les soins palliatifs se

Plus en détail

Tableau : Réponse aux besoins en matière de santé sexuelle et reproductive des adolescents

Tableau : Réponse aux besoins en matière de santé sexuelle et reproductive des adolescents Tableau : Réponse aux besoins en matière de santé sexuelle et reproductive des adolescents Le tableau suivant est destiné à donner un aperçu des principales actions à entreprendre pour répondre aux besoins

Plus en détail

La protection sociale en France

La protection sociale en France 18 La protection sociale en France FONCTIONNEMENT La protection sociale peut fonctionner selon trois logiques. LA LOGIQUE D ASSURANCE SOCIALE La logique d assurance sociale a pour objectif de prémunir

Plus en détail

PRESENTATION DU RAPPORT DU GROUPE DE TRAVAIL DU CONSEIL NATIONAL DE L AIDE AUX VICTIMES SUR LA PRISE EN CHARGE DES VICTIMES EN URGENCE

PRESENTATION DU RAPPORT DU GROUPE DE TRAVAIL DU CONSEIL NATIONAL DE L AIDE AUX VICTIMES SUR LA PRISE EN CHARGE DES VICTIMES EN URGENCE PRESENTATION DU RAPPORT DU GROUPE DE TRAVAIL DU CONSEIL NATIONAL DE L AIDE AUX VICTIMES SUR LA PRISE EN CHARGE DES VICTIMES EN URGENCE SYNTHESE Le 15 septembre 2003, Madame Anne D HAUTEVILLE, professeur

Plus en détail