DOSSIER N 2 QUESTION 1
|
|
- Brigitte Gagnon
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 DOSSIER N 2 Dossier n 2 Interne de garde aux urgences de l hôpital, vous êtes appelé par le service de maladies infectieuses de cet établissement pour examiner Mme F., 45 ans, pour dyspnée d aggravation progressive. Vous apprenez par téléphone que cette patiente est diabétique de type 1 depuis l enfance et transplantée rénale depuis deux ans dans les suites d une néphropathie diabétique sévère au stade d insuffisance rénale chronique terminale. Son traitement habituel est le suivant (la patiente est bien observante) : prednisone 10 mg/j, mycophénolate mofétil 1 g 2/j, tacrolimus 1 mg 2/j, sulfaméthoxazole-triméthoprime 400 mg/j, valaciclovir 500 mg 3/j et analogue de l insuline lente (insuline glargine) et analogue de l insuline rapide. Elle est hospitalisée depuis quatre jours pour une pneumopathie droite, dont les symptômes ont commencé deux jours avant son hospitalisation, traitée depuis son arrivée par ceftriaxone en monothérapie, de façon probabiliste et sans réelle efficacité. En effet, la patiente reste fébrile à 39 C et devient de plus en plus oxygénodépendante (de 1 L/min initialement à 6 L/min d oxygène actuellement). QUESTION 1 L antibiothérapie initiale vous semble-t-elle adaptée? Justifiez. Quelles critiques pouvez-vous émettre concernant les autres modalités de la prise en charge initiale? Vous arrivez dans le service des maladies infectieuses. L examen clinique est le suivant : pression artérielle : 110/55 mmhg, fréquence cardiaque : 125 batt/min, saturation en oxygène : 89 % sous oxygène 6 L/min, fréquence respiratoire : 45 rpm, température 39 C. L auscultation retrouve des râles crépitants bilatéraux. On ne retrouve pas de marbrures cutanées. L abdomen est sensible, sans défense ni contracture, néanmoins il existe des diarrhées depuis deux jours. Les premiers résultats du bilan biologique prélevé sont les suivants : ionogramme sanguin : sodium 129 mmol/l, potassium 3,8 mmol/l, chlore 91 mmol/l, CO 2 total 13 mmol/l, protides 82 g/l. Urée : 25 mmol/l, créatinine : 700 µmol/l (150 µmol/l il y a 48 heures). CRP : 656 mg/l, BNP : 80 ng/l. NFS : GB : /mm 3, plaquettes : /mm 3, Hb : 9 g/dl. GDS artériels sous O 2 : 6 L/min, ph : 7,2, PaO 2 : 80 mmhg, PaCO 2 : 34 mmhg, bicarbonates : 13 mmol/l. Lactate artériel : 1,2 mmol/l La radiographie de thorax est la suivante : 1
2 QUESTION 2 QUESTION 3 Quels sont les signes de gravité cliniques et paracliniques que vous mettez en évidence dans cette observation? Quel élément de gravité clinique est absent de l observation? Interprétez la gazométrie. Quel élément biologique est indispensable pour la réflexion devant ce trouble acido-basique? Quelle est la cause de ce trouble acido-basique? Quelle est la conclusion clinique que vous tirez de ces résultats concernant l état respiratoire de la patiente? QUESTION 4 Quelles sont les grandes lignes de votre prise en charge thérapeutique pour les heures à venir? Quel examen à visée diagnostique est indispensable à ce stade? L évolution est rapidement défavorable en dépit du traitement que vous avez entrepris. Le lendemain, la radiographie de thorax retrouve une franche aggravation des lésions. La gazométrie, réalisée en FiO %, est la suivante : ph : 7,23, PaO 2 : 100 mmhg, PaCO 2 : 48 mmhg, bicarbonates : 20 mmol/l. QUESTION 5 Quel est le syndrome présenté par la patiente? Quelle en est sa définition? Finalement, le laboratoire de bactériologie vous appelle pour vous signaler la positivité de l antigénurie pour Legionella pneumophila. QUESTION 6 Modifiez-vous le traitement anti-infectieux mis en œuvre? Si oui, pourquoi et selon quelles modalités? QUESTION 7 Mettez-vous en œuvre des mesures d isolement? Si oui, selon quelles modalités? Justifiez votre réponse. Quelle autre mesure associée est prise pour éviter la dissémination de la maladie? Le lendemain, le bilan biologique est le suivant : Hb : 7 g/dl, VGM : 88 fl, réticulocytes : /mm 3, plaquettes : /mm 3. L insuffisance rénale perdure. QUESTION 8 Quelle est votre hypothèse diagnostique? Justifiez. Quels examens réalisez-vous pour étayer votre hypothèse? «Ces document ont été rédigés par un Comité Pédagogique Indépendant et validés par le Comité Scientifique de La Revue du Praticien, 2
3 GRILLE DE CORRECTION DU DOSSIER N 2 Dossier n 2 Interne de garde aux urgences de l hôpital, vous êtes appelé par le service de maladies infectieuses de cet établissement pour examiner Mme F., 45 ans, pour dyspnée d aggravation progressive. Vous apprenez par téléphone que cette patiente est diabétique de type 1 depuis l enfance et transplantée rénale depuis deux ans dans les suites d une néphropathie diabétique sévère au stade d insuffisance rénale chronique terminale. Son traitement habituel est le suivant (la patiente est bien observante) : prednisone 10 mg/j, mycophénolate mofétil 1 g 2/j, tacrolimus 1 mg 2/j, sulfaméthoxazole-triméthoprime 400 mg/j, valaciclovir 500 mg 3/j et analogue de l insuline lente (insuline glargine) et analogue de l insuline rapide. Elle est hospitalisée depuis quatre jours pour une pneumopathie droite, dont les symptômes ont commencé deux jours avant son hospitalisation, traitée depuis son arrivée par ceftriaxone en monothérapie, de façon probabiliste et sans réelle efficacité. En effet, la patiente reste fébrile à 39 C et devient de plus en plus oxygénodépendante (de 1 L/min initialement à 6 L/min d oxygène actuellement). QUESTION 1 L antibiothérapie initiale vous semble-t-elle adaptée? Justifiez. Quelles critiques pouvez-vous émettre concernant les autres modalités de la prise en charge initiale? L antibiothérapie est adaptée, car la patiente est hospitalisée en secteur d hospitalisation conventionnelle, sans signe de gravité retrouvé à la phase initiale (hypoxémie modérée, aspect unilatéral), et il est signalé que la patiente est considérée comme ayant une infection communautaire. La patiente présente cependant une comorbidité importante (transplantation rénale). Dans ce contexte de comorbidité et sans argument de gravité, l antibiothérapie doit couvrir les germes typiques et plus particulièrement le pneumocoque en première intention, et la monothérapie reste la règle (recommandations AFSSAPS-SPILF-SPLF 2010). Cependant, on peut émettre certaines critiques quant à la prise en charge diagnostique infectieuse ; en effet, la patiente est immunodéprimée, avec un déficit en immunité cellulaire qui la rend vulnérable à de nombreux pathogènes (champignons, virus, bactéries, mycobactéries). Dans ce contexte, il est impératif de réaliser une enquête microbiologique exhaustive qui comprend des prélèvements sanguins, urinaires (antigénurie légionelle, pneumocoque, PCR CMV ) et la réalisation d une fibroscopie bronchique avec lavage broncho-alvéolaire avec recherche bactériologique, virale, parasitologique et anatomo-pathologique, idéalement avant la mise sous antibiothérapie devant l absence de signe de gravité. Par ailleurs, il est indispensable de toujours réévaluer l efficacité du traitement instauré à heures afin d élargir l antibiothérapie aux germes non couverts par l antibiothérapie initiale et d ajouter un traitement couvrant les germes atypiques dans cette situation précise devant l échec clinique (persistance de la fièvre, majoration de l oxygénothérapie). Vous arrivez dans le service des maladies infectieuses. L examen clinique est le suivant : pression artérielle : 110/55 mmhg, fréquence cardiaque : 125 batt/min, saturation en oxygène : 89 % sous oxygène 6 L/min, fréquence respiratoire : 45 rpm, température 39 C. L auscultation retrouve des râles crépitants bilatéraux. On ne retrouve pas de marbrures cutanées. L abdomen est sensible, sans défense ni contracture, néanmoins il existe des diarrhées depuis deux jours. Les premiers résultats du bilan biologique prélevé sont les suivants : ionogramme sanguin : sodium 129 mmol/l, potassium 3,8 mmol/l, chlore 91 mmol/l, CO 2 total 13 mmol/l, protides 82 g/l. Urée : 25 mmol/l, créatinine : 700 µmol/l (150 µmol/l il y a 48 heures). CRP : 656 mg/l, BNP : 80 ng/l. NFS : GB : /mm 3, plaquettes : /mm 3, Hb : 9 g/dl. GDS artériels sous O 2 : 6 L/min, ph : 7,2, PaO 2 : 80 mmhg, PaCO 2 : 34 mmhg, bicarbonates : 13 mmol/l. Lactate artériel : 1,2 mmol/l «Ces document ont été rédigés par un Comité Pédagogique Indépendant et validés par le Comité Scientifique de La Revue du Praticien, 3
4 La radiographie de thorax est la suivante : QUESTION 2 Quels sont les signes de gravité cliniques et paracliniques que vous mettez en évidence dans cette observation? Quel élément de gravité clinique est absent de l observation? On peut classer les signes de gravité clinique en quatre catégories : les signes respiratoires, hémodynamiques, neurologiques, et le terrain. On identifie rapidement dans le texte une polypnée > 30/min, une hypoxémie sévère (saturation en oxygène < 90 % sous oxygène 6 L/min) et une tachycardie > 120 batt/min, et la patiente est immunodéprimée. Il manque donc l atteinte neurologique représentée par la confusion (score CURB 65). Concernant les signes de gravité paraclinique, ils sont eux aussi notifiés dans les recommandations de la SPILF et dans les différents scores (CURB 65, Fine) et ici on retrouve l insuffisance rénale et l acidose métabolique sévère (ph < 7,3). QUESTION 3 Interprétez la gazométrie. Quel élément biologique est indispensable pour la réflexion devant ce trouble acido-basique? Quelle est la cause de ce trouble acido-basique? Quelle est la conclusion clinique que vous tirez de ces résultats concernant l état respiratoire de la patiente? Il s agit d une acidose métabolique (ph < 7,36) avec hypobasémie et hypocapnie. La valeur de capnie est supérieure à celle attendue devant une acidose si sévère et au regard de la fréquence respiratoire élevée. Ce phénomène traduit un début d épuisement respiratoire dans un contexte de pneumopathie très hypoxémiante (PaO 2 = 80 mmhg sous 6 L d oxygène). Devant une acidose métabolique, il convient de calculer le trou anionique afin de déterminer si l acidose est liée à un gain d acide ou une perte de base ; ici, le trou anionique est élevé (28,8) et traduit un gain d acide. On ne retrouve pas d hyperlactatémie sur le bilan biologique, et la bandelette urinaire n est pas disponible pour pouvoir éliminer une acidocétose. Cependant, l hypothèse principale pour expliquer ce trouble reste l insuffisance rénale aiguë de haut degré. QUESTION 4 Quelles sont les grandes lignes de votre prise en charge thérapeutique pour les heures à venir? Quel examen à visée diagnostique est indispensable à ce stade? La patiente présente une détresse respiratoire hypoxémiante sévère associée à une défaillance rénale de haut degré dans un contexte d immunodépression. Devant l existence d au moins deux défaillances d organe, un transfert en réanimation en urgence est indispensable. On a donc identifié les trois problèmes principaux de cette patiente qui vont guider l attitude thérapeutique : le problème respiratoire infectieux, le problème rénal, et le terrain d immunosuppression. Pour la défaillance 4
5 respiratoire, il faut corriger l hypoxémie et placer la patiente sous ventilation mécanique invasive, ce d autant plus qu il est indispensable de réaliser une fibroscopie bronchique avec un lavage broncho-alvéolaire pour le bilan infectieux devant cet échec d antibiothérapie et que cette procédure s avère dangereuse en ventilation spontanée devant ce tableau de détresse respiratoire. La ventilation non invasive n a pas d indication dans les pneumopathies hypoxémiantes, même si la patiente est immunodéprimée, et peut aggraver la situation respiratoire. Du point de vue infectieux, il convient de modifier l antibiothérapie rapidement en élargissant l antibiothérapie avec ajout d un traitement par macrolides ou fluroquinolones (pneumopathie grave en réanimation) et d adapter secondairement l antibiothérapie aux résultats du lavage broncho-alvéolaire. Concernant l insuffisance rénale aigüe, on retient l indication à une épuration extrarénale devant l acidose métabolique et l hyperurémie. Enfin, compte tenu du terrain, il est essentiel de surveiller le traitement immunosuppresseur, ce d autant qu il existe une insuffisance rénale pourvoyeur de surdosage en tacrolimus et que l idéal est de diminuer l immunodépression en cas d infection grave. L évolution est rapidement défavorable en dépit du traitement que vous avez entrepris. Le lendemain, la radiographie de thorax retrouve une franche aggravation des lésions. La gazométrie, réalisée en FiO2 100 %, est la suivante : ph : 7,23, PaO 2 : 100 mmhg, PaCO 2 : 48 mmhg, bicarbonates: 20 mmol/l. QUESTION 5 Quel est le syndrome présenté par la patiente? Quelle en est sa définition? Il s agit d un syndrome de détresse respiratoire aigu (SDRA). La définition a été récemment modifiée (définition dite de Berlin, 2012) et répond à quatre critères : l existence d opacités pulmonaires bilatérales à la radiographie de thorax ou au scanner thoracique, le caractère aigu de l atteinte (moins d une semaine depuis le début des symptômes), l absence d argument pour un OAP cardiogénique ou que la défaillance respiratoire ne peut pas complètement être expliqué par un OAP, et l existence d un rapport PaO 2 /FiO 2 inférieur à 300 avec un niveau de pression expiratoire extrinsèque positive (PEEP) > 5. Finalement, le laboratoire de bactériologie vous appelle pour vous signaler la positivité de l antigénurie pour Legionella pneumophila. QUESTION 6 Modifiez-vous le traitement anti-infectieux mis en œuvre? Si oui, pourquoi et selon quelles modalités? Oui, on retient l indication à un changement d antibiothérapie. En effet, la patiente présente une légionellose grave avec SDRA, hospitalisée en réanimation et sur un terrain particulièrement fragile. Dans ce contexte, la bithérapie est consacrée par l usage, mais sans preuve de supériorité par rapport à une monothérapie. Le traitement recommandé associe soit une bithérapie par macrolides par voie intraveineuse et fluroquinolones ou rifampicine. Cependant, dans ce contexte de prise de médicaments immunosuppresseurs, on privilégiera l usage de fluroquinolones compte tenu du risque d interaction médicamenteuse avec le traitement par tacrolimus (la rifampicine diminue l activité immunosuppressive de la ciclosporine et des corticoïdes, favorisant un rejet). La monothérapie par fluoroquinolone est également un traitement reconnu dans les formes graves, selon les recommandations de l AFSSAPS QUESTION 7 Mettez-vous en œuvre des mesures d isolement? Si oui, selon quelles modalités? Justifiez votre réponse. Quelle autre mesure associée est prise pour éviter la dissémination de la maladie? Non, il n existe pas de mesure d isolement spécifique vis-à-vis de la légionellose. La transmission se fait par voie respiratoire ou par inhalation d aérosol d eau contaminée. La contamination par ingestion d eau n est pas démontrée à ce jour, et la transmission interhumaine n a jamais été documentée. La légionellose est une maladie à déclaration obligatoire quand le diagnostic est établi. Le lendemain, le bilan biologique est le suivant : Hb : 7 g/dl, VGM : 88 fl, réticulocytes : /mm 3, plaquettes : /mm 3. L insuffisance rénale perdure. 5
6 QUESTION 8 Quelle est votre hypothèse diagnostique? Justifiez. Quels examens réalisez-vous pour étayer votre hypothèse? La patiente présente une anémie normocytaire régénérative associée à une thrombopénie et une insuffisance rénale aiguë. L association de ces trois éléments évoque une microangiopathie thrombotique (MAT). Il existe deux formes de MAT, avec le syndrome hémolytique et urémique (SHU) avec expression rénale prédominante et le purpura thrombotique thrombocytopénique (PTT) avec expression neurologique au premier plan. On retient plutôt ici le diagnostic de SHU. On distingue le SHU épidémique, le plus fréquent, liée à une infection à E. coli de sérotype 0157 : H7 et le SHU sporadique, plus rare, de causes variées et pouvant dans la situation présente être liée au traitement par tacrolimus. Pour étayer le diagnostic de MAT, on recherche des arguments pour le caractère hémolytique de l anémie avec la recherche d une schizocytose, d une baisse de l haptoglobine et on recherche à éliminer une cause immunologique (syndrome d Evans) à l origine de cette bicytopénie dans ce contexte avec un test de Coombs qui doit être négatif. «Ces document ont été rédigés par un Comité Pédagogique Indépendant et validés par le Comité Scientifique de La Revue du Praticien, 6
7 GRILLE DE NOTATION DU DOSSIER N 2 Dossier n 2 QUESTION RÉPONSES ATTENDUES COTATION COPIE QUESTION RÉPONSES ATTENDUES COTATION COPIE Q1 Oui - Hospitalisation conventionnelle Contexte communautaire Pas de signe de gravité initiaux Sujet avec comorbidités (immunodépression)... 2 Critiques concernant la prise en charge : - pas d exploration microbiologique par bronchoscopie et lavage broncho-alvéolaire chez cette patiente immunodéprimée pas de réévaluation après 48 heures de traitement malgré l échec du traitement pas de modification de l antibiothérapie malgré l échec du traitement à 48 heures : ajout d un agent antigerme atypique... 3 Sous-total Q2 Signe de gravité clinique retrouvé : - respiratoire : polypnée > 30/min... 2 hypoxémie sévère (saturation en oxygène < 90% sous O 2 ) Hémodynamique : tachycardie > 120 batt/min Terrain : immunodépression... 2 Signe de gravité paraclinique : - Respiratoire : atteinte radiologique bilatérale avec extension rapide 2 - Insuffisance rénale aiguë Acidose métabolique (ph < 7,3)... 1 Signe de gravité absent : - Signe de défaillance neurologique : somnolence, confusion, agitation 3 Sous-total Q3 - Acidose métabolique Non compensée Hypoxémie Hypocapnie modérée non adaptée à la profondeur de l acidose Hypobasémie Calcul du trou anionique (TA = 28,8) Étiologie : insuffisance rénale aiguë L absence de compensation respiratoire traduit un épuisement respiratoire... 2 Sous-total
8 QUESTION RÉPONSES ATTENDUES COTATION COPIE Q4 - Transfert en réanimation... 3 Prise en charge respiratoire et infectieuse : - Mise sous ventilation mécanique invasive (VNI = 0) Élargissement de l antibiothérapie avec ajout d un traitement par macrolides (attention avec sujet transplanté)... 3 ou fluoroquinolones Kinésithérapie respiratoire... NC Prise en charge rénale : - Épuration extrarénale (acidose métabolique profonde) Adaptation du traitement immunosuppresseur... 1 Surveillance : - Lavage broncho-alvéolaire... 4 Sous-total Q5 - Syndrome de détresse respiratoire aigu Définition (nouvelle définition de Berlin)... NC - Opacités bilatérales à la radio de thorax (ou TDM thoracique) Survenue aigüe Absence d argument pour un OAP cardiogénique PaO 2 /FiO 2 < 300 mmhg... 2 Sous-total Q6 Oui car :... NC - Tableau de légionellose grave Hospitalisation en réanimation Patiente immunodéprimée... 3 Monothérapie... 3 par fluoroquinolones... 3 OU Bithérapie... 2 par macrolides IV fluoroquinolones ou rifampicine... 2 (à éviter ici compte tenu du traitement immunosuppresseur)... NC Sous-total
9 QUESTION RÉPONSES ATTENDUES COTATION COPIE Q7 Non... NC Aucune mesure d isolement respiratoire ou de contact n est à mettre en place en cas de légionellose Pas de transmission interhumaine... 2 Déclaration obligatoire... 3 Sous-total... 5 Q8 Microangiopathie thrombotique... 2 À type de syndrome hémolytique et urémique sporadique... 2 Secondaire au tacrolimus... NC Devant Anémie régénérative... 1 Thrombopénie... 1 Insuffisance rénale aiguë... 1 Bilan : recherche schizocytose... 1 dosage haptoglobine... 1 test de Coombs... 1 Sous-total NOTE MAXIMALE AU DOSSIER «Ces document ont été rédigés par un Comité Pédagogique Indépendant et validés par le Comité Scientifique de La Revue du Praticien, 9
10 FICHE DU DOSSIER N 2 Dossier n 2 ANTIBIOTHÉRAPIE DANS LES INFECTIONS RESPIRATOIRES BASSES DE L ADULTE Source : mise au point SPILF/AFSSAPS/SPLF La pneumopathie aiguë communautaire (PAC), définie comme une infection du parenchyme pulmonaire acquis en milieu extrahospitalier ou en moins de 48 heures à l hôpital, représente un problème de santé publique majeur compte tenu de la fréquence (400 à cas par an en France), de la gravité (mortalité jusqu à 15 %) et du coût (15 à 20 % des malades nécessitent une hospitalisation, hospitalisation qui représente 90 % des dépenses dues à cette pathologie). Deux questions primordiales se posent dans le cadre de la prise en charge de cette pathologie : - l orientation des patients quant au lieu de la prise en charge (ambulatoire, hospitalisation conventionnelle ou en réanimation/soins intensifs) ; - les modalités d antibiothérapie. ORIENTATION DES PATIENTS PRÉSENTANT UNE PNEUMOPATHIE AIGUË COMMUNAUTAIRE L orientation des patients est réalisée à partir de l évaluation de la gravité du patient. Cette évaluation intègre des éléments liés : - au terrain : avec la mise en évidence de nombreux facteurs de risque de mortalité (âge > 65 ans, maladies chroniques multiples, immunodépression variée, hospitalisation dans l année, vie en institution) ; - à l examen clinique : atteinte des fonctions supérieures (altération de la conscience), atteinte des fonctions vitales (pression artérielle systolique < 90 mmhg, fréquence cardiaque > 120 batt/min, fréquence respiratoire > 30/min), température < 35 C ou 40 C ; - aux examens complémentaires : insuffisance rénale aiguë nécessitant une dialyse, acidose sévère ph < 7,30, thrombopénie (< /mm 3 ). Il existe de nombreux scores permettant d évaluer la gravité des PAC, on peut notamment citer le score CRB65, CURB 65 ou le score de Fine. Ces scores constituent une aide, néanmoins le bon sens clinique du praticien, en fonction de tous ces éléments, doit permettre d orienter le patient dans la bonne structure pour la suite de la prise en charge. En pratique, on hospitalise un patient : - qui présente des signes de gravité ; - chez qui il existe une incertitude diagnostique ; - qui risque de décompenser une pathologie chronique préexistante (comorbidités) ; - qui nécessite plus qu un traitement anti-infectieux. ANTIBIOTHÉRAPIE DES PAC DE L ADULTE L antibiothérapie des PAC est probabiliste et tient compte des pathogènes les plus fréquemment impliqués et de la gravité qui peut leur être associée. Streptococcus pneumoniæ (pneumocoque) est l agent pathogène le plus fréquemment isolé (30 à 47 % des cas). Les antibiotiques efficaces dans cette situation sont : amoxicilline, amoxicilline-acide clavulanique-ceftriaxone, cefotaxime, les fluoroquinolones antipneumococcique et la pristinamycine ou télithromycine. Les bactéries «atypiques» à développement intracellulaire ou associé aux cellules (Mycoplasma pneumoniæ, Chlamydophila pneumoniæ et Chlamydophila psittaci, Legionella pneumophila) constituent les autres pathogènes fréquemment rencontrés. Les antibiotiques efficaces sur ces germes sont : les macrolides, les fluoroquinolones, la pristinamycine ou télithromycine). 10
11 Streptococcus pneumoniæ et Legionella pneumophila sont deux pathogènes à prendre obligatoirement en compte en raison de la mortalité importante qui leur est associée. Le traitement antibiotique doit être instauré dès le diagnostic porté, idéalement dans les 4 heures. Son efficacité doit être évaluée impérativement après heures de traitement. Pour résumer : Dans les PAC non graves, en première intention, on peut choisir de traiter le pneumocoque ou de traiter les germes «atypiques» en fonction de l âge du patient et de la présentation clinique. L essentiel est la réévaluation à 48 heures de traitement pour pouvoir modifier l antibiothérapie en cas d échec du traitement instauré initialement en ajoutant un traitement par macrolides ou en substituant le traitement initial par une fluoroquinolone. En cas de pneumopathie grave, on doit traiter en première intention le pneumocoque et L. pneumophila, et le traitement antibiotique initial associe d emblée une céphalosporine de troisième génération (ceftriaxone ou céfotaxime) à un traitement par macrolide ou fluoroquinolone. 11
12 Items abordés dans ce dossier 86. Infections bronchopulmonaires du nourrisson, de l enfant et de l adulte Transplantation d organes : aspects épidémiologiques et immunologiques ; principes de traitement et surveillance ; complications et pronostic ; aspects éthiques et légaux Prescription et surveillance des antibiotiques Détresse respiratoire aiguë du nourrisson de l enfant et de l adulte. Corps étranger des voies aériennes supérieures Troubles de l équilibre acido-basique et désordres hydro-électrolytiques Insuffisance rénale aiguë. Anurie. 12
4eme réunion régionale des référents en antibiothérapie des établissements de Haute-Normandie
4eme réunion régionale des référents en antibiothérapie des établissements de Haute-Normandie Infection pulmonaire du sujet âgé A. Barrel CH Darnetal Omedit Rouen 20 juin 2013 Cas clinique Mme H. Patiente
Plus en détailINTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES
INTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES QU EST-CE QUE LE MDRD? Il s agit d une formule permettant d estimer le débit de filtration glomérulaire et donc la fonction rénale La formule est la suivante :
Plus en détailInfiltrats pulmonaires chez l immunodéprimé. Stanislas FAGUER DESC Réanimation médicale 16-17 septembre 2009
Infiltrats pulmonaires chez l immunodéprimé Stanislas FAGUER DESC Réanimation médicale 16-17 septembre 2009 Complications pulmonaires en onco-hématologie (Mokart et al Chest 2003) ~ 20 % des patients ~
Plus en détailLe traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence
Le traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence Dominique GENDREL Necker-Enfants Malades Traiter en urgence en présence de trophozoïtes Plus de 80% des paludismes d importation en
Plus en détailIl est bien établi que le réseau d eau hospitalier peut
Les micro-organismes de l eau impliqués dans les infections nosocomiales Depuis 2001 chez Pall, en charge de l information scientifique et réglementaire dans les domaines d applications couverts par la
Plus en détailGUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE
GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE SOURCES : ligues reins et santé A LA BASE, TOUT PART DES REINS Organes majeurs de l appareil urinaire, les reins permettent d extraire les
Plus en détailAccidents des anticoagulants
30 Item 182 Accidents des anticoagulants Insérer les T1 Objectifs pédagogiques ENC Diagnostiquer un accident des anticoagulants. Identifier les situations d urgence et planifier leur prise en charge. COFER
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailCONCOURS DE L INTERNAT EN PHARMACIE
Ministère de l enseignement supérieur et de la recherche Ministère de la santé et des sports CONCOURS DE L INTERNAT EN PHARMACIE Valeurs biologiques usuelles Edition de Novembre 2009 (6 pages) Conseil
Plus en détailVaccination et tuberculose en Gériatrie. Unité de Prévention et de Dépistage: Centre de vaccination et centre de lutte anti tuberculeuse CH Montauban
Vaccination et tuberculose en Gériatrie Unité de Prévention et de Dépistage: Centre de vaccination et centre de lutte anti tuberculeuse CH Montauban VACCINATIONS 2 Personnes âgées et vaccinations Avec
Plus en détailPRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES. Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière.
PRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière. 75 Pas de conflits d intérêts. Définitions Pré éclampsie Définitions
Plus en détailPrise en charge de l embolie pulmonaire
Prise en charge de l embolie pulmonaire Dr Serge Motte Liège 06.12.14 - Laack TA et Goyal DG, Emerg Med Clin N Am 2004; 961-983 2 PLAN Diagnostic Prise en charge: Phase aiguë: analyse de gravité Choix
Plus en détailLaurence LEGOUT, Michel VALETTE, Henri MIGAUD, Luc DUBREUIL, Yazdan YAZDANPANAH et Eric SENNEVILLE
Laurence LEGOUT, Michel VALETTE, Henri MIGAUD, Luc DUBREUIL, Yazdan YAZDANPANAH et Eric SENNEVILLE Service Régional Universitaires des Maladies Infectieuses et du Voyageur, Hôpital Gustave Dron 59208 TOURCOING
Plus en détailTRAITEMENT DE LA MPOC. Présenté par : Gilles Côté, M.D.
TRAITEMENT DE LA MPOC Présenté par : Gilles Côté, M.D. Département clinique de médecine générale Avril 2001 TRAITEMENT DE LA MPOC I- INTERPRÉTATION DES TESTS DE FONCTION RESPIRATOIRE II- PRISE EN CHARGE
Plus en détailo Non o Non o Oui o Non
Enquête générale (à remplir une fois) [ ] = plusieurs réponses possibles o = une seule réponse possible Date de votre réponse à ce questionnaire Nombre de lits dans l'unité Connaissez-vous l incidence
Plus en détailSURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES
SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES Dr Virginie NAEL Service de Santé au travail du personnel hospitalier CHU Nantes 44èmes journées FMC ANMTEPH / SOHF - Lausanne - Septembre
Plus en détailLa ventilation non invasive aux soins intensifs
La ventilation non invasive aux soins intensifs Martin Lessard MD Service de soins intensifs, CHA Division de soins intensifs adultes Université Laval 3 mars 2011 BiPAP (Bi-level Positive Airway Pressure)
Plus en détailURGENCES MEDICO- CHIRURGICALES. Dr Aline SANTIN S.A.U. Henri Mondor
URGENCES MEDICO- CHIRURGICALES Dr Aline SANTIN S.A.U. Henri Mondor Coup d envoi Définition de l urgence Fonction des personnes : Pour les patients : «ça ne va pas», «il n est pas comme d habitude», «il
Plus en détailRéflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie
Bull. Acad. Natle Chir. Dent., 2007, 50 113 Commission de l exercice professionnel et Groupe de réflexion Réflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie
Plus en détailVous intervenez en équipage SMUR sur un accident de la voie publique : à votre arrivée sur les lieux, vous trouvez un homme d environ 30 ans au sol à
Vous intervenez en équipage SMUR sur un accident de la voie publique : à votre arrivée sur les lieux, vous trouvez un homme d environ 30 ans au sol à plat dos, inconscient Glasgow 3, à 20 mètres d une
Plus en détailDéfinition de l Infectiologie
Définition de l Infectiologie Discipline médicale clinique Spécialisée. Prise en charge des Maladies Infectieuses et Tropicales. Actuelles, émergentes ou ré-émergentes. Référents dans le cadre d un maillage
Plus en détailchronique La maladie rénale Un risque pour bon nombre de vos patients Document destiné aux professionnels de santé
Document destiné aux professionnels de santé Agence relevant du ministère de la santé La maladie rénale chronique Un risque pour bon nombre de vos patients Clés pour la dépister et ralentir sa progression
Plus en détailPatho Med Cours 5. Maladie Pulmonaires Obstructives BPCO Asthme
Patho Med Cours 5 Maladie Pulmonaires Obstructives BPCO Asthme BPCO: B: Broncho ( Bronche) P: Pneumopathie C: Chronique O: Obstructive Asthme Maladies avec des spasmes bronchiques Maladies avec des spasmes
Plus en détailObservation. Merci à l équipe de pharmaciens FormUtip iatro pour ce cas
Cas clinique M. ZAC Observation Mr ZAC ans, 76 ans, 52 kg, est admis aux urgences pour des algies fessières invalidantes, résistantes au AINS. Ses principaux antécédents sont les suivants : une thrombopénie
Plus en détailCarte de soins et d urgence
Direction Générale de la Santé Carte de soins et d urgence Emergency and Healthcare Card Porphyries Aiguës Hépatiques Acute Hepatic Porphyrias Type de Porphyrie* Déficit en Ala déhydrase Ala Dehydrase
Plus en détailGuide du parcours de soins Titre GUIDE DU PARCOURS DE SOINS. Bronchopneumopathie chronique obstructive
Guide du parcours de soins Titre GUIDE DU PARCOURS DE SOINS Bronchopneumopathie chronique obstructive Juin 2014 Guide téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de Santé 2 avenue du Stade de France
Plus en détail1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies :
1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies : a. Les troubles fonctionnels digestifs sont définis par les critères de Paris b. En France, le syndrome de l intestin irritable touche
Plus en détailItem 127 : Transplantation d'organes
Item 127 : Transplantation d'organes Date de création du document 2008-2009 Table des matières * Introduction... 1 1 Allogreffe de moelle ou de cellules souches...1 2 Transplantation d'organes... 2 3 Diagnostic...3
Plus en détailTRAITEMENT DE L ANÉMIE AU COURS DE L INSUFFISANCE RÉNALE CHRONIQUE DE L ADULTE
TRAITEMENT DE L ANÉMIE AU COURS DE L INSUFFISANCE RÉNALE CHRONIQUE DE L ADULTE RECOMMANDATIONS Agence Française de Sécurité Sanitaire des Produits de Santé, mai 2005 Afssaps - 143/ 147, bd Anatole France
Plus en détailS o m m a i r e 1. Sémiologie 2. Thérapeutique
Sommaire 1. Sémiologie... 1 Auscultation cardiaque... 1 Foyers d auscultation cardiaque... 1 Bruits du cœur... 1 Souffles fonctionnels... 2 Souffles organiques... 2 Souffle cardiaque chez l enfant... 3
Plus en détailINFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT
INFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT QUELS RÉSULTATS POUR LE RECEVEUR? QUELS RISQUES POUR LE DONNEUR? DONNER UN REIN DE SON VIVANT PEUT CONCERNER CHACUN /////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////
Plus en détailSuivi ambulatoire de l adulte transplanté rénal au-delà de 3 mois après transplantation
SYNTHESE DES RECOMMANDATIONS PROFESSIONNELLES Suivi ambulatoire de l adulte transplanté rénal au-delà de 3 mois après transplantation Novembre 2007 OBJECTIF Assurer une qualité optimale du suivi et de
Plus en détailFaq 1 - Mener l interrogatoire et l examen clinique d un enfant fébrile
Fièvre aiguë de l enfant (et de l adulte : non traité) Critères de gravité d un syndrome infectieux Auteurs : J. Gaudelus, M.Voisin Objectifs : Objectifs terminaux Diagnostiquer une fièvre aiguë chez l
Plus en détailLE POINT TOX. N 7 - Juillet 2013. Bulletin du réseau de toxicovigilance de La Réunion L ÉVOLUTION TEMPORELLE DU NOMBRE D INTOXICATIONS
LE POINT TOX Bulletin du réseau de toxicovigilance de La Réunion N - Juillet 213 Dans ce bulletin d information, nous vous présentons l évolution temporelle du nombre d intoxications à la Réunion recensées
Plus en détailItem 182 : Accidents des anticoagulants
Item 182 : Accidents des anticoagulants COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Cruralgie par hématome
Plus en détailInnovations thérapeutiques en transplantation
Innovations thérapeutiques en transplantation 3èmes Assises de transplantation pulmonaire de la région Est Le 16 octobre 2010 Dr Armelle Schuller CHU Strasbourg Etat des lieux en transplantation : 2010
Plus en détailAssociation lymphome malin-traitement par Interféron-α- sarcoïdose
Association lymphome malin-traitement par Interféron-α- sarcoïdose Auteurs Cendrine Godet (*) Jean-Pierre Frat (**) Cédric Landron (*) Lydia Roy (***) Paul Ardilouze (****) Jean-Pierre Tasu (****) (*)
Plus en détailMinistère de la santé, de la jeunesse et des sports. Comité technique des infections nosocomiales et des infections liées aux soins
Ministère de la santé, de la jeunesse et des sports. DIRECTION GENERALE DE LA SANTE DIRECTION DE L HOSPITALISATION ET DE L ORGANISATION DES SOINS Comité technique des infections nosocomiales et des infections
Plus en détaile-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé
e-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé Professeur Michèle Kessler CHU de Nancy et réseau Néphrolor L une des applications de la télémédecine est la télésurveillance à domicile,
Plus en détailTraitement antibiotique probabiliste des urétrites et cervicites non compliquées
Bon usage Mise au point Traitement antibiotique probabiliste des urétrites et cervicites non compliquées Actualisation Octobre 2008 MESSAGES CLÉS L évolution de la résistance du gonocoque aux quinolones
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE. Avis. 3 septembre 2008
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 3 septembre 2008 PRIVIGEN 100 mg/ml, solution pour perfusion Flacon en verre de 50 ml (CIP: 572 790-7 Flacon en verre de 100 ml (CIP: 572 791-3) Flacon en verre de 200
Plus en détailThérapeutique anti-vhc et travail maritime. O. Farret HIA Bégin
Thérapeutique anti-vhc et travail maritime O. Farret HIA Bégin Introduction «L hépatite C est une maladie le plus souvent mineure, mais potentiellement cancérigène, qu on peut ne pas traiter et surveiller
Plus en détailANEMIE ET THROMBOPENIE CHEZ LES PATIENTS ATTEINTS D UN CANCER
ANEMIE ET THROMBOPENIE CHEZ LES PATIENTS ATTEINTS D UN CANCER Dr Michael Hummelsberger, Pr Jean-Gabriel Fuzibet, Service de Médecine Interne, Hôpital l Archet, CHU Nice 1. ANEMIE L étiologie de l anémie
Plus en détailprise en charge médicale dans une unité de soins
Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : prise en
Plus en détailL anémie hémolytique auto-immune
L anémie hémolytique auto-immune La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée à
Plus en détailL ANGINE. A Epidémiologie :
L ANGINE L angine est une inflammation aiguë des amygdales d origine essentiellement virale, et secondairement bactérienne. C est les streptocoque ß hémolytique du groupe A, qui est l agent responsable
Plus en détailFibrillation atriale chez le sujet âgé
Dr Benoit Blanchard LE HAVRE Le 18 MARS 2014 Fibrillation atriale chez le sujet âgé Le plus fréquent des trouble du rythme cardiaque, 750,000 personnes atteintes de FA en France, 100,000 nouveaux cas chaque
Plus en détailPoint d Information. Le PRAC a recommandé que le RCP soit modifié afin d inclure les informations suivantes:
Point d Information Médicaments à base d ivabradine, de codéine, médicaments contenant du diméthyl fumarate, du mycophénolate mofétil/acide mycophénolique, de l octocog alpha, spécialité Eligard (contenant
Plus en détailHEPATITES VIRALES 22/09/09. Infectieux. Mme Daumas
HEPATITES VIRALES 22/09/09 Mme Daumas Infectieux Introduction I. Hépatite aigu II. Hépatite chronique III. Les différents types d hépatites A. Hépatite A 1. Prévention de la transmission 2. Vaccination
Plus en détailComplications de la transfusion
Complications de la transfusion Traditionnellement, les accidents transfusionnels sont décrits selon leur cause, immunologique, infectieuse, autre. Il est cependant plus didactique de les étudier selon
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION. 10 octobre 2001
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION 10 octobre 2001 VIRAFERONPEG 50 µg 80 µg 100 µg 120 µg 150 µg, poudre et solvant pour solution injectable B/1 B/4 Laboratoires SCHERING PLOUGH Peginterféron
Plus en détailBonne lecture!! et si vous souhaitez consulter le document de l AFEF dans son intégralité, c est ici
Un résumé des recommandations éditées par l AFEF le 1 er juin 2015 Les recommandations de l AFEF vont plus loin que celles de l EASL. Le Pr Victor De Lédinghen, du CHU de Bordeaux, et secrétaire général
Plus en détailSignalement et gestion des infections respiratoires aiguës (IRA) et des gastroentérites aiguës (GEA) 19 juin 2014
Signalement et gestion des infections respiratoires aiguës (IRA) et des gastroentérites aiguës (GEA) 19 juin 2014 Nadège Caillere, Cire Océan Indien Dr Joao Simoes, Cellule de veille, d alerte et de gestion
Plus en détailANTIBIOTHÉRAPIE PAR VOIE GÉNÉRALE. Infections ORL et respiratoires basses
ANTIBIOTHÉRAPIE PAR VOIE GÉNÉRALE Infections ORL et respiratoires basses RECOMMANDATIONS 1 Les recommandations ont été établies par un groupe de travail multidisciplinaire, sous l égide de l Agence du
Plus en détailLeucémies de l enfant et de l adolescent
Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE
Plus en détailService d ambulance. Normes. de soins aux patients. et de transport
Service d ambulance Normes de soins aux patients et de transport Ministère de la Santé et des Soins de longue durée Direction des services de santé d urgence Avril 2000 (Mise à jour : octobre 2002) Soins
Plus en détailVaccination contre la grippe saisonnière
le point sur risques infectieux > Vaccinations Vaccination contre la grippe saisonnière Questions / Réponses - Professionnels de santé Document élaboré le 14 octobre 2014 1 - Quand a lieu la campagne de
Plus en détailMINISTERE DE LA SANTE, DE LA FAMILLE ET DES PERSONNES HANDICAPEES
MINISTERE DE LA SANTE, DE LA FAMILLE ET DES PERSONNES HANDICAPEES Conduite à tenir pour la prise en charge des personnes présentant un syndrome ou une suspicion de syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS)
Plus en détailÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE
ÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE PRISE EN CHARGE SYSTÉMATISÉE DES PERSONNES ATTEINTES D HYPERTENSION ARTÉRIELLE SOCIÉTÉ QUÉBÉCOISE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE 23 ÉVALUATION DE
Plus en détailInformation transmise sous l autorité de l Agence fédérale des médicaments et des produits de santé
Les Direct Healthcare Professional Communications (DHPC) sont des courriers envoyés aux professionnels de la santé par les firmes pharmaceutiques, afin de les informer de risques potentiels apparus lors
Plus en détailPLAC E DE L AN ALYS E TOXIC OLOG IQUE EN URGE NCE HOSP ITALI ERE
PLAC E DE L AN ALYS E TOXIC OLOG IQUE EN URGE NCE HOSP ITALI ERE CHEFIRAT B. Les intoxications aiguës constituent un réel problème de santé publique dont l impact reste encore à évaluer. Le nombre total
Plus en détailMigraine et Abus de Médicaments
Migraine et Abus de Médicaments Approches diagnostiques et thérapeutiques des Céphalées Chroniques Quotidiennes Pr D. DEPLANQUE Département de Pharmacologie médicale EA 1046, Institut de Médecine Prédictive
Plus en détailrecommandations pour les médecins de famille
BPCO: recommandations pour les médecins de famille BPCO: recommandations pour les médecins de famille Dr. med. Werner Karrer, Prof. Dr. med. Jörg D. Leuppi Les médecins de famille jouent un rôle central
Plus en détailEVALUATION DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ ANALYSE MÉDICO-ÉCONOMIQUE. Efficacité et efficience des hypolipémiants Une analyse centrée sur les statines
EVALUATION DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ ANALYSE MÉDICO-ÉCONOMIQUE Efficacité et efficience des hypolipémiants Une analyse centrée sur les statines Juillet 2010 Mise à jour Septembre 2010 1 Le rapport complet
Plus en détailLA TUBERCULOSE Docteur ALAIN BERAUD
LA TUBERCULOSE Docteur ALAIN BERAUD Service de Pneumologie Hôpital Beauregard - THIONVILLE 1 Bilan initial Objectifs Bilan de base Traitement pharmacologique Autres traitements pharmacologiques Autres
Plus en détailB06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs
B06-1 B06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs L ischémie aiguë est une interruption brutale du flux artériel au niveau d un membre entraînant une ischémie tissulaire. Elle constitue
Plus en détailAtelier N 2. Consultation de patientes porteuses d une maladie générale
Atelier N 2 Consultation de patientes porteuses d une maladie générale Contre indica,ons à la grossesse Hypertension artérielle pulmonaire >30mmHg Maladie de Marfan (dilatation aortique>4 cm) Rétrécissement
Plus en détailLe don de moelle osseuse :
DON DE MOELLE OSSEUSE Le don de moelle osseuse : se décider aujourd hui, s engager pour longtemps LA MOELLE OSSEUSE ET SA GREFFE La moelle osseuse C est le tissu mou dans le centre du corps des os qui
Plus en détailLes Infections Associées aux Soins
Les Infections Associées aux Soins Dr Catherine Sartor EOH Conception Assistance Publique Hôpitaux de Marseille Ecole IFSI, Marseille, 12 septembre 2014 Définitions 2007 Infection Nosocomiale (IN) 1999
Plus en détailPlan. Introduction. Les Nouveaux Anticoagulants Oraux et le sujet âgé. Audit de prescription au Centre Hospitalier Geriatrique du Mont d Or
Plan Introduction Les Nouveaux Anticoagulants Oraux et le sujet âgé Audit de prescription au Centre Hospitalier Geriatrique du Mont d Or Introduction NACO: une actualité brûlante! AVK: Plus forte incidence
Plus en détailGestion des épidémies en FAM et MAS. 2 ère réunion annuelle FAM/MAS 20 mars 2015
Gestion des épidémies en FAM et MAS 2 ère réunion annuelle FAM/MAS 20 mars 2015 Rappels En EMS, le risque infectieux est présent, avec cumul des différents aspects de ce risque: Infections communautaires:
Plus en détailDÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE
DÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE Le présent livret a été rédigé à l attention des patients et de leurs familles. Il ne doit pas remplacer les conseils d un spécialiste en immunologie. 1 Egalement Disponible
Plus en détailHTA et grossesse. Dr M. Saidi-Oliver chef de clinique-assistant CHU de Nice
HTA et grossesse Dr M. Saidi-Oliver chef de clinique-assistant CHU de Nice Définition HTA gravidique: Après 20 SA Systole> 140mmHg et/ou Diastole>90mmHg A 2 reprises séparées de plus de 6 heures Résolutive
Plus en détailINSUFFISANCE CARDIAQUE «AU FIL DES ANNEES»
INSUFFISANCE CARDIAQUE «AU FIL DES ANNEES» v On ne guérit pas ( en général ) d une insuffisance cardiaque, mais on peut la stabiliser longtemps, très longtemps à condition v Le patient insuffisant cardiaque
Plus en détailMaladies neuromusculaires
Ministère de la Santé et des Solidarités Direction Générale de la Santé Informations et conseils Maladies neuromusculaires Lisez attentivement ce document et conservez-le soigneusement avec la carte de
Plus en détailPsoriasis et travail dans le BTP. Pr E. Delaporte
Psoriasis et travail dans le BTP Pr E. Delaporte 30 Mai 2013 Janvier 2013 : File active de 335 malades traités (293) ou ayant été traités (42) par immunosupp./ modulateurs (MTX CyA biomédicaments) 214
Plus en détailFrench Version. Aciclovir Labatec 250 mg (For Intravenous Use Only) 02/2010. Product Information Leaflet for Aciclovir Labatec i.v.
Product Information Leaflet for Aciclovir Labatec i.v. 250 mg French Version Aciclovir Labatec i.v. Composition Principe actif: Aciclovirum ut Acicloviri natricum (Praeparatio cryodesiccata). Excipients:
Plus en détailprise en charge paramédicale dans une unité de soins
Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : prise en
Plus en détailSoins Inrmiers aux brûlés
Soins Inrmiers aux brûlés Le 29/04/2009 1 Intro La gravité d'une brûlure dépend essentiellement de sa profondeur, de sa supercie de sa localisation et du ASA. Sa prise en charge doit être rapide pour limiter
Plus en détailMETHODOLOGIE POUR ACCROITRE LE POOL DE DONNEURS PULMONAIRES
METHODOLOGIE POUR ACCROITRE LE POOL DE DONNEURS PULMONAIRES Marc STERN Groupe de Transplantation Pulmonaire Hôpital Foch Aucun conflit d intérêt à déclarer Le greffon pulmonaire Bien rare et insuffisant:
Plus en détailMigraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques
Migraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques Dr Solène de Gaalon Service de neurologie- CHU Nantes Société française des migraines et céphalées Céphalées de tension
Plus en détailTRAITEMENTS MEDICAMENTEUX DU DIABETE DE TYPE 2 (Hors Insuline) MAREDIA Dr Marc DURAND
TRAITEMENTS MEDICAMENTEUX DU DIABETE DE TYPE 2 (Hors Insuline) MAREDIA Dr Marc DURAND PHYSIOPATHOLOGIE DE L HYPERGLYCEMIE DU DT2 Tube digestif Pancréas endocrine α β Tissu adipeux cellules β insuline cellules
Plus en détailLISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B
LISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B Actualisation février 2009 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication
Plus en détailActivité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme
Activité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme 1. EXTRAITS REFERENTIELS DU BO Partie du programme : Fonctionnement de l organisme et besoin
Plus en détailApport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales
Apport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales A propos de 35cas L.Derouich, N.El Benna, N.Moussali, A.Gharbi, A.Abdelouafi Service de Radiologie Hôpital 20 Aout CHU Ibn Roch Casablanca Maroc plan
Plus en détailTEST DE DÉTECTION DE LA PRODUCTION D INTERFÉRON γ POUR LE DIAGNOSTIC DES INFECTIONS TUBERCULEUSES
TEST DE DÉTECTION DE LA PRODUCTION D INTERFÉRON γ POUR LE DIAGNOSTIC DES INFECTIONS TUBERCULEUSES Classement NABM : non inscrit code : non codé DÉCEMBRE 2006 Service évaluation des actes professionnels
Plus en détailVentilation mécanique à domicile
RÉVISION DE CATÉGORIES HOMOGÈNES DE DISPOSITIFS MÉDICAUX Ventilation mécanique à domicile Dispositifs médicaux et prestations associées pour traitement de l insuffisance respiratoire Date de validation
Plus en détailE04a - Héparines de bas poids moléculaire
E04a - 1 E04a - Héparines de bas poids moléculaire Les héparines de bas poids moléculaire (HBPM) sont un mélange inhomogène de chaînes polysaccharidiques obtenues par fractionnement chimique ou enzymatique
Plus en détailMarseille 25 octobre 2012 Accompagnement du traitement chez les co-infectés VHC-VIH en pratique
Marseille 25 octobre 2012 Accompagnement du traitement chez les co-infectés VHC-VIH en pratique Dominique Larrey Service d Hépatogastroenterologie et transplantation Hôpital Saint Eloi CHU Montpellier
Plus en détailSOINS DE PRATIQUE COURANTE. Prélèvement aseptique cutané ou de sécrétions muqueuses, prélèvement de selles
NOMENCLATURE GENERALE DES ACTES PROFESSIONNELS INFIRMIERS (Arrêté du 25 mars 1993) (Arrêté du 21 avril 1994) (Arrêté du 1er mars 1999) (Arrêté du 8 Décembre 1999) (Arrêté du 12 Octobre 2000) (Arrêté du
Plus en détailCéphalées de tension. Hélène Massiou Hôpital Lariboisière, Paris
Céphalées de tension Hélène Massiou Hôpital Lariboisière, Paris Céphalée de tension : une maladie hétérogène La plus fréquente des céphalées primaires Diagnostic basé sur l interrogatoire Manque de spécificité
Plus en détailLa maladie de Berger Néphropathie à IgA
Néphropathie à IgA La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée à vous informer
Plus en détailLa résistance d'agents infectieux aux médicaments antimicrobiens
DECLARATION COMMUNE DES ACADEMIES DU G SCIENCE 2013 La résistance d'agents infectieux aux médicaments antimicrobiens Une menace globale pour l'humanité Depuis l introduction dans les années 40 du premier
Plus en détailInsuffisance cardiaque et télémédecine: Exemple du Projet E care : prise en charge à domicile des insuffisants cardiaques en stade III
Insuffisance cardiaque et télémédecine: Exemple du Projet E care : prise en charge à domicile des insuffisants cardiaques en stade III de la NYHA Emmanuel ANDRES et Samy TALHA Service de Médecine Interne,
Plus en détailI - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE
I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE 1- Définition : Le diabète sucré se définit par une élévation anormale et chronique de la glycémie. Cette anomalie est commune à tous les types de diabète sucré, mais
Plus en détailLa Broncho-Pneumopathie chronique obstructive (BPCO)
La Broncho-Pneumopathie chronique obstructive (BPCO) Définition La définition scientifique de la BPCO est la suivante : «maladie chronique et lentement progressive caractérisée par une diminution non complètement
Plus en détailUTILISATION DES C.C.P DANS LES HEMORRAGIES SOUS AVK ET SOUS NACO : RECOMMANDATIONS DE L HAS COPACAMU 2014
UTILISATION DES C.C.P DANS LES HEMORRAGIES SOUS AVK ET SOUS NACO : RECOMMANDATIONS DE L HAS SYMPOSIUM CSL BEHRING COPACAMU 2014 PROFESSEUR François BERTRAND CHU DE NICE CHRONOLOGIE DES RECOMMANDATIONS
Plus en détail1.1.2 : Indiquer la voie de pénétration du microorganisme
Situation n 2 : EN QUOI L EPIDEMIE DE CHIKUNGUNYA APPORTE T- ELLE DES CHANGEMENTS DANS NOTRE VIE QUOTIDIENNE? Séance n 1 : Le chikungunya Objectif : Prévenir le risque infectieux Tout d un coup, Adeline
Plus en détailContenu de la formation PSE1et PSE2 (Horaires à titre indicatif)
Contenu de la formation PSE1et PSE2 (Horaires à titre indicatif) Contenu de la formation PSE1 LE SECOURISTE : 1 h 30 Indiquer le rôle et les responsabilités d un secouriste. Indiquer les connaissances
Plus en détail