EKLEO PENN AR BED " Olreoteui- : A. I^AJAU" 31, rue <iesî I^^outaines, M O I ^ L A I X

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1 Deuxème nnée N" 78 Le Xméro & CeluTcs Samed h' Jun 1907 f' JOURNL RÉGONLSTE NDÉPENDNT u gtu H nllt êdamlt, cmmttlta* t égtutl a f (f. TRF DES BONNEMENTS MORLX. un an 3 fr. 5 0 Fnetre. Côtes - du - Nord, Morbhan, un an 4 fr. OO utres Départements 4 fr. 5 0 Fras de Recouvrement par la Poslox 0 fr. 40 par bonnement. du Fnstère Pour les annonces répétées on trate EKLEO PENN R BED " Olreoteu- :. ^JU" 31, rue <esî ^^outanes, M O ^ L X Rédacton et dmrastraton 31, rue des Fontanes - ^HOtCLSS.., V TRF DES NSERTONS la lgne nn. (judcares ou dverses). O fr. 2 0 Réclamos (en 3 page) :... O fr. 3 0 ù forfat. Le servce du journal est fat gratutment aux ofjîcers mnstérels annoncers. Pour les annonces et réclames s'adresser à M. H. POCHON, sot 81, rue des Fontanes ou 07, rue Gambetla. Les manuscrts ne sont pas rendus L SEMNE Vendred 24 Ma. La Chambre, réune dans ses bureaux, a élu aujourd'hu la nouvelle commsson du budget qu sera chargée d'examner le projet de budget de M. Callaxtx l'exercce Le Sénat a abordé la dscusson du projet de lo tendant à asmrer à la femme marée la lbre dsposton des fruts de son traval. Les nformatons qu crculent dans la presse touchant la nomnaton mmnente de nouveaux cardnaux, sont fantasstes. - Le groupe socalste unfé de la Chambre s'est réun examner la stuaton poltque M. Clémenceau a reçu ce matn une dlégaton du groupe radcal-socalste. La canonnère allemande» Luchs» a reçu l'ordre de se porter au secours du c Chanzy». Samed 25 Ma. Les mnstres ont tenu Consel, sous la présdence de M. Faîtères. M. Pchon a donné connassance à ses collègues des satsfactons accordées par le sultan à propos au meurtre du docteur Mauchamp. Le mnstre de la guerre a répondu à M. Klotz que la classe 1904 serat ren vojée mmédatement après les grandes manœuvres. Les vgnerons de Perpgnan et des envrons se préparent au grand meetng qu se tendra deman ù Carcassonne. On crant des ncdents. On télégraphe que s le temps ne s'amélore pas à bref déla : le * Chanzg» est dé fn t ve nent perdu. On dément, en llemagne, que l'on at découvert un complot d'llemands et de /lusses contre Gullaume L Lund 27 Ma. Les souverans de Norvège sont arrvés à Pars. ls ont reçu un accuel enthousaste de ta foute. La Chambre a reprs la dscusson du projet de lo ayant but d'assurer le secret du vote. ujourd'hu s'est ouvert à Pars le eonfr4*jlo«ta»otula.pré»dence de Mgr mette. Dvers rapports ont été tus. Mard 28 Ma. La Chambre a voté le projet de lo renvoyant la classe 903 le là jullet. Les nnnstres ont tenu Consel sous ta présdence de M. Fatléres. Le ro de Norvège a reçu toute ta mâtné-: tes membres du corps dplomatque et a, dans l'après-md, vsté Pars. Le curassé «Vérté» a été^ lancé à Bordeaux, en présence de M. Thomson, mnstre de ta marne. L'opératon a parfatement réuss. Mercred 29 Ma. Les souverans norvégens n'ont pas qutté leurs appartements ce maln. Cet après-md ls ont vsté Versalles. ujourd'hu est revenu devant les assses du Lot-et-Garonne te procès Chaumé contre le «Maln». Ce journal a pladé l'ncompétence el s'est vu en cassaton. M. Callaux a reçu une délégaton des commerçants en vns gu ont protesté contre certanes dspostons de son projet relatf à la répresson des fraudes. La commsson des papers Monlagnn a voulu démssonner, persuadée que le gouvernement s'état joué d'elle. Jeud 30 Ma. Les souverans de Norvège ont qutté Pars à 11 heures 30, salués par M. Fatlères et les mnstres el acclamés par la foule. M. Lascomhes, neveu de M. Chaumé, ms en cause her à gen par M. Gustave Térg, au cours du procès ntent par M. Chaumé au Matn, a gjé le rédacteur du journal de M. Bunau Varlla. Ce matn s'est tenu ù la salle de la Socété d'encouragement ta premère séance du congrès organsé par la!océté générale d éducaton cl d'ensegnement. Le auatrèmc congrès de la Fédératon Jeanne d.rc a ouvert 'ses séances ce matn dans la salle des conférences de l'nsttut catholque. On a contnué à la Chambre la dscusson du projet de lo sur la sncérté du vote. --.t l.ubln (/{usse),deuxcou))sde revolver ont été trés sur l'évèque cauolque qu n'a pas été blessé. L'auteur de cet attentat a été arrêté. POUR L RËPURLQUE L'artcle ( ue nous écrvon.s la semane clern^'re nous a attré de la part d'zn Sllonnste la réponse suvante qu'l nous adresse, sous le ttre : P»ur lo lupthlque. Monseur le Drecleur, Pusque vous avez jusqu'c montré toujours beaucoup de benvellance les sllonnstes, en nsérant dans votre journal les communqués de leurs réun ms permettez à l'un d'eux d'en prol'er vous soumettre quelques réflexons au sujet de votre derner artcle nttulé : «Vvo la Républque!» C'est sans doute par rone que vous lu avez donné ce ttre, car à sa lecture, on constate ben que s vous ne consprerez pas contre lu Républque, vous ne lèverez cependant pas le pett dogt la mantenr. Selon vous, ses benfats ne sont ren mons que prouvés. Le lard se pae mantenant 22 sous la lvre, alors qu'l ne coû> tat que 10 sous au temps de l'empre et 8 à l'époque de la Royauté ; les mpôts devennent plus lourds, et cîose plus grave, on marche vers la socalsaton de la proprété et l'unon lbre. Evdemment, ces conséquences sont, à dvers ttres, désastreuses. Mas ce pensez-vous pas, qu'à votre tour, vous êtes dupe d'une formule, en attrbuant à la Républque un état de choses dont elle n'est pas responshble? Du fat qu'un gouvernement a l'étquette républcane, l ne s'ensut pas qu'l connasse ausstôt la prospérté matérelle. Vous-môme l'avez prouvé, et cela montre le danger des arguments qu établssent l'amour de la Républque sur ses avantages d'ordre matérel. Ce fondement esl trop fragle et ne peut jamas, à lu seul, rendre compte des motfs do conlance en la Républque. La valeur du régme est alleurs. Elle est dans l'accrossement de dgnté du ctoyen devenu maître des destnées de la naton ; dans a lberté dont joussent les ndvdus, et dans la responsablté dont ls sont nvests, les oblgeant à l'are effort sur eux mômes accomplr leurs devors cvques. Et c'est seulement lorsque ces condtons de développement de la ve cvque sont observées que l'on est vértablement en Républque et que le progrès socal el matérel devent possble. Malheureusement, on l'a beaucoup trop oublé dans notre pays. On a cru qu'l suffsat d'nscrre sur le fronton de nos monuments publcs la devse républcane, quo nous fussons en réalté en Républque, alors que 13 sècles de survvances monarchques pesaent encore sur le peuple. l est en effet commode de décréter la Républque, mas l est plus dffcle de la faro passer dans les mœurs. uss nore Républque ressemble à une monarche décaptée, car nous avons de tout, excepté des républcans. Les vertus lu sont nécessares, plus qu'à aucun autre régme, et cependant l'on vot de prétendus républcans s'acharner, bous prétexte de clércalsme, après une relgon qu esl le souten le plus sûr des énerges morales. Ce sont les pres ennems de la Républque, pusqu'ls travallent à la rendre mpossble. 1/homogénélé morale el matérelle est une condton d'exstence d'un régme républcan, car là où les dvergences sont trop accusées l est nécessare de recourr à l'arbtrage d'une autorté pussante mamtenr la cohéson. Nos drgeants s'en soucent peu. ls entretennent dans le pay.'s les dvsons, el fomentent par leurs exemples, la lutte des classes. Tous ces faux républcans qu explo tent el avlssent la Républque, dmnuent la c- nflance que l'on avat dans le régme. ^a lberté, à Être souvent sacrfée, perd de sa beauté aux yeux de nos contemporans. La ferté dsparat avec elle ; assoupls par un servlsme déprmant, beaucoup de nos pure républcans sont mûrs lu dctature, el comme leurs ancêtres do la grande époque : Clangons-nous cent fos de chef ou de cusne, ls lcndronl seul vra lo Ct'sar ou l'on dc. Ces constatatons ne nous troublent pas, car nolro part, nous n'avons jamas confondu la Républque, avec sa carcatue Elle se fat, ben plus qu'elle n'exste, et elle se fat par l'effort persévérant de tous ceux qu croent à sa valeur et qu applquent les méthodes d'éducaton démocra tque. Nous croyons à l'effcacté de cet effort, car nous avons confance dans le peuple. N'ous ne désespérons pas do l'avenr et parm les trstesses du présent, nous ne cragnons pas de lancer, mas dans un lout autre sens que vous, celle affrmaton où nous mettons avec notre énerge, tous nos espors : Vve la Républque! Un SlL.ON.NSTE. vant d'examner sur quo nous pouvons être en désaccord, que le sllonnste me permette de lu dre qu'en sorame dans mon derner artcle je n'a j)as écrt autre chose que la crtque du régme ])résent. 11 m'avat paru qu'en parlant de Républque tous auraent com rs que je vsas unquement la Républque actuelle et non tel ou tel régme d'un déal plus ou mons chmérque. C'est ben de l'état de choses présent que j'a dt qu'l me dégoûtat. Sur ce pont, le Sllonnste et mo son\mes com])u'tcmcnt du même avs, pusqu'l va mémo jus( u'à déner à ce régme la qualté de républcan et l'appelle une?;wrrtrcme décaptée. Je commence à être d'm avîs un peu dfférent de lu, lorsf u'l prétend que la valeur d'un régnne est alleurs que dans les avantages matérels qu'l procure. 11 est certan que les avantages cvques et moraux, le progrès socal procuré ))ar une forme de gouvernement dovent entrer leaucoup en lgne de compte la juste a)précaton de ce qu'elle vaut, mas, l n'en reste pas mons vra que les avantages purement matérels dovent être consdérés, et qu'o) ne saurat en fare f. Nous ne sommes ))as des ntellgences pures, et nos pauvres corps ont beson qu'on songe un peu à leurs ases. Sous ce raj) )ort c'est déjà à l'actf de la Républque actuelle une ben défavorable note que de constater que son régme écononn'que est défvorable et, que le pays va à la rune connnereale, et a la banqueroute fnancère. Mas en outre, le régme moral et ntellectuel ne vaut pas meux ; depus vngt ans au leu de progresser vers un état de perfecton cvque, ou socale, nous nous achemnons à grands pas, les ftts sont là, le )fouver, vers une dégradaton profonde. Nos mœurs au mons dans les grandes vlles sont deveme.^, sous ben des ra)ports pres que celles de Byzance, notre dgnté au leu de s'exalter et de se grandr par l'usage des lbertés et des prérogatves cvques, a lout l'ar de dmtmer de jour en jour. Les députés garder leurs sèges recourent aux plus plats ex])édents, les électeurs ne reculent devant aucune bassesse obtenr des places ou des faveurs. Monarche décaptée explquezvous, ou plutôt dra-je, démagog' parce qu'l manque un chef. Et quand je parle d'un chet' peu m'mporte qu'on l'appelle ro. empereur, ou présdent de lépublquc. que le pouvor résde dans un seul ou dans une olgarche, vu qu'l sot ndépendant et fort, capable de drger, de mantenr et au beson de réprmer. C'est ben c à ce que je cros le pont cordal où nous cessons, mon contradcteur et mo de nous entendre. Lu ])ense (jue le ])rogrès socal parce qu'l appelle F éducaton arrvera le jour où le peu})]e plenement conscent de ses devors et de ses drots, mas surtout ( je pense) de ses devors. ))ourra se trgev lu-même. J'estme mo que cet déal du sllonnsle d'alleurs, fort beau et qu dénote une grande générosté d'âme est chmérque et rréalsable et je l'expl- ([uera. (àsucrc). LJ'r. KELQQU Lavarat am euz d'«oc'h penaoz ar Gwarnamant e oa en eur peg dez. Deuz eur c'hoste % w«gv/elet tud ar c'hre#te en eur zevel p'e gwr n'ez ent ken evt kaout peadra da veva. Gant ar fraud a we great war ar gwn an devez hre n'ez ent ken evt gwe'za k'."ment la gwechall hag a c'houlenont dgant ar Gwarnamant ober lezennou evt ampech an dra-ze. Goul a reont c'hoaz a vefe ro3t d'ez-ho eun dra benag evt o zkour rag ebars ar vser e mant brema. r C'hreste oll a zo war droad, ha ma na we roet d'ez-ho ar pez a c'houlentont, d'an deg ar mz a zeu c mant en zoncl d'en eur zevel. Da lavarat eo na baefont ken an tallou hag e refont en peb faesoun evt fkaat ar Gwarnamant da blega. Eu gwronez na welat ket ar Gwarnamant gwel vad aze! Dja ne oar ken euz petra faesoun ober evt choum en e za. Deuz a bep koste a vec'h e klask dgant-nan. r vzer a vrassa bemdez elouez ar Bobl, p'c gwr na we great seurt evt-han, hag an arc'hant? a ve dspgnet me.tez tra. Penaoz? dez ez eogoud gant loenet er gz se. D.uz eur c'hoste al e mant en chabadao, er (ambr, evt gout peur e vo kasset d'ar gaer, soudardet ar bloa'oz 19U3. Lod a fell d'ez-ho o vefen kasset kut ln ar mlz a zeu, lod al, a deuz ar re-ze Clemensau, Pkard a '«a fell d'ez-lo kas ane fn ar mz goude. Da lavarat mad, tapet dez ez nt gant al le/,en daou vloaz ha ne ouzont ken deuz petra faesoun ober evt derc'hel argent o deuz defaot, ha dont a rao pez zo bet lavarat abaoue pell a /.o dja, penaoz eun devez da zont na vo ket rawalc'h a zouda'det. Ha n'eo kot d'eomp bea stounet o welet ar permou-kare oc'h ober goab ouz mp. Setu aman, unan hag a lavar d'eomp traou kalet. r jeneral Ken deuz an lamagn a lavar en o vro penaoz e vro a zo ka's krenvoc'h eget ar Franz. Bet zo eun amzer ar Pennou-Kare 0 doa eun tam muoc'h a aoun o larat traou er gz-se gant aoun da gaout chhadao ganeomp. Med! gouzout nfad a reont brema penaoz ar Franz en euz trawalc'h d'ober. Laou an DORNER. LWORMTaOï^S Le Congrès docésan de Pars Le Congrès docésan de Pars s'est ouvert lund matn par une messe solennelle qu a eu leu dans x chapello des Cartres, sous la présdence de Mgr mette, coadjuteur du cardnal archevêque de Pars. La premère séance qu a été tenue après la messe, a eu leu à l'nsttut catholque. Elle a été entèrement consacrée à rorgansaton des catholques dans la parosse. Mgr mette présdat, ayant à ses côtés Mgr Gouraud, évêque de Vannes, Mgr Baudrllard, recteur de r Unversté, l'abbé Odeln, vc?re général. Dans la no ^ breuse assstance, on remarquat MM. Tureau Dangn, de l'cadéme françase, de Lamarzelle.sénateur, Paul Lerolle, Grousseau, députés, etc... Mgr mette a ouvert le congrès (n fasant connaître que PeXavat envoyé sa bénédcton aux congressstes, pus M. le vcare général Odeln fat une co.rte déclaraton, constatant que le congrès n'a but de s'occuper n d'assocaton cu'tuelles n d'organsaton poltque, mas concerne l'acton relgeuse et socale des catholques parsens. On entend alors un rf:pport documenté de M. l'abbé Letourneau, curé de Sant-Sulpce, sur a parosse. l constate que d'une façon générale l'organsaton parossale est devenue nsuffsante par l'accrossement de la populaton : dans des parosses de habtants, par exemple on ne trouve qu'un prêtre par habtants. l en résulte que le contact n'est pas assez étrot entre les prêtres et les fdèles. Dvers remèdes sont proposés : multplcaton des parosses depus a séparaton, on est déjà entré dans ette voe, pus surtout réorgansaton de la ve parossale par la vste régulère des parossens, surtout des pauvres et defs malades parla percepton du dener du culte, par le bulletn parossal qu pénètre partout, par la salle parossale, où le curé radonner de nombreux rendez-vous à ses parossens comme à un foyer de famlle, où l ra trater des ntérêts multples de ses enfants. M. l'abbé Odeln examne ensuves dfférentes formes de l'organsaton catholque en ngleterre et en utrche, et M. Taveler parle du Volksveren. l met en relef la précson et la méthode de la propagande relgeuse et socale fate par la grande assocaton allemande. Séance de Taprès-md La séance de l'après-md est également présdée par N'grmette. On entend une nouvelle communcaton de M l'abbé Carton, archprêtre de Llle, sur l'organsaton d'océsane de Cambra. M. l'abbé Baston, curé de Sant- Mchel, expose l'organsaton parossale de Sant-Mchel donne lecture des dspostons réglementares et explque le programme de l'assocaton parossale, assocaton confessonnelle non cultuelle. L'assocaton parossale Sant-Mchel comprend une multtude d'œuvres spécales. [8] PROMENDES Travers le Pays de Morlax (Hydrographe pttoresque Mettes de Folklore, etc) Le Qunqus fut vendu, après la Révoluton, ù uno famlo francomtoso, les Lôcuyer, venus dans le pays à cette époque..es descendants y ont demeuré toujours denus. Le bfttment qu est à l'k. do la cour, qu n'a guèc quo cnquante ans, donno sur fes grands jardns enclos. Uno grande vasque en grant, do 1 m. 80 do damôtro, ol portant le.s sgnes G. Q. TH, ae trouve dans lo jardn derrère ces bâtments. On dt ([uo c'état un mouln hule? Los leuros G. Q. ravées sur la vasquo sont los ntales do gullaume Quôménour, seur du Plosss, procureur du ro au sège do Morlax ver» no. Cetto torre état encore possédée par la famlle Mazuré Ponnaneoh vers 1810 ; c'est elle qu l'a vendue aux.écuyer. (80) Pen-Vorn (2 Ktomètros N. 0 do Sto- Sève) est uno gentlhommère qu semble n'être plus quo lo reste d'un manor plus consdérable. utrefos celle mason noble avat son étang, el son mouln dont on \ol des runes entre la dgue et la route do Plouvorn. la parte S. do l'endos et des jardn.s une pette chapollo porte la dato Sa porte prncpale est au pgnon 0., et uno pette porto au côté N. On y dsat encore lu messe l y a uno qunzane d'années avant la mort de Mme do St-Prx. Les sants ont été transportés Plounéour- Ménez, où demeure lo proprétare actuel, M. de Trâoulen. 11 y n (luolques années, on voyat dans la dos leux habtés ourct'os par sante Pompée, chupello los rostos d'un calvare do grunt, rono de (rando Hrotagno au V" sècle, avec lu statue do sat-yvos argumcntmt su/' SOS do gts. On y montrat auss doux grosses et mère do sante Sève. (') Trébonpé est uno unconne nusou mannle perres rondos, (p'on dsat être des pans dont le roz-do-clonsséo u une porte cntrée, changés en perro par sante Sève punr et lo P"" étage communque de plcn-ped un avare fourner qu rofu-ut ( u pan ù uno pnuvro vcuvo. Los doux perres qu surnonlent los plers do l'entréo du cmetloo do St«-Scvo ont la mémo orgne. avec le jardn, ancennemont enclos. l y eul autrefos une chapello dédée à sonte-pompéo. (23) Le l'tlas fît klomètres 0. do Sto-Sèvo) un klonètro plus ù l'o., mas à la est uno velle forme habtée do us plus do nassance d'un vallon (ju descend «la rvoro 200 ans par la même fanllo (los Messager, do Poïé, (('ost- -dro hors du (:er(;!o de.l/!.s nom oxcossvcnent répandu ù Ste-Sève). On Promenades) otut nu untrp manor portant dt qu'l y ovat autrefos, duns un champ à ù pou près lo mèno nom ; l'en-ar-vern La 150 mèlres ou S., un vértblo palas. Lo parte lu plus ntorossanto a été uhuttuc l y frère du Messafjcr actuel a vu, un jour (l y a uno dzane d'années. On vot ccorc,. a près de cnquante ans) des chevaux qu l'angle oxté cur do lo prto (p subsste (N. lfuaonl la clur uo s'cnfonccu" lout-à-coup et O. do la cour) des meurtrères, dos traces do nùchcouls, et dos t,^uros sculptéos dus lo crnt. duns un alvasscmot du sol. O. chercha, ou trouva u puts, des cavcs ol des murs... Lo Palas ot Tréhonpé sont sur lo «llcnt- 'l'out autour, traces d'étang, de rnbnos, Caslel». pans do murs cl d'un grand nclos. Un pou (21) Coa'l'y.ec, vllage mportant qu contol )lus ou S., uno velle chapollo, abandonnée beaucoup do masons du XVP sècle : y a uno soxantane d'annéos, montre encore entré autres une mason manalo qu n'est uno fcnétro gollquo en absde. elle mémo qu'une dépondanco, pent-ùtro, (lotte proprété état autrefos au marqus d'un manor plus ancen ; elle a uno belle do Lhuzùro, (acuollcrnont ù M. Dyèvre). gruulo chomnée en K'ant ; elle sert d'habtaton au fermer, et porto la dato do Klt}. Pvnnn ern, jads, appart n aux du Loael de Kcrom. Ou nonor u été possédé par lo l y a une soxantono d'années, on voyat comte do Marbcnf, gouvornonr do la (.lorso oncoro, ou fond du vallon, uu «moulu 0 el prolectour de Napoléon Bonoparto, qu'l ft entrer à Uronno. On dt mérac quo le joune blonchr le ln >. (25).SH>< Ma (Klo), velle chapello dé.saffecléo, Bonaparte est venu on vacances à Ponanvor. sur la louleur, près d'un vllage! \ 1.08 prnces Kslclell ont vondu cotto proprété ()00 mètres ou N. de lo route nouvol'o do aux Dyovro, qu ont mutlé le ma- Urest. nor. (21) Ce mot do Rotdour so trouve pluseurs fos travers lo Monlroulézs. l y a généralomont, à cos endrots un veux chemn C) Sle Sùve, su'ur do sul Taudual, «al paronc (le lu pello puruse ( u, seule avc' S;nt- Marlll dos ctaïups, ('lo la oolîc de Murlax (la qu ravorso un vallon ot son cours d'enu. (peuc de louud. (Vor soct. X, note 10, cl scct. X noto'.)). yt!l)tal d( Slo-Sc';vf, ( Uoqufl dans le don, (22) rréhompâ lo, do Sto-Sùvel, ans ((uo ne vcml nus (Mn^ ".ronard n Rurloul «pagan» Cslel-llompc ("..-(lu-n.), seraent, dl-o, (V. concluson plus lon\ mas nwrlnsn. Cotte chopclla n'état pas encore désufl'cctcc l y o 2 ou 3 aus J'y a vu la statue do sant Elo \voc son mateau ot son enclume, dans une sorte d'armore à volets dont le seul panneau snbsstunl olïral los armes de Lesqufllou et de Kersauzon. leou calvare ù personagos. St-Elo est sur une très velle roule (voe romane?) allant vers Gumla. (2()) l n'y a pas, aux envrons, do vllage do Landranou ; les lundos soûles portent ce nom. (27)/'OH-V'or» (do Pleyber), vlogo osscz grod qu content une velle m.s u nnnnle. Non lon do là, la «Gouorm-an-)uc». (28) Lvndac'h, grand vllage à 1 klonctro et dem à l'k. de l'oyher, sur uu veux chemn (ju'on nomme toujours «lent-oastol», c'est-à-dre chcnnn de St-Pol do Léon (à (Jumper). m trére de Mortax (de Lannugy en Vlle) tronçon klomètres. L (L (.) Nous sommes au cllca de L.nnuguy (1) ; toulde suleaprès, le russeau du éne luun (loo m. (h; long) qu prend sa source vers l'.s prares d Ptu<er-h'as. sous la roule de S-Martn St- (eran, descend par l- vllon urdessous de P'uélé où l s; reurorc! de la jole funlane qu est sous une hae bosée, en l'ace de 1(1 fue ; traverse un ravn des plus pl- U(res( ues dans leel les grands arbres se pressent jusque dans le lt même du courant ; pus arrose la ])rare de Lannuguy, traverse rélag el passe sous la roule; Us bos de Lannuguy, ceux do la Sak'le ("2), et racen monastère de Cburen (;).. f L D.) près «Manor ar Hrn ot le:^ bus el garee.s qu suvenl. un russeau, dans un fras vallon qu prend nassauce 1 klomètre vers le. K., sous Pen-an T*on (t) ; passe, eu prenant la drecton 0....wsle veux manor de Ker- Orou (^; qu'l la.sse drote, sous le chàlem du même nom (à.m. (^a/.u d'lonk,'- thn' ([u'l lasse à gauche, ot arrve à la «.Mason (le palle»; -- pus la longue prare de Kéranroux (t..'j()0 mètres) sous les bos du même nom (().. L (.) prèsst-l'raneos (C.uburen) el les prares de Kergar(U () qu séparent à présent le cours de la rvère de ce leu, un pett vlonuet descend de cuns au-dessous des grands arbres de Santl''rancos et les talls de Hono S) un jol vallon tlescend, au S. de HOKU, des los Ker-Serho (0 passant par Toulcar lbaou (10), les garennes, bordées par endrots de talls, (ju couvrent los lalers do rlernlage (t 1) et arrvent, au-dessus de l'usne ù gaz, jusqu'au vallon de Porz-an-Très. (") V. (L D.) u mleu de l; proprété de Kéranroux passe un pett russeau ( prend nassance, à PJM) mètres de là, V(M'S le l^.pcl' " l.sou-koge-harrcado près de la roule de St-,lean-du- )o,:;l. u l(mge ensute l'.mlée-colln (P) et les bos d'kernls (L'), et entre dans Kéranroux sous la route de Ploujean ; après c(dte proprété, les hauts bos du Nécoat (11), le russelet ( u va clereher ses sources, au-delà h Por/.-Holen (l.">). dans les prés de Kervézélec (") ; les f) Toutes CCS hauteurs de la tt. (î sont à présent (P,)05) traversées par la lgne de rac!o (l ( jont les quas à la gare de Morlax. (" '('/'-V(.'/.c//t'c ' C nom do lnvclcgrands bos de Coat-Serlo ' K) au ped desquelles on remarque tros fontanes : la fontne de Coat-Serlo qu'on aperçot on detlans de la prorété, jole constructon datée de LS.'Jl, au bas d'une dépre.sson (ju lasse apercevor le château ; les deux autres, on dehors, la fontane dos Snglas ol la fvntane de Stvel (17) (S). serat un adjcctf tré de bézcl, bosseau, po'r ndquer une terre cxcollonte, uno terro à bosseau (do blé) ; do même que, au pays {jallo et surtout vers le Mane on trouve souvent lo chomp de l'hucho, 'a ferme de l'ucho ndquer auss des terrans bons en jlé, (}u remplssent la huche veux leu noble où l'on remarque encore une mason à perron ; et, dans le con S. 0. de la cour, une velle mason de constructon assez sognée: belles chcmnces on grant ù l'ntéreur, pgnons pontus et ornementes, fenêtres à meneuus:, d<'ux portes cntrées jumelles sur a cour, tourelle caréo accolée au S.: les gens l'appellent quclpefos encore «r c lastel coz». Le veux chemn de Morlax (par Troudou ln) à Ploujean, passe au côté (LUCST. Mot de la fn (.1 suvre). l )leut torrent sur lo cercuel d'un povrot ( ue l'on condut sa dernère delu 'lre. Un assstant ouvre son paraplue el dt trnqullonont : Tô ou tard, l l'al nn'ltro de l'eau dans son vn.

2 Le congrès adopte à la sute de cette séance cette concluson très f mportant') lo moment : < Dans tontes les parosses où ne sont pas déjà organsé s dos assocatons parossales clécuuèpsou non, se'unt organsés dos comtés parossaux à organsaton res^trenteot non uôclal'és sous la pré-donce dos curés et qu seront relés au bureau docésan présdé par Mgr rurclovt'que Consel des n-'nstros Les mnstre'; et sou^-se notares d'etal se sont réuns sanrd matn en Consel, t l'klysée, sous l présdence de M. Fallères., COXVÎNTOK RLMCO-JPOXSTÎ M. Pclon a communqué au Consel un télégr nme de n> ho anbcssadcur à Tol<o duquel l résulte que l'outento est désormas complète entre les gouvernements de la France et du japon sur l'accord qu'ls sont sur le pont do conclure. Le mnstre des alïarey- étr.u ;èresa donné ctmna'ssance à solègues des dspostons de cet accord qu dot ètro sgné à trè? bref déla. L CONt'KKENCt; DE, llvl; M. Pchon a égalemett ont r tenu le Consel dos trav.-ux do la commsson ntermnstérelle qu a étudé les questcn'^ qu dovenl être soumse à la Couférenco do la Haye. Un rapport dofulf s.r ces t'.vaux ser;vsoums dans quelques jours au mnstre des lïares étangères. et les nstructons \ donner aux délégués de b l'a"ce à laconléronce pourontèle arrê tées dans le Cons"l des mnstres qu se réunra à la tn do la semane prochane. LE TRTl FRNCO-SMOS Sur l'avs commun des mnstres des affares étrangères et des oolones; le Consel a décdé de t'em:uder à la commsson dos relat'o; s extéreres de la Clambro d^ d< po- ser le plus rapdement possble le rapport sur le traté ranco-sar os afn que ce trutô pu-se être dscuté dans le pns bref dé'a. L'SSSSNT UR DOCTKLM.MUC.MP M. Pchon a donné lecture au Consel de la dernère répons^ fate pa r le m n s re d e s a ffa r e s é t ra n è le s du Maroc aux demandes de rép:.aton de la France à la sut- do l'as sassnat du docteur Mauchamp. Cet'e réponse p'-omet sat'slacton à toutes les demandes qu ont été formulées. M. Regnault a él. autorsé à entrer en négocaton.-; avec le gouvernement, cherten que les ^ satsfactons promses soent respectvement accordées. LES RETRLTS DES EMPLOYÉS DE CHEMNS DE -LR Les mnstres des fnances et de& travaux publes ont ms le C a.so au courant des études qu'ls ont suves d'un commun accord établr un projet transactnnnel relatfaux retrates des employés et des ouvrer.^ des Chemns de f-r Le Consel sera appelé à s\t:e! dans uno de ses plus proda nés séances. QUESTONS DVERSES M. Ruau, mnstre de l'grculture, a déposé entre los mans du Présdent do la Républ ue son rapport annucd sur la stuaton des Mutuelles agrcoles. Le ("onsel a chargé le mnstre du traval, M Vvlan, de ropcé senter le gouvornement aux côtés du Présdent de la Républque à Foul. (lu journal /'.'c/w du Fnstère. Ttî LE LOLÏ» SL'C {Sute) XXXlll.F.VN ll..nc Ct>s bonnes gens ren'reaenl.nure- Dame ( leur avat n'lu un lls de Trern, c''sl-à-dre nn pro'.'ler )ssl el un benl'alenr nfalfjall'. feorges Tr'ml (le lu frenlys n'ulln pas rl avl! l'tr duranl v;,'l s Klfr tout court. (ranl segneur parle sang, -; -suda do forlue, l crut avor le drot'de consulter unuou'l son cer (l.s lr clo.v (rne compagne. flerles, l lu ('lat erns «le [cn-fr pn' son unon ne solfrr-t pont d'ulsl'l-;. N('anu().s l s'en rccolra un, m des plus séreux :.lean Ulf refusa péremptoreme l; man te sa llle à son.segneur. jcnne Kl ce n'état pol un jeu..lan ls mllonnare repossanl un gendre l;,'el, jamas due cl par d'cl.ul rallaee d'u l'nauguraton du monument élevé au pnlanhrope Théophle Roussel. D'autre part, le Consel a désgné MM. llrand et Dujardu-B aumet/, repfé-sentor le gouvernement aux fêtes ;u seront données le () jun à Sat-l'ltonne à l'occason de l'nauguraton de l'ecole prmaro supéreure. MOUVEMENT JUDCRE Le gardo des sceaux a lat sgner un mportant mouvement judcare qu a pont de départ une N'acance à la Cour de Pars. Lo Renvo do la Classe 1903,a commsson do l'armée a entendu smed après-md lo présdent du Consel et le mnstre de la Guerre sur le projet fxant au 17 jullet prochan lo renvo dans leurs l'overs des hommes de la classe ()03. Le général Pcqu rt a exposé qu'o'. pouvat san nconvénent la dét"ens(> u'oonalo lbérer la classe loomà l date proposée par le gouvernement. Le présdont de la commsson a alors donné commun caton au présdent du Con-el et au mdstre de la Gue'r.; des auendemonts donl 11 état sas et qu avaent 11 ar objet d'ava.'or la dat'î do la lbératon sot au >amd 2() ma t-ot au amancle 10 ma, sot au t.] jullet sot au 12 jullet. Lo g('méral Pcquart a nssté l'adopon de la date du 17 jullet et a déclare qu'à la lgueur on rat r^ merc'er la classe u)o;, à d.ter du "^' jalet, -- do n''mbr.'ux régments noan.uen. d'artllee n'étaent pas appol'-s dans la premère qunzane de jullet à efl'octuer des exereoos d'école à feu. Le pvsdent du Consel ot le mnstre de la ;;uorre out ajouté que seule cot'e.lueston de l'nstructon mltdro avdt dt rné le cox du go'verne;u'-.!, qu'ls oat demandé à la (omms.so de ratfer. La comndss' n après un longd';- bat a demandé par 12 vox contre 7 de pas^-er à la dscnsson des at- (dos du projet. Puse!:ea adopté la date du 7jlev. l'unanmté mons 2 vox, M. Le flérssé a oté nommé rapporteur el soumettra >o rapport à la commsson. joutons que les autou-s d'amondou.ents ayant ponr but d'avancer la date de' lbératon de la classe, ont fat cotnnît!'e qu'l- mantendront leurs [ropo -tons dova-h la Chambre C'est ans que M. Tro gner, au nom du groupe de la défense paysanne proposera quo le renvo dé 1a classe 11)03 at leu le 2y ju n, ot Charl s lunbert L 12 jullet. Lo.Renvo CÎ3 a Cdasss 1904 M.Klotz devat nterpeller, mard o mnstre de!agucrrr>, ausnjetdu renvo de la class' 190.}..\. Klotz avat l'appelé les engagements prs par MM. Tort'aux et Etenne au sujet du renvo daus leurs foye'.s d.-s mltares de cette classe, après deux années de présence sous los drapeaux. Le général Pcquart s'état refusé à répondre à M. Klotz avant d avor prs l'avsd SOS collègues du Cabnet. Or, au Consel des mnstres dy samed ma'n, le mnstre de la Guerre a exposé que.-011 a 'mnstralon avat toujours con>d' ré 1 renvo des soldats ue la classe loo-f comme oul.t^atorô cette auné), à tel pont qu l n'\- a plus tle cré lts nsccsau bud.o;t de la g orre les lu:os de la classe 1904 après le 25 setemb'c,-. Ces sold.ls serut donc renvoyés dans 1 jus foyers, cetcanuéo, ap- ès les grandes makouves. poêle 11' l'rel lns (l'leles ' ll/''lr je '' p;\'e.-l'î's. l.vjll, lu lllss, Se:, dr'cs d lldllmr. lle\l;les, r.; ' S el plus leres à eop Sl'r jll' le-; pr'jmj^c's r'n.-^ le telela 110- les.-;" l" l>l'ela,^ne. )(ler or'ua el jra lo' à D'. ( loj-ctemps en van : mas nn jour l el 1,- lom'.s Mlo l 'jurer lval lru l' sur S.l lo ' j.';elllollle lrelo qu'l 'a'.l pol Tare 1' mue que.m;'<'..leat lac lu \aueu ;l ef'la : l'al.ll ( ll( Treul eùl (les l'rle's. (le lu uu lea jour qu l'^lu Ma'' passa ) seul lu lon el.lau île la Treu lays. l,e calme cl la joe y el'crcl.tec elle n'en plus sorlr. Jle h'ajorlal poul lt'csso l'carlelerc lu l.' T'eml ; m ls, à lol pr'lre, l y avat asse/, raruores dv'rses sous les au.'-lères porll'.lls l s \eu\- res le l.a Treml,'vs : aucme pcc. n'aljuc n'y fas.ll d'ljul. lul- fn revaele. lalleurs, parm loles les clulcles qu - spr.'eul sur la l]!(; depus les sed s le pa'l'uu l' l'ur.-. oqels loujurs rra;-., pa"* une u'.-'al lspuler à la pauvre' llle de la l'ora l le prx 'le la leaul'. u c lu c c la hot'. pu LEClO DU FLXSTERE UBKJu.<mn.TJTfX«sBam«M L'î-JarmonôdosChonfns do fer de rouast en îsaoo-lorrane L'Harmone des Chemns de fer de l'ouest, cooprenant 80 membres est all>c, pendant les fêtes de la Pentecôte, se fare entendre à Munster, à Colmar et à Strasbourg. C'est la premère fos, depus l'annexon, qu'une Socété muscale françase vcnl vster l'lsace-lorrane. L'accuel fat k nos compatrotes a été partout des plus chaleureux. ls ont été l'objet des plus délcates attentons des autortés, de leurs collègues des Chemîs de fer et de la populaton. ux dfférents concerts une assstance cous dérable a salué d'ajplaudssemenls répétés l'exéculon do chaque moceau Strasbourg, où fut donné, dans le jardn d'un grand restaurant de l'llée de la Rob rtsau, le derner concert, l'marmone enleva avec un bro el un entran extraordna'res la Marche d').sambre et-mcuse qu lu valut l.\s enthousastes acclamatons des 'sacous. Les Sauveteurs Bretons La fête solennelle et la dstrbuton des récompenses de la Socété d s Sturvr/rurs SrctoJs a eu leu, dmanche après-md, à 2 h. 30, dans la gran )e salle de la Sorbonne, sous la présden(m) de M PréCeu, drecteur de la marne marchande, remplaçant.m. Gaston Thom?on. Sur l'estrade, on remarquat : MM. Cognera, présdent; Berhaul, --ecrétar.j ; le comm mdant Etenne, représentant le gran 1 chancel jr de la Légo d'h mneur ; le commandant lségnol, repré entanl le gouverneur mdtyre de Pars, etc. M. Cognara a ponone'é m éloquent dscours : «Lo monde enter, a-t-l dt, possède d s sauvetages ; mas nulle part ls n.' sont s nombreux qu'en Bretagne. h! c'est que sur nos côtes les tempêtes sont fréquentes et terrbl s. u s nos populatons, vva'n. au mleu des dangers, y pusent un courage et un dévo lement qu eu font des héro.'»..m. Préfeu prononce ensute une allo ulon ;:u nom du Mnstre de l Mane, pus l. Léon Berthaut, secrétare général, lt un subs'anel et rès éloqu nt rapport dan.s lequel l énumè'e les dfl'ér n's actes de sauvetge accompls dans l'année. Les '.,raves sauveteurs de Névez, ans que la v"uve Marrec sont parts de Ponl-'/t n samed sor par le tran de 5 heures, au nombre de 11, sous la condute de M. Le Deuff, maître do port, chef du matérel des 11. S s "odant à Pars recevot les prx et décoratons qu'ls ont s héro''quement mértés nrs du sauvetage du bateau Le.s j) Sa n-s-mares, en détresse sur la barre d(o Purl-.Manech. (Oédé à a'. Coarec) La Lanlcn-j du 15 Ma a publée un artcle sur les mœurs poltques que ses ams ont mplanlés dms le pays. Nous eu re[)rodusons le passage essentel: Le l'onctoanae est l'ré actuellement à l'aràtrare et à la fantase de r.-xdmnàra ou. Sa nomnaton, ses oondllons de traval et.son avancemeul ne révèleul que du 'afvorane ur. l est dou' à la merc d 1 déput'- lbeut, car celuc se présl-nte mmédatement à lu comme le.seul défenseur ou le seul protecteur c.pahlo de l'appuyer dans s(;s de.nandes légtmes comme rason ou à lo-l, le caplae complaît cela our u.'l ' chus le lo^l'rps après, lorsp? les efa'ls de (,';r^-es cl de.mare couraen (l'jà las l's lalls, ;;ur's par la \Hlo (.lon llelou.l y av.ll au eouvel le.sal-.\ul l-(!u'u'r une rel geuse du nom le so'ur.ms qu les,^llellat parfos au passa;'!'el les -mlr.'ssal eu soural. (lar voc luco',' une erreur qu court les lvres : 'l (ll (j' l.'s le-au'cs de r, pe.u\.l SUS pe'lel lr sour'', c'esl m'l'. 'll's,'uel ar l'nu.'l. lonc ell'-; sol^ l.'ureuses l un l'uleur v; au lel.' ( ;' la erl! (Jal à llerv' f' \auoy, voc ce qu advl s.v mos.après la renlr'e de (corges en l'u'rla;.;'!' l" ses p 'res. Se rellr'r à lîees. l ll dennuler à (eorf;!'s la perms-'ou de prendre, dans, 11' ('ahet qu'l aval occupé au clàlc.tn, qu'lqu"s oljels à son sa^ e. ( leorf^es s'empressa de l'are lrol àccll > lemal;. \auov vl eseorl' de phs u':; \!oy av.l qll: La 'l'emlays po- lomes. Se calnel l'al celu qaval se\ (le rel'.lo à.nlu'as ''n'ul el rerermal e (; armore, où le ve\ lîrelon, parlaul dans ses exgc^os posonneles les plus folles. l se forme, dès lors, entre le député et le fonctonnare un contrat tacte. «Je t'accorde mon appu et ma protecton, dt le premer au second, mas à la condton que tu seras dorénavant ma chose, mon agent électoral, ot que tous les moyens d'acton que te donnent tes fonctons sur la populaton soent m s au servce de mes ntérêts électoraux.» Parce procédé, certans députés ont pu ans transformer lour crconscrpton en un vértable fef électoral. yant la hante man sur toutes les nonna:os dt rarrund'ssencnt ls l'ont peuplé de leurs créât arcs. Tous les fonctonnares, depus la pvéjet jsq'au snus-prefet, Jusqu'aux plus humbles enplovés, ne Sont plus que des agents à la dévoton de ces «Deux nfluents.» u moment des électons^ tout ce personnel marcle au dogt et à r(x;l, et c'est ans quo l'on vot des légslatenrs, d'alleurs nuls, muets, sans convctons et ncapabhs du mondre traval, conserver pendant toute leur ve le sège légslatf qu n'est qu'un excellent fromage. Toute leur actvté se déploe dans les bureaux des admnstratons et des mn-tères où ls vont pstonner les fonclonnares qu'l. ont su domestquer de gré ou de force. Je connas des collègues qu sont ans' les ros do leur arrondssement. ls tennent tout dans leur man, auss ben les magstrat' que les cutonners et les factt'urs auxlares. Les palnodes auxquelles ls peuvent sé lvrer mp rtct leu. L'essentel est qu'ls sachent décrocher des places et des faveur-: l.ur clentcde...\as ce n'est là qu'un côté de la corrupton.len ex'steunautre. Ces deux ulluens du parlementarsme» qu ont su domestquer à leur profl les fjçtonn lres,.-ont euxmêmes, et tout naturellement lomestqués par le pouvor. l/nlluence d'un dé até décocher des places et des faveurs no s'a.'quert qu';nx dépens de son dépjndance.faveus'tplace.'^dépendent des mnstres. Or, les mnstres ue les accordent au d.-'pulé S'dle.teur qu'à la condton, qu'l souleudr. 1 ur poltqnect qu'l votera eux. l.a auss, l s^e forme un (:outr.".t lacte. Maître dans son fef électoral, edépu'é nfluent devent à son tour l'accent des mnstr. s qu lu accodent,1 s faveurs qu'l sol - cte pou sa clenlèle. Le député tent, les fonctonnnres, et à cause de cela même, les mnstres tennent le député. l y a là un système qu fonctonne.sa.ns but e sans apparat, mas qu, ou réal té, fausse tout le régho pr.r'oment dre et tr.ms'orme la Républque en une vértable olg-rce. La corrupton st énorun^, ggantesque, et le système est la négaton môme du régme lépubloan. Maurce LLRD, Député socalste DVNDELLOU Ruk ha duk 'Oar akat -r g\v nk Da zanval. M''! av eus a- dreon ma z l.'a : k 'l c o'noe.to lag!. Pa '7. a le. c''oyen d'ar' f)ar, le (y'hof chom atao or gear. PETÎ no. SOU derner voy;!;c, aval pusé les cenl mlle lvres dont l a ('h' souvent ( ueslo (l.'ns ce récl. ('. 'le armore conlenal encore de Tores soes, lass''es par Ncolas Treml, el d'.'ulrcs, frut des éparg; s de N'auu.y, ( u cl.'rgé de ces rchesses, reprl fm'tm l ler s. Mas ses valels.- rvèrenl à la vlle sans lu cl r,k.'olèreul, elfrayé.'^ que sur la lsère (le la l'orèl, MU coup de (usl (''lal parl au-dessus de leursléles, el qu' ler-.!' de Nauoy, l'rapp' l'u' lalle eu plene P'l.re, av.l v-le les arcos resler mor sur l; mousse du clemn..nous avons dr^' nos reg.ards vers l'edrol d'e ('lal jarl le coup, a(mlèrel les valels ; la l se fas;l : lal nous avons vu ne l'orme Manche sauler (! rache en ranche, conu! n'esl pol rasonalle de ]enser (p'un ('re human pusse le l'are, pus dspar.îlre au-dessus des plus hales cmes des l'hàlagers. Le lendeman, on ronva sur l. l mousse,' c.davre d llerv' de N'aunoy. prr's de lu ('lal à crre le veux 1110 sqel ([e.lean Hlac. e;l de son [lère. l'aul Fl!',VL. 'l\ L'époque des salons ramène naturellement l'attenlon sur les pentres. Voc une anecdote amusante recuelle sur sabey. Un Marsellas état venu, un joue, demander à Jean-Baptste sabey une mnature sa tabatère. voulat le porrat de son chen. C'est un anmal (Extraordnare dt-l, je l'ame beaucoup. Comben CC5 serat-l? sabey sourt, consent et demande dx lous. Qunze jours plus tard, le Marsellas revent. La mnature état fate la regardej l'admre et rs- (lue une observaton : C'est charmant ; c'est tout lu! C'est son regard, c'est son pol! Mas je vas vous dre, monseur labey ; cet anmal a quelque chose de très partculer : l n'ame pas qu'on le regarde. Chaque fos qu'on le regarde, l rentre dans sa nche. lors je voudras qu'on vt la nche. Est-ce que vous ne rez pas fare la nche? Une nche! dt sabey en sourant. C'esl très possble. Je vous feras une nche. Mas ce sera plus cher. h Comben? Qunze lous. Sot. Jo l'evendra. Le Marsellas revent qunze jou! s plus tard, et sabey lu tçnd une mn^atu-e où l n'y avat plus qu'une nude à chen. l't le chen '{ dt le Marsellas presque fâché! Quo voulez-vous. Monseur? Nous l'avons regardé ensemble l'autre jour, et l est rentré dans sa nche. N'est-ce pas ce que vous m'avez dt "l C'est vra, dt!e Marsellas. h! cette bêle! Elle est s sngulère! 11 paya et s'en fut t'ès content. sabey avat tenu parole ; l lu avat fat une bonne nche. ESTEDBFOD DE YN L LENNER. NTONLE SWNSE Dstl'ct. d.e G l a m o r g a n GLLl^S DU SUD Du 20 au 24 oût 1907?<ous rec -voa.s avec prère d'nsérer la communcaton suvante : Monseur et cher Compalrole, Lors des fêtes Celtques orgrtîsïes" par la V;Ue de Sanl-Brseur au mos de Julle t'joo, l auxquelles lut nvlée oueelsuet par lu M'ncpahté une délp{;ao' du Jurseddd s Bardus GJ! )S, qu est U so cole cosdéée conne le corjs ctnstlné l'.'oual de lu Prnepalé, le Vénérable.-Vrch D Ude Kvo)H'es(Dyved/ se fasant l'te pête de lous ses confrères, pehant 'a.ssen.b'ée pub que le lue au Pare de la Pélclnre, nvla d'une façon gééalo les B etons à rendre aux Gdlos leur v.ste, et à ass.sler à l'esteufod de Swansea. L'.\rch Urnde ajouta que la Gorporalo' des D.ndes, Bardes, et Ovales de Gunbre aval lé-^olu d'oïrr à celle occson nn rche Etendard commonéuf tu.x (enbes du Gorse d breon el au.x kdé gué.-^, dans le but de prouver au monde enter l'amté ndssoluble qu unt toujrs les rameaux épars.le la uc'b'e et vallante race des Celles et des Gaulo--. l Unon lléjouh.ste lrelonno a CM de son devor de s'occuper de repondce à l'anable nvalou res Galkns El'o n'.n co!lé le :20.-Vvr!l derner, au Gong, ès tenu à Questemb^rt, pouvors tenter l'orj.-;!.sa'.oî d'une gran.e dé;é;atou, et 1 ln.-."-.s de sas meab'es so sont scnts séa'.ce tcanle. Surnu'sdéna'ches, laconpagae glo- Françuse de Xavg t.on enlro's'.-b cue et Pymoull a ben voulu cansentv à m -ttre à notre dsposton le steamer lujuf Z^e vona, qu jeuera l'ancre un port du Létrué à Sa'.l-Brenc, le 18 oût, embarquer les déé;ués el les condure après 10 heures de, navgaton, à Plymouh, où lu premnl la ra pou: Swansta, par Br.s- dl (5 heures do chemn de fer). Go voyage Cbl olîerl..a;' la Ge à des condlons des pns avantageuses, pu - p'ell» consent nue réducton de-o 0/0 envron sur les larls ordnares. N'oe les prx du B.llet alle' et retour, Sa.l-Breuc Bwansoa, valable 7 jours : 1 l'ont (lu sap.-ur, avec abr, cl 3"'" de c'a'nn de fe, oo l'r. : Sa'on du vapeur, et ÎJ"" do cluun do fer, (l U. 00; s (on ln vapeur, e' de chen: de fer, (),S r. (l)..e ne sauras a.-^sez vous engager,.mm- ^ell el cher Go'upalrole, à prrllter de e.'k avantages mpréc.bles p.mr vster K! l'.'stedltud au Pays de Galles. Les rôles spleldes q 10 vous y. verrez verse ront en votre cœur breton de grandes joïsmces : eues augnenleronl vote fo dans les dest'ées de votre Rco ; elbjs vous fournrent l'exenple le pns roel ([u sot peur rénover la Brelogne, lors(! vous vemz par vous-même ce que les (Llos ont su lare développer leur nalonallé ton eu consevant leurs tradtons les [>l".s 'eculées. Je vous pre, s vous désrez vous jondre la délégaton, de m'aderser vore lluson uvnn l'' l t/ulkl l!)07,<\'fnwr dél-pou pr llerdesbllels à prx rcduls. «JaffrejLnoï, (B.mdk'r.M.nu) GU.K. Trblîne lbre U SLLON MORLSEN Le Sllou el Je Socalsme Les personnes venues le 17 ma au Sl^ l n Morlasen ont put se rendre cmpte des dlléreuces profondes qu sépare la concepton démocratque du 'Sllon, du socalsme. Le socalsme, '.rès dffcle à sasr, parce qu'l se pré-ente sous des aspects dftérenu, suvant qu'd' est exposé dans les volutes des théorcens dr Part, ou par les orateurs des réunons publques, ou encore par ses partsans qu l'adaplettaux contngences locales, a C.pendvmt dés caractères spécfques qtn le font reconnaître sous ses dverses tormes. Dans ce qu'l a d'essentel l s'élogne de=la Démocrate, q".e ch rche à réalser \q SJ1ob, à cause : 1 D.3 sa façon de poser le problèm de la transformaton 80calt>*,'qu ressemble à celle des n orarchstes. Comme eux, l ne lal pas appel à l'elïort con-cent desndvdu.^, ms à une tutelle extéreure, qu serat d-s le socalsme une admnstraton paternelle et nourrcère. 2" De sa façon de concevor l'autorlé. Celle-c reste auss brutale et auss tyrannque dans l'état collectvste que sous la drecton capîalste d'aujourd'hu. D3 son c3rac'.è:e ant-scentfque. Les soc'alstes ont magnés un état socal.bslrat qu'ls espèrent vor réalser suvant les prévsons de leur cerveau. La ve no lasse pas ans condure, et dément ces prévsons ulopqes. Ensute, (îans sa concepton même, le socalsme va à rencontre d-s lo.s de l'évoluton socale. Les eoclé.tés vont du smpl.j au complexe, et de la c(.n!rone vers la lb rlé. Le socal.sn0 n'esl qu'une régresson socale. De son natralsme grosser. l y a un problème moral dans la queston socale et qu esl néglgé pa es socalstes. Changer les nsttu.^ns n'est ren, s à cela ne correspond pas ute m'->d loalon dans les ndvdus. Cec S';ul à vra dre est ntéressant, et 1.T transformaton économque ne peut satsf^re les dé.'noc! aes que dans la mesure où cle a une répercusson sur la personnalté de l'ndvdu, dont elle dot accroître la dgnté, la responsablté, el tout dre t valeur morale. 0 De ses moyens. La lu te des classes est néfaste par ses appek à la hane et à la volence. La hane n'est.pas créatrce. La lutte des classes a de p.us un caractère ant;-dénocaque lés accusé, car en Démo rate, on ne peut être seulement responsable de ses ntéêts de classe, mas encore de l'ntérêt généra! du pays E l l-j socalsm3 est mpussant à amener la tpanslormaton socale qu'l j remet. Pour lu, le moteur de l'actvté human" est l'ntérêt personnel. Ren de plus sterélsa.t et de plu?, nelfcace, car l'ndvdu une fo:s satsfat, logquement s'arrête et ne tavulle plus peur l'émancp-ston scîe. Démocate, l laul d'aulr.- doctrnes de ve, que le Sllon lu apporte péesénel, et c'eal ce qu fat.'o effort autremel ellcace, et ben plus fécond que celu du socalsrfl^ On eul ame vor quelques socalste» venr opposer t urs co;.(;eptons personnelles à ces dées. Ces débts cnartos, dont ls ont déjà fut l'expéreuce, ne pouvaent qu-^ leur être prolîîables, s vrament leurs doctrnes, sont comme ls le prétendent, les seules capables d'assurer l'émancpaon po. 'ulare. l est d'adteurs va que le soclsm.' de pluseus se rédut à un va..,'uo ant-clércalsme, ben nsutllsant eu parel cas. La prochane réunon a leu levended 7,un sur le Sllon et tes parts poltques. L'entrée est lbre. CHRONQUES Gendarmere REGONLES.M. Davd Jean-.Mare, ancen maréchal des logs, préposé par la subdvson de Vanucs est nommé gendarme à cheval dans la compagne du Fnstè-e. M. Hou Fusèbe, ancen cavaler, proposé par Ja compagne du Fnstère, est nommé gendarme cheval dans la compagne du.morbhan. Contrbutons ndrectes M. le Mur, comms de servce général à tennes, est nommé aux bureaux de la sous-dreclon à Brest en remplacement de M. Jatfry, nommé comms prncpal (lu servce général ù Pampol. CHRONQUE LOCFTLES MORLX Nous rcoevons de M. Ptet la note suvante,^ nous lons empressons d'nsérer. Monseur l'tel s'est présenté ce matn 29 conral chez M. lo pr curour do la lîopubl- (pp nl (le fare fosspr los bruts mnlvellunts (p courent à son sujet dans la vlle el lo demander au j'gc d'nstructon de ben voulor nlorrogor au plutôt sur le fond de l'affare do Mademoselle Lo Moult..Monseur l'tel peut donner à la justce un emplo très exact de sou temps concernant la journée d 20 mn nns que do la nut du 20 au 21..nsqn'' ( heures 1/â du maln, heure à laquelle l s'est rendu à son bureau. Je suppose quo cîlte déclaraton auss fruneho quo correcte convancra lo puble morlasen ot mettra je l'espère M. l'tet à l'abr de tout soupçon. Fôte d'ateler. Dmanche derner, M. el M"" Lajal ont olï(rt amablement au personnel de leur mprmere, ù l'occason de la récente fête de la Sant-Jean Perte Lalne, une charmante parte de plasr à la )tloresquo el sauvage ponte de Prel. en l'ongasnou. Hès hul heures du

3 L'ÉCHO DU FNSTERE maln, un grand omnbus emportat la joyeuse bancle travers- la campagne lreto'nne, s ben parée eo ce moment d(! genêts d'or, de tlcurs cl de jeune verdure, et la débar uat, vers dx heures, à a porte de l'ôtel Poupon, où l'accuel lo plus empressé attendat les excursonnstes. près une courte promenade sur la grève et les rochers, on lt honneur, avec un appétt agusé par le grand ar et la brse marne, l'excellent repas serv dans Tune des salles de l'hôtel Poupon. u dessert, pesque tous les convves cnqato tros délégatons, et avat eu y sont allés de leur chanson, ou mleu case '20.()0.52 fr. 47. d'un entra'\ el d'une gaeté généra les. Pus, chacun se dsposa n passer l'après-md lo plus agréablement possble. M. Cl. Duf'our. trésorer, donne lecture de l'éal moral et fnancer de U.>?ectou u 31 docon.bro PJOO, l'clfccld'réel état Les uns entamèrent une captvante de 898 membres. La sectou avat on cas-se, parte de boules, tands quo le plus grand dcf'lcalo de 519 fr. 15, défenses de l'aanée, une sonro de 150 fr. 75. nombre allat explorer la cureuse ponte de Prmel, les runes de.ses retranchements Lo présdent demande à l'assemblée romans el de.sa balte o, le «Pont du Dable» et le GouVre, el ne reculat pas devant l'escalade pérlleuse du l'antasttjue d'apronvar les comptes du trésu'er etde lu voter des félct.-dons lo dévouement et le zô;o qu'l m-'^t dans l'acconplf- lôt rocheux qu termne lo prou^on stnenl do ses f'-nclons. L'asbcnbléc, tore. sx heures, une subslan'olle collaton réunssat de nouveau le ersonnel do l'mprmere, uu nom duquel M. Pochon, contremaître, remerca, dans une chaleureuse mprovsaton parte du cuur, M. l.ajal, du plasr qu'l avat procuré à ses ouvrers ot l'assura de leur reconnassance et de leur dévouement. M..ajal répondt en quelques mos en fasant ressortr les avantages que patrons et ouvrers trouvent dans de bons rapports récproques, el but à la santé do son personnel. Le retour.se ft auss joyouscmer.t que l'allor, an clar do lune et aux lueurs dos phares lontans, et. vers dx loures, Uns se séparaent sur la place île Yarnos, emportant le melleur souvenr de celte félo de famlle s ben l'ale resserrer les l ns qu exstent déjn onlre.m. Lajat et ^es collaborateurs. luuuufment, approuve fs comptes, et voto des lolclalous à.m. Dufou'. Sur la domnnde du présdut, les camarades volent un b!ù;«ù M. X.., de Sanllurope, vétéran pensonné, la l'açoa peu convenable qu'l a ag onve.-; le rosoler po'.r la percepton de sa p-^^nson. Lo prétdent donu;* ensut." lecture do l; lste dos c unarados décé.lés et leradresse au on do la secto', un suprême salut. La fôle de la 19 secton est fxée lu quatrème dmanche d'octobre, sot le 2". Sur la proposton du camarade Guomar, l'ssenbléo met lo vaj' (pe le consel général rovenuo à r..ncen mode d^cnvo do f'ouds affectétaux pansons, ce qu supprnerut los ra.s actuels de 0 fr. 25 par numda' qu'on relent à clu([u0 pensonné..\vnl (1 ' procédt'r au vole do nouvex nombvs du con'=gl. des félclahos, sur la pr0 0son de M. Bourgot, vce-présvor.t, ^ct votées à.m. ('.oa, nfsdenl, rulér()l et le dévouononl /l ne ce.>=se d' porter à lu sectou. Le crme de.la place de Varmes. Cette affare vent d'entrer dans une ^oe relatvement actve. Tros ndvdus, K..., S... cl L., fort soupçonnés, ont été nterrogés par M.!chon commssare de polce, ans [ue les patrons de débts dans lesquels s ont l'habtude do se réunr. L'urs dres sont contradctores ol très embroullés, tant au pont de vue de l'heure laquelle ls so trouvaol, la nut du crme, dans ces masons, quo dans lo sgnalenont d'un autre compère ( ul les accompagnat ce sor-l, et qu'ls nomment le «marn», portant, dsent-ls, uno vareuse de lane comme en ont les marns du commerce, et une cast uetle ù vsère. Ce <1 marn», d'après les déclaratons de personnes qu Tonl vu, ne arassat pas un vértable marn. Le cosuuno (lu'l portat état, crot-on, un coslumo d'emprunt. Dans tous les cas. ce.-«tros ndvdus, ayant été jugés do bonne prse, ou été transférés au parquet. Kspérons quo l'nstructon réu.s-ra à ' trer d'eux quelque chose ntéressant la mystéreuse affare df lu place de Varmes. j Nécrologe. Nous avons le regrpl d'apprendre la mort d'un enfant de Morlax, M. Claude Kéromnès, ngénour prncpal dos atelers de La Chapelle do la compagne des chemns de fer lu.nord, chevaler de la Légon d'honneur, décédé en son domcle, rue de Prony, 77, à Pars le 28 ma au sor. Ses obsèque.^ ont eu leu à Pars, aujourd'hu vendred.'u, ot l'ulumaton à Morlax, où l tenat à reposer p'ru les sens, aura leu deman samed, h 4 heures el deme. Né à Morl'x en 8'»5, M. Kéronnos après de bonnes études au lycée do SanlJreuc, avat été adms à l'école centrale, pus, à sa sorte, état entré ù la compagne du.nord, où, par son ulellgenco, son traval el son éner^^e. l s'état élevé ])CU à 1)011 au poste émnel qu'l occupat depus plsos ann''os.. Kn 1870, l avat vallamont t'at s>n devor parm les mobles du l"n>lère, notamment au combat do Prétval, >rès du.mans. Nous prons la famlle lç M. Kéromnès de voulor ben a-réer l'exprosscu do nos ben sncères condoléances. Patronage de Sant-Mclane. Mard 21 ma a eu lou nu patronage do Sant-Mclano uno r'unon de tous h s socétares, honorares et actfs, ù l'occason du départ do leur am, M. Yves ton, lo dévoué el actf présden do rd'vro, (lue les crconstances ont arnoné à ( lter Morlax aller résder à.\udorne. près du nouveau recteur de celle vlle,.m. Lo llan, ancen vcaro de Sanl-Melane. M. Kerbrou, recteur,.m. L(! lloux, drecteur du patronage, ot tout le clergé paros.sal, avaent tenu à assster à celt; réunon et ù donner ansfa vallant e( zélé.m. llou, dont tous regndlont la perte, uu derner lénognago d'ostme, d'affecton el de reconnassance. Tous ces.sontnents ont été oxrés, avec un' sncérté émue, dans los allocutons prononcées par.\lm. Kerbrou, Lo Uotx ot, Jarvel, et M. llorry, au nom des < ancens NL Daulec, au nom dos socéturcs actfs, etc. ls ont rappolo quo depn-, dx-hut ans, M. ton s'f'dat cousacr' lol enter à la pr sp'lé et au développement de ro'uvre, sans éuag'r ses l'orc s cl son dévouement, ol (po.m. Lo Hhan, pus M Lo leux, avaent lrouv('; en lu le plus préceux des collaboralours, el Tout assuré <uo lo souvenr aucl et ldèlo de bus coux qu lo vrent à l'u-uvre l'accompagnera dans la nouvelle résdence où l a )lu à Deu (h; l'appelt. M. llou a remercé on ( uequcs paroles plenes do C(eur, ( u'l a l'al suvro d'excollcnls consels adressés aux «jeunes», l)us M. le drecleur lu a oll'ort, au nom du patronage, un objet d'art dont la vuo lu rappellera ses camarades do.morlax. Les Vétérans de f es Vélérats dr fl 15)'-ectun so sont réuns, <mnch8 matn, à '.) lomros, à lu nuno, en ctsrcmbloe généralo, sous la-ju^'bdenco do M. Cornu, pésdon de la snclon, ^t,- ssté de MM. Ch. Bourgot, vce-présdent; Clavn, : ("..'1 ét;, el l^^lbur, trés^orer. Peucl.u! hule la séa-co, le drapau de la scto.'!<l leu p;r.\1. Lo Go!:, portedrnpea Lo prom!rnt donne lecluro île l'éat moral el rr.:!k-.ùr de la soc té. On procède ensute à l'approbaton des compte» fnancers de l'exercc; 1900, au.s qu'à l'électon dos membres sortants du consel générul. La socété, a 31 décembre tu06, comclut membres, '2.088 sectons, Le.': n Jntres sortants du consel : MM. Bodro.-, QuemntîC, Guomar, Souvesto, l'etg.-rs et Ncol, voent leur ma dat reov-lo p.r 1. rs ranarados. Lun ula nomé on remlacemcnt do.m.\'ontfol, décode. Tor. aulros UlOHlb^c^ po con[délcr!e nombre de 21, sont os o.onuu\s. Ce.soul los canara - des Charles.o K(-bvo. (".joc el M.uvfl. Le» manduts do Potlgars el N co!, mcub'.s sorluts du consel lo ÏM rvel- nce, font (^pueuent r nonvelés. Le pcé.-^dont propose à r.'.ssenhléc de dender los membres du bureau, Grall et Godon, la médadle d'.gent de la!-ocolé servces rendus à la s'^clo. C-.lto propostcu rsl votée à l'unannté. La éance : st levée à -10 heures. lînfant noyé. Vt red sor, vors ô. ou, lo jeune Bzen, sx ans, demeurant ro (le l Vlletcuve, lont 1rs arents rnvallen! à la manu''acltre, s'amusat, qu (le Tégr, avec deux pcts eau.!- rado^ à trer sur lo canot do U Herccso, aeau do plasance, ramener à 11 calo tonte poche, (pad tout, à coup louba dans b; bssn, outre lo bactu et lo qua. Ses cauuou les, ellayos, s'enlu: od. c (pm élnl dé>orl on ce moment, ce n'e^t qu' u x.ul (ïe vng mnutes d'mmerson (le l'nlat fut rtl.ré de l' :u par 1rs doua ers, qu. r!ôs (p's ercnl comossa co do l'accdot, èlh"nl accourus. Les sons prodgués à l' nfaut jar le.s (locl s Bodr( s el Qucnca n'o.t ju le ramoer a la ve. S' nùo, Mme B ze en solant do la naïkactue dos tabacs, voyant un rassonblo.m't qua do'1 regoer, dcuarla co (juc c'elal. C'est un ell garçon qu esl tombé à l'e m ot s'est noyé. Uu pett gaçon? ft la pôro. Comn( ut.'.'ap);lle-t-l? B/.e, lo pcl.t Bzen, âgé do.sx an,s. h! mon Do s'écra la )uve éro, 80 tova mal et serat touboo aars lo so ou - d'aut's lencos. lo père, (p sorlat au.'^s do la 11^0111^11;- lure, appu pot:( uoe 11,011 e tou s la to r.blo ouvell(!. La (loulor (los nalleureux pnrcnts est navrante. Un banquet. Ls enln prou urs du bàlneut eldts ndubtrcs ( s'y nllclot!-e sonl léos dnanclo, à md, lotel Ba 'lloc, en un ba([ol sous la pésd'^fco d! NL l'omo (.îourdon, (ué.-- (l. l du syndcat, 1.1 lablo d'oueur, so lrova(!ml.\l.\. B, -e;tlur, voe-pé'^dot ; B'anolle-, l' tlga.s père, Lo N'oU, Ncol, 1'. Croc, L. l'to, M'nad, M;îan, Ncolas f(';os, C'dte loto cotnlu'ta celanemenl à reudo ocoro plus olrods los lens qu ex; tent cure lou-. los m mbros du sy dcat. u cl.opa^'e,.les dscours très app'auds Ont été ro'omco.s par MM. l', (Joardon et B l'er.l- r. Dos chansons ol no(j.^;es ont o'ôuré cotlc clftr.'anlo 1 aon, Rccucl perdu. Un n cel do poése-..';-!u..' lu.11 s 'lo.-> 01 sn''(!rs,1,.\l. t' ooll, a ele perdu lo nf' 2l).M o lt Kjor l'lo l'or t.melnx. l'' e.e d.' le looemro au jo rol cdlro cc-o'.-o. brc.n du Clergé.."^L l'ablo u r.'-, ;.(M:er du (larmel de Molax.o^l nom' recteur do llk'all. l.sea lonplcé à Morla;x jar,\l l'abl o l'"or, p' e lenen'aa ô- merdes Ursulnos de Uuunerlé. Kermesse de la nu.sque muncpale. 'US rapjelons [ n. o'os dua. - co 2 jun p'anu n u lu k-rmos-o ;r«lu'lloodo la nu-.,ue nncpalo, (hrs hî parc do Kernéguès. D.slob d'ovlor roue(mnbrouut à l'enloo du P'U c, l sera délvré (o.-; ('artos ù U r 50 ol ù 0 r. 2,"), ( lez lo conoorgo do la aro ss.staucc «blgalorc atx vel lards, Le Ma.ro do M(ula.\ pevel l-s vellards, les nfrmes et les ncurables prvés do ressources nscrts sur la lste a'assstance, qu'ls ront so présenter au Bureau do benfa-'sance (Ca'sse du Receveur) prlr du Jeud 30 ma courant, de neuf lenros du maln à quatre heures, loucher l'dlocatoa meusuello (lo du H J.lct 1905). Derner vs Lo.M.ro de Morl.x a l'horneur do rappeler à Mos- oursos propré'ar s de chevaux su.sc(^pt bles d'êre requs pou le servce de l'ar^néo aura leu à Morlaxm'rd proch n 4 jun à 10 h ures.èto-; leschevau.\ deb'ans ot au dessus devront être présentés, à l'expplor dr ceux d('?jà réformés aux cl sseuonts antéours. La «Morlasenne». Voc los rôsultuts de la st'juuîo du tr du 20 nu : Tr à 200 uélres, cbles à dx z mes ; maxmum, 40 ponts, MM. Barber et Carofl. 3 ouu ; Cal. laec, 33 ; MHer ol Le Feuvro péo, 3 ; Lo Fevro llls (t Goudcn 31 ; Fauj'am, 31 ; Lhémclet, 30. Conscrts. Tr à 200 mètres, cbles à deux zones, m^xnnn-, 12 pontt. B.'.uvestro, 8 ponts ;.Moou, (ullou, Kér.ls, Le G on ot Fosc, 0 ponts. Obsèques L(\s (dwèqes do M. Claude (îuymnar, conseller muncpal, ont eu leu jeud, à ros heures, au mln d'uno grande allluonco. Pro.S([uo lout lo consel muncpal v assstat. Le mare a, sur la tombe, prononcé quelques paroles émues. Médallés mltares. - - Les socétares do h 9" soclon sonl prîs do so réunr dmanche 2 jun, à dx heures du maln, à la mare do Morlax, los vorsemenls dos (olsalons ot réunon générale. Mouvement de la populaton. Du 23 ou 30 ma. X.MS vvnl'.ks, - l'anl Yves.\gslo Maro,c nl'h, fls (le Paul Joseph M;r,c ctdo Mare Pér nc Kcrjca), rue de Callac, G,.c. Mare ll:mer(ls de.loa l''aços Maro, et (le Mare sabelle Corenle Le Manacl, rue Waldeck-Housscau. - Jean C.ulo, tls de Jean et de Maro J. ano Toulhot, rue du Mur Gl, P:tLl(:.\Tl().\Sl)f'; M.VltlGKS, ~ Franços Maro Mnlé, employé des ehcmns de fer avcc Jcaïue.Mare (Juénéncr, rac (lamljclla, ''ran(,'os Menez, buuc.her, avec Jcoc Vvonnc! t-'do, sans professon, place Thers 29. Yves Maro C. rvcz, charrolcr, rue de Pars, avec (\nne.maro Gllard, csèr(\ à Kcrncgucz. Fran^'os Mare (aro, maçon lue do Pals, avec nne.mare (!ravot, colurère, rue de Pars.'5, Cstave l,î M.drc menuser, au Chàlcau, avec Jeune lopars, u'-nagore, au château. Lous llomo, tapsser, à Bresl, avc( Mare Pcrrne ("y,stace tluel, sans professon, rue llaulc, Mcxadrc Oodcc, second-kutrc à Toulon, vcc Mare Louse l'ulca Donlon.,éou lphonse Lahayc, mccacen, avec M.rguerte Yvonne Da::tec, sans prol'cs-;:on, rue de Pars. (",harlos C.opn, marn dcc.ommcrce, l Plùué/.oc'l, avec.lacpcltc.mocncr, fac'rcc, voe d.\ccès du Porl. ~.Mahu- Juge, cordonncr à Pars, avec Marguerte Gaouyor, repasseuse, allée du Poan-'k. MH.VGKS. - Julen Gaudar, soldat 01121" régment d'raïucre à Pars, avec Szane Mare Louse loalan, couturère, route de C.allKr. Paul l'anços Nédollec, lonclcr, rue du l'orsmeur. avec guslnc Tançoso Mare Lo lî.'c. dnneslrpo, rue Vlleneuve. Cclcstn Paul Maro Coqun, ajusteur, rue du Porsmor, 2S, avec Jeanne Gabrcllc Pagj repasseuse, 1 uc de l'a s. DF.CKS. caue Fraeose Locdcc, épouse de.\lcl.c lîul "dans, rue GamlH-lt Yves Vncent Mare lîzen, 0 ans, rue Vlcncuvo. Fugcuc (uyadcr, 3 aus, vecllo de la Jcrgerc, J des.cseph.mare Prcaclat, veuf de Uncrc Daval, (>:) ans, llacc Thers..leanuc P.-an, veavc de,male lîodls S ans, ((artcr du chàlcau, F-le gela Monvosm, vcuvo do.loscpl.mor'ud,.')7ans place (le Varmes FrauMS Mare Le Gall, époux en 2'' noces de Mare Louse Le lîocc, lî ans, rc Vlleneuve,.Mare Gcll'roy, vcv" de.fca M,rc l'ua cc ans, rc dos \ gcs. l''ra(;,ns luco, 3 ans l'arc--l)c. Mare Fr.on.uà l'oul L', veuve de.van Coynder, 117 ans, venelle d(!. l>r^;erc. ndré Song, veuf de.cny.song, 7l> ans, p.'rlcr du (',làt(!au. C.laud^ Coyonard, époux de Françose (luézcncc, rue de l'ars. Yves Mars Laurent, veuf de Mar(! Yvenu; Sconarec, T' ans, uarl(.'r du l '.hàtco.,\)aro Tornc, 7 mos, 1 le de Pars, î 1. Plourn-rfloplax Démsson du mare. M. Le larazer (le Lauren, a'e de Plor-Morlax depus do longues années, v'l do donner sa dcsson pmr rasonsde sanlo. Pougneau Changement..M. lîve, clud'-stlo gare a eu son clageen pmr.mauron, gar(! plus pjrtante..nous s.vus ( u l dojl rejon(lr(! son poste d.'cle..nous lo f('lelons sncèroent, tout eu regrdlant son (h'parl. M. lvc aval ac(us l'eslk! de ous p;r son aabll' el par s(?s mots sprtuds el très propus u'l savat dstrbuer. Nécrologes. - Dmaehe, ;u mleu d'un cmcours eusd'rable, ol eu leu l(!s (dsè( ues de Franços-Mare ten/l, gendre de.m. Geru, adjont au.re,.mard (ul eu leu ('galem n b's (dsè les (le ll\aelllle odrusde Kereln, Nous pn's'ls a\ l';mll's dos del'nls nos sncères cdd'aces. Marage..Mard a ('l' (('l'br' au mleu d'e l'le d'as le marage de Mlle C( un el de M, Morva, conseller mcpal de l'uj an Les p lls ca\alersot lespell(^s(,lv;^lè es( u pn'c'dael le corlè^;e ou ('' rès em.'rcp's. PlounéouP-Vlénoz Pendu. M Hervé l'onljon. 5' ans, propru.'tare, a été trouvé, par son lls, pondu dans son (cure. l)e )Us (pnd'po lep-; M. l'oul(,ou plrals^all. on r^le, (}, n! comal pas les causos de.s,a l.'lernahon. Ponnovez-Lochr.st ^ardon de N.-D. des armoes. - Lo Grand pardon de.notre-dane d^s rmées, rès renommé clars toute la régon, s'est tenu d;:anche. L'nporlanle assemblée des conscrts combreua.'-t los hommes do la classe 1900 ot des marns et soldats eu actvté do servce a eu len auburg. Précédés do tambours et clarons, too; ancens mllare.s, le cor ègo f.'osl romlu au cmetère, rendv un peux homnage aux uos la patre. Lo pardon a été très réuss el a oblm un grand succès. Landvsau Un mar brutal..mme Margorlo Q.., fommo P.. demeurant à Sanl-Ou('. nal. rourat de nurncn,gol, où ollo aval él(' on pèlornago, son arrvée, sormar l'accabla d'njros ol so porta sur elle à des voes de l'at. Sans rnlervonlou du lls de P.,, elle (!ul été fort udlralée par le brutal. Pour ompéclku' celu-c de renouvele SOS volences, la l'omme 1'... s'esl d('cd(''o à porter [)laul! à la.godarmero. RoscotT La bordure du qua. u port, on procède eu ce moucul à rn,-,talalou d'une bordure qu ra j.«( u'au bout d j môle. u laboratore de zoologe. M yés, prépaator à lu So bonne, est a rvé à la slalo de bologe. l s<; tent à la d.-poston de ou-a (oux qu seraent désreux de prol er, leurs éludes, des dlféréats avantages qu'ol'ro lo laboratore.. M, Vlés sera rejont provhauemonl por D.'lage. Notons que U staton do bologe a élé do'ée, cctle aéo, par tros nouvoox benf'alours : M, fo doc'er Maïag lu a l'al don d'uno souunode300 l'r. ; M..Moasner, do l'aslalalo;! éloctrue du l'hlfas ou c. ot aulouollo, el M, 1 docl-ur lîcle, nonbro do 'c 'ue do lué locfo d'u.; npo l.'ot ou Hago do ply.-.ooge. Vol avec eîîracton à la gare Un vol d'. co.s de 1)-urre a ét'm'o lans 11,' bureau (lu l';o;e-cl.,'f lo la gae, nù quatre tror, o.1 élé f.actué.-.,.-.as dont'' à l'a.u; d'n c-eau à lod. u :UM a'gent no so trov.nl d ns ces 'ror,-;. Le voleur a pénétré dau.-j!u mason de gare en br;.-!!;l un carre.'u Une on p!é:o (..-. ouve-le. Plouénan Nécrologe. Mard dm'n-r 28 on a été nluno a S nul Bol de Lo u lo corps do M, lo V.',', nte d.' vcrnoy,-; n du clàlo.u (lo K(M'd.'on, (lé.edé à Beon 'j lo '-S l, : cortège é;!omo d'assptants, dans l pol se cofondal tous los lang.s do la socel.-', oscorm lo l'o vo (lo co h 'mn-j de ben qua lass dans touto la. g;o: d'uanu's 1 1 grels. M. d" v-rnoy m'c, né en 1811, oalra à rlc'.k Forostèro l'o Narcy, en l'^^dl ol en sorll coano ^'arde l! dova sa déms-don en 8)8 11 )nl du s, vce lorr, do a fatal,' ^îorr.' do 1870 et F.t honuu.- (a;)nno (b.; la coup.guo île mobles do Laudvs a celo p dto, l pnl! au.-lègo (le l'ars, au cours d( u 1 s brllanlc cou me lu \ lu la nso ù l'or le du jour (le 'aroéo et la crox de l.'léy..)n d'honneur, Le Jurl Onccl du 19 doco.bre 1^70 meuloono, p rn les on.- (h^s o'f cors, souh-ol'fco'à el soldas à (ju leur b-av uro ol leur dévoemont ojl mérté lo haut é'.nog^o do l' slno de l'année ol (lo 1 1 gl at'.clo j eblquo, -M, l" xornoysau capla'.o ao '-' j. lal on, (pu «a enlevé ses troupes avoe. nne d;é nlé d'gno dos plu' grands élo}>ot>». M. do K-^nnoysan a été mare h; l'oénan.ondjt do longues année.;. C'étt u; chéen ccnvnc, do fo vvo et ardonto. tous égard, sa ve res.» un exemple et un modèle los ros ls à (pj l a lassé lo pouls d.-sou nom, ol (pl lo potenl déj. dlglmuml. Plougonven Coups de coutca!. - l ue rxe a (''cla'' elre pluseurs jeunes gens du bnr,.^'.,\ emrs de celle bag.rre, uu jeune lome. om' l.;'l r. a roe un en» de couleau, L: llessm-c, mquc assez n'orde n'est pas urave, Spézst Le pardon du Cran. Dmanele a M leu le pardn de N, ') du (!ran. De Kubreuses bnules de pels marcland.s ('laet nslalh-es aux almrds do ranl ne cl. elle. Les premères messes du maln ml allr'' les ellvalers l.'s envrons. Le mr;^' ('dal pavos''de gurlandes (d de drapcux de mullnes cml.'rs La ms e d.' (lorn a pr'l' s>n eocou's (d s'esl l'al cnledre ;' plser.-; reprs, s. Les l. us ml, eum' mjurs,.rlr' à l.'l el;pelle, sms l're do l), r:'e ol de pèces d'' muae. NMmns, lea'e mons (le nde quo les j'es p'''eedeles svael l. 1 ncesso, Crrhax. F../, - l' ne l.ns-m. re!';.;h)ec. ',s c.r' r à C,-'.lta\ p'mr Vul d'l.' ' \ l' au : ''dee d' leon'' Ca'r, d.' (/;rl \, e,-. e.' la." à 1," j''r- de r ln - Mre->'v) (.l.-lsdlkll' (.1 ;s veuve.merle, sronee sruonm''e.^nr' c'\ exercce lr'g.d de la m-decne esl eouda'' à."llo l'r, d'. 'de. Ployé, -- S(''l>aslen Cado, '.' ans, jourler à L'Z'lo, eu Plouy', mallrale sa l'eme el ses en l'a lls. l'n jour l'r.'pp.' Udemen alleurese l'em- p' lu cassa la jambe ; l es cond.me à 1 mos de prson, lder. '.o^.man-mare tnzee, l ans, prprdre à.mez ar ;rec, en Fde','vr pnrl'- des eups à sa l'em os! enlalr','l ( ns de prson, l'orf Launay. lu s dt'clôturt'. l.r ''.\u;;sle,l,rler.î.' ans, m.r' r à Prl. nn-v, ne pel p,>ser lexal la chapelle de Lanva'dc,sans se sentr le beson d'en brser lo vtral. l est condamné ces fats à 2 mos de prson. Spézet, vtsso.maro-nne Galéou, l'onïe.morvan, jour vresse est condamnée à 1 mos do prson. - Gd.d J"an-l''ranç.)s, 40 ans, sans domcle lxeosl condamné volences et rnendcl^ à 1 mos d; prson. L<; Géra m ;. POCLLOX. la 1 Coopératon Fn cèro da Rhône GENS et les GÊNÉS Nous soume.s heureux de fare par à nos lecteurs qu'ds l orronl trouver ^ot domor do l'^xten-on à leurs affares, sot leur porn lre de l'ôabl.r une ado pocuaro donl ls j,ourraent avor beson, et ce, à un lavx égal de 5 0/0 l'on. DÉSHKZ-VÛUS m L'MGENT? Pour un.'chal pelnoupe, bestau.x, tonan, meubles, b jox ou,'):lres, écr- V V, à la Coopératon Fnancère, 0, Qun do Hondy, Lyon, (( pêto sur smple s'gur.tro.ju taux lég.'.d de 5 0/0 l'an lu lxsr la somno (p vous est néco,-- sare en n cxolq au votre mode do cmboursemont.' Dscréton absolue Soluton dans la hulano. Bas d'nléôts d'avance. Grande faclté do remboursonot aux personnes actuellernnt gênées. La sg-îature d'une honk'do pcr^omo; épnaut à de l'arg-et. Vns Kaux-de-Ve Muscat EXPÉDTON DRECTEDE L/\ PROPRÉTt^ E. 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M UD JUl^ 190/ à deux heures du sor /l' S'.lu (/ w ('/////(r'f///(,< l v'dn':.ot FNlorK El f Con.vne de F*oxllaoïë, Gaaton de Garhaîc, ''oclyseeat Olt'teax-la. 5U LEU DE L lïlne ce Tn JoS VlU (]orj)s do F n. l <: l,-;ur,nl au pl. cadasral de la dle Commune de Polaou'n, sous les mh'ros JJMULjaK»aKaMPga«aB»3MMaM anutnmt 167, 108, 169, 170,171,172, 173, 17-, 170, 177, 178, 179 et 17." de la secton, une contenance totale de tros hectares, dx ares, tronto centares, c. 3 h 10 a 30 c to qu'l est loué aux époux.loseph Tanguy, douze ans, qu exprent le vngt-neuf.septembre ml neuf cent d.\- hul, moyennant le pr> annuel de deux cents francs, en vertu de bal du dx-sept novembre ml neuf cent tros, au rapport de M" LNCEN, notare à Carhax. Mse à F*rîx, fxée par le trbunal, r/ualr; mlle frqncs, c fr. La vente par lctaton de ces mmeubles a élf- ordonnée suvant jugement rond par lo trbunal cvl de Morlax, sous la date du premer mo ml neuf cent sepl enrogslré, conlradclorement : L.NTF: : Madame Joann(-Mare Fleury, en prvé et Monseur,loseph Tanguy, s(jn mar, en aulorloet au be.son en prvé, tous deux propr('dare,s-cllvatours, deneurant à la Mne, on l. commune d(; Poullaouen. Demandeurs ayant avoué conslluo près le trbunal cvl de Morlax, M" KFH.NKS, avec éleclon de domcle en son étude sse à Morlax, rue d'gullon, numéro 28. LT :.Vad.me méle Fleury, veuve de Monseur Lous Lo Corro, f roprélaro-cltvatrce, domclée de la Vlleneuve, en la commune de Poullaoun. Défenderesse ayant avoué constlu(- jrès lo trbunal cvl de Morlax, M" 15KLZ, dont l''lude esl.sse à Morlax, place Cornc, numéro 10. ET LNCOKl- : 1".Madame.Maro Fleury et.monseur Smon Lo Corre, son mar qu l'assste et l'autorse ol an b' son on prvé, les deux dom.uranl ensemble el domclés à ]rest; 2' Monseur Lous Dothorcl ; 3" Monseur Franchs olhorel ; 4".Monseur.1 an-.ous Hoïhorol, tous tros cultvat trs d'mouranl à Kéranhéroll', en lacommune de la Felléc ;.'j" Monseur Perr Jolhorol, cultvateur ol proprétare, d'neurant à Goa.ssaloc, en la commune do Berren, Tous ntervenants ayant avoué consltk' près lo trbunal cvl de Morlax lo dt.^l'kflnfls, avec éleclon de domcle en son étude, 1-e caher des charges rédgé par lo uot ro comms, par le jugement prédalé, demeure déposé en son élude où toute porsonuo peut en prendre communcaton. L'adjudcaton aura leu aux jour et heur.' c-dessus ndqués, en l'étude et par lo mnstère do MM^NCEN, notare a Carhax, en un seul lot, et sur la mse à )rx do (alro mllo francs, en présence des parlcs sus-nommées ou elles dûment rjpn'sentces. Fal ol rédgé conformément à la lo par l'avok' suvant soussgné..mm'lax le vngt-,sopt ma ml neuf cent sent, F. K-HNES. Hnrogslré à Morlax, lo vngl-sepl ma ml neuf cel.sopt. Folo ol. Case 118. Pecu un franc quatro-vngl-hut centmes d'cncs comprs. POUMER. STOT.. ~ Pour ous rensegnemenls s'adresser à : /" L.\C/E.\, uolare à Carhax, dépo.'<ure du caher des.-harp-s: 2".]/' j; DLSSEJt. uolare à <u-guar: 3" M" l\f:l.\l's, avouéxnrol :./".l/" ELX. nvoué co-tclanl. l'u'.es ls M'= F.EUBY, notare à Morlax, (.1 E BDDKlJ.Er; uu POBZC. nolro à Sant-Benaî, et de M» FOUCRD, nût.o à B-.'o-!, V E N T E D ' R B R E S par djudcaton eu r Etude de.)!'' ELE UJÎ Y, nolahc l ]lorl;tx. Lî MHRCRED 12 JUN 1907 à 2 h' u.'-o.s C()M'BE.\NT : 207 hêtres. l chênes et 123 chàlag '.'s t^e lvuv.:nt sur 1 s dépendances des fenos de Coalèz 'C en Ph yber-chrst, lenes ; ar eor.ots Ma ac^l-.\bera'ot Lo G ll. ' our vor L s rhres s'adresser aux ler t''s l' our rens^jnenen/s ù W y l'e y. ' U)\\K lîcyclette C-ïST PLCÉ NTELLGEMMENT SON UGEN'r M W m 'M BCYCLETTE lnuuh'.!, Cal,la,pu- au roar.'ssun'rr M, HUTRC, 11. ruecarnot, Morlax. (LJcTOrsT) lol >o" la l'o^'o M O R L X - 11, RUE C R N O T, 11 - M O R L X

4 L'ECHO DU FL^STEKË q NOUSDEMNDONS dans tolôs los vlles ot communes dos personnes s'occuper chez sol, toulo l'année, d'un traval rapportant de 4 à G francs par jour, suvant lo emps employé, sans apprentssage l fare. Sur demande, par smple carte postale, vous recevrez toutes explcatons utles. S'adresser Vlason des Travalleurs Févns 19, Place Bretagne, NNTES (Lore-nféreure) Elude de M" Th. Fleury, notare à Morlax VENDRE Par djudcaton U\E en l'étude Volontare LE LUND 17 JUN 1907 à. Deux heures eu lu vlle do.morlu.x. PROPllÉTÉ formant rencognure de la rue Ganbelta (ancenne voe d'accès) où elle porte le n" 56 et de la rue du Poulfanc où elle porlo lesn" 22, 24, el ^(, comprenant : 1" Une mason u.sage d'auberge composée d'un rez-de-chaussée, premer étage, grener, pett parterre devant la mason louée verbalement ù Mme ve.ve Ncolas, 300 fr. l'an. 2 utre pette mason, 2 rue du Poulfanc, conlge à la précédente formée de cave, rez de chaussée, pre.ner étage et grener louée verbalement à la même 100 fr. l'an, 3 utre mason, à la sute, me du Poulfanc n" 20 comprenant rez de-chnssée, étage et grener louée à dvers 20 l'r. l'an. " Deux autres pettes masons, séparées de la précédente par une cour commune louée lo fr. l'an. Porton de jardn donnant sur la rue lamb?tta. Revenu annuel Mse à Prx 710 Francs 7500 Francs Pour vster s'adresser aux locatares et lous rensegnements à M'" Fleury, notare. Le cabnet dentare de Vl. BVRD, cause d'agrandssement, sera transféré prochanement, Qua de Léon, n^ 2. Ktude de.m».e.v.n V'l.\N'T notare à.morlax, succes.seur de son père.t-s> [par lctaton volontare, en l'étule L e Jeud 13 «Jun loot à 2 heures lù la vlle de Morlax, rue des Urebs, n" 4!) el ol QUTRE P TTES MSONS.\vec rez-de-chaussée el élage. Terre plen el rampe d'accès devant les dtes masons..lardn derrlu-e. Le tout funant bon em)lacemcnl créaton de proprété, content "j a. ' c. Mse à prx, francs S'adresser, tous r.'n.^eguements, à M- VLK.\NT, notare. Elude de M" 'E.V.N Vérant, notare à Mcrax 7, rue de Pars LOUER à 2 llomètres 500 do Morlnx ONE PnOPRlÉÏÉ D'GRÉfENT comprenant : M tson do nsîlre ; écures el r;nscs ; mporl.tnles dépendances, etc. Judns fanças ( t a},'ljs ; beaux ombrages; rv ère possonneuse. S'adresser tous rensegneuets H l VÉHNT, notare. Ktude de M" VRt.NT notare à Morlax, rue de Tars, n" successeur de son pér; VENDRE OU LOUER En la commune de Plestn-lcs- Greves, Plage de Sant-rllan, en bordure de u mer et de la route de l.,annon. Proprété consstant en : mason d'ablalon. cour, jardn. écnr's, dépendances. Excellent puts. Vue Spledde, belle stuaton. S'adresser )Our tons r. nsegnemens à M Vlîll.NT, notare à Morlax. ^ Etude do M" Jean "VÉRNT, notare à Morlax, rue de Pars, u 7 FFERMER Pour la Sant-Mchel 1908 En l'le de GLLOT, en CRNTEC L FERME DE L ROCHE (Floo'h-Huella) nanœuvrés par M. Yvos Le Dluz, contonance 23 journaux. S'adresser ù M" VÉRNT, notare. Elude de M» JKN VEHNT, noîau'o à Morlax FFERMER le 2'J Septembre 1907 L BELLE FERME DU ROSLN Sse à Plougasnou et le Vloun en dépendant 0(;eupés par Franç.)s Lro Coz. GonteKoe ca!la.>trale : (>6 hectures 69 ares ccnlares. Pour haler, s'adressera M» V15RNT, et v>;ter au 'ermer COZ. Elude de M' BELLEC, notare à Comnnu T S T D H B Par djudcaton Volontare LE LUND 17 JUN 1907 à 1 heure de l'après-m l, en l'etude UNE F E R M E sse au leu du'vernhr, e Sant San venr, comprean : bons éd lce;, 7 l., sous lorre labourble, l h. 80 sons pra res, 48 a. sous l.alls ét 1 h 20 c. fous «nde, louée 500 fr. par an, mpôts en sus Mse à Prx fr. S'adresseï à.\l fellec. Le Chocolat du BON MEUNER offrent l'almenl le plus san et le plus délceux. et le Chocolat PN Grâce à un nouveau système de broyeurs et de Malaxears, dont la masoc a seule la proprété l'opératon s délcate du broyage des cacaos leur lasse toutes leurs qualtés. Mères de famlle souceuse d'offrr à vos mars el à vos enfants un chocola parfat, demandez partout le Chocolat d.u B O N MBUN'BFl ou le Olooolat FN. BONNEZ-VOUS FNSTÈRE PTTORESODE (Stes et Monuments) Un volume de luxe grand n 8, de plus de 200 gravures. Dvsé en 8 fasccules d'envron 8 0 pages. 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5 Deuxème nnée -Y» 79 f^e jvuméro Centmes Samed 8 Jmn 1907 \,, JOURNL RÉGONLSTE NDÉPENDNT \ 4leu U tt attutjmatull,,'mmtlau rt Rédacton et dmnstraton ' 3 /, rue des Fontanes - MORLE$^, n ét'**"** 'V- ; "tarfé oks. BONNEMENTS _ MORLX^ «o...'. 3 fr. SO Fnstère, G^s do Nord, : Mo4>lao, un an:.,4 fr. OO utres DéparteneQl..v...t. 4 fr. 50 r^êïa^dé Beoouvfemht^par la Poste, O fr. à&par boànetàént. "., P loîh.m'j L SEMNE Vendred 31'Ma. Comme sute aux nterpellatons concernant le renvo de la classe 904, la Chambre a approuvé la dé claralon du mnstre de la guerre Le Sénat a adopté le projet de lo concernant la réglementaton des jeux e France. Le mouvement grévste des nscrts ma rtmes est général. Les équpages des^d verses Compagne^nt déposé leurs nues. Le «Chanzy^ h coulé la semane dcr nère. Une grande parte du matérel a été sauvée. Samed 1* jun. La grève des nscrts martmes contnue dans tous les ports sans ncdents notables. Le Consel des mnstres s'en est occupé. Le général Bllot, ancen mnstre de la guerre, a succombé à une malade d: foe. Les parlementares du.vd se sont réuns examner le texte des amendements présenter au gouvernement. Dmanche 2 jun. L' «sly» à bord duquel se trouvaent.28 marns de l'etat..demandés par la Compaane J'ouache, n'a pu partr. Les offcer au paquebot ayant.^tf/tm^ de partr. Les députés et sénateurs des dcpàrtéments vtcolcs du Md se sont ms d'accord sur les amendements qu'ls déposeront au projet de lo gouvernemental. Plus de vtculteurs ont prs part à la manfestaton de dmanche <1 Nîmes. Lund 3 jun. La Chambre a adopté l'ensemble du projet de lo assurant la sncérté du vole. Une délégaton des nscrts martmes a été reçue par M. Thomson et par la commsson de la marne de la Chambre Une conférence a eu leu entre M. Clémenceau, M. Crupp et M. Labor sur le projet de la réforme des Consels de guerre. MM Denys-Cochn et de Castelnau, qu nterpelleront le mnstère sur les scan dates de la publcaton des dossers Montagnn ont été reçus par le garde des sceaux. Le trbunal d'vranchc a rendu uu ju gement mportant en faveur des fondatons consttuées au proft des fabrques. Mard 4 jun. La Chambre a abordé la dscusson du projet de lo portant supprmon ttereconomarpammaux: Les nterpellatons Denm-Cochn et de Castelnau sur les papers.uontagnn ont été rencouées au jour de la dscusson du rapport ae la commsson. La Chambre a refusé l autorsaton de sutes contre MM. Basly, Bétry et Leroy Bauleu. Les mnstres et sous-secrétares d'etat se sont réuns en Consel sous la présdence de M. Fallères. L' * sly» a qutté.marselle avec son état-major et des marns de l'etat. Un groupe d'nscrts a tenté de monter «bord débaucher les hommes d'équpage. MM. Stccg et Puch vennent de déposer une proposton tendant à suspendre temporarement les drots sur les blés et farnes. Mercred 5 jun. En dépt de la décson du comté de grève, l'agtaton des nscrts contnue à Bordeaux, Toulon et le Havre ujourd'hu ont commencé les débats du procès Lévy-Bousquet, nculpés d'exctaton au pllage, Une émeute a éclat. à Thun près Perpgnan, pa^ce que la muncpalté avat refusé les fonds nécessa-es à la partcpaton des habtants vtculteurs au meetng de Montpeller. ft D'mportants trages fnancers ont eu leu. Le n" , vlle de Pars 1898, gagne ' francs. Jeud 6 jun. Le Sénat a dscuté l'nterpellaton de M. lou sur le mllard des congrégatons. L'ordre du jour pur et smple est adopté. près l'adopton du projet de lo con cernant les économats patronaux, la Chambre a commencé la dscusson des nterpellatons sur la crse vtcole. u Consel de cabnet, M. Pchon a ndqué le sens des déclaratons qu'l fera deman à la Chambre la conférence de La Haye, Les obsèques du jeune Debrose, tue par des apuches an retour d'uw processon, ont eu leu au mleu d'une a//l.uencc cons'ulèrahle. Les nscrts martmes ont reprs le traval dans la plupart des ptrts. Ceux de 'Toulon et de Hordeaux contnuent jusqu'c la grère. Le gouvernement a fxé au'j 1 jullet la date des électons le renouvellement des Consels généraux. Le qroupe agrcole du Sénat a tenu séance. S. Comot a exposé l'état de la crse vtcole dans le Md. Le département d'lle-ct Vlane a été désgné par le sort élre un sénateur 'ên remplacement du général Bllôl, sfnâteur namovble, décédé. POUR L REPUBLQUE (Sute) 11 C8t à remarquer que la plupart des dvergences en matère doctrnale prennent leur source dans des confusons causées par l'nsuffsance de précson dans la termnologe. Chacun prend un terme dans un sens spécal et en tre des conclusons plus ou mons contrares à celles de son adversare, et l'accord est rendu souvent mpossble par le fat seul de la dttérence du langage. Mon contradcteur sllonnste, me permettra donc faclter la loyauté, du débat, de ben précser les ponts sur lesquel.^ je prétends argumenter, nous saurons par là s réellement nous sommes en désaccord, ou s au contrare nous nous entendons sur le fonds et n'avons eu somme qu'une dvergence de forme. S je comprends ben l'dée du Sllonuîste quand l ^arledemépblque, l n'emploe pas le mot au sens prmtf et la ge q^u découle de son étymologe Res Pufdca, chose publque, d'où PJtat en général, mas dans le sens partculer et restrent que lu ont (lonné les Franças de- )us la révoluton. 11 entend.sgner par lupuluque non plus un Etat mas une forme de qouvernement spécale., qu consste a n'être n une monarche, (empre ou royauté), n une arstocrate. C'est quo d'alleurs, l détermne le mot en y ajoutant l'épthète démocratque. EKLEO PENN R BED " J O l r e o t e u r ;. X ^ J T 3 1, ré d e s F ' o n t â n e s, M O ^ L X T.,a Ré )ublque démocratque, telle qu'el e ressort des explcatons données non seulementpîr les Sllonnstes, mas par tous ceux qu en ont traté au cours du derner sècle, est un Etat, ou le peuple maître de ses destnées se gouverne lu-môme par l'nternéuare de délégués, qu'l se chost drectement. Jt rejnar(]^uera à ce pont de vue oue la défnton de la Républque démocratque, n'exclut pas nécessarement telle ou telle forme de gouvernement, et au contrare présu)pose naturellement, ou une arstocrate., ou une olgarche. Le Sllonnste parle d'une élte qu'l nomme encore souvent, vnorté dynamque qu'on l'appelle du nom (]u'on voudra ce sera toujours du fat qu'elle drgera, une olfjarche, c'est-à-dre que ce sera un pett nombre qu se trouvera matre mmédat des destnées de la naton. Entre un gouvernement olgarch- (] ue, et uu gouvernement arstocratque l n'y a guère de dfférence qu'au seul pont de vue de l'héréd- Du fat (me l'élte gouverne par sute de délé/aton ou autrement, l en résulte que le peuple ne se gouverne )lus lu-même drectement mas par des ntermédares. C'est la même chose avec une monarche représentatve, avec cette seule dfférence qu'un seul homme gouverne au leu <h pluseurs. S donc le Sllonnste n'est pas d'accord avec mo sur l'égale valeur des régmes monarchque représentatf, et répuhlcan démocratque, c'est ou qu l n'a pas réfléch sur la parté des deux régmes, ou qu'l entend le mot Répddque démocratque dans un tout autre sens, que celu que j'a explqué. Mas jene vos fuère comment l rat dfférer 'avs d'après sa propre théore, qu suppose une élte à mons, qu'l ne pense que Vélte dot domner par le fat même de son e.vstence et non par sute de la délégaton., auquel cas, elle se ramènera à me f()rmc de gouvernement analogue à la monarche " ahsohce ét de drot dvn. En sens contrare, le Sllonnste peut arrver ou à néglger Y élte ou a la rendre tellement dépendante qu'elle, n'est plus mmorté dynamque n par conséquent drgeante et est absolument à la merc de la volonté du peuple. Dans ce cas, nous n'avons plus aucune analoge avec quelque forme de gouvernement que ce sot, et le mot répuhlùue démocratqte ne sgnferat pas autre chose, que républque anarchque, c'est-à-dre peuple sans gouvernement. Je ne pense pa.s que le sllonnste entende le mot Républque dans ce derner sens, et tant à vra TRF DES NSERTONS u lgne nn. (j.cares ou dverses). O fr. 2 0 Réclamas (en 3" page) O fr. 3 0 Pour les annonces répétées on trate à forfat. ^ Le servce du journal est fo^t gratmt,- ment aux offcers mnstérels annoncers. Pour les annonces el réclames s'adresser à M. H. POCHON, sot 31, rue des Fontanes ou 67, rue Gambetta, K.. Les manuscrts ne sont pas rendus r vv'ïvv dre, l n'y a que celu-là qu pusse nous fare dfférer d'opnons. Ce qu'l dt eu effet de la Républque démocratque en détermner la valeur, s'accorde parfatement avec une forme monarchque. «La valeur du régme dt-l est dans Vaccrossement de dgnté du ctoyen devenu maître des destnées de la naton ; dans la lberté dont joussent les ndvdus et la, responsablté dont ls sont nve.'ts, les oblgeant^à fare effort sur eux-mêmes, accomplr leurs devors cvques». N^en déplase au Sllonnste cela n'appartent pas à ttre exclusf à la Républ(ue démocratque mas d'a- )rès toute la tradton françase et a tradton catholque est une des caractérstques de la monarche représentatve qu exsta dans presque tous les Etats du moyen âge. St-Thomas s'explque très clarement sur ce pont : " Le prnce dt-. Lï'vpûutor de.fare -une' lo qw-'au^tant qu'l représente la personne de la multtude. (Somme Théolog(pe. 2 queston 96. art H par H) et l le ])rouve dans les termes suvants : «Comme la lo ordonne l'homme 30ur le ben commun, ce n'est pas a rason de chaque ndvdu qu eut fare la lo, mas la rason de a multtude ou celle du prnce qu tent la place de la multtude.... Proprement, premèrement et prncpalement la lo regarde l'ordre le ben commun. Or, d'ordonner quelque chose le ben commun, c'est ou de toute la multtude ou de quelqu'un fu tent la place de toute la multtude. Fare donc une lo, appartent ou à toute la multtude ou a la personne'publque qu a son de toute la multtude parceque dans toutes les autre.s choses l apjjartent à celu-là d'ordonner la fn, à qu la fn est propre. (à suvre.). LJT. EUR MUNTR EN PRZ Dsul ez 60 bet great abars an oll gearou a Franz, prossson ar Sakramant. Da lavarat en plassou, hag a zo c'joaz kals evelse, ez oo bet passeet mad an traou. Med n'eo let partout evelse, hag ar breuven pez a zo dgwezet en Parz dsul. Eun toulad paotred aouank deuz )atronaj Sant-Joseph, euz Epnettes ^arz, e oa o dzre euz eur proseso elec'h e oant bet pedet da vont, en Dugy, deuz ma vela war ar gazetennou. Sedr e oant =6 dzre d'ar gear ddan komandamant n aostrou ar patronaj, ra.u; eur bourmanadan vrao e nent great^ med! eut vanden frpounet en eur lakeaz en eur park evtgalloud tenna gweloc'h warne. r baotred aouank-ma a we surp-enet o klevet tenou tann, mez na wen ket pol, hag en eur ober pemp munut ar frpounet-ze a we tapet a roet <Ja pep-n eur rousted. Pemp deuz out- ;o a we gallat derc'hel a gant pere e oa klevet anoou ar re-all. Malevruzamant ar gatolket na wen ket eb lezel unan deuz o re var an douar. Eb seurt abet d'en eur dfen deuz tud pant armou a oa dez d'ez-ho. lïuf paotr aouank a uget bloaz a dapas eun ïam plomb eu c boulmonou, hag an ngz goude a varvaz. ve eur beleg a dapas meur a daol, med e vuez ne man ket en danjer, Setu aze ar lbrente an devez-ma. E peuc'h c'hoant ober o reljon wel ma pj ganeoc'h e kavar tud war o hent evt hon frappa. Med, evt perag bea o klask ampcch ac'hanomp d'ober hon reljon wel mar pj ganeomp. ' tud evelato? eo a dra-zur, hag en gwron en c'hallen laret penaoz ez oum muoc'h hoest eget an dud a la traou er gz-se. Ha petra rao ar gwarnamant evt punssa ar muntrercn-ze 'f Pas kalz a dra moarvad. r juzeven a zo kapabl da akaat re' d'ezho eur vedalen, evto rekompens. Med, d'ar c' orto/. gwel pez a vo great d'ar frpoued-ze c fel d'n meuleud an toulad paotred aouank )ere o deuz gwezet en eur dfen, lag evt an n zo kwazet evt ar reljon kasomp oll hon pedennou da Zoue evt-han. Ha da'.c'homp chonj mad deuz ar ^oad a zo bet ruhet dsul, eun devez a deuo hag a vo dstaolet d'ez-ho an traou-ze oll. Laou an BORNER. L X F O R M T O V S Les a ngéneurs socaux» ujourd'hu Tact'on socale est un devor urgent et, grâce à elle, les honnêtes gens dovent, en créant dans leur régon une sée d'nsttutons socales et économques, enrayer les progrès du socalsme et les menées des leaders de la socale. Les bonnes volontés ne manquent pas, ma's les découvrr, les guder et les soutenr l faut des entraîneurs. Dans ce but, M. Doal, drecteur àu. Journal de Pcronne, a prs l'ntatve de grouper, sous le nom à.'ngéneurs socaux, un certan nombre de jeunes gens qu veulent se consacrer à l'apostolat socal. Cette excellente dée aétéaccuel le partout avec une vve sympathe et a obtenu les plus hautes approbatons. Deux années sont d'abord consacrées à la formaton personnelle des ngéneurs socaux. Sous la.«âge drecton d'hables pratcens, ls organseront" des "conférences, des syndcats, des mutuaïés ; ls feront des séjours dans, les, dvers secrétarats socauxj dans les^bureaux d'un journal ; des cours spécaux leur ensegneront les los ouvrères ; un voyage à travers les nsttutonssocales et économques de France et de l'étranger termnera cette pérode d'apprentssage. Dx jeunes gens ont déjà demandé à former le premer noyau ntal ; ls commenceront leur apprentssage le! jullet prochan. L'ssocaton reçot tros sortes de canddats : Les fls de faml'e qu veulent consacrer quelques années de leur jeunesse à leur formaton et à l'acton socale ; les délégués des ndustrels, des grands proprétares foncers, des groupements dvers que ceux-c envoent acquérr les connassances et la pratque nécessare exércer une nfluence ben'fasante dans une régon détermnée ; les jeunes gens qu veulent avec m désntéressement complet consacrer une parte de leur ve à l'apostolatsocal. L'œuvre se charge de vor à leur entreten. Les organsateurs désrent vvement que des bourses soent créées à ce sujet..3,000 fr. consttuent une bourse de formaton. Les offrandes les plus mnmes sont reçues avec la plus vve reconnassance. usstôt formés, les ngéneurs socaux seront à la dsposton de tous ceux qu auront beson de leurs servces, ls ront s'nstaller pluseurs rr'os dans les contrées désgnées afn d'y suscter les organsatons économques utles. Pourtousrensegnements, s'adresser à M. Doal, Drecteur- du Journal de Péronne. Péronne (Somme). Condamnaton à [mort La Cour d'assse de la Sene a condamné à mort le nomjpé Dranosk et envoyé dans une nrasonde correcton sa sœur Sophe. ls avaent le 3 janver tué leur père à coups de couteau. Consel des mnstres Los mnstres et sous-secrétares d'etat se sont réuns mercred matn en consel à l'e^sée sous la présdence de M. Fallères. La grève des nscrts martmes M. Thomson a rendu compte à ses collègues de l'entrevue qu'l a eue avec les délégués du consel de défense des Gens de mer, et a fat savor que d'après les rensegnements qu lu étaent parvenus, la grève des nscrts martncs serat envoe de décrossance, et rat même être consdérée comme termnée. L'ndscplne dans l'armée Le général Pcquart a communqué au Consel le résultat de l'enquête ordonnée rechercher [9] PROMENDES Travers le Pays de Morlax (Hydrographe pttoresque Mettes de Folklore, etc) V. (B. G.) Le vallon de Porz-an-Très qu vent des fontunc.s el lenns de Ty- Névez (18 b.s), Ty-Bras et Roz-ar-Hoat en suvant la drecton N., et ensute la drecton E.. passe sous la Vgne de raccord par la velle ferme de Porz-an-Très zella avec la velle dgue qu retenat autrefos un étang et portat un mouln, $ous les hauteurs bosées de Porz-an-Trés. et passe sous la route ; le rocher, coupé à pc, do Porz-an-Trés, qu domno la rvère, elles haute." fronda.sons qu domnent le Champ de Batîlle et l'entrepôt (20) ; une df'prcsson sèche qu, entre la proprété susnommée et Pen-ar-Murou, remonte vers Ty-Névez ; la manufacture des Tabacs (22) et les hauteurs de Sant-Martn (22 b.s). V (R. D.) Le Talon detroudoustn(2;}) qu, sous les hauteurs des Capucns (24), Pen-an-Rue (25) et St-Ncolas,20), va chercher ses sources dans les prés de la Bossôre (27), du Grand et du Pett-Launay (28), et arrve au qua sous les belles constructons qu le bordent, un peu au S. de la mason Bacquet-lexandrc(28hs) qu fut sous-préfecture l y a uno cnquantane d'années. remarquer encore de CP côté, au mleu des grande.s cl rches masons (p longent lo ba.ssn, la velle mason Ker- Cos f2n). Nous sommes en vlle. Le ba.ssn ( klomètre du vaduc aux écluses) reçot, par canal couvert, l'eau du Jarlot et du Quef- 'fleut qu se jognent sous la place Emlc- Souvcstro, à pou )rès à la place où se voyat encore, l y a quelque vngt ans, le veux château de St-Prx (30). Sur la R. G. de la Hvère de Morlax, on est en Léon ; sur l'autre rve, on e.st en Trécor. NOTES (1) l.annuguy (3 kl. t/2 nu N. de St-Mnrtn) ost un clàtunu moderno rp rempleo un manor dspu u l y n uno cnquutuno d'nnnéofl, ot dont l no rchto fdus qu'un pett corps (lo logs (locolù un S. ; cost uclon un pou étrote sous ses torullos à hnutos pontes. Uno ohnpcllo cxstt nntrofo» (cllo élu l déjà dôtrnto 11 la névolnton) vers lu prto N. 0. de l'otmg ; uno per'c on provenant ost nctucllomonl oncnstréo dnns la mflçonnoro d'une dopondance ; on y vot sculcmont un ocusson uvou la duto lûèî, ot au-dessus nn monogranuno composé d'un servant do ped à nn G, dans lc( uel s'enfonce lo hns d'uno crox, formée el o-mémc d'uo sorte do^ et d'uno crosotto do Mnlto. Colto proprété fut détochéo ontrofos de Pennélé ; ollo npportont ù M. do Ker-Sauzon, et avant, ù uno famlle do Kor-Garou. fonnuguy, jads, appartnt n une famlle do Crémour. l y n "70 ou 80 ans dcmourat n Lnnuguy nn monseur très orgnn, M. 'lersort do la Vllemarqné, o'sole paternel du cllôbro édteur du Haxa/.-Drex. Sa femmo étant morte, l ft ombaunar son corps ot la consorvot dnns nno armoro, l'exhbant volonters aux vsteurs. fo sgne do deul, l avat peuple l'étang de cana'ds nors. On raconte r n'une aïeule des lamlles d'' Kergarou el de at-(jlloa fut n jour, vors le mleu dn XV1«sècle brûlée (par représ.llcs?) dans la eha )ollc mémo. (2) l.a Saletle (N. ( 0 Sl-Martn), grande el jole, chapollo su' les hauteurs ({n domnent St-Kran^-os, fut l.fllo, l y n quarante et quelques années, par M. do Kor-Mangny, annôner de St-Fran^'os, au retour d'un )clorno^^e à Homo el ù la Saletle, et l'anéo mémo ([u suvt l'apparton. (o prôt'o rapporta en mùme temps les restes de St-Kclcon qu fuot transportés, avec de grandes solenntés, ù Sl-l'ol de Léon, et do san t'rmo qu l'u'cnl donnf^s avoe une lolo de son st:(,' à l'églse St-Fronços. On venat de retrouver, dans los oatouonbes, les tond)oaux de ces deux sants ; sur la perre do san l'rn c étaent >:cs mots : Dnle t'rmo. La chapelle de la Saletle, t premère qu al été bte après neuo de l apparton, a éltt donnée aux Uelgcsos cloîlroes de S- Franços ; elle ost lu but <o pélernogo assuz fré(enté. Cllo ost desserv o par un aumôner partculer. t'n gra d nnr d'encento onelùt la Suletto, los jardns huuls el bas <lo la communauté clolréo, r(''glso Sl-Frnnu)K, et nno autre pette chapelle élevée su'- nn lelre an S, la Mason de lel'ate, r6tel-don ot l'écolo tonne par les relgousos. Uu jol Chemn do l'.rox est encnslry dnns lo nnr d'encento rp snl le elomn monlant do Sl-Franyos à la Saloltc. (3) Cumron, (2 klomètres 1/2 au N. de St-Marn), acnellemont Sl-F'an'.os, état un monnstèro de lécollets. Toutes les hauteurs f'l. l!.) de la rvère do Morlax, depus et y eon)rs Porz-an-Très jusqu'à la rvè e de la Madoane, potaenl jads le nom de «forêt de Cnbnren». D'où venlr«t co nom "? De Cumburm (bos do chauffage >...) selon lo uns ; d'après le.s autres l y aurat eu un sant-cuburen, ormte de oolte forêt, à la( Uolc l aurat donné son nom?.. u mleu dn XV" sècle la pa to qu avosno la rvère fut donnée à des Hécollets habtant uno île non lon de là (Oallot? Batz >) par lan l.x cornlo du Léon'... En réalté los mones nstallés à Cnburen venaent de l/c Vorc, 8U1' la c6lo du Léon, vers Plouj^uornean. On dt ( u'un des derners lécollets, frère Dostlée, (Hétant un jour à bord d'un navre en relàeho dans le port de Morlax, reçut nn soufllcl du captane. l>ec est mo, dt-l. Donnez-mo (pelque chose auss mon couvent. L'ù-propos fut goùlé el le bssne rempl. (yesl da S eo monastère de Sl-Franços (le Cnburon (pe fut étable uno dos premères mp'meros de lîrolagne, avec caractères en bo. l reste de l'aucon monastère la bello velle éh:lso gothque dédée à St-Franços. Une bello rosnee, u la parte N. de l'édllce, u été en parte masquée par la conslruclon m'>derno qu sort de Mason do Uolrate. ('elle églse possède un anlel grégoren, c'ost-à-drodsposé de façon à pouvo y dre la messe dos doux c(')lés. «On dt» (n'n ro d'nglotorre fan temps oî le pays do Morlax état à r.xnglas), chassant en Cubnron, fu suv par nu sangler énorme ; le ro olnl déjà désarçonné, et la bôto s'apprôlall ù l'aolover d'un coup do bontor. lorsqu'un soldat dn 'lom do Salomon (Salan), tua lo sangler el sauva ans la vo du monarque. lonr (V?.) l'anoblt, ans (]nc ses descendants, qu s'nppollont depus Snlan do Kertanguy. f.eurs armes sont < d'argent à la llure de Sangler, de Sable.» Mas l paraîtrat que l'épsode du ro d'.\nglolerre el du soldat Salaùn est arrvé an l'are-au-dnc el non pas à Cburen. ('0 Pen-un-lraon (1500 mètres an N. 0. de Ploujean) ; grand hameau de Ploujean, derrère le Manor-or-l5rn, aux masons basses, aux portes entréos. Le Manor-tr-Lesvcr, à la parte orentale do l'aggloméaten, est une belle cour fermée, avec fenêtres à meneaux ; et derrère, un grand jardn enolos. Co manor s'appelle auss nelquefos «lo Prosbylère» ; scrvl-l jads de logement au reelour do Ploujean? ou fut-l la demeure d'un prôlro des.servanl une ctapelle à Penan-Traon? On montre une pette velle bàlsse, sur le c()lè S. de la roule, qu'on crot avor été une chapelle Elle porte la date 1618 sur une perre sallant à l'angls N. 0. du pgnon ; et sur lo porro trangulare qu termne la ponte dudt pgnon est sculpté nn cœur, la ponte en haut ; au mleu du pgnon, la fenêtre (p portat pent-êro la oloche ; et, audessus, les lettres M 1, nvocaton assez rare à celle époque. (.5) 'er-onou (1 klo. 1/2 N. 0. do Ploujean), Veux manor à usago actuel de ferme ; l dut être assez consdérable. Le corps de logs (ju reste (153), présente au S. quel- ([ues meurtrères, une fenêtre de mansarde rès ornée, uno autro fenêtre à meneaux, deux portos cntrées jumelles, une grande outrée coclère cntrée et garne d'un cordon do sculptures, aveç éeussons; toît agu. Sur eos éeussons sont les armes des 'l'oulgodt, segneurs dn leu, allées à celles des Forgel el des Porzpozen. 11 a ensute été aux Kergarou, Orot-du-Hunou et le Bhan do Pennôlo. Uno tour cnrrèo, de deux étages, est accolée au N. et semble avor serv à reler cotte parte du manor à une autre plus nportanle dont on vot encor, dans la cour, ( uelques pans de murs avec trace d'ouvertures el une jole porte cntrée. Une haute «t forte nuallo donl l reste encore quelques jarles entouraent les grands jardns. Uu jol lenn maçonné est auprès de la fontane, de l'autre c(}té du chemn, t.e tout appartent -.M. Cazn. On dt que, autrefos ^11 y a une ceutane d'années) le segneur du leu avat la mane de prendre, chez deux de ses fermers, son beurre et son lat, dont l fasat uno grande consommaton. l no voulat pas payer en argent. S ben que, au bout d'un temps plus ou mons long, l fut oblgé de donner le veux château à l'un, el ù l'autre (au père Bescont, de Pen-an-Traon) des champs qu se trouvaent au Nord. (6) Ker-an-Hou.x (t klomètre au S. O. do Ploujean), est stué sur la croupe bosée comprse entre notre rvère et le vallon S. qu tvverse la proprété. C'est une jole habtaton composée d'un haut pavllon prncpal accosté au N. et^u S. d'un pavllon de mondre mportance. Jardns eu terrasses; el, tout autour, parcs aux arbres séculares, coupés do pelouses et d'allées nombreuses..\vant le chueau actuel, l y avat ù Kéranroux un manor élevé vers le commencement dn XV» sècle. M. de Champagny, oncle du proprétare actuel f.m. L. do Beaufort) l'a fat réparer el profondément modfer en Tros belles toles ancennss, de 2 m.v 3, et que, de dstance, oa prendrat des tapsseres fnes, rsprésentent une chasse avec de nombreux personnages Lous XV. (.4 suvre).

6 LECHO DU FL\SrERE s'l état exact que des réservstes de la garnson d'gde aent prs part, dmance derner, à la manfestaton vtco'e qu a eu leu à Nmes. 11 rôsultedes nformaonsrecuelles par le mnstre qu'l a été ou effet accordé, dmanche derner, des permssons à 54 réservstes de la garnson d'gde, mas aucuu de ces permssonnares na reçu rautorsaton de so rendre ô Nmes. l est établ qu'un certan nombre d'entre eux ont néanmons été à Nîmes; ls seront l'objet de mesures dscplnares. La crse vtcole M. Callaux a ms ses collègues au courant de la conversaton qu'l a eue avec les membres do la Commsson du budget au sujet dos détaxes. Le présdent du consel a aunou cé qu'l devat conférer avec les représentants des départements vtcoles. M. Callaux assstera à cette entrevue. Le gouvernement acceptera, s lu proposton en est fate, que la d^ cussondes conclusons de la Commsson parlement?-re d'equète sur les vtculteurs et de la Com msson des bossons sot précédée de la dscusson do l'nterpellaton sur la crse vtcole. Cette nterpellaton ra être nscrte à l'ordre du jour de la Chambre jeud prochan. Les papers Montagnn Enfn, M. C. Guyot-Dessagne a entretenu le Consel de la demmde d'nterpellaton déposée par MM. Denys Cochn et decastelnau, sur les pcdents de la procédu e k suvre à l'occason de la sase des pa pers Montagnn. Le mnstre de la justce accepte la que cette nterpellaton sot dscutée en même temps que lo rapport de la Commsson parlementare d'enquête. Les mnstres se sont réns jeud en consel de cabnet au mnstère de l'ntéreur sous la présdence de M. Clémenceau. Une grave agresson a été opérée dmanche aux Epnett s, près de Pars, contre les membres d'un patronage drgé par l'abbé Frmere. Comme chaque année les jeunes gens de ce patronage au nombre de deux cents envron, étaent allés fare la processon de la fête-deu dans le parc de l'ancen château de Duguy, affecté mante nant à laquelle prenaent part envron sx cents personnes, une bande de jeunes gens, coffés de larges chapeaux de pallo ornés de rubans rouges, grmpèrent sur les murs de la proprété et lancèrent des perres sur les assstants. Chassés, ls s'en allèrent en proférant des menaces qu ne devaent pas être vanes. Le Sîr, en effet, les jeunes gens du patronage, en votures et en bcyclettes regagnaent tranqullement Pars, quand, dans un endrot désert de la route du Bourget, les chapeaux roug'.s» surgrent en avant du cortège en crant : «bas la calotte.» Presque au même -moment, une autre banae d'apaches arrva par derrère^ et les jeunes gens du p'tronago se trouvèrent ans cernés. Des bousculadess'engapèrent ausstôt, des coups furent échangés. L'abbé Frmere, descendant de voture ne pouvant fare entendre m- 4 son aux agresseurs, envoya en hâte deux de ses jeunes gens cyclstes chercher du secours su Bour {et et à Duguy, pendant que les grands couuaent la lutte contre les apaches. Refoulés, ceux-c sortrent leurs revolvers et trèrent une trentane de coups de feu dans le tas, L'n des jeunes gens du patronage, M. Debrose, u) ans, tomba tué rade, attent d'une balle au lane drot; l'abbé Frmere reçut une balle t\ la jambe drote et un jeune cyclste à la man gauche. Sur ces entrefates, quelques gendarmes accoururent et les chapeaux rouges prrent la fute à travers champs. Une nstructon a été ouverte sur cette sauvage.agresson. Tros jeunes ouvrers d«d bande des chapeaux rouges ont été arrêtés ; ls reconnassent.s'être trouvés dans la bagarre mas nent, ben entendu, être les auteurs des coups de feu trés. Les obsèques du je me Debrose ont eu leu jeud. Los étudants catholques de Pars ans que le comté de la Fédératon des Jaunes de France ont adressé des appels que les étudants catholques et les ' ouvrers de la Fé'ératon des Jaunes assstent en plus grand nombre possble h ces obsèques, à ttre de protestaton contre l'attentat et do sympathe «la premère vctme de l'ensegnement cal.» Poltque de gaspllage Ce qu on fat de notre antclér- argent lya tros mos que fut voté le budget de Ht de fn févrer à fn ma le gouvernement aura réclamé, au total, 72 mllons de crédts supplémentares. Car voc que la Chambre est sase d'un nouveau caher de crédts supplémentares de 40 mllons 34, 72S francs où les plus joyeuses dépenses sont ndquées. Par exem pe : trancs nstallaton du cabnet du mnstère des affares étrangères. C'est un ren! ce prx, ces m s'^eurs seront évdem ment nstallés dans l'or et la soe. Et encore : francs nstaller le cbautîago à la vapeur dans les mnstères do l'ntéreur et des affares étrangères. 72S 000 francs aménager l'ancen archevêché de Pars en mnstère du traval. Nos mnstres nous coûtent déjà fort cher : voc que les bureaux s'en mêlent... Et cec encore, francs la récopton du ro et de la rene de Norvège, du ro et de la rene de Danemark ; t fras d'aménagement du mnstère des affares étrangères, llumnaton et décoraton des monuments publcs dépenses de la présdence de la Ré )ublque et des dvers mns tères s. Nous croyons, jusqu'c, que le présdent de la Républque recevat.'too.ooo francs complémentares fr.s de représentaton. 'ors qu'en fat-l, de ces francs? Le Loupllon va s'agrandr rapdement à ce régme-là. Enfn, M. Callaux demande francs «fras de pladore dans les afl'nres de lqudaton de bens de congrégatons»..a spolaton des congrégatons devat au dre de.m, Waldeck, rapporter au trésor un mllurd; et on est oblgé de payer les avocats des lqudateurs! CHMBRE DES DÉPUTËS La Chambre a termné lund la dscusson du projet de lo sur la lberté et la sncérté du vote qu va retourner au Sénat. Her, elle a renvoyé à plus tard des nterpellatons sur les papers Montagnn, voté des modfcatons à la lo sur les consels généraux relatvement à leurs budgets, et adopté le premer artcle du projet supprmant les économats patronaux. Elle termnera jeud ce projet, et abordera ensute l'nterpellaton sur la crse vtcole, dont les débats seront sans doute longs et mouvementés. Séance de lund. La Chambre, qu en état restée précédemment à l'artcle 7 de la lo sur la lberte et la sncérté du vote, a voté sans débat cet artcle 7 légèrement modfé et ans conçu : rt. 7. Tout électeur attent d'nfrmtés certanes et le mettant dans l'mpossblté d'ntrodure son bulletn dans l'enveloppe et de glsser celle c dans la boîte du scrutn est autorsé à se fare assster par un électeur de son chox. Sur l'nsstance de M. Dauthy, une dscusson assez longue a eu leu au sujet de l'autorsaton du vote par corr,espondance les électeurs non présents dans la commune le jour du scrutn, mas l'amendement déposé à cet effet a été dsjont par la Chambre. Les artcles 8, 9, 10, 11 ont trat aux opér.:ttons du dépoullement. ls ont été adoptés après de longs débat. L'artcle 12 pun^t de 100 à 500 fr. d'amende et Je un mos à un an do prson quconque aura volé ou tenté de voler le secret du vote, porté attente ou tenté de porter attente à sa sncérté, empêché ou tenté d'empêcher les opératons du scrutn ou qu en aura changé ou tenté de changer le résultat. Les pen.>s seront portées au double s le coupable est fonctonnare ou agent du gouvernement. L'ensemble de la lo a été voté à mans levées, après une déclaraton de M. vlllevoye, approuvée par la commsson, que la lo actuelle n'est qu'un achemnement vers une autre lot plus complète et plus mportante et qu nsttuera notamment le vote oblgatore. La proposton va mantenant retourner au Séna'. qu aura de nouveau a se prononcer sur les modfcatons apportées par la Chambre et notamment sur la queston de la cabne d'solement, rétable par la Chambre après avor été repoussée par le Sénat. Séance de mard. La séance s'est ouverte her par le dépôt des nterpellatons de M.\l. de Castelnau et Denys-Coclnn sur les llégaltés et les ncdents qu ont marqué la sase et le dépoullement dus papers Montagnn. M. Guyot-Dessagne, mnstre de la Justce, a ausstôt demandé le renvo de ces nterpellatons jusqu'au moment où la commsson parlementare qu examne les papers Montagnn ra déposer son rapport: MM. de Castelnau et Denys-Cochn ont réclamé au contrare la dscusscn mmédate.» On no peut pas savor, dt-l, quand vendra en dscus'^on le rapport de la commsson. On a ms beaucoup de temps à fare des traductons fausses. On mettra peu -être plus de temps encore à fare des traductons vraes. Nous ne pouvons pas attendre jusque là.» M. Denys-Cochn lt des artcles de M. Clémenceau, alors qu'l éta't journalste, et s'élevant contre la rason d'etat. «l est regrettable, ajoute-t-l, qu'après avor flétr autrefos les nqutés du bon plasr et de l'arbtrare, M. Clémenceau emploe des procédés qu sont des procédés de tyranne. On ne fat plus appel aux Trbunaux aujourd'hu ; on donne des ordres aux préfets qu'ls'agssent admustratvement. C'est un régme ntolérable.» M. Wlm, socalste unfé, déclare qu'l votera le renvo des nterpellatons, mas seulement afn que la queston venne entère devant la Chambre qu'l se propose alors de dre tout ce ( u'l pense sur des procédés qu sont encore plus arbtrares que ceux de l'empre. Sur ces observatons, le renvo a été ms aux vox et adopté par 417 vox contre 126. La Chambre sur le rapport de sa commsson, a ensute refusé d'autorser des sutes contre les députés Bétry, Basly et Leroy- Beàuleu, pus elle a voté rapdement le projet de lo, déjà adopté par le Sénat au budget des consels généraux. Le débat esl plus long et )lus vf sur les projets Cou'ant et Flayelle, relatfs à la suppresson des économats patronaux. M. Zévaès, rapporteur, a donné, au nom de la commsson, un avs favorable à cette suppresson. l a fat valor qu'au début les économats patronaux furent créés fournr aux ouvrers, à melleur prx que dans le commerce, des alments de melleure qualté, mas que, depus, beaucoup de patrons ont abu^é de cette nsttuton et en ont fat un moyen de prélever de nouveaux bénéfces, en oblgeant pratquement les ouvrers à être clents forcés do leurs économats. MM. Jules Coûtant et Flayelle n'ont soutenu que brèvement leurs projets. L'un et l'aute ont fat valor cette thèse qu'on ne peut pas dstnguer les bons économats des mauvas, qu'l faut donc les supprmer tous. M. Contant a demandé en outre qu'on no lasse pas aux Compagne des chemns de fer un déla de 5 ans supprmer leurs économats, mas qu'on les oblge à la suppresson mmédate, selon le vœu de la classe ouvrère. M. de Vllebos-Mareul a prs, j sous ce rapport, la défense des Compagnes des chemns de fer, soutenant qu'elles ne font pas do bénéfces dans leurs économats, et que, s'l y en a de mauvas, l y en aaussq e les ouvrers eux-mêmes jugent ces n'^ttutons très bonnes et très uùb's, notamment l'économat de la Compagne d'orléans auquel l'académe des scencesmoralesa décerné une médalle d'or. M. de 'Vllebos-Mareul dépose par sute un amendement tendant non à la suppresson des économats, mas à leur nterdre la réalsaton de bénéfces quelconques. M. 'Vvan, mnstre du Traval, a réplqué que les nspecteurs du traval ne raent, sans de longues et mnuteuses recherches, surveller les opératons des économats et a conclu au rejet de l'amendement Vllebos-Mareul qu a été repoussé à mans levées. L'artcle " du projet a été ensute adopté et la sute de la dscusson renvoyée à jeud. Un débat court, mas très vf et confus, a clos a séance la fxaton de l'ordre du jour des prochanes séances. Fnalement, l a été décdé que la dscusson de l'nterpellaton sur la crse vtcole suvra mmédatement le vote du projet sur les économats et se suvra jeud, vendred, samed et jours suvants s'l y a leu. Le projet de lo sur les consels de guerre ne sera dscuté qu'après. CHRONQUE GRCOLE Notre élevage menacé Des battors mércans Prs de nos Orandes "Vlles l ne s'agt pas là de projets en l'ar, mas de projets ayant déjà reçu un commencement d'exécuton les terrans dans la banleue de Pars, du Hâvre et de Bordeaux sont achetés, on les met en état et les plans de constructon sont soums aux muncpaltés suburbanes : Bonneul dans la Sene, Gravele près du Havre et Vllenave d'ornon près Bordeaux,'sur Je terrtore desquelles vont s'élever abattors et usnes de conserves. Ces muncpaltés qu ne voent que l'ntérêt drecte! local de leurs communes dans ces créatons qu provoqueront autour d'elles un grand mouvement ndustrel et commercal, ont agréé ces plans ou leur réservent un avs favorable. Bonneul, lo projet couvrant une superfce de plus de 30 hectares est même déjà soums à l'enquête Commodo et ncommoda. Gravele, près le Havre, l s'agt non seulement de la constructon d'un abattor et d'une fabrque de conserves annexée, mas la socété amércane a auss loué 23 hectares de prés d'embouche qu formeraent comme le sanatorum où le bétal amené d'mérque se referat du voyage avant le sacrfce. Vllenave d'ornon, près Bordeaux, l'on est en tran d'arracher les vgnes sur l'mportant emplacunent où les constructons vont s'élever. l y a quelques années, une tentatve de cette nature avat été fate à Deppe où une socété amércane peut être ben la même, s'état proposé de créer, aux portes de la vlle un abattor destné à des anmaux expédés d'mérque et dont les vandes abattues seraent ensute présentées sur le marché anglas. Mas la muncpalté deppose. très éclarée sur la portée des choses, réssta s ben à la réalsaton du projet qu'l dut être abandonné. Les amércans, qu cherchent à refare, sous le couvert franças, une vrgnté aux conserves de Chcago, aujourd'hu dscrédtées dans le monde enter à la sute des malpropreté-" que l'on sat, ont été cette fos plus hables et ont exercé la tentaton de l'aubane sur des communes rurales. Cependant l'etat se prêtera-t-l à cette entreprse qu consttue une menace drecte et très grave fate à l'élevage franças sur son propre terran? Le Comté drecteur de l'ssocaton syndcale des éleveurs franças a adressé à M. le mnstre de l'grculture les tros vœux suvants : 1 Que le Parlement augmente, le cas échéant, les drots d'entrée du bétal. 2* Que, sous aucun prétexte» l'admsson temporare ne sot admse en matère de bétal 3 Que les mesures santares les îlus rgoureuses soent prses à 'entrée en France à l'égard de tout bétal étranger. Plus que jamas, après la désastreuse campagne d'hver qu'l vent de subr par sute de la dsette fourragère, l'élevage franças a beson d'être protégé, et d'alleurs le sansgêne avec lequel, sous les prétextes les plus futles, les mons justfés au pont de vue santare, tos les peuples étrangers out su à l'occason fermer et ferment encore leurs frontères à notre bétal, nous a ms depus lon^emps À l'ase pôur que nous en usons à notre tour, sans scrupule de courtose et n)ême sans ménagement. En fat, au surplus, en rester à la queston santare, l est ben certan que la lbre pratque donnée à travers nos campagnes et nos marchés, à des troupeàux exotques que les épdémes décment sans cesse, provoquerat au détrment de nos propres toupeaux an nouveau et permanent danger de contagon. C'estBen, hélas! déjà assez de tous les maux etde la fèvre aphteuse dont ls sont couramment attents et avec une ntensté occasonelle qu rat ben avor sa cause dans le dépérssement général survenu à la sute de la dsette fourragère. Que les muncpaltés de Bonneul de Gravele et devllenave-d'ormon aent ntérêt local à rechercher la créaton sur leur terrtore des établssements amércans,, on le conçot et on ne saurat guère ncrmner chez elles cette tendance. Mas l y a un ntérêt général, un ntéêt natonal à empêcher une nvason de bétal étranger. Les entrepreneurs amércans, bons apôtres, font ben valor qu'ls n'entendent acheter que du bétal franças et qu'ans ls créent nos éleveurs franças un mportant débouché dont ls n'ont qu'à se félcter. Mas l'ssocaton syndcale des éleveurs franças fat remarquer qu'l apparaît comme certan que leurs nstallatons sont surtout édfées l'abattage d'anmaux épusés par une longue traversée. Dans ces condtons l est asé de prévor ce qu va se passer : endormr les nquétudes on se bornera d'abord à acheter et à abattre du bétal du pays, mas peu à peu, sous un prétexte ou sous un autre, o«ntrodura le bétal amércjan en demandant l'admsson tempbrare, c'est-àdre l'exempton des drots de douane les anmaux vvants.cor^_ rc^pondantà la sorte d'une quantté détermnée de vande abattue ou conservée. D'autre part, la créaton des abattors et des usnes de Bonneul ne tarderat pas à élever, tant les abattors que le marché de la Vllette, une concurrence redoutable dont la répercusson se ferat sentr sur tout le commerce du bétal, surtout s l'on consdère l'éventualté plus que probable de l'almentaton de ces abattors et usnes par du bétal étranger. Dans tous les cas le go avernement est assez ben armé ne pas permettre cette almentaton autrenf nt que par du bétal franças, et, dans ces condtons, s on y tenat strctement la man, la queston rat changer de face et ne plus tout au mons présenter un danger. Mas méfance est mère de sûreté. L VCHE MLDE Jos PH PRKER Dans le crépuscule d'une belle Journéa d'août, la nut, entourée de vapeurs volettes, s'épandat sur la terro rafraîche, épanchant le boaune de sa rosée sur los brûlures du solod. Cne vajeur ondoyante bleussat les laudes et mussal les chat u gneraes; les grllons se lat-aenl dans les blés mmobles, et, parlarg.-s bouféof, les plantes et les fleurs humdes répanduent leurs parfums. u lon un chen hurlat à la lune nassante dans le cel rose. Bentôt, dms le calme el le slence envahssants, les derners gazoulls s'nndormrent sous les branches; une à une les rumeurs du sor s'ctegnrent. D'abord le corn-ourfdes'fermes rappelant los laboureurs el se mêlant «ux vox errantes des troupeaux groupés en masses nores près des barrères ; pus la clocho du hameau tntant dans le vallon les notes douces et mélancoluos de l'ngelus. Soudan, un rougssement qu se dstnguat de ces bruts pur une noto plantve, s'éleva dans l'cmbre, sourd, lent et dou lonreux, élargssant sos ondes lamentables pardessus l'heureusésérénté des champs. Parfos l redoublat, et cela déchrat la nut commo lo gémssement d'une douleur presqu'humnne. L'orbe do la lune, qu mantenant vbrat mmense dans la voûte étodée, projela sur lo cel clar la slhouette d'une vache quo précédat une velle traînant une brouette. Souvent, lentement, la bêle tendat son lourd fanon et léchat quoque chose (p remuat là -'ledans, sur un peu de palle. Elle venat de vêler, et c'état son pett veau, un jol pelt jureau blanc comme le lat, avec un cro.ssant nor sur le front, to, deux mlh ans auparavant, l eût été élevé par les Ovales, el mmolé sur l'autel de perre communquer aux guerrors sa force avec son sang. La mère suvat son pelt avec npétude ; brusquement elle s'arrêtat cle drote sur lo senter, et longnemenl, le cou tendu, avec un accon déchrant, mugssat. La velle Jeff alors se retournat : ( Ma puvro béte est mal! elle est mal! 1 dsulello, et trstement ollo branlat la loto Elle lu ha les coruos et l'excta do la vox Lasso et voùléo sous l'effort, oho parvnt ans jusp'à uu chêne creux el desséché, mas étendant encore au lon, sur la lande dos rameaux plens de sèveot couverts de foulles. Là une man gnorante mas peuse avat posé, dans le creux, uno verge grossèrement sculptée au coulau dans uu bos brut. C'état sans doute l'œuvre d'uno fo muve, on le passe-temps d'un pâtre ou anl, gardant son troupeau, el rêvant, sous 0 grand solel, devant los fleurs d'or, à l'auréole lumneuse p ben lon là-ba.-4, au-delà de la voùlo bleue, cent lo front des anges et do la Verge. l 60 dégageat de cette lorme gro.ssêre 10 ne sas ([uo de doux el pénétrant, quelque chose de Kuavcrnenl myslquo, qu uùt charmé l'artnte do l'dée s ngénument rendue par lu lgne. C'est que l'al a souvent co caprce d'nsprer los smphîs ; 11 dt parfos, comme uu aulro Deu ; «Venez à mo les humbles d'esprt. > Nous recourons aux rondes des onfanls mur entendre encore les mystéreux rylh- mes dos Trades, el les mondanls sont aujonrh la dernère ncarnaton de nos bardes... rrvée nu ped de ce chêne, défallante elle-même de crante,.lef'f se prosterna dans los fougères, devant l'mage sante éclarée d'un rayon do lune c mmo d'une lumère dvne : «Hélas! volà ma compagne, lo souten de mes vello mans, frappée d'un mauvas sort! Ma bonne Mudam Mare, vous que je pre le matn el le sor de rechef', no brsez pas mon bâton de vellesse! Sauvez ma Blanche, el jo vous prera sur los deux genoux, el jo vous fera un beau cergo avec la noheure cre do mes abelles, lïl jo vous portera uu beau quarter de bjuro qu sera vendu vous, lo dmanche, sur les marches du cnelôre.» Cette prère dte avec ferveur, lu velle s'achemna dans lo senter de saclauméro. Elle état à l'angle d'un champ do blé nor, voléo sous lo.s coudrers, el, à cette heure odorante, un parfum de mel l'entourat et volat dans l'ar fras, avec lo jourdonnemenl doux des abelles regagnant leurs ruches. Certes, aucun sor, la Lllancho n'eût plus moelleuse ltère : Joncs séctés sur la dune, varechs uqu-égnés d'odeur salne, ruyêres et fougères (lorprées, elle et son polt, couché en rond comme un llocon do nege. Mas pouvat-elle, sundtresso désoléo, dormr comme à l'ordcare son sommel traupllo, lorsqu'elle savat sous son tot, séparée d'elle par uno smple barrère en genêt, sa pauvre vacho malade? En voyant, la chère bêle! conmont ollo roulat un œl terne el ndff'rent sur toutes ces douccnrs naccoutumées? ' Vto, l faut aller trouver le meuner Yau Coz, l'hable rebouteur, honneur du canton, celu qu, meux que lo locteur, connaî les malades des gens el dos pauvres bêles, Lu, la ppo aux dents, sur h seul de sa porte, prés d'une écuolle fumante de soupe au lard, tournat une chanson au tc tac de sou mouln : u beau pardon Do Dmnalec 11 y a des voleurs dt-on, Et les lllcs s'en vol aveu. ''.t mon mouln tourne, Dgu-dga-.^! Kl mon mouln va, Dga-dya-d! Meuner Jascur cl fanfaron, lass/. là co Kôno moqueur, de qu'on ne vous dso auss le proverbe : Lo mounor, volour do furnc,.lusqu'au pouce sera da'é, Kt son pouce le plus dnmné, V le :remcr duns lu fnrne. Venez vle 1 Vous savez (Sunte Verge! n'est-ce pas scence dvne :-') los secrètes vertus des planfos médcales... C'est la vache; allez! j'a là, sous les pommers de mon courll, cerlanes herbes qu, cuelles à mnut, sous la lune, en passant le bras dro:l sur le brus gauche... Pourtant prez sante Enora qu'elle me venne en ade, car : «Désr do Don et désr de l'homme sont dnx. 1 Ue retour à sa chauo c, -leff prt la qu.'noul'é'j (p'ello flat jonr fn métare vosne, el s'asst sur un escabeau près de la malade, sous la lueur tornblanto d'une mngre étoupo endute de résne. Colle-là sans force, les jambes ployoes, couchée de tout son long dans l'épasse ltère, soulovat à pene la tête avec de grands yeux doux et souffrants. Par nslanls son bou- Vllon se dressat lout blanc sur la ga.de ombre, el vacllant sur ses jambes fluette--, se penchat, avde, sur les mamelles de sa mère; mas bentôt l frappat du l'ront, avec colère, les ps gooflés de la lqueur vcée par le mal. 'ors, comme s la douleur de la mère s'uccros.--al du bson de sou pelt, elle penchat la tête vers lu, avec do sourds gémssemenls, el promenat l'paser la lente caresse de.s» lang^e pae sur son pol lusant. <1 Hélas! dsat la velle, en tournant flàvrousement te chauvre dans ses dogts magres, f faudra vous vendre, ô mos clèes abelles ma Blanche! quand le dur hver va venr, p me donnera du cdre réchauffer mon cotps et du pan de segle me nourrr!...» Sous lo pods de ces navrantes pensées, bentôt sa lèlo s'nclna, ses mans s'allougèront sur ses genoux, et lentement, avec la progresson du sommel, son fuseau vnt s'appuyer aux cornes de la vache. La résne mourante éclarat ce tableau avec de lables créptatons, pondant qu'au dehors l'orfrae, attrée par cette lueur, souprat sa plante fuuôbro... Quo! veller ans à votre âge jus- ([u'u matn Vrament j'arrve à temps empêcher un grand malheur. Hum! elle dot ben pâlr la pauvre bête! mas j'a là los fltres les plus sûrs... Ben vle chauffez de l'eau, et que Deu m'assste! Quand le> herbes salutares boullrent dans lo bassn de cuvre, lo rebouteur y jeta, avec force paroles ot gestes mystéreux, un morceau de la perre rare (pré ceux panacée!) qu, su cent porcs, no se trouve qu'en un seul. La vache dut bore do force celte eau mervelleuse, tands que son polt flarat avec célancâ ce sorcer qu apportat dans la crèche dos odeurs étranges les bêtes... Et c'est mervelle! par sant Herbot! volà son œl qu s'anme el son flanc qu resp re plus à Vase... On drat que momême je me sens rajeunr, comment vous payer, mon dgne homme? h! ça, la velle, savez-vous pa? qu'on dt chez nous : t C'est pene nutle et temps perdu qu'apprendre le ben sans le fare.» Et le meuner s'en alla en sflant sa chanson : Du beurre el des crêpes c'est bon ;.l'ame auss les sacs de farne, Le froment de lout le canton K,t los lllcs à tollo fne pelque temps de là, Jeff, à pene appuyée sur un bâton, suvat le eener d'ajoncs fleurs qu passat pès du chêne le la Verge el descendat vers le hameau. Un cerge de cre, produt de ses abelles, s'allongeat sur s«n b as, et, à sa man, un paner couvert d'une fne tole contenat du beurre de la Blanche, plus fras t,t plus doré que n'état la fleur du genêt sous le solel de ma. FN

7 ^ L'ÉCHO DU F1J\1STEE NOTES D'UN MORLSEN Est-l trop tard parler encore d'lfred de Musset? Non, sans doute, pusqu'un nom comme le sen est toujours )ré8ent dans le souvenr de qu ame les [ ettres françases. Donc, s vous amez Musset et que vous soyez cureux de la façon dont l composat, sacez comment l créa le Rha llemand. C'état à une sorée chez Mme de Grardn, où elle réunssat toutes les llustratons de l'époque, Vctor Hugo et Musset s'j^ trouvaent ce sor-là. On vnt à parler de la fameuse chanson de Becker, mse en musque en 1835 par rnold, qu état un vértable déf à notre adresse : ls ne l'auroat pas Le lbre Rhn allemand, olc. c Ou, sans doute, ce sont de beaux vers, dsat Mme de Grardn, mas j'aura voulu qu'on réplquât à ces nsolences. Nous l'avons eu votre Rhn allemand; volà ce qu'l aurat fallu dre à ces messeurs es tranche-monlagne.» Pendant qu'on applaudssat cette boutade patrotque, lfred de Musset, s'en nsprant, sast son calepn et mprovsa les strophes fameuses : Nous l'avons eu votre Rhn allemand. l a tenu dans notre verre, etc. Les bravos retentrent de nouveau et le poète fut acclamé : Quand on se retra de chez Mme de Grardn, Vctor Hugo prt le bras de Musset et, avec cette mémore prodgeuse qu'l possédat, l récta les vers qu'l venat d'entendre, l voulut ensute donner des consels* au poète sur des nversons trop hardes et des rmes trop fables. Musset écoutat ces crtques autortares avec une mpatence mal contenue. Tout à coup, l arrête Vctor Hugo : «ssez, lu dt-l, vous ne pouvez sentr et comprendre ce que je sens et comprends. Sachez seulement une chose, c'est que, dans cent ans, on dra encore mes vers, alors que les vôtres seront peut-être oublés». la sute de cet ncdent, les deux poètes furent broullés p ndant près de dx ans. YN L LENNER. CHRONQUE LOCLES MORLX Consel muncpal. - Séance du readred 7 jun 1907, 8 heures du sor. Repos hebdomadare. Demandes de dérogaton présentées par MM. Mngam, horloger etbonnaud, hôteler. Fore du 4 jullet, dte «Velle Fore», RétabUsbement du marché aux chevaux à Sant-Martn. Collège de garçons. Projet d'avenant au traté consttutf. Collège de jeunes fllles. «d». Révson du tratement dn receveur muncpal. Demande de secours formée par Mme Saget, veuve d'un recevnur d'octro. Demande da secours formée par Mme Vve Yellee» ancenne balayeuse. Créaton d'un 3* emplo d'adjonte à l'école des flles de Sant-Martn. Vote sur l'exercce 1907 d'un crédt supplémentare de 136 francs solde d's fras de séjour du nommé Le Gad Franços à l'hospce cvl de BresL Vote sur l'exercce 1907 d'un crédt supplémentare de 66 fr. 66, monlant du ters revenant au bureau de benfasance dans le prx de la concesson perpétuelle accordée gratutement par la commune )0ur l'nhumaton des restes du 2* maître -lervé. dans le cmetère Sant-Charles. Réfecton du pavage de la rue d'gullon. pprobaton du décompte défntf des travaux. Vote sur l'exercce 1907 d'un crédt supplémentare de 359 fr. 34 solde due à l'adjudcatare. Edfces du culte. ssurance contre l'ncende. Groupe scolare Gambetta. - Vote sur l'exercce 4907 d'un crédt supplémentare de francs emplo du produt de l'emprunt. Octro. Modfcatons apportées dans le tratement des "agents. Collèges. Bourses communales. rrêté de la lste des canddats adms à prendre part au concours en Répartton des logements d'nsttuteurs et d'nsttutrces. Communcatons et péttons dverses. Collège de garçons. Comples et budgets. Collège de jeunes flles. Comples el budgets. Hospce. Comptes el budgets. Bureau de benfasance. Comptes ot budgets. Commune. Comptes et budgets. ncende. ujourd'hu dans la nut du jeud au vendred, un ncende a éclaté vers 2 heures et dem à Traon-ar-Veln dans l'ateler des machnes appartenant â M. Castel marchand de bos. La f:mme a fat des progrès rapdes et malgré les secours empressés des vosns el dos pompers accourus sur le leu du snstre, le bâlment a été totalement détrut. Les perles sont évaluées à envron fr. l n'y avpl pas d'assurance. Kermesse muncpale. Celte fête champêtre, organsée par la musque mun cpale, a eu, quoque ) temps, dans la matnée, fut ncertan, un succès nespéré. Plus de personnes se sor.t rendues au parc de Kernéguès. L'anmaton a été très grande et les danses très suves. Le bazar, drgé par MM. Deulesant, Kerautre, Baud et P. Hamrury' a fat d'exellentes allares. Nos gymnastes, commandés par MM. Le Gall. monteur-chef, et Buanec, monteur sous-chef, se sont fat app audr dans les exercces) de canne, boxe, mouvement d'ensemble et pyramdes, qu'ls ont exé cuté à la perfecton. La musque muncpale a ben^pérté de la,populaton morlasenne, surtout de la jeunesse, à qu elle a fat passer une journée qu sera marquée comme une des plus belles:. Rendons hommage à M. Chauvn, chef, qu a drgé avec son talent habtuel le superbe concert donné à la kermesse, ans ( u'à M. Sant-C s, sous-chef qu a fat exécuter à son vallant orchestre des danses très entraînantes. Cette agréable fête s'est termnée par une tombola et un brllant déflé, à la tête duquel se trouvaent les soldats qu avaent prs part au servce d'ordre et la musque muncpale, drgée par M. Chauvn. la sute venat, bras dessus bras-dessous, toute la jeunesse, dansant et chantant. La dslocaton a eu leu à 6 h. 30, place Thers. Le crme de la place des Varmes. C... et G... sont arrvés lund. ls ont été dès leur arrvée, conduts au parquet et nterrogés par le juge d'nstructon. L'un des nculpés, S.., a une peur terrble de C., Oelu-c aurat dt à propos du vol de la venelle des rchers, à l'nstructon duquel S., avat déclaré qu'l y avat partcpe, qu'l lu ferat son affare s'l recommençat. On aura donc du mal à trer quelque chose de S..., au sujet de G... Vélo-Sport morlasen. Le comlé du V.-S M. ogan se, le dmanche 16 jun, une réunon cyclste au vélodrome du parc de Kernéguès, à Morlax. Le programme de cette fête n'otant pas délatvement arrêté ra subr quel- ( ues modfcatons. Le voc, néanmons daus ses grandes lgnes : 1 h. 80 de l'après-md, déflé des nstruments et des coureurs. ft' course : course à ped, un klomètre, réservée aux amateurs molasens. 2* coursa, de bcyclettes : puplles audessous de 15 ans, un klomètre, (tros tours), réservée aux nïorlasens. 3* cour.se, de bcyclettes, ouverte à tous les cyclstes nïorlasens, y comprs les membres du V.-S. M. : px, 15 fr., 10 fr., 5 fr. et 3 fr. ; mètres. 4 course, de veux takas : bcycles, trcycles et velles bcyclettes ; mètres. o* course, départementale, bcyclettes. Séres et fnale ; mètres, l'rx : 40 fr., 25 fr., 15 fr, 10 fr. et 5 fr. Match de football : équpe du V.-S. contre l'équpe du S.-M. 0* course, tandems, réservée aux équpes morlasennes ; dstance, mètres. 7" course, de motocyclottes, par nvtato j ; dstance, 9 klomètres ; 30 tours. Le comté serat très reconnassant aux commerçants et aux personnes qu voudraent ben lu fare don de quelques objets êlro dstrbués en prx aux coureurs. Vol. Un nommé Tallanter, 57 ans, sans domcle fxe, a été surprs, dérobant uno pare de sabots dans une voture de commssonnare statonnée rue des Lavors. l a été ms en étal d'arrestaton. Marage. Lund, a élé célébré le marage de Mlle nne-mare Gravot, couturère, une des bénéfcares du legs Laurens de la Barre, avec.m Franços-Mare Garon, maçon, ex-cavaler au 2'curassers. M. Garon fasat parte de l'escorte du ro d'espagne, lors de ratlentat anarchste de la rue de Rohan, le l'' jun 1905 et avat eu son cheval tué sous lu. lphonse Xlll lu a décerné la méda le d'argent du Mérte mltare espagnol. Nos torplleurs. Les torplleurs b et 282, de la premère follle do l'océan sont rentrés au port mercred matn. ls soufreparls jeud Lézardreux. Tr. Nous rappelons que le concours annuel de la socété do tr de Morlax aura leu le dmanche 23 jun. Dranche 9, séance habtuelle, de 8 h. à 11 heures, s le tem,-'s le permet. u Sllon Morlasen. Vendred 7 jun, à 8 heures, causere publque au local du Sllon Morlasen, 24 rue de Guernsïc sur le " Sllon et les parts " Le 14 Jun, c^usere publque sur le Sllon et la Coopérât-ou. Médallés mltares. - La O'sGclon s'est réune dmanche à la mare, en assemblée générale, s-ous la présdence de M. Coqun ; Slbre, vce-présdent ; Le Tous, secélue, el Sallour, trésorer. près avor procédé à la percepton des cotsatons du 2» trmestre 1907, lo présdent donne lecture do la crculure du 11 ma 1U07 de la comms.son de fuson. l'unanmté, on vote lucontnnaton du f aemcnt de 12 fr. par an avec le journal. e présdent remerce les camarades d'avor ben voulu l'accompagner auxobsè qu s du camorale lexs Saoût, décédé le 27 avrl derner. l adresse ses condoléances à sa veuvo et soulmte que les 500 fr. quo lu socét lu a vorsés adocsso uu peu la cruelle perte qu'elle vont d'éprouver. Des remercement.s sont votés à M. VacheUe, chefdo batallon, avo.r ben voulu envoyer uno delégalon aux obsèques du camarale Soùt. On procède nu vole le renouvollom Mt des membres du bureau.. M.M. D.menuo, admnstrateur ; Gulloul, con'rôf r, et Snllour, trésorer, membres sortants, sont réùlns à l'unanmté. Mouvement de la Populaton Du 31 ma, au (> jun NSSNCES. Jean Lous Le Prader fls de Jean Lous et de Mare Louse S brl, rue Haute, -19 Franços Nol Maro Lvolant, fls de (jullaume Mare et de Renée Mare Jaouen, à Pors-ar-Bayoc. Jean Joseph Mare 'rgent, fls de Joseph Mare et do Mare Françose Qutté, rue Basse, 31. Lous Thoraval, fls do Perre Mare ot de Mare l^orrne Menou, rue des Fonlanes, 10. Henr Jean Théodore Ropars, fls do Henr et de Maro Hervé, rue Docteur Le Feb TO. ugustne Jeanne Sauner, lllo de Jean Maro et do Me Françose Madec, rue Longue, 61. PUBLCTONS DE MRGES. - lexandre Godec, second-maître, à Toulon, avec Mare Louse Thubau, sans professon à Toulon. Léon lphonse Lanaye, mécancen, avec Marguerte Yvonne Dantec, sans professon, rue de Pars, 44. Charles Coqun, marn de Commerce, à Plouézoc'h, avec Mare Jacquette Mocaor, fac rce Voe d'ccès du Port.Jean Le Gall, ajusteur, à Pars, avec Mare Françose Godec, faclrce, rue do Par.-î 46. lfred Crochemorc, comptable, avec nna Rvoallan, sans professon, à Gungamp. Théodore Mare Bounère, armurer, à Brest, avec Mare Jeanne Le Foll, sans professon rue Longue, 57. MRGES. ~ Yves Mare Corvez, charreter, rue de Pnrs, avec nne Mare Cllart, cusnère, à Kernéguez. Gustave Le Maître, menuser, au Château, 9, avec Jeanne Ropars, au Château, 12. Franços Gullaume Mare Ménez, boucher, rue des Bouchers, 9, avec Jeane Yvonne Fchou, sans professon, place Thers, 29. Franços Mare Garon, maçon, rue de Pars, 45, avec nne Mare Gravot, couturère, rue de Pars, 45. DECES. Jean Mare Le Bren, 46 ans, quarter du Château, Mare Vncente Le Jaouan, 68 ans, rue St-Melane. Jean Lous Le Prader, 2 jours, rue Haute, 19. Franços Mare Prgent, 39 ans, rue Vlleneuve, 50. Franços Noël Derambure, époux de Mare Elode Françose Ctplan, 78 ans, rue Gambetta, 80. Mare nne Jégousse,.37 ans. quarter du Château. Franços Mare Guéguen, 18 jours, rue des Vgnes, 14. Jeanne Laurent, 63 ans, quarter du Château. Mare Laurens L'Hosts, femme Roudaut, 46 ans quarter du Château. Yves Lucen Moal époux de Mare Louse Scouarnec, 31 ans, rue St-M"lano, 41. Mare Conan, 15 ans, rue Haute, 50. nne Mare Le Moal 9 ans place des Halles, 20. Taulé ncende. Un ncende, dont la cause est nconnue, n éclaté vendred, à 2 heures du matn, dans la boulangere nvoas et deux mmeubles contgus, appartenant à Mme Brélvet. Cette dernère et M. nvoas subssent des perlos assez élevées, qu sont couvertes par des assurances. Penzé La fore mensuelle. La fore mensuelle de jun a eu leu lund. Les marchands de chevaux étaent tellement nombreux que la plupart des bêtes de 3 à 5 ans étaent vendues avant d'avor été condutes au champ de fore. «On se crorat à la velle d'une remonte générale s, nous a dt un cultvateur à co sujet. Une hausse a été remarquée en ce qu concerne le prx des poulans d'un an. Les chevaux de deux ans se sont auss très ben vendus. Les bêtes n'étaent toutefos pas s nombreuses que d'habtude. Les paysans ne voent-ls pas approcher la fenason et la mosson? ls sentent qu'ls auront beson do leurs chevaux et les gardent. D'autre part, on en a cette année tant vendu un )eu partout, qu'on comprenda que les jons produts se font rares. Les vaches latères sont toujours hors de prx. l en est dfl môme les vaches prêtes à \êer. Les anmaux de bouchere ont élé payés 0 fr. 80 le klo sur ped. Quant aux porcs, on ne pêutque répéter qu'ls so vendent rès cher. En résumé, la fore a été très bo-one l'ensemble des anmaux, e.vceplonnelle les tansuctons de chevaux. le de Batz Coups et blessures. M. Jean- FR<nços Paul, garçon boucher chez Mme Vlan, orgnare de Morlax, a été frappé el blessé à l'œl gauche par Claude Caboc'h, à qu l reprochat l'excter son chen à suvre une pette llle. M. Paul a porté plante. ^ Landvsau Chen enragé. Mercred derner, un can présentant tous les symptômes de la rage et qu parcounl les rues de la vlle, mordatl et roulant tous ses congénères, a été tué en face de la mare, par.m. Renaud, brgader do gendarmere. Ce chen, qu est étranger à celle commune, est de talle moyenne, pols blancs avec orelles nores. L'autopse pratquée par M. Dubos, vétérnare santare, a relevé que ce chen é at hydrophobe. M. lo mare do Landvsau a prs un arrêté :! nterdsant la crculaton des chens sur lu voe publque, à mons qu'ls ne soent tonus en lasse ou muselés, jusqu'au 24 jullet prochan. 2' Prescrvant l'abattage des chens el tfps chus qu ont élé vctmes des morsure s du susdt chen. Plouescat Médalle d'honneur. M. e garde marlno de Plouescat, représentant M. l'admnb'ra'e r de h marne à.morlax, a renrs jeud, à M. Kermoal ma' n-pêcher à Morscat, la médalle d'honneur qu lu a été décernée récemnont pur M. lo mnst"o de la marne, on récompense do sos braves et longs so vces. Nos félctatons. La fore. La fore de jun a eu leu samed. Malgré le temps très peu rassurant, la fore a été très bonne Le prx des anmaux, do tontes espèces, contnue ù êlro très b n. Les cultvateurs sont favorsés cette année. Les petts porcs so vendaent do 1 franc à 1 fr. f lo dem klogramme ; lo prx dos porcs gras a attent 0 fr. 70 le demklogramm-, sur ped. Nomnatons. M. Mchel, du Conquet, est nommé garde-martme à Plouescat, en remplacement do M. Calvez, domssonnnro. M. Jé/.e((uel, clel do gare à Porlsall, est nommé, sur avancement, chef do gare à Plouescal. Lannéannou Conférence agrcole. M. Le Loupp ttulare de la chare d'agrcullure de l'wr rondssement de Morlax, fera une conférence agrcole à Lanné^nuon, le 9 jun, à onze heure.s du man. Sujet : Kngras phosphatés et prares temporares. Landerneau Concours Epreuves d'étalons. Voc la lste dos prmés. 1-, Sans-Peur du D mmark et Krcsh, alezan, à M. Vprouronx-Kernés, Drnon ; 2-, Eïend, de Ddomark et Rufus ol Rudness, alezan, à M. Prgent, Franços, Plouén.nn ; 3, Erèbr», de Denmark, jument de trat, alezan, à M. Sévère Yve.s, Saut- Pol-de-1 éon ; 4-, Unque, de Unque et Monlnral, alezan, à M. Bhan Yves, de Sant Thonan ; 5-, Epque, de Donmak et Lesqu^y, ba. à.m. Kernes, fls, L'rlôr tal-camf'out ; 0-, Epnplo, de Unque, jument de trat, alezan, à M. Bhan J.-M., Sant-Pol-de Léon ; 7-, Eventer, de Noël et de Lord-Dasls, alezan/ à M. Troadcc, J.-G., Cléder ; 8-, Dolmen, do Denmark et Dnperré, alezan, à M. Kerne.s, fls, L'Hôptal-Camfroul ; 9, Calefro, de Unann et Bloclow. aubère, à M. Vgouroux fls, Drnon ; 10-, Egéon, de Denmarh e Hura Lord Randy, alezan, à M. Bhan Yves, Plougoulm ; 11-. Sans-Gêne, de Talbot ou Cornfactor et Marot, aleznn, à M. Kernes, lls, L'Hôptal-Camfrout ; la, Erèhe, de Hercule et Marot, aubère, à M. Vgouroux Kernes, Drnon ; 13, Erader, de Lord Dasls et Moutmral, ba, à M. Péron Ncolas, St-Vogay ; 14-, Conquérant, de Unann et jument de trat, aubère, l M. Crrn.c, fls, Pl"udern. Le Gérant : L POCHON. La Coopératon Fnancère du Rhône et les ' G E N S G Ê N É S Nous sommes heureux de fare part à nos lecteurs qu'ls ront trouver.«ot donner de l'extenson à leurs affares, sot leur permettre de l'établr une ade pécunare dont ls raent avor beson, et ce, à un taux égal de 5 0/0 l'an. DÊSRlZ-VOUS DE L'.4RGENT? Pour un achat qelconue, bestaux, terran, meubles, bjoux ou antres, écrvez à la Coopératon Fnancère, 0, Qua do Bond/, Lyon, qu prête sur smple sgnature au taux légal de 5 0/0 l'an lu f.xer la somme qu vous est nécessare eu lu explquant votre mode de remboursement. D.scréton absolue. Soluton dans la hutane. Pas d'ntérêts d'avance. Grande faclté de remboursement aux personnes actuellement gênées. La sgrnature d'une honnête personne équvaut à de l'argent. JEUNE HOMME mande place comms aux écrtures, ou tout autre emplo. - Bonnes références. Bans de Mer GRND HOTEL DE PREL OUVERTURE ; l e 9 J u n Vns Eaux-de-Ve Muscat EXPÉDTON DRECTE DE Lft PROPRÉTÉ E. Flcrad - Cosle BÉZERS (Hérault) Vns rouges et blancs, nouveaux el veux garants naturels et do l" cuvée, lvrés franco do tous fras en gare du destnatare, fût perdu, depus 71 fr. la barrque. dresser commandes et demandes do tars à F. Manach, rue du Docteur Lc'obvre à Morlax, seul agent la régon. Elude de M" Jean VÉRNT, notare à Morlax, successeur de son père. lfcmnor pa** lots, au gré L 11 U n L des amateurs. En la vlle de Morlax, Grands Terrans à bâtr, en bordure de loute, derrère lo Couvent des Ursulnes. Belle stuaton." Vue magnfque S'adrcswr tous rensegnomonts à M- VERN', notare. E'udos do M FLEUHV, notare à Morlax, co M" )K HODKLLF/J uu POHZC, notro à Sunt-Renan, et do M» FOUCR), notare à Brest. VENTE D'RBRES par djudcaton ûu l'etude de M" F.EUR Y, notare ù Morlax. LÉ MERCRED 12 JUN 1907 à 2 heures COMPRENNT : 207 hêtres, 11 chênes et 12o châtagners so trouvant sur les dépendances des fermes de Coatlèzec en Pleyber-Chrst, tenues. nr l«s consorts Manac'h-bgrall et Le Gall. Pour vor les arbres s'adresser aux '.rners ol rcnscquonrnls à M' FLEURY. PUBLCTON LÉGLE ssstance judcare Décson du bureau de Morlax du 13 avrl 1907 vs (le demande de converson de séparaton de corps et de bens en dvorce Le seur Yves Broudn, époux de Marguerte Ruellou, autrelos manœuvre aujourd'hu sans professon, domclée à Morlax, rampe Sant-Ncolas, quarter de Troudousten, est nformé que par explot du treze ma ml neuf cent sept, du mnstère de M'KERJEN, husser à Morlax, contenant consttuton de M» BENVENUE, avoué à Morlax, place Thers, 23, et en vertu d'ordonnance da Monseur le Présdent du Trbunal cvl de Morlax du pre mcr ma ml neuf cent sept, rendue sur requêle du même jour, portant permsson d'assgner ledt seur 'V^ves Broudn à été à la requête de Marguerte Ruellou, susnommée, son épouse, séparée de corps et de bens, cgarère, demeurant et domclée à Morlax, rue Longue de Bourette, assgnée à comparaître à l'audence dudt trbunal du mercred 22 ma ml neuf cent sept entendre prononcer ente lesd's époux la converson eu jugementdedvorce du jugemmt dé séparatou de corps el de bens rendu par le même trbunal le quatre févrer ml neuf cent quatre, au p'olt de ladte Marguerte Ruellou, par défaut contre son dt mar. La présente nserton est fate en conformté d'un jugement dudt trbunal en date dudt jour vngt deux u.a ml neuf cent sept, à rason du défaut du seur Yves Broudn sur l'assgnaton susdalé, qu lu avat été notfée après les constatatons voulues par l'artcle 68 du code de procédure cvle à la mare de Morlax. Etant explqué : 1 que ce jugement du vngt-deux ma ml neuf cent sept a ordonné une nserton conforme à celle c-dessus dans chacun des quatre journaux se publant à Morlax ; 2 que ce même jugement à renvoyé l'atlare au fond en chambre du consel jusqu'apr ès ces nsertons à une audence ultéreure qn sera fxée sur smple requête :.3 qu'après l'nserton au journal L'Eclareur du Fnstère et au journal U venr le samed premer jun ml nenf cent sept une autre parelle nserton sera faîteaux journaux La Résstance et L'Echo du Fnstère, les deux se publant auss ù Morlax le samed hut jun ml neuf cent sept ; 4 que ces quatre nserlons une los fate et faute par ledt Broudn d'avor consttué avoué sur ladte assgnaton du treze ma ml neuf cent sept, l sera réassgné aux mêmes lns ([u'aux lns d'-.celle à l'audence dudt trbunal qu aura été l.xée en ce cas par Monseur le Présdent de ce trbunal sur smple requête à lu présentée par la demanderesse. Pour nserton légale : Paul BENVENUE, avoué. Etudes de M«KERNES, avoué à Morlax et de M MOL, notare à Samt- Pol-de-Léon (Fnstère) VENTE par adjudcaton judcare de Bens de dneurs En vertu de jugement du Trbunal de Morlax, en date du fo avrl 1907 En l'etude et par le mnstère de M'MOL, notare à Sant Pol-de-Léon LE VENDRED 21 JUN 1907 à 1 heure ot deme Premer Lot Commerce de Frmeurs exploté par M. Desmas, père, dans la cour de la gare à St-Pol-de-Léon, comprenant la clenlèle et l'achalan lage, les regstres, lvres do commerce, factures, têtes de lettres, prospectus, étquettes et la lste des commerçants en relatons d'atîares avec M. Desmas, père. Mse à Prx, c.. Deuxème Lot francs. EN. V.LE DU ST-POL-DE-LKON, Couu DE L GUE) Une grande et belle Mason neuve, à deux étages, servant en parte de café, magasn à légumes et mason d'v'blalon, grandes caves, cour derrère, magasns, écure, étable, pgeonner, poulaller, remse, bûcher, latere, cabnet d'asance, jardn clos planté d'arbres fruters, le tout en presque totalté lbre de locaton et une parte louée à M. Desma.e, fls, jusqu'au octobre prochan, moyennant 500 francs l'an. Celte mason de construquon très sognée convent tous commerces, notamment prmeurs, vns el peut faclement être aménagée en hôteu Elle est éclarée à l'électrcté ; elle donne sur la cour de la gare de St-Pol-de-Léon. mportante par son mouvement de voyageurs et son trafc commercal ; cette mportance ne p^ut qu'augmenter par la prochane explotaton de la lgne de Sant-Pol à Plouescal, desservant toute la côte jusqu'à Brest. Entrée en joussance mmédate la presque totalté, sauf la parte louée à M. Dcsmîs, f's. Mse a Prx, c.. Trosème Lot francs. n lovant dn jardn du second lo', dont l est séparé par'un chemn, un autre» «Jardn clos de haes, desserv auss par la cour de la gare, avec cabmes en bos au fond, contgu au md à la Gare, cadustré, seelon K, n" 345 p, une contenance de 5 a. 15 c.. tenu parte par mns et parte par M. Uesmas fls, jusqu'au 1" octobre C'' terran convent balr mason pa tculère ou commerce de légumes. Mse à Prx, c.. Quatrème Lot 1500 francs. E.N ROSCOFF, L'LE DE SECK Une Vlason neuve à un étage, couvurte en ardoses, servat attuellement de magasn, chambre et grener, louée à.m. rsène Dsseaux, mareyeur à Bresl, peur 3, 6 ou 9 ans dj 1" jun 1902, noyennat un loyer annuel de 3.j0 fr. Mse à Prx, c.. Cnquème Lot francs. EN L COMMU.NE DE ROSCOFF, TOULOUÉMY Sur la belle plage de l'le de Seck, une grancle ]\^ason couverte en znc, ayant rez-de-chaus.sée et étage, crèche et terran autour, cadastré^?, sectod E, 860 p. Mse à Prx, c.. Sxème 1500 francs. Lot Con'gu au précédent lot, un terran labourable, cadastré secton E, 860 p, sur le bord de la grève. Mse à Prx, c francs. Ces deux lots sont loués verbalement à dvers 250 francs. près adjud catons partelles, ces deux lots seront réuns et rems en adjudcaton. Septème Lot E.N L COMMUNE DE SBRVEL, DE LN.MON (COTES.RRONDSSEMENT DU NORD) U n Terran dans Ot ar palarennou. près du vllage de Becléguer, contenant 4 a. 25 c. Mse à Prx, c francs. Pour tous rensegnements s'adresser à M" MOL, notare, dépostare du caher des charges. L'avoué suvant, F. KERNES. Etude de M» KERNES, avoué à Morlax Par sute de Sase-mmoblère l'audence des crées du Trbunal cvl de Morlax. Le Jeud 27,Tun 1907 â md el dem GO.MMUNEDESZUN. SECTON DE SNT CDOU LOT U.MQUE H DPBUSCES E KfBlftyS Mason d'habtaton, écures, crèches, hangar, cour, courllu, terres chaudes et frodes, prés, prares, crconstances et dépendances, le tout d'une contenance cadastrale de C hectares 51 ares envron. L'avoué suvant, F. KERNES. Les enchères ne seront reçues que par lo mnstère d'avoué. CETEU U\E nome BCYCLETTE C'EST PLCÉ NTELLGEMMENT SON RGENT Demandez le Catalogue uu concessonnare M. HUTRC, 11, ruecarnot, Morlax. (DJON) S e u l yvgent p o u r l a r é g o n J. HUTRC MORLX - 11, RUE GRNOT, 11 - MORLX

8 Nous DEMNDONS dons tontes los vlles ot communes dos pn'sonuos s'occuper chez sol, toute l'annéo, d'un traval rapportant do 4 à G franos par* jour, suvnnt le emps employé, sans npprentssngo ù furo. Sur demande, par smple carte postale, vous recevrez touos explcatons utos. S'adresser : M a s o n d e s T r ^ a v a l l e u r s F t é u n s 19, Place Bretagne, NNTES (Lore-nféreure) Etude de M" Th, Fleury, notare à Morlax V E N D R E Par djudcaton U.\E en l'étude Volontare LE LUND 17 JUN 1907 l 13 \.x herres en la vlle de Morlax MOPKÉTÉ formant l'encognure de la ruo tamhotta (ancenne voe d'accùs) où elle porto lo u" 5() et de la rue du Foult'au(; o (dlo porto les n"" 22, 21, el 211, compronau :» Une mason \ usage dauhorgo composée d'un roz-do-clausséo, promor éla^e, grener, )ett paruu-ro dovanl la mason louée vorbalomcnt à Mme vouvo Ncolas, ;too fr. l an. 2 utre pette mason. ruo du Poulfanc, contge à la procôlonto formée tle cave, nv. do chaussoo, pro.or étage et gronor louée verbdonoul à la m(^me 100 fr. l'an. 3 utre mason, à la sute, ruo du Poulfanc n" 20 comprenant roz do-chaussée, étage el grener louée à dvers l'r. l'an. Deux autres pettes masons. séparées de la >réc(wlento récwlent par une cour commune lou-o )0 fr. l'an. Porton de jardn donnant sur la rue Oamheta. Revenu annuel Francs Mse à Prx 7500 Francs Pour vster s'adresser aux locatares ol tous rensegnonents à M" l'oury. notare. Le cabnet dentare de M. BVRD, cause d'agrandssement, sera transféré prochanement, Qua de Léon, n" 2. :lude do M'.K.\N VK.XNT nolare à Morlax, successeur de son p're ^ "C» par lctaton volontare, en rélude L e «Jeud 13 «Jun QOT à tcurs En la vlle de.morlax, rue dos lrebs. n»^ 4!) el o QUTRE PETTES WSONS.\vec roz-do-clau.sséo et étage. - Terro plen el rampe d'accès devant les dtes masons. Jardn derrère. Le tout formant bon emplacement créaton do proprété, content î!. 1'/ c. Mse à prx, francs S'adresser, tous rensoguonerts, à M" Vlîlt.NT, notare. Elude de M JE.V.N Vérant, notare à Morlax 7, rue de Pans L O U E R à 2 klomètres 500 de Morlax ONE PROPRÉTÉ comprenant : D'GRÉMEKT.M;son de maître; écures ot remse.s ; unportantes dépendances, olc. Jadms franças et anglas ; beaux ombrages ; rvère pos.sonneuse. 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Etude de M" BELLEC, notare à Com-nua T S T D H 3 far djudcaton Volontare LE LUMD 17 JUM 1907 à 1 h"uro do raprôs-n 11, en l'otudo UNE FERME sso au leu du Vernhr, o Sant-Sauvour, ronpvnan : bon-! é.ldeos 7 h., sons lerro labourable, h. 80 sons pra res, 48 a. sous talls ét 1 h 20 c. >ous nde, louée 500 fr. par an, n )ôls on sus. Mse à Prx fr. S'ahvssf à.\1 HKLLEC LECHO DU FmSïERE Le Chocolat du BON MEUNER offrent l'alment lo plus san et le plus délceux. et le Chocolat PN Grâce à un nouveau système do broyeurs el do Malaxeurs, dont la mason a seule la proprété l'opératon s délcate dn broyage des cacaos leur lass( toutes leurs qualtés. Mères do famlle souceuse d'offrr à vos mars ol.à vos enfants un chocolat parlat, demandez partout le Gtooolat du B O N MEUNEFl ou le Gtocolat PNT. BOWEZ-VOUS Un volume de luxe grand n 8», do plus de Î200 {gravures. 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9 Deuxème nuoe JU" 80 L e Vuméo S S C e l m o s Samed 15 Jnn 1907 JOURNL RÉGONLSTE NDÉPENDNT 1$ gétlu Us ^Utll aatulls, cmmta» ft éfmu» S'T*- TRF DES BONNEMENTS MORLX, un an 3 fr. 5 0 Fnstère. Cdtes du - Nord, Morbhan, un an 4 fr. OO utres Départements 4 fr. QO Fras de Recouvrement par la Poste, 0 fr. 40 par boanemeat. L'Echo EKLEO PENN R BED " w' J O r e o t e u r :. J ^ J J V T 3 1, r u e, a e s F o n t a n e s, M O ^ L X 'b.; Rédacton et dmnstraton S, rue des Fonlanes -'MO'BCL,MK TRF DES NSERTONS u lgne nn. (judcares ou dverses). O fr. 2 0 Réclames (en 3" page) O fr. 3 0 Pour les annonces répétées on trate à forfat. Le servce du journal est fat gratutement aux offcers mnstérels annoncers. Pour les annonces et réclames s'adresser à 3t. H. POCHON, sot 31, rue des Fontanes ou 67, rue Gambetta. Les mabuscrts ne sont pas rendus L SEMNE Vendred 7 un. La Chambre a entendu l'nterpellaton de P'essensé sur la conférence de La Haye et approuvé les déclaratons du mnstre d s affares étrangères. Le Sénat a adopté l'ensemble du projet de lo sur la prottuton des mneurs. On fat courr le brut que M. Clémenceau pèserat la queston de confance sur la moton jbche tendant au renvo ù la commsson des ftnancs du projet de rachat de l'ouest. Les ctoyens Lévy el Bousquet out été condamnés d deux ans de prson et cent francs d'amende. Des dépèches des ports martme. sgnalent la reprse générale du traval. La commsson de la Chambre charqée d'examner la plante portée contre M. t)ufour, député de l'ndre, a conclu à l'auto rsaton de sutes contre ce député. Samed 8 jnln. Les mnstres et soussecrétares d'etat ont tenu Consel sous la présdence de M Fallères. ' Le congrès des posters n'a pas voté, ans qu'l avat été at, la grève générale,.v. Clémenceau a refusé de recevor l-ur délé galon..4 H'on, où treze usnes sont en grève, une cartouche de dynamte, ne causant que des dégâts matérels, a exposé devant la mason de M. Faure, présdent de l'unon ndustrelle. xs délégués des représentants du md ont été reçus par.m. Clémenceau auquel Us ont soums leurs doléances. De nombreux manfestants sont déjà arrvés ( Montpeller. De grandes mesures d'ordre sont prses. M. Santos-hmont a expérmente re matn un nouvel avateur. Par sute d'une maladresse du mcancen, Capparel a sub des avares. La date des électons les Consels généraux a été fxée par te Consel des m nstres au 21 jullet. ' Les souve'ans danos sont arrvés à Londres. ls ont été reçus par le ro et la rene et toute la famlle royale. La populaton leur a fat un chaleureux accuel. Dmanche 9 jun. Plus de vtculteurs étaent réuns t Montpeller. La manfestaton a eu leu sans ncdents. ^ M. Brad a à Sant-Etenne le monument Crodet. Les socalstes unfés l'ont conspué. Le. grand steeple d'uteul a été gagné par t Grosse.Mère» avec «Volon t second et u Journalste trosème Lund 10 jun Vngt députés seulement étaent présents à la séance du maln où l'on a contnué la dscu.son du projet de lo sur le moullage et le sucrage des vns. De graves ncdents se sont produts au 100* d'nfantere en garnson à Narbonne. Des sous-offcers et offcers ont été nsul tés. M. Pchon, mnstre des affares étrangères et M. Kurno, ambassadeur du Japon ù Pars, ont sgné le traté franco-japonas. Une dépèche de Mexco annonce que M. Cabrera, présdent de Guatemala, a été assassné. La plazza de taureaux de Ventus vent de s'effrondrer. ly n de nombreux blessés Mard 11 jun. Le Consel de cabnet a été exclusvement consacré à l'examen des mesures prendre reméder à la crse vtcole. La Chambre a repoussé h contre-projet Jaurès demandant la monopolsaton des ndustres du sucre, du vn cl de l'alcool. De graves ncdents se sont produts dans une caserne de Montpeller. Un leutenant et un agent ot été grèvement blessés par des soldats Le théâtre de Narbonnc a été entèrement détrut par un ncende. On crot à la mal vellance. L.es événements du fd ont lttéralement affolé les radcaux de la Chambre. De nombreux qroupes se formaent dans le salon de la ^ax. Le Sénat a adopté la proposton de lo agant objet de donner le drot à la responsablté forfatare dans les accdents du traval. La commsson sénatorale de l'armée s'est prononc.e l'adopt'on du projet de lo renvouant la classe 190:! le 12 jullet. Parm les mesures envsagées par le gouvernement en vue des responsabltés encourues dans le grave ncdent du 100'de lgne fgure le déplacement du régment qu serat envoyé Gap. Le eonsulat de Guatemala dément que le présdent Cabrera at élé assass'né. Mercred 12 jun. M Clémenceau va adres.<er aux mares du.md une lelre' appelant leur attenton sur les conséquences de la suppresson de la ve muncpale. De nombreux ncdents se sont produts dans deux casernes Ue Montpeller. Des soldats consgnés ont escaladés les murs. Les démssons de muncpaltés devennent de plus en plus nomnreuses dans le Md, spécalement dans l'ude, l'hérault et les Pyrénées Orentales. Jeud 13 jun. La Chambre, contnuant la dscusson sur te -noullage el le sucrage des vns, a adopté les deux premers artcles de cette proposton de lo. Le Sénat a renvoye à la commsson la proposton de lo sur ta vente des engras Les mnstres ont tenu Consel sous la présdence de,)/. Fallères. Le g 'néral Pcquarl a déclaré à ses col lègues qu'aucun ncdent grave ne s'état produt dans les casernes de.montpeller. Une nformaton judcare est ouverte à la sute des troubles p se sont produts dmanche après le meetng des vculteurs à Montpeller. POUR L RÉPUBLQUE (Sute) Je cros avor ex^)lqu6 dans njon derner artcle qu'l ne saurat y avor de désaccord entre le sllonnste et mo, sur l'analoge des rég'nes monarchque représentatf et répuhlcan démncrafque, (luedans deux cas : D'abord, celu oî l ptn.serat que Vélte, ou mnorté dunamque \)C\w employer son langage, dot gouverner non j)arsute de dédégaton, mas ]).u- le fat même de son exstence au(juel cas, V élte correspondrat à un monarque absolu et de drot dvn, et le Sllonnste.serat partsan de la hjranne. En second leu celu, où l arrverat à néglger V élte et à la rendre tellement dépendante de la masse, (jue lon d'être une mnorté djnamqueown devendrat le jouet de tous les ca )rces populares, et ce serat alors 'unorche (pe voudrat nstaurer mon courtos contradcteur. J'a déjà dt que je ne pensas pas qu'l tombât dans l'une ou l'autre tle ces aberratons. Et tant la théore très mprécse que lu et ses ams nous soumettent, lasse le champ lbre aux suppostons des mal-ntentonnés. On rat crore, au mons d'après ce qu'l semble dre, qu'l rêve un régme tel, que les masses populares élevées à une perfecton cwdncafon démocratque, n'auront plus beson de l'arbtrage d'une autorté pussante mantenr la cohéson. S cela état, j'avoue ben franchement quevon seulement nous ne serons plus d'accord, mas que nous serons séparés par un abîme. J'estme, en effet, (ju'un parel rêve non seulement serat utopque, mas encore dangereux, que lon d'être en conformté avec la doctrne chrétenne dont le Sllon se proclame le détenseur, cette chmère rappellerat plutôt les doctrnes des Sant-Smoncns et des Fourérstes, des nabaptstes de Munster, des Thaborte. et des Husstes et passant par Wcleff et les Pastoureaux, se rattacherat en remontant d'âge en âge, à cette profe.sson de fo du veux serpent de la Genè.se : Non servam. Je n'aura pas de maître. Que l'on rende chaque ctoyen plus conscent de ses responsabltés et de ses devors vs-à-vs de lumême, des ndvdus et de la socété, cela est excellent, et chacun dans sa sphère devrat tendre à ce but. Voulor donner à tous, sous prétexte d'égalté, les mêmes drots dans le gouvernement d'un pays, cela est tout smplement absurde. l ne sufft pas de se mettre en tête un beau jour de rendre la socété parfate, l faut consdérer jusru'à quel pont et comment elle est perfectble. Chercher la vérté est une oblgaton, mas encore en la cherchant faut-l évter de la vor à travers un prsme et de la déformer, sot en la rappctssant, sot en la tronquant, sot en l'exagérant. En cette matère d'organsaton socale, l y a danger et un danger très réel, à ne consdérer (qu'une des: faces du ])roblème, et sous prétexte d'amour du peuple, de drots du peuple, à ne p.^s vor ses devors et auss juscju'à quel pont on peut relever son nveau moral et ntellectuel. La théore du Sllonnste, telle qu'elle résulte de certanes de ses a.ssertons- et tant je ne pus me résoudre à crore que ce sot ben là sa ])en.sée - exagère au détrment de la collcctvté le drot des ndvdus. Sous prétexte de préjjarer des ctoyens lbres conscents et éclarés qu sachent non seulement un méter leur assurer le pan quotden, et leur 2Je7'mettre de concourr à la prospérté matérelle de tous., mas qu pussent encore travaller à affranchr notrepaysdespréjîlgésqu l'aveuglent, à le délvrer de l'esclavage occulte ou effronté des mauvas bergers, et à réalser enfn cettr harmone féconde et pacfque qu permettrat à chacun d'apporter à l omvfe commune l'effort de son énerge et de collaborer.sajjart. fout à la fos souveran et responsable, au gouvernement de la chose publque elle néglge complètement de de ce que sera un gouvernement où tous les ctoyens seraent souverans et respomaldes et dans quelles lmtes la souveraneté et la responsablté de ces ctoyens seraent contenues. Pusque le Sllonnste parat supposer l'alsence d'un pouvor central modérateur, rat-l dre comment se mantendra la cohéson de la socété? L'homogénété moralo à laquelle l semble attrbuer une vertu ])artculère suffra-t-elle, à mantenr sans bergers bons ou mauvas, un troupeau cpt fatalement de par la perversté ou la fnblesse de la nature humane, sera dvsé par des dvergences d'opnons, de passons et d'ntérêts? La doctrne chrétenne, qu a nstauré la plus ])ure des morales, en la basant sur le sacrfce de so-même, n'a pu se mantenr que grâce à la hérarche et sans la force de l'organsaton ecclésastque, l y a beau temps (}ue cette doctrne aurat cessé de se propager et même d'exster. L'éducaton démocratque contendrat-elle une vertu plus dvne, et ses partsans pensent-ls, que le jour Oll elle sera arrvée à son perfectonnement l n'y aura jlus n hérétques en doctrne n schsmatques., n ambteux, n gloutons, n avares, n rolcurs, n mpudques, n menteurs n calomnateurs, n prévarcateurs d'aucune sorte "r* S le Sllonnste juge que les nsttutons socales nouvelles, groupements mutualstes, coop)érf\.tves et syndcats suffront à mantenr la cohéson, l me permettra d'en douter. Les groupements de cette sorte ne sont d'abord, basés que sur l'ntérêt, et l'ntérêt qu les fat natre aujourd'hu peut deman les fare dsparaître, ^las dussent-ls un jour composer exclusvement la socété nouvelle, qu'l leur faudra toujours admettredes drgeants et des dr- Etnous eu revenons forcément à notre pont de départ; omvanarche, ou la représentaton olgarchque., ou le pouvor tyrannque. Je tens donc jusqu à preuve du contrare que ce mot Républque démocratqxle, ou ne désgne ren de nouveau et est une forme ben connue d'un gouvernement représentatf ou, content daus le cas contrare une dangereuse et d'alleurs velle erreur.. LJT. EUR BRN Na gredan ket e c'halfemp kals meul ar C'honfédératon ar Labour C'JZ Parz, h?g e meump bst koseat alez euz ar plekchou fall a gemere abaoue eur pennad amzer, an unvanez-se. dra-zur na c'hellomp ket souten tud hag a we gweleto laret d'an dud labourt fall evl akaat o c'hchen da blega.» Wel en Parz eur pennad amzer zo e nent, an otrone Bousquet a Levy, pere zo en penn euz an unvanez ze, laret d'ar boulanjer'cn ober bara fall, wel lod al a c'hoantaa d'ez-ho akaat gwer er bara. Kaout a ra d'n a vefe bea saot evt souten kemzennou er gz-se. Med, koulskoudea gavan n antruz ar barn rentet gant ar jereet euz ar Sen, a pehn a gond-oun an daouma da zaou bloas przon a da gant lur amant. Med araog peur-echu va skrf var ar barn-se a larn d'eoc'h eur gr benag var daou zen hag a zo kaos braz euz an traou-se, a pere vo lezet en peoc'h. Brema zo eun nebeut bloavechou e oa en eun tam korn douar euz ar FranZj eun den dster awalc'h, skrfan^er euz e vcher, anvet Brand ; hag unan al atjvet Clemensau, skrfaner ve. Kals a lorc'h e oa en o gerc'hen a dre ze kals a c'hoant da veza en kargou braz. Goude meur a dam skrf e oent deut da gaout madelez ha moechou an artzan. Ha petra oa ar skrfanou se? Ksout a ra d'eoc'h e oa kentelou mad a vje reet d'ar paour kez artzan? Emeze, an rtzan o doa re a boan, hag evt se e oa red d'ezan en eur eneb ouz ) mstr euz a bep faesoun. Da lavarat an daou z^n zo bet kondaonet, ar zun tremenet e neun great nemet leuh o kentelou. p e gwr ar jreet ouz ar Sen 0 deunt great ar j'jjamant war ar po lt ma : «n n a lavar da unan al ober fall pe (a lavaret mad, an n a ro kentelou d'an artzaned d'ober labour fall a trouz a da en eur eneb ouz o mstr ouz a bep faesoun, a de beza kondaonet.» Hag a deuan da lavaret ncnaoz n'eo ket Bousquet na Levy a alefe ar jurecd-ze baakondaonét, med an aotrone zo o ren ac'hanomp. Med, a trst eo chonjal an dra-ze, ar pennou braz er gz-se o deunt urz da lavarat pez a blj d'ez-ho, mez n'eo ket red da eur paour kez artzan ober kement al pe neuze a vo gwasket doc'h-tu. Gouzout mad a reomp psnaoz ebars ar justs zo bet atao daou seurt poecbou. Fentuz eo gwel kondaon komzennou evelse dndan komandamant an dud 0 deuz laret ane. Ha c'hoaz gwel barn tud al en o blas, setu aze pez na hellan ket kounpran.. j - " Pegen poent eo re eun taol sîcubelen d'ar lapoused-;.e. Na vefe nemét evt vad an artzan. Laou an BORNER. L^FORMTOVS Le mnstre Brand à St-Etenne l est conspué par ses ancens ams M. Brand, mnstre de l'nstructon publque, se trouvat le dmanche C) jun à Sant Etenne (Lorej. l'ssue des réceptons à la Préfecture, l s'est rendu à l'nauguraton du monument Grodet, premer mare socalste de Sant-Etenne. MM. Maxence Roldes etrenaudel à la tête d'une fo te bande socalste ont volemment manfesté contre M. Brand en chantant Xnternatonale. Le commssare central lésa élognés du cortège à l'ade des forces de polce. Malgré cela, les unfés ont rejont l'escorte mnstérelle à l'ssue de l'muguraton en crant : «bas Brand! Vve Nègre!» Le mnstre entre temps procédat à la pose de la premère perre de la nouvelle école supéreure de flle. Dans son allocuton, l s'estélevé contre les tentatves de quelques agtés. M. Brand s'est ensute rendu au sège de la coopératve dç Etenne où l a déclaré qu^?" net avat prs l'engagemerr^ ré.lserles retrates ouvrères. " ^ l a asssté, à heure, à la Préfecture, à un grand banquet démocratque dans lequel le mare a consellé au gouvernement de. tomber à gauche, s'l devat tomber, mettre fn au malase actuel. Dans un d scouts flandreux, M Brand a fat l'éloge du Cabnet. l a répudé les actes de volence et blâmé le mouvement de révolte des fonctonnares. Le Md bouge manfestants. - La grève de l'mpôt et le sabotage admlstratf. Les vtculteurs du Md ont encore manfesté le dmanche 9 jun. Cette fos, c'état à Montpeller. On évalue à le nombre des manfestants. md, le déflé commence. l part de la promenade du Peyron, où les comtés d'rgellers, du Baxas, de Montpeller et du département se sont rassemblés autour de la statue de Lous XV. [10] PROMENDES Travers le Pays de Morlax (Hydrographe pttoresque Mettes de Folklore, etc) On remorque, comme pcrsonnngo prnc pal nn jeune segneur qu'on pense 6tro lo mu-- qus do Ker-Mnra, fond lonr de la proprolé cl segneur de Plonùgal-Guérand (prononcer Flôgnt-Gouùràn) Co» tole» ornent le vestbnle d'entrée (côté S.-K.) Près du ehfdobu. côté S., est uno jole ot foqucl'o chapelle nssoz moderne, stylo ^fo- hqno, renfermant rpelquos enfcux de chnlelams dndl leu. Do pns, los rnmes d'une velle chapelle romane so voent nn hns dos parcs, au con S. O. qn domne n prnre. Hostenl encore debout : me grande porte ogvale à côté d'uno porte romane plus pette au-dessous d'uno fenôtro.de mômo style : de nombreux fragn.ents do grant sculpto ça ol là, par terre ou tenant encore aux murs, entre autres tros groupes de la Mùro île Douleurs tenant son Fls dans ses bras. Celle chapollo ûlat cependant dédée h N.-l). do la Clarté, et, sans doute, on y allat les yeux (vor sect. V^ note 1^). Par terre et tout près Oht une perre tombale ; dessus, en relef, la fgure d'un chovaller en armuro (xv* sèale), les mants jontos et la téte sur un oreller. utour cette nscrpton : GlLLfô : DE.NOK : SH JK ; GVE:SPEVR : VlLLFUVRK: LE: PLESSS MSEREMNl : ME : S.TEM ; VOS :MC1:...(POVR:...,HOMS?) Cette perre a élô appo-tée là d'uno autre proprété prés do Pontroux. T ne fe-me modèle, drgée par M. do Beaufort lu-même, comprend de vastes lorrans entre Kor-Oron nn N., le bonr},' de Plonjca à l'v. n rvère el lo cllcnu an S. O. el à l'onnst. t'ne jole/v;'e dn temps du veux nnnor esl eneuro en hon élut, au fond du vallon, au S., un peu nu-(lossns de l'élng. 'fros belles fonlsncs couvertes se voent travers n proprété.' l'une dnns n vnlloe à l'o., sur lo bord do n prare qu étt ntrefos lu rvère ; l'autre devnnl lo clteou, an cùto K., et l'ulre, lans o vnllon Sud. n xvn" s'-clo, cjeuno segneur ds Kernnroux M. du l'nr.', érln du nnr( usatde Locmnrn nt du CucM-rnnl nr la nor sans nlnnco du derne' lu l'nn; do la hrnnclo aînée. Co ma(çnd([ue lu'nfjo lu fut plus nusllle (pravatngmx. l quln la Hcluh'nc, s'en fu (l-vorerà Pars se.h revenus, etnourul jeune encore, usé pnr ses débnchcs. C'esl sans dou'c l'e nnrqus do l.o.nnnn (el non do Kcrnrn), qu ffst lkué lans les penlros on (jueslon. L nscrpton du lombe.'u dot so lre on oommencnnt pnr : POVH...OMS ; GLLKS: 1)K.NOK: SU: UE : OVESPECH, etc... Co tombeau provent de l'égtso do l'ounez (G.-du-N.). Sous n Mévolnlon on a martelé le mot NOm.OS. entre POVlt el OMS. Une autre tombe, slnéo sous l'arcndo ((u (lanquo ù l'o. lo clocber de la velle chapelle olïre l' sa surface des traces do fer à cheval )rofonlémenl erouséos. On dt (p'un révoulonnure, ponr nsulter aux segneurs défunts ll cnb'er sa monture sur leur tombenn. Cn peu plus an N., on vot l'enlréo d'un souterran n base <lu veux mur de soutorrement: l commurqna avec le manor. Lo chleau actuel a élé hal on l'/73-'î' par M. do la Fruglnyo el sa femme, Carolhe Caradone do la Clalotns, llle du célèbre général el dane do Ker-an-toux. (') On dt quo lo Mnrqns, sogneur de Plouo- 0 Noes le M 1." (încun-r. gnl-guérand, sans donto lo fameux Mnrcnas-du (nar(ps non, n terreur des jeunes r-lles et des jeunes l'ommcs dnns co temps- n qn possédat Kernnroux, en avat fat un rende/.-vous do clusse. Ou (lt que, nettre on eonnnuncnton lus facle son elleau do (nérand avec co ou, l nvnt fat fnr* uno nllco plnntéo d'arbres, el que V.ltrO-Cnln, tout près l'v, n'en esl ([u'u tronçon. On dt. (jue co marqus (do Loe-Mnra), rès nnnvas lo pnvre monde, et délesté, cagnnl n ln sn vo. (l fnro un clon sous terre entre son chlonu ol Kor-nn-ttonx. On dt (po lo.)larcou.--dn revent par les parcs el allées de (érnnd, la nnl ; el quo pnl'o.^, on le vot avec un llelage lout nor. l>o pener ((u l'aper^nt ans, un sor, crrnnl nvec son nlloln},'e, peu do temps nprès sn nol, fut le rôdeur do l'onègal, lequel remarqua t uc le nmmps se servnt do,'(d(!s /;n ('/of.posc). Pour (lrcr c nntère, nln do n demnndor s'l étnt ou penes, ol s'l lu tnllt encore lonueonp do prères, le prêtre lu ll rcnnr((uer que sos fludes n'élaent pas soldes. usstôt lout dsparut dans une fontnmo qu se ml houllr nusslôt, el qu bout oftoro à eernnes nuts. On dt auss (po, on est n prnro do Kéranroux, n peu près où est n rotnlno. so perdt nulrofos, corps et bens, nno su lorbo ne/" nonléo de ï'0 nn ns quo la due lesso nne envoyat Mo nx. l.a prnre p longe Ker-un-llonx pondant plus d'un klomèlo fut gngnéo sur la rvère, l y a envron CO nns, par M. do n Krglno, fp lt fnro n dgur. C) J'a cllcnla ra'cnler l; radln d's nadcs on Olupcs nu sujel de l'v^quo de Pcnu'slug (en PlouKonvcn). Lo lurqu» lo l.o nara, dt auss.. ar Maïkr. ernnn.» vv.l «ons Lous MV p no pot!>('»l>l pl» Korannux. 0} Los prares qu longent la lvère, du eùlé do St-Krnnços et Bonou, furent conquses auss sur lu rvère, l y n mons do quranlo ans, par'^l do Kergarou, do LnnluKuy. (8) Hono esl une genlllommèro assez smple, eacléo dans les bos, sur los hauteurs U. C. Elle appartent Madame l,o lulan do Pénélè. (b For-Scrho (-2 kl. 1/2 au N. de Sant- Martn), est nno velle gentlhommère abléo par la famlle Mège depus ton lonj,'- lemps. (".'est nno constructon do la l'n lu xv" sèelc, sans slylo. La chnpelle, dédée Sl-Porre, se trouve à la parte O. do l'enclos ; elle ost do la mémo époque. (Vost un jett édtcc cpalrlatéral ; pole nrt îlèrc au pgnon E., porto publque (comlannée) nu ccmè S. Ou n'y u pas dt n messe depus 14 nns. l y n dx nus on y l'sat encore lo mos <le.maro. (10) Tonlf-r-ltnhaon ost o velle carrère lunl on lra los malénnnx construre lîono. Pounpo ce nom osl-l devenu lérodnro (\)\:H(rmlngc C kw. 1/2 au N. do St- Mart) ; velle l'erno qu nnrque, ponl-èlro, la place d'nn ancen horntngo hnbté pur Sant-Culmrou On dt oncoe que lu nnson actuelle fut un nnnor el quo rancenno forme état jdus l'e,, dans 1111 clnmp appelé n Pnrc-nn-Ty- C.oz.» {[î.) \j' lre-col U (nw.\llé-c,'!oln) serat une porton de l'anoon chemn p menul droclonoul de Korunrox Ploué^at-Guérnnd. (13) lù'rnls (ft kl. uu S. do Ploujenn) ; vllage dérl l y a un pnrlde sècle, actuelloment ferme nouvo. On dt qu'autrefos Kernls (lo lon do l'églse) élnl uno vlle. (11) Nrcoat (' UW. au S. do Ploujenn) ; ancenne mnson-forlo, dl-on, est nno bello prop élé qu appartent ncluellemonl à M. do Nan'.eul ; los bàtmenls sont do l'épocue Henr 11 ; cour fermée au-devant (S.),dcfenclo par des dépendances llanquées dî (patre tours, deux gauche, deux drote. l'n mur cntournt nutrel'os le chteuu et ses jardns; ceux-c formaent un lot au mleu de la proprété donl une douve défedal relréo. C.'esl lo général Le l'ô, retour d'exl 1852) p lt abntlre ce mur. Lo Nccoat. uvunl lu nôvoluton étnt uno nnson do compagne uu marqus do verouurtz. Lo gèérul Le Fé élnl jads renommé el redonlé sa causlelé ; quand l servnt on rr( uo, dnns son jeuo temps, on dsat aux oflloers a rvant au corps: Délezvous de deux choses: des pantlères nores ol de n langue do e Flo... (T)) l'nrx-horu est uno velle ferme n 2 klomètres on S. de Ploujenn, nu cnrrefo.r de la route île Lunmer et celle do Tronclusln Plojoun. Eu fnco de n na-.son. sur lo bord do n route, on remarque uu eopel oraloro élevé sur un pèdestu pluseurs marches, qu content une Verge ou bronze; (los jjens l'appellent queuperos n la Verge Nore». Elle lut placée par un V. do fromeln, de Coat-Sorho, l'occason de la premère communon do sn flto, l y a 20 ans. D'autres m'ont dt quo le général île Troneln l'aunl prse en Egytte, pendnnt l'oxpèdton ; pus, qu'elle état restée uu clùloun do Cont-Werho, dnns l'embrasure d'ue crosée pemlanl lojçlenpst'?...), jnsu'u nonol où sa pello-lllo u fut sa conmuno. (Vor l'nscrplon sur lo socle de la slnte). On n'n dl, d'uutro part, que lo comte do 'fromeln, pett-tlls du général, l'avat l'nl érger l'occason do son marage avec nno denosello S d'assez basse oxlracto, et que celle unon no fnl pas heureuse? (Kl) Coal-.Serlo ( la portodo Morlax, mas toujours en Ploujean) ; béllo proprété bosée qu' domno lu purte N. du Qtn do Trégner de 50 jours de terre envron, enclos de murs; la pne orentale comprend des terres, les pelouses el les jardns. Elle appartnt longtemps la famlle de.\l Houdn do Tromeln, par do l'vance. Le chteau, sur lu ponte S.-O., se compose do pluseurs corps de bùtnents. La pate lu plu.; velle et lu plus ntéressante penl remonter à deux sècles et dem ('parte S.) ; ton! le long de lu cornche extéreure, ««n remarque des pe-sonnages de GO centmètres de hauteur, debout, asss, dans des postons drolutques : au côté 0., ls sont en grant ; au eéto E., ls sont en bos ; l'un de ceux-c, par exemple, est un pett homme très barbu, qu, cheval sur un bouc, tent une fourcha sur l'épaule. Cl unt e veux manor, usage de ferme, s'.ppelle le Veux Coal- Scrw, au N. de la proprété. remarquer, nno tour ronde et nue lour Ctrrée accolées rejognnnt la mason d'nablaton donl la porte ost surmontée d'u! fronton dorque ; une porte cntrée et une porte ogvale, cote côte, dans un autre llnenl de la mémo cour ; le nnr d'encente, qu, sur l- veux chemn au N., présenlo une tour avec meurtrères, L'aceme chapelle état vers l'f], en dedune du mur d'encente, l y a longtemps qu'elle est démole ; on en vot plus que l'emplacement et (polques perres. Une autre ehapele, octogonale, et qu n'a guère l'ar d'un cdtce relgeux, avat été élevée près de rubaton, mas elle n'a pont serv au culte. (/ suvre).

10 L'ECHO DU FNSTERE L NDT QU VENT Par Jos PRJCER Sur le haut de la falase lya une lenne qu attend. Klo porte un pett enfant sur les bras. C'est la femme d'un marn ( u est venue l\, parce (pu; la nut arrve et que son homme est eu lucr. l fat une.sorée d'autonuo luu de et tède qu oppresse ; l'ar mampe ; la hr.sc de ner courhe à pene les fougères.sèches qu font une franche île pcîluche fauve aux dentelures de la côte. Un champ en frche, fum^ d'algues marnes, coupem-tot la chaumère que la femme vent do qutter, el qu, à mnsure que le jour basse, augmente de vgueur.sombre sur le cel pal. Des hron delles de mer rentrent dans leurs trous. Un goéland pas.se. codant lentement sur le vent, los ales déployées sans mouvement, se lassant aller on ne sat où, vers des cavernes qu'l connaît la unt. Kn bas l v a du rnm: c(! brsenu-nl sourd de la' lame ( u houle.sans brut el crève eu tomb'nt lourdement Quand les nuages.sont d'un gros blm tentés aux tours d'une bavure d; laque, (jue l'horzon esl rayé au couchant d'une barre sanglante, et que la UKT a sa robe verte de gueuse qu médte un mauvas coup, ce brut e.st snstre. lors ce tableau de la fcmuodu marn ([u attend dev'nt pognant... M cdle gueuse, s elle lu pnuutt.son homme! S elle allat lu casser ses rens forts, et lu torde la bouche ([u lu a donné hïs basu-s dont elle se souvent Volà donc la maîl'(!sse dernère, la rval; odeuse avec l.( ndte l faut comptfu' : celle < u tôt (u tard, les presse tous sur ses sens lvde-, el, les emporte péués sur son lt d'algues vertes! (Quelle anxhé et (pudle sondrc; fureur dans hîs regards de cette femme! L'enfant auss appelle son pér(! : «hd l/l!» (d, se cramponne à.sa mèrct comme s la vox du.sang n fasat comprendre son augo.se. Ml! rhomme d(!sclam[)s pcl s'arrêter le sor devant sa mosson, uand l(js nuages nors rohut sur la UKÎ ; l peut vor, dans un sgne du cel, l'ndce d'une prochane dév.'stalon, la l)ourrms( e écrasant. son blé, noyant le pan h S(!S efants, détrusant en uu! nut le prx d! s. sueur de tous les jours ; ja.-s l n'aura rangosanle physonome des gens de mer uterrogeaul du rîgard les horreurs qu surgssent d'dle avec les ténèbres d(! la nut ( u vent. ls labourent, eux auss, la mer ; la ( ullo do leur bateau c'est hur charrue, ( ont le HOC trace d(! rudes sllons dans les lûmes..mas parfos, dans ce sol moble et perlde, l se bulle à un roc ( u lo brse com! une lame do verre, el alors la mer so plaît à faro gu'tcu- de la char humane l ses monstres. C'est l'egras qu'l lu faut, el en C(da elle s enlend l'are pleurer les mères el les épouses.. La nu ([u vent... Quede lerrcrsnystérous(!s, que d'nsondables éngmes roulent d(us h!s tlols nors des crépuscules 1 Plus d'nvocmlons, de; plages blanches et odorantes, par là-bs, où la vague s'élale sous lî solel, dans un nrolenent de palh;ll(!s d or, avec un! mundalancm! de crétle.,\deux, (uols el eaux bl'us, chants (le la br-(! dans les (dvu's el les orang(!rs, /lt:-/f)r. de la volo qu ploe comme lo col d'un cygne? Mas vous apparassez, vagn"s profondes connu! des lomb(!s, lrlanl(!s cone des c'anls île, mort, blanches conedsslnceuls.. Un vousenlend dans le veut, cra( em(!nts de mats dont les vols se déclrentel s'evdenl comme des llacons d'('(;um(!, appels <ralaru(!, crs de d'sespo-, rl<!s des n y's, )us choc horrble de l'errondenknl suprême stôt (dl'aeé par rpassbh' lonpèle, - et, plus ren qu'un boullouekml au-dessus du- ([U(d h sombre corora vole el d'crt ses ronds... La l'eue n enhrassé son enfant, on se sgnant avec une [)elte crox d'argcut ( u'// lu avat donné; autrel'cns le jur de J'rnlu où ls s'étaent proms, l'.lle a couvert el serr! plus éroleneut le ell en le sentant frsonner au venl frod de la nut (ju vent. l y a dos )écleurs ( passent su h; senter. ls venuon d'accosl -r d nonlenl la Cala.se, lourds dans leurs.sab ds à jambères gonhvnk'es, charg('s de le-s rvés, de leurs.s'hc/'o'/.s' russelantsd de leurs ;grès do pè(du'. Tous ou la fcnne le tmr canarad! un regnvl slenceux, -- de cet d'l ([u a scruté d cu.îl le d uger, et, graveenl ls passul. Volà le vent ( u fradt. L. luu,' pl.- (pe sa cork! péle sur un (;d susl'e. Les feux des )har s s'allnnent. 11 n'y a plus (l(! oulles sur la mer (p connence à s"ap;ler. Les nuges roulent >lus rapdes. Décdément l y a de la lepele dans l'ar. Manlenanl beaucoup dc> anues acco.slenl sccessveenl. La fcne du marn hs a loles suves d'un reg.rd avde, [)our les r'(!(unaître dèsu'dl'.-. r(u'uaonl un pont à horzon, et Knl nanî, conue ses yeux sonl humdes (d voeul nuble, olle regarde en h^dans les r('usceu-es clares du (lassé. Sou père éll un pécheur de l'ors- Gwen, qu autrefos avat couru la mer d'slande. Elle ue l'avat jam.s connu ; l ne rvnl jnnus ; probablcenl l état On aurat tort de crore, d'alleurs, qu'entre la découverte de Nnrcsse mrant son mage et l'nventon véntenne des glaces, la femme n'eut pas magné déjà de contempler et de s'adorer elle-même. l a été découvert, dans les foulles d'ntnoo, une sére de petts mrors composés de sphères en verre sounlé, à l'ntéreur de.squelles état apphquée une feulle de plomb. Cel ustensle de tolette état porté à la centure par, le.s phrodtes et les La's des quatrè.ne et cnquème sècles de notre ère; à Florence, OT en trouve encore paraît-l de ce genre. Comme qu<^ la coquettere est auss velle que la femme! CHRONQUES RÉGONLES ssses du Fnstère Lste des Jurés Voc la lste de.s jurés désgnés séger au cours de celte sesson qu s'ouvrra à Qumper le lund 8 jullet prochan, sous la présdence de M. Frélaud, conseller à la Cour d'appel de Rennes, ayant comme assesseurs M.V.» Sgner, juga, el Le Scour, juge suppléant au trbunal de nstance de Qumper. Jurés ttulares MM. uguste Henry cultvateur à Poullaouen ; Félx Qurn, commerçant à Lesnèven ; Lous Martn, proprétare à Plounéventer ; Lous Fnoux commssonnare en marchandses à Douarnenez ; Eugène.Marécal, proprétare à Bresl ; Jean Nédollec, proprétare à Lo gonna Djo la^ ; Jean Bî.thelemé, mare de Lençon ; Jérôme Le Meur, cultvateur à Sant Thos; Emle Porof, mare de Penrnarch ; Charles Coyac, hôteler à l'le Tudy ; Jean Lous Chulo, mare de Gongal ; Franços Berncol, cultvateur à Plabennec. Lous Rtz, maîlre carrer ù Huelgoal ; Matheu Thalamot, proprétare à Clédeu- Cap-Szun ; Gabrel Lo Bras, proprétare à Guclan ; Perre LP HOUX, 1" maître de tmonere relraté à l'le Je Btz ; Prosper B'eldl, proprélareà St-Perre Qudbgnon ; René Olhver. cltvaleur à Bunalec, Franços Poulquen. cultvateur à Landvsau ; Théophle Hâmonou, négocant à Morlax ; Gullaume Bodros,* cultvateur à Lanpaul Gunlau ; Lau en! Glévarec, cultvateur à S lal-thos ; Matheu Lo Gac, cultvateur à EHant ; JeanCoadou, cultvateur à Plogonec ; Jean Krvern, cultvateur à Comnana ; lan Le Leap, proprétare à Châteauneuf du Faou. Yves Fchant, proprétare à Pleyben ; Thénphle Hua, négocaul à Brest; Jean Kerloc'h, proprétare à Penmarch ; L'urenlLeGall,proprétare à Ploudahnezeau ; Félx utret, retrate, à Qumperlé ; Yves Cornée, proprétare à Rosnoë ; Claude JC Gall, proprétare à Plougastel-Daoulas ; Joseph Ncolas, expert à Lanuls ; Jean Contanlem, clerc de'nolare à Plou'g eau ; Perre Cauganl, proprétare à Elern. Jurés suppléants. M.M..Mare Chmleclare, nspecteur pnmre à Q ua>per ; Paul La.-;seau, quncaller à Qumper ; Chsres Paschrd, négocant à Q lmper. MORLX Consel muncpal. Le consel muncpal s'esl réun vendred sor, sous la présdence! de M. Kérébrfl, mare. 11 état asssté do M.M. l'aul Le Gac, adjont, et léon, secrétare de séance. E l voc le compte rendu : Le mare lt une lettre du sous-préfet au sujet de rétablssement d'une balustrade en perre au Po;l-Bellec. Les conclusons du sous.-préfet sont adoptées. Etahlssenent de bans douches gratuts. Le docteu:- Bodros est fvoable à cet élablssement, mas l )enàe pe ce sera comme à la manufacture des taba's. où ces buns exstent et sont nnlhoureusement pou fréqu'3nlés. M. Pérou : Jd proteste ; s l'n-specteur générd, dans son r;4pport, a dl que le persounel de la manufaclurd n'usat pas de ces bns, l n'a pas dt la vérté. Tout le noudo y va, et mo môme j'en use u.e fos p u- semane. M. le docteur Bodros : Je sus très heureux d'entendre cel'. _ Nous souues tous" dsposés à établr des bans-douches à l'hospce. La ques lon est à l'étude. M. Héon : (> coûtera cher. M. le docteur Bodros : Quelques mllers de francs, une dzne envron. Le mare annonce qu'l a r;çu des demandes de dérogaton a la lo sur lo repos hebdomdare présentées par MM. Mngam, horloger, et Bonnaud, hôteler. Le consel accorde ces demandes. Etablssement de la tore du 4 jullet dte «Velle fore», à Sant-Martn. Le mare déclarant qu'l ne net pas d'opposton à ojte demande des habtants de. San-Martn, le consel accorde. Le pn^jel d'avenant au traté consttutf des collèges de garçons et de flles, aftoctant les sommes deunées aux prx, à l'achat de matérel scentfque, les fras d'mpresson du palmarès et autres, est voté. Le consel vote égaleaent," après ob- 8«rvïton6 de MM Gyader,- Crossant, Héoa et P. Le Gac, la suppresson des prx auxecolas communales, le qu fera, dt le mare, une économe de fr. La révson du tratement de M. Morn est ensute adoptée.. Demande de secours de Mme Saget, reuve d'un employé d'octro. Le mare demande d'accorder à cette dame un secours de 100 franc.s. M. J. L. Hervé : Je demande la parole. Le consel en séance off.^euse avat fxé le secours à 150 fr. Je voudras b'en savor a rason qu a fat que ce secours ftl dmnué. M. le mare : Cette somme n'a pas été absolument lxée. L'on est en présence de deux cas dfférents. Nous avons accordé 150 fr. à une veuve dont le mar avat 16 aus de servce, et qu u'est que journalère Le mar de.mme S^get n'avat que hut ans de servce et elle travalle à la manufacture. M. J.-L. Hervé : Ce n'est pas la rason que vous donnez, monseur le mare, qu qu a fat à la commsson des fnances voler cette somme. C'est M. Péron qu est venu nous dre en plene séance que cette dame gagnat à la manufacture cnq francs par jour. Cela en faux, et je donne à cette asserton le dément le plus formel. Cette dame état malade après la mort de son mar ; elle a reprs son servce depus peu de temps. Monseur Péron, le salare de cette dame se chffre actuellement à 3 fr. 42, et non à c.q francs par jour. Cette femme est rédute à la msère. Je dsmanle celte dame, que je ne connas pa.s, et ses deux entants, un secours de 150 francs. M le mare : M. Péron n'a nullement été en cause. l ne m'a ren dt à mo. Je ne demande pas meux qu'on donne s le budget le permet. M. Pérou : Je n'a pas eu l'honneur de parer à M. lo mare en celte séance. Le leudemn, j'a demandé au chef d'ateler de Mme Saget quel état son salare. J'a constaté que son salare actuel comme le dt le camarade Hervé, esl de 8 fr. 42 ; mas elle a eu, le trmestre derner, un salare de cnq francs. MM. Châtel, Péron et Guyader parlent, à la fos. On entend M. Chàtel dre : î C'est honteux!» M. Gnyader à M. J.-L Hervé : Vous ne devrez p:s fare de queston personnelle. C'est malpol de votre part. Vous êtes uo mpol. M. J.-L. Hervé : Je vous remet ce. M. le Mare Je vo s propose (e voter la somme de L^O l'r. Mme Sget. M. F. Hervé : M. J.-L. Herve vous a dt que s vous volez 150 fr. celte année, vous pour'z lédure celte somme, ran.ée proclhne, à 100 fr. M. Chàtel : C'est cette année qu nous regarde et non l'année prochane. M. le.mare : Vous voulez un secours mmédat!e 150 fr.? Je mets la queston aux vox. M. F. Hervé : Je demande qu'on se range à a décson de la commsson des lnhuce?, (l'esl-à-jre à la somme qu'elle a volé celte dame. M. Péron : La comms,son n'a ren volé du tout. \. le Mare : Je mets aux vox la s mne de 150 fancs la veuve Saget. La somme de 150 francs est votée par tous les consell.'rs sauf une dzùne. Créalon d'une nouvelle classe à [école des /nes de Sant-Martn. Le consel, en rason des nombreux élév^'s, vote celte créalon. Uu crédt supplémentare de 136 francs solde dn fas do séjour de Franços Le Gall, à l'hospce cvl de- Brest esl également voté, ans qu'un crrdt supplémentare de 359 fr. 34 solde de travaux du pavage de la ruo d'.\gullon. Groupe scolare de la rue Gambetta Le consel vote, sur l'exercce 1907, un En tê'e marchent MM. Marcelln lbert et M urce Reynes, adjont au m lre de Montpeller. ls sont encadrés de sol( ;s gullards du comté dwrgellers Derrère eux vnnnent ceux des Pyrénéas-Onentales, de l'ude, du Gard, ceux de l'hérault ferment U marche. Los ovatons fates à M. Marcelln lbert sont nou'es, ncroyables; cet hommo est lo vértable maître du Md. u cours du meet'ng..m. Maurce Reynes, adjont au mare do Mont pclle-, a prs le premer la parolo : Soyez les benvenus, s'est-l écré ; le drapeau que vous avez déployé et que vous t'înez haut et ferme, et qu abrte sous ses pls généreux des foubs mmenses, n'estce pas le drapeau de la France. ssez longtemps le drapeau a sgnfé : Honneur au cour;y;o tnalhoureux. Dorénavant, l (lotto au vent fraternel et nvncble de l'unon, avec cette devse : «Fas ce que do's. Sus à la fraude 1» «Vve le Md : Vve la Franco!» Pus Marcel'n lbert, longuctuent applaud, a prs la parole, d'une vox émue. Voc les prncpaux passages de son dscours : «8oo 000 hommes sont là. C'est l'armée du traval la plus formdable qu se sot jamas vue. E'e est pacfque certes mas résolue à tout C'est une armée de gueux Elle n'a qu'un drapeau celu de la msère. Elle n'a qu'un but la con^ute du pan!... «Une dernère fo*? qu'ls se débroullent, nous voulons vendre nore vn! Plus que jamas testons uns sans dstncton do parts et sans dstncton de classes. Pas de jalouses! Pas d'ambtons! Pas de hanes! Pas doj )ltquo!!! Tous au svndcat de la défense vt'cole! Vous ètys d'avs qu'l faut prendre des mesures énergques! \'ous êtes résolus à ne plus payer d'mpôts. Qu'on ne venne donc plus dans nos communes ch'->rcher ce que nous n'avons pas!» l me reste à fare devant vous un deuxème «esto. Vous avez décdé à la dernère réunon de Montpeller par un ultmatum qu aujourd'hu vent à échéance que toutes les muncp.ltés des départemants fédérée devraent démssonner le trosè ne jour s ceux-c n'ont pas satsfacton. L'heure est venue.,,,,»le ctoyen Ferroul mon ldele leutenant vous donne l'exemple. La démsson d^ toutes les muncpaltés est proclamée. Vve à jamas le md! Vve le vn naturel!!!» Swaftprès le dscours de M. Marcelln '"^CT^rt, M. Ferroul, mare de Narbonne et ancen député, a p-s la parole.. Que toutes les muncpaltés donnent leur démsson ' Mo, tout le pemsr, quand le tocsn sonnera je fera amener le pavllon muncpal et je jettera mon écharpe à la face du gouvenement. >> Ces paroles sont saluées par un tonnerre d'applaudssem?nts. Délt d a processon? Noyers, localté du département del' Yonne, où habtuellement sévt le plus farouche antclércalsme, quatre procès verbutx ont été dressés, le jour de la premère communon, contrs le curé, lo vcare,le susse elun prétream, venu la crconstance. Leur )éché? Délt de processon. Connj l se justfat, vous allez en juger. L'églse est séparée du presbytènpar une ruelle, large de deux mètres. Or,-^senfant--,en sort mt del égl^e, fjrent ramenés, sur deux lgnes au presbytère. Lej prète- M étaent pas revêtus de leurs ornements sacerdotaux. l n'y avat n crox, n bannère, n chantre Seulement, l est arrvé que le susse, sort le premer, se trouvat en avant. Horreur! l Républauo est on pérl 1 et on a verbalse... Noy.TS, où s'est déroulée cette ndgne coméde, est stué sur le Seren. C'est peut-être ça?... Les démssons pleuvent Conformément au mot d'ordre donné par lo meetng de Montpeller, les consellers muncpaux de de la plupart des communes rurales ont adressé leurs démssons au préfet de leur département, notamment dans l'hérault, l'ude et les Pyrénées-Orentale -. Les effets de ces démssons commencent h se faro sentr et ben dos marago?( n'ont pu être célébrés. On veut supprmer totulemant la ve adrnnstratve. D ns un certan nombre de communes des murs ont été construts devant la porto de la mare empèclcr d'y pénétrer. Pluseurs consellers généraux et consellers d'srrondssement ont également démssonné. Le comté d'rgelers qu, avec Marceln lborl, a prs la drecton du mouvement, nvte, pr un nouvel appel, la populat on au calme le plus absolu pouvor rempo."ter la vctore. ECHO DU BNQUET lylscurud Ben qu'un peu tardvement un écho du Banquet Ma-:curaud nous parvent. Ou a en ohet constaté avec regret l'abs tenton de la presque totalté des connerçms le rarrondssemenl au banquet o/"- /(,'// C.) à M. Mascuraud qu avnl objet de fre prendre aux commerçants un contact llo avec le présdent Général du Comdé du Commerce, de l'ndustre et de ['grculture. 11 e.et certan que lo com.nerce a été représenté par uno mnorté ntme alors que les poltcens et leus satelltes les fonctouaros s'y trouvaent les plus nombreux el les meux placés. La présence de ces b dgélvores enlevant à celle réuro lo caractère purenont commecal qu devat l'n.sprer, avat nalrellenenl écarté les vértables nlére.ssés qu se seraent re;uls en plus grand nombre écouler le grand homujo, moyennant chacun son écot. Pourcpo la présence do ces fonctonnare; une réunon ayant but lu prospérté du commerce et de l'nduslre?.mystère et poltque! L QUESTON DU RCHT EN BELGQUE On lt dans le journal la Meuse, do Lège : M. Groul, député de Huy, vent d'à drosser à M. le Mnstre des chemns do fer, la queston suvante : En présence du désarro persstant plus que jamas dans l'dmnstraton dos chemns de fer et de l'ncapacté avérée du Mnstre do reméder ù cel étal de choses dont soufl'rent l'ndustre, le commerce et les voyageur.s, M. le Mnstre n'estme-1- l pas qu'l y au.at leu l'etal de renoncer à l'explotaton des Chemns de fer et de remollre cette explotaton, par voe (l'adjudcjtou, ù des socétés partculères? LES GMTÉS DE L& SEMUNE Comnont on prend l'ar franças. - Les palmes belges - Nos apaches et les étrangers. - Deux consels qu'on ne suvra ams. - Les voleurs belges ot les tourstes. - La csqugtts d'h-baba. - Doux pays. Je me demande un pe quo la Belgque n'esl pas res:,é3 fr.tnçase. Le destn nous l'avat donnée, l eut dû, êt-e logque, nous la conserver. Mas la logque et le destn sont ca.saners et ne vosnent guère. Et volà quo les Belges sont Belges! Récaptulez donc, en effet, les affnés des deux peuples: les lttérateurs de là-bas emploent l'argot parsen dans toute sa pureté tands que pas mal des nôtres écrvent en «belge,» nos théâtres, celu de M. ntone en tête, ne jouent que des auteurs d'outre- Meuse, et s nos dramaturges n'avaent pas la ressource d'aller présenter leurs ours au publc de Bruxelles, d'nvers ou de Lège^ l'art franças demeurerat gnoré ; nos vosns nous prêtent leur ro, nous leur cé 'ons nos prétendants, nos consprateurs, notre socalsme et nos banquers...et lout cela n'est ren auprès de ce que je néglge. l n'y a pas à dre, l'âme belge est une âme ben françase et, par co temps où notre pauvre pays est décré et malmené, c'est tout de même uno consolaton, les patrotes que nous sommes, de constater la chaleur et la f lélté de cette fraternelle affecton. Tenez, je vens d'en trouver dans les journaux de Bruxelles une preuve nouvélle, s touchante et jole, autrement séreuse en tous cas, que les phrases. Jugez d'alleurs! Dans la félcté d? nos vosns, l n'y avat jamas eu qu'un nuage : le regret d'être encore un peu «couleur locale ï et do ne pouvor fare absolument confuson avec nos compatrotes. Cela désolat ces braves ams. Comment fas-tu donc. Monseur, nous d-ent-ls à l'oocason, avor l'ar s franças. Cependant nous parlons comme lo, une fos ; nous chantons ta musque, nous lsons te.-; romans, nous frayons avec tes' fnancers, nous entretenons même les danseuses godferdam! Et nous avons quand même l'ar flamand. Que nous manque-t-l ds, Mon-eur? Ce qu manquat, on vent de s'e apercevor, c'état un ren, s l'on peut dre : les palmes acadàm^ues. Est-ce que tous nos compatrotes ne se d-^tnguent pas à co sgne partculer qu ls ont la boutonnère lserée de volet.? Mas mantenant la joo brabançonne n'a plus de bornes, car les naturels de la lue delà Montagne aux herbes-potagères n'auront ren à enver aux ndgènes de la rue des Petts-Carreaux. Q l aura vu ceux-c ra les confondre avec ceux-la, car le ro Léôpold, père du. peuple et protecteur naturel dts artstes, vent de créor à son tour l'ordre del'nsttuton publque». Ben entendu, les palmes belges seront, à l'exemple des nôtre.s, exclusvement réservées aux membres de l'ensegnement, mas j'a ben dt qu'à Bruxelles on a l'esprt parsen et, va Monseur! avant sx mo«, les oabareers, les bandagste.s, les montreurs d'ours, les sergents de vlle, les masseuses el les bonnes d'enfants auront la potrne en d;m-d<ul. Quant au reste de la populaton, son tour vendra, à mesure que la producton ndustrelle du ruban peran-ttra de suffre aux commandes. S, après cette réforme, on parle encore là-bas, de révoluton, c'est qk; les Belges seront nsatables. Mas non 1 les Belge? sont des gens charmants. Je ne sas plus quel poète, ou quel casser roconna?.- sant, a célébré en alexandrns la délcatesse de leur hosptalté et leur adorable altru sme. Celu-là n'a ren exagéré et je prétends mèae qu'l est demeuré nfnment audessmusdc la réalté. Leur seul souc est qm l'étrager qu les vste conserve d'eux un bon souvenr. L'amo'-p'opre nalonal avant tout. h! ce sont des patrotes! Un exemple. 11 est de notorété publque que, chez nous, les apaches dévalsent les voyageurs. Celte coutume est mêue s 'répandue que l'admnstraton prévoyante a dû rappeler ceux-c à la snrveulance de leurs poches. Entrez dans une gare de chemn de fer. deux nscrptons \ous sauteront mmédatement aux yeux : l est tnlerdl de cracher par terre et Prenez garde aux voleurs! Je m'empresse de constater, non sans mélancole, que ces sages consels n'ont ren à changer à l'ordre des choses : les tourstes ne se sont pas accoutumés à cracher en l'ar et ls contnuent phlosophquement à fare la fortune des flous. Ça prouve une fos de plus comben les velles habtudes tennent au cœur de l'homme. En Belgque, c'est ben autre chose ; non seulement les pckpokets ns volent pas les étrangers, mas, au contrare, ls leur garnssent les poches. L'hstore est délceuse. Un allemand, de passage à Bruxelles, acheta chez un chapeher une casquette dont l'orgnalté lu plut et dont l se coffa ausstôt. Promenade en vlle, vste à sante-gudule et notre homme revent à l'hôtel où, dans son pardessus, l trouve sx porte-monnae garns. près l'effraernent que vous pensez, le monseur reprend ses promenades toujours coffé de même manère. Et le sor...l avat douze porte-monnae dans ses poches! Cette fos, l conta sa mésaventure à la polce qu le ft suvre et découvrt la vérté. Sur commande d'un ndvdu qu lu avat rems l'étoffe, le chapeler avat confectonné qunze casquettes et sur la pèce en avat fabrqué une sezème, celle vendue à l'llemand. Or les qunze couvre-chefsétaent destnes aux afflés d'une bande qu se reconna.ssaent à la coffure en queston ot qu avaent consgne, un vol lat, d'en remettre subrep'.cement le produt à un» confrère ï passf dont le sgnalement, casquette comprse, répondat à celu de l'llemand. h 1 Belgque! h! doux pays! 11 n'y a que chez to que les vobntrs ont des ntentons parelles déambulant Georges ROCHER Unon Régonalste Bretonne VS MPORTNT L'Unon Régonalsle Bretonne a l'honneur de rappeler à toutes les personnes (Ju désrent prendre part aux dvers coucours annuels de l'assocaton dont le programme a élé publé au mos de janver derner, pus reprodut dans le Bulletn de l'unon, en mars, que tous les manu.scrts dovent ôre envoyés, sans faute, avant lo dmanche 30 jun, à M. de L'Estourbel-, on, drecteur de l'u. R. B., OU, rue de 1 rcade, à Pans. 11 est ndspensable, en effet, <1 le les dlférents jry^ pussent examner les manuscrts dès le commencement de jullet, eu rt-on de l'époque hà've du CTUgrè- a'muel qu a heu à Rostrenen du 9 au 13 août projhan. NOTES D'UN MORLSEN Uu Monseur lés grave vent de se lvrer à une statstque cltrayat te. l a cal culé solennellement, mptoyablement, le temps qu'une femme passe deval son mror au cours de la ve. l prend un espace de temps comprs entre sx et soxante-dx aus. 1 ostmo que la lmeue, d3 s.x et dx ans, resl^^ chaque jour, en moyenne, sept mnutes deva t sa glace ; do dx à qu ze ans, un quart d'heure ; l- jeune ldo do (unze à vngt ans, vngt-deux nnules ; de vngt à vngt-cnq ans, vngt-cnq mnutes; de vngt-cnq à trente ans, selon notre calculateur, la femme reste, par jour, une den-houro devant sa glace ; o'es' lo maxmum. De trente à reule-cq ans, la cote descend à vngt quatre mnutes ; do trenle-cn(( à quarante ans, dx hut mnutes. Elh, de c uquante à soxante, elle n'esl plus quo de sx mnutes, comme dans le jeune âge..\u total : tros cent quarante-neuf mlle cnq cent soxante-qunze mnutes, c'està-dre plus de deux cent quarante-deux jours. resté dausa merde brume. Sa mère état dans la terre, près de l'églse de l'erros, sous une crox nore avec des larmes blaïudes.. v ce oncnt, comme l sombre b tmo d'une tole s'enlève une lgure ('bloussante, vers elle s'avançat, radeuse el blanche, la vson de sa jeunesse. Le soulle du vcnl jclat à son àe toutes los odeurs des prés et des courlls, les bor- (lonneonts lés qu bereaent sou sommel dans le goënon sec ou dan- l'erbe nouvelle ; tous les hruls'fanlers d'autrefos les ars p nonaenl les rondes, les (;ant( U(!S du banc d-l'école, les envolées relgeuses de la cloche, le jour où elle vnt s'unr à ses compagnes former toute une pette légon d'anges en blanc ; pus oh! cdte fos c'étal un sou remplt de mystéreux chuchol'wnls qu la fasaent frsonner un son qu'étoul'- faent les ball.'nu'uts de son cœur el les trasallemenls d(> tout son être, paud, sous leporche, elle passa lro )haleent, épouse son bras. Comme l état beau, el comme lb.lacal créueent sa solde carrure de atcdol!.. Ce sor-ly, lo venl ( u prenat sa grosse vox comme leur fare peur, n'avat ren de snstré ; ])Our eux. l (d;nlal la porte. c(unme un cer d'-plhalame, la )ossesson des joes d'sn'es.. Et auss. plu.>î proche encore, ([uaud le pett état venu, celle fos où la.sonnere avlt annoncé son allégresse de nèn;. Ks-co donc mantenant ([ue cotto clocho béne s'apprêterat à tnter un glas! Kstce quela splendde mage deson passé.!?a conlance serene dans l'avenr, allaent stôt.s'enfour da s l'horreur d'une sépulture? Serat-ce possble. Deu du cel! là. dans celle moustrueuse mer!.. Un s:>r, ; l'ors (won, olle SL; souven.l mantenant, un sor île gro.sse mer (ju'rlle 1 av.tl cleu et qu'ls vgardaenl les camarades carg u- dans la lrecton du phare des l'rago, un d'eux, en pas sut, avat frappé sur l'épaule desonmar en dsant : «Tu ne vens par to, Perro. fes un oucrau, mas bah 1 un peu plus tôt un pou plus tard., quand les congres auront fam» Klle s'état brus(penenldélouru('e avec un fr son, et, un nstant, aval fxé sur le snstre plasant d syeux hagards d'uno lueur étrange. Klle eul'un arrêt doulou- ^ reux do son souflle, el en une étrente trem- 'blaule ot slenceuse, elle crul défallr sur le bras qu'elle serrat L'hommo état part. Hut jours après, une pêcheuse de Plô-Manac'h le trouva sur la grevo do Tez-Trao, ( u verdssat dans les algues. Los congres avaent manqué celu-là.!.y Suvre)

11 L'ÉCHO DU FLXSTERE crâdt supplémoularo de fr., emplo de l'emprunt. EdûcEs du culte. Le stnlu quo est mantenu l'assurance contre Tmcende de ces bâtments. Bourse communale. La lste dos canddats adms à prendre part au concours de 1907 est approuvée. Comptes et budgets des collèges des garçons el des lllos. M Hôon, rapporteur, donne lecture de ces budgets, dont les conclusons sont approuvées à l'unanmté. M. Guyader, rapporteur des comptes et budget du bureau de benfasance, donne leclùre de ce rapport. l s'appue surtout sur l'orphelnat et trouve que la plupart des ressources du bureau de benfasance sont affectées à cette nsttuton, au détrment des pauvres, 11 demande e les camarades boulangers de l'établssement ont le repos hebdpmac'ao. Nf. le Mare : Ou, ls l'ont. M. Y. Guyader dt que les ras de l'orphelnat, avec lo trement des.sœ'rs, des maîtresses, des cutnères. etc., s'élèvent a t'5 (>25 fr. ce qu, daus un budget de fr. 18, n'est pas ren. Ou vot donc, dl l, que les dépenses l'orphelnat grèvent énormcmen le bureau de benfasance. Je cros (ju'on ne saurat trop attrer l'atlenton sur cette queston. En conséquence, j'émets le vœu do ds trare cet orphelnat du bureau de benfasance. M. le docteur Bodros : Jo sus ôutèement de cet avs. M. Guyader: L'orphelnat est uneœnvro évdemment utle. Tous les fonds du burea; de benlasance appartennent an.c pnvres On ne do» pas los dstrau-e de leur budget. J'ajoute quo la vlle devrat ben adjondre uu orphel lat de garçons. J'a le regret do coosla;er que nous n'avos ren lat de ce colé. M. le Mare : S nous trouvons un donateur comme M. nge de Guernsac, nous rons fare quelque chose. M. (uyader : S seulement l y avat quelque chose do proposé, mas l n'y a ren. J'émets le vœu de lu --^r le bureau de benfasance. Lorsque tout dans l'e'at, tend à la la'fcsalon. j'estme qu'une vlle démocratque comme la ôtre se dot de suvre le mouvement- l nous faut mettre d'accord avec n s dées. Nous nous sommes, c n prncpe, unanmement déclarés radcaux, radranxsocalstes. l n'y que M. l dros pu a dt qu'l état républ'un. (Rres). M. le docteur Bodros : Vous parlez de laïcsaton. Est-ce que nos enfants no vont pas à l'école publque? Qu'est-ce que vous réclamez comme la'csalon? Et-ce laïcsaton do nourrture? Est ce la nourrture relgeuse? On leur donne des hfrcots relgeux, des pommes do tores rehgt'uses. (Rres). M Guyader : Pourquo l'avez vou.< pro ms? J'auM voulu demander au consod do péceer ce vœu, c'est--dre, den ander s le consel état d'avs que l'on crée nn orphehnal de.garçons; s'l ent d'avs de la'cser le bureau de bu nfasanco. M. léon : Ce sont de gro.ssps questons qn ne peuvent être débattues aujourd'hu M. le Mare : Je ne proposera pa j la que.^on o je votera contre. Je no vos pas la nécessté de laïcser le Bureau de benfasance. Vous ne demandez pas l'hospce non plus? Votre rapport e.st très ben, mas vos vœux, non. M. Guyader: Vous pouvez les mettre aux vox. Je demande s'l o-1 j ossblode dstrare l'orphelnat des llles du Bureau de benfasance. Je dertande que colle ne.s! on sot mse à l'ordre du jour. M. le docteur Bodrcs ; Cette que lon e.\-le depus 20 ans. (Jn donne.'loo f.'cs pf r chaquu fllette qu entre au B reau do benfa'sance. Commencez jar ren ro l'ar gent.,m Guyader: L bureau n'est po toléré. M. le Mare : Pardon! l e-t aopronvé. M. Guyader : Jo demande qu'on nule la queston à l'élude tt qn'on nomme une commsson ce sor..\l lo Mare: Je mots les concluso:.s du M. Guyader aux vox. Le consel sur la dcmmdcde.m. l'un Le Gac, remet ce vote à deman mod, rensegnements complémenteros. M. J.-L. Hervé, rapporteur de l'hospce cvl, donne c-clure de son rapport."les conclusons de co rapport.sont a loptoes par le consel. M Tanguy, rapporteur des comptes et budget» de la commune, lu succède. Le mare se letro, et pre le consel de nommer un présdent pendant Bonabseucn..M. Robbe, doyen d'âge, prend a présdence. l dl que le.s consellers sont tous d'accord adopter les conclus ons du rapport de M. T.mguy, demandant quo des remercements soent adressées à la muncpalté el au mare, la borne geston de.s comptes admnstratfs. Sur la proposton de M Hobbe, des remercements el d^îs félclatons sont volés au mare, à la muncpalté et aux rapporteurs dos comptes et budgets. Le mare rentre en séancft, M. Robbe lu transmet le vote du consel. M. Kérébel rînerco lo consel. l recommande aux consellers de no pas voter trop hâtvement cerlans crédts qu sont demandés, parce que lo budget n'a pas toute l'élastcté voulue. Les recettes de l'alcool dmnuer,!, co qu est un ben la ganté publque, mas un mal le commerce. Je sus heureux de vor nette dmnuton. Je vous remerce de nouveau des marques de confance que vous avez ben voulu me témogner. Le mare met les conclusons du rapport de M. Tanguy aux vox. Elles sont adoptées à l'unamté. l lève la séance en convoquant los consellers à deman, la contnuaton de l'ordre du jour. Voc le compte-rondu de celte seconde seance, tenue samed sor, à hut hou es M. le mare annonce qu'l a reçu une lettre do M. Gny^dcr, lu dsant que ne pouvant a-sster"à la séance de ce jour, l lu remotlht les conchnons du ra; port des comptes et budgets du burean do benfasance. Ces conclusons, mses aux vox, sont adoptées. M. le Mare : je vos neltro aux vox la mse à l'étude du bureau de benfsaoo, vœu présonté pur M. Guyador, quoqu'l sot certan ((ne l'état actuel de nos llauces ne nous le permelto pas. M. Ch. Le Febvre : On peut présoncr la questo: sous uno nure l^orme. ctullemont, nous ne le pouvons pas, mas lo cas où l'état de nos lnanc K le permottrat, à l'avenr, on ra t pcut-ôre lo fare. M. te mare : l y a d'abord un mmenblt) d'me grande mporlnce qu a élé acqus par des dons Des.smurs ôno ont consacré lne pu le de leur fortuno aeqnj rr des mmeubles vosns, afn do s'agrandr. ujourd'hu,.s vous voulez dstrare rorplelt de l'etblssomont, jo ne sas ( u- conmcnt nous ferons. M. lo docteur Hndros : S on vent lâcher l'orphelnat, ce sera 110 cnfans (p'o jettera sur lo pavé. M. le Mare : ^'ous vou'oz l''cscr? Jo vos poser la qesuon au consel; ou votera comme on vouda. M. de Jaegler: Nous savons ( no la Kucsaon ne peut pas ùre fado, faute de fonds, mas nous ne pouvons \otor la mse à l'é'udc.m. le Mare. Tous les enfants de l'orpholnat vont aux écoh^s la'ùpes. M. Le tîad : la l''cfaton de l'école, c'esl très ben ; mas l reste autre chose ù l''cser. M. f. dcelour Bodros: S vous la''cspz le bureau d; b nfas.nco, l frrvnta qu'au len dos sunrs, qu coùent très peu, l nous lauda un personnel la'qne, qn nous Cl lea beaucoup plus. M. le Mnre : ujourd'hu, t utes les vlles qu ont hïcsé le regrettent. C'est un vé'ab gtcls, un gaspllage non' dos deners communaux. Le mare mtl aux vox le vœ' do.m. Gnyader, rappoleur du bea de benl'a-ance. l.a q:eslnn : savor s c'est praltpe do dsjondre Orphehnal du bureau de benfsance, rd'odle ntro vox la dsjoncton. l en e>t de mue jonr la que.ston de la laïc.saton, M. Tanguy, rapporteur des comptes et budgets de la commune, contnus laï c- lure de son rapport, qu n'avat pu être termnée er. Lo chaptre des recellc-; e.st volé. Les sectons de à 12 des dépenses sont également successvement votées. L'ensemble du bu îget, ms aux vox est adopô à l'uanm té. vant d' lever la séance. «mare adresse des félctat.ons à M Tanguy, raplorter du budget de la commune. La Fête-Deu. nmanche ont ou leu les pocegsons do la Fête-Deu ponr 1ns parosses de Sant.Mclane et Sant- Martn. Ces processons, dans un ordre pnrft el favorsées par un temps spend le, onl ont suv leur tnérare habtuel, l'une lo matn, l'tre l'après-nd. Un publc très nombreux y ansstat. Récompenses au dévouement. Le mnstre de la gere a décerné les récompenses suvantes aux personnes désgnées e après jour leur dévouement el leur zèle au ('(nrs de répdénle de lèvre typhoïde ( d a sév en l!)0(> sur la garnson de.morlax : M''" Mengant.Mare Fran(_'o.se, on relgon.so'r Sant-naury, spr lnspta- ère attaelée au servce des salles nllats, luédalkf d'argent; M. Hranstettor Lous Constant-f'alle,.sergent rengagé an S" n'gct d'nl'antero. édall; de bronze;.m. l'olucn Frédérc lexandre Mare, solda de l cla.s.se à la l'' seclo d'nlners, médalle de bronze; M. Le Floeb.lean.Mare, soldat à J ".seelon d'lrrers. val déjà eonlr'dé eeto ulveeto en sognant uu do ses camarades. Médalle do bronze. Habtatons bon marché..v tenues d'nn déeret mnstérel en dale du.") jun, l (sl nsllu' dans le départeenl du Fnstère un comlé de paronago des labtalons à bon marché et de la prévoyance soeal!, compos* de nenf membres ayan ereonscrplon ledéparlcuet. Notarat. L'exaoen.' subr jnr les canddats ;x fonelons de ndare ayant l'at leur slane dans le déparlrncnl dn Fnslere esl lxé au jeud jullet, pruean ï neuf lerem du maln, au Sège de la Chambre dos Notares de l'arronds.semenl de (Jmp'r, rk; du l'arc, " 20. Les eanddals à eel examen dovronl fare parvenr leur dosser à M. le Présdent de la Chanbrt! (les Notares de l'arrond^seent do (Jner, le danehe :0 jun au jls lard. Le pan gratut. -- l,e Consdl d'ad nnstraton de la socété de sîcors mt KMS «' le Pan (ralnt... s'(.'st réun Î' 1; Mare, le danel; 10 jun. l.a stalo lnaneère s,' résne com me sut : Solde en ea.kse an,'!() ;vrl.. TK fr.'.)! /t'rcll's : Les drots d'admsson el les ('(dsalons des elres partcpants eu ma. so sont élevés à Total 7t2fr. o; Ofputsrs : Les secours al lrbéset los fras s(!.sont élev's à 17fr.7: Solde en (;as.s(! au.'11 Mn. 744 fr. :() So sont fat nscrre dernèr(menl con K! enbres honorares : M.M. laon et Kervellee ; MUK! Smon, ro (abella M. lranollec, enlreprener ; Mu; de K(! rate ; M. du l{or( uct ; M. Salo', en ployé (1(! eoerce ;.M. j'.obo, eonser valeur des llypolhè( (!s. Trbunal correctonnel. Lo rbn nal prononce les eodanalos suvat les : U Perre Tarro, journaler à Morlax, hut jours de prson volences^ outrages el rébellon aux agents, et 5 francs d'amendo vresse manfeste. Malhurn Trévédy, 4 mos do prson par défaut ponr vol! Franços Tallanter, sans domcle lxe à Morlax, 8 jours de pr.son vol. Franços (orndon, talleur d'habts, sans doelo lxe, 2 mos do prson et 2 ans d'lerdclon do séjour, [lour vresse récdve sur opposton. Franços CuégM, mamevre, sans domcle lxï. sur o^poslon, 2 mos do prson ol 2 ans d'nlerdeton de s^jour vresse manfeste el récdve. Yves Le Ulan, de Sant-Pol de.'-on, nsultes au commssare do polce, 20 jours (le (rso el vresse manfeste, 5 francs (raeule. Cjs r hh'sxurc.t. Franços Keryel, drgeat vers Morlax. cultvalenr ;Y l'ongoven, l.' jours de prson.'vec surss coups et blessures ;.leane Keryel, ellvalrce, 'O francs d'aonde avee surss le même motf. Flenu,' (orvennee, journaler, de St- Pol do Léon, 13 jours de prson avec surss coups el blessures. hua de mu fance. Oclavo Drouîn, sans doele lxe. mos de prson vol d'alukmls et abus de eonlance. 'fros all'an.'s onl élé renvoyées snpplénenl d'equèl!. 'Vol de vn. tîoasgen..'(3 ans, terrasser, surprs à la gare, trant du vn d'une barrque ([ se trouvat sur le qua, a été condamné par h trbunal dos flagrants délts, un mos de prson avec SU'ss. La «Morlasenne» Le îj" concours régonal de lr aura leu le dmanche 2.3 jun, de sept \ onze lenrcs du maln et de l à eu heures du sor, au lnp de lr de la f^arson. o Tr(dl'erl à.mm es offcers do toutes rmes, guerre et marne armée actve, éserve el armée terrtorale). Ce lr aura leu de lt heures à onze leures el de d'x à tros heures les socétés enpéclées le matn : tros prx. Médalles el nenlons. décernées au nom de.m. le mnsre de la gerr!. Concours oll'ert aux socétés de tr: lex prx, deux nenlons. Ce tr aura e de hut heures à onz(; hures. Poule d'onnhr : dx prx, quatr; nenlons. Séres llécs de tros ulles. Prx de a séro : un franc. 4" Cble slloutte : quatre prx, cm nentons. >" Concours d'honneur : quatre prx, deux nenlons ~ Co concours est ouvert à tous. 'fr au revolver (modèle 1802). Tr nterllan ù 20 mètres sur cble do l'u non l'oulc d'honneur : tros prx, tros menons. Séance do chmre des socétares lo dluanele 7 jullet^ de 8 à 11 heures. Mouvement de la populaton. - nu l. jun. Dn G.N1SS.\NC1î;S. Madeleno-Mare-Thérèsc Floch, llle de.eun-honé el de Mare-Yvoe téger, place St-Ncolas. Madelene Henry, flle de Franços-.Mare et de Suzanne Bnjnn, rue des Ecoles n" 1. Emle Le Gnll, lls de Yves et do Jeanne Doulvon, place Dnnesul. Eugèno-Mnro Guégan, lls de llerculc-jean-.\lare ot de Jean-Mare Hozcc, rue Haute. Charles-Lons-Porre Messn},'cr, (ls de.lenn-franços-perre-mare et de Mare-.lennne llerlan. rue Gambetta. M.e-.loséphe Lavoc, llle do Jean 0', do Mrla-Laurenco Snon, rue Lonj,'ue, 23. ndré llerrou, lls do Yves-Mnre, cl nnn-yvonnc C.lonc'h, route do Callac. - Jcanne-Gnader, flle de Joseph el de C.alhere-l.ouse-llélène Lnnada, rue de Rrcst. 28, - Louse Poder, flle do Jean-.losepl- Suznnne-Maro cl de Mro-Pcrrne Lo llr, place Sl-Martn, 1. Jule: Délez, fls do Fr.mços cl do.\nnc-maro l.oznch, ro du Mur, ;!2..caïue-Mnro Dohollou, lllo de gnsle el do Mare-Pen no Le lras, rue des Brebs, (l. Pt'BLlC.VflONS DEMltltlES. - Néant MUGES. Cos-Mre Slslas llano, tapsser, à Brest, 23, el Marc- Perrne-tîostHc llel, s. p., rue Haute, 2. Cl.rbîS-Mae Co un. marn de comme'co, et Marc-.lncqette Mocaor, faclrce à Plo^oa. DECES- Yvcs-,oa-Frnîos Hopars, ) mos, rue dos Fontnncs. Ho vé (,)nélcn, 17 nns, (prler du Clullenn. Hcî'r V o non, veuf de Mare le Houx, "5 ans, quarlsr dn Cl.'lea. Olver l'card, époux de Yvonne.Mronuot, 3.') ans, pnrtor du Chteau. Franços-Maro turber, éponx de.mre-(jal)rolle 'flons, 20 ans, rno do Pars. Georgeo-Mnv,cl-.ean-Frnn(;os Ha mon,; ans rno l.o!,'uo, Maro-nnc Thélloux, n ans, rue des E'oles, t. Ol. vcr-.mnro (Jucré, é[)0 x de.\lure-;\no Croffuenneo, 3S ans, pnrler dn Chleau. Yves Nédcllee,.01 nus, ptrler du (îlntoau. Sant-Pol de Léon La fête des Vétérans. La fje do la 22'!' secton des Véérans aura leu lo dma lebe Kjun. Voc le programme: 8 h 1/2, messe à la ba.-lque, vste «u cmetère ot dépôt de couronnes au ped dn calvare ; à md, banpel pnr soscrplon chez Mme veuve Roaloc, bôlelèrt, p'me do ré\oclé. fn l'ab^enco de.\. H. de Kodrel, présdonl, la eérémoo sert ju-ésdéo par M. {o:é t.zellvî, vlle ré-. lent l'or le bap'j, los velér-s sont pré.s d'ule^ser 1 r- allesns au camarade Uollnd, ne (^ado. Sosc'pton : deux frauc.b. Plougneau Consel général. D manche ao ma avat leu ï l'ongneau uno réunon dos délégués du (Mnlon, a nombre do s'agssat de chos: un rempcçant à M. Slbau, (lu so relre. M. rmand Jaouen, gendre de M. Hdla a élô dèflgné lu succéder par '.' vox cotroo à M. Manclec de l'ougonven. Kn oo.séqonce, c'est M. Jouen (p sera cauddnl au Conse Général. Gageons (po.\l J.ouon, (pono très coh s^s d>(>s poltpes el rolgeunos rès avaneées, fera â ses éleclen:' o pr(>fes.-;on pe les Trégorros n'y mordonl [la.s. Changement. M. Juvn, receveur d'enregstrement est nommé en Corse, commé sous nspecteur. l est remplacé par M vercené, auparavant à Elven. M. Ranval re Rennes est nommé chef de gare à Plougneau. Pèce Bretonne. La roupe Bretonne de Plougneau a nlerprèé dmanche sor à 5 he res la pèce «ar Vesvent».de M. Garrec. Tous s'accordent à dre que los acteurs jouent n la perfecton ; les rôles sont sus, le débt et les gestes sont naturels. uss les applaudssements n'ont pas été mén-^gés, Plouénan Chen enragé. Un chen enragé a! arcor la commune de Plouénan 11 paras.sat venr de Sant Pol de Léon et se Pond'héon, après avor traversé le bras de mer à la nage, l a attaqué les deux chens de M. Le Brs. Lu chasse lu a élé donnée, mas l'anmal ne fu abattu qu'an vllage de Lopréden, deux klomètres de Pond'héon, par MM. Lous l'éron et Duero, jslo au moment o( l s'apprêtat ù sauler sur deux llletles qu.se trouvaent en cet endrot. Ce chen, canche d'un blanc sale, est nconnu au pays; l portat au cou un collor.sans plaque. l'autopse, M. Le Morvan, vélérnare à Sanl-Pol de Léon, a reconnu lous les synpwnes de la rago. C'esl le deuxème chen enragé ((dn tue sur le terrtore de la commune do Plouénan on deux mos. Fn effet, un autre chen avat élé aball le 24 mars, Kerhantou, par M. Qu\ger. M. le mare a prs un arrêté nterdsanl la crculaton des chens sur la voe publque. Courses. - De grandes fêtes auront leu à Plouénan le 14 jullet. Landvsau La fore mensuelle. La fore mensnelle a eu leu mercred. De nonbreux arcbands étrangers sont venus. Les vaches latères sont toujours hors de prx,.es petts porcs se vendaent 1 fr. le (em-klo ; le prx des pores gras a attent 0 lr. 75 lo dem-klo sur ped. Pertes et trouvalles. Le mercred 12 jun, jour de fore, l a été perdu un porle-nomae contenant l.'jo l'r..e rapporter à la Mare, contre récompense. - Le laée jour, l a été recuell une vach errante sur la voe publque. Celle vache, qn porte la marque d'un nareland-boucler, a o é mse on fourrère. S'adresser à la mare. Lanhouarneau La fore Les acheteurs étaent tcllem(?nl nonbreux que la plupart des chevaux (le tros à cnq ans étaent vendus avant d'avor élé conduts sur la place. Une has.se a été remarquée en ce qu concernles poulans d'un an ; les chevaux de deux ans se sont auss très ben vendus. Les vaches laln-es sont toujours hors do prx. l en est do même les vaches prét' S à vêler. Les vaches de bouchere onl été pavées 0 fr. 8(1 le klo, sur ped. Quant aux porcs, on ne peut que répéter qu'ls se vendent très cher. Povan Conférence agrcole. M Soulère, professeur déparlemental d'ag.'culture, fera une conférence agrcole publque, le dmanche 10 jun 1907, à l'heure, à Flovan et à 3 heures, à Tréogat. sur les sujets suvants : Muluellcs-bôtul. eommercnux. Landerneau Emplo des engras Courses d'elamartyre. Pogramme : Le dnacle 30 jun à 2 heures de l'apè-; md Premère course. Trot monté. Prx de L'avenr : 350 fr. ofterts: 50 fr par M. Vdlers, député de la crconscrpton ;."JO fr. par la Socété Bretonne ; 250 fr. (lar la Socété des Courses. 125 fr. au 80 lr. au 2», 55 fr. au >, 40 fr. au 4-, 3'J fr. au 5, 20 fr. au Deuxème cour.>e. Galop. Pr.x do la Socété sportve d'encouragement : 1000 fr. offerts par la So'îété Sportve d'encouragement. 750 fr. au l", 150 fr. au 2', 100 fr. au 3». Trosèn.e course. Trot monté. Prx Colay: 1200 fr. offerts: 500 fr. par le Gouvernement de la Hépbluue ; 300 lr. pnr le Consel Général du Fnstère; OO fr. fr. par la Socété d(!s Courses. 700 lr. et es entrées au 1", 250 fr. au 2', 150 fr. au 3', 100 fr. au -". Qnatrèno cours;, Sleeplo-Chase. l'rx des Veneurs. 950 lr offerts : 150 fr. par la Comp.'gno des (Monns de fer de l'ouest ; 1(30 fr. pa la Commune do la M.rly'e ; 511 lr. p r la (rmnne do Moudry ; O.V.) fr. par la S tc^élé des (lorbos. C.O'J fr. et 50 0/0 des ontréos au 1", 200 fr. an 2, 150 fr. au 3", 50 0,0 des enlées, au 4'. (Cnquème course, Trot monté. Prx Rosquelfen : 800 fr. offerts : 500 lr. par lu S'cété d'encouragement Taméloralr du cheval franças de dem sang ; 300 fr. par la Socété dos Courses..50o fr. et les entrées au 1". 200 fr. au 2', 100 fr. nu 3". Sxème course, Steeple-Chase, (2*sére). Prx tékonal de la Socété des Steeple- Chase do France : 1500 fr. offerts par la Socété des Sleeple-Clmse de France. Pour chevaux do 4 ans et au-dessus, nés ol élevés en Franco, n'ayant pas gagné fr. en courses à obstacles à l'excluson do renx ayant gagné un prx régonal de 1" sére ou 2 prx régonaux de 2 sére Entrées 25 fr. 300 fr. s'r le px au 2«, 100 fr. sur les entrées au 3». Le î'ar Munel forclcnnera Ploudanel Suspenson de mare. Par arrêté du j jun, M. le préfet du Fnstère a suspendu (le ses fonctons M. Perre Croc, mare de Ploudanel. On sat que M. Croc fut dernèrement condamné par le trbunal correctonnel de Hrest fats relatfs aux bagarres qu crunt leu à Ploudanel h l'occason de l'nventare de l'égl.sc. C'est cette condamnaton qu motve l'arrêté de suspenson. Scrgnac Grandes Fêtes. f.es SO jun "'et 2 jullet. P" journée, d.anclm 30 jun 190", de 8 heures du matn à 4 heure» du s"r. Socété de tr «la Scngnacenno», floncours do Tr. F» st'on facultatve avec les Carvbnes de la socété. Prx du carton, Ofr. 20 les Sccétares el 0 fr. 25 les non socétares : prx, fo fr. ; 2«p., 5 fr. ; 3" p., 3 fr. ; 4" p., 2 fr. ; 5" p, oflet par la mason tt Byrrl». "> heures du scr.. Course de hyo dettes. 1" p., 15 fr., p., 10fr. ; 3»p., 5 lr. ' journée, lund 1«jullel 1907, à 8 h. du matn. Grandes lattes bretonnes. 1", cnfmts de 12 à 15 ans, 5 fr. ; 2, enfants de 15 à 18 ans, un mouton ; 3", jeunes gens ^'e la classe 1907 et au-dessous, 20 fr. ; 4, hommes de tout âge, 40 fr. e- argent. 2 h 1/2 précses. Courses de chevaux. Sur l'hppodrome de Ménez-Braz. -" course, au trot monté. l" p., foo francs ; p., 30 fr ; 3 p., 10 fr. 2" course, au Galop. l" p., 100 fr., 2» p., 40 fr. ; 3«p fr. 3- course, au Trot monté. 1" p., 70 francs ; 2 p., 30 lr. ; S» p., 10 fr. 4 course, course de Haes. 1" p., 120 fr. ; 2 p., -W f-. ; p., 10 fr. 5 hores..]jal de Cocagne, pluseurs objets de dfférentes valeurs. Jet de la perre, perche. Hommes de tout âge, 6 paquets de tabacs ; jeunes gens n'y.jnl pas tré au sort, 0 pa( nets de tabacs 0 fr. 50. Danses sur la place publque, dsrbulon de foulards. 3' journée, mard 2 jullet 1907, de 8 à 11 heures. Grand Conc( ars de Boules. ux allées Sergent Perre, grand prx un Moulon. Grande Fore de Bestaux. BBLOGRPHE Les Lttératures Provncales par Charles Brun, délégué général de la Fédératon Régonalste, agrégé de TUnversté, 1 vol. n-lt. Prx: l fr.; franco : 1 fr. 20. Bloud, el Cc. édteurs, 4, rue Madame, Pars. L'attenton du publc trop longtemps concentrée sur les modes, les glores éphémères et les scandales de Pars -.se porte de plus en plus vers la ve des provnces. On veut connaître les mœurs, les tradtons, leb chants populares, les rchesses artstques, les costumes les stes, les ressources de toutes les partes de la terre françase. En uème temps, d'excellents esprts soutennent la nécess'é d'une ré forme régonalste : ls prétendent que Tor- ^ansaton centralste gêne et dmnue "actvté françase et demandent qu'on lasse davantage les affares de la comnune à la commune, de la régon à la régon, et qu'on réserve à l'etat les seules all'ares d'ntérêt naloual. Pour donner satsfacton à cette curosté nouvelle. M. Fr'dére Charpn vent de conneneer la publcaton d'une Jhloltrue régonalse, qu, en d'élégants pdls volumes, étudera les régons françases sous tous leurs aspeels. Le premer ouvrage paru de celle sére, dû à la plume d(.' M. (!harlcs Hrun, rénenl délégué général de la Fédératon régonalse, est une remarquable et sbslànlelle étude sur les Lllérntures- procncuhs. Nous y sgnalerons surtout le chaptre ayant trat an renouveau de ces lllératures et\ leurs cas s, dues une grande par au dégoût rodt jar renvals.^enenl exagéré de «' 'artcle de Pars '>, ([u'l sot cnnercal, artstque ou lttérare fn Bretagne, le pays du larzaz-lrez. do Lzel, (n l'roux, nons sommes emposonnés par la < stupdté nfâme» des chansons de lal'é-concert, (ftaprenl de nos vlles, le pett paysan des campagnes esl ler de fredonner la même sce dote qu fat auss les délces de la Vlle-Lumère. 11 v a. heure.sement, un autre Pars que celu du boulevard, une_autre France que celle de Pars..Nous avons également goûté la défnton pénétrante (le l'écrvan provncal, nspré par la double vertu du sol et de l'hstore commune à.ses ancêtres, la défense des patos et des dalectes locaux, qu ne sont nullement, comme on le crot, f u franças altéré, mas un franças auss authentque que celu de la langue lttérare, ans que les pages sur le théâtre populare la place prépondérante qu'occupe le mouvement ntellectuel provncal dans le rével de régonalsme, et les noyms à employer encourager et fortfer la décentralsaton lttérare. Le volume se termne par une cureuse esqusse de géographe lttérare de la France, due à M. de Beaurepare-F'roment. Peut être y rat-on sgnaler quelqu(.-s lacunes en ce qu concerne la Bretagne, où nous ne trouvons, parm les poètes bretons contemporans, n Lud Jan, n.e Garrcc. n ferreu, n pluseurs autres également estmés. Cet oubl, névtable d'alleurs en des lstes s complexes, ra être faclement réparé dans une seconde édton du fort ntéressant ouvrage de M. Charles Brun. Cours des ctons et Oblgatons de la Compagne de l'ouest à la Bourse de Pars, du 3 au 8 jun 1907 ctons de captal, plus haut cours, 830; plus bas cours, 823 ; moyenne des cours n.oyens, 828. Oblgatons 3 p. 100, l" sére, joussance janver, plus haut cours, 426 fr. 75 ; plus bas cours. 423 fr. 25 ; moyenne des cours moyens, 425 lr. 50. Oblg lons 3 p. 100, 2 sére, joussance avrl, plus haut cours, 423 fr. 50 ; plus bas cours. 423 ; moyenne des cours moy up, 423 fr. 25. Oblgatons 2 et dem p. 100, joussance avrl, pns lant cours, 391 fr.; plus bas cours, 380 ; movenne des cours moyens, 389 fr. 50. Le Gérant : L POCHON. JEUNE HOMHË mande place comms aux écrtures, ou lout autre emplo, nés références. Bon- ÛN DEMNDE UN BON TOURNEUR sur métaux, à la Socété Générale des Chemns de fer économques. Ecrre à Monseur VELHN, ngéneur Ch» f d'explotaton à Morlax. Le cabnet dentare de M. BVRD, cause d'agrandssement, sera transféré prochanement, Qua de Léon, n" 2. Bans de Mer m m BOTEL DE PBBEL OUVERTURE ; l e O J u a E'ude de M" KKHNES, avoué à Morlax VS î_ a vente par sute «de sase mxoldlère annoncée por avor leu à. l'audence des crées dlu trbunal cvl d.e Morlax du jeud 2*7 jun 190T, d'nmet>les stués en St Cadou, Szun, n'aura pas leu les dts jour et laeure. Mas la vente de ce» mêmes mmeubles se fera par sute de converson en l'étude et par le mnstèx'e de BEL^L-EC, notare à. Commana, Le Lund 29 Jullet 1907, à. une leare de l'après-md, sur la mse è prx de cncj mlle francs, c fr. Pour avs, F. KERNES. CHETEU L\E BO\.\E BCYCLETTE C'EST PLCÉ NTELLGEMMENT SON RGENT CHETEZ UNE BCYCLETTE ENt Demandez le Catalogue an concessonnare M. HUTRC, 11, rue Carnot, Morlax. CYCLES TERROT (DJON) j^eît >o' l a r é g o n J. HUTRC MORLX - 11, RUE CRNOT, 11 - MORLX

12 ., jy- V^ r - --a-c. B U m & V l» NOUS DEMNDONS dans totos los vlles ol communes des personnes s'occuper chez sol, toute l'nnnée, d'un traval ropportont de 4 à 6 l'rancs par jour, suvant le omps employé, sons apprentssage à fore. Sur demande, par smple carte postale, vous recevrez toutes explcatons utos. S'adresser : M a s o n d e s T r a v a l l e u r s 19, Place Bretagne, NNTES (Lore-nféreure) lclndcr sparé- V L u n e ment deux >xasons sses rue Gambetta, 41 et rue Longue, 42, avec jardn, cour, cabnets d'asance, serre et bûcher. S'adresser vster et tous rensegnements à.mmo B^hec, 41, rue Gambetta. Etudes de M' BEL/, docteur en drot, avoué à M orlnx, paw Cornc,." 10 et de M* LE COZ, notare ù Lnnmcur. VENTE Pa' sute d'cceptaton BénéHc'arj LE LUND PREMER JULLET 1907 à deux heures de l'après-md En l'étude et par le mnstère de M LE COZ, notare à Lanmeur, de ; Premer Lot L e leu de Kerlolaou el dépendances en la commune de Lanmeur et par extenson en celles de Oumaëc cl dest-jean-du-dogt, loués aux époux Cudennec, moyennant un fermage annuel de ralle rancs. MSE PRX... Deuxème Lot fr. En la commune de Lanmeur, une pèce de terre sous pâture et lande dte Pradennou Trévczec ou ssuen- Keravel contenant 34 ares CO centares. MSE PRX... Trosème Lot 100 fr. En la commune do Lanmeur au leu de P e n ar-f*avé, mason et dépendances. MSE PRX fr. Pour tous rensegnements, s'adresser à M* J. BELZ, avoué ô Morlax, et à M" LE COZ, notan e à Lanmeur. Elude de M* Tu. FLEURY, à Morlax Par djudcaton VE]\DUE En l'étude Volontare notu're LE VENDRED112 JULLET 1907 ù deux heures En la commune de Plc\ber-Chrsl, bordad la route natonale de Pars à Brest, U FERME DE KERNVÉZEN d'une contenance de 9 h. 89». 'J7 c., louée à M. et Mme Jacpes bgr.dl, moyennant 450 francs l'an, plus l'acqut dos mpôts el dverses chnrges lse à Prx f P. Pour vster, s'alresser nux fermers el rensegnements à M' FLELMC". Elude de M» Th. Fleury, nolare Morlax VENDRE Far djudcaton U\E en l'étude Volontare LE LUND 17 JUN 1907 ét Deux en la vlle leures de Morlax PKOPUÉTÉ formant l'encognure de la rue Gandelta (ancenne vof d'accè.s) où elle porte le n" 56 et de la rue du Poulfanc où elle ptu-lo lesn" 22, 24, et 20, comprenant ; 1 Une mason à usage d'auberge composée d'un rez-de-chau.ssée, premer élaçe, grener, pett parîerre devant la mason louée verbalement à Mme vuve Ncolas, 300 fr. l'an. 2 utre pette mason, 21 me du Poulfanc, contge à h précédente formée de cave, rez de chau.s.sée, pre.ner étage et grener louée verbalemenl à la même 100 fr. l'an. utre mason, à la sute, rue du Poulfanc n" 26 comprenant rez de-chaussée, étage et grener louée à dvers 220 fr. l'an. 4» Deux autres pettes masons, séparées de la précédente par une cour commune louée 90 fr. l'an. Porton de jardn donnant sur la rue Gambetla. 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13 Duxèm nute ~ > 81 Le \uuéro_ S Celmcs SaZj 22 J'm 1907 JOURNL RÉG-ONLSTE NDÉPENDNT feat la»t JaUtt 4alasl:tl,. mmnclaa tt 4jleoln da (X«f>. TRF DES BONNEMENTS MOrLX, un an 3 lr. 5 0 Fnslro. Cdtos - du - Nord, Morbhar, ua an fr. OO utres Départements 4 fr. 5'J FràJa d» Beconvrement par a Poste, 0 fr. 40 par bonnement. 41 EKLEO PEm R BED " X > e o t e u r ; S X j r u e a ^ ^ F o n t a n e s, M O J < L. l X L névollt/() \ D \S LE MD L'agtaîoa qu régnat depus pluseurs semanes dans le Md, a son éplogue en ce moment et cet éplogue est sanglant. On sat que ces jours derners Clémenceau sous le prétexte de défendre la lo volée demanûa à la Chambre un vértable blanc-seng, l'autorsant à prendre toutes les mesures nécessares fare rentrer dans la légalté 1 s muncpaltés démssonnares, et les agtateurs des populatons. la sute, une moblsaton de troupes fut commandée et mercred au matn des perqustons et des descentes de justce furent fates, au cours desquelles on opéra l'arrestaton de M. Ferroul mrre démssonnare de Narbonne-et celle d'une parte d s membres du comté d'rgellers. Marcelln lbert cependant léusst à échapper aux sutes. Lo gouvernement croyant par ces mesures avor brsé l'élan des protestatares, tromphat déjà, lorsque les plus graves nouvelles sont parvenues dans la sorée d'her. Ben que le gouvernement at f lt son possble les tare et donner le change, l est mantenant certan que le sang coule dans les rues de Narbonne et de Montpeller et que les pres événements sont à crandre. 11 faut s'attendre à tout, et nul ne sat m que devendra ce commencement d'nsurrecton qu entraînera probableme t la chute du mnstère et fnra peut-être par une révoluton. Voc les dernères nouvelles : Narbonne en émeute f Le sons préfet avant refusé do recevor une délégaton, la foule donne l'assaut à la sous'prélcctutc Toulouse, 20 jun.?s bagarres d'her sor l Narbonne furent d'une extrême gravté. l y a plus Mrs blessés. Voc comment se sont déroulés les événements : Her sor vers 8 heures, une cet.lane de cultvateurs des envrons de Narbonne se présentèrent à la sous-préfecture, mas M. card refusa de les recevor et lt fermer toutes les portes. Les raysans exaspérés dressérenl alors un bûcher devant le portal, l'arosérenl do petrole et y mrent le f u. Pendant ce temps ne foule compacte s'élal massée sur la place. Des ndvds se ruèrent contre le portal et eu ( uelques nstants le déloncèrent à coups de hache aux applaudssements de la foule. ls se trouvèrent alors en face de tîo gendarmes massés dans la cour de la sous-préfecture. Des perres furent lancées sur les gendarmes. Ceux-c frent feu deux fos à blanc sur les manfestants, mas ceux c ne rpclant pas ls tuèrent ù balles ; cnq manlcsans tombèrent blessés ; 3 d'enlre eux étaent dans un étal gave l l'un dos blessés avaent 5 bfdles dans le corps. C-tt'! onxelle se répandl eu vlle uv'c uno rès grande rapdté et des colonnes de manfeslanls se formnt ausstôt parcouurerd menaçants l'avenue Gambetta. Le SON-préfet ll alors sortr les troupes qu'l avat de réserve : les curassers, le 139" d'nfantere ol les gendarmes. Des scènes de désordre des plus gaves allaent so produre. Les cavalers char^'eaent sabre au clar et porétraont au grand galop de leurs chevaux dans la loule, mas celle c ne reculat eue se relor. er pns lon. Dans la bngare un curasser roulo à terre avec son cheval : on lre sur lu deux coups de revolver, l.?e relève el se fraye un pns-^age à coups de swbre. Les gendarmes cha gent sans dscontnuer, la foule fat pltuvor sur eux des toksons do boulelles, des chases, des brques. Les gendarmes lpobtent en trant a b;d!es et ou entend des crs de douleur dans la foule. Les morts et es blessés Pluseurs morts. lôo soldats hlcss-; Do nombreux blessés sont emportés au lon de lu mélée. On sgnale bentôt pluses norls et parm eux M. Ramon, et sa lllo, âgée de 21 ans qu, étant asss à la terrasse du café Pcot, d'où ls su vaent los psrpétes de l'émeate ont été tués par des balles égarées probablement. Le lls d'un photographe, M. Oranger, âgé de 21 ans, ( n état accouru en cureux sur le boulevard Gambetu, tombe, le poumon drot tra.ersè par une balle. l est dangereusement blessé. Pans, 20 jun. D'après les nouvelles fournes par le correspondant à Narbonne d'une agence pnrsenne. le nombre des morls serat do 10, celu dos soldats blessés, 150. (Jual au nombre des manfestants ble.ssés. l e^t nconnu mas tout fat supposer qu'l est consdérable. lu Chambre, on déclare que le nombre des personnes tuées dans les b.nga-- res est de quatre. près l'émeute Le sons préfet respon.'ablo. tvesl lu qu a commatdé le feu au.x gendarmes Les ofcers s'y refusaent To'jlou-e, 20 jun Heu ne peut donner une dée de l'aspect que présente l'avee Gambetta. Dus 11 :quos de sang, des sabres el des fusls brsés, des casques bosselés, des chapeaux, des cannes se rencontrent à chaque pas. Les manfestants se dspersent enlla mas en conservant uno fureur exlème. L'ndgnaton est rès vvo en vlle contre le sous-préfet. On dt en effd ([u'a moment où les manfestants tonlacnt d'envahr la sos-préfecure l donna l'or.lre à l'nfantere do trer. Les olllcers refusèrent ne jugeant pas la aluaton assez grave. C'esl alos que los gendarmes ncrvnrent et trèrent à balles. Narbonne en état de sège! Los paysans nurchent sur la vlle. La populaton s'urmo. N^u bonne. 20 jun. La matnée a élé c.lno mas les Nabon.asso préparent ce sor, ls portent obslensblement des a mes d nsla rno el so préparenl à prendre d'assaut la sos-préfeetre. l rkm.el où l p'.'jsn l sur rvee îles rlj PROMENDES Travers le Favs de (Hydrographe pttoresque Mettes de Folklore, etc.mme (le St-'rx, qu (vl oequs n proprélt;. vt fnl fro cftlc clpcll! ds rtonton do lu déder à Bl-Yvos ;.s clc est morte vt rdcconplssenct do sou projet ; cl n stnle du ptron des nvocls Or-, ruo' do Vlleneuve, à la clapello Sant-,lo.scpl. (;c (( devat ètro lne ch.pello est l' présent une sorte do lnor el slln do j"n. (H) La «Kotno des.\ngl»s» senl cello somkso ([u jllt du rocher (o (^ol- Sorho, au-dohbous d'uno pln(]uo >ortul n (luto n.dl?...klla «l'ontah^ doslvel» scrl colle alro source (p vent éj^nleol de lu collno au ol polt nonmel orlu celle nsc.rplon : «f.kstk -'O.N' NF, CSnO nkk;tkkt OUNDK l)k.nouvol) KN L'N n6», dans l'enoognuro un pou l)lus nn S. «( uello esl roollomcnt n l<"ontnnc aux nglas? la plupn des Marlasons rguoront. ( 18) La <'or>lanoduslvol{v. c-lthss 1 ) Le bos do l'.oat-scrlo s'appckt autofos lo o/.s- dé.^lvcl. Or, un jour quo Morlax olnl assgo, los nglas, harassés, ot se eroynt à l'abr do lento surprse, nontèrcnl dans lo bos de Stvol qu touchacl alors les bords do la rvère. Us élaenl on tenns depus nno heure ù pono, quand les soldats bretons survnrent, el en lront uno boohoro telle, (po la source no donna p'ns ( no du sang pondant pluseurs >onnos. D'où lo nom do Kotao des n^l.s duuo à l'une dos sources 'lu bos. (!l) l'orx nn-'l'rrs. sur 'a haute collno lusée qu domne h prle N. du qu de l.éon, ol le C.hp de llfllo. (o mol s^'lent l'ot des salmîs, ou oeore Ferm; dos SnUlo'.s ; lu mer qpo lal jmspc n mlreros, nvt l(;s eud;;^'(!s, reelllcalos et elravos do toulos, soles dos sllos <!0(pllurs (//r,s)[u t donné leur nom à ce l'u,'... (loh' lollo pdpelu, sléo un peu plus M ro. (lo n oroupu p s'vmco ou promolocdeplh (11' (10 mclres do hul, etr! deux vallons (S. el S ) jusp'à la llvrr'do Morlax, esl '()v(.fr'c d' lu'es d'essoeos él{>éres, apporlés pur rs nïex do.mme do l.au/.me lu rous du leurs voyn^.'s sur mer. \ remnp'-r do mmljreusos espèces do roseaux, do ccd-es, clèues-l'f,'of;, hus arbor'sccts, clc.. l mlcu^dcs nlrcs, pelouses, parcs, lorras?.os cl jnrds, s'élcve, nspectéo nu S., lu gde el cofo llle mso d'nlalo qu ost lelnlveol moderno. vnul colle (^oslu'lo, l n'y avat (.'uo sorlo du mnso de cmpaj^o p s; trovl à n pnrlo N. ', du jardn cncls ; l eu reste encore uu) dcpodne!. On l ompe, nu c(té S. K. du mur olos pette et une gudo porlo, p'no l'emmo do cou;! j,'o, ol la (lato Des ouverures frent bondéos en lorsp'o alnsn 'e lorrn l'aro la potle roule vcualo de St-( umun. (îo) 'h'nrurl, en nrrcro du r.hap do llatatle, ol qu scl do m>;as aux culoers (lo lu vllo, l'ut él(?vé pur un nce proprétare de l'a/ a-'l'res, sur un las d( mor flerrn salduucux, mnrne. etc., lassé peu t peu par la mo) sur la lî. (. Ou dt que 00 luel sorvl autrefos à lagor los jr.ses ln/le.' sur les.gls!... (21) l''-ur-,\/nrtu co nom rappolorat les murs avancés p servaent autrefos do prcrncre dct'ose n Morlax '.'... l' l.a Mnraclurc d'.. Tabacs, p ed'nas m. KK, Brqnes un offcer de curassers a élé vvement prsa parlo pnr la foule. L(s troupes d'nf.utcno onl toutes los sympabos de la populaton car l se conll-me ([ue los sergents el olllcers ont refusé do fare lrer. On réqustonne des ann-s. Le brut court quo l'élat de sège va être proclamé. Narbonno, 20 jun. La surexclaton est extrême dans la régon ; des bandes de paysans armés marchent sur Narbonne. Un agent de la sûreté tué Crblé do coups de revolver Nabonne, 20 jun. Celte aprèî-md, entre quatre et cnq houres, place do la Mare, nn ndvdu a élé attaqué à coups de revolver, crble de balles et jeté à l't au,ou ou a contnué ù lrer sur lu. L3 cadavre a été porté au poste de polce vosn, ou on a trouvé daus une de ses poches une carto au nom de Gullaume, agent do la Sûreté générale. Narbonne, 20 jun. - La nut a été assez calme. la prem'è'p henre, les barrcades ont élé détrutes. Les halles onl refusé aujourd'hu d'almenter les curassers. La populaton esl très sur xclée contre eux. Dos désordres graves sont à crandre. claquc nstan' arrvent des gendarmes. Le 7 de 1 gne, comprenant hommes, esl part d'gen cette après md à 2 h ures ponr la régon do Narbonne. Uno m'se on demeure à M. Dujardn- Beaumetz Narbonne, 20 jun. M. P'ond-Deners, conseller général, vent d'adresser à M. Djardn-Bedunel/ le léleganme.suvant ; Venu à Narbonne ob'èqnesam me heurte auxcadavres nfortunés vdculteurs. Vous proetau beson vous repers réunr mmédaement consel général ude démsson collectve. Un bureau de polce assall l.a troupe a do nouveau tré. -- Pluseurs morts La foule a attaqué le poste de polce. Les soldats, débordés, ont lat usage de leurs armes. 11 y aurat 2 ou 3 mort-^ et pluseurs blessés. La troupe, à l'heure actuelle, est tout à fat maîtresse do la vlle. La sous-préfecture n'est pas en danger, mas reste toujours sans communcaton avec l'extéreur. La Sous-Préfecture cernée Oa lt dans VOucst-'rlar : Pars. 20 jun. Ce sor à 8 heures nous nous sommes rendus au musèredo rutéreur ponr àcher d'avor quelques rensegnenenls sur les évènenens de la journée. Lo présdent du consel nous a r( ç : h ne pus, nous a-t-l dt, vous donner de nouvelles o'celles. Cela s'explque car le préfet, le sous-préfet el le général Turcas, se jrouvet à la sous prélectur^ do Narlnnne et deufs cet après-md l m'd été mpo.-sble, malgé mes appels ré térés d'avor ave la sons-préfectue de e.omnncaton téléphon ue. On a tenté de léparer los lls, mas ou n'y pu franc'r les bna^'cs ot je reste toujours sans communcaton. Xe pouvant me fare entendre du receveur des po tes à qu je m'élas adre&sé ponr me lenseger.-jur la stuaton, j'a eu l'dée d. demander connumctton avec la suc.rsalo du Credl Lyonnas. L'n employé m'a furn (pehpes reusogaeneuls q. ([uelques nslals pls lard m'ont élé codnés télégapb(emo!l p.r lu procureur dj la Républqo. Bagarres à Montpeller Nob cu.v blessés Molpfll' r, LU jun, - l y a eu de nombreux ble.s-sés au cours des bagarres qu so sont produtes her sor. Parm les vctmes de l'émeufe, lgure un agent de la sleté dont l'état est désespéré. Comment W. Clémenceau raconte l'émeute Los gendarmes qu ont tré so sont conformés ù SCS nslnchons écrtes Pars, 20 jun. Le présdent du ccnsol a reçu ce matn los journalstes en quête de conlnnatons ol de nouvel'es. l leur a déclaré ne pouvor leur donner des rensegemets précs. Depus ce maln, a t-l dt, je ne fas que téléphoner à Narbonne el l'on n'a pu encore ma dre comben l y de morts el comment ls ont été frappés. Les rapports du puéfet e; du sous-préfet eux-mêmes sont en coutadcton. Le pnjfel de Carcassonne m'avat télégraphé fer que la sous-préfecture de Narbonno état {gardée par un batallon d'l'antere alors q:e le sous-préfet ne parle que de 00 g( ndarmes. VOC mo ce que je sas à l'heure aclelle : pler à sept heures et deme une bande d'émeuters s'est présentée devant la sos- 1 vfecnra crant et jetant des perres sur les gendarmes,.^pès avor arrosé de pétrole la ole d'entrée l.sonlvouluy mettre le!'(! 1. l'endal ce temps une atr(! bande alla- (pat la ss-pr'reelure [lar jardn. Deux arrcslalms un élé ojén'es. Le.s. gcdares onl sub les pre"rs ssals sans bnger, (!l tant, s'ls avaent l'al usage d" leurs armes, à ec nnet, l. foule aural M' alay'h!. Des cnps d'revolver onl ét' trés par les nal'cstats. Des gend;!'( s S'ul lobés e' ccpedmt leurs camarades son r, slés rare an p'd..mors. eonl'rh''t aux nstrclons (lo'(?s. on a l'al b s somnat.ons lé^alcs à la foule d'avor à s.' d.q. rser. 1-^1 e a rq.kl par d; onveav coups (k* revohc!'. ('.'est alors ( o l;s f.'-.'dares out tn; deux fos en l'ar Cra'.anl d'è- re (léburd's par la l'ol! (ju ne voulat pas se retrer ls (ut lré ensute à batler d'ocs. l y a eu un très grand nobre (h; bu'sséh. ln gendarnv a eu le eràe fracassé d'un co ) de alra( ue. 11 est dans nn élal l'sesp'r' e( ou.ttend s; mor d'un onent à l'aulre. l'n eom.'.lat d t'ant'- ro a ('té bl( ssé grévem nt à a lep d un l'm de perre. Pendant que ces év'umets se passaent à.na'b une une letalve d'eele s'( s prode M.Montpeller. Ou a voulu atla( ;'r a porte de la [rso, mas ^rà'» aux, esnrcs de pcdee les aureslals ont ét' r!])oussés. Ou couple." ou des- ^és. l' gendarme a en la mâchore brs'e d'uu c(up (' perre. rvantenant la vlle est tranqulle!.e pr'l'el de r.\ude s'est rendu ce n;ln à.narone et l a (onstat('' c la vlle esl traulle. l.a po ulalon crcule nonlreuse dans les rues el les cal''.s regorgent de eosualers. Ou ne se (oleral pas à l'ere aclucl!.' (n'l'r sor.narl(.)ne (''tat eu plene (''le. D"a]rés les rapports u soûl parvenus ;' M C.l'ece.n, l semble que des pr'- caut(us 'ol p.s (''t'srsan'ut prses l.es oftc.ts étaent à der au olenl o {'l'uete s'esl prolu'.e et les loes anqa't d' ('Onnae'l.M. (lr'euceau l'clare ( ue l"s ouve llel>. l' troupes cetueut.s.s lll"l'- r )lo M' S Narbonne. L SEMNE Vendred 14 jun. Lu Ctnhn: u cnlrmlu lu dsrus.'on -f/c.s' nlerprlllons d'.m. rf'l's sur la repos lfll-'ndlrr (tons l's rl:nns d' fer cl (e.1/. t'/slllrd, sur lu lhulnrw l; n t'hnjkjn' l'lnh'. f.es souccruus danos ont élé rerns n t'.lu'hurj pur.1/. f'ull'r's el son nrrcés à Pars à.') heures llans les leu.r clle.':, les soueeruns onl élé ucclumës Le feu a prs n hord du «lreuuus» en rude de Toulon. Les premers résnllnls de l'en/nèle feruleut ernre à n nolcellunee. ^ne nnle affeense lénenl /ue le l<n,eerne!el cenlle suere le rolé (f rgellters. Samed 15 jun. Les mnslres sns-seerélnres f f'jll se sol réuns sous n préshlenee, de.1/ f'nltéres. Le (jurde des scean.c nxmlè n l'nns le procueetr général de Manlfeller ucer ju l rnnféreru de.nutn nnl. Le C()l(nel Manuel du t)<)'- de Tnne. ù.wrlne. où a eu len n mutne,-e que l'on.utl csl ms à lu rerah; d'offce. he nnn.eean.r nelenls Ulnlres se snl produts n l'erpgnnn Ues soldas onl ehnnlé /'< nlernnlnnle... l.es su'ens danals ont rendu, à f fhjsée. n L's/e du Présdent. M. FntHéres. l 'n déjeuner t élé nfferl en snn hon neur. Dmanche 16 jun..1/. Cléneneen a onféré ce maln cec.17.1/. lrund, t en. lnrllou el l'equnr. an snj'l des ncdents de.]lonlpeuer el de n crse elcoh;. l'nr leur nccord, la France el ffspn- ne se nrnnlssenl nnluellenenl le staln juo dons des purles de lu Médlerrunnèe el de f llunljue /u nléressen leurs pussessans. L'accord nnglv espagnol esl cnnen dans le même sens. l.es récepldas onl coulné aujurlhu en faveur des souverans danos, l. a nnquel a été offert pur ces derners au Présdent de la llephl/ne fraaease. l'a nkase mcr.l ds::,ml n hnnn. l.ce les élcclo.-' njurelles nn / scpemltre prclmn. el n réunon de n nouc.llr houma au / / noceuhre. Lund 17 jun. lluns le Consel de c.' nnl/. les mnstres ont rrèlé un ense.nlle de estr's propr s à nssnrer le respect de n lo dnns hs dénrl'enls àlcules dn Md. l.a Chulre a répronré pnr /' rnr cnare '>'J.'). le chffre de!>.'> francs cnnn^ hn.c de n lare cnuplénenure sur les sucres. M. \ld dépl' de.\!rhtmne. n nformé. 1 / Clémenceau qu'l l'nlerpellcral sur n alare des réfjressons nrdonnées par le gatcernenenl nrrèler fnjtnlon dnns le.]jl..1/..'^arrnl, sons se rélnre d'f'l. n enrojé su démsson à.1/. ('h'caced '. Mard!8 jun. - près un f hnl îles pns mo'remenlés, lu Clnmhre n jrononcé ce nl], par //? co.r l'nulre.'> s, l'n., jonremenl n rendred de rnh'rpcllnlon.{l'j s..r les mesures de répresson jndeure jue le ourernemen < décdées con les rlculh'rs du Md..l' mnslére île la,juecre. m dément /HC le 100'' se.s-(/7 nulné au camp de l.nrzlc. Rédacton et dmnstraton 31, rue des Fontanes - MORLX TRF DES NSERTONS u lgne nn. (judcares ou dverses). O fr. 2 0 Héclam'js (en 3 page) O fr. 3 0 Pour les annonces répétées on trate à lorl't. Le servce du journal est fat gratutement aux offcers mnstérels annoncers. Pour los annonces e rccbunna s'adresser, m. //. fochon, sot 31, rue des Fon'anes ou 0/, rue Oanbcltn. Les mascrls ue sont pas rendus Le gouvernement fat démentr que des régments de ffst dovent être envoyés dans le Md. J.e *>énal, après avor Pnlendu féloge funèbre du général dé Snnl-Gcrman, prononcé pnr le présdent, a adoplé dvers projets d'ntérêts hcl Mercred 19 jun..e goucernemenl a fut procéder ce maln à f arrestaton du docteur Ferroul el de tros autres nemores da. rjmlé d'rgellers : MM..Sents, Culaaes et Bourges. l.es mandats d'amener drgés contre.um..marceln lberl et les autres menhres du comlé d'rgellers demeurés ntrouvables sonl mantenus. f.e sous-marn «fgmnote > a coulé au nouv n où l sorlnl d'un bassn de Toulon. l a fallu quulre heures le renflouer..e ro d.^an a rs'té le salon des Chmnps Fhjsée.s et rendn rsle au Présdent de n ftéjublue. ne grave, mutnere.<'esl produte dans un régmenl à Keff. l y a quatre tués l't so.raale blessés. Jeud 20 jun. l>e jraves bagarres se sunl produtes à.vnrbonne et Montpeller. On dl qu'l g a de nombreu.t; morts et bh'ssé's f.es éeéneenls da Md ml produt à la Chnnbre une pénble mpresson Sur une queston de M. ldg. M. Clémenceau a répondu. qu'l gnorat encore le nombre des morts. Le.'^éal ( adopté les dèu.v ))rojels de lo porlanl approhnlon. fun de la conventon passée entre la France el le Sam, foutre entre la France el la Grèce. MM Calhata, tchurd et fernard. membres du comlé d' cgelers, se sont constlués jn'sonne'' s à Montpeller. SOFJOO EUR POTR lâôdânk N'euz kel c'oaz ^'wel bel a oa bel en l va ganaad fencl an eurvad da wel eur ]jaolr aouank llan, daou vloaz varn-ngel marleze. lùr lgr vad on doa, dons ha.gant so eun lau lrsld,j;t/. pehn «-u' <l-'am..lm aer eur goaz a dregonl vloaz. Netra evl o welel a vjee'l tenlcl da goseal gantla. la me. krz atao, ne oant kel evl u' eur ameel d; e'boul dgant-la )ez a oa kaoz (hnz an drsldgez-sb..\(u e moa nemez ra da veza bel re krz. med ar ])aolr aouank a zelas ouz j'.'nt daou lagad ker llam. ken e (.ant cl.chet rezek enlan wel gant eun tara dr. (K) a rean dganl-la deuz pera bro e oa la petr. ao en doa. l'ez eaez au deuz ar menez ra l,ro evelalo e zou la dresl oll euz ar eear a \ onlroulez. la l.aou vacz eo v; lano..\' d evl p.'ra^; e zouc'l ken trst. ra- ;\\el aouank e zoe'h c'hoaz haa; a rakl heza bet eun dra bena^' dresl oll. la eez-l.'. v; buez a zo hag a vo alao lem a boan, rag va spered zo evelso..netra lu'nel pez a welan dre ar bed a lak. \. sperol eu poa. Ne lalen ket uw. 1 ken't a zzre a kement ; falla- ^-e.: eb gwel va gal'.m o l'rea. Koupre a ral na dleer kel dlezel aller.u ar vro. med na we kel led ve 'n eur re dcz-ho keet-se. l'a wc an eleksuuu a W(.'c'h abred.wak'l.'vt en eur dt'e. la ezc ua ;red;u k't ; vefe gr'at k et ma sonjac h a boan d'eonp. l'eaoz. la!j;avl kel ez eo trawal'l ploo prés do (llx-ll ccnl.s ouvrers ( 1.OO 'emmes ol OO lomm^s) fut ntroros un ('- repot (le n ('.ompn^^o des lu les. l.a sorlo dos cj,'nroos. md ot sx leures du sor, est uu! des crostcs do.morlax. (22 l)s) l-.\/tn do t/ l'';//e esl une parosse do.morlnx, p comprend lu p le S. du terrtore île St-Marl ; Sl-.Murt dos C.lanps est uno eonnuo ndépouduto do la Vlle ju comprend los partes O. ol N, ol dépend, au l'oljfox, de Sl-Marln do la vlle, mas ollo a sa maro ot sos éc.olos. l.a dvson cvlo et la dvson r(!l;,'nuso (le bt- Mart ou caoïo lour cneléro. l.es lmto.rs portant l'éylso do St-.Martn ot l. },'arc do Mo nx, ol que raversat lu vmllo route do l'nrsà lîrost, so omnt l(! tunrrnl. (2.'{' Tfomonsl, nu ped (côlé X.) des lnnu'rs d(! Sl-Ncolas, un faubourg do '.Morlax placé, noto (M l'ojca el lïotc on lu vlle,.\u mleu du vlluj^o ost un jol lavor publc mn;oué, avec, no (lopetto l'olano a-dosms do laquelle osl.n.-l). du Vlln;,'o, une j.lo velu stalo en bos do elco pent. Klo provent d'une nucenno ctapelle. Ht- Sébusl(M M*; qu étul dans un jur'n uu peu jds las, ou S, ol à 15 ctros'dudt lavor. - ('.elle clapello a clé (lévastéo à la llévollo ; el los restes en onl oomplétemenl dspa l y u '.! uns. l''^. du vlluj,'(!, au las (le la nolco do Ko.S'no, à dolo, lo naor nu^o do 'frndonston ; velle l'cno avec porlo a éeussons, l'onètros jads n monoax, tour carrée énorgeant du tot. 1,'l'oolo olonn erex p longo lo mur du,prda au N. vo>h C.roa.s-Novez, osl l'acfno ') CMlr rlnpcllc n'uuul-cll p.(s l'c l'd^ au''fs S ax>^l '.. l.o na rn' d 'frnntsu (Tr;(-.\a>ln) s-ntlvral rnlcpu..-' route l! 'Sl-,.'an-du-)of,'t, po^suvt la dolosse.\nnc. On lo nonno luj'ourd'lul ll.nel!tr '... {ht veello aux ordure;-') l n'a as volé sou nom. (21) u lant, (l'no velle voo qu part du jnu de T éguer. el qu poto encore le nom (lo Venollo aux ('.upuous, so rouvo, sur la drote, uu vol enclos.l'un lîotaro envron, tout plen (lo rnos : c'est là qu'élnt lo maslé"o dos (lapucus qu vnroul s'établrent. vors lo mleu du \\1'' sècle, sur (îolo pnrlo d^s terres de l'o-a-lu v. 2," c-aprés). l l'ut l'onlé on llll ar les.sc- ^'ours (l(! Kcrjoan-St-Vo^'ay. Du nounsléro mémo l no roslo plus debout (p'm; fjrdo nson sans oaractéro rclo,- lo^quo, n l'u. ol à l.'qollo ou nccèdo par uno porto cuclcr) portant la dah; l.a clp'.llc, donl l 110 reste po los murs 1'^. < >. N. so trouvat à la parte N. d'un,','nmd mur plen d'ouvo tros (p vu rejodro, nu S.. 10 four ol lo lavor ^onooro v-;ldos) du monaslc 0 ; (U (M'ol po ce mur élnl un c'lé (l(!s lumels olnustrax, el pluseurs dos o.vorures p rurcl dos foétres onl encore des lnrros do fer. On dt qu(> les vdsos pr'oux l't onomels.'es C.upucns t'urcl enfous sous l'ale gauclc (?) do la clpollo pendant lu dnréo do la tévoluto.,(! emelrro des oustéres devat (''re où s(! lrouv(! ct ellemenl nn polt ve.'j,'cr, nu N. do n clapollo : lo jrdor (l'klu ellec) p a l'u^ujjo du l'rau, y n trouvé souvent dos ossonots, dcbs do lombos ol dnllos ; 11 n rové éj,'nlon(mls dos outls anoons cl dos pèces do nonaos du veux lon )S..a.Uason dvs C.apuens ( u appalennl alors à lu vlle de Morlax (heu qu'eu l'oujoa servt do casorno après la llévoluton ; on vot ocoro, lo lo dos coulors des nnéros d'o'dro sur los polesdes [lècos dn premer étugaot du roz-do-cluussoo Kn 1S70. cl,! son t ù loger les Mollos du Léon, en nltcndant lour envo camp (p-oonce/. chaque) do ('onlo. 1,'OK'OS lùnéue servat ù mollro, les y so,'ncr, d's cet::os d'anmaux, chevaux el ba'ut's, qu n'rvaent alado deco camp ; n plupart y crev,lent (,«pnru' dos amux). Nos oll^os lu ctous, d'adcrs, eax auss monraeut à l'otc, et los lucnos rasuns : r.uto do son el do nourrture. 2.").) ';:-a-llne osl ue velle poprclé qu domne 'rroudous'.n d'un cote (S. 01 los C.npucns do l'uutro (O.) Ce fnl une l'anllo de Ke -,loa, proprétare do l'cn-an tuc, p donna!nx mones cotlo pnto (le versant ooc loutal île.--on octos y etatdf leur monnstoo. 1,0 nnnor do ron-nn-lîuo dde du XV'' sècle, mas des rcprnlos nombreuses ou t'at dsp rntro uno lonno pnto de son nccu carnl'lcl(^ Lu t'.çado rncpnlo. aa'rcr.es ù 'K>1 est clncllomet ù l'ouest, r.etlo po r»lè pparlcnl ù présoul ù a lumlle do.su n-t.non. 1,0 nnnor d? l'enu-un-ltu a élé très lo;,'- cmps sous,ous W, manfactnro de t'ulucs el hahlc pur oncle do Duplox, drecteur de cet etallssemcnl. fontane renomeo, au N. du polal oxt reur, t'uo porro servant do bonluro à uu troltor do nuson olvro le ou do ; D.Vl'.MKSNl,. ('.'(«.sl nu délus do l'nscrpton cou'.mémoralvo do lacéatou dosl.nvors, par Dan sl, au Wlll sècle: k sonvosr hstorque aurat d' ètro conservé an mons daus lo sous-sol du Musée,.Sous lo 9." Kmpro. l'évèpe do Oumpor acheta l'o-m-uu y etahlr un couv-nl do 1'. 1'. ledomplorslo, m.s dos jeunes ^'s do.morlax organsèrent dos naurostutons conro tes r(rl^'onx, en nllau tous les sors clnuter doval la mason uno clanson s;drquo do crcoustanoo. Décourages los pauvres '. 1' s'en t'uenl. (2 ).S-.\'(;olas e.st un haut faubourg' to Morlax (ncluollcmonl on.st-mclano), sur l'aucee route de l',y s î' r.re>. t'.c qulcr aval nulrot'os sa chupele. et l'ancen ometcrc- Sl-Noolas ('roqlacé aujourd'hu parle omolère S-.'.harlos_j et.ul sur le plateau qu domno au SuJ'froudoustu ot sert do narche aux lo-tnun. La statue de St-Ncolas do l'ancouo ohapelle esta présent dans la chapelle du cmotcro.."loo mètres plu^ ù l'ksl est le vllage de la,l/;((/e/e;;je. l'endrot où est aujourd'hu u 1 MC.ls publc non lon d'une grande cord' o, état, avant lu dévoluton, uno ohapelle dodoo à Sule-Madelee. La dernère slatue (] 'on eonnasso de colle chapcllo Csl une.madelene ' assez (; ando qu fut longtcps louoroo (lovant.no mason au oou X. O. de la place. Mas celte mason rlanl dcvc' /o/c.s','(/;/(', la sante fut ooalée à la f.nullo.mossyor, au con do l'orz-coz, sur la velle route do l.anmour. Klle y esl toujours, cl ou y va prer ot mettre dos cerf,'es les t/onsnnls. Dops ([uelque lenps, la satno do la.madelene n'est plus chez :c Messh'or, mas dans lu mason dte «la loolan^'ore >, à gaucho de lu rue (ju mote à la place) jullol, jour de saule Madelene, ou opla(;o uu jour, la btatue sur un polt ml.'l, pèsdu puts; el co jour là,! y a ntrdon. l.a curdvr; do la Mmlolono est étable sur la velle voe (do Morlax ù Loqreo) (p'o rolouvo un pou )tus à l'kst, au S. do C.oalr.onear cl Ker-l!ozar. (2'ï l.a /'O/SWVTO (."J k. au S. K. do l'ojoa est un acon munor qu dut oto très nportaut. l uo reste plus pe des bàtmenls t'ortonout déalurés par los réparatons ; cepondat le pavllon thos a encore su lous M^s'o, une porlo clroe, el cvurelle avec naelcouls. (.1 suvre).

14 f/ecïo DU FmSTERE pez a zskwez brema? Me lavar d'eoc'h en gwron, ma vefe ar Vreloned tud a galoun o defent great wel tud ar C'hrcsle ha chenclet o rocredou d'ar re zo en pen Bro-C'hall. c'hoaz! n'oo ket eta dre ma we gorlezet atao a zgwo d'eomp )eza gwapeet atao gant-ho. r Hroz» evt-ho du veza ar brassn servchouren d'ho bro, a wo great oll evt ampech ane da veza evuruz. lon komerchou ban zo lac'hat gant ar gonkurens vraz a we great d'eo euz Bro-C'hull. E meump c'hoant hnout ar lîrezonek er skolou wel e man an lmand, nr Zauz, or Spagn, hag au oll ezon al. lm n a we akeut gant ar tallaouutl lndau talonou ho bodon. Na hallomp ken kaout homp reljon wtl a blj gmeomp. Komz n rd d'n euz homp ez, nu-d gouzout mad a rd penaoz luuup ez a gwe dre e man ar (all trec'h d eomp. Penaoz ar Oall trcc' d'eomp. Med, ka-ut a ra d'n penaoz ar (al u'-z co kel bet bskoaz trec'h d'eomp. Ma ez co het roet nr vro gant eur plac'h dudun kondlouou a pero ne zeut ket bol dnlc'het, n'eo ket d ar Gallaoued kener ac'huomp evt tudgouueed, med evt tud par d'ez-ho a gwest (la zevel o lret l'cz-ho bcudoz. Neuze c'hou a t'ell d'eo' h eneh out-ho ka gwelout lîrez l'u eur ron e unan? Nau, na gurcheu ket koulskoude gwel enkan, med pez n gur(dcn eo gwe- ct ar llallaoued muoc'h madelezuz evtomp, hag ober eu eur t'te.soun benag evt lakaat ac'hanomp evurusoc'h. Memez en homp gear a Vontroulez c peuc'h tud er gz-se..n' euz netra rt- dvalo da lavarat euz gzou ha reljon ar Vro. Hea 0 deunt great kazetennu e\t lal<nt ar poezont a deu euz o blucn L'unn n we gruat en Montroulez hag unan al en Urest Na we gwcdet war o goure nemet traou euzuz a encb ar vole'm. D'an dud-se pez n'eo ket, a we nveutet, ha we nemet eun lra dstcr a we kresket wel eun l. Selu aze penaoz e man an dud hre u pez a laka ac'hanoun en trstdgez. Uag me garche gwel au dud u vcvn w(d hr'udcur ha pas bea wel chach klanv an el ouz egle. Kaout a ra d'erc'h penaoz ar skrl'anouze na went kel selaouct? Ko, a lennet dou, ter gwcch kentoc'h eget ankounac'hat seurt. r re a ra ar gzetcuou-ze a oar mad penaoz ar gaou a we selaonet hag an traou nvenlet a we gredel atao, petra ober evt ampech an dud-se da lavarat traou ker fall? l-'o/, evdon-ne na vel'e nemet eun (ra, dsklera d'ar Bobl pez ez n ho unan, neuze marleze a vo eun tam pcoc'h dganl-ho., Fez.paotr aouank evuruzoun da veza konzel gaueoc'h hag a eseran e vo an okazon c'hoaz da ganseal assemblez..aott an DORNEH. XFOR\lHO\S Les gaetés du «Journal Offcel > On sat les efforts que fat le Journal Offcel marquer sa place journaux gas; l lu anve de publer, avec une admrable gravté, des fanta.«es que n'eussent pont désavouées nos melleurs humorstes. Voc sa dernère «perle., elle est sorte das le numéro portant la date du 8 jun, page 3986: «Le mnstre de l'agrculture a l'honneur de porter à la connassance de MM. les sénateurs, députés, membres de la Cour de cassnton, du Consel d'etat, de la Cour des comptes, du Consel général do la Sene, du Consel nr.uncpal de Pars, MM. les mares et adjonts dos vngt arrondssements, qu'ls seront adms aux concours central d'atmaux reproducteurs des espèces chevalne ot asne françases de 1907 sur la justfcaton de leur qualté.» Le concours sera ouvert tous les jours du mercred H) au dmache 23 jun tyoy nclusvement à la (Paere des Machnes, do neuf heures du maln à cnq heures du sor». Bbl de la grande Casse ù Pallercs On lt dons y utorté : Nore correspondant do Colet fol nlluson à une chanson salrque sur lo Présdent. Nous en publons le texte, d npres notre excellent confrère la Vendée Catholque. 'l'u n'vos donc jamns en ln' vec les pnccs, les nonorqucs : On drat 'lue tu prends plsr vec ces lscn's do hnut's nonmpes : (Jutnd on t'a nommé u (".ongré-s On l'gornnlssnll sur connnandu ; T'étas grnnd tent, d snl.nurés, El le melleur de toute lu hnnde. Je te gohns, pnrol' d'honneur, To, t'oubeur des oueons réj,'l(n)r>, Kl jo te croyas plen d'ho eur Pour tous les ros uèm' luktme-. V'ù qu't's r«r d'en pncer unnl'îut Pour les cup'reurs ot les '.dlcbses El qu'on plen jour on lo «uru end K flrter nvec des prnecsses! Vro couno jo sus uu ouvorrcr, T'avps toujours été mon lo.'.ae ; Mus tu eonmcnc' M m' dogoulcr, S lu l'nets ;' fur' do lu gomme. Faul-y quo l'en eh uno orguel! Dans lo alns de l'elysée Tu to lu-.élass's dons un fnutcnl_ Tu port's un' chenso cm )esée! Emp'rcurs ou ros, c'est c os lons, Tu lésas tant ben, quo dutre Et, dès qu'l en passe un rhoz nous. Tu cours lu taper sur le ventre! Quand Tpauvro ouvcrrer, nom de d lu! Cro partout msère el suceomhe, Tu donnes dc«soro'h d'gd ' p:t, avec eux, lu l'os n bombe! lphonso, Edouard ol crotora, Ou'ls soent d'ngleterre ou d'tlsldle, Je urdéllcrns de ecs grs-là Ou n'ont s'mol pas de nom do randlc,.\uss bon quo do [laaeon Qu' l'aulr'jour tu roulas on earosso! tîn v'à oneore un fchu nom!.l'en voudras môm' pas mon gosse! Pourquo hssor ces galvaudoux Venr c.lez nous, jo te l'domando? Us n'vennout las tes beaux yeux, Kl m'ont l'ar ( 'ùtro en eontrebaudo. St t allas chez oux pusse encor',.a noto à payer s'rat mons forte ; Tu s'ras Pollux, j's'ras ton Castor Kl tu ras t'passer d'oseorto. Pus, entre nous, yn a' te vas pas, T'a pas c'qu'd laut, mon veux Kdleres ; U'gnrde-to donc du haut en bas, Es-lu fus les bell's manères T'as beau arboro' ton hut r'tlots, Metlr' dos gants eomm' dans la noblesse, Tn no lour vas pas aux nollels. Faut-l te le dre sans cesse '? Ueslo lo Sr' du Loupllon, N'as-tu pas Mannnn' aïeule Sos toujours ler de on blason : l'n trajjlo sur ohum) de gueule fréquenler eos grands segueur., 'l'n tlurals dans lu mèlasso : 11 est temps, renonce aux gruudeurs, (.'.ros-eu lb de la (rand'c.usse 1N.K Dénocale ou ( 'sarsno? Réponse d'un Sllonnste Eu vous é-rvant l'at'de «Vouv lu t-fuhlquo». ()ue vous avez nséré dans votre journal du l" jun, je me doutas déjà que vous n'avez (pe de médocres syn atles le régme républean. Vos apels ncessants au «sauveur» me lo rùsaeut supposer. l.es tros artcles (pe vous avez écrts à la sute du ne'n, me lo prouvent,"quoque vous essaye/, vanement do tedr vos )réréreuees pollpes durs uno ombre dserèlc. La furvo polltpu' du pouvor vous n- [lorto peu, vu ((u'l sot ndépondnul et fort, eapable do drger, de mauleur ot île réprmer. 11 faudrat oepculaut po vous nd- (pcz vos préfércnees, et dre s vous mettez sur le mémo nk le pouvor du llraud Ture, l uutoerate russe, le regmo napoléonen et la Hépublque, p'ello sot Susse, morcano on F'ançnsc. 11 esl vra, d'alleurs, que vous ne semblez pus tlxo sur les eondtos d'exstenee du gouvernement républcan, pus plus quo vous n'avez uno noton ben exacte do l'élte démoeratnpe. (,>u'esl-ec (luo celle Hépublque qu, selon vous, n'esl m uno mourclde, n une a'stucrute, et qu eepeuduul s.ppose nue urstocrato ou uno olgarche? j'avoue quo je n'y comprend ren. jéltc, dtes-vous, sera tojourf! du fal u'cllc drgera, une olgarcdô. Est-ce slr.\utant que mos souvenrs hstorques mn po! nellent de l'at'lw mo', jo cros, au eotare, quo l'olgarcho, qu est lu eonlscuton du pouvor par une mnorté do prvlégés qt l exercenl à leur proll, n'esl pas la l'orme nèeessare de l'clle. ("elle-c, en démoeato, el par co:so([ucnt duns lo régme républcan, qu est sou cxjresson pollt ue, est composée des ctoyens les plus conscents el les plus vertueux du pays, do ceux (p\ ont le sens lo plus exact dos ntérêts nutouux et (u, réllélat duns leurs âmes les lendunees les melleuos du pays, sont on eoncorduneo drecte avec les os >rntous populares, ([u'ls t'avalleut à réalser, t'.e n'est pus uu eorps fermé et nuulenu pa' des prvlèges. L'élto démocratque n'est telle ((ue parce p'elle reste conslurnment ouverte à de nouvelles ascensons, el purco qu'elle so recruto )ar seleetons el élmnatons suecossvos, (po l'éloclon consacre o'nsute. la lmte, rélte démo;nlqu8 comprend la naton toutd entèro ; mas je no hlte devons dre, at pc vous no mo tratez pas d'utopste, ((e cet déal est eeoro fort lontu. Toujours un sujet de Vé'lc, vous prétendez [ue s mo elle gouverne, non ]>!r sulo do drlrgalon, nrns pur lo fat de son cxstenc.:, fctlo corresjondrat à un monnr/uo absolu el do drot dvn, ol je sera pnrts' de l^lyrttm- SoullVez que je n'eu eroo ren : en udmeltat po j'ae colle concepton do l'élte. Je no vos pas do quelle man' e je me trouvera pu lsuu de la lyrane. Sans doute, vous n'explperez conmont vous-avez pu harmonser ensemble des tonnes auss coutradctoros, mas juspe-lù, pe nctez que jo re jette votn^ concluson. 1,'autro allernatve dans laquelle vous no ducez esl aïurclo, s je rends f élte cllonel déendte de la nassu qu'elle serat la merc do lu volonté du poule. C.olto asserton, comme la pcetlele, demande ù être prouvée. S nous upplc ons le mol do ajonh; dvurp'-' à fôl'- dhùcrnl/uo, c'est (p'cvucaunet nous supposons qu'elle dot avo' une nlluece quelconpe dans lo pays, ben pren colurl permueul veh' le peuple, dont elle est l'émauto. Mas de là à rana'be l y a uu abluo. Pour jo no sus prlle rason, vous voulez à tout prx que jo reconnasse l'égale vdeur des légmes noarclqu' roprésv nhf el rénhlcnn déocral/uo..lo vous foras sans doute p!as.' en lo déclarant, mus je mentras à mos covelons. ne prendre (l'alleurh ([ue les argtmenls po vous fournssez, j'a des rasons assez fortes (lor préférer la lépblqne» la Mouurcle, mémo représentatve. Scdon vous, c'est la mémo chose, avoe cette seule dll'érenee qu'cm moarcbe représénlalve, uu seul lonne gouverne au leu de///useurs. La dlvérenco no parat trop cosdérublo être néglgée. Entre le gouverkuneut d'un seul, fut-l un bon tyran, et celu (o ]>luseurs, jo n'héste pas, surtout pad eo jduseurs représedo uno élto sans cess,. élarge, et j'accordo mos préférences au gouvernemer.t démoeralque, auss capable que le gouverneneul persomol do fare la prospérté d'un ays, ear les los fates sous l'nspralo do ceux (p 'lovent on èlre les bénélcaro4, Hauvogurdet meux bss condtons de développement des ndvdus. En mtre le gouvernement républcan est celu qu uéeesslo le plus do valeurs socales, cl (ppormot lo mantou n'o autorté d'uutat plus fort! et rîspoctéo ((u'elle esl davanlage acceplèe par uu plus grd nombre de ctoyens. La llopublquo démocrulquo n'esl donc pus mo, eonme vous semblez lo crore, négutrce de l'uuto té. (jelte opnon quo vous me prêtez esl trop grossère élr! admse. \,'autorté jn'ssunte, ù larpello jo fasas alluson dan» l'ntclo (pe jo vous arossus, c'est le pou ) ;r monarcluo qu dovent nécessare dans uno socété nlenr l'uté, lorstpe l'ununmté morule se trouve rompue, el les dvorgonoos trop accusés..mus cette nutorlé monurelqo n'est pas la.soulo forme do l'nuto lo. mosro quo les peuples purvcunel à un certu degré do conscence tl do res )onsabllé, ls se débarrassent dos tutelles extéreros, et parm cellos-lù de la tutollo royale qu est auss nutle \ un pouplo arrvé à sa malnrlô que la tutollo paternello ù l'enfant qu a ullont sa majorté. Le peuple so condut seul ; mas est-co à dre qu'l no reconnaîtra plus d'aulro oulorlo quo cellos do ses désrs el de ses pussons? C'est une erreur. Dans uno dômocrato, los ctoyens sont tenus de respecter les nécesstés pocaleseldo coordonner leurs cclvlos lo ben commun. C'est uno lùcho dont personne no peut los dspenser, ot quo nul no saurat remlr à lour place. L'autorté no vent plus du dehors, el n'esl plus mposée par un pouvor exléreur ; l'hlo dot étru au contrare consente, voulue, aeeepl'e par un nombre grndssaut d'ndvdus, cl exercée poar le plus grand profl de ous, par l'cluc drgomtc. Vous comprenez alors, eomlen l mporte do travaller au dovelop lenont do f esprt démocratque. Pour po' a t<opubl(po sot, non seulement une formule, mas une réalo vvante, l l'aul quo lo scnlmnl des térôls génoruux devenne non plus lo putrnono do mclquos uns. mus celu d'uno eolloelvté (0 pnson plus étendue ; l fuut que le ctoyen appreno à sae lor son égoïsmo à l'ntérél général quand l lo faut, cl cela c'est à proprunonl parler f éducaton dvnocrutpo, ndsponsablo sous le régme qu exgo lo plus do vertus, omployor l'expresson d'un cardnal t'rufus. Cette odcalo dàmocralpo n'a pont l'eur do vous )luc, ot vous lu découvrez totes sortes de dangers. Elle esl cepondul lu seule soluton rasonnable du mulaso actuel. Quo vous le voulez ou non, lo fat démovratquo est là qu domne le monde moderne. Partout so oursut l'ovollou qu fat passer los fonctons drgeaulos des mans d'un seul à colles du plus grand nombre. C'est lo début d'un rtgo nouveau plus respeeleux do la dgnté lumrdue, et qu permeura d'appeler à no ve plus coosconle, plus élevée el plus l/nte l'unversalté des ndvdus. Vous èles oblgé do tenr compte do eo fat s vous voulez agr sur la socété nodero. Los neuves no romouteul pus leur cours, pas plus que la démocrate n'abandonnera ses conquêtes, S vous ne voulez pas vous adresser à la coscenco des mlvulns fare respecter l'ordre socal, s en un mol, vous repoussez féducalon dômocalqae parce ( ue clmérqe et rréalsable, vous n'avez t'aulro recours po la contrante exlorouro gouverner la socété et vous aboutssez à la soluton la plus hunlanto, celle p entoml condure l'humanté comme un troupeau d'ueorscents : au eésarsme. U.\ Sn.l.ONNTK. LES GTÉS DE L& SE9NE Nos bons méu'orologstes. L'été de.1/. Capré et le s'lel du Veu.ï Major. Faut des réformes! la rason du plus fort. Supprmons forlograp'ae! L' trstesse des buveurs d'alcool. Une grande découverte. h V chme 1 En ce moment MM, les météorologstes détennent le monopole delà guîlé el je me demande quelle lguro nous rons avor en (ace de 'a mer grncheuse ou devant la c:mpagne noyée s leurs oracles ne venaent pas nous réjour. l y a le " Veux Major " p nous rassure : " Va toujours, Monseur, fera solel la semane prochane! " M. Capré qu nous nforme que, celte fos, l'été commence ot, enlln, l'énnent M Machnchouette qu, le dogl en l'ar et les lunettes en batalle, nous appren 1 (pe s'l ne pleuvat pas, l ferat cera neuent beau. Ou s'en doutat ben un peu, mas ça l'at plasr tout de même de se l'entendre dre. Et, pendant ce temps, l'eau nous nonde. Gomme s le cel s'acharnat à couvrr de ce rdcule nos dstngué.'? astronomes, l pleut quand ou nous promet de lu sé'heresse et nous penï^on. à sortr nos fourrures lo jour oî l'on nous mennç.l o'n.solaton. " C '0 d'eau, cjue d'eau! " dre comme co brave maréchal... ( u, sans doute, n'a jamas dt (; : 493 mllmètres on 1900, 501) en 1905, 532 en 1850, 559 eu Le volà le progé.-?, lo volà ben! Q l'on venne donc, après cela, nous ralerdo)ou,de rétrograo 1 " toujours à meux ", comme dl le marchand do sardnes que vous savez; nous n'avons pt.s d'âul e devse el les el'lorls de tous tendent à a jusller. ns j'f sous les yeux u >o récente délbératon du Consel d'arrondssement de Sant Dens. Cnn.' nu y seul la man de ces lls de la lîévolulon (j n'ament pas s'enharru.sser de Fut les! Los réformes, voyez-vous, co n'est pas comme la vertu, l eu faut encore, l en faut toujours et l'excès n'est (p'une qulté. C'est co qu'ont pensé nos Dyonceus el ls ne nous l'ont a-î envoyé dre. Jugez-o plutôt par co v;u dont j'exprme l'esprt s jo n'en reprodut pas la lettre : " Consdérant (pjo la majorté des ctoyens gnorent l'orlographe el cp'l o.-l juste ((ue duns une démocrulo le plus grand nombre mpose sa volonté, le Consel émet le vœu que toutes les r(''gle.s do la langue fran(;use soent aboles. " Mou Deu! Lu délbératon en queston part d'un bon naturel, mas l faut reconnaître ((u'ello enfonce une porto ouverte. La synl!.\o n'a jamas embarrassé que les geus qu on connassaent l'exstence et ceux qu pratquent l'orlographa phonétque et p, dsant " l'ormore", n'écrvent pas " l'armore " n'ont jamas eu lo mondre trouble lu plume en mnn. Mas r;n no lat ron, lo zèle do ces consc lors me plaît. Cetto fos-c ls ont perdu lour [lene, mas su l'allraperout dans la sulo. J'ame los gos qu ou l'osprl nvelfet (p cherchent à amélorer la stualon du peu )le. ns j'o été rav d'uno nouvelle (( nous arrve do Dreïdre. Depu.s (pe j'a acqus la certtude quo l'alcool peut nous rendrj cenlenre, j'élus perplexe et npet. On m'avat dl que les boudleurs de cru, écœurés do la persécuton gouvernemontnle, nvncnl brsé leurs alambcs ; je savas (pe la betterave traverse une crse, (po la porto do lerro esl mlado et jo me demndab où lus pnuv'es dables (pu ont beson de so mettre du cœur au ventre rouvoruent désormas lo henfa- saut ros-.x. La ln do l'alcnol, autant dre la ll du modo et pus mémo uno ln du mondo comme elle est annoncée par lo rofessour Marenhurg ( u vot la lerro vro-morte " sortr de son orbte el s'égayer gaîment dans l'nconnu ". Non, une mort de buveur d'eau, de tempérant, de dyspeptque de la mauvase humeur et des trallements d'estomac. Heureusement nous volà sauvés! No veul-on pas de découvrr, dans la captale de la Saxe, que la dstllaton sèche des matères fécales de l'homme donne un alcool semblable à celu de la pomme de terre ou de grans! Merc, mon Deu, merc! présent, nous volà tranqulles et les Dresdos ont ben mérté du prolétarat. Car lorsque nous exploterons chez nous cette ajmrable découverte, je déle les agents du lse do gêner la fabrcaton. D'abord on no ra pas appeler ça boullr " du cru " el, fît-on deu los n uvelles,.dez donc surveller lo pett boulleur qu, dans le slence du cabnet, dstllera son pousse-café. mons de suvre l'honète ctoyen jusque dans l'ntme abr où l s'absobera, comment se rendre compte de la raude? Pont beson de réserve en cave ; on n'aura qu' se garder lo ventre lbre assurer sa quotdenne provson. h! chme, mére benfasante, que de reconnassance les cœurs sensbles et les estomacs délcats ne le dovent-ls pas ce nouveau benfat, capable plus encore quo nul autre de porter bonheur au pauv'peuple l Georges ROCHER DESDERT DES MREYEURS Les mareyeurs du Fnstère, réuns en assemblée générale à Qumper. vennent de décder de so raller aux quatre vœux présentés par la commsson exlra-parlementare chargée d'étuder les questons r.datves au transport des denrées pérssables et spécalement de la marée, avec certanes modllcatons. P' V(Ku. Déla de remse en gare et de transport proprement dt : Réducton clu déla de remse en gare, avec oblgaton la Compagne d'expéder par le premer tan non dspensé la marchandse qu'elle aura acaeplo ce tran, le calcul des délas étant fut à partr de l'heure de départ dudl tran. 2"> VK;. Déla de transmsson : Réducton du déla do transmsson à uns heure lors([uc la transmsson se fat dans uno gare commune ; à ros heures lorsqu'elle s'oltectuo cnro dos gares dstnctes, autres quo cellos do Pars, lesquelles le déla serat de quatre heures. 8» VŒU. Déla do lvrason en gare : Réducton à une heuro du déla do lvrason en gare, à compter de l'heure réglementa ro d'arrvée du tran qu a transporté la marchandse, îo VcK-. Déla de factage aux halles : Réducton à une heure. Lo Syndcal demande en outre : 1' Qu'on cas de retard portant préjudce ù la vente du posson, les Compagnes devront accorder : a) La détaxe des fras de transport ; b) Une ndemnté en rapport avec le préjudce causé. l y aura retard chaque fos quo le tran n'arrvera pas dans les délas prévus par les quatre premers vœux ; 2 Que la langouste pae le même tarf que la marôh ordnare (comme cela se fat déjà la Compagne do l'ouest) ou quelle sot ohnrgoo dans des wagons spécaux ; l.es mareyeurs du Fnstère entendent s'être réuns, non seulement la défense de leurs propes ntérêts, mas encore ceux de tous les mrns-pêcheurs de la régon, car mareyeurs et pêcheurs ont des ntérêts connexes ; '" Décde d'adresser aux députés et sénateurs du Fnstère le )rocès-verbal de la séance, avec prère d'appuyer de loutos leurs forces les justes réclamatons y conlenues. 5 f.o syndcal espère que satsfacton lu sera promptemenl accordée el le servce de transport assuré. Ses membres ront en fare prolller lu populaton s jntéressante des pêcheurs, vctmes de ces relards répétés et qu sont, de lour côté, lout dsposés à protoster énerg[ucmet. NOTES D'UN MORLSEN Le Père Monsabré vent de mourr. On sat comben les prédcatons sont suves à Pars et ([uelle foule compacte se presse dans chaque Eglse entendre les préd.:aleurs renommés. Jads les plus p'pu- sres étaent ceux qu énallaent leurs prèohes de métaphores mprévues. Perre de Bresse el du Darlas étaent cé'èbres ce motf sous Henr V. On dsat alors couramment les ac((uedu;s do la grâce les sacrements, le concerge des démons Lucfer, l'nfante de la Trnté la verge. Lo môme du B.r tas qu, en co temps t.'( un.l la muse, appelat le solel d grand duc des chandelles, et D on le grand maréchal de camp de l'unvers. GasparSéguran, jésute, comparatalors la (emme au Dable et examnat séreusement la queston de savor s la femme avat été falo, ans que l'homme ù rm.go de Deu. Parlant, dans un sermon, des épouses nlldèles, l s'écrat : a Oh p'l faudrat do bos bnver loulos celles de France! Les forèls d'rdennes n'y suflraent pas!». Sous Lous XV, les prédcnl(>urs populares n'avaent déjà plus les mémos allures. Toute leur orgnalté consslal à mêler à leur dscours des pontes et jeux de mos bzrrcs. ns, lo Pèro ndré, dans un sermon, c.mprnl les ( uar( doclers de l'eglse aux (palrn ros du jeu de cartes : Sant ngustn au ro de cœur, l gra ule drté ; Samt.Xnbroso nu ro do rèlle, les lleurs do sou éloquence ; Sant Jérôme au ro do pque, à cause de son slylo mordant ; Satl Grégore au ro do carreau, à cause de son peu d'élévaton. Ce l ce nè-no père ndré p, dans uu rnréne, assmlat la charté à l'échelle de Jacob, d'sanl quo co n'élot pont échello de rhéne ou do hètro, mas ben (po lo premer échelon étol hareng, lo second noruo, etc. l jouat on chare de pettes scènes boulfonnes d-'us lesquelles l mettat de moté l'audtre, lo plus souvent l esl vra, de manère à le couvrr de confuson, tout en le fasant rre. C'état, cependant, nux dres do Tallomnnd des Réaux, un bon relgeux et t fort suv par toutes sortes de gens, p-r quelques uns rre, et par le reste à cause c^u'l les touchat». Le grand Condé amat a l'entendre, et l eut, sous la Régence, un trè- vf succès à la cour comme à la vlle... YN L LEN.NEH. CoDCOors Central llppfe Je Pars Voc les r(;sullals du grand concours central do Par,s en ce qu concerne notre régon. ttoltt ettrpotdant partteltet. Poulans de trat de deux ans Gullou Jean-Mare, Pleyb'r-Chrsl ; 2, Kerdlès (jullanme, Pleyber-Chrsl ;.'*, Potevn Yves, Sl-Thégon"nec ; à", Oanélo l'llaune, St-Tlégonnec ; f", Ponl- ([ueu Lous, SThégonuec : l", Sbrl Ollv r, Pleyber-Chrst ; suppléant, Sbrl Ollv'r. Pleyber-Chrst. Chevaux de Trat de 3 ans 1", Kerbaul J an-mare, Plouédern ; ', )(Mrnap Clles, Ploudanel ; 3', Gullou Mchel, lolsurhel ; 4", Calvez Ollver, Coal.M'îd ; suppléant, Gullou J.-M. Pleyher. Etalons de trat de 4 ans et au-dessus le, Doùrmap (jlles, Ploudanel (F.) : 2, Raymond Emle, château de Rcaud, ude ;.'", Lavenant G'"", Sant-Dvy F ; 4, bgrall Jean-Franeos, Ploumoguer ;."j", lélard Gullaume, l'onnévez- Lochr.sl ; suppléant.-,, Dournap Glles Ploudanel ; Raymond Knle, château de Rcud, ude. Poulnères de trat, 4 ans et au-dessus P, Calvez Ollver, Coal-Méul, F. ; 2% nather Perre La Boulle, P-.-du-N. ; 3'. Lenvonner. Plren, C.-du-N. ; 4", Coëpech Lsmal, St-aron C. du-n. ; "'. Bol'r Perre. L; Boulle, C.-du-N. ; 6", Tanguy J.-L., Bodls, F. Poulches de trat, 3 ans P, B.uUer Perre (uu seul prxj La Boulle, C.-du N. Posters de 3 ans et au-dessus P, Sévère Yves, S-n'-Pol, "2', Vgoureux Kern('.s, Drnou : 3", Prgent Franços. Plouénan ; Vgoureux Kernés, Druon ; îj", nzan Franços, Plounévez- Lochrst ; f)^ Kernés erre, L'bjplal- Camfrot ; T, Gullou Jean-Mare, Pleyber-f3hrst ; 8', Kerbaul J -.M., Plouédern ; 9". Sévére Yves, Sl-Pol ; 10", Kernés Perre, L'lôptal-Camfrol : Bhan J -M., St Pol : 1-2-, Kérv frér.s, Plouvorn. Poulches postères de 3 ans P'. Qullévéré Vve, Sl-Pol ; 2«, Le Bhan LOUS, Plouénan ; 3", utret J.-L., Plouénan ; ", Quéré F., St-Pol : suppléant, Marrec Jean, Lesneven. Pou nères postères de 4 ans et au- dessus ", Qullévéré Vve, Sl-Pol ; 2", Saoul Perre, Plouénan : 3'', Gullou F.. Sant Vougy ; V, lernot G, Plouédern ; 5"^, Bléas F.. Guclan ; 6", Le Bhan Lous. Plouénan ; 7", Cornée Goulven, Ploué (lern ; 8", Hernot G., Plouédern ; 9^', utret Jean LOus, Plouénan ; 10% Bhan Yves, Sl Thouan. CHRONQUE LOCFTLE MORLX Fête de charté. L? dmanche 30 jun, da s l'après md, une fêle de charté avec comptors varés, crêpere bretonne, buvettes hygénques, spectacles amusauts et attractons multples, sera donnée au proll des œuvres parossales de St-Marln, dans le graceux parc de la Roche, (Ecole N.-D. de Lourdes), ruo Général Le Flô. Déjà l'année dernère une fête du môme genre aval obtenu un plen succès. Nous espérons cette année encore le mémo généreux concours de la par de tous nos ams. Ouverture du parc à 1 heure ; Entrée : 0 fr. 10. VS..a n-nnvn g'uérale (le.s etonnîres do la Socété Cvle de l'lcole S,111111' Barbe de Boscoll'. aura lemu sège de la Socété à lloscoll', le mercred 17 Jullet 1907, à 10 heures du maln. u patronage St-Matheu. près-deman, dmanche, à 3 h. 1/2 précses. un grand concert.sera oll'ert aux membres souscrpteurs du palron;ge, dans la salle de l'avenue de Kernéguès, à l'occason de la fête de M le Curé. Les habtants de Saut-.Mathen vendront assréuent très nombreux à celle fêle le famlle, atn de prouver leur llale an'(h'lon le >'énéré pasteur de la parosse. u programme : Le.f pages de Henr / ' rav.ssante opérette de M. l'abbé Thbault. La C/le, pèce de nonrs ( uas-parlenentares, d'. Dreyfus, Monseur les Clalumeou.r, eou'de boll'e en ros petts actes. nt-rmèdes de gynuasl( Bes et morceaux d'orehestre. u patronage St-Martn. Dnan- (de sor S h. a ou leu au patron.'ge de St-Marl un Concert spectacle donné au proll dos Jardns Ouvrers. Malgré h; peu de réclame fal celte sorée une foule com)ace se pressat dans la vast! salle, venant témogner sa symp;the à celle excellente o>uvre des Jardns Ouvrers fmdée par notre am M. L'.nbb('' Vcare. La séance déble jar " La chanson des Jardns Onvréra " chaulée pur lesenfauls de l'o-uvro, u esl très applaude. Pus c'est 'o )érelle en deux actes " Le Renard el la Cgogne " très ben nlerlu'ètée par les jeunes Coullec, Prgent et Lo (all. près cotto opéreltc M. J. Co.squer nous a e lanl Charté s. v. j chanson de cul-de-jatte, son entrée en scène dans une pette charrette est très applaude. La plue de sons, tombant autour de lu prouve le chaleureux accuel qu'l trouve dans son publc. Le chœur " La chanson des tonnelers" que nous entendons ensute chanter, par les jeunes ouvrers de l'œuvre est des plus réuss. près la quête le rdeau se lève sur la coméde en 2 actes " Le Cultvateur de Chcago " donné tout dernèrement sur n(,tre théâtre muncpal par la tournée Baret. Cette coméde nterprétée par les ancens du patronage oblent un grand succès. Un accès de fou rre sccoue la salle pendant les 2 act(.'s. C'est dre que MM. J. Cozanet, J Cos- (per, Ch. Guyomard, Eug. Péron, L. Cosquer, J. Le Gall et L Le Corre ont rendu leur rôle avec autant de verve et d'entran que des profe.sso nels comme d'alleurs ls (.nt l'habtude. En résumé, belle et agréable sorée ((ue nous serons heureux de vor.se renouveler plu.'î souvent. Sur la demande d'un grand nombre de personnes empéchées d'y assster, ce programme ([u ne devat èlre donné qu'une fos, le sera de nouveau dmanche prochan en celle même salle, à 4 heures. Nous engageons vvement nos lecteurs à se rendre cette matnée. Tout en passant une agréable après-md ls contrbueront à une bonne (euvre. Prx des places : Réservées 1 fr. Premères et trbunes 0,50, Deuxème 0,25. Dem-tarf les enfants. Journal hppque. - - Samed derner a eu leu à lu'lel de l'europe, une réunon d'éleveurs et de personnaltés hppques de la régon. Le but de celte réunon état d'examner le projet de fondaton d'un journal hppque la défense des ntérêts des éleveurs de la régon bretonne. La séance a élé ouverte par M' Henr Vérant, ancen nolare, su l'ntatvj du([uel les nvtatons avaent élé lancées..\. Vérant comme présclent naturel de celle a.ssemblée, a explqué le but el le quo du Journal que 'on pense fonder, pus l a cédé la parole à ceux qu avaent charge de trater la parte technque. Toutes les personnes présentes sont lomb Mîs d'accord sur la néce.ssté de fonder un journal qu défendt la caus? des éleveurs. Une commsson spécale chargée d'élaborer les statuts de la Socété en projet a élé nommée. MM. de Ton(juédec, vce-présdent de la socété hppque cl Henr Vérant ont d'abord réun tous les sulfrages mas se son» excusés des rasons de santé ou d'occupatons trop nombreuse-. Fnalement la commsson a été composée de.m.m..man Quenec de Plounéventer, Franços-Lous Quennec, conseller général, Fourns, conseller d'arrondssement, nzan, mare de Plougourvesl, Selé, conseller d'arronds.semenl el Laurent Boucher de Lampaul. La séance a élé ensute levée. l résulte des dées éclangées que ce nouveau journal consdéré comme une nécessté qu s'mpose, est accuell avec un grand enthousasme. Socété mxte de tr. Voc les prx du concours régr nal du 23 jun '.' Tr offert à MM. les sous offcers de toutes armes : prx, une montre en argent ; 2, médalle d'argent; 3% médalle de bronze. Concours oflert aux Socétés de tr : 1" prx, méda le d'argent ; 2«el 3% médalle de bronze. Poule : 1" prx : un grand bureau-casse Lous Xlll. tout chêne sculpté ; 2', uoe glace de Vense ; 8", un grand sac de voyage cur ; ", une carabne llobert ; 5«, une grande lampe ; 6, une couverture de Voyage ; 7*, un album de luxe ; 8', un mror ; 9% un servce de lumeur ; O», une coupe crstal. Honneur : 1" prx, une porcelane de Saxe ; 2, une faïence artstque ; 3, une banquette laquée ; 4, Saxe (lacharm'^use. Slhouette: 1" prx, un tête à-lète (porcelane) ; 2% un vase antque ; 8, une corbelle crstal et cuvre ; un tableau. Socétés (tr ndvduel) : 1" prx, un plateau la' înce et cuvre ; 2*, un Saxe. Vélo-Sport Morlasen. - Le comté du V.-S. M. remerce sncèrement les généreux donateurs et toutes les personnes qu ou contrbué au succès de la réunon sportve de dmanche derner. Les socétares sort prés de se réunr samed sor, à hut heures, au local habtuel. Ordre du jour: Courses du l jullet, autres questons. Rélâchés. Sybun, Lancen et Kermanac'h, arrêtés sous l'nculpaton d'assassnat de Mele Le.Moul', onl été relâchés her. Le juge n'a pu établr leur culpablé. Trouvé. Trouvé un jol coller de pett chen sur la place du Dossen, mercred vers J heures. Le réclamer chez M. Fouler, rue de Brest 20. Musque. Concert du jeud 27 Jun 1907 à 8 h 14 dn sor: Le Morlasen, allegro, LOHMX ; La Mascotte, lantese, UDRN ; Souvenr de VJers, polka pstou,.debert ; Gullnume ^'ell. Ouverture, ROSS.M ; Hetour du Bos, valse, RE- NOUX. Les courses du V.-S. M. Les courses cyclstes, pédestres, de motocyclettes et mal.'h de football, organsées jar le Vélo Sporl morlasen, qu ont eu eu dmanche sens h présdence de MM. Kércbtl, mare de.morlax. et Cares souspréfet, ont élé rès brllaales. Jamas on n'ava vu une telle alûuence de (coureurs. Toutes les courses étaent ntéressantes. uss les spectateurs, qu étaent très nombrt'x, ont passé, au vélodrome do Kernéguès, une agréable après md qu comptera en bon rang dans les annales du Vélo-Sport morlasen. Voc les résultats : 1" course, course â ped, un klomètre, réservée aux amateurs morlasens. l"', L L'Ebrellec ; 2', F. Henr ; 3', L. Coat ; 4', Creac'h ; 5', Je'Ju. course, puplles (bcycutte.s),.ooo mètres, réservée aux jeunes Molasens, au-dessous de 15 ans. " prx,. Le

15 L'ÉCHO DU FMSTE1U2 Coz; 2% Lhoals; 3«, Kerautrel ; 4*, E. L'Ena ; 5*, Th. Luvaoaat. 3* course, locale (bcyclettes), m. ouverte à tous los cyclstes morlasens, y comprs les membres du V.-S. M. 1" Ë rx, ^5 fp., F. Le Bars ; 2«, <0 fr.,. Le lars; 8«, 5 fr., J. Snon; 4«. 4 fr., G. Gullerm ; b», 3 fr., Mével. 4«course, takos : bcycles et trcycles ; dstance, mètres. «prx, F. Mérer ; 2*, Quéméner ; 3', R. Hameury. 5* course, départementale, uèros. l" prx, 40 fr., F. Le Bars ; 2', 25 fr., Doher, de Brest ; 3», 15 fr., E. Gullerm ; 4', 40 fr.,. Le Bars. Dans cette course, Taton et Snon ont fat un accrochage et sonl tombés. ls se sont relevés sacs avares. 6% course, takos: bcyclettes(1 OGm.). 1", E. Gullerm 2», L. Brzec ; 3«,. Mével ; *, Stéréden. 7 course, mltary, bcyclettes fceurse autorsée par le général commaudaut le 11" corps). 1" prx, Jaugeon, caporal ; 2, Boulch, caporal ; 3% T-uguy, caporal ; 4% ubert, soldat ; 5«, Baudn, caporal. Nos mltares onl été très applauds. Le caporal Tanguy, arrvé 3', a fal une chute et, comme les coureurs tombés à la 5" course, ne s'est tat aucun mal. Match da football. Equpe du V. S. M. contre l'équpe prem ère du Stade morlasen ; arblé par M. Le Brzec, présdent du Stade, et M. Carou professe u'. Prx ollert par les membres du V.-S. M., un bronze. Le sauveteur vanqueur: équpe premère du Stode mo lasen, * course, course de tandems, m. 1" prx, E. Gullerm et F. Le Bars ; 2", Schnell et Star ; 3«,. Le Bars et Stéréden. O» course, molocyclelles, raètres. ~ 1«' prx, F. Kergoat ; 2, L. Quéméner ; 3% V. Servet. Ce derner, qu aval fourn une magnfque course, parassat so classer!", mas une malenco.treuse panne, survenue au mleu de la course, l'a fat arrver 3. L'excellente musque muncpale, drgée par son chef,'m. ;huvn, a fat entendre, au cours de celle belle fête, les melleurs morceaux de son lépertore. On ne saurat tr p félcter les membres du V.-S. M. el surtout M.V. lancuy, présdent,. Banellec, vce-présdent, de la bo.ne organsaton de la fête, qu n eu, grâce à leur actvté el leur dévouement, un succès sans précédent. Mauvase rencontre. Une pette flle de 13 ans, qu revenat de l'école à 4 heures, rencontra un soldat d'nfantere colonale L. B.., 19 ans, qu se jota sur elle, la frappa et commt nu acte nqualfable. Les parents de l'enfant ayant porté plante, L. B..., fut, à la sute d'une premère enquête de la gendarmere, arrêté otécroué à la prson. Un rappot a élé a ressé à l'autorté mltare. Hstore de pochards. Des tonnelers de.\lorlax, en noce, sonl venus au débt tenu par Yves Guvarch, 46 ans, charron. Proftant de l' bsence du «patron *, ls se trent servr à bore pur sa femme et s'emparèrent de pluseurs boutedles de vn et de lqueurs al s'en allèrent les vder dans le bos de Keryvn. Les dommages causés s'élèvent à une somne d'envron 40 francs réclamés par M. Guvarch. L'un des pochards est monté sur un buftet et a cassé dos assettes, des tasses et de la vasselle. Une enquête est ouverte. Obsèques. Mard malo, à neuf heures, ont eu heu les obsèques de M. Franços Jullet, publcste, décédé lund des sutes de malade contractée aux colones. Remarqué une superbe couronne, olterle par la presse morlasenne, dont les membres avaent tenu à accompagner juscu'à sa dern ère demeure leur regretté colegue. rrestàtlon. la sute d'une pera ustonfate, par M. B chou, commssuro e polce, au domcle de Franço'S Prgent. 32 aos, à la Forge-Neuve accusé d'un vol de lard, d'uno montre et d'une certane somme dans la commune de tïarlan, l'nculpé a été ms en état d'arrestaton el con- dut à Créach Jol. nspecton des sapeurs-pompers. Le commandant yme a passé, dmanche matn, au Poulet, l'nspecton de la compjgne de Morlax. prè; avor nterrogé les hommes s'assurer de leur degré d'nstruoon, le commandant n uspeclé le matérel. Les pompers se sonl ensute rendus, roule de Callac, dtvant la carrossere Guéguen, où ls ont atlaq lé le deuxème étage, supposé en feu, et smulé le sauvetage de deux personnes. Le commandant yme a fort remarqué lo mar œuvre nouvelle de l'échelle à crochet, employée depus peu par les sapeurspompers. près le déllé par sectons, qu a eu leu au Poulet, l'nspecton s'est termné par une conférence, fate, au dépôt du matérel par le Cf mmandant yme, ass-té de M. Robbe, conseller muncpal, ancen ca plame des pompers. Le commandant s'est montré enchanté de lu manœuvre des hommes, de leur dscplne et de leur bonne volonté. Un concert. Grande tournée des enfants prodges. Une mgnonne pasto de U uns, une toulo graceuse volonste de douze ans, une joune amércane contrallode 11 ans, douée d'une vox rare, volà les sujets extraordnnres (pe le panst, H. Veyret Ledoux va nous présenter tout prochanemen', «ans arlor de son nnprécable talent personne. s fllettes qu, paral-l, sonl absolument renversantes et se font rem^quer autant par leur charme naturel que par leur vrtuosté, vont attrer nfallwlement tous les enfants de notre vlle, qu obt eudronl sans pene d'accompagner leurs parents a plaudr ces jeunes vrtuoses. Ce spectacle est s laro qu'l va sans dre que le succès sera énorme. Nou"; en reparlerons et donnerons sous peu U pogrumme de cetto attrayante sorée en perspectve. Mouvement de la Populaton. - Du 13 au 20 jun NSSNCES. Yves Loncot, Os do ll. polyto Maro l.ouso, et do Muro nne llaudnl, rue do Callac, 29. Yvonne Lohou, llle (lo Baptste Perro Jean Mare, el do Jula Ctlne Maro Paugan, rue Gambolla, uguste Perre Muro Beseond fls do Gul- Maro ot de..toanno Maro Joséphe Goarant, ruo Gambetla, 99. Yvollo Mare Meudoc, nlo do Y\es Maro ot do Maro Françose Grall, Traou-ur-Veln. Joan Lo Duc, lls do Jean Maro el do Françose Le Guon, ruo du mur, 11. \ndrô René Poulquen, fls do Joan Lous Maro ot do Claudne Maro Moïsan, ruo Vllenouve, 10. Yves Mare Joffrol, ns do Jean Maro et do Maro Françose Guéguen, ruo du Porsmeur, 24. Germane Maro Touche, fllo do René Lous Maro ot do Maro Perrno Korvaroo, qua do Léon, 18. Maro Corre, flle do Gullaume Jean el de Jeanne Mare Page, route de Callac. Joseph lan CorculT, tlls do Perre el do Maro Yvouno Hounrnay, ruo du Porsmour. Claude ndré Maro NooUs, fls do Maurce Paul Mare, cl do Jeanne Mare méle Ramée ruo Nolre-Damo, 5. PUn.CTONS DE MRGES, Maree". Blanchard, marn de l'etat, ruo Haute, 55, ovec lexadrnotounon, couturère. Joseph Tous, cultvateur à Plourn, avec Jeanne Yvonne Car, uuhorgsto, venello au Four, 15. M.VRl.VGKS. Léon l,.h0n80 Lnhayo, môcaneon, à Dampvtoux, avec Marguorto Yvonne Dantoc, 8»ns professon, rue do Pars, 41. Malhuru Juguo, cordonner à Pars, avec Marguerte Gaouyor, repasseuse allée du Poan-Ben. l)ecd''s. Sulpco M lyou, veuf do Marguerte Dnalol, vonello au Beurro, 20. Paul-Jem-Franços Maro Lo Gall, 12 ans, ruo Haute, 53. Perrno Joouon, épouse ou 2» noces, de lan Lo Houx, ans quarter du Chtoau. Lous Lo Grët, 23 mos, ruo Basso, 31. Marguerte Harseoët, 42 ans, quarter du Chftteau. Franços Jullet, 28 ans, place doa Jacobns, 8..Maro-Josophne Lavoc, 10.jours, rue Longue, 2.'t. Louse-nna Lo Njan, 9 lus, rue Vllonouvo 20. Plourn Electon complémentare. Une électon complémeua re a ou leu dmanche, le remplacement de deux consellers munc aux décédés, MM. Rvoal el Yves Crom. Voc les résultats: volants, 510 Ou obtenu : M. Floch, 502 ; M. Dubeau, 483. Pleyber-Chrst Conférence agrcole. M. Le Loupp. ttulare de la chare d'agrculture de l'arrondssement de Morlax, fera une conférence le dmanche 30 jun, à 10 h. 30 du maln, sur le Syndcal agrcole. Plounéour-Ménez Conférence agrcole. Une conférence sur le Syndcat agrcole sera fate le dmanche 30 jun, à tros heures de l'np ès-md, par M. Loupp, professeur d'agrculture do l'arondssement de Morlax. Henvc Obsèques. Dmanche onl eu leu, à Henvc, uu mleu d'une gands afluence, les ob èqups du garde martme Caslel. u cmetère, après avor retracé s carrère el fal son éloge, M. l'admnstrateur Cadou a aus termné : «La terre de repos est douce aux bons servteurs comme lu; qu'l dorme tranqulle, mas qu'l entende dans son sommel l'adeu que lu envoent son chef el ses camarades de l'nscrpton martme.» Sant-Pol de Léon Les courses. Les courses sont défntvement lxt^es au dmancha 11 aot. Trouvalle. Un trousseau de clefs n élé trouvé, rue du Pont-Neuf. Le réclamer chez M. Soulé, marchand de bcyclettes. ccdent. M. Ol 'er Sévère, cltvaleur à Kermorus, retournat, en volure, dn marché aux légumes. Sa famlle ne fut pas peu surprse de vor rentrer l'atlfllnge 3"ul sons conducteur. Elle ne tardat pas à apprendre quo ce derner venat d'être rencontré, couché sur la route, en face du vllage du Sanl-Venal, à tros klomètres de la mason. M. le docteur Le Bgot, appelé on toulo hàe, constatat (jue M. Sévère aval tros côtes cassées. Ou ne sat exaclemont comnont l'accdent s'est produt. La Fôte des Vétérans. La f(to dos Vétérans a été annoncée samed au sor, au son du tambour et de clarous. 8 h. 30, dmoucle, los socétares so sonl rassemblés dovanl la mare. teau(!oup de veux soldats des communes vosnes ôlaent présents. Pour so rendre à la baslque, les «camarades» ddlèrent par quatre, drapeau en tète. C.olu-e état poté par.m. Stourm, assste do.\1m. Page el Papn. Tous les tros sonl médallés mllres el curassers do Hoschofl'cn. MM. Stourm et Page furent blessés dans les gloreuses charges do cette fameuse journée. l'kglse, uno mo.^so est dte par M. 1 abbe Floc'h, vcare. pres l'évangle, M. Treusser, curé-archprétre, chunono honorare, a prononcé uno belle el patrotque allocuton. l a développé lo thème suvant : «Soyons braves ju'cp'à la mort». Lo but do la sooélé des vétérans esl d'almoutor la llamne du eourago mltare. S jamas l'heure du pérl sonnat, tous los vou.* soldats courraent à t frontère. Quel est celu qu rostcral on arrère V. «Cotes, conluuo M. le curé, la guerre est un fléau à déplorer. Mas lorsqu'on est attaqué no faut-l pas se defcndro V» Pus.M. Treusser se demande comment on peut reneoutrcr des hommes pèlst' rabasser co uoblo Hontmot : l'amour do la patro. «S nous devons amer tous los hommes convenons qu'l est nnturel quo nous ayons dos préférences ceux qu ont lo mémo berceau, les mêmes aspralous ot plus tard, fturont la mémo tombe que nous. t.\uss ben, l n'y a pas leu do erandro que lo cullo du pays dsparasse du sol breton. N'y esl-l pas assocé à l'amour do Dou, au sontmout relgeux (p nspre ot réeonponso tous los grands lèrosmos?» La mosso termnée, loa Vétérans so rendont au cmetère, dans un chaud rayon do solel. Dos bouquets el dos couronnop, con- (lés aux enfants dos éeolos, sonl déposés uu ped du catvjro. usstôt, M. Roué nozcllec, vce-présdcul, prononce lo dscours suvant écoulé dans lo plus grand rceuollomcut : X Mos clers camarades, «près avor asssté en s grant nombre' tout à l'houre, au sorvco relgeux célobrj lo repos de l'âme do nos camarades qu no sonl plus, nous avons, par une touclanlo tradton, déposé au pod do celle lu'ox, à défaut de monumeul eomnémorutt', uno couronne avec dos bouquel.- eu l'onour do nos ohers camarades dsparus, prouvant ans quo lour souvenr ne s'offaoo pas de nos c(burs. «Le nombre do ces camara'des qu nous ont ans quttés depus la formaton de la secton, est déjà bon grand. Jo vas vous cter leurs noms, par ordre d'nscrpton sur los contrôles do lu socété : «Jean Corre, de Sant-Pol ; Hamon, Kerbrou, (lo Sanl-Pol ; Jean-Mare Jueq, de Sant-l'ol ; Lous Ollver, Jea-Fraços Goarnlsso, do Sanl-Pol ; JounMare Le DutV, de Sonl-Pol ; Lous Nédéloc, do Sant- Pol ; Jean-Maro Henr, do Cléder ; Jean- Mare Le Ros, do Plougoulm ; Franços Quéméneur, de Saut-Pol ; Franços Roualec, de Sant-Pol ; Lous Gullou, do Sunt- Pot ; Hamon Seté, do Sanl-Pol ; Gullaume Danloc, do Sanl-Pol ; Casm'' Sullour, de Sant-Pol ; Jean-Maro Poclqaon, do Sanl- Pol ; Charles Marty, do Roscoff ; Léon Charles, do Sanl-Pol ; Eugèno Lo Bhan, de Sant-Pol ; rmand Joflrol, Je Plouénan ; Tgdxat do Kermoysa, de Sanl-Pol ; Olver Roualec, do l'îlo do Batz ; Franços Drasou, de l'île do Ralï ; Yvos Rou do l'îlo do Batz ; Mchel Laurent do l'îlo do Bat/ ; Fran(.;(Js Gullerme, do l'île do Batz ; Thomas Gléant, do l'île do Batz; Henr Kerren de Sant-Pol ; Joseph Goasdoué, do l'îlo de Batz ; Franços Chapala, do Roscotï. «Tous ces camarades, vous les avez connus, fréquentés et amés. uss, j'espôro quo leur souvenr est encore vvant parm nous. «.Vu nom de lu 221" secton, qu a eu l'honnour de vous compter dans ses rangs, chors dsparus; jo dépose sur votre tombe cetto couronne ol ces bouuels. Dormez en pax, nous ue vous oublerons jama.s.» Duns lo mémo ordre qu'à l'aller, lo cortège retourne place do l'evéché. On sonne au drapeau. Lu foule, nombreuse, so découvre. Fhsuto, c est la,dslocaton. md, un banquet u été sov pur Mmo Roualec. Tout le monde s'uccordo à reconnaître que lo menu état fort bon composé. Quant oux convves, ls ont longuement parlé du passé, do leurs espérances. «Oubler! Jamas!» C'osl toujours lo mot d'ordre. u dessert, M. ^ené Bozellee, frénétquement applaud, s'est exprmé ans : «Mes chers camarades, «ppelé par mes fonctons de vco-présdenl à remplacer lo présdent, absent, c'est mo un honneur que.jo n'a pus sollcté el qu m'oblge ù prendre devant vous, aujourd'hu, la parole ; auss, j'e.spèro que vous aurez mo, qu no sus pas habtué aux dscours el harangues en publc, toute l'dulgence nécessare. «J'ame ù me retrouver parm les veux camaïadcs de r.vnuée terrble, mélangés c avec les jeunes qu forment l'avunt-garde de l'armée françase. «Je commence par vous remercer d'être venus s nombreux assster à celle pette fôle de famlle, où je vos que l'entran le plus cordal n'a cessé de régner. a Notre socété o été créée par uno nspraton généreuse et nos statuts montrent notre préoccupaton constante de fare une œuvre d'unon, d'umlé do souvenr. «Ce qu fat notre force, c'osl quo nous sommes au-dessus do toute dssenson polt([uo, on nous conformant slrclement aux statuts ol en no mêlant à nos réunons n questons poltques, n questons relgeuses. 0 Lo but de notre socété esl de grouper avec les veux vétérans des guerres passées les jeunes soldats de 1 armée d'au.jourd'hu, composée^ do jeunes gens a l'esprt san et fort et sur lesquels n'ont pas de prse les néfastes théores des antmltarstes. K Je lève mon verro à la grandeur do l'armôo françase et je vous pre do crer avec mo : «Vve la Franco! Vvent les Vétarnns!» La féte s'est contnuée par dos chonts et dos toasts. L'un dos souhats est ù sgnaler : celu qu a été formé par le vce )résdent à l'ntonton de M. Raoul de Kerdre, présden, momentanément élogné de sa vlle natalo, dos ra<<ons do famlle. M. Bozellee lu fera connaître les regrets que cause son absenco el bot à sa sauté, à celle des sens, avec l'espor de leur prochan retour: Un remercement aux camarades Kerbrou ot Rolland, qu se déponsont, sans compter, lo bonne marche do la secton et la réusste de ses fétos. En résumé, excellente réunon. Lgne de Plouescat à Sant-Pol. L'nauguraton de la lgne de Plouescat ù Sant Pol de Léon aua leu le 30 jun. Le tran offcel partra de Plouescat à 10 h. 25 du matn et arrvera à Sant-Pol à 11 h. 3. md, banquet sous les halles. Des lstes de souscrptons sont déposées dans les mares des communes el dos cantons el aux mares do Cléder el de Plouescat. Le programme dj lu fête sera publé prochanement. Sbrl Une cloche d'alarme. De tous côtés, on nous pre de demander l'nstallaton d'une clocho d'alarme, fonclonnaul automatquement, au pussage à nveau de Snl-Jacques, sur lu roule de Sbrl à Sant-Pol de Léon. L'admnstrulon compétente n'aura pas été sans remarquer rncouvéuent qu'l y aurat à lasser le pas.sngo quo nous sgnalons sans avertsseur. Elle fera donc, croyons-nous, drot à la réclamaton que nous lu transmettons. Mespaul Fôtes. Dmanche 23 jun, gand concours de tr à la carabne, treze prx et une médalle d'urgent. Lund 24, contnna'on du concours do tr. Courses do bcyclettes : 1 coure rogonale, (paro prx ; 2 course communale, quatre px ; îl" course de consolaton, tros prx. (Bourse à ped, course en tac, jeu do la poè e, clc. ^ Plouvorn Courses. Les courses du Mouvorn auront heu le lund 24 Jun. Programme. 2 heures de l'aprèsmd. l" course, au Tot monté. P' p., 40 fr. ; 2" p., 15 fr. ; 3" p., 10 fr. entrée : 3 francs. Dslance : m. 2 h. 1/2 do ruprès'd. 2' ccursc, au Trot monté. - 1" 40 fr. ; 2* p., 20 francs ; 8 p., 10 fr. ; enroe.' francs. Dstance m. 3 heures do l'oprès-md..'>' course, nu Galop. P' p., 20 fr., 2» p., 10 fr. 3 p.. 5 fr. ; entrée 2 l'r. Dslanco n. 3 h. 1/2 do l'après-md. 4- cour.^e Trot vltclé. - p., 40 fr. ; 2" p., 21) l'r 3* p., 10 fr. ; entrée 3 francs. Dstance, m. 4 h. de l'op ès-md, sur la route do Morlax. Course do bcyclettes, cantonale. - P'' p 10 fr. ; 20 p.', 5 fr. ; Entrées au 3» ; entrées 0 fr. 50. Jeux dvers sur la place : Baquet russe, mât de cocagne, courses en sacs, jet de la perre, jeu de la poole, cnurses d'hommes el d'enfants, concours de fumeurs. md, à l'hôtel Quentrc, tenu par. Kerbat, banquet par souscrpton à 2 fr. 50 par lête. Carhax Fêtes de la Tour d'uvergne. Les fêtes annuelles de la Tour d'uvergne approchent. Vuc le progamme : Le 20 jun, au coucher du solel, carllon, de touos les cloches de la vlle : à 8 Heures du sor, sur le Champ-de-Batalle, danses publc ues ; à 9 heures, feu de joe, salves d'artl ere, retrate aux fambeaux, llumnalon de la vlle'; à 9 h.'30, grard bal à la salle de la mare (tenue correcte;. P'journée. Jeud 27 jun. 5 heures, carllon de toutes les cloches do lu vlle annonçant l'ouverture olcelle de la (êtâ et nvtant les habtants à pavoser leurs masons ; à 8 h. 30, le mare, lo consel muncpal et toutes les autortés se rendront à la salle de 'hôlel de vlle. Là, se formera le corlège qu se rendra à l'églse assster à un servce solennel en Commémoraton du Premer Grenader de France. près le servce, le corlège se rendra sur le champ- le-batalle, où les honneurs mltares seront rendus à la statue du héros pur une comj.agne du 118'de lgne. Exposton c'es relques au ped de la stalue. 11 heures, une dstrbuton de pan sera fate aux ndgents de la vlle, sous 'es halles. m d, grnd banquet par sour.crpto. De une heure à 1 heures, tr à la cble dans la cour de l'école communale des garçons. De 2 heures à 4 heures, jeux dvers sur le Champ de-batalle : bquets russes, tournquets, courses de brouetter, courses en sac. fcelle gastronomque ; prx dvers. De 4 heures à 5 heures, course au gaop b dets bretons, sur la route de Rostrenen ; 1" prx, 15 r. ; 2, 10 fr. ; b fr. De 5 heures à 6 heures, concert sur la place de lu Mae. 8h. 30, donsospublques sur le Champdc-Datale. 9 h. 30, feu d'arlllce et retrate aux fn beaux. journée. Vendred 28 jun , du matn, course au galop bdets betons, ^ur la route de Brest ; prx, 13 fr. ; 2% 10 fr. ; 3', 5 fr. De 10 heures à md, concours de tr à la Cble et jeux dvers, sur le veux cmetère. 1 h. 3"), bal d'enfants sous les halles, dsrbutou ce ouels aux enfants (eutée 0 fr. r,.) De 3 heures à 4 heures, lancement de ballons sur le Champ-de-Balalle, avec dlléronls objets en peau de baudruche. ' De 4 hees à G heures, concours de danses bretonnes et de costumes bretons, jeunes l les du canton ; prx dver.î. ' 6 h. 15, rentrée des drapeaux el des relques du hrîros. 8 heures du sor, grande fêle de nut : danses bretonnes, danses de caractère. 11 heures, lancement d'une mongollère. Un husser cambrolé. Proflant de l'absence de l'husser. Calhernu X..., qu, auparavant, avat été domestque dans la mason, pénétra dans l'habtaton de son ancen maître, sous le prétexte d'aller prendre quelques effets qu'elle y avat oublés. Uno couluère, qu travallat au rez-dechaussée ne s'muéa nullemeh do la présence de Catherne X..., sachant qu'elle revenat parlos dans la mason de l'husser y tr.vallor. L'ancenne bonne Ht uno perpston mnuteuse el enleva uu coffret renfermant une certane somme ans que dos bjo x. L'husser, ù son retour, constata lo cambrolage. Plante fut déposée ausstôt à la gend.'tmore. Grâce à la vglance du maréchal des logs, l. coupable Unt par avouer sou larcn el l'ondrol où elle avat caché le coffret, ans tpo le nom d'uno complce qu partagea le produt du vol. L'enquête contnue. Corlay Concours chevaux de sang. Un concours qu comporte franos de prx sera ouvert à Corlay le 9-jullet, chevaux de.sang des chevaux nés et élevés dans les déparlements du Morbhan Fnstère, C6les-du-Nord, le-et-vlane, en 42 px dont 5500 fr. fonds de l'etal et 5500 fonds do la Socété Sportve. Les engagements seront reçus jusqu'au 28 jun, à 8 heures du sorchez M* LeCocq notare à Corlay. Les courses. Voc le résultat des cour.ses de Corlay : P" course, au trot, 900 francs, dstance métros. 1", Eb, à M. Garreau, de Sant-Etenne de Monlluc; 2, Etcœtera à M. le vcomte de l.angle, de Pennélé ; 3, Kcbalotle, an m('nne ; 4, l'jdtle, a M. Gullaume luon, de l'lou('gal-gue ando. 2'course, nu galop, px 000 francs, dstance n èlres. l", Mutn, à M.M. Besner et Lo Goédc, de Lamhalle; 2, rtsan, à M. lo comte do Vrel. de Pontvy ; 3", Consul, à M..Menagor, do Sntc- Tréphne; 4, Entrechat, à M. nceln, de la Vlleneuve. 3' course, au trot, prx francs, dstance 2.800mètres. 1", Esa, à M. Bouché, do Rostrenen ; 2, Phœbus, à M.- Ruellan, de Saul-Qay ; 3", Echo, à M. le comte de Gésncort, do Pampol ; 4'", Epever, ù M. Kerbouélhan, de Sanl- Ygeuux. 4 course, sleeplo-clrase, prx 2.G00 fr.,, dslanco mèlres. 1", Gavarn, à Melle Dard, ; 2', Modest -, à M. Van den Bosch ; 3', l'erre Mwclerc, ù M- Monk ; 4. Hldcgarde, à M. Throun. 5 course, uu trot, prx too r. dstance mèlres. P", Choucrouto, à M. lo vcomte de Langle, de Pennélé; 2», Drnga, au môme ; 3, Deusta, à M. Perre Baudoun du Haut Corhy. 0 course, nbscacles, francs, prx de la S. S E., dstance mètres. P', Dallus. à.m le vcomte decombourg; 2, Tetuan, à M. le com'e J. d'lzac ; 3», D.v Mat. à.m. E. Van don Botch. 7" course, steeple-chase ml.tare, 2«sére. prx 800 francs. l", Caprce, à M. Bourva ; 2', Ratapol, à M. de Botlhury ; 3', Hameau, à M. Sant-Gall. 8" course, steeple-chase, prx 800 fr. 1", Splendde, à M. Rolland, de Plussnlen ; 2', Dentelle, à M. E. Lechaux, de Sanle-Tréphne ; 3», Elose, à M. Robert Ohex, de Savenay. BBLOGUPHE Devant l'obstacle Tel esl le ttre du nouvel ouvrage quo vent de fare paralr.', sous forme d'un charmant volume n-h de 234 pages, no re compatrote breton M J. Badry, que sa récente et magslrah; Elude sur la lretagte à la velle de la /{évoluton, servant de cadre el de commentare à la publcaton d'une très cureuse correspondanc(! de l'époque, a d's h^ pr'^ner nstant ms en vedotle [)arm la pléade de lttérateurs dont notre chère provnce (JS en drot d' s'honorer. Dans sa drnére œnre, qu est à la fos, selon sa propre délnlon, «un roman psychologjue et une élude socale M. Baudry a abordé le douloureux problème de ce préjugé au nom duquel la Socété fal supporter le fardeau d'une sorte de tache orgnelle aux hérters d'un nom déshonoré par une faute, un crme dont ds furent nnocnts, les relousse (l(! son sdn et les oblge, malgré ers vertus ot leurs mértes personnels, à végéter hol(usenel, comme d(!s paras el des banns, et î porter jusqu'à la lomb:.' la lare hérédtare qu fera toujours rougr leur front. Le dc'sl.onneur famlal se dressera toujours sur leur voe, et ls ront se meurtrr sovenl, se brser [larfos, c nre cel écuel '( u leur barre la roule du bonheur, les sole du reste de rumalé, el met obstacle à leurs plus légtmes aspratons. Pour étuder les lumetabkïs résultats de l'njuste pr'jgé qu'l s'est généreusen nt pr(q)osé de combattre, l'auteur n'a ou qu'à fare appel à ses souvenrs d'enfance cl à évoquer, telle que la lu racontèrent des vellards, la pognante hstore d'une famllo qu comptat, l y aura bent(ïl un sècle, parm les plus consdérées d'une pette vlle de la Bretagne centrale. Son chef, que le lvre dénomme M. de Kerlor, gentlhomme d'honneur et )èr(! de famlle exemplare, eul un sor le malheur de repou.sser trop brusquement un vrogne qu voulat pénétrer chez lu en l'njurant. Celu c roula sur le pavé ; le lendeman maln, on le rama.ssal agonsant..\vant de mourr, l accusa M. de Kerlor, et son meurtrer nvolontare, transformé par la malgnté publque el la malvellance des magstrats on un lâche assassn, fut condamné à cnq ans de ravaux forcés. Dès lors, c'en fut fn du bonheur dans la velle mason des Kerlor. Frappée au cn.'r par cette catastrophe qu ravageat.son exstence, Madame de Kerlor échappa ])0urtanl au désespor en se consacrant passonnément «l'éducaton de s.'s quatre enfants, ndré, Yvonne, Guy et Franços, sur lesquels elle concentrat ses espérances d'une future réhabltaton de leur nom llétr. ls no revrent jamas leur père, qu avat sacrfé.sa ve sauver un survellant du bagne assall par deu.x forças. u sortr de l'adolescence, chacun des ros frères voulu embrasser la carrère vers huelle le portaent ses goùls. ndré de Kerlor devnt un brllant et ntrépde oftcer de chasseurs d'frque, décoré à la prse de la Smala, fat captane à la batalle de l'sly. L'avenr lu sourat, et un projet d'unon avec une noble et pure jeune llle, su'ur d'un de ses «orpagons d'armes, allat se réalser, lorsque deux mots suflrent runer tant d'espors : " /ls de forçat!» Tout dsparut, bravoure et honneur, amté et amour, glore el bonheur, présent el avenr, et. du joyeux el vallant soldat, l ne resta plus (l'u'une épave humane an eenr sagnant. Deux ans plus lard, le mnastère le.monte-bcnto. dans les.\pennns, eonptat un relgeux de plus, /''ra Steplano.. L'obstacle contre lequel s'état brsé son frère, Franços de Kerlor lo rencontre auss, sur un autre chemn, el dot renoncer à vor s'accon )lr le plus cher de ses désrs, celu d'être prêtre un jour, car.son mun lu ferme l'entrée du grand sémnare. Sans so consumer dans d'amers el nutles regrets, l.se ré'sgne à cette décepton, et, resté au pays natal, se consacre à consoler et soutenr sa mère et-sa sœur, tout en travallant à fare oubler, par sa condute, sa probté et son honorablté, la tâche nfamante qu macule le blason des Kerlor. Quant à Guy, son caractère ndomptable et fer n'accepta pas auss faclement que ses deux frères le préjugé cruel dont s étaent vctmes. Etabl médecn à Pars, en plen faubourg Sant-ntone, l avat concu contre la socété marâtre une hane farouche, et, s'eftorçat de conquérr 'afl'eclon des ouvrers du quarter, soulever par sa propagande ncessant- b s malheureux et les mécontents, etlesjeler, q.and l'heure de la vengeance s ral venue, à l'assaut de cette arstocrate socale à laque.lle l vouat une mplacable rancune. D'un bon chréten, d'un honnête ctoyen, la hane el le désespor avaent fat un athée, un révolutonnare, un anarchste. Le docleuv lebade lomhn sur une barrcade, lors des journées de jun el ses dernères paroles furent une malédcton. ce trépas de révolté s'oppose l'héroïque el louchante mort de Era Stephano. emporté par le typhus en.sognant, dans.son monastère ransfonné en hôptal, un blessé de la campagne d 1- tale, qu n'état autre que son ancen camarade d'frque, le leutenant Robn, à la j;louse el à la lâcheté duquel l avat du la rune de son avenr. Plus h reux que ses deux frères. Franços de K"rlor réusst, sans brut, sans volence, par la seule énerge de sa volonté, a l'ade du dev( rde chaque jour smplement el courageusement accompl, à franchr le fatal obstacle sur lequel ls s'étaent brsés. Resté dans sa vlle naule, lépou.sa une douce el charmante jeune flle, conqut l'estme et l'aftecton de tous, et vécut jusqu'à un âge très avancé, entouré de la vénératon de s(;s compatrotes, couronnement mérté d'une exstence ben remple. L'anayse e-de»ss ne peut donner ([u'une ben mparfate dée de r(x!uvrc do M. Baudry. Elle se lt avec uu ntérêt toujours grandssant, sans qu'on pusse se soustrare à l'mpresson de certanes pages qu font monter les larmes aux yeux. Celle douloureuse hstore esl toute pénétrée d'un grand soulle d'espérance chrétenne, et. s elle émeut fortement s elle vous arrache parfos des larmes, elle ne vous lasse, une fos le lvre fermé, aucun sentment angossant ou pénble, mas une vrle el salutare le(}on de courage, de fo et de charté. «joutons que l'auteur a su ncorporer a son réct dvers trats hstorques des guerres de la conquête algérenne, des sanglantes émeutes de jun 1848, de la campagne d'tale, alcrlement racontés et parfos empognants. De nombreux personnages épsodques slhouettés de man experte, tour à tour amusants ou tragques, se mêlent étrotement à l'acton (3t contrbuent, par leur varété qu témogne de l'esprt d'observaton et de la souple.sse du lalent de M. Baudry, à rendre son oîuvre excessvement vvante et mouvementée. En termnant, assocons-nous au vœu exprmé par M. Franços Coppée, l'llustre poète, dans la lettre dont l a honoré Devant l Obstacle el souhatons de tout CD'r avec lu que «ce lvre ben pensé et ben écrt trouve auprès des lecteurs, l'accuel qu'l mérte, c'est-à-dre le melleur» (,1.) ^ (ï)t)ëïanl t'obstnctc. par J. Baudry. îf.sodan Ut procpales lb'arcs de Mortax el do Bretagne. La Coopératon Fnancère du Rhône et les GENS GÊNÉS Nous sommes heureux de fare par à aos lecteurs qu'ls ront trouver sot donner de l'extenson à leurs affares, sot leur permellre de l'établr une ade pécunare dont ls raent avor ht son, et ce, à un taux égal de 5 0/0 l'an. DÈSRKZ-VOUS DE L'RGENT? Pour un achat c uccouque, bestaux, terran, meubles, bgoux ou antres, écrvez à la Coopératon Fnancère, 6, Qua de londy, Lyon, qu p'èle sur smple sgnature au taux légal de 5 0/0 l'an lu fxer la somme qu vous est nécft.ssao en lu explquant vore mode de lemboursement. Dscréton absolue Soluton dans la hutane. Pas d'nléêts d'avance. Grande faclté d'> remboursement aux personnes actuellement gênées. 1_B sgnature d'une honr.ète per-one équvaut à de l'argent. Le Gérant : H. POCO.N. CKTEl L\l] BOX: BCYCLETTE C'EST PLCÉ NTELLGEMMENT SON RGEN ' CHETEZ UNE BCYCLETTE Hemdrz le Catalogw au eoncessonnure M. HUTRC, L rue Carnot. Morlax. CYCLES TERROT (OJONj?r>eul ^Vj^ent pou* la -églo J. HUTRC MORLX - 11, RUE GRNOT, 11 - MORLX

16 L'.cno );,\stî;«5f; JEUNE HOMME mnn((* pnce comms aux écrtures, ou tout autre emplo. - Bonnes références. ON DEMNDE UN BON TOURNEUR sur métaux, à la Socété Générale des Chemns de fer économques. Ecrre à Monseur VELHN, lugé.eur Chef d'explotaton à Morlax. Etude M» KEBNES, cvo:é à Morlax. ^ybîïl^ps Par Lctaton Judcare l'etude el par le Mnslére do.m" TROUSSEL, noaro à Phyber Chrst LE LUND 1" JULLET 1907 à une heure ol deme do l'horès md PREMER LOT COMMUNE OE PLEYHEH Cntsr, U.KU n-: KEHGR.ELE.N-BLX UNE PETTE PROPRÉTÉ contenant sous Edlçes et ssues... Terres hbourahles.. Prares grasses... Landes Coutenance totale. «se à Prx DEUXÈME LOT :t a. 00 c.»» 70» «38» O.. 3 h. 87 a. 20 c fr. MkMB COMML'.NE. U LEU D: v'akll.ekn UlUS UTRE PROPRÉTÉ contenant sous Edlces e' ssues... Terres lahomahles.. Prares grasses... Landes Conlenance totale. dse à P r x.. f» a. 80 c. l» 87» 87» 10. OS» -O» 3 h. 30 a.tf ct fr L'avoué (Qursvat, K. KER.NES. Elude de M* Tu. FLEURY, ohne à Morlax Par djudcaton YEM>U: En l'etude Volontare LE VENDRED112 JULLET 1907 l doux heures En 'a conmnne de Ph vher-chrst, hoda.t la ro te alonale de Pans à trest. U FERME DE KERNVÉZEN d'une contenance de U h. 8'.) a.!)7 c., louée à M. et.mme Jacques,-\hgr dl, noyenr ant 450 francs l'a:, phs raeq't des'mpôls et dverses clrrges Mse à Prx fr. Pour vsder, s'a ressor aux ferm-rs et rensegnenonls à.m' KLKUm'. ^ludes do.m" HKl.X:. docenr en dro;, avoué à M orl. X, pla^e Cornc,," lu cl de M'^' LK COZ. noa'.re à L n!m. VEBÏT Par su le d' ccf'plto Hv' le n J LE LUND PREWEFl JULLET 1907 à deux heures de l'apré-ad En l'étude et par le mnstère do.m''.k COZ, notare à Lanmeur, dt; ; Premer Lot Le leu de Kerlolxou et lépedances en la conmnno de L'nhem ol par extenson en ce los de (m'u! ". desl-jea'-l-ddgt, loués aux ép^x (.à.- denncc. moyennant un lermage ansjel de mlle rancs. MSE PRX... 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17 deuxème nnée N" 82 Le Vuméro 5 Centmes.a Samed 29 Jnm 1907 < JOURNL RÉGONLSTE NDÉPENDNT fv Q Vétm dn énutt adutult, >>caarelas* f( élnls dt gtfs. TRF DES BONNEMENTS. MORLX, un au 3 fr. 5 0 Fnslftre. CÔlea - du Nord, Morbhar, ua an... utres Départements Fras d» Retouvremat 0 fr. 40 par bonnement. 4 fr. OO 4 fr. 5'J par la Poste, " EKLEO PENN R BED " / :. ", 4' - ' ' ' l>r e o t e u r :. L -. ^ J T X 3 1 ^ r u e ^ a e s J P o u t a n e s, " m O ^ L - X Rédacton et dmnstraton 3/, rue des Fonlanes - SORLK TRF DES NSERTONS la lgne un. (ju.cflros ou dverses). O fr. Î20 Réda'n-js (en y page) O fr. 30 Pour les annonces répétées ou rate à forfat. Le servce du journal est fat gralultment aux offcers mnstérels annoncers. Pour les annonces el réclames s^adresser à U.H. POCHON, sot 31, rue des Fontanes ou 67_,, rae.qaœbetta. Les manuscrts ne sont pas rendus L SEMNE Vendred 21 jun. Le ro de Sam. qu devat rester tros semanes à Pars esl part par tran spécal à md l'ngleterre. Le brut court dans les coulors de la Chambre que M. Marceln lbert a été arrêté, mas l nest pas confrmé. On dt auss que lo régment de lgne caserné à Perpgnan, au cours d'un conflt avec les gendares, a tré sur ces derners, mas ce n'est qu'une rumeur. Le brut court que la wse vtcole rat ben fare ajourner le renvo de lu classe 903. l semble non opportun de renforcer l'effectf des vtculteurs révoltés pur l'appont d une classe. Une dépéche annonce que le général Calvez aurat été ms en dsponblté., Samed 22 jun. /.u Chambre a adopté le projcl de lo aanl but dr réprmer le moullage et le suerage des vns. Le Consel des mnstres a ajourné, n rason des crconstances, le p^vchan voyage de M. Fallères à Hordeaux el tous les déplacements mnstérels. Les 000 mutns du y d'nfantere sont rentrés ce matn ù dge pur chemn de fer el ont regagné sans ncdents leurs caserncmcns. On sgnale dvers ncdents du côlé de f.odève, Oll les communcatons auraent élé nterrompues. [ht meetng poltque s'est tenu ù Lesparre dans une proprété prvée. M. ldy, député de.\arbonne, a vsté l'îthôptal les blessés cvls el m'ltures des dernères bagarres. Un grand banquet poltque a eu leu à Versalles en l'honnenr de Hoche. M. Uertaux, ancen mnstre de la guerre, y a prononcé un dscours. La jeunesse catholque u fat célébrer 'jtjmjg^st^^ """"" fppo^te n^rosc, vctme des apuches antclércaux de Pars. Le tramuay /tenues Ce.^son a été nauguré aujourd'hu. Dmanche 23 jun. Lue nouvelle abracadabrante : Marceln lbert s'esl présenté ce matn au mnstère de l'ntéreur.hur, M. Clémenceau le reçut. On ne sut ren de précs sur cette extraordnare entrevue. Lund 24 jun. M. Clémenceau u reçu une délégaton, <ï la téte de laquelle état le mare de Nîmes, venue lu demander l'élargssement des membres du comté d'.rgellers. Le l'o de lgne a qutté.\dge sans ncdents une garnson nouvelle. ujourd'hu «commencé devant le jury de ta Sene le ]>roccs îles anlmllurstes..\près le réqustore, les débats nul été renvoyés ù demu'n. M. tevol, ambas.vdeur de France à Madrd, a rems ses lettres de créance uu ro d'espagne avec le cérémonal,habtuel. Le steamer Santago a fat naufrage près de Santago de Chl. Les passugèrs et l'équpage auraent pér, sauf deux personnes. Mard 25 jun. Une dépèche de Narbonne annonce que Marceln lbert se coustlura prsonner deman à Montpeller. La Chambre a ajourné la d'scusson du projet de lo sur les consels de guerre cl ms à l'ordre du jour de lund l'mpôt sur le revenu. Le Séual a nommé la commsson chargée d'éludf le projet sur le moullage el le.'ucrage des vns et commencé la dscusson du lrojel de renvo de la classe /. Tlomsou a déclaré que l'apparellage de dverses untés de l'escadre de la.médterranée est un/ucment motvé par la proxmté des mananvres navales. fjjs mutns du 17' de lgne embarqueront sur deux croseurs ù destnuton de ta l'unse. Lu Cour d'ussses vent de prononcer l'ac/ultement des douze antmltarstes suvs l'affche aux soldats. Mercred 26 jun. Le gouvernem nt a décdé des sutes contre les sgnuta res du munfese de la C, G. T. sur les évè nements du.md..1/. Marceln.lbert est allé se consttuer prsonn'crù.montpeller sans ncdents l.a vlle est calme. Les mutns du 17' ont été emburqués sur le «Oesa.v» et le «fh Chayla» sas^ ncdents. ls seront débarqués à Sfax M. Ferroul et ses co détenus ou pré.v. Glbert, adjont au mare, l'avser le publc p'ls se séparent complètement de M. Marceln.lbert dont ls désupprouvent les actes. Jeud 26 Jun..M..Marcelln lbert a élé longuement nterrogé }ar te juge d'nsruclon en f>rcsence de son avocat. Le groupe ugrcole de la Chambre a adopté lu proposton de lo teuduul à augmenter le crédt four la rpresson des fraudes..e même groupe a conclu uu rejet de lu jn'oposlou de lo tendunt à la suspenson des drots d'entrée sur le blé en grans et des farnes. f.e brut court que la stuaton serat très tendue avec l.[llemagne, mas ren jusqu'c n'a confrmé ce brut feureusement!!! LÉCHËÀNCE l y l bentôt l.\ ans, (.eljues andacexse asardèrent à l'ncttro une )octnnc étrange. )'aprî.s eux, la France se mourat de centralsaton, les dverses rél;ons dont elle est formée, dépérs-.«aent parce (pe leurs besons e.sscntels ctacnt méconnus et sacrfés sous nn vaf^'uc prétexte d'unté natonale aux jtérêts d'une schle vlle. l'our l'are crculer la ve dans font le corps du ])ays l fallat dsaent-ls d'orcer cet estomac gonflé outre mesure, par une non.struetse dyspepse, qu'est Pars, à reprendre SCS fonctons normales, et à.so contenter d'être la ])lus belle vlle de France au leu de voulor tout résumer en elle, tout alsorber, tout sburdonner et tout dr^'cr. ("ete thèse (pl état lon d'être nouvelle, car des hommes émnents l'avaent soutenue avec éclat à dverses é^oques au cours lu derner sècle, se trouvat cependant encore neuve, ensevele qu'elle avat été dans un protond oubl. La plupart de ceux qu rentendrent émettre tratèrent au premer abord, ses champons de fous. l fallat en effet une certane audace à des gens, la plupart sans fortune et )resquc tous jrofondénent nconnus, oser heurter de front les dées re(;.ues, la routne de tout un sècle. On le leur lt ben vor, les gens sages eu trent rsette et tratèrent avec une pté dédagneuse, ces gens sans surface., ces poètes attardés, ou ces archéologues réactonnares (ju rêvaent d'une restauraton cffnérqe des ancennes provnces, Ben qu'l ne sot jamas prudent, n toujours ))ol de dre la vérté.aux gens, nous..devons avouer que, en ce qu concerne le nouvenent régonalste en Bretagfc, Morlax (ju en vt le début, montra sel 'une c es vlles les plus récalctrantes. _ En cx))l()ue qu voudra les motfs. Que les Movlasens le veullent ou non, l ne s'en.suvra ])as mons, (jue ^forlax ne sot la vlle certanement la plus bretonnante de Bretagne. Peut-être toutefos, est-ce par ce motf (ju nous pousse à ne pas ap- ])récer ce que nous po.ssédons, et à enver ce (lu ne nous appartent (jue peu ou pas, que les Morlasens en ))0.sse.sson de la langue bretonne asprent de toutes leurs forces, à l'oubler. Quoqu'l en sot de cette rason psychologue et des causes de cet état d'âme, passons là-de.ssus. uss ben, l'opnon d'une génératon mportepeu,cequ mporte et ce (pl rend nutle toutes les dscussons et toutes les récrmnatons, c'est ( ue les événements se sont chargés de donner rason, aux apôtres de la racc et de la terre, La révoluton (p gronde dans le md est la melleure ])reuve de la vérté de leurs dres. Le Md, qu jusqu'c avat ans dre gouverné la-france jar ses lls, au proft de Pars, p avat fortfé le gouvernement centralste jar l'aj)- por des vox de ses députés, le Md s't'st aevu un jour soudanement ( ue la joltpe (lu'l soutenat le menat à la lancjueroute et à la mort, et dans un bruspe sursaut, l s'est révellé et ressas. l est nutle de s'appesantr sur les événements de ces derners jours, tous les connassent, mas l e.st nécessare d'en fare ressortr les causes. et d'en la.sser ])révor les consé( uences. '..Md se plant ])arce que.ses vns ne se vendent pas, l accuse la, fraude, la fraude exste, mas cela tent à plus haut, cela tent à tout notre système économc[ue, à la machne gouvernementale. Cela tent à cette monstrueuse aberraton, qu veut que nous Bretonss, oyons coulés dans le même moule que les gens de l'est et du Nord et ceux-c assmlés aux métèques de Provence, ou aux Basques (le G ascogne. Cela s'explque par la complexté, et la dversté d'ntérêts, d'numeura, de )assons, qu sont ncessamment leurtés, comprmés, broyés, par.'gnorance, la gauche e, et l'ncompétance, des étrangers cm gouvernent chaque régon de France au proft de Pars, l n'est pas beson d'être ^rand clerc devner qu'un Marsellas oouvernerat à Marselle avec plus d ntellgence des stuatons et des besons, qu'l ne gouvernera à Qumper, à Morlax ou à Llle, C'est tant cette vérté s smple que la centralsaton à contredt, c'est cette cho.se s évdente qu'un peau rouge même la reconnaîtrat, que les sages de Morlax et d'alleurs ont méconnue et que les régonalstes défendent. ujourd'hu s l'échéance n'est pas arrvée, elle est ben [rès de se produre : l'heure approche où le ])euple enfn désabusé comprendra que la sagesse des sages état fole et que la fole des fous état sagesse. L'heure vent où l sentra, que la centralsaton, c'e.stlamort du commerce, d'. l'ndustre, de l'agrculture, et auss la mort ou la corrupton de l'ntellgence et du cœur. Le peuj)le saura que le régme r par le( uel l souffre ne lu à procure que des dssensons poltques, et l comprendra ([ue ben avant et-au dessus des vanes dsputes, l est préférable, de vvre la ve régonale, cp n'est autre chose que la ve de Famlle étendue. l comprendra qu'avant d'être ctoyen de l'unvers, l ajpartent à la France ; avant d'appartenr k la France l ajpartent à sa régon, à sa vlle natale, à son foyer (lomestque, et qu'l a le devor s'l veut trouver la pax, le bonheur, la sécurté et même la rchesse de vvre d'abord en bon ])ère de famlle, pus un bon Breton s'l est Breton, (n en bon Flamand s'l est Flamand, être ensute un bon Framv's et fnalement un homme dgne de l'humanté.. LJ'\ Vx l'abocance des lua- ' tèr-es oxs reaettoas À n [ semane p'oolane la l'épose t arx Sllonnste r Rskaden llez e meuz komzet d'eoc'h euz ar faesoun ma ez-eo kendalc'het en e blaz ar Gwarnamant. Lartd'n, n'eo ket mantruz gwel ar pez a zgwez an devechou-raa ebars ar C'hreste. Na glaskn ket goud pe o deunt raezoun pe o deunt ket. Ne u.an ket an dra-ze ebars va garg, rag me Brezad a halfa laret d'eo : 4 Pa oa kston d'eomp dfen bon ez hag hon reljon e oac'h euz ar re genta o laret d'eomp penaoz na reemp ket mad en eur eneb ouz a'r lezennou faoz a vje roet d'eomp, hag unan euz ho kanadetedoa goulennet er Gambr, dfen koseal ar ez brezonnek en hzou Brez.» Me laro d'eo penaoz e rant mad en eur dfen ma deunt raezoun, med koulskoude a larn ve e c'hanl reer oll. Med, pez a fell d'n ober ez-eo dskwel en petra pleg e man ar Gwarnamant, Pell zo e man en eur tbat wel eun d n hag a gwe en dour ha pehn a glask dont er meaz. Clemensau na de ket beza er bujadur. n arme, p'e hn ca douget evt ar vro beteg brema, a zo deut da veza eun tavern trubardet. r mstr o deuz aoun euz o soudardet, rag ar re-ma a fell d'ez-ho bea ker maestr hag ar mslr. Clemensau a de sonjal en amzer e oa en penn ar revolusoneren e kouman(l d'ez-ho tenna var ar zoudardet. n dra-ze oa en deg ha tr ugent. Eun ugent bloavechou goude e oa affer eun den p'e hn en doa trahsset ar vro, Enez e oa Dreyfus, ze e oa gwelet Clemen - sau, Brand, Pkard en pen evt dfen an tratour, hag ne oa komz dva'.o awalc'h evt an arme. Ha breman a we gwelet ar zoudardet en eur eneb ouz ho mstr, ha Clemensau zo stounet euz an dra-ze. Koulskoude n'ez-eo nemet dre e zskamanchou, dre skrfanou euzuz ez-eo deut da akaat an du 1 en sperejou ken fall. Gweletez-eo bet an devechou-ma ebars ar C'hreste, ar zoudardet 0 kwtaat ar c'hazernou dre nver braz, ha n'ez-so nemet kan poan a zo gallat derc'hel ar re al en peoc'h. n dud ve ne mant ket en zonch da blega ha deuz o lavar e c'hendalfont ken a vo roet d'cz-ho pez a c'houlennont. Setu aze penaoz e man ar Gwar namant ha deuz ma velan c'hoaz en do da baka er Gambr, drgwener, araog en do respountet d'ar C'hanadet a zo en sonch da c'houl raezoun dgant-han. Lod a lavar penaoz en do poan e cboum en e zav. Bea zo ve hag a fell d'ez-ho (.skar trbunalou ar brezel, ha Clemensau na fell ket d'ez-han, Lod al a we kountant o klevet komz euz lezen ar levé, med brema pa we kston vot na fell ket d'ez-ho ober ar marjorte. r socalsted deuz o goste o défont kals a draou da laret a ze gant preuvenou evt poueza o gonzonnou. goude an traou-ze, a gredan, e ranko bea gwel krenv Clemensauhag e gonsorted evt souten kement al a bouez. Laou an DORNER, L REVOLUTON DNS LE MD La réunon d'rgelers Les explcatons de Marcelln lbert Voc les explcatons fournes par Marcelln lbert à la réunon de lund du comté d'rgelers : «Je ne me dérobe pas devant les responsabltés. On a fat courr le brut que j'étas allé m'agenouller devant le présdent du Consel. Je sus part d'c, vous le savez... Un assstant alorx pose une queston à Marcelln lbert qu répond en crant : <f Tasez vous, je sus part d'c ne pas semer e sang dans toutes nos rues. Je ne me sus pas cché par peur, la seule peur que je pouvas avor c'état de vor le sang couler et les rues remples de cadavres. «Je n'auras pu supporter cet horrble spectacle. Je sus allé à Pars f... du pétard à la Chambre; je voulas me rendre à la séance et là, fare le nécessare. «l y a un témon de mes ntentons, M. ldy. Je sus arrvé au mnstère^ un husser m'a reçu, je lu a donné une lettre le présdent du Consel; l ma demandé qu j'étas et le but de ma vste. Je lu a répondu : donnez toujours cela, vous me demanderez ensute des explcatons. «f Je sus entré dans le cabnet du présdent du Cons-^l avec ma valse et j'a donc pénétré chez Clémen ceau ; l m'a reçu sans arrère-pensée (Nlurmures). Je ne pus pas savor s'l en avat une, mas je vous dos toute la vérté : la premère des choses que j'a fates c'est de lu dépendre notre stuaton ; l m'a répondu : «Vous avez accepté avec le comté d'rgelers une responsablté ben grande ; vous avez semé la guerre cvle et vous en serez rendu responsable.» «J'a ré)ondu. «l y a des responsabltés alleurs!» «Pour toute réponse, le présdent du Consel n'a pas répondu (sc) \ l m'a traté en am et non en ennem, M. \arcelln lbert se lève avec volence contre l'atttude de certans journaux qu le représentent comme s'étant rendu à Pars mplorer le présdent du Consel. pre les journjlstes présents d'enregstrer fdèlement ses protestatons : [12] PROMENDES Travers le Pavs de M m (Hydrographe pttoresque Mettes de Folklore, etc).e porlul d'cntéo do a cuur, an Sud, présente, en dehors, doux cosolos fornéos d'un pcrsonnogo accroup ; cl, au côté drot, un purïonnugo plus grand tenant un écusson. Un outre écnsson martelé snrnon o lo portal. Un grand mur d'enconte entoure un nncen jardn nu N.V ôo mètres a l'o., dons un ehnnp, se vot une fue. remnreuer sa porte hassc, ogvale, cl ornée de cordons scnlptos. Les murs de celle fue, on lolles perres de talle, ont plus d'un mètre d'épasseur cl en fonl uno verlnhle pelle fortere.sho. (28) Le Launay, (ar Vern) 2 kl au S. de Ploujean, comprend deux vlloges. l.o Pell-Launay (Vern-Vhon) oval un ven.\ manor dont on vot encore une encente de grands jnurs autour d'un jardn de 2.") à ro ores, un long b\tmenl qu v^ du S. nu N., dont on a abattu un pavllon el uno tour, l y u deux ou tros ons ; on y vot encore pel- ((ues meurtrères ; uno eh elle désau'eeloe forme la cour au S. et sert ù présent do grange. Une autre molson à l'e., do l'nutro côté do la rue porte sur ses perres de nonbpusos raanues do for à cheval : on dl (po c'oll l'écure du sogneur du l'ell-launny?... moté dstance de là nu Voux-.aunny (Vorn-GosJ csl la jolo fontane, uvoc rnu, du Prou. Le Veux-Launay, à 200 mètres au N. de l'autre côlé des près, est un veux nunor qu, depus le XV» sèrle, ppartul à la fanlle (l'une lgnée des dues lrelons ; ; appatet acluellenunt ù Mme do Vnllôre, née de llls. C.'esl uu long corps de logs, prlul d'un pavllon K. us ceté nu S. sur lo mrdn encl s, cl [ rlanl les carnetéres du \V111 sècle ; nas une nure pnrlo, N. 0. présunle su le chenn, des partes beaucoup plus velles ; une porlo ogvale vnc lgures et cordon do.elptures dot d..lerdu \V«sècle. l!u roslo (le lour carrée fat salle sur ronconc, à l'o., sur les prés. Ou dt que ce nor n appare u à la duchesse.\ne, cl qu'un ro y a séjourné?... Mas ce (p osl plus ccrla c'est quo la duchesse nne y a couché en nllant à ât-leun du Dogt. (2K bs) La mason lexandre-l)([uel, (ancennr sous-préfecure) a élé profondénonl renanéo ; e'élal uo belle velle nson autrefos, el qu a encore dt-on son souterran conmm( uut avec es capucns. ('.'9) l\cr-(:o.< \ c'esl uno grande velle nlson du qua de 'fréguer, (p attre l'œllol do sute, au mleu des splenddes masons modernes qu l'encudrcnl. On drat une ge'le du.\v1" sècle. Ce fut, parul-l, un rendexvous le chasse des dues do tretgno. La.Mason Kergox fut auss l'hjtel se- {erd des CuOllosquel ; l fut bàl vers OCt). l'bs tard, l appa ln à la famlle holladafo Vat!-:rupennnl<, pus pur «llacc x Kernutlun do Kor-l'o/. (p lu onl donné leur nom. On y vot, dans uno pèce du pavllon, l'oratore donestpo. (.'10) Le Chàtoau de Sl-l'rx, qu état place Kle-Souvesre, à lu joncton du Jarlot el du Qucffleut, l'ut démol, l y a mons d'un quart de sècle, lors do la cnnalsalon cl couverlure dos cours d'eau. Ou dt po, quelques jours avant de l'abattre, lo proprétare y donna, à l'arblocrnle du [lays, un lud r.vest Kn réalté, ce n'état n un chàtem, n luéne un manor, ns un vel bétel assez trsl-,!vcc c ur l'enuée colcnanl uno tourelle l plas coupés cl l lucrue};otl(pe. M. C.lrlcrs 'rxc-d.ns do St-l'rx y denu'urat avant sa démolton. M O lî 1, l X l's[n' nous scu(;s à Mrlax, prdlos-' pr jt'cr un cfup d'el à travers la vlb'. Kn S'.', le l'.l'valcr (on la C.hcval'ro) do fruvll'. dans nu! sorte d' Gude en lrelajne. dsal ; '. 11 y a (lualrc ( ck ans, ms " (Mssons eu bntro p de (doscs à dr(! <( s u r l a x l l c d(^ Morlax; n us aurons M pu y nd 'r au voy;f;mr plsmrs, o! ('ls dgnes d'.-tlrcr son allonlon.. njuurd'h lonl a dsparu ; les no- «.11 llls. b'san'('ns('(lllces n donnaent.. à l''t' vlle un type jarlclcr sonl (C bub-s sous les coups des novateurs;. el. tout à l'al (h'porv.'d(! sa coub'r 1. loeab'. cll' ne K-rte ds qu'on s'y < arr('tc Son vel hôlel-de-\'lle, non"nl r ar ;bl' du rèj<(î do Henr " 1\'; ses aul es rorll'.l's, la tour l dte d'.t/' /r</lu' les d's de ltrcla.!;no < fasaent batre onna', tout cola vml de s'(trnl('r SOUS le arp'au des d^mo-.. lssfrs (") Cet alerdl cncor; un mot sur.s'dn/e Melane (sd, ('fçlse du XV>'sècle, pe.sanl(! et (lu plus mauvas h'oùl, d des runes de (') l,(! ('.lévauer de l''r,*nuvlle, n'n les l "ljel-.! dg's d'tlrer l'ltetou» qu \ nent d-pn u, u't ce qu l'tt resté depus l''fîlse des Carnélles ; el c'esl tout. Hen (b' a lour de Sanl-.Malle. de réjj;lse des.lac(d)ns et de sa jde rosace, non plus que des velles mason de la ruo llal(^ et do la rno Longue ; d s masons aux enreses caraldcs ot slales de!a r; Sl-.M(dane el de la Grand tu; donl les ('n.^es sp(''rers se rejognent presque : de la Mason de lu llene-.nne dans l; r' dn.mur ; des nonbreux pquons p.u- nse sur los places 'flers el de Varmes, ele,,. l faut eror(! ( nc' de Frémnvlle aval ('- prévenu contre Morlax, ou ben qu'l y aval ('dc' mal reçu... Pour mo, après avor enlonm'' son vudue eoo l'un dîs ])lus beaux de f'ra ce; les rues (une, do/.ane) ( donet ac'ès de la basse-vlbï vers les tros vlles hautes, ransfornues en escalers; l!s jdes pnuunades du Poan-len et du Poulel (p s(! suvent pmdanl un kloèlre le long de l. rve drote du.lurlol ; son 'fb(''\tn', rue de lrest ; son Palas de.lslee, au Poan-len ; son h'lel de Vlle, entre les places'flm's el lùle-sovesre ; 1(! (Mqel Kos([no de la uspe, tloné l y a deux ans par le regretté.m. llopar/....l ne me restera plus (j' repro(lur(! e. nn arldc que j'a publé dans la revue ['Hermne, " davrl loo', el nllh' : UN CON n: llun'.vc.nk T W" s;.; Le ".Mons bdaxs» des lîoans s'<-sl tradut par «.Morlax» p-jnr les franças 1.1 lévolton de 'rjls' do Notre-Dame du.\lur : s M lulurablo clocher tp rvalsat nvec le «C.reskr < de St-Pol, el qu vcnt de s'ec o l('['... el par «.Monlrolez» les Bretons. Ponpo'.'...On n'en sat ren encore, au juste. Ces tros appellatons onl cependant donné nassance à de ullph\s explcatons étymologques el hstorques, asauene n'esl réelleenl satsfasante..vo/7rtù'csl stuée sur tros rvères et sur tros collnes. Sur les tros rvères (et sur csl ben le mol c), car ces cours d'eau, dans leur lravors(;e de la vlle, sont Tccnverts en grakh parte de voûtes sur lesquelles les rues et masons s'assoent avec eonlance sur les tros rvères, ds-je, (le Jarlol qu arrve du S. K., le Queffleut qu s'en vent du S. ()., et la Dossen ou rvère de Morlax ([u s'en va au.n., la uer est assse 1,1 vlb' basse, avec.«^es tros prepales artères : la rue de Pars qu longe lo Jarlot sur sa rve gauche, la rue de Brest qu sut la rve drote du Qucffleut, el les Quas, des doux cow do la rvère de.morlax. ces grandes percées vennenl aboutr un grand nombre d'arlère secondares: rues, ruelles, venelles, passages, escalers, etc.,. Lajonclon des deux allluents {Jarlol el (jùeffleut) (p foren la Dossen a leu dans les parages de l'httel de Vlle ; pus, apr''s la pluce Thers el la place Cornc, nore rvère sor de sous (erre el devent, pemlanl un kuuèlre 'e Dassn. Ce bassn, la mer vent le vster à peu près l toutes les grandes marées ; mas clc pousse parfos ses vslcs un [le lon et envaht les caves rveranes, ce (lu esl arrvé encore ^en janver l'.lo. u.sonmel des tros angles formés par les tros rvères sonl les tros collnes el les tros v les hautes : le Bourret el la Gare, Sl-Nco as et la Madccne, Kernéguès et le Chleau. Cette dernère esl à l'angle S., entre les deux allluents ; la précédente, î l'ang'e N. E. ; cl la premère à l'angle.nord Ouest. Ces tros angles, ou'cantons, lmtent auss, à peu près, les tros parosses donl los églses sonl : Sant-Martn, assez moderne, sur le Bourret; au flanc de Sant- Mcolas est Sant-.Melane donl la flèche essae d'attendre le parapet du Vaduc ; celle églse fut, dt-on, une chapelle de Templers, et les gens du quarter jurent encore, mas ce n'est pas péché : ls jurent en franças ; la velle églse St-Mattheu avec son évangélque nvtaton : J)cud holl d'am c'haout, est au ped du Kernéguès, c'esl ans dre la métropole, l'églse oflcellc. La basse-vlle tent ben un peu des tros collnes ; mas les gens des tros vlles balles sonl cependant ben «chacun chez so» : quand on habte le Bourret on est de Sl-Marln, certes! et non de Sant-.Maltbe ; el récproquement, d'alleurs. Les malns qu francsent ont rmé dstnguer les tros quarters, un sxan qu n'est poul-élre pas plus vra qu'f'léganl : Sant Martn des Champs Pour les gros paysans ; Pus c'esl Saut-Melanc Pour los demoselles ; Knln Sant-Mattheu Pour les pauvres gueux. (.-1 suvre). N \

18 / L'ECHO DU FNSTERE mn de fer qu leur avat refusé la dem-place, chose tant naturelle. ls votèrent ensute leurs statuts ; pus ls 60 séparèrent après avor adopté une marche, la marche de la corporaton. ls ne sauraent trop en user. l!» M ^ L'EXPULSON DES CONGRÉGTONS L'Offcel du 22 puble les documents suvants : Le présdent du consel, mnstre de l'ntéreur, Vu l'avs du mnstre de l'nstructon' publque, des Benux-rs el des Cultes, Vu la lo du 1 jullet 1904 relatve n la suppresson de l'ensegnement congréganste et notnmmeut les artcles 1", 3 et 6 ns conçus : «rtcle 1". L'ensegnement de tout ordre et de toute nature est nterdt eu France nux congrégatons. «Les congrégatmus autorsées à ttre do congrégatons (xclusvement ensegnantes seront supprmées dans un déla maxmum do dx ans. «l en sera de f éme dos congrégatons el des établssements qu, ben (p'autorsés en vue de plusour.^ objets, étaent, en lat, exclusvement voués l'ensegnement, à la date du 1" janver «Les congrégatons qu ont été autorsées el celles qu demandent à l'être, à la fos rensegnement et d'autres objets, ne conservent le bénélce de cette autorsaton ou de cette nstance d'autorsaton que les servces étrangers à l'ensegnement prévus par leurs statuts.» ï rt. 8. Seront fermés dans le déla de dx ans )révu à l'artcle l" : «1 Tout établssement relevant d'une congrégaton supprmée par applcaton des paragraphes 2 et 3 de l'artcle 1" ; «2* Toute écolo ou classe annexée à dos établssements relevant d'uno des congrégatons v.sées par lo paragraphe 4 de l'artcle 1", sauf excepton les servces scolares unquement destnés à des enfants hospta sés, auxqu s l serat mpossble, des motfs de santô ou autres, do fréquenter une école publque. «La lemeture des établssements et des servces scolres sera effectuée, aux dates fxées chacun d'eux, par un arrêté de mse en demeure du mnstre de l'ntéreur, nséré au Journal Of/cel. Cet arôté sera, après cette nserton, notfé dans la lome admnstratve au supéreur de la congrégaton et au drecteur de l'établssement, qunze jours au mons avant la fn de l'année scolare. «l sera, en outre, rendu publc par l'affchage à la porte de la mare des communes où se trouveront los élablssemonls supprmés. «rt. 0. Sont abrogées toutes les dspostons des los, décrets et actes des pouvors publcs contrares à la présente lo, et notamment, l'artcle 109 du décret du 17 murs 1808» Vu les los des 1" jullet 1901 et 4 décenbre 1902 ; Vu la lo du 24 ma 18^5 ; Vu le décret portant règlement d'admnstraton [ublque en date des 2 janver el 17 jun 1905, rrête : rtcle 1". Seront fermés, à la date du l."" septembre 1907, les établssements congréganstes c-après désgnés, stués dans les départements suvmts : Etablssements de Qumper, rue de Br^îst ; Qnm[)er, rue Sant-Jo^eph ; Qumperlé, Concarneau, Plounéour-Lanvern, Bres', lue Bugeaud Brest, rue Lanouron, Brest, ruo Vuban, Sant Marc, Plougastel Daoulas, des f ères des écoles chrétennes de Pars, Brest, rue d'gullon, des Sœurs de la Charté de la Provdence de Rullé-sur- Lor (Srlhe). Sant Pol de-léon, des Ursulnes de Sant-Pol-de-Léon. Brest, rue Voltare, et Lesneven, des flles de la Relrala, dtes du Sacré-Cœur de Jésus, de Qumper. Kant Perro-Qlhgaon ^au bourg); Sanl-Perre-Oulbgnon Pen-ar-Vn'y) ; Sant - Perre - Qulbgnon (Kerbonn'e) ; Plondalméz'^au, Rosporden, Ergué-rmel l'oneur, des flles de la S:gesse, de.'r'ant-laurent-sur-sèvres (Vendée). Brost, rue Vauban ; Brest, place des Ecoles ; Bannaléc, Brec, Landrévarzec, des Sœurs de Sant-Joseph de Cluny, de Pars Cumaoc, doà flles de la Dvne Provdence, de Créhen (Côtes-du-Nord). Tréboul, des fldes de la Charté de Sant-Vncont do Paul, de Pars. rt. 2. Seront formées à la date du 1* septembre 1907, les écoles ou classes annexées aux établssements c-aprè.s désgnés, stués dans le département du Fnstère : EHant ot Plouguerneau, des lllles du Sant-Esprt, de Sant-Breuc (Côtes-du- Nord) Gupavas, des fllos de la Sagesle, de Samt-Laurent-sur-Sèvre (Vendée). CONCOURS CENTUL d'anmaux reproducteurs des espèces chevalne et asne à Pars Le concours central des annjaux reproducteurs <h:s e.spèces chevalne el asne, organsé à la Galere des machnes, s'esl termné dmanche derner. L'exposton comportat G.- anmaux de pur-sang, 474 de dem-sang, 80 de races postères, 435 de trat, t étalons nulassers cl 9 mules et mulets. Les dépurtemenls qu y onl partcpé le plus brllamment sont l'orne, avec 228 anmaux ; le Fnstère avec 114 ; le Calvados avec 88 ; le Pas-de-Calas 76 ; l'eure-et-lor et le Nord, chacun avec 42 ; la Saône-et-Lorc 40 ; la Charente-nféreure 3'/ ; la Sarlhe 36 ; los Deux-Sèvres 3."; ; la Vendée 34 ; les llaules-pyrénées.'w ; la Nèvre 32 : la Lore-nféreure 2"). Les posters bretons ont obtenu un grand succès. C'est ans que Eusèbe, à M. M. Yves Sévère, de Sanl-Pol-de-Léon, n élé vendu francs ; E/fad, M. Prgent. du Léon, francs, ol.sann' Peur, à MM. Vgourox-Kernés, de Drnon, également francs. Ce.sont des Susses qu ont achclé les deux premers chevaux ; le trosème a été acqus par l'dmnslralon des Haras. LES CHMBRES SOtTERR.MS Du Méné-Plouïa] L'auteur des nléressantcs Promenades a.v envrons de Morla.: publées dans ce journal, a décrt, (numéro <n 27 avrl derner) dos cellules ou chambres.souterranes découvertes, au cours de l'été de 1903, par des ouvrers qu extrayaent du.sable d'une garenne stuée sur le versant Nord do la collne dle Méné-Plouan entre le manor de r/\rmorque el celu de Sucnou. Ces alvéoles, comparables la forme el la dmenson à dos fours à pan, étaent entèrement creusées, sur un plan horzontal, dans le grant décomposé el frable qu consttue le sous-.sol de l'endrot, el se trouvaent relées entre elles ar d'étrotes ouvertures pene a.ssez urges lvrer passage à un homme de corpulence ordnare. L'exploraton hétve de l'une (h; -ces chambres fcurnl alors des morceaux do charbons, des perres calcnées, de la cendre et pluseurs fragments de poteres ; l'un de ces dorners, représenljnt à peu près la moté d'un vase de pettes dmensons, esl déposé au Musée de Morlax. Depus celle époque, l'ex slence de ce curbux.souterran esl resté pou connu, ot les rares vsteurs qu vnrent l'examner ne parassent pas y avor attaché grand ntérêt. D'aulre part l'cxplolalon de la carrère de sable se suvat toujours provoquant la deslruclon méthodque des cellules découvertes, el auss la trouvalle de nouvelles chambres appeléts bentôt partager le môme sort. u mos de mars demer. quelques ])ersonnes de Morlax se rendrent au Méné- Plouïan. Elles y reconnurent l'exslence de ( untre cellules formant deux groupes séparés : le mesragj de l'une d'ell s donna 3 m. do longueur sur 1 m..'o de large et m. 10 de lanteur : cetto der nèro dmenson jrse depus la voùlo supéreure jusqu'à l'ancen sol. couvert actuellement, par sulo d'ébouls, d'une Mon atttude, ajoute-t-l, est correcte ; s vous avo/. été convoqués c, c'est que les Comtés fédérés pussent prendre la responsablté de nos actes ; ja pouvas et je voulas aller en vlle vous exposer la stuaton, mas enfn d'évter des ncdents, j'a décdé de tout centralser à rgelers. «Le présdent du Consel tn'. lassé lbre de fare tout ce quo je voudras. Je sus toujours soura;t, tranqulle et calme, je n'aura jamas about s je n'avas pas été sncère. «Le présdent du Consel l'a reconnu, pusqu'l m'a d t : «vant - de vous vor, j'avas une arrèrepensée, aujourd'm en vous serrant la man je serre la man d'un honnête homme. > «Je n'avas pas assez d'argent le voyage de retour, Clémenceau m'en a offert; «Comben voulez-vous? m'a-t-l demandé. Donnez-mo ce que vous voudrez. l m'a donné loo fr.» «J'a préféré accepter cette of- ' fre que de demander de l'argent à qu que ce sot.» Marcelln lbert termne en engageant tous ses frères rester calmes et dgnes : «Retrez-vous avec lo calme et la dgnté, nous passerons partout.» On applaudt sans grand enthousasme ; la plupart des assstants ne voulant pas manfester publquement leurs sentments. Un ordre du jour prêchant la résstance a été ensute voté. Marcelln lbert y a adhéré. Le renvo de la classe 1903 "Voc la reproducton des paroles auss sages que patrotques prononcées au Sénat parle général Langlos, dans la séance du nrd 25 jun, à l'occason de la dscusson sur le renvo de la classe 1903 : «S M. le mnstre nous pn^pose le rénvo de la classe 1903 au 12 jullet, c'est qu'l se crot oblgé de lbérer la classe 1904 au m^^s d'octobre. C'est là la.seule rason. Les effectfs donnés par lu après le départ de la classe.«ïont exagérés, l ne restera plus dans la cavalere, qu'un homme sx chevaux. Dans les batallons de forteresse l ne restera plus que les hommes nécessares à la garde de nos forts. u premer jour do la moblsaton les llemands seront sur notre l'gne de forts opposant hut dvsons à effectf double des nôtres à nore seule dvson de Lunévlle.» «C'est la batalle à qunze contre un. Elle est perdue d'avance et c'est une dffculté do plus notre concentraton. Qu'on ne n'accnse pas re pessmsme, mas je sus ben oblgé do dre que les mesures qu'on nous propose peuvent avor les conséquences les plus grav^-s. (pplaudssements à drote). Les effectfs allemands sont supéreurs, mas, comme le dsaent récemment les Japonas au camp de Châlons, l faut le moral dans la troupe et le caractère des chefs. (Très ben! rès ben)! Le favortsme scandaleux qu se p'atque depus quelques années a fortement dmnué le caractère des chefs. (Vfs applaudssements à drote et au centre.)» «Le mal que je sgnale peut être guér. l faut que les éducateurs de la jeunesse lu parlent, non seulement de ses drots, mas de s'-s devors et lu donnent l'amour de la patre. Quant aux troupes, l faut enlever à l'offcer l'éducaton cv- L NUT QU VENT Par Jos PRKHR La nut qu vent... C'est alors l'heure où l'on sent le be.son d'une causere ben douce, prés du foyer, dans h lenle agone du jour. Etre là deux, )res( uo sans ren se dre, mas jtrès d'un am, d'un vra, ou près de celle ( u est l'ame vértable. Car l y a de ces oneuls o l'on repousse la plume el le lvr^ ; celle là ne trouvant ren, ou s'exprnan mal, cdc semblant une énorme nepte, bonne lour les petts enfants. Ces horos lù tout e monde les traverse, mas lout le monde n'en reçot pus les commotons avec une égale ntensté ; tous l ne s'en dégage pas celte.sorte de lu.shlude créfuscularo, ce troublant ébranlement devant l'atlracton béante do l'obscur, qu e- raîne l'àme à llottor dans l'sondable profondeur de ses ombres. l faut s'être arrêté seul, le sor, dans les champs au bord de la mer, ntvenanl l'esprt énervé d'une lutte (elconquo avec la nature, ou s'être prs à songer, accoudé sans lumère à une fenèlre, connaître la pénétrante nvason d'uno foule de pensées en dem tente, comme le jour qu se dégrade dans sa barre d'ocre rouge. 11 exste alors un moment fugtf ou toute percepton s'aflno,.s'amollt, s'mprègne de mélancole, exhume des besons vagues, dos désrs secrets sorts du fond de 'élre. Hruls, parfums, couleurs. Eno lons de l'àme, pulsatons du cour. tout que et poltque ne lu lasser quo l'éducaton morale en vue do la guerre. 11 dot lu montrer que s la guerre a ses trstes«es, elle a sa grandeur, elle a sa noblesse. l sufft d'une volonté ferme réveller la flamme du patrotsme, l faut des actes de justce. (Très ben, très bon.) On nous dt quo le renvo de la classe 190! s'mpose, faute de crédts. On n'a pas demandé ces crédts.» «l nous faut une armée forte et une frontère nvolable. Pourquo la Chambre qu a voté la lo de 1905 se déjuge-t-elle aujourd'hu? On s'est surtou' préoccupé de fur les responsabltés : tous les députés qu sont ntervenus dans la dsons son ont dt qu'ls étaent couverts par la responsablté du gouvernemont. QuMqu'l advenno, que la France meure, nousseronscouvert 5. (Salve d'ap )laudssenents à drote et au centre). La Russe s'est révellée de la premère conférence do La Haye par l'exploson d'-) ses navres. Ne cragnez-vous pas parelle avent tre après la seconde conférence. (pplaudssements 'à drote et au centre? Exclamatons à gauche). Cette lo est mprudente et peut être fatale. Vous n'échapperez pas à votre responsablté, qu deman peut être terrble. (Vfs app'audssementsà drote et au centre et sur un grand nombre do bancs).» La sute de la dscusson est renvoyée à deman. Le Sénat s'ajourne h deman mercred 4 heures La séance est levée à 6 h. 30. l\f0u\t0\8 La coupe de France. - Le yacht allemand «Felca» battu par le yacht breton «r Men» Une dépêche de Kel, où se courent ces mportantes épreuves, nous apprend que la seconde manche a encore été gagnée de 12 mnutes par le même vacht breton r Men. Notre trophée natonal revent donc en Franco. Nous ne pouvons que félct r les proprétares du yacht et surtout.«on équpage breton du résultat obtenu. Sx matelots, 4 du Dourduff, 2 de l'le Tudy, le pa'ron Jean Féat, 42!t!s, Vncent Féat, son frère, 38 ans lan braham, 36 ans, Jean-Mare Beuzt, 32 ans, dt Lcou..l men, 10 tonneaux, construt dans les atelers de Luce et Houller au Hâvre, socété bretonne, préshlent Kerjégu. Meetng de gens gras Ce n'est pas dans le Md qu'l s'est tenu. C'est à Edmbourg. Une doctoesse de cette vlle, une femme lomc dans tous les sens du mot, Mr.-; Lews y^ avat convoqué les obèses de tout sexe «dscuter leurs ntérêts communs». len vnt de tons les ponts du Royaume- Un. On remarqua parm les notables, M. Edouard Brlgt, âgé de qu r.'nte ans, qu pesat 584 lvres, et une joune Londonnenne, d'orgne allemande, vngt ans à pene, elle en pèse 450; son lour de talle (cnq peds sx pouce.s) est exactement égal à sa hauteur. Un vértable hénomène représentat le comté de Lncoln : sept personnes d'épasseur moyenne entraent à 'as3 dr.nb son hbt. Le premer acte dos congressstes fut une protestaton contre les compagnes Je chearrve à votre sens crépusculare, ran.slucd' el plus vbrant. Cda sl dans la nut (ju vent... cela remplt surtout l'àme des trstes, des désenclanlés, de ceux dont la pensée berce.s! et llollanle comme la brume, descend letcnenl la pente douloureuse des souvenrs, s'arrélant, comme en une clule, aux cruautés de la ve qu ont déchré et meurtr le buhenr dont elle esl avare ; re-venanl sans (sse, avec une aér! (d)stualon, souder les blessures u sagnml. s'attardent dans d(!s regrds TuébrcMx dont la unt esl con)lce. (leux-l.e voent as les étoles ( u l'llumnent, mas sculeenl les ombres delà nut ( u vent..... Manlenanl la mer, comme un orchestre monstrueux,.semblat préluder à (]uel ue symphone nfernale, el le venl s'enllal des basses formdahh's. On eul dl ([le la lune s'étegnat, comme un lustre (! théâtre, voler quel( ue horrble drame, o' la 111er, dans le chaos de la scène, dsposat ses acteurs lu venat sa- doute des rénnsceuces des époques (llvenneh, quand elh suval de (dàlenl à la Dvnté ; d. l'on pou vat crore qu(! la grande deslrcl ce rêvat encore, dans sa fureur, des nersons préhslor(ucs..lelant au venl ses (devenx de j^ré- 1110ns, elle s'avançat à l'a.s.sal des falases, nenant la darg»? (h; ses houles lllu'ses, el, de rage, bavant son écume eol e les roches nores. Des épars sllonaenl le cel, comme des fusées de guerre donnant fes ordres de deslruclon, tands que de grosses gouttes d'eau sona-mt sur les perres comme l'annonce d'une allance prochane du cel avec la mer Vens jusqu'à la ma.s('n, Dgue dondane, dgue dondon, Vens nous l'ar' la condute, Ma belle Madelon. Des gosers de malelots n/luencrs chantaent ce couplet de coplanl"^ sur un ar dolent < u semblat loul grêlé au jrès de la vox rauqe des la lonpéte. Ceux-c, po.ssés p-r le venl contrare, avaent élé forcés d'allérr dans une crque élognée du porl, el comme, au relor, l y aval des houchons d'escale sur la roule, ls avaent un peu louvoyé à l'ensogo do la b anclo de gu. ls harraeul lu roule en se tenant par le bras, el la femme p S('mbl<l llgée dans uno lorper orlelle, fut herléo par eux sans qu'dl; y prt gartle. Eh! femme, f ue fas-lu là avec o môme par c. temps do marsoun? Elle lâcha 1111 cr d. l'enfant lu glssa des bras. Mas lu déjà l'avat prs, el après l'avor enbras-é ben fort, relevat un con do.son srrol jor l'abrler. La bande ans accrue rerl sa marche, el lo ])ère, en apparenc(> mpassble?, mas avec un lrcrnl)lene«t dans la vox, chantat plus fort :... Vens jusqu'à la ma.son. Dgue dondant;, dgue dondon, Vens nous l'ar' la condle. Ma belle Maddon. FN) SORÉE FUNÈBRE Pur.los PRKE C'est uno hstore touto smple ; nue hstore banale de cel hver. hen lon là-bas, au c'evel d n ll d'hoplal. où chacun, cone dans le rang, n'est plus qu'un numéro, la sœur de (darlé qu esl de servce a reçu le derner soupr d'un solda. <. Ma nèro!... mon pays...» elle a cru con prendre ces mots nurmrés dans le râle de l'agone, en langue brelonne, par les lèvres décolorées du morbond. Calme, elle lu a clos les jaupères on vclant une orason Ce spectacle lu est famler. Elle en a tant vu mourr de ces jeunes pâtres arrachés à leur vllage par l'ployablo cou crpton, (je.sa pté à-ellemée s'esl uguerr! sur ce clauj d» batalle où la morl l'rape.ses vctmes auss sûrement qu'avec les balles. Dans son cœur tlcps s longtemps s'esl délendé le len d'atl'eclon qu l'uns.sat au sol natal el aux personnes jads huaneenl chères, pe, anluan, une pensée uq', la délvrance des maux.sonll'erts avec résgnaton el fo. l'empéche ('élre énue par le cr de cel adeu spréne.mas lu, le jauvre conscrt de lrelagne, quand ses yeux.se l'eréren au jour, l a vu, dans une rapde el lumneuse évocaton, mles les choses doucs (j'l fallat ( uller: la ferme abandonnée ; les êtres avec lour vsage vvant ; les objets famlers à leur place, el,.sous ses aspects reconnus, le pays ben-ané Son épasse couche de sable. En foullant ce sable dans l'une des chambres, les vsteurs trouvèrent une dzane de tessons de potere brune, des charbons, de la terre cute en abondance, et quelques nstruments de perre éclatée, marteaux ou percuteurs. L'exploraton d'un con d'une autre cellule donna à peu près les mômes résultats, et de plus on y remarqua deux cercles concentrques formés de perres juxtaposées, au mleu desquels furent recuells des fragments de vases. Les ouvrers avaent également ms à jour, dans la parte Nord de la carrère, les ouvertures de quatre autres chambres solées, comblées presque jusqu'à la voûte par des éboulements, el plus à l'ouest, tros grandes dalle.'? de perre dont l'une présentat une forme très caractérstque e'. semblat être la table d'un dolmen souterran ou d'une sépullure en coffre de perre. Fort ntéressés par ces dverses constatatons, les explorateurs se promrent de revenr lorsqu'ls auraent obtenu de Madame de Lugré, proprétaredu terran, la permsson de fare des recherches plus séreuses. Dès son retour en Bretagne, Madame de Lugré autorsa, avec une amablté parfate, les foulles qu'ls se proposaent d'y effectuer, et qu ont eu eu la semane dernere. Cette fos, ls avaent la bonne fortune d'être accompagnés de M. le chanone bgrall, de Qumper, le savant archéologue dont les travaux sont s apprécés el qu aval ben voulu leu prêter le secours de.son expérence. On a donc retourné el examné avec.son le sou.s-sol des cellules. Ce traval a fourn pluseurs nstruments de perre, }ercuteurs, marteaux, polssors, parm esquels un magnfque galet de quartz blanc, une grande quantté de charbons, un pell fragments d'os, de nombreuses perres rouges par le feu, de la terre cute, sept ou hut débrs de potere gaulos.e, façonnées à la man, un morceau de f(!r, etc. M. l'abbé bgrall a- remarqué que presque tous les morceaux de terre cute exhumés offrent des traces de clayon nages ; l est donc probable qu'l exsta à cet endrot une sorte de vllage prmtf, formé de huttes en branchages recouvert de terre glase. Les chambres souterranes stuées sous ces cabanes, et qu avaent peut-être une orgne antéreure, servaent à leurs habtants de leux do réserve, de cachette, peut-être même de refuge en cas d'attaque ou d'ntempéres. Un jour ce vllage fut détrut par le feu ; l'cendc calcna los totures, rougt l'endt de boue séchée ot les perres.servant do soubassement. Toutes ces runes furent précptées ou gl.ssèrent d'elles-mêmes dans les souterrans, ol c'est ans qu'on les y retrouve aujourd'hu. La surface du sol est (galement couverte de fragments de terre cute el do calloux brûlés. Quant aux grollos, ce sont sans doute des monuments funèbres, te's qu'on en a observé on pluseurs ponts du Fnstère, notamment à (ngéré, on Plouvorn, à Korloucl, on Landv.sau, à la Tourelle, on Ergué-rmel, à Trégourez, à Pont-Crox, à Ponl-l'bbé, à Prmoln, avec trouvalles analogues, charbons, perres rouges, morceaux de poteres. L'entrée d'une nouvelle clambre, nconnue jusqu'c, a élé dégagée, sans qu'on al pu y pénétrer. On a auss tenté de fouller sous la dalle de perre vosne, mas les ouvrers ont rencontré à lleur de.sol de grosses perres s soldement encastrées cl s dffcles à dégager qu'on a dû renoncer le nomenl à ce traval. Tros chambres ont élé explorées ; quatre autres restent encore à vder et à fouller, sans compter celles qu raent ben communquer avec cos dernères. La Socété scentfque de Morlax, dont on a espéré un moment la roconstt(»n, eût été toute qualfée demand(?r.son socrol à celle nécropole, dont l'élude détallée et complète formerat une contrbuton fort apprécable à la préhstore du pays do Morlax. joutons quo Madame do Lugré a ben voulu prendre des mesures que,les carrers épargnassent désormas les cavtés, dont s avaent déjà détrut pluseurs, pl conserver le plus longtemps possble cet ntéressant groupement de chambres souterranes qu constto l'uno des curostés do la commune de Ploujean. àme navrée d'angosse s'est déchrée dans cel arrachement mortel, et peut-étv comme on l'ame là-bas. percevant alors vrament le son fdèle d'une cloche lon lane,.son corps s'est abandonné, avec lu dernère pul.salon de ses venes, à l'espor de ropo,ser dans la terre natale. 0 Lu paper admnstratf e.st arrvé au vllage. l.'en)loyé de la mare a dl la mère : lonne l emme, votre lls esl morl an servce ; s vous voulez son cadavre. l'etat lu ]) 'rmet de revenr nu pays /ufrl de place, comme l eût fat vvant.» Volà quo, depus deux jours, une paysanne en grande cape nons avec sa colve de deul on llanelle blanche, ne cesse d'aller et de venr dans le bourg. Elle rolorne nces.sanment au guchet d(! la poste. Comme la receveuse est élrangère an pays l faut que la Brelonne so fa-sc tradure les demandes el expl- ((uor les nponses. Elle a dl, lout de sute, qu'elle voulat son fls. Morl, l peut ben dépcn.seï l'argent qu'l eût eu vvant. Pusqu'on lu accorde ce trslo prvlège, l faut qu'l profle de la générosté du chemn de l'or. Dle.s-leur qu'ls m'envo'ul mon enfant! Rrave femme, l nege partout; l<>s communcatons sonl nterrompues. Vous savez, c'>st ben lon. Epnal. Peut-être ben que ou : elle n'en sat ren ; ce n'est pas cela qu morto ; mas c'osl dur de demeurer dans rattctc pendant ros jours, sans pouvor dormr n manger, avec lo chagrn... UU SSSSSBSSÊSÊSÊÊSSSm NOTES D UN MORLSEN On a célébré la deux mllème représentat'on de la Jeunesse des mousquetares d'lexandre Dumas père. l fut un temps où ce ttre de mousquetares exerçatsur le publc l'nfluence d'un vértable talsman. Comme le dt M. Blaze de Bury, dans le cureux lvre qu'l a consacré à Dumas, après avor dévoré le roman, on courat au drame. Dumas fls a conté à ce sujet une anecdote ben carastértque dont deux ou tros ams furent les témons à la premère des répéttons générales. La répétton avat Peu sans costumes n décors ; un smple rdeau de fond et des portants de chaque côté. Derrère un des portants, pendant les sx premers tableaux, les ams de Dumas apercevaent le casque d'un pomper qu écoutat la pèce, très attentf..u mleu du septème tableau, le casque dsparut. Est-ce que tu vos le casque du pomper, to? dt Dumas à son fls. Non, l n'est plus là. près l'acte, Dumas se mt en quête du pomper qu ne le connassat pas, et, le rejognant. Pourquo, lu demande-t-l, avez-vous cessé d'écouter le tableau? Parce qu'l ne m'amusat pas autant que les autres. La réplque sufft à Dumas. l s'en va dans le cabnet du drecteur Bérand ; l ôe sa redngote, sa cravate, son glet, ses bretelles, ouvre le col de sa chemse comme l fasat quand l se mettat à travaller, et demande la cope du septème tableau. On la lu donne l la déchre et la jette au feu. Qu'est-ce que vous fates-là? lu dt Bérand. L'acte n'a pas amusé le pomper, je le détrus. Je vos ben ce qu' me manque. Et, séance terrante, l le récrvt. CHRONQUE LOUÎF MORLX LES COURSES Les dmanche 21 et lund 22 jullet francs envron dj prx, entrées comprse.^. Programme. Premère journée, à une heure et deme précse. P* course. Trot monté. Prx du Consel Général : francs oterts p^r le Consel Général du Fneère, poulans de 3 ans, prmés ou mentonnés honor.<blqment par l'lmnstraton-tbb larfall codconrs 06' Landerneau de fr. au!«; 300 fr, au 2«; 250 fr. au 3«; 200 fr. au 40 ; 150 fr. au 5" ; 100 fr. au 6»; 100 fr. au 7»; 100 fr. au 8». 2 heures. 2' course. u Galop. Prx des Montagnes ; francs offerts : 500 francs par le Gouvernement de la Républque el 5'"0 francs par la [Socété des Gourse.s dont 500 fr. au 1" ; 250 fr. au 2» ; 150 fr. au 3» ; et 100 fr. au 4*. chevaux enters et juments de 3 ans, nés et élevés dans les crconscrptons des dépôts de Lamballo et d'hennebont, et dont les proprétares y seraent domclés. 2 h course. Trot monté. Prx des Haras; fantes offerts par le Gouvernement de la Républque, chevaux enters et juments de 4 et 5 ans, nés et élevés dans les crconscrptons des dépôts d'étalons de Lambale et d'hennebont, et dont les proprétares y seraent domcl és r. et les entrées au 1"; 300 fr. au 2' ; 200 fr. au 3'. 3 heures. 4 course. Course spécale de hes. Prx de la Socété Sportvo d'encouragement; francs offerts Elle va causant de son fls (car l faut ben qu'elle donne un alment à sa douleur), et de dre ce qu'elle a sur le cœur, cela la soulage.... Vous ne savez pas comme l état bon, et s plen de santé quand l est part l'armée, l y a tros mos; ou, tros mos seulement! Lorsqu'l me voyat pener à quelque dure besogne, l mè dsat : «Mère, l est temps de vous reposer : vous avez assez travallé; c'e.st nous mantenant qu devons vous gagner du pan»... Jamas l ne renvoyat un pauvre de la mason sans lu donner à manger : «ons, mère, avec un peu de beurre mettez un peu do lard auss. Qu fat l'aumône amasse rchesse.» Hélas 1 le pauvre enfant aval le pressentment de sa fn. Lu s ga d'ordnare, l état devenu trste. rsle! Pendant tros jours, avant son départ, je l'a vu s'accouder à la barrère d'un talls dont l avat entreprs le défrchement. J'étas sûre qu'l fasat ses adeux à son champ et qu'l savat qu'l ne le reverrat jamas... Deu n'a jas tardé à m'envoyer, à mo auss, le sgne de sa mort. Le cher être m'est apparu, une nut, aux panneaux de mon lt. l avat, (oh! je cros le vor!) un vsage ravagé par l'atllcton et la souffrance. «Mère, m'a t-l dt, mon àme est plene d'angosse cl mon corps s'en va de consompton»... l suvre)

19 L'ÉCHO DU FVSTERE par la Socété Sportve d'encouragement, chevaux de 4 ans et au-dessus n'ayant dans une môme année, gagné n francs n deux courses spécales de haes de la Socété Sportve a'encouragement, 400 fr. au 2* ; 200 fr. au 3% sur le prx. 3 h * course. Trot monté. Prx de Langolvns ; francs, offerts par le Gouvernement da la Républque, poulans enters et poulches de Sans nés et élevés dans leb crconscrptons des dépôtsd'étalonsdelamballeetd'hennebont et dont es proprétares y scaent domclés. l.ooo fr. ot les entées au 1" ; 300 fr. au 2«; 200 fr. au 3*. 4 heures. 6* course. Stoeple- Chase. Prx de la Vlle de Morlax ; ^900 fr., offerts: fr. par la Socété des Courses, 600 fr. par la Vlle de Morlax el 300 fr. par la Compagne des Chemns de l'ouest, chevaux enteft, hongres et Juments de 4 ans et au-dessus, nés et élevés dans les départements du Fnstère, des Côtes-de-Nord, du Morbhan, de l'ue* et-vl'ne et de la Lore-nféreure fr. et les entées au l'r ; 500 fr. au 2» ; 200 fr. au 3* ; 100 fr. au 4». Deuxème journée, à deux heures pré cses. 1" course. Trot monté. Prx de l'arrondssement ; 700 fr. offerts par le Gouvernement de la Républque, chevaux enters et juments de 3, -5 et 5 ans, nés et élevés daus l'arr ndssement de Molax, ou y ayant été mportés avant l'âge d'un un, el dont les proprétares y seraent domclés. 360 fr. el les entrées au " ; 200 fr. au 2*- 100 fr. au 3» ; 50 fr au 4'. 2 h * course Course de haes. Prx de la Socété des Courses. 800 fr. offerts par la Socété des Courses, lous chevaux el juments de 4 ans et au-dessus, nés et élevés en France, n'ayant jamas gagné fr. 500 fr. au 1" ; 200 fr. au 2» ; 100 fr. au S»; le 4* trplera st>n entree. 3 heures. 3» course. - Trot monté. Prx d'encouragement ; Epreuve> d'étalons; fr., donl fr. offerts par le Gouvernement de la Républque, 500 fr. par la Socété d'encouragement l'améloraton du cheval franças de dem sang et 500 fr. par la Socété des Courses, poulans enters âgés de 3 et 4 ans, nés et élevés en France. <.400 fr. et les entrées au 400 lr. au 2' ; 200 fr. au 3». 3 h * course. u Galop. Prx de» Crox-Rouge. ; 700 fr., offerts par a Socété des Courses, dont 400 fr. au 1" ; 200 fr. au 2* et 100 lr. au 3', chevaux enters, hongres et juments de 3 ans et au-dessus, de loute espèce, nés et élevés dans les rrconscnf lons des dépôts d'étalons de Lamballe et d'hs: nebon, et dont les proprétares y seraent domclés. 4 heures. - 5*course. Trot monté. Prx du Gouvernement de la Républque ; Epreuves d'étalons ; fr. offerts par 1-) Gouvernement de la Républque p-^ulans enters de dem-sang, âgés de 3 ans. nés et élevés dans les crconscrptons des dépôts d'étalons de Lambslle et d'hennebont, et donl les proprétares y seraent domcles fr. el les entrées au 1" ; fr. au 2* ; 500 fr. au 3* ; 300 fr. au 4*. 4 h * course. Steeple-Chase 6«sére. Prx de la Socété des Sleeple- Chases de France fr. offerts par la Socé'é des Steeple-Chases do France chevaux do 4 ans et au-dessus, nés et élevés en France, n'ayant pas gagné fr. on steeple-chase, n deux prx de (* sére, n un prx d'une sére supéreure. Entrée, 100 fr. ; forfat, 25 fr. ; u 2', 400 fr. sur le prx ; 1 e 3* doublera son entrée. Malgré l'exohson dont ont t'/ frapp's la plupart des membres d-) la presse Morlasenne, nous eroyons devor rendre compte à nos lecteurs, de la féte annuelle de la Socété do tr, ne voulant pas les prver de rensegnements sous le prétexte que les organsateurs oat comms des oubls. C'esl ben assez que ces cubls pussent être malgnement reprochés à qu de drot, el l ne faudrat pas y attacher une mportance telle qu'on en ft affare d'etal. 15* Concours régonal de la Socété de tr < La Morlasenne >. - Uo sx hem os ol deme du maln à cnq et domo du sor l'anmaton n été très grande nu champ do tr de la garnson. Los treur» étaent rès nombreux ol les trs, quoque contrarés par un fort vent d'ouest, onl olô très anmés. Remarcjués au stand, MM, Charles Lo Fcbvro, adjont au mare,'roprésentant lo muncpalté; le commandant Vachctlo ; le commandadl d onnes ; los commandants l.o Jeune, Lo Dan; los leutenants nustuel, du 118*, Korvenoaël, du O, etc. Nous avons conslalé nvec joe quo l'élément fémnn, d'ordnare assez raro dans cos sortes do réunons étaent colto année relalvomonl nombreux. Ccc ost oxcellent. onzo houres précses, not'c sympathque présdent, M. Martn, lève la séance cl donne rendoî-vous à l'hôtel Bozelloc, à t h. 30 à tous los treurs. Los votures do l'hôlol Uozellee, mso» groceusemont, par la Morlasonnc, à la dsposton des lreurs, se drgent vers Morlax. Un nporlf, offert par la Morlasonnc, rassemble tous los nvtés qu, k md, se réunssonl dons la spoceuso sollo do l'hôlol Bozollec, où le» convves trouvonl un déjeuner succulent ot ben serv. La Morlasonno, avol su rasbomblordans uno môme ogopo, toutes les socétés du Fnstoro : trost, Landerneau, Chtcauln, Qumper, Rosporden ol Pleyber-Chrst, avec leur» sœurs très estmées dos Côtes-du- Nord : Plestn, Gungamp, Lamballe, assstées do l'armée reprosentée par dos ofllcors du l8«ctdu 19«, sx sous-omeors ot quatre caporaux du 118». -- Homarqué à lo tablo d'honnour, aux côtés de M. Marln, présdont do n Morlasenne, MM. le oommandant Vachette, du 118<> ; Ch. Lo Fobvre, adjont au mare ; lo commandant.é Perlhus, présdont do la Landornécnno; le commandant Dan : Byr, prosdenl do la Hrestose ; aux côtés do M. Hnlrc, veonrésdenl do la Morlasenne, MM. lo docteur Moron, vce-présdent do la Brosto.^e ; lo commandant Lo Jeuno; les lonlenants Hustuel, du 118», et do Korvenoaël, du O» ; Lo Meur, vce-préfdent do la Landernéeno. Remarque eo outre MM. Jolto-Lotouche, do Brest ; Le Hos-Dcspnoy, de Landornoan ; le leutonnn l''not et M. KœUlag, do la Cornouallle, à (jumpor. MM, Chalul, présdent do la Pleslnose ; Lo Gao, enplnno do zouaves, do Gungamp ; Korsuloc, Dugou, Le Roy, Lanoé, do Rosporden, et ces messeurs do la Morlasenne : V. Lo Rumeur, vee-prosdonl ; J.-L. Hervé, socrétare-trésorcr ; l<nmnnda, dreolour du lr ; P. Lo Fenvro ot Mouehel, sous-drecteurs, el les membres Ody, Rounlol, CarolT, etc. u Champagne M. Marln, lo sympalhq e présdent de lo Morlasenne, s'exprme on cos lermoa ; «Messears, «Ce jour, quevous nous futes l'honneurdo msser avec nous, compte parm los plus jeanx do notre socété. C'est avec plasr quo nous voyons so rassembler autour do nons des ams avec lesquels nno collaboraton do ])lus do qunze nns a lassé des sentnonls do franche camaradere et do vvo sympathe. «C'est avec un grond plasr que la Morlasenne salue MM. les présdents ol délégués dos socétés c représentées. Klle leur souhate à lous la benvenuo et adresse sos melleurs souhats de prospérté aux socétés do Lamballo ot de Gungamp, nouvollemonl créées, v Le présdent appue un pou sur la lo do 190.1, rendant lo lr oblgatoo dans los écoles communales, lycées et collèges. l dt que lu prenôro fos, cotlo onnée, un cours préparotoro a élé nsttué à Morlax. Co cours a été suv avec beaucoup d'assduté, co qu permet d'espérer, d'après los progrès constatés, l'obtenton du brevet d'npltudo aux jennos gens qn l'ont suv. l termne on dsot que, garantr nos frontères, l ost nnntonnnt, plus ((ue jamas, nécessare n notre jeune génératon d'avor une éducaton vrle. Co dscours quo nous ne pouvons reprodure en enter, o élé soulgné par do fréquents applaudssements. Le présdont annonce qne M. Clooroc, toujours s assdu aux concours do la Morlasenne, n'avat pu y ossster cette année. l en osl de mémo >our M. Kérébel, mare, qu s'état fat représenter par M. Ch. Lefehvre. adjont. MM. C.ornu, présdent d'honneur de la socété, Plon, H'ésdenl do la lrc-'^lose, lo conmandnnl yme ot le doyen des Trenrs bretons,.m. Floel, ompéchés, s'étaent également fat excuser, ans quo M. Carlos, sonspréfet, retenu à Qumper les besons du servce. ;M. Charles Le Fobvre, adjont au mare, remoreo le présdent des paroles élogeusos qu'l a prononcées ou sujet do la munepatlé. l dl quo eello-e s'ntéresse beaucoup à la Morlasenne, donl o rùlo osl des pns lles el des plus potrotrcues. l lève son verre à la Morlasenne, à toulos les socétés de tr présentes ot à leurs roprésontants drects. MM. Vncholle, commandant d'armes; Le (lac. eaplane des zouaves, de la Socété do lr do Gungamp ; le docteur Moran, veepvsdenl do la Brososc ; Convorsel, do la Socété de lr do Lamballe, prennent tour à tour la parole et remorcont la Morlasenne de son bon accuel. Tous ces dscours, onprunls du plus pur patrotsme, onl été vgoureusement applauds. h. 15, M. Marln, présdent se lève cl donne vndez-vons aux treurs ou champ do tr, à 2 houres. Lo dstrbuton des prx a ou leu à 6 h. 1/2, sallo des fêles de la mare, sous a présdence do M. Morln asssté de M. Ch. Le Febvre, adjont au mare, el do M. Vachelto, commandant d'armes. Le présdont, avant'de procédera lo leeluro dos prx obtenus par los concurrents, adresse ses remercements à tontes los socétés. ( Nous no vous dsons pas odon, mos ou revor, ajoule-t-l el nous ferons tout notre possble assster à vos fêtes.». Voc les résultats du concours : Tr offert à MM. los sous-ofllcors de toutes nrmes (guerre el marne) ; prx, nue montre en argent, M.M. Rou. 45 p., du 118», Morlax : 2', uno médalle on argent, M. Lo Duc, de Morlax, p. ; 3", une médalle de bronze M Le Tenot, do Lamballe, -l p. Concours offor aux socétés de tr : 1"' prx, une médalle en argent, Lamballe ; 2«, une médalle do bronze, Bosporden ; 3», une médalle do bronze, Landerneau. Poule : prx, bureau-casse Lous X, M. Le lîos; 2». glnco de Vense, M. Fs ; -Y, sac do voyage, M. do Korvcnaoël ; h", cn-bne Flobort, M. Grmenwald ; 5, grande coupe, M. Byr ; 0", couvcture de voyage, M. Rou, "", vase brelo, M. Le Duc ; 8', mror, M. Fnot. 9', servce l'amour,.m. Humcl ; 10', coupe crstal,.m. (".oroff. Honneur : " prx, lorcolnno de Saxo (Force (l lnocnce), ^. lou ; 2, faïence artstque (Coqs combattants), M lo Gne, Plostn ; 3", bnnqueto nquée, M. de Kervenoaôl ; 4', Saxo (La Charmeuse), M. KœcMn. Slhouello : 1" prx, vnse nrtstpe (Le Dévouement), M. Cnroff: î", télc-à-lèlc porcelane, Lescour, llelgoal ; 3'-, corbelle crslnl, CuHnrcc; Glora vcls. Le Humeur 5', tableau (Hocher dos Korré'an^), Couversol, Lambollo. Révolver: " prx, Vasque Vallaurs, M, do Kervenoaél ; 2" orte-paroplne, M Le Boelté ; 3* Lo Charmeuse. M. Conversel. * vant de termner co compte rendu, l convent do félcter, la bonne organsaton du concours, MM. Martn, présdent de lo Morlasenne, llutro cl V. Le Humeur vcc-présdonts ;.l.-l. Hervé, secréloretrésorer; Lomanda, drecteur du lr; Lo Feuvre et Mouchot, sous-d odeurs ; Bonhol, Lo Duo, Caroff, Morn, Ody, membres, qu 80 sont dévoués la réusste du concours, dont lo succès, grce à leurs efforts, 0 élé très brllant. Nous n'aurons garde d'oubler M, Vaeholte, lo dstngué commandant du bo- tallon, lo lontonont Rustuel, les sous-ofllcers, caporaux el soldas, p ont opporlô ù celle féto leur préceux concours, - Les prx ndvduels de socétés ont été gagnés par : prx, M. f.ous Le Goc, do Plestn ; 2«,.M. Lhosls. Dmanche 30 jun, nvant-dornèro séance do la pérode 190". Tr de 8 h. h 11 heures. Dmanche 1 jullet, séance do clôture, do 8 h. à H heures. 10 prx, la sére do tros balles, 0 fr.,50. Concours gratut offert à tons los soeétaro8, )orlanl sur uno sére de tros balles, poston facultnlve; cnq prx. Concours gratut aux jeune» op lolés ayant suv le cours préparatore; deux )allos dans chaque poston ; quatre prx. vs. Le vendred 5 jullet 1007, \ 4 heures du so r, l sera procédé, à la Mare, à l'adjudcaton des buvettes des courses de vélocpèdes el du bal champôlre. Les allocatons d'avrl et do ma seront payées ù la Casse du leceveur d Bureau de lenfasanco, à partr du jeud 4 jullet prochan, l'assstance aux vellards, aux nfrmes et aux ncurables prvés de ressources. Rétablssement de la velle fore. La fore du 4 jullet, dte des «jeunes f ens D ou encore «velle fora» aura leu l'avenr, tant les chevaux que our les bestaux à Sant-Martn, aux endrots où elle se lenal bdtuellement. Socété de secours mutuels des tonnclervs. Dans sa réunon {.'éeralo du dnanel 23 jun, la dte s-oelé J' ' - nanmlé do se«membres parlcpunts, a volé de sncères remercements à sos membres honorares l'ntérôl toujours cross-mt qu'ls portent ù cette œjvre de muluallé. Par Ordre : Lo Présdent, LECOOE. ccdent de bcyclette. M. Ker-. borou, 10 ans, garçm boucher chez M. Bodénès, passat mercred maln vers Oh /2. plco Tl fs, à bcyclete, lorsque la fourche d'avant se brsa. K'rboou tomba sur la lôte, se blessant assfz grè c- ment à 1 > lgnre et parc'ôremml au nez. Transporté à l lnrreo Gonrou, t y reçut les rcners sons. l a ensnle élé transporté à l'o'jpce par b vo'u u de secours aux blessés. Le feu. Un ouvrenécncen répurnt un fourneau de cusne, chez M. Qoasgen, coffeur, rue Longue, ayant on man une lampe à souder, lovp'une boulelle d'e.ssonce qu so trouvat auprès de lu prt feu et ft exploson. Mme Goasguen, qu so trouvat dans l'apparlemont, reçut sur elle un j't de flamme qn ml le feu à son tabler el à sa jupe ot n'eut qm le temps de passeï à une antre dame qu se rouvnt là un bébé qu'elle avat sur les bras, M. Goasguen, accourut, vussl à étendre co commencement d'ncende en jetant sur sa femme la couve; lure du ll. Théâtre et concert. Tournée des LfJnlatls prodges. C est au 1" jullet qu'es l.xé le grand con ert des lùfants prodges ((uo nons annoncons dans notre derner numéro. l aura, leu à l'hôtel de vlle à 8 h. 1/2 réeses sous la drecton de M. H. Veyrel jq l'ont, avec lo concours de Mlles Suzanne Veyet Le Pont, panste âgée do 9 ans, Heée Veyrel Le l^nl, volonste, 12 ans, O lda Zlo, amércane, âgée de 14 ans. Vcc le programme de cotte lèle artstque : Premère parte.. Solo du 8'' Concerto, de BODE ; b. Médtaton do Thaï-..MSSKNET. Vo'on, SZNNK Vkv- UET-.lv-PONT. 'egro, lnal de la 9' Sonate, MOZHÏ ; b. Dornèro l'onsé;, WKHKR ; c. Chanson du Braconner, RrTE. Pano, Suzanne VEYET-.;-PO.nt. a. Sam-on cl Da!!a, S-SF,NS ; h. Sérénade. ScurnEKT ; c. Mélode. SCU HVUT. Chanl, Odla Zno. a. mpromptu, ScrnEUï ; b. Sou<; Bo'J. Sï n. Pano, Suzanne VEVET-.c-PO.NT. a. Kanla-o mpromptu, CHOPN ; 1>. Polonase, CHO'.N. 11. VEYUEÏ-,F.-PONÏ. Deuxème parte. 1.8= Sonato do Mozart (Panoet Volon, Suzamcot llenéo Vby.«EÏ-.;-PONT. a. Caprcco, MENDELSSON ; b. Fau cou ranle, MSSENET. Pano, Suzanne VEY- let-,e-p0nt. a. Humoro que, DVOHCK ; b. L'boMe. ScUDET. Volon, Renée VEYRET-LE- PONT. a. Dounka, scène rustque rus^, TCKOWSKY ; b Pasqunado, GODTSCULK. H. VEYnET-r.E-P0NÏ. a. r de Mare -M gdc'eno, MSSENET, b. Légende du Pett Navre, K. MSS. - - Od a ZTo. 0. Bomancc ol Boléro, )N(;,. Vo- on, llenéo VEVKKï-LE-PoNr. 7. Sonate en Ul mneur dlo C ar de Lune) (adago et lna') BEETHOVEN. H. VEYHEÏ-LE-PONT. l^auo à queur. offert gru ccusemenl par la Mason l'.eykl. N.ns n'ajouterons ren à ce programme qu, par lu-même se p sso de toal commentare, mas lons consollos aux personnes qu tennent à ass!-ter à ce concert sans précédent, de rete lr leur place à l'avance. Four le prx des places consulter l'afllche d jour. Mouvement de la populaton du 20 au 27 jun NlSSNfjFS. Corpntn-nbfose Uorval, llls de Jacqnts nbose et do nne Maro Gréac'h, rno Gambetta, 35. Mare-Jeanne Smon, llle de Gullamp- Jules el de Mare Françose-.Vlélane ndré, rue Vlleneuve, 58. CharlesFerrec, lls de P'ranços-Mare el de Françose Bal, me de Ploujra, 37. Jean Mare Thos, llls de Yves-Maro el de Céleslne QuOlennec, à la gre. Magnerte Yves Bdeau, lde de Perre-Hené el de Mare- Rose Prmo', rampe du créo. PUBLCTONS DE MRGES. Néanl. MRGES. Jean-Françjs-Mare Le Gall, ajusteur, à Pas, el Mare-Françose Godec faclrce Godec, factnce,' rue de Pars, 40. Jean-F'ranços Prgent, f. p., à S'-Martn des^chanps, et Jeanne- Joséph ne-mar.e Lundounr, rue d'? Pars, l Joseph-Mare Tons, cnltvaleur, à Plourn, el Jeanne-Y\onnc Car, auborgsto, venelle a Beurre. DECES Mare Tenru T, VO'VO de Pere-Vao Copn, GO a s. rue Vlleneuve,,38, Suzanne Le B gaud, 55 ans, ruo Longu -, 28. nn' -Mare Gabon, 63 ans, quarter du (^hàlean, J^ an Cadou, mos, rue Vlleneuve. - Joseph- Lous Me'a.ne Guég.en, 7 ros, rue St- Melane, 41. Perre Cord_ " ans, (parter du Ch.'teau. Mare-Joséplne-Pérne Mérand, 4 ans, rue Lo. gue, 12..Mare-Frnnçose Ducull, époï^e do Jean- Gullaumo Lm lanec, 42 ans, venollo nu Beurre, Carantec Nomnaton. M. Lo Hrsl, ex-gendarme à l'en/.é, est nommé receve d'oc - tro en remplacement de M. Scouarnec, décédé. Plouézoc'h Lancement et Baptême de bateau. - u Dourdnlf, lo clcgé do Plnezoc'h a procédé au b'ptèmodu bateau Le Dourduï, appartenant à M. Costa de Beauregard, à Trodbon. Le lncement eu leu mmédatement après. l a eu un plen succès. Beaucoup de pécheurs asssta ml à la cérémone. Plourn Electon d'un mare. ~ Les consellers muncpx, qu devaent élre un mare en remplacement de M. de Lannuren, démssonnare cause de santé, ont élu M. Belleo, ac 11 vox contre 10 à M. Bloch. Pleyber-ChPst Consel d'arrondssement. M. Léon, conseller sortant, nous écrl : «Monseur le rédacteur en chef, «rrvé au terme de mon mandat, je vous pre d'nformer les électeurs du canton de Sant Thégonnec que je sus décdé cause de sanlé, à ne plus sollcter leurs sflrages le scrutn de jullet prochan. J'a j.rs la résollou rrévocable de ne pas me représenter. «J sass l'occason remercer mes électeurs de la eonlance qu'ls n'ont cessé de me témogner depus de longues années, et los verras avec plasr reporter leurs sulluges sur un républcan honnête et modéré. <F LÉO.N, «Conseller d'arrondssement.» Sant-Jean du Dogt Le pardon. Samed 23 et dmanche 24 jun a eu leu le par.lon de San-Jean dn Dogt, dans la charmante bourgade du môme nom, qu conserve en sa belle églse gothque, e préceux ndex du Précurseur. Malgré le temps ncela-, l y a eu cette année un9 affluence naccoutumée do pèlerns et de vsteurs, venus surtout du Tréger el du Léon, Dmanche, après les vêpres el la processon, o; a procodé à l'embraseutnl du fameux Tanlad, au moyen de la fusée lancée du clocher sw un long câb'e Lund, c'état le pardon des donnes Gons, et loute la jeunesse du pays s'en esl donnée à cœur joe. Plouescat Lgne de Plouescat à Sant-Pol de Léon. Le consel muncpal de Ploue.scal s'esl ré., en séance extraordnare à la mare., H a prs une délbératon proleslan énorgqenent contre l'horare fxé par la compagne des chemns de fer départcmenlaux du Fnsère, les trans à mettre en marche le. 1"' jullet prochan entre Plabcnnec-Plouescat el Sant-Pol de Léon. Celte délbératon est basée sur ce fat que l'horare esl absohmenl contrare aux ntérêts do Plouescat cl des communes vosnes Fn ell'el, aucn ran du maln ne partra de Ploc.scal Sanl-Pol avant 10 h. 25. Les voyageurs el les correspondances ne ront donc pas emprunter la lgne de rouest se drger sur.morlax, Pars et Landvsau, avan' le tran qu part de Sanl-Pol ù H h. 57. ce qu est trop tard. D'autre part, les marchands de pos.sons et los cultvateurs maraîchers ne ront expéder leur peche ou leurs produts, assez tôt qu'ls pussent être présentés le jour môme sur le marché de Pars, lnln, les voyageurs qu arrveront à Plouescal 8" h. 11 du.sor, venant de Sanl-Pol de Léon, et qu habtent les communes vofnes seront oblgés do descendre à Plouescal^ pusque ce tran s'y arrê le. Lo consel muncpal de Plouescal a décdé à l'unanmlé de ses membres, protester contre eel horare lxé par la compagne, de ne prendre aucune part à l'nauguraton oflcellèdu tronçon Plouescal-Sant-Pol de Léon qu aura leu le 30 jun. Nous apprenons également que le consel muncpal de Plonévez-Locbrst prolestera également contre l'horare jrévu, qu jorle al tente aux ntérêts do la commune. Sant-Pol de Léon* Socété descourses. MM, les membres de la Socété des courses ont été nvtés à se réunr dmatche 30 jun, à 2 h. 30 à la mare. Roscoff u port, - On estme qu'l y avat, ce matn, charelles place du l'ort dans les rues de BoscolT. Toutes étaent chargées de pommes de terre destnées aux chargements des vapeurs anglas Oror, captane MasFren, el Restrevor, capa- e lerran, de Cardfl. 'Tvés î la m rée, ces bteaux o;.l embarqué mméda'emenl la marchandse qn leur étal destnée. llrcleurs : V!M. Danélon, Corre el Quéméner. Est anvé en rade rentrer le sor, le vapeur Mrtj'captane Robert. ffrêtonrs : M.M. Gnerc'h, Qéméner el Ce. Lo Sant-René, dnlée, eaplane Le Guen, sur rade. l vent de Falmoutb a..c un ehargemenl de langoustîs et de homards. Los bateaux Sant-Mchel,' pau-on Y, Lo Dulf, cl Kspmr. patron Tanguy, de r e de Balz, soul au ^orl avec des chargements do pommes (L; terre le.may Flower. LapÔche. La pèch no v (la- fort. Les balea X de Dou rneez venus c ponr la (ôclc des m u upreax sont lon d ; fare do bonnes affaes. uss no larderont-ls pas ) renror ch;'z eux. Epave. Lo «Heder Mor patron Leco(, a trouvé une bouée blanche, sans manpe, au nord de l'île de Balz. Mespaul Fêtes. Voc les résultats des courses el concours : fjorses de bcyelettos. 1" course régonale : "' et 2' prx. MM. Le Poutre, de Morlax, ol Snon, de Samt-Pol de Léon, ex-œquo ; 3", Ménez, dt) Morlax. 2" cour.so communale : " prx, Gabrel Bo'.land ; 2" Glande Morzer ; Claude Qnéré; 4. Franço s Monlforl. 3* Course de eon.solalon : 1"'' pr.x, Jac ques Lo flal, de Plouénan ; 2, Franços Morzur ; 3", Yves Mngam, de Mespaul. Concours de lr : Les prx, au nombre de hut, ou été très dsputés. M. J.-M, Rozec, présdent du comté, classé rosèn e,.s'étant déssté en faveur des treur.', les suvants gagnent un rang et le neuvème obtent un prx. 1" prx, J-^an Le DJC, de Sanl-Marln, Morlax ; 2, Malhurn Kerboas, de Mespaul ; 3", Chrstophe f^aroff, de Sant-Pol de Léon ; 4, Yves Créach, de Mespaul ; 5", Martal ndral, de Mespaul ; 6% Franços Monlforl, de Mespaul ; 7', Claude Guerc'l, de Plouénan ; 8», Jean Kerren, de Sant-Pol de Léon. Concours des socétaes : 1" pru, Olver Kersauson ; 2'. Jé-ôme Créach; 3, Gullaume Ménez; 4, Eugène Méar; 5% J.-M. Boulc'h. le de Batz Coups. Le 23 jun, M. J.-F. Moncus n élé rappé par les tros frères Moal, Une plante a été déposée. Bras parts ccdent de voture. Dmanche s r, vers cnq heures, une volure que condusat M. ^ou, proprétare à Kerfondou, en Conmana, el conseller général contenant en outre deux autres personnes, donl M. Marln, du môme vllage, dosîendal à vve allure la côte de Kérvarch, près Brasparts, lorsque le chapeau de M. Martn fut emporté par le vent, M. Martn voulut descendre sans attendre l'arrêt du véhcule; l tomba s njalheureusement que l'une des roues lu passa sur la tête, lu occasounanl d'horrbles blessures. M. Martn, dont l'étal s'esl un peu améloré depus, semble cependant hors de danger à mons de complcalons ultéreures. Le Huelgoat Trstes conséquences de la lo de Séparaton. Samed, dans la matnée, on a procédé à l'expulson, du presbytère, de M. le curé Robneau el de son vcare, M. Corvez. L'husser, qu venat la trosème fos, ne put tout d'abord trouver l'ader dans.sa besogne les deux témons réglementares. 11 llnt, néanmons, par mettre la man sur deux lalleursde perre. Le crocheleur fut vle découvert ; c'est un ouvrer ferblanter, dont un prêtre a payé l'apprentssage et qu a élé un modèle d'enfant de chœur ; on ne lo nomme pas. Les opérateurs sonl entrés, non ])ar la porlo. mas par une fenêtre que l'ancen enfant de chreur brsa. Une grande parte de la populaton élal lrésente, elle tocsn sonnat. Le peu de mobler qn restat dans le presbytère fut jeté volemment dans la rue, pendant que les gendarmes requs, nettacnt la porte M. le curé et son vcare. La foule des parossens ft une belle ovaton aux deux vénérables ecc'ésas - ques et les suvt dans l'ég -se. M. lo curé mt au courant les parossens, des décsons prses par l'autorté docé.sane et prévnt les assstants qu'l partat, ans que son vcare. Kn effet, M. le curé du Huelgoat s'esl retré en congé d'un mos dans.sa famlle. M. le vcare, l'abbé Corvez,.s'est rendu Berren, parosse vosne..lusqu'à nouvel ordre, l n'y aura donc plus lue'goat, n messes, n offces re geux. BBLOGRPHE Henr G)llgnon : Treze dscours de carrère. (Chax, édteur. 20. rue Ber gère, Pars.; En vente chez Mme JOBERT, 15,41'ace Carnol. M. Henr Collgnon, ancen préfet du Fnsère, vent de publer, chez Chax, quelques-uns des dscours qu'l lu fut ( orn é de prononcer au cours de sa b?lle carrère admnstratve. Le drecteur poltque du Sècle consacre aujourd'hu un artcle qu'on a lu d'autre part, à cet ntéressant lecuel.» Sîns aucune prétenton lttérare, je puble c«pett lvre, écrt l'auteur dans sa )réface, ponr que ceux qu m'ont donné eur confance sacheutqu'elle est allé à un républcan.» K' lsant les dscours de M. Collgnon on se pénètre ben vte, en effet, du républcansme s pur qu les a nspré. Le premer.'eul, qu date de 1807, a éé prononcé dans la Corrèzf ; tous les autres le furent dans le Fnstère. Fonctonnare républcan, croyant devor suvre avec ardeur une œuvre d'ensegnement républcan. M, Collgnon entretnt tour.ï lour ses audteurs du Rôle socal des Mutualtés scola res, de l'rmée et do la Républque, de la Necesslé de fnstuclon, du Patrotsme. Mas l n'oubla pas auss la Nécessté de la dscplne socale dans une démoeraho. M. Collgnon termné par un adeu aux employés de la prëfeclnre du Fnstère. l leur dl : «Quant à mo, quels que soent les jours qu'l me sera donné de vvre. Je 1 a emploera, comme j'a employé ceux que j'a vécus, à servr de lout mon oœur et de toutes mes forces la Républque ; la Républque que mon père m'a apprs à amer pendant mon enfance, l y a longtemps déjà ; la républpue orente vers uo déal de bonté, de tolérance el de lberté.» le Gérant : H, POCHON, m ^ Hôtel du Sapt-Frapços Reconudé MM, les Toyageun et Tourstes GEORGES NNOCENT, P^^ 2, place E, Souvestre - MORLX TBLE D'HOTE PENSON RESTURNT L CRTE ECURE et REMSE ON DEMNDE TETPR tante Compagne d'ssurances ccdents un gent actf et débroullard. S'adresser au Br au du Journal. l r y n n r ensemble ou séparé- f L 11 U C ment deux xasons sses rue Gambetta, 44 et rue Long le, 42, avec jardn, cour, cabnets d'asance, serre et bûcher. S'adresser vster et lous rensegnements à Mme Bohec, l, rue Gambetta. Eludes de M* HE.MY GSSS, avoué-lcencé, 3, rue Gaveran à Châteauln et de M" FLOCH, notare à Szun. VENTE D'MMEUBLES Par Lctaton LE VENDRED 26 JULLET 1906 à 2 heures de l'après-md devant FLOCH. notare comms, on son étude, au bourg de Szun l sera procédé à l'adjudcaton sur lclatoo d'mmeubles, stués à Sant-Cadou et Leslrémélar, en la commune de Szun, canton de S zun, arrondssement de Morla x, en sx lots comme sut ; PREMER LOT 'E mmu D'RDOSËS Stuée à Sant-Cadou S u la coxlxune de Szuxx. ouverte sur une parcelle d'une contenance d'envron quarante-hut ares, dans une porton de montagne dte Roe'h ar-c'lat, numéro 768 P, secton F du plan, et sur an re parcelle de garenne dte Goarem-andorguen, terror do Kergudon, MSr' PRX, douze cents francs, o fr, DEUXÈME LOT LESTREMELR En Sant-Cadou Gonrnue d e Szux l.'lctage dune Mason, couvertc; en ardoses, dont le rez-de-chaussée appartent au.x représentants de Julen Lanchec, avec l'escaler en perres, y jognant réqueuler l'étage. L'ssue au bas de Porz-Jzella, suvant les bornes. Le drot des consorts Ménez dans le puts de Leslrémélar, UN PRE dl Prat ar-fornel la MSOY D'HBTTON du fermer, les crèches et la grange construtes sur parte dudt Prul-ar-forn. La moté, côté levant d'une garenne d e Goarem-creacl-mentoul, avec ses fosés compétents. MSE PR.X, qunze cent, francs, o fr. VOC LES VCNCES!!! âte5c-vo\«dlo Ooïna<er S VO'uS DESREZ JODR DE VOTRE LBERTE Concess'wnna'rc : M. HUTRC, 11, rue Carnot, MORLX CYCLES TERROT (DJON; sscul gent la réèon J. HUTRC MORLX - 11, RUE CRNOT, 11 - MORLX

20 L'ECHO DU FVSTERE TROSÈME LOT aux dépexcanoes DUDT LESTRÉMÉL&R Goarom-ne-ez-xella, terre labournble ayant ses fossés md', levant et nord. MSE o PRX, QUTRÈME LOT buu cel; francs, fr. aux dépendances DU MÊME VLLGE Goarem-nvez-hras, terre loborallo ayant fossé md et moté fossé norj bout levant; MSE PRX, hut cents francs, o f'. De CNQUÈVE LOT aux dépendances Leslréélar Goaren-uévez-creïs. terre labourable ayant fossés aux levant et md. MnE PRX, sx cents francs, o fr. DU Ém SXÈME LOT aux dépendances LEU DE LESTRËMELlR Goarem-roz nesdon, tere nboureb'e. ayant ses fossés au couchant ot au nord. MSE Ol. PRX, sx cenl^ francs, fr. près los adjudcatons séparées, les 2% 3% 4», 5' el 6» loto, serout réuns eu un seul essayer une adjudcaton d'on- semble sur la mse à prx formée.lu mou tant des premères adudcdtf'ms dj et ccllesc ne devendront défntves d( que faute d'enchère sur celte réunon. Cette vente est pou'suve en vertu d'un jugement contradctore reudu par le trbunal cvl de premère nstance de Châteauhn, à la dte du quatre jun ml neuf cent sept, enregstré ; la requètt de : Monseur Yves Ménez maîlre boula- ger demeurant au Releoq Kerhuon, lequel n et contnue >our son avoué près le trbunal cvl de Chàteauln, M» Henry CSSS, demeurant 3, rue Graveran, eu la vlle de Chàteauln. Contre : Madame Mare Yvoane Ménez el.monseur VvesSuguard, son ma en aulor'é, bourreler, demeurant ensemb'e à Ty-tl uen, en la commune de Pleyben. ayant avoué pès ledt trbunal, M" L FOLlE. demeurant auss à Chàeadn ; Et contre : Madamo Mare-Frauçose N.îdellec, veuve de Monseur Yves Menez, proprétare ; 2' Mare-Louse ; 3.Marf-Jeanm» ; 4- Mare-JosèphT Mén«z ; toutes cputre demeurant à Brnsparts ; av^nt p^ur avoué ledt M«L FOLE. L'adjudcaton aura ln nux clauses et condtons du caht'r des ch.rg'îs dressé par ledt M FLOC'H, nolare comms et déposé en son étude au bourg (le Szun, où toute personne peut ou prendre connassance. Chàteauln, le vngl-quatre Jun ml neuf cent sept. H. CSSS. voué-lcencé. Enregstré à Chàteauln, le vngl-( ualrc Jun ml neuf cent sept, -V.) casa. Reçu un fmuc qualrc-vngt-hut cennes décmes comprs. DESCOGLNETS, receveur. Eludes de M* CROSSNT, locknr en drot. M' BENVE.NUK, avoués. l de M" FLEURY, nolare à Morlax V E N T E aux Enchères publques U JSSN en Sl-Martn-des-Champ J LE LU.VDJ 8 JULLET 1007 à une heure de l'après md et jours suvants, s'l y a heu par le mnstère de M' FLEURY, notare de Meubles dépendant de la communauté ayant exsté entre Madame lne Prser el.\. Franços Bo.lénè^, de leurs successons respectves, consstant en ; Objet» de ltere, lts, armores, com modos, buffets, tables, fauteuls, chases, battere de cusne, glac-s, pendules, lngeno, el généralement meubles de snlo à manger, de salon et de chambre à couch er, verrere, argentere, servces de table, objels dvfrs, harnas, chevaux, char à- bancs, matérel de bouchere, etc., otc. u comptant 5 0/0 en sus des enchères. Pour lonsegnemenls, s'adresser à M" CROSSNT et BE.NVENUE, avoués el à M' FLELRY, notare à Morlax. Elude de M«TH. FLEURY, notare à Morlax VENDRE Par djudcaton Volontare En l'étude LE VENDRED112 JULLET 1907 <) deux heures En la commune de Plevber-Chrst, bordant la route natonale de Pars à Brest, LÀ FERME DE KERNVÉZEN d'une contenance de Q h. 80 a. 07 c., louée à M. et Mmo Jacques bgnll, moyennant 450 l'rancs l'an, plus l'acqut dos'mpôts el dverses charges Mse à PrL\ fp. Pour vster, s'a.lressor aux fermers et rensegnements à M" FLEURY, E'de de M» VERNT nolare à Morlax, ruo do Pars, n" 7 successeur do son père VENDRE OU LOUER En la commune de ^lest-les-grrèves, Plage de Sat- Efllam, en bordure de la mer et do la route de Lannon. Proprété consstant en ; mason d'ablalon, cour, jardn, écures, dépendances. Excellent puts. Vuo splendde, belle stuaton. S'edresser tous rensegnenenls ù M" VERNT, notare à Morlax. Elude M: JKN VÎRNT, notare à Morlax, ruo de Pars, a» 7. VENTE par adjudcaton volontare, en l'etude Le Mard 16 Jullet 1907 à 1 heure du sor En la vlle de Morlax, ruo du Mur, 16 Une et Venelle aux Pâtés,."> MSOf ayant façade sur les deu.x dtes rues composée de rez de chaussée sur cave, pre ner et deuxè.te étage, trosème éuge mansardé, grener au dessus. Le lout esl loué à dvers, 545 fr. l'an. Mse à Prx francs. S'adresser aux locatares vster el tous rensegnements à M" J;.\N VERNT, notare. Etude de M" Jean VËRNT, notare à Morlax, successeur de son père. l VENDRE par lots, au gré des amateurs. En la vlle de Morlax, Grands Ter rans à bàr, en bordure de loule, derrèn e Couvent des Ursulnes. Belle stuaton. Vue ml^nfque S'Hdres<er tous rensennements M- VERXl, notare. Elude dem JEN Vérant, notare à Morlax 7, rue de Pars, LOUER à 2 klomètres 500 de Morlax UNE PROPRÉTÉ D'GRÉMENT comprenant : Mason de maître ; écures el remses ; m- )ortantes dépendances, etc. Jardns ranças et anglas ; beaux ombrages ; rvère possonneuse. S'adresser tous rensegnements à M VERNT, notare. î Etude de M» Jean VÉRNT, nolare à Morlax, rue do Pars, n 7 FFERMER Pour la Sant-Mclel 1908 En l'le de CLLOT, en CRNTEC L FERME DE L ROCHE (Floo'h-Huella) manœuvrés par M. Yves Le Dluz, contenance 23 journaux. S'adresser à M' VÉRNT, notare. E'ude de M«JKN VERNT, notare à Morlax FFERMER )Our le 29 Septembre 1907 L BELLE FERNE du ROSLN Sse à Plougasnou et le Mouln en dépendant occupés par Franços Mure Coz. 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