santé Les arrêts de travail des séniors en emploi

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "santé Les arrêts de travail des séniors en emploi"

Transcription

1 soldarté et DOSSIERS Les arrêts de traval des sénors en emplo N Les sénors en emplo se dstnguent-ls de leurs cadets en termes de recours aux arrêts de traval? Les sénors ne déclarent pas plus d arrêts que leurs cadets, alors qu ls se jugent en plus mauvase. Toutefos, lorsqu ls nterrompent leur traval pour des rasons de, ls s arrêtent pour des durées plus longues. Il ressort auss de cette étude qu à âge équvalent, tous les actfs ne se ressemblent pas : par exemple, les ndépendants s arrêtent mons et mons longtemps que les ouvrers. Ces derners sont d alleurs les plus touchés par les arrêts de traval allant de par avec une pénblté lée à leur professon. On note auss que les salarés du commerce s arrêtent mons souvent mas plus longtemps que ceux de l ndustre. Nathale MISSÈGUE Insttut natonal de la statstque et des études économques (INSEE) Drecton de la recherche, des études, de l évaluaton et des statstques (DREES) Mnstère du Traval, des Relatons socales et de la Soldarté Mnstère de la Santé, de la Jeunesse et des Sports Mnstère du Budget, des Comptes publcs et de la Foncton publque

2 soldarté 2 n LES ARRÊTS DE TRAVAIL DES SÉNIORS EN EMPLOI Àpartr de la fn de l année 1999, la progresson des ndemntés journalères versées par le régme général d assurance malade devent très rapde. Après une nflexon au deuxème semestre 2001, le rythme de crossance redevent soutenu en 2002 et au premer semestre 2003, après quo un très fort ralentssement ntervent, en len avec une réorentaton du dspostf de contrôle de l assurance malade (encadré 1). Étant donnée la conjoncture économque des années 2002 et 2003, un tel mouvement prolongé de hausse semble a pror surprenant. En effet, c est surtout dans les pérodes où la crossance économque reprend que le redémarrage concomtant des dépenses d ndemntés journalères est observé. D autres facteurs sont donc à l œuvre. Dans ce contexte, on s nterroge c sur les caractérstques soco-démographques des personnes qu ont été en arrêt malade, en partculer des travalleurs de plus de 50 ans, car la concentraton des ndemnsatons de longue durée (versées depus plus de tros mos) s observe à partr de cet âge (et tout partculèrement sur la tranche d âge ans), et ce sont ces ndemnsatons de longue durée qu sont les plus coûteuses pour l assurance malade 1. L enquête décennale Santé réalsée par l INSEE entre octobre 2002 et septembre 2003 permet d aborder cette queston. En effet, les personnes actves et occupant un emplo à la date de l enquête, ont été nterrogées sur leurs arrêts de traval et sur la durée de ces derners. Ans, dans un premer temps, cette étude décrt la fréquence des arrêts malade des sénors en foncton de leur âge et de leur état de ans que leur durée, comparatvement à ce que l on observe pour les actfs de mons de 50 ans. Mas les relatons entre l âge, l état de et le recours aux arrêts malade sont complexes. Auss, dans un deuxème temps, des analyses toutes choses égales par alleurs mettront en lumère, outre des effets de l âge et de l état de, d autres facteurs nfluant tant sur la fréquence des arrêts de traval que sur leur durée : le statut d emplo (salaré/nonsalaré), la catégore socoprofessonnelle ans que le secteur d actvté de l entreprse. Les sénors en emplo les plus âgés ne s arrêtent pas plus fréquemment de travaller pour des rasons de S les ndemntés journalères versées sont concentrées chez les sénors, notamment les plus âgés d entre eux, on peut se demander s l on observe une fréquence plus élevée des arrêts de traval à mesure que l âge des ndvdus augmente. 1. S les arrêts jusqu à 3 mos représentent, en 2002, 93 % des arrêts de traval délvrés ls ne concernent que 42 % des montants correspondant (Mdy, 2005). ENCADRÉ 1 Les ndemntés journalères versés par l Assurance malade au ttre des arrêts malade Sur la pérode , les dépenses d ndemntés journalères (IJ) versées par le régme général ont progressé de 46 %, après avor suv une courbe descendante depus le mleu des années 70. L année 2002 est marquée par une forte crossance, sans précédent, des IJ versées (+10,1 % en valeur et +7,5 % en volume), en parte lée à l augmentaton du nombre d arrêts malade de longue durée prescrts en 2001 et dont l ndemnsaton se poursut en 2002 compte tenu des renouvellements. Le montant des IJ versées progresse à un rythme nettement mondre en 2003 (+6,3 % en valeur, sot un montant de 5,4 mllards d euros) : s la crossance reste soutenue au premer semestre, elle s nflécht nettement au second semestre (CNAMTS, 2004). En montant, les IJ versées sont concentrées sur une pette parte de la populaton : 4,5 % des assurés qu comptent plus de 365 jours d arrêt ont reçu 43 % des montants entre 1995 et En 2002, les arrêts qu durent plus de 3 mos ne représentent que 12 % du volume mas 65 % du montant des prestatons versées. Deux tranches d âge apparassent atypques, notamment celle des ndvdus de 55 à 59 ans. Ces derners ont concentré l essentel de la crossance annuelle du nombre total d IJ versées sur la pérode Ils enregstrent le taux de crossance annuel du nombre d ndemntés versées le plus élevé en 2003 : +15,9 % par rapport à 2002 pour les 55 à 59 ans, contre +4,2 % sur l ensemble de la populaton. Mas c est mons la fréquence des arrêts que leur durée qu explque ce taux. En effet, alors qu ls ne bénéfcent pas du fort ralentssement de la crossance des arrêts courts entre le 1 er semestre 2003 et le 1 er semestre 2002, ls enregstrent la plus forte crossance des ndemnsatons de plus de 3 mos. Par alleurs, en 2002 leurs arrêts de traval durent en moyenne 57 jours contre 22 jours pour les mons de 40 ans (Mdy, 2005).

3 LES ARRÊTS DE TRAVAIL DES SÉNIORS EN EMPLOI n soldarté 3 D après l enquête décennale Santé, on peut repérer les personnes ayant connu au mons un arrêt de traval, au cours d une pérode moyenne d enquête de 62 jours, qu elles se soent arrêtées de travaller une journée pour un problème bénn ou pour des durées longues (encadré 2). Ans, au cours de cette pérode, 11 % des personnes en emplo 2 déclarent s être arrêtées de travaller au mons une fos. Que ce sot à cause de problèmes de plus fréquents ou plus graves à mesure que l âge augmente, ou en rason de recours opportunstes aux arrêts malade ou encore de pratques d entreprses vsant à écarter les travalleurs âgés du marché du traval, on peut se demander s les sénors déclarent plus fréquemment des arrêts malade. Ce n est pas le cas : les actfs de plus de 50 ans sont, au contrare, un peu mons nombreux que leurs cadets à avor eu au mons un arrêt malade (9 % contre 11 % - tableau 1). Il convent cependant de précser les lmtes et la portée d une telle analyse condute sur les seuls qunquagénares en emplo. Par exemple, dans l enquête décennale Santé, les questons sont posées de telle sorte que les chômeurs (4 % de l ensemble des personnes de 50 ans et plus - encadré 3) ne pouvaent y répondre et donc sgnaler qu ls bénéfcent d ndemntés journalères. Or, à partr de 55 ans sous certanes condtons, et à compter de l âge de 57 ans et dem 3, les demandeurs d emplo peuvent bénéfcer d ndemntés journalères en cas de malade. La percepton de ces ndemntés suspend celle des allocatons chômage et retarde d autant la fn du versement de ces dernères. Il est alors possble que ce mécansme favorse l entrée et le manten en arrêt malade avant une pérode de chômage de longue durée. TABLEAU 1 Fréquence du recours aux arrêts de traval Ensemble des actfs Âge Mons de 50 ans 11, ans 8,5 55 ans et plus 10,1 Sexe Actfs de 50 ans et plus Femme 11,6 8,2 Homme 9,9 10,0 Stuaton famlale Ne vt pas en couple 11,2 12,6 Vt en couple 10,5 8,2 Nveau de dplôme Sans dplôme 11,4 14,3 Dplôme nféreur au bac (CEP, BEPC, etc.) 10,7 8,9 Baccalauréat 9,6 7,2 Supéreur au baccalauréat 7,7 6,8 Catégore soco-professonelle Indépendants non agrcoles (y.c. prof. lbérales) 4,8 4,3 Cadres 6,9 7,1 Professons ntermédares 10,3 9,8 Employés 11,7 9,7 Ouvrers 14,2 13,2 Secteur d actvté Agrculture : À son compte 5,6 5,4 Salaré agrcole 11,7 8,8 Industre 11,9 10,5 Constructon, BTP 10,3 10,0 Transports, actvtés fnancères, actvtés mmoblères 10,9 10,6 Commerce 9,0 8,0 Servces aux entreprses 10,6 10,5 Servces aux partculers 9,2 6,2 Éducaton,, acton socale 11,1 8,8 Admnstraton 12,6 11,2 Âge au premer emplo 15 ans ou mons 12,5 12,4 Entre 16 et 20 ans 11,5 8,9 Plus de 20 ans 8,3 5,2 État de général perçu Très bon 6,4 3,8 Bon 9,7 6,6 Moyen 19,6 16,3 Mauvas ou très mauvas 36,7 34,9 Lmtatons dans la ve quotdenne Connaît des lmtatons dans les actvtés que les gens font habtuellement Proporton d'actfs ayant eu au mons un arrêt malade (en %) 28,9 24,4 Ne connaît pas de lmtaton 9,8 7,2 Ensemble 10,7 9,2 Source : enquête décennale Santé , INSEE, explotaton DREES. Champ : personnes en emplo de plus de 15 ans. 2. On s ntéresse aux personnes actves occupant un emplo à la date de l enquête, le terme consacré pour les désgner étant celu «d actfs occupés». Mas, par souc de lsblté, on parlera dans la sute de cet artcle ndfféremment «des actfs» ou «des personnes en emplo». Par alleurs, on s ntéresse surtout à ceux ayant 50 ans et plus, le nombre d actfs enquêtés de plus de 55 ans étant trop fable pour mener l analyse sur cette tranche d âge. De plus, les effectfs concernés sont trop fables pour que l on pusse mener une analyse détallée par âge. 3. Sont admssbles à la dspense de recherche d emplo (DRE), à partr de 55 ans, les demandeurs d emplo ne recevant aucune ndemnsaton, ceux percevant une allocaton de l assurance chômage s ls justfent de 160 trmestres de cotsaton au ttre du régme de base de l assurance vellesse et les bénéfcares d une allocaton au ttre du régme de soldarté et, à partr de 57 ans et dem, tous les allocatares du régme d assurance chômage. Peuvent en bénéfcer, quel que sot leur âge, les bénéfcares de l allocaton équvalent retrate (AER). Ms en place en 1984, ce dspostf de DRE état au départ plus restrctf sur la condton d âge (57 ans et dem ou plus). En cas de DRE, les drots socaux en ce qu concerne l assurance malade sont préservés.

4 soldarté 4 n LES ARRÊTS DE TRAVAIL DES SÉNIORS EN EMPLOI ENCADRÉ 2 Repérer les arrêts malade à partr de l enquête décennale sur la Santé Les prncpaux objectfs de l enquête décennale Santé réalsée par l INSEE étaent de mesurer la morbdté déclarée, d estmer la consommaton de sons et de préventon, et d assocer et consommaton avec les caractérstques des ndvdus nterrogés et certans facteurs de rsque. Afn de paller tout problème de sasonnalté, les personnes nterrogées ont été répartes en cnq vagues d enquêtes étalées entre octobre 2002 et septembre Théorquement, chaque vague se déroulat sur 3 mos : les personnes étant nterrogées tros fos, une fos par mos le plus souvent (durée moyenne de l enquête : 62 jours). Il exste toutefos une excepton : la dernère vague d enquête, comportant auss ces tros vstes, s est étalée sur quatre mos (de jun à septembre 2003), la pérode estvale étant mons propce à l obtenton de rendez-vous (l enquête a durée en moyenne 67 jours pour cette vague). Dans l enquête, on n a pas demandé explctement aux personnes nterrogées s elles sont en arrêt malade au moment de l enquête ou s elles l ont été au cours d une pérode donnée, à quelle date et pour quelle durée. Ce n état en effet pas l objectf premer de cette enquête. Il convent donc de précser la manère dont on repère les arrêts malade qu dffèrent de l étude des ndemntés journalères versées par les régmes d assurance malade, ans que les lmtes mportantes dont souffre ce type de questonnement quant aux durées de ces arrêts. Telles que les questons sont posées, les arrêts malade ans repérés regroupent les nterruptons lées à la malade ans que celles successves à un accdent de traval ou une malade professonnelle. Les arrêts de traval survenus au cours de la pérode d enquête Lors de la deuxème et de la trosème vste, les personnes étaent nterrogées sur les évènements suvants survenus depus la vste précédente (sot depus la premère ou depus la deuxème) : «Avez-vous été alté une ou pluseurs fos depus ma premère vste?» «Ce ou ces altement(s) a-t-l (ont ls) donné leu à une nterrupton : d actvté professonnelle, d actvté domestque, d actvté scolare?» «Comben de jours au total?» «Sans être alté, avez-vous eu depus ma dernère vste, pour rasons de, une nterrupton : d actvté professonnelle, d actvté domestque, d actvté scolare?» «Comben de jours au total depus ma dernère vste?» À la deuxème comme à la trosème vste, les personnes nterrogées avaent la possblté de déclarer à la fos un arrêt de traval sute à un altement (rester au mons une dem-journée couché) et un arrêt de traval non consécutf à un altement. Le nombre d arrêts de traval maxmal déclaré est donc de quatre. On consdère qu une personne a été en arrêt de traval dès lors qu elle déclare avor arrêté son actvté professonnelle au mons une fos (que ce sot ou non à la sute d un altement). Pour les arrêts très courts, correspondant au déla de carence légal 1, les personnes concernées ben qu arrêtées ne perçovent pas d ndemntés journalères. Par alleurs, la déclaraton d un arrêt à la vste 2 et à la vste 3 peut correspondre sot à la prescrpton d un arrêt de traval entre la premère et la deuxème vste pus à son renouvellement entre la deuxème et la trosème vste, sot à la prescrpton de deux arrêts dstncts ayant des causes dfférentes, sans que l on pusse dstnguer ces deux cas de fgure. La durée des arrêts de traval Le questonnement présenté c-dessus présente une lmte mportante. En effet, les nstructons de collecte précsaent que pour les personnes en congé malade le jour de la vste, les enquêteurs devaent comptablser les jours de congé jusqu à la date de la vste et non la durée totale du congé malade. Ans, la durée des congés malade, notamment ceux repérés lors de la trosème vste, est donc sous-estmée, sans que l on pusse en mesurer précsément l ampleur. La sous-estmaton est d autant plus mportante pour les arrêts longs, ceux dépassant la durée de l enquête. En moyenne l enquête a durée 62 jours (la durée modale étant de 56 jours) et elle a eu leu sur un maxmum de 87 jours. Or, comme ce sont les personnes de plus de 50 ans qu concentrent les IJ de plus de 3 mos, la durée des arrêts, même s l est possble de la calculer, est donc plus fortement sous-estmée pour eux. Il est toutefos possble de paller ce problème en utlsant une autre parte du questonnare de l enquête décennale Santé. En effet, les personnes étaent nterrogées, aux deuxème et trosème vstes, sur leur recours au médecn depus la vste précédente. En cas de recours, l état demandé s lors de la séance l y avat eu ou non prescrpton (ou renouvellement) d un arrêt de traval et s ou pour comben de temps, sans que la durée à déclarer ne sot lmtée. On peut de cette manère connaître la durée réelle des arrêts malade, du mons pour ceux ntervenus sute à la prescrpton par le médecn d un arrêt de traval. Ans, 8,7 % des actfs déclarent avor vu un médecn qu leur a prescrt un arrêt de traval. C est un peu mons que la proporton d actfs ayant déclaré avor du nterrompre leur actvté professonnelle pour rasons de (10,7 % des actfs) : en effet, l employeur peut accorder au salaré un certan nombre de jours d absence par an pour cause de malade ou de garde d enfant malade. Ans, l est possble de déclarer entre la premère et la trosème vste un (ou pluseurs) arrêt(s) de traval d une journée ne nécesstant pas de prescrpton d un arrêt de traval par le médecn : l sera donc comptablsé comme un arrêt de traval (pour une durée d un jour dont on peut supposer qu l s agt de la durée réelle) mas pas en tant qu arrêt prescrt par le médecn. La démarche suvante a été adoptée pour mesurer la durée des arrêts de traval repérés comme cela est décrt en premère parte de cet encadré : - pour les personnes ayant eu recours au médecn qu leur a prescrt un arrêt de traval, on utlse la durée d arrêt prescrte par le médecn (c est le cas de 71 % des nterruptons repérées en premère parte de cet encadré) ; - pour les personnes pour lesquelles on ne dspose pas de la durée prescrte (arrêt d une journée, omsson de réponse, etc.), on compare la durée déclarée de l nterrupton et la durée de l enquête (29 % des nterruptons repérées en premère parte de cet encadré). S la durée déclarée est la même que la durée d enquête, l y a tout leu de penser qu elle peut lu être supéreure (censure à drote 2 ). S elle est nféreure, mas que l écart (cet écart est égal à la durée d enquête mons la durée arrêt déclarée) est nféreure à 22 jours, l est possble que la durée sot censurée : l peut y avor eu confuson dans la déclaraton du nombre de jours d arrêt, à savor les jours déclarés ne sont que les jours ouvrés (on suppose en moyenne 20 jours ouvrés par mos, sot 40 pour les deux mos d enquête). Au total, ces cas potentellement censurés à drote et pouvant donc condure à une sous-estmaton de la durée d arrêt malade ne représentent que 1,6 % de l ensemble des arrêts de traval. Par alleurs, 1,1 % des actfs ne déclare pas avor dû nterrompre leur actvté professonnelle pour rasons de, mas sgnalent par alleurs qu ls ont vu un médecn leur ayant délvré un arrêt de traval. Par souc de cohérence avec l analyse de la fréquence des arrêts, ces cas sont exclus de l analyse de la durée des arrêts malade. 1. Actuellement, pour les salarés, le déla de carence est de tros jours, les ndemntés journalères étant versées à compter du quatrème jour de l arrêt de traval et en cas de reprse d actvté ne dépassant pas 48 heures entre deux arrêts de traval, le déla de carence n est pas applqué pour le second arrêt. Pour les artsans et les commerçants, les condtons sont plus restrctves : le déla de carence est de tros jours en cas d hosptalsaton et de sept jours en cas de malade ou d accdent. 2. On dt qu une donnée est «censurée à drote» s on n observe pas cette donnée, mas s on sat qu elle est supéreure à une valeur observée C.

5 LES ARRÊTS DE TRAVAIL DES SÉNIORS EN EMPLOI n soldarté 5 GRAPHIQUE 1 État de des personnes de 50 ans et plus selon leur statut face à l'emplo État de perçu 100 % Malade chronque - Lmtaton actvtés habtuelles - Exstence d un handcap 100 % 90 % 90 % 80 % 80 % 70 % 70 % 60 % 60 % 50 % 40 % 50 % 40 % 30 % 30 % 20 % 20 % 10 % 10 % 0 % Actf occupé Chômeur Retraté Au foyer Autre nactf actf occupé chômeur retraté au foy er autre nactf 0 % Très bon ou ou bon Mauvas as ou ou très très mauvas as Lmtatons actvtés tés habtuelles Moyen Malade chronque Exstence d un d'un handcap (reconnu ou ou non) non) Source : enquête décennale Santé , INSEE, explotaton DREES. Champ : personnes en emplo de plus de 15 ans à la date de l enquête. On ne saurat donc généralser à l ensemble des sénors les taux de recours aux arrêts malade observés c sur les seuls sénors encore en actvté. En effet, en 2003, le taux d emplo des ans est de 54 % et celu des ans ne s élève qu à 37 % (d Autume, Betbèze et Harault, 2005). Outre le fat qu au delà de 60 ans cette stuaton n est pas surprenante et reflète le rôle central joué par l âge de 60 ans dans les comportements de départ en retrate passés et à venr (Rapoport, 2006), l n en demeure pas mons qu en France, comme dans la plupart de pays européens, une proporton non néglgeable de personnes de 50 ans et plus n occupe pas d emplo (18 % de l ensemble des personnes de 50 ans et plus, d après l enquête décennale Santé). Un certan nombre de facteurs explquent la cessaton d actvté des sénors, au rang desquels la dégradaton de leur état de ; ls sont alors prs en charge en cas de problèmes nvaldants reconnus par des dspostfs nsttutonnels. Ans, est-on confronté c à un bas de sélecton au sen de la populaton des 50 ans et plus : une parte d entre eux reste en emplo, d autres sont écartés plus ou mons défntvement du marché du traval. Cette sélecton n est donc pas ndfférente pour l analyse de l état de des personnes (encadré 3). Eu égard à l analyse des arrêts malade, l mpact de cette sélecton est mons asé à cerner et à mettre en évdence. Cette sélecton n est cependant pas neutre, ne seratce que parce que les sénors encore en emplo présentent des caractérstques partculères et sont notamment en melleure que ceux qu sont sorts de l emplo, et ce quel que sot l ndcateur retenu (graphque 1). Il arrve que l on qualfe ce phénomène de bas lé à la bonne des travalleurs ; «healthy worker effect» en anglas (Lasfargues, 2005). La DARES observe également

6 soldarté 6 n LES ARRÊTS DE TRAVAIL DES SÉNIORS EN EMPLOI ENCADRÉ 3 Les personnes de 50 ans et plus : statut vs-à-vs de l emplo et état de D après l enquête décennale Santé , les personnes âgées de 50 ans et plus se répartssent de la manère suvante en termes de statut vs à vs de l emplo. Les personnes qu se déclarent comme «autres nactfs» (6 % des 50 ans et plus) comprennent également des personnes ne touchant qu une penson de réverson, des femmes pour la plupart, et des personnes nvaldes, ayant ou non une reconnassance offcelle d un handcap ou d une nvaldté (Barnay, 2005). L nactvté d une grande parte des personnes de 50 ans et plus nactves - à savor celles se déclarant au foyer et «autre nactf» - semble déconnectée du motf de. En effet, 78% des nactfs répondent que s ls n exercent pas de professon, ce n est pas pour des rasons concernant leur 1 (c est le cas des femmes au foyer et probablement de celles ne touchant qu une penson de réverson). Au fnal, envron 3 % de l ensemble des personnes ayant 50 ans et plus déclarent ne pas travaller à la date de l enquête en rason de leur. Pourtant, les caractérstques de l état de des sénors selon leur statut face à l emplo, montrent clarement que la populaton étudée est partculère : quel que sot l ndcateur retenu, l état de des qunquagénares apparaît toujours melleur lorsqu ls sont en emplo (graphque 1). Des analyses «toutes choses égales par alleurs Statut des personnes âgées de 50 ans et plus» confrment qu un état de dégradé, tel qu l est perçu par les enquêtés, dmnue la probablté d être en emplo (Barnay, 2005). 8 % 6 % Actf en emplo 27 % Ans, dans la mesure ou l on ne s ntéresse c qu aux sénors en emplo - étant donné qu eux seuls avaent la possblté de déclarer s être arrêtés de travaller pour des rasons de -, non seulement leur état de est melleur que celu de l ensemble des sénors (les personnes étant sortes de l emplo pour rason de sont exclues du champ étudé), mas ce phénomène s accentue probablement avec l âge (phénomène de sélecton dynamque). 55 % 2 % 2 % Chômeur cherchant un emplo Chômeur ne cherchant pas d'emplo Retraté, retré des affares, pré-retraté Au foy er Autre nactf 1. La queston est formulée de cette manère : «Vous n exercez pas de professon actuellement, est-ce pour des rasons concernant votre?». 4. Ce résultat provent de l enquête sur «L nserton professonnelle des personnes handcapées» complémentare à l enquête Emplo de mars Dans le cas général, le montant des ndemntés journalères (IJ) s élève à 50 % du salare de base entre le 4 ème jour et le 6 ème mos d arrêt et à 51,49 % à partr du 7 ème mos. Pour les affectons chronques ou de longue durée, on peut toucher des IJ pendant 3 ans maxmum. Pour les autres affectons, on ne peut toucher plus de 360 ndemntés journalères en l espace de 3 ans. 6. Test du Kh2. 7. Par alleurs, la dstrbuton des sénors en termes d âge est la même, qu ls aent ou non été arrêtés : un quart a entre 50 et 52 ans à la date de l enquête, la moté est âgée de plus de 54 ans et 10 % a plus de 59 ans. que le sentment des personnes elles-mêmes va dans ce sens : plus de 40 % des sénors (personnes âgées de 50 à 59 ans) sans emplo ont une séreusement altérée 4 (Coutrot, Waltsperger, 2005). On peut par alleurs s nterroger sur la place que pourrat avor le recours à des arrêts malade parm d autres dspostfs de sorte d actvté. Contrarement à certans pays, les modaltés françases de cessaton d actvté sont relatvement éclatées : dspostfs d nvaldté et de handcap donnant accès à une penson ou à une prestaton, cessatons antcpées d actvté, dspostfs varés de pré-retrates, dspenses de recherche d emplo pour les allocatares de l assurance chômage à partr d un certan âge, etc. (Barnay, 2005). Dans une pérode marquée par des réformes condusant néluctablement à l augmentaton de la durée de cotsaton requse pour l obtenton de la retrate à taux plen et dans un contexte de contracton des dspostfs vsant à la cessaton défntve d actvté, notamment les préretrates (Merler, 2005), un recours au motf de pourrat être un moyen alternatf de réguler les flux de sortes antcpées du marché du traval. Pour le salaré, cela pourrat permettre d évter une phase d nactvté et d offrr un revenu de remplacement 5 le temps d attendre les condtons nécessares à l obtenton d une penson à taux plen. Pour l entreprse, l est possble qu un tel mode de geston apparasse plus souple et mons contragnant fnancèrement - le versement d ndemntés journalères n étant pas à sa charge - que d autres dspostfs. L enquête décennale Santé ne permet toutefos pas de mettre en évdence de tels éléments d explcaton. Sous cette hypothèse, on peut s attendre à ce que les sénors connassent plus fréquemment des arrêts de traval à mesure que leur âge augmente et qu ls s approchent de l âge légal de départ à la retrate. Or, on n observe pas de lason sgnfcatve 6 entre la tranche d âge des plus de 50 ans (par exemple : ans, etc.) et la fréquence des arrêts de traval. Ans, les sénors ayant connu des arrêts de traval ne sont-ls pas sgnfcatvement plus âgés que ceux de la même classe d âge qu ne se sont pas arrêtés (respectvement 54,4 ans contre 54,2 ans) 7. Cette absence de len entre l âge et la fréquence des arrêts peut toutefos être lé

7 LES ARRÊTS DE TRAVAIL DES SÉNIORS EN EMPLOI n soldarté 7 TABLEAU 2 La durée des arrêts de traval selon l âge (en jours) Mons de 30 ans ans ans Mons de 50 ans 50 ans et plus 1 er quartle 2,0 2,0 4,0 3,0 4,0 Durée médane 6,0 6,0 8,0 7,0 14,0 Durée moyenne 11,1 13,7 16,1 13,7 22,1 3 ème quartle 15,0 17,0 25,0 19,0 31,0 Source : enquête décennale Santé , INSEE, explotaton DREES. Champ : personnes en emplo de plus de 15 ans ayant connu un arrêt de traval. au phénomène de sélecton sgnalé précédemment. Ce résultat n nvalde pas pour autant cette hypothèse et ce pour pluseurs rasons. S les sénors dans leur ensemble ne s arrêtent pas plus fréquemment que leurs cadets, on observe tout de même sur cette populaton partculère des sénors en emplo que ceux qu nterrompent leur traval pour des rasons de s arrêtent en moyenne plus longtemps (tableau 2). Il est alors possble que des retrats d actvté par l ntermédare d arrêts malade, qu ls soent le fat des salarés eux-mêmes ou de leurs employeurs, ne touchent fnalement pas plus les personnes occupées âgées que les autres classes d âge actves, mas n en touchent que certanes pour une pérode longue snon de manère défntve. Avor un arrêt de traval va de par avec un état de ressent comme dégradé Tros aspects de l état de des personnes sont repérés dans l enquête 8. Le premer est appréhendé par un ndcateur de déclarée à partr de la réponse à la queston standardsée du Bureau européen de l organsaton mondale de la, lbellée comme sut : «Comment est votre état de général? Très bon, bon, moyen, mauvas, très mauvas». Une telle mesure donne une vson synthétque et globale de l état de tel que les personnes le ressentent. Elle présente toutefos quelques lmtes dont son caractère relatvement subjectf (encadré 4). C est pourquo on consdère auss généralement des ndcateurs plus «objectfs», ben que plus partels. Le premer - la prévalence d une malade chronque - a une composante plus médcale de l état de. En effet, c est le caractère strctement pathologque d une détéroraton de l état de qu est appréhendé c. Le deuxème ndcateur mesure des problèmes fonctonnels affectant la personne, et pouvant avor un mpact d un pont de vue socal, grâce au repérage de lmtatons dans les actvtés de la ve quotdenne du fat d un problème de 9. Comme on peut s y attendre, l état de des personnes se dégrade à mesure qu ls avancent en âge, l âge «étant assocé à une altératon objectve de l état de» (Auvray, Doussn, Le Fur, 2003). Ans, s neuf actfs de mons de 30 ans sur dx se déclarent en bonne ou en très bonne, ce n est le cas que de hut actfs de 40 à 49 ans sur dx et d un peu plus de sept actfs de 55 ans ou plus sur dx (graphque 2). Il en est de même, mas dans une mondre mesure pour les autres ndcateurs d état de (exstence d une malade chronque, lmtatons dans la ve quotdenne). Le fat de devor s arrêter de travaller est ben évdemment lé en premer leu à un problème de - malade, accdent de traval ou malade professonnelle - lequel peut condure pour parte les personnes concernées à se juger en mauvase, en très mauvase, vore dans un état plutôt «moyen». Ans, 10 % des personnes âgées de 50 ans et plus qu ont eu un arrêt malade se sentent globalement en mauvase ou très mauvase, alors qu un peu mons de 2 % de ceux qu ne se sont pas arrêtés s estment dans un tel état (graphque 3). Il en est de même, dans une mondre mesure, pour les personnes plus jeunes : 4 % des personnes en emplo de mons de 50 ans ayant eu 8. Les tros questons posées provennent d une réflexon commune de dfférents organsmes de recherche réalsée dans le cadre de l harmonsaton européenne des ndcateurs de morbdté. 9. L exstence d une malade chronque est mesurée par la réponse à la queston : «Avezvous actuellement une ou pluseurs malades chronques?». Les lmtatons fonctonnelles dans la ve quotdenne sont repérées par la queston : «Êtes-vous lmté, depus au mons 6 mos à cause d un problème de, dans les actvtés que les gens font habtuellement?».

8 soldarté 8 n LES ARRÊTS DE TRAVAIL DES SÉNIORS EN EMPLOI ENCADRÉ 4 Les lmtes lées à la mesure de l état de ressent L état de retenu c est appréhendé par un ndcateur de déclarée à partr de la réponse à la queston standardsée du Bureau européen de l organsaton mondale de la, lbellée comme tel : «Comment est votre état de général? Très bon, bon, moyen, mauvas, très mauvas». Il s agt donc là d une queston d opnon qu relève d une certane subjectvté. Une telle mesure de l état de, ben qu elle donne une vson synthétque et globale de l état de des personnes, est entachée de bas qu peuvent être d ordre psychologque, culturel, etc. (Bound, 1991). Non seulement la manère dont les personnes se postonnent sur l échelle qu leur est proposée n est pas connue, mas encore ce postonnement est probablement lé à l état de lu-même ce qu entraîne un bas d endogénété. C est la rason pour laquelle on consdère généralement auss des ndcateurs plus «objectfs». Le premer a une composante plus médcale de l état de, l s agt de la prévalence d une malade chronque. Le second est d ordre fonctonnel, grâce au repérage de lmtatons dans les actvtés de la ve quotdenne du fat d un problème de 1. Ces ndcateurs donnent toutefos une vson plus partelle de l état de. Ces tros ndcateurs sont ben entendu corrélés. 1. L exstence d une malade chronque est mesurée par la réponse à la queston : «Avez-vous actuellement une ou pluseurs malades chronques?». Les lmtatons fonctonnelles dans la ve quotdenne sont repérées par la queston : «Êtes-vous lmté, depus au mons 6 mos à cause d un problème de, dans les actvtés que les gens font habtuellement?». GRAPHIQUE 2 État de ressent par les personnes en emplo selon leur âge 100 % 80 % 60 % 40 % 20 % État de perçu 100 % 80 % 60 % 40 % 20 % 0 % Malade chronque - Lmtaton actvtés habtuelles 50 % 45 % 40 % 35 % 30 % 25 % 20 % 15 % 10 % 5 % 0 % Mons de 30 ans ans ans ans Plus de 55 ans Très bon ou bon Moyen Mauvas as ou ou très mauvas as Malade chronque Lmtatons actvtés tés habtuelles Source : enquête décennale Santé , INSEE, explotaton DREES. Champ : personnes en emplo de plus de 15 ans à la date de l enquête. GRAPHIQUE 3 État de ressent par les personnes en emplo selon leur âge et s ls ont eu ou non des arrêts de traval 50 ans et plus en emplo Mons de 50 ans en emplo 0 % Arrêt Arrêt de de trav traval al Pas Pas d'arrêt d arrêt de de traval trav al Arrêt Arrêt de de trav traval al Pas Pas d'arrêt d arrêt de de trav traval al Très bon ou bon Moyen Mauvas as ou très mauvas as Malade chronque Lmtatons actvtés tés habtuelles Source : enquête décennale Santé , INSEE, explotaton DREES. Champ : personnes en emplo de plus de 15 ans à la date de l enquête.

Contrats prévoyance des TNS : Clarifier les règles pour sécuriser les prestations

Contrats prévoyance des TNS : Clarifier les règles pour sécuriser les prestations Contrats prévoyance des TNS : Clarfer les règles pour sécurser les prestatons Résumé de notre proposton : A - Amélorer l nformaton des souscrpteurs B Prévor plus de souplesse dans l apprécaton des revenus

Plus en détail

Dirigeant de SAS : Laisser le choix du statut social

Dirigeant de SAS : Laisser le choix du statut social Drgeant de SAS : Lasser le chox du statut socal Résumé de notre proposton : Ouvrr le chox du statut socal du drgeant de SAS avec 2 solutons possbles : apprécer la stuaton socale des drgeants de SAS comme

Plus en détail

Les jeunes économistes

Les jeunes économistes Chaptre1 : les ntérêts smples 1. défnton et calcul pratque : Défnton : Dans le cas de l ntérêt smple, le captal reste nvarable pendant toute la durée du prêt. L emprunteur dot verser, à la fn de chaque

Plus en détail

LE RÉGIME DE RETRAITE DU PERSONNEL CANADIEN DE LA CANADA-VIE (le «régime») INFORMATION IMPORTANTE CONCERNANT LE RECOURS COLLECTIF

LE RÉGIME DE RETRAITE DU PERSONNEL CANADIEN DE LA CANADA-VIE (le «régime») INFORMATION IMPORTANTE CONCERNANT LE RECOURS COLLECTIF 1 LE RÉGIME DE RETRAITE DU PERSONNEL CANADIEN DE LA CANADA-VIE (le «régme») INFORMATION IMPORTANTE CONCERNANT LE RECOURS COLLECTIF AVIS AUX RETRAITÉS ET AUX PARTICIPANTS AVEC DROITS ACQUIS DIFFÉRÉS Expédteurs

Plus en détail

Impôt sur la fortune et investissement dans les PME Professeur Didier MAILLARD

Impôt sur la fortune et investissement dans les PME Professeur Didier MAILLARD Conservatore atonal des Arts et Méters Chare de BAQUE Document de recherche n 9 Impôt sur la fortune et nvestssement dans les PME Professeur Dder MAILLARD Avertssement ovembre 2007 La chare de Banque du

Plus en détail

MÉTHODES DE SONDAGES UTILISÉES DANS LES PROGRAMMES D ÉVALUATIONS DES ÉLÈVES

MÉTHODES DE SONDAGES UTILISÉES DANS LES PROGRAMMES D ÉVALUATIONS DES ÉLÈVES MÉTHODES DE SONDAGES UTILISÉES DANS LES PROGRAMMES D ÉVALUATIONS DES ÉLÈVES Émle Garca, Maron Le Cam et Therry Rocher MENESR-DEPP, bureau de l évaluaton des élèves Cet artcle porte sur les méthodes de

Plus en détail

Parlons. retraite. au service du «bien vieillir» L Assurance retraite. en chiffres* 639 192 retraités payés pour un montant de 4,2 milliards d euros

Parlons. retraite. au service du «bien vieillir» L Assurance retraite. en chiffres* 639 192 retraités payés pour un montant de 4,2 milliards d euros Édton Pays de la Lore Parlons La lettre aux retratés du régme général de la Sécurté socale 2012 retrate L Assurance retrate en chffres* 12,88 mllons de retratés 17,58 mllons de cotsants 346 000 bénéfcares

Plus en détail

Remboursement d un emprunt par annuités constantes

Remboursement d un emprunt par annuités constantes Sére STG Journées de formaton Janver 2006 Remboursement d un emprunt par annutés constantes Le prncpe Utlsaton du tableur Un emprunteur s adresse à un prêteur pour obtenr une somme d argent (la dette)

Plus en détail

Assurance maladie et aléa de moralité ex-ante : L incidence de l hétérogénéité de la perte sanitaire

Assurance maladie et aléa de moralité ex-ante : L incidence de l hétérogénéité de la perte sanitaire Assurance malade et aléa de moralté ex-ante : L ncdence de l hétérogénété de la perte santare Davd Alary 1 et Franck Ben 2 Cet artcle examne l ncdence de l hétérogénété de la perte santare sur les contrats

Plus en détail

CREATION DE VALEUR EN ASSURANCE NON VIE : COMMENT FRANCHIR UNE NOUVELLE ETAPE?

CREATION DE VALEUR EN ASSURANCE NON VIE : COMMENT FRANCHIR UNE NOUVELLE ETAPE? CREATION DE VALEUR EN ASSURANCE NON VIE : COMMENT FRANCHIR UNE NOUVELLE ETAPE? Boulanger Frédérc Avanssur, Groupe AXA 163-167, Avenue Georges Clémenceau 92742 Nanterre Cedex France Tel: +33 1 46 14 43

Plus en détail

Faire des régimes TNS les laboratoires de la protection sociale de demain appelle des évolutions à deux niveaux :

Faire des régimes TNS les laboratoires de la protection sociale de demain appelle des évolutions à deux niveaux : Réformer en profondeur la protecton socale des TNS pour la rendre plus effcace Résumé de notre proposton : Fare des régmes TNS les laboratores de la protecton socale de deman appelle des évolutons à deux

Plus en détail

Les déterminants de la détention et de l usage de la carte de débit : une analyse empirique sur données individuelles françaises

Les déterminants de la détention et de l usage de la carte de débit : une analyse empirique sur données individuelles françaises Les détermnants de la détenton et de l usage de la carte de débt : une analyse emprque sur données ndvduelles françases Davd Boune Marc Bourreau Abel Franços Jun 2006 Département Scences Economques et

Plus en détail

Les déterminants de la détention et de l usage de la carte de débit : une analyse empirique sur données individuelles françaises

Les déterminants de la détention et de l usage de la carte de débit : une analyse empirique sur données individuelles françaises Les détermnants de la détenton et de l usage de la carte de débt : une analyse emprque sur données ndvduelles françases Davd Boune a, Marc Bourreau a,b et Abel Franços a,c a Télécom ParsTech, Département

Plus en détail

Plan. Gestion des stocks. Les opérations de gestions des stocks. Les opérations de gestions des stocks

Plan. Gestion des stocks. Les opérations de gestions des stocks. Les opérations de gestions des stocks Plan Geston des stocks Abdellah El Fallah Ensa de Tétouan 2011 Les opératons de gestons des stocks Les coûts assocés à la geston des stocks Le rôle des stocks Modèle de la quantté économque Geston calendare

Plus en détail

Mesure avec une règle

Mesure avec une règle Mesure avec une règle par Matheu ROUAUD Professeur de Scences Physques en prépa, Dplômé en Physque Théorque. Lycée Alan-Fourner 8000 Bourges ecrre@ncerttudes.fr RÉSUMÉ La mesure d'une grandeur par un système

Plus en détail

EH SmartView. Identifiez vos risques et vos opportunités. www.eulerhermes.be. Pilotez votre assurance-crédit. Services en ligne Euler Hermes

EH SmartView. Identifiez vos risques et vos opportunités. www.eulerhermes.be. Pilotez votre assurance-crédit. Services en ligne Euler Hermes EH SmartVew Servces en lgne Euler Hermes Identfez vos rsques et vos opportuntés Plotez votre assurance-crédt www.eulerhermes.be Les avantages d EH SmartVew L expertse Euler Hermes présentée de manère clare

Plus en détail

Le Prêt Efficience Fioul

Le Prêt Efficience Fioul Le Prêt Effcence Foul EMPRUNTEUR M. Mme CO-EMPRUNTEUR M. Mlle Mme Mlle (CONJOINT, PACSÉ, CONCUBIN ) Départ. de nass. Nature de la pèce d dentté : Natonalté : CNI Passeport Ttre de séjour N : Salaré Stuaton

Plus en détail

Montage émetteur commun

Montage émetteur commun tour au menu ontage émetteur commun Polarsaton d un transstor. ôle de la polarsaton La polarsaton a pour rôle de placer le pont de fonctonnement du transstor dans une zone où ses caractérstques sont lnéares.

Plus en détail

COMPARAISON DE MÉTHODES POUR LA CORRECTION

COMPARAISON DE MÉTHODES POUR LA CORRECTION COMPARAISON DE MÉTHODES POUR LA CORRECTION DE LA NON-RÉPONSE TOTALE : MÉTHODE DES SCORES ET SEGMENTATION Émle Dequdt, Benoît Busson 2 & Ncolas Sgler 3 Insee, Drecton régonale des Pays de la Lore, Servce

Plus en détail

STATISTIQUE AVEC EXCEL

STATISTIQUE AVEC EXCEL STATISTIQUE AVEC EXCEL Excel offre d nnombrables possbltés de recuellr des données statstques, de les classer, de les analyser et de les représenter graphquement. Ce sont prncpalement les tros éléments

Plus en détail

Système solaire combiné Estimation des besoins énergétiques

Système solaire combiné Estimation des besoins énergétiques Revue des Energes Renouvelables ICRESD-07 Tlemcen (007) 109 114 Système solare combné Estmaton des besons énergétques R. Kharch 1, B. Benyoucef et M. Belhamel 1 1 Centre de Développement des Energes Renouvelables

Plus en détail

UNE ETUDE ECONOMÉTRIQUE DU NOMBRE D ACCIDENTS

UNE ETUDE ECONOMÉTRIQUE DU NOMBRE D ACCIDENTS BRUSSELS ECONOMIC REVIEW - CAHIERS ECONOMIQUES DE BRUXELLES VOL. 49 - N 2 SUMMER 2006 UNE ETUDE ECONOMÉTRIQUE DU NOMBRE D ACCIDENTS DANS LE SECTEUR DE L ASSURANCE AUTOMOBILE* MARÍA DEL CARMEN MELGAR**

Plus en détail

Calculer le coût amorti d une obligation sur chaque exercice et présenter les écritures dans les comptes individuels de la société Plumeria.

Calculer le coût amorti d une obligation sur chaque exercice et présenter les écritures dans les comptes individuels de la société Plumeria. 1 CAS nédt d applcaton sur les normes IAS/IFRS Coût amort sur oblgatons à taux varable ou révsable La socété Plumera présente ses comptes annuels dans le référentel IFRS. Elle détent dans son portefeulle

Plus en détail

UNIVERSITÉ DU QUÉBEC À MONTRÉAL L ASSURANCE AUTOMOBILE AU QUÉBEC : UNE PRIME SELON LE COÛT SOCIAL MARGINAL MÉMOIRE PRÉSENTÉ COMME EXIGENCE PARTIELLE

UNIVERSITÉ DU QUÉBEC À MONTRÉAL L ASSURANCE AUTOMOBILE AU QUÉBEC : UNE PRIME SELON LE COÛT SOCIAL MARGINAL MÉMOIRE PRÉSENTÉ COMME EXIGENCE PARTIELLE UNIVERSITÉ DU QUÉBEC À MONTRÉAL L ASSURANCE AUTOMOBILE AU QUÉBEC : UNE PRIME SELON LE COÛT SOCIAL MARGINAL MÉMOIRE PRÉSENTÉ COMME EXIGENCE PARTIELLE DE LA MAÎTRISE EN ÉCONOMIQUE PAR ERIC LÉVESQUE JANVIER

Plus en détail

Editions ENI. Project 2010. Collection Référence Bureautique. Extrait

Editions ENI. Project 2010. Collection Référence Bureautique. Extrait Edtons ENI Project 2010 Collecton Référence Bureautque Extrat Défnton des tâches Défnton des tâches Project 2010 Sasr les tâches d'un projet Les tâches représentent le traval à accomplr pour attendre l'objectf

Plus en détail

LA SURVIE DES ENTREPRISES DÉPEND-ELLE DU TERRITOIRE D'IMPLANTATION?

LA SURVIE DES ENTREPRISES DÉPEND-ELLE DU TERRITOIRE D'IMPLANTATION? LA SURVIE DES ENTREPRISES DÉPEND-ELLE DU TERRITOIRE D'IMPLANTATION? Anne PERRAUD (CRÉDOC) Phlppe MOATI (CRÉDOC Unversté Pars) Nadège COUVERT (ENSAE) INTRODUCTION Au cours des dernères années, de nombreux

Plus en détail

BTS GPN 2EME ANNEE-MATHEMATIQUES-MATHS FINANCIERES MATHEMATIQUES FINANCIERES

BTS GPN 2EME ANNEE-MATHEMATIQUES-MATHS FINANCIERES MATHEMATIQUES FINANCIERES MATHEMATIQUES FINANCIERES I. Concepts généraux. Le référentel précse : Cette parte du module M4 «Acquérr des outls mathématques de base nécessares à l'analyse de données économques» est en relaton avec

Plus en détail

TD 1. Statistiques à une variable.

TD 1. Statistiques à une variable. Danel Abécasss. Année unverstare 2010/2011 Prépa-L1 TD de bostatstques. Exercce 1. On consdère la sére suvante : TD 1. Statstques à une varable. 1. Calculer la moyenne et l écart type. 2. Calculer la médane

Plus en détail

Les prix quotidiens de clôture des échanges de quotas EUA et de crédits CER sont fournis par ICE Futures Europe

Les prix quotidiens de clôture des échanges de quotas EUA et de crédits CER sont fournis par ICE Futures Europe Méthodologe CDC Clmat Recherche puble chaque mos, en collaboraton avec Clmpact Metnext, Tendances Carbone, le bulletn mensuel d nformaton sur le marché européen du carbone (EU ETS). L obectf de cette publcaton

Plus en détail

Version provisoire Ne pas citer sans l accord des auteurs

Version provisoire Ne pas citer sans l accord des auteurs Verson provsore Ne pas cter sans l accord des auteurs Les détermnants du beson d ade non satsfat des personnes âgées vvant à domcle : un modèle probt bvaré avec sélecton d échantllon Bérengère Davn 1,2,

Plus en détail

DES EFFETS PERVERS DU MORCELLEMENT DES STOCKS

DES EFFETS PERVERS DU MORCELLEMENT DES STOCKS DES EFFETS PERVERS DU MORCELLEMENT DES STOCKS Le cabnet Enetek nous démontre les mpacts négatfs de la multplcaton des stocks qu au leu d amélorer le taux de servce en se rapprochant du clent, le dégradent

Plus en détail

La Quantification du Risque Opérationnel des Institutions Bancaires

La Quantification du Risque Opérationnel des Institutions Bancaires HEC Montréal Afflée à l Unversté de Montréal La Quantfcaton du Rsque Opératonnel des Insttutons Bancares par Hela Dahen Département Fnance Thèse présentée à la Faculté des études supéreures en vue d obtenton

Plus en détail

Fiche n 7 : Vérification du débit et de la vitesse par la méthode de traçage

Fiche n 7 : Vérification du débit et de la vitesse par la méthode de traçage Fche n 7 : Vérfcaton du débt et de la vtesse par la méthode de traçage 1. PRINCIPE La méthode de traçage permet de calculer le débt d un écoulement ndépendamment des mesurages de hauteur et de vtesse.

Plus en détail

Pourquoi LICIEL? Avec LICIEL passez à la vitesse supérieure EPROUVE TECHNICITE CONNECTE STABILITE SUIVIE COMMUNAUTE

Pourquoi LICIEL? Avec LICIEL passez à la vitesse supérieure EPROUVE TECHNICITE CONNECTE STABILITE SUIVIE COMMUNAUTE L og c el s de D agnos t c s I mmob l er s Cont ac t eznous 32BddeS t r as bougcs3010875468 Par scedex10tel. 0253354064Fax0278084116 ma l : s er v c e. c l ent @l c el. f r Pourquo LICIEL? Implanté sur

Plus en détail

Professionnel de santé équipé de Médiclick!

Professionnel de santé équipé de Médiclick! Professonnel de santé équpé de Médclck! Dosser Médcal Partagé en Aqutane Ce gude vous présente les prncpales fonctonnaltés réservées aux professonnels de santé membres du réseau AquDMP. Sommare Connexon

Plus en détail

EURIsCO. Cahiers de recherche. Cahier n 2008-05. L épargne des ménages au Maroc : Une analyse macroéconomique et microéconomique.

EURIsCO. Cahiers de recherche. Cahier n 2008-05. L épargne des ménages au Maroc : Une analyse macroéconomique et microéconomique. Cahers de recherche EURIsCO Caher n 2008-05 L épargne des ménages au Maroc : Une analyse macroéconomque et mcroéconomque Rapport d étude Najat El Mekkaou de Fretas (coordnateur) Eursco Unversté Pars Dauphne

Plus en détail

Page 5 TABLE DES MATIÈRES

Page 5 TABLE DES MATIÈRES Page 5 TABLE DES MATIÈRES CHAPITRE I LES POURCENTAGES 1. LES OBJECTIFS 12 2. LES DÉFINITIONS 14 1. La varaton absolue d'une grandeur 2. La varaton moyenne d'une grandeur (par unté de temps) 3. Le coeffcent

Plus en détail

I. Présentation générale des méthodes d estimation des projets de type «unité industrielle»

I. Présentation générale des méthodes d estimation des projets de type «unité industrielle» Evaluaton des projets et estmaton des coûts Le budget d un projet est un élément mportant dans l étude d un projet pusque les résultats économques auront un mpact sur la réalsaton ou non et sur la concepton

Plus en détail

1.0 Probabilité vs statistique...1. 1.1 Expérience aléatoire et espace échantillonnal...1. 1.2 Événement...2

1.0 Probabilité vs statistique...1. 1.1 Expérience aléatoire et espace échantillonnal...1. 1.2 Événement...2 - robabltés - haptre : Introducton à la théore des probabltés.0 robablté vs statstque.... Expérence aléatore et espace échantllonnal.... Événement.... xomes défnton de probablté..... Quelques théorèmes

Plus en détail

TABLE DES MATIERES CONTROLE D INTEGRITE AU SEIN DE LA RECHERCHE LOCALE DE LA POLICE LOCALE DE BRUXELLES-CAPITALE/IXELLES (DEUXIEME DISTRICT) 1

TABLE DES MATIERES CONTROLE D INTEGRITE AU SEIN DE LA RECHERCHE LOCALE DE LA POLICE LOCALE DE BRUXELLES-CAPITALE/IXELLES (DEUXIEME DISTRICT) 1 TABLE DES MATIERES CONTROLE D INTEGRITE AU SEIN DE LA RECHERCHE LOCALE DE LA POLICE LOCALE DE BRUXELLES-CAPITALE/IXELLES (DEUXIEME DISTRICT) 1 1. PROBLEMATIQUE 1 2. MISSION 1 3. ACTES D ENQUETE 2 4. ANALYSE

Plus en détail

VIELLE Marc. CEA-IDEI Janvier 1998. 1 La nomenclature retenue 3. 2 Vue d ensemble du modèle 4

VIELLE Marc. CEA-IDEI Janvier 1998. 1 La nomenclature retenue 3. 2 Vue d ensemble du modèle 4 GEMINI-E3 XL France Un outl destné à l étude des mpacts ndustrels de poltques énergétques et envronnementales VIELLE Marc CEA-IDEI Janver 1998 I LA STRUCTURE DU MODELE GEMINI-E3 XL FRANCE 3 1 La nomenclature

Plus en détail

L enseignement virtuel dans une économie émergente : perception des étudiants et perspectives d avenir

L enseignement virtuel dans une économie émergente : perception des étudiants et perspectives d avenir L ensegnement vrtuel dans une économe émergente : percepton des étudants et perspectves d avenr Hatem Dellag Laboratore d Econome et de Fnances applquées Faculté des scences économques et de geston de

Plus en détail

GATE Groupe d Analyse et de Théorie Économique DOCUMENTS DE TRAVAIL - WORKING PAPERS W.P. 08-24. Préférences temporelles et recherche d emploi

GATE Groupe d Analyse et de Théorie Économique DOCUMENTS DE TRAVAIL - WORKING PAPERS W.P. 08-24. Préférences temporelles et recherche d emploi GATE Groupe d Analyse et de Théore Économque UMR 5824 du CNRS DOCUMENTS DE TRAVAIL - WORKING PAPERS W.P. 08-24 Préférences temporelles et recherche d emplo «Applcatons économétrques sur le panel Européen

Plus en détail

1 Introduction. 2 Définitions des sources de tension et de courant : Cours. Date : A2 Analyser le système Conversion statique de l énergie. 2 h.

1 Introduction. 2 Définitions des sources de tension et de courant : Cours. Date : A2 Analyser le système Conversion statique de l énergie. 2 h. A2 Analyser le système Converson statque de l énerge Date : Nom : Cours 2 h 1 Introducton Un ConVertsseur Statque d énerge (CVS) est un montage utlsant des nterrupteurs à semconducteurs permettant par

Plus en détail

MINISTERE DE L ECONOMIE ET DES FINANCES

MINISTERE DE L ECONOMIE ET DES FINANCES Un Peuple - Un But Une Fo MINISTERE DE L ECONOMIE ET DES FINANCES DIRECTION DE LA PREVISION ET DES ETUDES ECONOMIQUES Document de traval N 03 GESTION DU RISQUE DE CREDIT ET FINANCEMENT DES ECONOMIES DE

Plus en détail

IDEI Report # 18. Transport. December 2010. Elasticités de la demande de transport ferroviaire: définitions et mesures

IDEI Report # 18. Transport. December 2010. Elasticités de la demande de transport ferroviaire: définitions et mesures IDEI Report # 18 Transport December 2010 Elastctés de la demande de transport ferrovare: défntons et mesures Elastctés de la demande de transport ferrovare : Défntons et mesures Marc Ivald Toulouse School

Plus en détail

Chapitre 3 : Incertitudes CHAPITRE 3 INCERTITUDES. Lignes directrices 2006 du GIEC pour les inventaires nationaux de gaz à effet de serre 3.

Chapitre 3 : Incertitudes CHAPITRE 3 INCERTITUDES. Lignes directrices 2006 du GIEC pour les inventaires nationaux de gaz à effet de serre 3. Chaptre 3 : Incerttudes CHAPITRE 3 INCERTITUDES Lgnes drectrces 2006 du GIEC pour les nventares natonaux de gaz à effet de serre 3.1 Volume 1 : Orentatons générales et établssement des rapports Auteurs

Plus en détail

Afflux de capitaux, taux de change réel et développement financier : évidence empirique pour les pays du Maghreb

Afflux de capitaux, taux de change réel et développement financier : évidence empirique pour les pays du Maghreb Global Journal of Management and Busness Research Volume Issue Verson.0 November 20 Type: Double Blnd Peer Revewed Internatonal Research Journal Publsher: Global Journals Inc. (USA) Onlne ISSN: 2249-4588

Plus en détail

ÉLÉMENTS DE THÉORIE DE L INFORMATION POUR LES COMMUNICATIONS.

ÉLÉMENTS DE THÉORIE DE L INFORMATION POUR LES COMMUNICATIONS. ÉLÉMETS DE THÉORIE DE L IFORMATIO POUR LES COMMUICATIOS. L a théore de l nformaton est une dscplne qu s appue non seulement sur les (télé-) communcatons, mas auss sur l nformatque, la statstque, la physque

Plus en détail

Terminal numérique TM 13 raccordé aux installations Integral 33

Terminal numérique TM 13 raccordé aux installations Integral 33 Termnal numérque TM 13 raccordé aux nstallatons Integral 33 Notce d utlsaton Vous garderez une longueur d avance. Famlarsez--vous avec votre téléphone Remarques mportantes Chaptres à lre en prorté -- Vue

Plus en détail

Étranglement du crédit, prêts bancaires et politique monétaire : un modèle d intermédiation financière à projets hétérogènes

Étranglement du crédit, prêts bancaires et politique monétaire : un modèle d intermédiation financière à projets hétérogènes Étranglement du crédt, prêts bancares et poltque monétare : un modèle d ntermédaton fnancère à projets hétérogènes Mngwe Yuan et Chrstan Zmmermann Introducton et objet de l étude Par étranglement du crédt

Plus en détail

GEA I Mathématiques nancières Poly. de révision. Lionel Darondeau

GEA I Mathématiques nancières Poly. de révision. Lionel Darondeau GEA I Mathématques nancères Poly de révson Lonel Darondeau Intérêts smples et composés Voc la lste des exercces à révser, corrgés en cours : Exercce 2 Exercce 3 Exercce 5 Exercce 6 Exercce 7 Exercce 8

Plus en détail

Exercices d Électrocinétique

Exercices d Électrocinétique ercces d Électrocnétque Intensté et densté de courant -1.1 Vtesse des porteurs de charges : On dssout une masse m = 20g de chlorure de sodum NaCl dans un bac électrolytque de longueur l = 20cm et de secton

Plus en détail

Interface OneNote 2013

Interface OneNote 2013 Interface OneNote 2013 Interface OneNote 2013 Offce 2013 - Fonctons avancées Lancer OneNote 2013 À partr de l'nterface Wndows 8, utlsez une des méthodes suvantes : - Clquez sur la vgnette OneNote 2013

Plus en détail

Calcul de tableaux d amortissement

Calcul de tableaux d amortissement Calcul de tableaux d amortssement 1 Tableau d amortssement Un emprunt est caractérsé par : une somme empruntée notée ; un taux annuel, en %, noté ; une pérodcté qu correspond à la fréquence de remboursement,

Plus en détail

Généralités sur les fonctions 1ES

Généralités sur les fonctions 1ES Généraltés sur les fonctons ES GENERALITES SUR LES FNCTINS I. RAPPELS a. Vocabulare Défnton Une foncton est un procédé qu permet d assocer à un nombre x appartenant à un ensemble D un nombre y n note :

Plus en détail

L ABC du traitement cognitivo-comportemental de l insomnie primaire

L ABC du traitement cognitivo-comportemental de l insomnie primaire F É D É R A T I O N D E S M É D E C I N S O M N I P R A T I C I E N S D U Q U É B E C L ABC du tratement cogntvo-comportemental de l nsomne prmare par Anne Vallères, Bernard Guay et Charles Morn M me Tousgnant

Plus en détail

Une analyse économique et expérimentale de la fraude à l assurance et de l audit

Une analyse économique et expérimentale de la fraude à l assurance et de l audit Une analyse économque et expérmentale de la fraude à l assurance et de l audt Sameh Borg To cte ths verson: Sameh Borg. Une analyse économque et expérmentale de la fraude à l assurance et de l audt. Economes

Plus en détail

Grandeur physique, chiffres significatifs

Grandeur physique, chiffres significatifs Grandeur physque, chffres sgnfcatfs I) Donner le résultat d une mesure en correspondance avec l nstrument utlsé : S avec un nstrument, ren n est ndqué sur l ncerttude absolue X d une mesure X, on consdère

Plus en détail

1. Les enjeux de la prévision du risque de défaut de paiement

1. Les enjeux de la prévision du risque de défaut de paiement Scorng sur données d entreprses : nstrument de dagnostc ndvduel et outl d analyse de portefeulle d une clentèle Mrelle Bardos Ancen chef de servce de l Observatore des entreprses de la Banque de France

Plus en détail

22 environnement technico-professionnel

22 environnement technico-professionnel 22 envronnement technco-professonnel CYRIL SABATIÉ Drecteur du servce jurdque FNAIM Ouverture du ma IMMOBILIER, OÙ 1 Artcle paru également dans la Revue des Loyers, jullet à septembre 2007, n 879, p. 314

Plus en détail

Pour plus d'informations, veuillez nous contacter au 04.75.05.52.62. ou à contact@arclim.fr.

Pour plus d'informations, veuillez nous contacter au 04.75.05.52.62. ou à contact@arclim.fr. Régulaton Sondes & Capteurs Détente frgo électronque Supervson & GTC Humdfcaton & Déshu. Vannes & Servomoteurs Comptage eau, elec., énerge Ancens artcles Cette documentaton provent du ste www.arclm.eu

Plus en détail

Documents de travail. «La taxe Tobin : une synthèse des travaux basés sur la théorie des jeux et l économétrie» Auteurs

Documents de travail. «La taxe Tobin : une synthèse des travaux basés sur la théorie des jeux et l économétrie» Auteurs Documents de traval «La taxe Tobn : une synthèse des travaux basés sur la théore des jeux et l économétre» Auteurs Francs Bsmans, Olver Damette Document de Traval n 2012-09 Jullet 2012 Faculté des scences

Plus en détail

Prêt de groupe et sanction sociale Group lending and social fine

Prêt de groupe et sanction sociale Group lending and social fine Prêt de roupe et sancton socale Group lendn and socal fne Davd Alary Résumé Dans cet artcle, nous présentons un modèle d antsélecton sur un marché concurrentel du crédt. Nous consdérons l ntroducton de

Plus en détail

Integral T 3 Compact. raccordé aux installations Integral 5. Notice d utilisation

Integral T 3 Compact. raccordé aux installations Integral 5. Notice d utilisation Integral T 3 Compact raccordé aux nstallatons Integral 5 Notce d utlsaton Remarques mportantes Remarques mportantes A quelle nstallaton pouvez-vous connecter votre téléphone Ce téléphone est conçu unquement

Plus en détail

Pauvreté et fécondité au Congo

Pauvreté et fécondité au Congo BUREAU D'APPLICATION DES METHODES STATISTIQUES ET INFORMATIQUES DT 14/2007 Pauvreté et fécondté au Congo Samuel AMBAPOUR Armel MOUSSANA HYLOD BAMSSII BAMSI B.P. 13734 Brazzavlle DT 14/2007 Pauvreté et

Plus en détail

CHAPITRE 14 : RAISONNEMENT DES SYSTÈMES DE COMMANDE

CHAPITRE 14 : RAISONNEMENT DES SYSTÈMES DE COMMANDE HAITRE 4 : RAISONNEMENT DES SYSTÈMES DE OMMANDE RAISONNEMENT DES SYSTÈMES DE OMMANDE... 2 INTRODUTION... 22 RAELS... 22 alcul de la valeur ntale de la répone à un échelon... 22 alcul du gan tatque... 22

Plus en détail

Prise en compte des politiques de transport dans le choix des fournisseurs

Prise en compte des politiques de transport dans le choix des fournisseurs INSTITUT NATIONAL POLYTECHNIQUE DE GRENOBLE N attrbué par la bblothèque THÈSE Pour obtenr le grade de DOCTEUR DE L I.N.P.G. Spécalté : Géne Industrel Préparée au Laboratore d Automatque de Grenoble Dans

Plus en détail

Chapitre IV : Inductance propre, inductance mutuelle. Energie électromagnétique

Chapitre IV : Inductance propre, inductance mutuelle. Energie électromagnétique Spécale PSI - Cours "Electromagnétsme" 1 Inducton électromagnétque Chaptre IV : Inductance propre, nductance mutuelle. Energe électromagnétque Objectfs: Coecents d nductance propre L et mutuelle M Blan

Plus en détail

Pro2030 GUIDE D UTILISATION. Français

Pro2030 GUIDE D UTILISATION. Français Pro2030 GUIDE D UTILISATION Franças Contents Garante... Introducton... 1 Artcle nº 605056 Rév C Schéma nº A605056 Novembre 2010 2010 YSI Incorporated. Le logo YSI est une marque déposée de YSI Incorporated.

Plus en détail

GUIDE D ÉLABORATION D UN PLAN D INTERVENTION POUR LE RENOUVELLEMENT DES CONDUITES D EAU POTABLE, D ÉGOUTS ET DES CHAUSSÉES

GUIDE D ÉLABORATION D UN PLAN D INTERVENTION POUR LE RENOUVELLEMENT DES CONDUITES D EAU POTABLE, D ÉGOUTS ET DES CHAUSSÉES GUIDE D ÉLABORATION D UN PLAN D INTERVENTION POUR LE RENOUVELLEMENT DES CONDUITES D EAU POTABLE, D ÉGOUTS ET DES CHAUSSÉES Gude destné au mleu muncpal québécos NOVEMBRE 2013 Coordnaton : Martn Cormer,

Plus en détail

INTERNET. Initiation à

INTERNET. Initiation à Intaton à INTERNET Surfez sur Internet Envoyez des messages Téléchargez Dscutez avec Skype Découvrez Facebook Regardez des vdéos Protégez votre ordnateur Myram GRIS Table des matères Internet Introducton

Plus en détail

La théorie classique de l information. 1 ère partie : le point de vue de Kolmogorov.

La théorie classique de l information. 1 ère partie : le point de vue de Kolmogorov. La théore classque de l nformaton. ère parte : le pont de vue de Kolmogorov. La sute de caractères comme outl de descrpton des systèmes. La scence peut être vue comme l art de compresser les données quelles

Plus en détail

Intégration financière et croissance économique : évidence empirique dans. la région MENA

Intégration financière et croissance économique : évidence empirique dans. la région MENA Décembre 2011 Volume 6, No.2 (pp. 115-131) Zouher Abda Revue Congolase d Econome Intégraton fnancère et crossance économque : évdence emprque dans la régon MENA Zouher ABIDA * Résumé: L objectf de cet

Plus en détail

Corrections adiabatiques et nonadiabatiques dans les systèmes diatomiques par calculs ab-initio

Corrections adiabatiques et nonadiabatiques dans les systèmes diatomiques par calculs ab-initio Correctons adabatques et nonadabatques dans les systèmes datomques par calculs ab-nto Compte rendu du traval réalsé dans le cadre d un stage de quatre mos au sen du Groupe de Spectroscope Moléculare et

Plus en détail

Pour avoir les idées plus claires...

Pour avoir les idées plus claires... ARNET PRATIQUE Pour avor les dées plus clares...... lorsque vous développez un projet d ntérêt général. Outl produt avec le souten du rédt Mutuel accuel SOMMaRe «Je ne connas pas d entrepreneur qu n at

Plus en détail

SYNTH~SE. Rapport -1 -

SYNTH~SE. Rapport -1 - SYNTH~SE. La msson de l'inspecton Générale des Fnances a procédé à ('aname écoqomjgue du fonctonnement de 37 professjons et actyltés ré&j.ementées. Elles ont été sélectonnées sur la base de leur pods dans

Plus en détail

GENESIS - Generalized System for Imputation Simulations (Système généralisé pour simuler l imputation)

GENESIS - Generalized System for Imputation Simulations (Système généralisé pour simuler l imputation) GENESS - Generalzed System for mputaton Smulatons (Système généralsé pour smuler l mputaton) GENESS est un système qu permet d exécuter des smulatons en présence d mputaton. L utlsateur fournt un ensemble

Plus en détail

ACTE DE PRÊT HYPOTHÉCAIRE

ACTE DE PRÊT HYPOTHÉCAIRE - 1 - ACTE DE PRÊT HYPOTHÉCAIRE 5453F QC FR-2010/01 Taux fxe Le. Devant M e, notare soussgné pour la provnce de Québec, exerçant à. ONT COMPARU : ET : (C-après parfos appelé dans le présent Acte l «emprunteur»

Plus en détail

Créer ou reprendre une entreprise, Guide de la création et de la reprise d entreprise 1er semestre 2009

Créer ou reprendre une entreprise, Guide de la création et de la reprise d entreprise 1er semestre 2009 Créer ou reprendre une entreprse, Ou, mas comment? Gude de la créaton 1 er semestre 2009 et de la reprse d entreprse Futurs entrepreneurs, venez nous rencontrer! Chambre de Commerce et d Industre de Rennes

Plus en détail

S.A.S. HEMATITE, représentée par son Président la S.A.S. OFIREIM 26 avenue des Champs Elysées 75008 PARIS

S.A.S. HEMATITE, représentée par son Président la S.A.S. OFIREIM 26 avenue des Champs Elysées 75008 PARIS TRBUNAL DE GRANDE NSTANCE DE PARS 18 chambre 2ème secton N RG : 09/11087 N MNUTE : 1 contradctore Assgnaton du : 02 Jullet 2009 JUGEMENT rendu le 13 Janver 2011 Expédtons exécutores délvrées le : 13 JAN.

Plus en détail

Pratique de la statistique avec SPSS

Pratique de la statistique avec SPSS Pratque de la statstque avec SPSS SUPPORT Transparents ultéreurement amélorés et ms à jour sur le ste du SMCS LIENS UTILES Ste du SMCS (Support en Méthodologe et Calcul Statstque) : http://www.stat.ucl.ac.be/smcs/

Plus en détail

Driss HARRIZI. MOTS CLES : contrôle de gestion - système d'éducation et de formation système d information - établissement public.

Driss HARRIZI. MOTS CLES : contrôle de gestion - système d'éducation et de formation système d information - établissement public. Ver sunenouvel l ecul t ur emanagér al e:mét hodol og e dem seenpl aced unsyst èmedecont r ôl edegest on dansunét abl ssementpubl c Casd uneacadém er ég onal ed éducat onetde f or mat on. Aut eur s:dr

Plus en détail

Paquets. Paquets nationaux 1. Paquets internationaux 11

Paquets. Paquets nationaux 1. Paquets internationaux 11 Paquets Paquets natonaux 1 Paquets nternatonaux 11 Paquets natonaux Servces & optons 1 Créaton 3 1. Dmensons, pods & épasseurs 3 2. Présentaton des paquets 4 2.1. Face avant du paquet 4 2.2. Comment obtenr

Plus en détail

En vue de l'obtention du. Présentée et soutenue par Meva DODO Le 06 novembre 2008

En vue de l'obtention du. Présentée et soutenue par Meva DODO Le 06 novembre 2008 THÈSE En vue de l'obtenton du DOCTORAT DE L UNIVERSITÉ DE TOULOUSE Délvré par l'unversté Toulouse III - Paul Sabater Spécalté : Informatque Présentée et soutenue par Meva DODO Le 06 novembre 2008 Ttre

Plus en détail

BUREAU D'APPLICATION DES METHODES STATISTIQUES ET INFORMATIQUES

BUREAU D'APPLICATION DES METHODES STATISTIQUES ET INFORMATIQUES BUREAU DAPPLICATION DES METHODES STATISTIQUES ET INFORMATIQUES BAMSI REPRINT 04/2003 Introducton à l analyse des données Samuel AMBAPOUR BAMSSI I BAMSI B.P. 13734 Brazzavlle BAMSI REPRINT 04/2003 Introducton

Plus en détail

Le guide pratique pour y parvenir

Le guide pratique pour y parvenir Le gude pratque pour y parvenr 1 2 3 4 Il n est pas facle d arrêter de fumer. Il s agt de renoncer à une habtude quotdenne soldement nstallée, de changer de comportement Celaprenddu tempset sefat généralement

Plus en détail

TABLEAU DE BORD DE L ÉVOLUTION DES EFFECTIFS D ÉLÈVES DE L ENSEIGNEMENT PRIMAIRE PUBLIC À UN NIVEAU LOCAL. Choisir une commune

TABLEAU DE BORD DE L ÉVOLUTION DES EFFECTIFS D ÉLÈVES DE L ENSEIGNEMENT PRIMAIRE PUBLIC À UN NIVEAU LOCAL. Choisir une commune Servce de la recherche en éducaton / DIP, Genève - Prévsons localsées d effectfs de l ensegnement prmare TABLEAU DE BORD DE L ÉVOLUTION DES EFFECTIFS D ÉLÈVES DE L ENSEIGNEMENT PRIMAIRE PUBLIC À UN NIVEAU

Plus en détail

Thermodynamique statistique Master Chimie Université d Aix-Marseille. Bogdan Kuchta

Thermodynamique statistique Master Chimie Université d Aix-Marseille. Bogdan Kuchta hermodynamque statstque Master Chme Unversté d Ax-Marselle Bogdan Kuchta Plan: Rappel: thermodynamque phénoménologque (dscuter l entrope, l évoluton de gaz parfat,) Premer prncpe Deuxème prncpe (transformaton

Plus en détail

Be inspired. Numéro Vert. Via Caracciolo 20 20155 Milano tel. +39 02 365 22 990 fax +39 02 365 22 991

Be inspired. Numéro Vert. Via Caracciolo 20 20155 Milano tel. +39 02 365 22 990 fax +39 02 365 22 991 Ggaset SX353 / französsch / A31008-X353-P100-1-7719 / cover_0_hedelberg.fm / 03.12.2003 s Be nspred www.onedrect.fr www.onedrect.es www.onedrect.t www.onedrect.pt 0 800 72 4000 902 30 32 32 02 365 22 990

Plus en détail

hal-00409942, version 1-14 Aug 2009

hal-00409942, version 1-14 Aug 2009 Manuscrt auteur, publé dans "MOSIM' 008, Pars : France (008)" 7 e Conférence Francophone de MOdélsaton et SIMulaton - MOSIM 08 - du mars au avrl 008 - Pars - France «Modélsaton, Optmsaton et Smulaton des

Plus en détail

master Objectif Université d Auvergne - Université Blaise Pascal Rentrée 2014 AUVERGNE

master Objectif Université d Auvergne - Université Blaise Pascal Rentrée 2014 AUVERGNE entrée 2014 Objectf master Unversté d Auvergne - Unversté Blase ascal Certans masters sont cohabltés avec d autres établssements d ensegnement supéreur mnstère de l éducaton natonale, de l ensegnement

Plus en détail

En vue de l'obtention du. Présentée et soutenue par Elayeb Bilel Le 26 juin 2009

En vue de l'obtention du. Présentée et soutenue par Elayeb Bilel Le 26 juin 2009 THÈSE En vue de l'obtenton du DOCTORAT DE L UNIVERSITÉ DE TOULOUSE Délvré par Insttut Natonal Polytechnque de Toulouse (INPT) Dscplne ou spécalté : Informatque Présentée et soutenue par Elayeb Blel Le

Plus en détail

Q x2 = 1 2. est dans l ensemble plus grand des rationnels Q. Continuons ainsi, l équation x 2 = 1 2

Q x2 = 1 2. est dans l ensemble plus grand des rationnels Q. Continuons ainsi, l équation x 2 = 1 2 Exo7 Nombres complexes Vdéo parte. Les nombres complexes, défntons et opératons Vdéo parte. Racnes carrées, équaton du second degré Vdéo parte 3. Argument et trgonométre Vdéo parte 4. Nombres complexes

Plus en détail

Méthodologie version 1, juillet 2006

Méthodologie version 1, juillet 2006 Méthodologe verson, ullet 2006 Tendances Carbone résente chaque mos sx groues d ndcateurs :. Synthèse du mos 2. Clmat 3. Actvté économque. Energe 5. Envronnement nsttutonnel 6. Tableau de bord Ce document

Plus en détail

Économétrie. Annexes : exercices et corrigés. 5 e édition. William Greene New York University

Économétrie. Annexes : exercices et corrigés. 5 e édition. William Greene New York University Économétre 5 e édton Annexes : exercces et corrgés Wllam Greene New York Unversty Édton françase drgée par Dder Schlacther, IEP Pars, unversté Pars II Traducton : Stéphane Monjon, unversté Pars I Panthéon-Sorbonne

Plus en détail

Réseau RRFR pour la surveillance dynamique : application en e-maintenance.

Réseau RRFR pour la surveillance dynamique : application en e-maintenance. Réseau RRFR pour la survellance dynamue : applcaton en e-mantenance. RYAD ZEMOURI, DANIEL RACOCEANU, NOUREDDINE ZERHOUNI Laboratore Unverstare de Recherche en Producton Automatsée (LURPA) 6, avenue du

Plus en détail

STRATEGIE NATIONALE DES BANQUES CEREALIERES DU NIGER

STRATEGIE NATIONALE DES BANQUES CEREALIERES DU NIGER REPUBLIQUE DU NIGER MINISTERE DE L'AGRICULTURE ET DE L'ELEVAGE B-P, 12091 NIAMEY NIGER Té1 : 7320-58 Drecton de Promoton des Organsatons Rurales et de la Geston de l'espace Rural (DPOR/GER) NIAMEY Té1

Plus en détail

REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIRE MINISTERE DE L ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE. MEMOIRE Présentée à

REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIRE MINISTERE DE L ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE. MEMOIRE Présentée à REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIRE MINISTERE DE L ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE MEMOIRE Présentée à L Unversté de Batna Faculté des Scences Département de Physque

Plus en détail

Stéganographie Adaptative par Oracle (ASO)

Stéganographie Adaptative par Oracle (ASO) Stéganographe Adaptatve par Oracle ASO Sarra Kouder, Marc Chaumont, Wllam Puech To cte ths verson: Sarra Kouder, Marc Chaumont, Wllam Puech. Stéganographe Adaptatve par Oracle ASO. CORESA 12: COmpresson

Plus en détail