ATELIER DE CONCERTATION DES GROUPES DE TRAVAIL PORTANT SUR LA REDUCTION DES DECHETS, LA PRECOLLECTE-TRANSPORT ET LA METHANISATION :

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1 ATELIER DE CONCERTATION DES GROUPES DE TRAVAIL PORTANT SUR LA REDUCTION DES DECHETS, LA PRECOLLECTETRANSPORT ET LA METHANISATION : GESTION DURABLE ET VALORISATION DES DECHETS SOLIDES DES VILLES AFRICAINES : Approches de solutions COMITE D ORGANISATION Prof. Gado TCHANGBEDJI Prof. Koffi Ani KILI Dr. Moursalou KORIKO Dr. Magnoudéwa Bassaï BODJONA COMITE DE REDACTION Dr. Magnoudéwa B. BODJONA M. Bernard G. NONGUIERMA COORDONNATEUR DE L ATELIER Prof. Gado TCHANGBEDJI Directeur du Laboratoire GTVD Département de Chimie, Faculté Des sciences Université de Lomé Tél : (00228) ; tchangbedji@hotmail.com Septembre 2013

2 Table des matières Introduction... 4 I Cérémonie d ouverture... 5 II Déroulements des travaux... 7 II1. Activités de la première journée...7 Thème 1 : «Gestion des déchets solides urbains au Togo»...7 Thème 2 : «Etat de lieu de la gestion des déchets au Cameroun : cas de Yaoundé».7 Thème 3 : «Gestion des déchets en Haïti»...8 Thème 4: «Gestion des déchets solides à l Ile Maurice»...8 Thème 5 : «Cas de la mise en œuvre d un projet de gestion des déchets dans la commune de Gourcy dans la province du Zandoma au BurkinaFaso»...8 Thème 6 : «Systèmes de gestion des déchets solides dans les villes africaines : Quelles alternatives pour les municipalités?»...9 Thème 7 : «Gestion Décentralisée et intégrée des Déchets et de l Assainissement en zones urbaines et périurbaines Haïtiennes»...9 II2. Activités de la deuxième journée...10 Thème 1 : «Quel modèle de collaboration entre les différents partenaires pour un meilleur service de précollecte dans les villes africaines»?...11 Thème 2 : Modèles de précollecte en fonction des zones de la ville et des types d'habitats. Quelles organisations pour une meilleure capitalisation du service?...11 Thème 3 : «Approche de financement de la précollecte des déchets ménagers». 11 Restitution du groupe de travail sur sous thème : «La pré collecte»...12 Restitution du groupe de travail sur sousthème : «La Collecte et le transport»...13 Restitution du groupe de travail sur sous thème : «Gouvernance»...13 II3. Activités de la troisième journée...13 Restitution du sous thème «Stratégie de réduction des déchets au niveau des activités commerciales»...14 Restitution du sous thème «Stratégie de Réduction de déchets à la source chez les consommateurs»...16 II4. Activités de la quatrième journée...18 II5. Activités de la cinquième journée...19 Restitution du sousgroupe «aspects techniques»...20 Restitution du sousgroupe «Approche socioéconomique et politique de la méthanisation»...24 III Cérémonie de clôture Annexes

3 Introduction Dans le cadre d échanges, de partage et d expérimentation des connaissances et des expériences de ses membres, visant l amélioration de la gestion des déchets dans les villes en développement de la zone AfriqueCaraïbesPacifique (ACP), les membres du projet ReSources (Réseau pour une gestion durable des déchets), ont tenu un atelier dans la capitale togolaise à Lomé du 23 au 28 Septembre 2013 à l Hôtel Excellence. Le thème de cet atelier a porté sur la «Gestion durable et valorisation des déchets solides des villes africaines : approches de solutions». Il a regroupé les groupes de travail «Précollecte, collecte et transport», Réduction des déchets et Méthanisation. Cet atelier a connu la participation d experts venus du Benin, du Burkina Faso, du Cameroun, de la France, d Haïti, de l Île Maurice et du Togo. Le présent document est le rapport général d activités de cet atelier. 3

4 I Cérémonie d ouverture La cérémonie d ouverture de l atelier de la Plateforme ReSources s est déroulée le Lundi 23 septembre 2013 à l Hôtel Excellence sous la présidence effective du Secrétaire Général du Ministère de l Enseignement Supérieur et de la Recherche, Professeur Koffi Mawunyo AGBENOTO, Représentant son Ministre et son Collègue de l Environnement et des Ressources Forestières. Etaient présents à cette cérémonie d ouverture : Le Secrétaire Général du Ministère de l Environnement et des Ressources Forestières, Le 2ème VicePrésident de l Université de Lomé, Le Directeur National de la Recherche, Le Directeur de l Institut Français, Le Directeur de l Agence Nationale pour la Gestion de l Environnement, Le Représentant du Chef de la Délégation de l Union Européenne au Togo, La Directrice Générale de CITAFRIC, Le Directeur du Laboratoire GTVD, Les Enseignantchercheurs, Les participants, Les invités. Cette cérémonie d ouverture qui a commencé à 9h 30 minutes a été marquée par l intervention de quatre personnalités notamment le Directeur du Laboratoire GTVD, le Représentant du Coordonnateur Général du Projet, le Responsable du groupe de travail "réduction des déchets" et le Représentant du Ministre de l Enseignement Supérieur et de la Recherche. Après le mot de bienvenu du Directeur du Laboratoire GTVD, le Représentant du Coordonnateur Général du Projet M. Bernard NONGUIERMA a procédé à la présentation du projet ReSources. Ce projet vise l amélioration de la gestion des déchets dans les villes d Afrique, des Caraïbes et du Pacifique. Pour M. NONGUIERMA, la gestion des déchets, est un défi majeur pour les villes des pays en développement. On note une augmentation de la production des déchets dans les villes, due à plusieurs facteurs, notamment la hausse de la natalité, l exode rural déséquilibré. Selon lui, l Afrique collecte seulement 40% des ordures brutes et 4

5 5% seulement sont mises en décharge contrôlée. Dans le souci de contribuer à une gestion efficiente des déchets en Afrique, la plateforme ReSources a mis en place un réseau d échange, de partage et d expérimentation des connaissances, visant l amélioration de la gestion des déchets dans les villes en développement de la zone AfriqueCaraïbesPacifique (ACP). Les membres fondateurs sont constitués des acteurs suivants : En Afrique de l Ouest Trois (3) ONGs (LVIA du BurkinaFaso, Planète contact du Benin et ENPRO du Togo) Deux (2) institutions d enseignement et de recherche : Laboratoire GTVD de l Université de Lomé (Togo), 2IE (Burkina Faso) En Afrique Centrale et Australe Une ONG de recherche action : ERA Cameroun Une institution d enseignement et de recherche : Université de Maurice Caraïbes Une institution d enseignement et de recherche : Université Quisqueya de Port au Prince en Haïti Europe Quatre (4) ONGs : Gevalor, CEFREPADE, ETC TERRA de la France et LVIA (Italie) Après avoir donné les objectifs, missions et stratégies de la plateforme, M. NONGUIERMA a terminé en présentant l avancement des activités avec la mise en place du Centre ReSources à Ouagadougou. Pour l'animation du réseau, une équipe de 3 Coordonnateurs a été mise en place en fin Mars 2013, un démarrage effectif des travaux de groupes thématiques a intervenu en Juin 2013, un atelier de travail a déjà eu lieu à Haïti autour des thématiques (Tri et caractérisation des déchets, Production de combustibles à base de déchets et Production de matériaux recyclés), un site web a été créé et mis en ligne ce mois de septembre 2013, et enfin l atelier de Lomé qui se déroule en ce moment. Le responsable du groupe de travail réduction des déchets Dr. Moursalou KORIKO, après avoir rappelé les objectifs de la Plateforme ReSource, a donné les objectifs ultimes de l atelier à savoir faire le point d avancement des groupes de travail thématique (GTT), échanger sur l avancement des activités du Centre ReSources basé à Ouaga... Pour terminer, Dr. KORIKO a rappelé que cet atelier permettra de partager des expériences et des informations sur les trois thématiques, d échanger et de finaliser les différents sous thèmes, de statuer sur 5

6 les actions pilotes possibles, de Mener des réflexion au sein du Comité de Pilotage dans le but de faciliter la circulation de l'information et optimiser ainsi la réalisation des actions du projets. Le Secrétaire Général du Ministère de l Enseignement Supérieur et de la Recherche, Professeur AGBENOTO représentant le Ministre de l Enseignement Supérieur et de la Recherche, dans son intervention s est réjoui de présider la cérémonie d ouverture de cet atelier et a remercié tous les acteurs présents. Pour Professeur AGBENOTO, cet atelier intervient au moment où la gestion des déchets dans les villes africaines tend à devenir un défi majeur et quasi permanent, en raison des quantités toujours croissantes des déchets auxquelles les municipalités doivent faire face, avec des moyens financiers de plus en plus limités. Les défis d une gestion durable des déchets étant énormes, Professeur AGBENOTO affirme que cet atelier vient à point nommé et permettra de répondre à un besoin pressent d échange et de capitalisation des expériences au profit des collectivités et des services des Etats pour leurs choix stratégiques dans la mise œuvre de politiques environnementales et la formation des acteurs de terrain. Il a terminé son intervention en souhaitant un bon succès aux différents travaux et en déclarant ouvert ledit atelier. II Déroulements des travaux II1. Activités de la première journée Les travaux de la première journée de cet atelier ont commencé à 11h sous la présidence du Professeur Gado TCHANGBEDJI. Les travaux du matin ont été sanctionnés par quatre (4) communications après la présentation des participants. Thème 1 : «Gestion des déchets solides urbains au Togo» Après un bref aperçu sur les modes de gestion des déchets solides urbains dans les villes du Togo, Professeur Gnon BABA a répertorié les points de disfonctionnement dans le domaine de la gestion des déchets solides urbains. Il en ressort que la mauvaise gestion des déchets solides urbains est due au manque de schéma directeur. Notons aussi qu il existe les textes la régissant mais qui ne sont pas appliqués. Ces pratiques sont dangereuses pour l environnement et à la santé publique, d où le renforcement des partenariats avec des municipalités et l implication de tous les acteurs et de tous les secteurs s avère indispensable. Thème 2 : «Etat de lieu de la gestion des déchets au Cameroun : cas de Yaoundé» Professeur Emmanuel NGNIKAM, après un bref passage sur le cadre législatif et réglementaire, a présenté l Etat des lieux de la collecte (marché et moyens HYSACAM, circuits de collecte et balayage, implantation des bennes, activités de précollecte OM) et l Etat des lieux du traitement des déchets. Il a présenté le dernier contrat de HYSACAM, de la capacité financière et les recettes générées par 6

7 la Communauté Urbaine de Yaoundé (CUY). A la fin de sa communication, il a fait des propositions d amélioration à savoir : développer le recyclage et la valorisation, augmenter les taux de collecte, rechercher des zones favorables à l implantation de nouveaux sites de décharges, améliorer la gestion des déchets hospitaliers et rechercher de nouveaux mécanismes de financement. Thème 3 : «Gestion des déchets en Haïti» Dr Joaneson LACOUR a assuré la communication pour Haïti. Il a fait une historique de la gestion des déchets depuis l indépendance jusqu à nos jour. Ensuite il a exposé le système de gestion des déchets par une analyse générale, une synthèse des insuffisances dans la gestion des déchets, les cadres réglementaire et institutionnel, l inadéquation entre besoins et moyens et les modes de traitement inadaptés. Il a aussi présenté les initiatives et les acteurs étatiques que sont le Ministère de l Environnement (MDE), le Service Métropolitain de Collecte de Résidus Solides (SMCRS) et la Mairie de PortauPrince d une part et non étatiques que sont les entreprises privées et les partenaires mixtes d autre part. Il a terminé en montrant la nécessité d une régulation de ce secteur. Thème 4: «Gestion des déchets solides à l Ile Maurice» Dans son exposé, Dr Geeta Somaroo a d abord présenté le contexte général de l île Maurice, ensuite les caractéristiques démographiques et l évolution de la production des déchets dans le temps par rapport à celle de la population. Il ressort que l augmentation de la population est l un des facteurs clés de la génération des déchets solides urbains. Au niveau du système mis en place dans la gestion des déchets solides urbains, notons que le tri des déchets est l une des phases pour faciliter la bonne gestion de nos déchets. A l île Maurice, la compaction moderne, le compostage de la fraction fermentescible et le recyclage des plastiques sont les modes de gestion mis en place. Suite aux différentes communications, les suggestions et contributions ont été faites, notamment l application des réglementations sur la gestion efficiente des déchets, une réelle implication des gouvernants dans la prise de décision sur la gestion durable des déchets. Après un repos bien mérités, les travaux ont repris l aprèsmidi à 15h sous la présidence du Professeur Gnon BABA. Trois communications ont sanctionné la séance. Thème 5 : «Cas de la mise en œuvre d un projet de gestion des déchets dans la commune de Gourcy dans la province du Zandoma au BurkinaFaso» Parlant de l expérience du BurkinaFaso, Monsieur NONGUIERMA G. Bernard a présenté le contexte général de la gestion des déchets au Burkina et quelques données de la ville de Ouagadougou, notamment la population qui ne cesse d augmenter de façon «exponentielle» grâce à un taux de croissance qui avoisine 7

8 les 4,2%, de la quantité et de la nature des déchets produits qui évoluent chaque jour. Actuellement la ville de Ouagadougou produit plus de tonnes et collecte seulement tonnes. Une typologie des déchets solides de la commune de Ouagadougou montre une part importante du sable dans les déchets collectés environ 51%. Les données de la commune de Gourcy portant sur la population, le taux de croissance, la quantité des déchets produits et collectés, la caractérisation des déchets ont été exposées. Monsieur Bernard a présenté le déroulement d un projet de ladite ville entre 2008 et 2013 portant sur l appui à la maîtrise d ouvrage communale dans le domaine de la gestion des déchets solides. Après avoir exposé sur le processus de mise en place du projet, notamment l appui technique et organisationnel apporté à la commune, Monsieur Nonguierma a cité les différentes réalisations qui ont été rendues possibles par le projet à savoir l élaboration d un plan stratégique pour la gestion des déchets, la mise en place d un fonds communal pour le financement des actions, l introduction du tri avant la décharge Pour conclure, il a tenu à résumer les problèmes majeurs qui minent la gestion des déchets chez lui au Burkina, notamment la méconnaissance des gisements, l insuffisance de sensibilisation, le taux élevé de sable dans les poubelles, la mauvaise gestion des structures de collecte, les coûts lié à la valorisation, l'absence de marché pour les produits valorisés et le manque de capitalisation et de partage de bonnes pratiques. Thème 6 : «Systèmes de gestion des déchets solides dans les villes africaines : Quelles alternatives pour les municipalités?» Mme Irène AYITE a introduit sa communication avec une présentation de la ville de Parakou (Benin). Elle a exposé la problématique de la gestion des déchets dans cette ville à savoir l explosion démographique, l accroissement de la consommation, l intervention des prestataires privés dans les opérations de précollecte et de collecte, la contribution des usagers en s abonnant aux services de précollecte. Elle s est appesantie sur l organisation de la Mairie de Parakou par rapport à la gestion des déchets avec la réalisation d une étude sur la gestion des déchets aboutissant à l établissement d un plan de zonage, à la responsabilisation des ONGs de la place et à la création de dépotoirs. Elle a présenté les difficultés rencontrées, notamment la non application des textes, le retard d enlèvement au niveau des dépotoirs transitoires et le déversement anarchique des ordures par la population dans les espaces non bâtis. En fin de communication, Madame Irène a suggéré que les ménages et les marchés participent efficacement à la bonne gestion des déchets. Thème 7 : «Gestion Décentralisée et intégrée des Déchets et de l Assainissement en zones urbaines et périurbaines Haïtiennes» Un film a été projeté par Pascale NAQUIN sur «Les Fatras de l Espoir» décrivant un centre de valorisation des déchets à Cité Soleil, une commune à Haïti. La problématique de gestion des déchets dans les PED est une production croissante et incontrôlée, avec de nombreuses nuisances dans les villes. Les collectivités sont confrontées à de nombreux problèmes notamment la position instable des «élus» et l absence de budget alloués pour la collecte des déchets. 8

9 Ensuite, elle a présenté le projet GEDEH (Gestion décentralisée et intégrée des déchets et l Assainissement en zones urbaines et périurbaines Haïtiennes) dont l objectif principal est de définir un modèle de gestion durable et participative des déchets solides (et excrétas) urbains et périurbains haïtiens. Pour y arriver, quatre (4) objectifs spécifiques ont pu être identifiés : coordination du programme, développement d un modèle de gestion décentralisée, application sur les sites expérimentaux, définition des modalités de réplication du modèle. Pour finir, certaines approches de solutions ont été proposées entre autres, l installation de poubelles comme priorité n 1, le changement de comportement de la population pour «ne plus jeter dans la rue», la contribution de la population, le choix majoritaire de l option de précollecte et l assainissement. Le bilan de la première journée a été fait après la pausecafé. Dans ce bilan, il a été question d évaluer les activités de la journée et faire des suggestions. Plusieurs suggestions ont décoré cette évaluation portant sur la gestion des déchets telles que : La mise en place des actions de sensibilisation en direction des populations en matière de gestion des déchets, Faire un lobbying auprès des bailleurs pour des financements dans la gestion des déchets, Mettre en place des schémas directeurs de la gestion des déchets, Mettre en place plus de réseaux sur les différentes thématiques de la gestion des déchets. Les travaux de la première journée ont pris fin à 17h 20. II2. Activités de la deuxième journée Les travaux de cette deuxième journée ont débuté vers 8 h 20 minutes sous la présidence du Professeur Gado TCHANGBEDJI. Cette journée a été consacrée essentiellement aux travaux du GTT «Précollecte, Collecte et Transport». La présentation des TDR de ce GTT a été faite par Dr Patrick Kwamivi SEGBAYA en sa qualité de responsable de groupe. Une séries de 3 communications a permis de découvrir les trois sous thèmes préalablement définis dans les TDR. 9

10 Thème 1 : «Quel modèle de collaboration entre les différents partenaires pour un meilleur service de précollecte dans les villes africaines»? Dans son exposé, M. Abdoulaye ADAM a dans un premier temps présenté les acteurs intervenant dans la gestion des déchets solides urbains à savoir les collectivités locales, les ménages, les ONGs, les associations de précollecte et les entreprises. Ces acteurs, pour une gestion durable, doivent travailler soit en collaboration ou sous la supervision de l acteur principal qu est la Mairie. Le matériel utilisé doit être résistant et les différentes parties impliquées doivent respecter le cahier de charge. Pour finir, il ressort que les différents acteurs de pécollecte des déchets doivent mettre en synergie leurs idées pour un accès facile aux financements afin d assurer une meilleure gestion des déchets. Thème 2 : Modèles de précollecte en fonction des zones de la ville et des types d'habitats. Quelles organisations pour une meilleure capitalisation du service? Dans son exposé Dr SEGBEAYA a présenté le circuit de la précollecte et de la collecte. Il a ensuite montré les leviers à maîtriser pour optimiser la collecte à savoir la maîtrise de la gestion des déchets à la source, la maîtrise du transport des déchets et la maîtrise du fonctionnement technique des centres de transfert et des décharges finales. Il a aussi proposé des modèles de gestion suivant les différentes zones qu on peut avoir dans une ville (centreville, quartier résidentiel, banlieue, périphérie ). En fin, comme suggestion, M. SEGBEAYA a proposé de faire des sensibilisations en direction des ménages et des décideurs politiques. Il faut également la formation du personnel administratif et technique des structures qui interviennent dans la gestion des déchets, dans le but de multiplier des stratégies de gestion des déchets et de développer la recherche des actions en accord avec les contextes techniques, financiers, géographiques et sociaux de chaque milieu. Thème 3 : «Approche de financement de la précollecte des déchets ménagers» Après l état des lieux des systèmes de financement à travers la taxation et le paiement direct des usagers ; Professeur Emmanuel NGNIKAM a présenté le financement différencié par maillon et les mécanismes de financement par l amélioration de la taxation, la contribution directe des usagers et le prélèvement de redevance de mise en décharge des déchets industriels banals. Il a évoqué dans son exposé le cas de Yaoundé. Il a terminé en préconisant une révision de la taxe de développement local et la réalisation d un adressage complet de la ville. Suite à la présentation des trois communications, les échanges ont permis de mettre en place trois sousgroupes pour débattre sur les trois sous thèmes notamment, Précollecte, Collecte et Transport, Gouvernance. Après la pause déjeuner à 13h, les travaux des différents groupes se sont poursuivis dans l aprèsmidi à 15h sous la présidence de Mme Pascale NAQUIN. 10

11 Chaque groupe a fait la restitution des travaux des sous thèmes précités. Restitution du groupe de travail sur sous thème : «La pré collecte». Objectifs Des objectifs spécifiques visés par la précollecte ont été soulignés à savoir : Créer une typologie de la gestion des déchets Identifier les matériels roulants les mieux adaptés à chaque contexte géographique Rédiger des manuels pratiques et des guides d évaluation sur la typologie, l organisation matérielle et financière de la précollecte Evaluer les coûts de la précollecte Les outils de travail le questionnaire d enquête : permettra de collecter les données sur le fonctionnement de diverses structures de pré collecte afin d en tirer des idées intéressante pour l élaboration de la fiche d évaluation (échéance le 15 Octobre 2013) Les livrables Elaborer un guide d évaluation des structures de la précollecte (au plus tard février 2014) ; Faire une fiche d inventaire de matériels de précollecte dans les pays en voie de développement (Mai 2014) ; Fournir des documents sur la typologie de la précollecte dans les villes d Afrique (Décembre 2014) ; Mettre en place un manuel pratique sur le modèle de précollecte (Juin 2015) ; Proposer une organisation pouvant s appliquée dans tous les PED ; Proposer des techniques les mieux adaptées ; Mettre en place un volet économique fiable. 11

12 Action pilote Le groupe a proposé comme action pilote de tester l utilisation et la rentabilité économique des tricycles dans la précollecte. L ONG ENPRO se charge de cette expérimentation. Restitution du groupe de travail sur sousthème : «La Collecte et le transport» S agissant du thème de la Collecte et transport, deux actions à réaliser sont retenues: 1. l élaboration d une enquête sur la collecte des déchets. Elle prendra en compte l organisation de la collecte, son coût, les circuits intégrés, les emplois organisés au tour de la collecte, la quantité collectée, etc. 2. l élaboration d un manuel pratique sur la collecte qui contiendra toute la structuration de la collecte. Ce sousgroupe avait aussi à faire le point sur les différentes techniques et technologies utilisées dans le cadre de la précollecte. S agissant des déchets dangereux, il a été question d organiser la collecte au niveau des petites unités industrielles pour éviter le mélange des déchets dangereux aux déchets ménagers. Restitution du groupe de travail sur sous thème : «Gouvernance» Le sousgroupe ayant travaillé sur le thème de la gouvernance envisage également deux actions : 1. la réalisation d une enquête pour identifier les bonnes manières de gestion de la précollecte, de la collecte et du transport. 2. l élaboration d un manuel pratique sur l état des lieux des bonnes pratiques de gouvernance. Après la restitution des travaux des différents groupes, il a été question pour terminer, de rappeler aux responsables des GTT de faire une synthèse des travaux dans les sous commissions et de voir tous ceux qui travaillent sur les différents sous thèmes afin de mettre en place des données au niveau de chaque pays. Les travaux de la deuxième journée ont pris fin à 17h 45. II3. Activités de la troisième journée Les travaux de la troisième journée, ont débuté vers 8h 15 sous la présidence du Professeur Emmanuel N GNIKAM. Trois présentations ont été faites dans ce GTT. 12

13 Dr. KORIKO a, dans un premier temps, présenté les TDR du GTT «Réduction des déchets» et dans un second temps, une communication sur la réduction des déchets plastiques. M. KORIKO a dans sa deuxième communication présenté les acteurs impliqués dans la recherche des solutions pour assurer la propreté des villes et la préservation de l environnement comme les Services Techniques, les Elus Locaux, les Universitaires et les Techniciens ainsi que les Etats. Il ressort que les plastiques ont des impacts négatifs sur l environnement notamment les risques sanitaires pour les hommes et les petits ruminants, la diminution des rendements agricoles dans les campagnes. Plusieurs réglementations ont été mis sur pied au Togo sur les sachets plastiques, mais fort est de constater la non application de ces dernières. Par contre d autres pays africains arrivent à mettre en œuvre ces réglementations, notamment le Ghana, l Afrique du Sud, etc. Le recyclage des sachets plastiques peut générer plusieurs avantages tels que la création d emplois, la réduction des impacts négatifs sur l environnement, etc. Des séquences de spots ont été proposées dont le principal message est «Les sachets sont utiles un seul jour et nuisibles 400 ans. Pensons à la génération future.» La troisième communication a été donnée par Mme SOMAROO Geeta. Cette communication a porté essentiellement sur la présentation des clichés sur les techniques du compostage familial en île Maurice. Deux groupes de travail ont été mis en place après un débat riche en questions et réponses suivi des contributions. Le premier groupe a travaillé sur le sous thème «Les stratégies de réduction des déchets au niveau des producteurs» et le second groupe a abordé le sous thème portant sur «Les stratégies de réduction des déchets au niveau des consommateurs» Après plus d une heure de travail en groupe, les rapporteurs des groupes ont restitué le travail effectué sur les sous thèmes. Restitution du sous thème «Stratégie de réduction des déchets au niveau des activités commerciales» Les discussions ont été faites sur les acteurs suivants : Les commerçants au niveau des boutiques, des marchés et les restaurations à emporter, Les industries productrices d emballages non biodégradables, Les importateurs. Les différentes rubriques ont été abordées et mises en forme notamment l objectif général, les objectifs spécifiques, les questions spécifiques, les livrables et le calendrier et enfin les actions pilotes. 13

14 Objectif général Proposer des moyens d action permettant la réduction des déchets au niveau des activités commerciales. Objectifs spécifiques Proposer des solutions réglementaires, Proposer des solutions techniques, Proposer des solutions économiques, Sensibiliser ou informer. Questions spécifiques Plusieurs questions spécifiques ont été identifiées telles que : Comment agir pour réduire durablement la production des sachets plastiques? Fautil inciter à l utilisation des emballages plastiques biodégradables? Si oui comment? Quelle économie possible au niveau des industries et des commerces? A quel niveau et comment agir sur la réglementation? N estil pas nécessaire d aller vers les institutions sous régionales? Comment contrôler les importations des produits électroniques de seconde vie? Sur quoi fautil agir en priorité dans la réduction des déchets? Comment inciter l utilisation des couches lavables? Livrables et calendrier Etat des lieux (Bibliographie) : sur ce plan de réduction des déchets, il n y a pratiquement pas d études qui ont été menées en Afrique. Il a été décidé qu on va se baser sur les expériences faites dans les pays européens (documents que va nous fournir Madame Pascale) pour produire une bibliographie adaptée à nos pays africains (avant 30 novembre), 14

15 Etablir des fiches pratiques suivant la nature des déchets. La trame doit être prête avant janvier 2014 et la fiche définitive d ici Juin 2014, Note de plaidoyer (fin 2014), Action Pilote : à ce stade aucune action pilote n a été prévue. Un exemplaire de trame de fiches a été proposé pour les couches de bébé : Problématique Origine des produits, La consommation moyenne par bébé, Nombre de couches par quantité de déchets générés, Le coût pour les ménages, Le coût pour les collectivités Problèmes posés par ces déchets. Solution à envisager Réglementaire, Economique, Technique, Sensibilisation, Impacts environnementaux. Restitution du sous thème «Stratégie de Réduction de déchets à la source chez les consommateurs» Problématique du sous thème L augmentation des volumes de déchets et l évolution de la qualité des déchets (en particulier les non biodégradables) induit des nuisances accrues. La réduction des déchets à la base au niveau des consommateurs (ménages/entreprises) est une 15

16 piste de solution pour limiter en amont la quantité de déchets à traiter. Il s agit parlà de réduire la quantité de déchets présentés à la précollecte. Objectif général Réduire la quantité de déchets émis par les ménages. Objectifs spécifiques Déterminer les stratégies opérationnelles pour sensibiliser et accompagner les consommateurs sur les modes de consommation, les emballages, à mêmes de réduire les quantités de déchets produites, Déterminer les méthodes appropriées pour réduire les quantités de matière organique et de sable dans les déchets présentés à la précollecte, Internaliser les coûts évités grâce aux méthodes de réduction proposées par le GTT. Méthodologie et calendrier pour le traitement du thème Production de l état de l art sur les méthodes, expériences et outils en lien avec la réduction à la source (sensibilisation, compostage familial, sable, coûts évités), Production de notes de synthèse sur les conditions d application du compostage familial : étude croisée des différentes technologies disponibles, des différentes tailles de villes et des différents types de quartier, sur les techniques existantes et à envisager pour réduire les quantités de sables dans les ordures, Sur les conditions de mise en œuvre de la sensibilisation des ménages dans un cadre concerté (échelle audelà des ménages en lien avec les différentes parties prenantes : collectivités, CDQ, autorités traditionnelles, Sur les couts évités grâce à la réduction et leur possible internalisation, Production des outils adaptés (fiches techniques, outils de sensibilisation, modules de formation, films, ) pour : mettre en œuvre le compostage familial, diminuer les quantités de sable dans les ordures, 16

17 sensibiliser les acteurs en vue de la réduction en amont, sensibiliser / interpeller les acteurs bénéficiant des couts évités. Bibliographie succincte A produire par chaque responsable de sousthème (sensibilisation, compostage familial, sable, internalisation) Action pilote Un film à produire Titre de l action pilote Film de sensibilisation Budget (général) Mettre en place un film novateur en matière de sensibilisation en matière de réduction Calendrier Synopsis pour le 1er décembre 2013 (Baptiste FLIPO) Personne(s) responsable(s) pour le thème 1 Pour chacun de ces sousthèmes et sur l ensemble de la durée du projet les responsables sont les suivants : Sensibilisation : Marco ALBAN et Baptiste FLIPO Compostage Familial : Prof. Emmanuel NGNIKAM Sable : Dr Patrick SEGBEAYA Internalisation : Pierric RAULIN/Jocelyne DELARUE Les travaux ont pris fin à 17h45. II4. Activités de la quatrième journée La quatrième journée a été consacrée à la visite de terrain. Trois sites ont été visités notamment la plateforme de compostage de l ONG ENPRO, le centre de transit exploité par ladite ONG et la décharge finale de la ville de Lomé. Après une visite de courtoisie au Président de l'université de Lomé, la délégation constituée d Experts du Réseau ReSources et de certains acteurs de la société civile, a visité en premier lieu la plateforme de compostage de l ONG Ecosystème Nature PROpre «ENPRO». Cette plateforme située à Adidogomes est spécialisée dans la valorisation des déchets solides biodégradables en compost. Installée sur une surface de 70 x 15 m, elle tri 20 tonnes de déchets par jour. La visite guidée a été assurée par M. Dominique, employé de l ONG ENPRO. Les explications ont été données notamment sur les processus de compostage et de 17

18 valorisation des bouteilles en verre. Les refus non valorisables sont stockés au centre de transit d'enpro qui a d ailleurs été visité. Pour ce qui est de la valorisation du verre, une machine a été acquise pour écraser les bouteilles et la seule utilisation actuelle est l incorporation des granula dans des mortiers de ciment pour l enduit des maisons. D autres expériences sont en train d être testées. La deuxième visite de terrain a porté sur la décharge finale d Agoè, un quartier périphérique de la ville de Lomé situé à 10 km du centreville. M Gnitou MADOU, de la Direction du Service Technique de la ville de Lomé a servi de guide. Il ressort que la première partie de la décharge finale déjà exploitée était une ancienne carrière de sable et de gravier d une profondeur moyenne de 7 m. La deuxième partie en cours d exploitation par l entreprise ICONSARL a été réalisée par excavation grâce au projet PEUL. La superficie de la décharge est de 40 ha environ. Ce site est en cours d exploitation depuis 20 ans Elle reçoit environ 600 à 850 tonnes de déchets par jour. Une nouvelle décharge qui va accueillir les déchets de la ville de Lomé et de ses environs est en préparation et est située à 30 km de la ville. La délégation a ensuite visité l Université de Lomé avant de revenir au lieu de l Atelier vers 11h 45 minutes où le partenaire GTVD a offert un déjeuner aux visiteurs. L aprèsmidi a été marquée par une audience accordée aux Experts des différents pays par le Ministre de l Enseignement Supérieur et de la Recherche. C était l occasion offerte aux acteurs du projet ReSources de mieux présenter le projet au Ministre de tutelle mais aussi de pouvoir évoquer certains sujets importants dans le cadre globale de la gestion des déchets en Afrique. II5. Activités de la cinquième journée Les activités du vendredi ont débuté à 8H 11 minutes sous la présidence de Mme Gaïa LUDINGTON. Cette journée a été consacrée au GTT «Méthanisation». Après la présentation des TDR par le responsable de GTT, Dr Joaneson LACOUR, cinq communications dont trois cas pratiques ont permis de décorer la séance. Dans son exposé M. Joaneson LACOUR, après avoir énuméré les divers traitements des déchets solides et les voies de réduction, il a défini le traitement biologique des déchets comme étant le processus de digestion anaérobie permettant d atteindre généralement un double objectif de valorisation énergétique par récupération de méthane et stabilisation des déchets organiques en vue d une valorisation matière par sa restitution partielle au sol. Il ressort que par ce procédé, on récupère environ 50 à 70% de méthane. Notons qu au cours du processus, plusieurs paramètres interviennent tels que la température, le ph et des prétraitements doivent être effectués. Pour pallier à ces paramètres il illustre le matériel utilisé tel que le digesteur en indiquant le mieux adapté par rapport à nos contextes locaux. Pour finir, il conclut en mettant en exergue le disfonctionnement du mode de traitement, c estàdire la méthanisation, et les problèmes courants dont il faut tenir compte. 18

19 Le thème «Modélisation des paramètres d installation et de fonctionnement d un digesteur» a été présenté par Dr Geeta Somaroo. L objectif général est de contribuer à l optimisation de digesteurs adaptés aux pays en développement par la modélisation mathématique des paramètres d installation et de fonctionnement. Les objectifs spécifiques sont : Choisir les principaux facteurs discriminants pour la modélisation, Modéliser les paramètres d installation et de fonctionnement, Optimiser les performances des installations pilotes sut la base des résultats de la modélisation. Pour les performances de la digestion anaérobique, il faut tenir compte des performances des réacteurs de méthanisation et des paramètres de fonctionnement et d installation permettant de comparer les performances des digesteurs notamment le temps de rétention hydraulique (HRT), les matières volatiles (VS) et matière sèche (TS), la température, la lignine, les acides gras volatils (VFA), la production de méthane (biogaz). Dans le cadre des paramètres de modélisation, les calculs de réduction des matières volatils sont importants pour l évaluation de la performance. Les types de digesteurs tels que Bach, Semi continu ou en continu ont été cités en exemple avec leurs performances. Pour terminer, Mme SOMAROO a présenté la modélisation qui a été faite sur les différents types de digesteurs précités. Cette présentation terminée, Mme Pascale NAQUIN a fait l observation qu on avait été plus théorique et technique et qu il fallait vite aller à des propositions concrètes après les problématiques de recherches. Les cas pratiques ont été successivement présentés par Mme Pascale NAQUIN «SEED : Sustainable Energy for Economic Development», M. Baptiste FLIPO «Projet biogaz familial Mali» et Koffigan AGBATI (Directeur de TMSU (Traitement des Matières Solides urbains) international) sur le cas de Lomé inspiré par l expérience de BIOECO à l abattoir de Saint Louis au Sénégal. Suite aux différentes présentations, les discussions ont abouti à la reformulation et à la disposition des soustermes en deux groupes à savoir: «aspects techniques» et «aspects socioéconomiques». Les travaux de groupe se sont poursuivi jusqu à l aprèsmidi où les rapporteurs de chaque groupe ont restitué le travail effectué. Restitution du sousgroupe «aspects techniques» Objectif : Déterminer le choix du procédé, 19

20 Déterminer les conditions de mise en œuvre, Déterminer les paramètres d optimisation. Conception Dans ce paragraphe, il sera nécessaire de faire une analyse croisée des différents types de digesteur et le type de contexte. Au premier abord, une analyse se fera sur des digesteurs, des projets, expériences et matériaux existants. Ainsi les paramètres cidessous ont fait l objet de notre discussion : Analyse des matériaux Analyse des coûts de production et de taux de retour en investissement La performance La productivité La durée de vie Le niveau de dégradation des déchets. Quant au type de contexte, ces points suivants ont retenu l attention de notre souscommission : La nature du déchet, Le pouvoir d achat, L échelle ou taille, Le quartier, la ville, Les ménages, les consommateurs, Les différents modèles : Modèle Chinois, Modèle fixe brique, Modèle plastique ARTY, Modèle Plug flou, Modèle transpaille, 20

21 Modèle plastique tubulaire NB : le produit est prévu pour fin octobre 2013 La mise en œuvre Cette mise en œuvre se fera sur une analyse des projets et expériences dans différents pays avec des responsables désignés : RONGEAD Responsable Pascale NANQUIN Centre Songhaï Responsable Mathieu BRUNEAU Mali Responsable Baptiste FLIPO GTVD Responsable Benoît BODJONA Lomé Responsable Koffigan AGBATI UNIQ Responsable Joaneson LACOUR UNIM Responsable Geeta SOMAROO Une étude bibliographique prenant en compte les points suivants : Paramètre Échelle Accessibilité sociale (type alimentation) Temps journaliers d entretien, suivi et alimentation Durée de vie Type de déchets Stabilité du système Lourdeur de la maintenance (pauvres investissements) Dispositif d agitation Dispositif de gestion de température La gestion des flux Alimentation (solide et liquide) 21

22 Types de produits et qualité : Biogaz (CH4) Dépollution (eau, H2S) Odeur Qualité agronomique : ratio C/N, taux d humidité, toxicité, métaux lourds et qualité microbiologique Produits Synthèse retenue des pays Identification de bonne pratique Sélection des prototypes adaptés Sélection des paramètres de mise en œuvre Optimisation Optimisation de la matière biométhanisable (taille de particules, tri des déchets), qualité des matériaux (lignines, adjuvants, composition chimique, codigestion) Le temps de séjour (température, traitement, type de déchets) Dispositif d agitation. A cet effet, une fiche de synthèse sera préparée et prendra en compte les préoccupations suivantes : Préconisation des méthodes adaptées Recommandation Procédure d optimisation Action pilote Un digesteur adapté au contexte prioritaire socioéconomique Les analyses de mise en œuvre d optimisation prévues pour fin d année

23 Restitution du sousgroupe «Approche socioéconomique et politique de la méthanisation» Les travaux d échanges ce sont poursuivi jusqu à l aprèsmidi où la cérémonie de clôture a été présidé par le Professeur Gado TCHANGBEDJI Gado. Expériences intéressantes à analyser dans l état de l art : Retour d expérience au Ghana pour la mise en bouteille du gaz. Expérience très complète sur mise en bouteille/commercialisation/vente de foyers de cuisson adaptés Au Togo, étude PNUD sur le biogaz Au Cameroun, plan de développement du biogaz Livrables Etat des lieux Guide pratique pour la réalisation d une étude de faisabilité (y compris étude de marché) Problématique La méthanisation est une technologie assez peu employée à grande échelle en ACP. Audelà des problématiques techniques, il est essentiel de bien cerner dès le départ les éventuelles barrières sociales, économiques, culturelles, environnementales ou politiques. En se basant sur les déchets suivants : Gisement de déchets organiques : Déchets domestiques, Déchets agroalimentaires, Déchets d assainissement, Déchets de marché, Déchets de la restauration. Cibles : 23

24 Ménages, Industries agroalimentaires, Eleveurs (?), Marché, Restaurants, Collectivités. Questions spécifiques à traiter Comment susciter l intérêt des acteurs à la mise en place et l utilisation d installations de méthanisation? Quelles sont les barrières à la diffusion du biogaz en milieu urbain? Quelle filière développer? Par exemple, estce envisageable/pertinent de développer une filière de commercialisation du biogaz en bouteille? Ou vautil mieux viser une utilisation locale du biogaz? Quelles sources de financement peuvent permettre de développer la technologie? Objectif général Evaluer l intérêt socioéconomique et environnemental du développement de la méthanisation en milieu urbain. Objectifs spécifiques Identifier les producteurs et les gisements de déchets concernés, tels que les entreprises agroalimentaires et les ménages, Identifier les barrières à la diffusion de la technologie biogaz, Faire ressortir les arguments en faveur du développement de cette technologie, Améliorer l IECCC (Information, Education et Communication pour le Changement des Comportements), Promouvoir la technologie auprès des acteurs concernés, 24

25 Identifier les modes de financement. Méthodologie et calendrier pour le traitement du thème Réception des différentes expériences : 15 octobre 2013 Etat des lieux final : 15 décembre 2013 Guide pratique 1er jet : Fin décembre 2013 Descriptif final de l action pilote : Fin janvier 2014 Guide pratique version finale : Fin novembre 2014 Action pilote Titre de l action pilote Action pilote 1 : Réaliser étude de faisabilité sur X industriels et X groupements de ménages => pour valider le guide pratique et mettre en place des outils de plaidoyer Partenaire GTVD Budget (général) A déterminer Calendrier A déterminer Personnes responsables pour ce sous thème GTVD pour la mise en œuvre de l actionpilote M. Tétérého Ali Tagba pour le retour d expérience sur le Togo (et la mise en application de l étude de faisabilité sur l abattoir de Lomé). Les travaux d échanges ce sont poursuivi jusqu à l aprèsmidi où la cérémonie de clôture a été présidée par le Professeur Gado TCHANGBEDJI. III Cérémonie de clôture Présidée par le Professeur TCHANGBEDJI, cette cérémonie de clôture a été marquée par la lecture du rapport général provisoire et l appréciation des Experts sur le déroulement des travaux de l atelier. Le rapport général a été adopté par acclamation après sa présentation par le Rapporteur Général de l Atelier M. BODJONA Bassaï. 25

26 Les Experts ont exprimé leurs satisfactions par rapport à l organisation de cet atelier tout en félicitant et remerciant le Laboratoire GTVD qui en est l auteur de cette organisation. M. Pierric RAULIN, a par ailleurs noté le déficit de préparation au niveau des membres du Réseau ReSources, notamment le manque de concertation entre les 3 GTT au programme. Il a ensuite honoré le Laboratoire GTVD pour l accueil qui leur a été réservé et pour la qualité de l organisation pratique de l atelier. Le Professeur Gado TCHANGBEDJI a fait la recommandation que les prochains ateliers soient mieux préparés par les différents acteurs tout en souhaitant un bon retour des Experts dans leur différent pays respectif. L atelier a été clôturé à 17H 23. Fait à Lomé, le 28 septembre 2013 Le Rapporteur Général Dr Bassaï M. BODJONA 26

27 Annexes Photo 1 : Cérémonie d ouverture Photo 2 : Visite de terrain 27

28 Photo 3 : Cérémonie de clôture 28

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