POLE ABDOMINO-PELVIEN

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "POLE ABDOMINO-PELVIEN"

Transcription

1 Guide Pratique ECN Collection dirigée par L. LE POLE ABDOMINO-PELVIEN & TRANSVERSALITE DU VICE-MAJOR Kévin serror Vice-major de l ecn 2011 Editions VERNAZOBRES-GREGO 99 bd de l Hôpital Paris Tél. : Toute reproduction, même partielle, de cet ouvrage est interdite. Une copie ou reproduction par quelque procédé que ce soit, photographie, microfilm, bande magnétique, disque ou autre, constitue une contrefaçon passible des peines prévues par la loi du 11 mars 1957 sur la protection des droits d auteurs. Février ISBN :

2 4

3 Repère Sommaire général 1 UROLOGIE 93 Infections urinaires de l adulte 156 Tumeurs de prostate 158 Tumeurs du rein 160 Tumeurs du testicule 160b Tumeurs vésicales 216 Rétention aigue d urine 247 Hypertrophie bénigne de prostate 259 Lithiase urinaire 272 Pathologie génito-scrotale 315 Hématurie 321 Incontinence urinaire de l adulte 338 Troubles de l érection 341 Troubles de la miction NEPHROLOGIE 134 Néphropathies vasculaires 176 Prescription et surveillance des diurétiques 219 Troubles de l équilibre acido-basique et désordres hydro-électrolytiques 252 Insuffisance rénale aigue 253 Insuffisance rénale chronique 264 Néphropathie glomérulaire 277 Polykystose rénale 310 Elévation de la créatininémie 319 Hypercalcémie 323 Oedèmes des membres inférieurs 328 Protéinurie et syndrome néphrotique

4 3 GYNECOLOGIE OBSTETRIQUE 15 Examen prénuptial 16 Grossesse normale. Besoins nutritionnels d une femme enceinte 17 Principales complications de la grossesse 18 Grossesse extra-utérine 19 Troubles psychiques de la grossesse et du postpartum 20 Prévention des risques fœtaux : infection, médicaments, toxiques, irradiation 21 Prématurité et retard de croissance intra-utérin : facteurs de risque et prévention 22 Accouchement, délivrance et suites de couches normales 24 Allaitement et complications 25 Suites de couches pathologiques : pathologie maternelle dans les 40 jours 26 Anomalies du cycle menstruel. Métrorragies 27 Contraception 28 Interruption volontaire de grossesse 29 Stérilité du couple : conduite de la première consultation 30 Assistance médicale à la procréation : principaux aspects biologiques, médicaux et éthiques 147 Tumeurs du col utérin, tumeur du corps utérin 153 Tumeurs de l ovaire 159 Tumeurs du sein 196 Douleur abdominale aiguë chez une femme enceinte 243 Hémorragie génitale chez la femme 292 Algies pelviennes chez la femme 296 Aménorrhée 342 Tuméfaction pelvienne chez la femme

5 4 HEPATO-GASTRO-ENTEROLOGIE 83 Hépatites virales Anomalies biologiques hépatiques chez un patient asymptomatique 100 Parasitoses digestives 118 Maladie de Crohn et recto-colite hémorragique 148 Tumeurs du colon et du rectum 150 Tumeurs de l estomac 151 Tumeurs du foie 152 Tumeurs de l œsophage 155 Tumeurs du pancréas 195 Douleurs abdominales et lombaires aigues de l adulte 205 Hémorragie digestive 217 Syndrome occlusif 224 Appendicite de l enfant et de l adulte 228 Cirrhose et ses complications 229 Colopathie fonctionnelle 234 Diverticulose colique et sigmoïdite 242 Hémochromatose 245 Hernie pariétale de l enfant et de l adulte 258 Lithiase biliaire et ses complications 268 Pancréatite aigue 269 Pancréatite chronique 273 Pathologie hémorroïdaire 275 Péritonite aigue 280 Reflux gastro-oesophagien et hernie hiatale (p) 290 Ulcère gastro-duodénal et gastrite 298 Ascite 300 Constipation chez l adulte 302 Diarrhée aigue chez l adulte 303 Diarrhée chronique 308 Dysphagie 318 Hépatomégalie et masse abdominale 320 Ictère 345 Vomissements Liste des abréviations

6 8

7 UROLOGIE Chapitre 1 93 INFECTIONS URINAIRES Part I Mod 7 Introduction : Bactéries (4) : E. Coli (90%) Protéus Mirabilis (5%) Klebsiella spp. (3%) Staphylococcus saprophiticus (2%) I CYSTITE AIGUE simple vs compliquée : Simple si (4) : Femme (pas de limite d âge) Pas de terrain particulier (non enceinte) Pas de comorbidités (diabète, cancer, immunodépression, insuffisance hépatique ) Pas d anomalie organique ou fonctionnelle de l arbre urinaire (uropathie obstructive, vessie neurologique, RPM) Cystite aigue simple : Diag. positif = clinique : SFU : pollakiurie, impériosité, brûlures mictionnelles, urgenturie Apyrexie Pas de douleurs abdo/lombaires Pas de symptômes dans les 4 sem précédents l épisode BU+++ : leucocyturie et/ou nitriturie Traitement : Ambulatoire RHD (9) : Miction abondante (>2l/j) / miction régulière / miction post coïtale Réguler le transit / s essuyer d avant en arrière / Ttt des infections génitales Sous-vêtements en coton / pas de spermicide / canneberge Antibiothérapie, probabiliste, minute : Fosfomycine-trométamol, Monuril (dose unique) PO (Si allergie : nitrofurantoïne x5j, FQ ciprofloxacine x1-3j) Fiches du vice-major - pôle abdomino pelvien 9 9

8 Surveillance : Pas d ECBU de contrôle (sauf persistance des symptômes à J7) Cystite aigue compliquée : Diag. Positif = biologique : Clinique idem + ECBU systématique (avec examen direct, culture et antibiogramme) Traitement : Ambulatoire RHD (9) : Miction abondante (>2l/j) / miction régulière / miction post coïtale Réguler le transit / s essuyer d avant en arrière / Ttt des infections génitales Sous-vêtements en coton / pas de spermicide / canneberge Antibiothérapie, probabiliste seulement si ne peut-être différée après récupération de l antibiogramme, prolongée >5 jours : Nitrofurantoïne x7j ou FQ ciprofloxacine x5j NB1 : pas de nitrofurantoïne chez l homme car diffuse mal dans la prostate, pas non plus pendant la grossesse NB2 : pas de FQ si prescription dans les 6 mois EI : photosensibilisation et tendinopathies Surveillance : Pas d ECBU de contrôle (sauf persistance des symptômes à J7) Cystite aigue pendant la grossesse : BU mensuelle systématique à partir du 4e mois Si bactériurie asymptomatique (2 ECBU +) ou cystite (= symptomatique) : Antibiothérapie (autorisée pendant la grossesse), adaptée selon Atbg, pas de traitement court : Amoxicilline ou cefixime (x5j) Surveillance : ECBU de contrôle à J10, puis ECBU mensuel jusqu à l accouchement 10 10

9 Cystite aigue récidivante : >4 épisodes / an Interrogatoire : Historique (date, type d infection, germe et antibiogramme, traitement) Facteurs favorisants (non respect des RHD) Catalogue mictionnel Examen uro-gynéco à la recherche de facteurs favorisants locaux. Ex complémentaires (4) : ECBU ASP (après bétahcg) Echo vésicale (Résidu Post Mictionnel : RPM) Bilan Urodynamique (BUD) avec débit-métrie Selon les résultats du bilan : UCRM, cystoscopie, urotdm Fiches du vice-major - pôle abdomino pelvien 11 11

10 II PYELONEPHRITE AIGUE simple vs compliquée : Clinique (4) : SFU (cystite) Fièvre / frissons Douleurs lombaires (spontanée ou provoquée) S digestifs : nausées/vomissements, diarrhée, météorisme 3 questions : Signes de Gravité (SdG) : Clinique : Retard de prise en charge Sepsis sévère (hypota, TC, oligurie, polypnée ) Abdomen chirurgical (défense, contracture) Bio : ECBU NFS, CRP, Hémocultures (si SdG) Créatininémie (calcul de clairance) et bétahcg Imagerie : Uro TDM (iv+ avec temps artériel, portal, tardif/excrétoire) : indiqué si aggravation ou persistance à 48h de traitement (obstacle, abcès, pyonéphrose, phlegmon péri-rénal) Obstruction des voies excrétrices : Obstruction : dilatation des cavités pyélo-calicielles? Echo rénale et des voies urinaires + ASP (si bétahcg -) Pas de SdG : le plus tôt possible, dans les 24h Présence de SdG : en Urg, si doute écho sur un obstacle: TDM IV -/+ Facteurs de complications (4) idem cystite Terrain particulier (homme, femme enceinte) Comorbidités (diabète, cancer, immunodépression, insuffisance hépatique ) Anomalie organique ou fonctionnelle de l arbre urinaire (uropathie obstructive, vessie neurologique, RPM) Episode récent (rechute précoce < 1 mois) ou PN récidivante 12 12

11 PNA simple BU + ECBU Echo systématique des VU (dans les 24h) + ASP ATB probabiliste, monothérapie : C3G (IV ou IM) ou FQ (PO) Réévaluation clinique à 72h : Si favorable : ATB PO adapté à l Atbg Si défavorable : cf. PNA compliquée ATB (x10-14j) sauf FQ (x7j) Réévaluation clinique en fin de Ttt, pas d ECBU systématique PNA compliquée Idem, + Hémocultures + Uro TDM, en Urg (après créat et bétahcg) Hospitalisation (6) si : SdG Hyperalgique Doute diagnostic Impossibilité de suivi ambulatoire, Vomissements (pas de Ttt PO), Faible observance. Bi-antibiothérapie : C3G (IV) + aminosides (1-3j) ECBU de contrôle à 48h UroTDM si aggravation ou évolution défavorable ATB (x10-14j) Réévaluation en fin de Ttt, ECBU de contrôle systématique (4-6 sem après fin du Ttt) PNA pendant la grossesse : Hospitalisation initiale (24-48h, au moins) : ECBU + écho réno-vésicale Retentissement fœtal : RCF, écho obstétricale +++ Fièvre et grossesse : NFS, CRP, PV, ECBU, Hc (listéria) ATB : C3G (x14j) ECBU de contrôle à 48h, 10j puis mensuel jusqu à l accouchement. Fiches du vice-major - pôle abdomino pelvien 13 13

12 III PROSTATITE AIGUE : Toute infection urinaire chez l homme est à prendre en charge comme une prostatite. Clinique (5) : SFU, dysurie Fièvre / frissons Douleurs pelviennes TR prudent : prostate douloureuse, augmentée de volume, pas de massage : décharge bacteriémique BU Paraclinique : ECBU + hémocultures Pas de PSA à la phase aigue (faux positif) Echo par voie sus-pubienne (voie endorectale contreindiquée : bactériémie) Traitement : ATB : FQ (PO) ou C3G (IV ou IM) Si SdG : Hospitalisation, ajout d aminosides (1-3j) Relais oral, secondairement adapté à l Atbg Pas d amoxicilline (ne diffuse pas dans la prostate) : Fluoroquinolone ou cotrimoxazole Durée : x 21 j Complications (4) : Rétention aigue d urines (globe vésical) : cathéter sus pubien (sonde urinaire contre-indiquée : bactériémie) Abcès prostatique : drainage écho-guidé Orchi-épididymite : palpation testiculaire Prostatite chronique : ECBU de contrôle Surveillance : ECBU de contrôle systématique à 4-6 sem de la fin du Ttt (prostatite chronique) TR et PSA à 6 mois (dépistage du cancer de prostate) N oubliez pas : En cas de prostatite aigue : zéro si massage prostatique au TR, écho-endorectale ou sondage vésical (à discuter si contre-indication formelle au KT sus-pub) : bactériémie. Prostatite du sujet jeune = IST jusqu à preuve du contraire : bilan patient et partenaires, éducation, préservatif

13 156 TUMEURS DE PROSTATE Part I Mod 10 INTRODUCTION : Adénocarcinome (99%) Développé au niveau de la zone périphérique (70%) Hormono-dépendant : androgènes testiculaires (90%) et surrénaliens (10%) FdR (4) : Age : >50 ans Hérédité : > 3 cas familiaux, lien de parenté, âge au diagnostic Ethnie : noirs (Afrique, Antilles) Environnement : alimentation (riche en graisses animales) Dépistage (proposé individuellement) (4) : PSA sérique total + TR Annuel Entre 50 et 74 ans (dès 45 ans si noir ou Atcd familiaux) Tout dosage du PSA > 4 ng/ml ou TR anormal = Proposer une biopsie Confirmation (5) : Biopsie prostatique écho-guidée, avec envoi en anapath : En ambulatoire, sous AL périprostatique Guidage par écho endorectale (nodule hypoéchogène, vascularisé au doppler) Cartographie prostatique (12 carottes, 6/lobe, de la base à l apex) Par voie transrectale Complications du geste (2) et mesures préventives : Infectieuses (prostatite) : BU/ECBU négatif, Antibioprophylaxie (fluoroquinolone ciprofloxacine PO 2h avant) et lavement (1h avant) Hémorragiques (rectorragies, urétrorragies, hémospermie) : Bilan d hémostase, arrêt des antiagrégants (7j avant) et des AVK (5j avant +/- relais HBPM) Pronostique (6) : Stade TNM : TR (T), Adp, méta PSA Score de Gleason Nombre de biopsies positives, unies ou bilatérales, franchissement capsulaire, engainement périnerveux Longueur du tissu cancéreux (en mm) Terrain (âge, état général) Fiches du vice-major - pôle abdomino pelvien 15 15

14 Classification TNM : T1 = Non palpable (TR normal) T2 = Limité à la prostate (au TR) T3 = au delà de la capsule (au TR) T4 = fixé ou envahissant N0 : pas d Adp régionale N1 <2cm N2 2-5cm N3 >5cm a : <5% copeaux de RTUP b : >5% copeaux de RTUP c : biopsie pour PSA>4 ng/ml a : <1/2 lobe b : >1/2 lobe c : bilatéral a : franchissement uni ou bilatéral de la capsule b : atteinte des vésicules séminales Sphincter strié, rectum, m. releveur de l anus, paroi pelvienne M0 M1 a : Adp non régionale M1 b : Os(ostéocondensante) M1 c : Viscérale 16 Pour le bilan d extension et le traitement, séparer 4 situations : I Localisé (cf. AMICO) : T1 ou T2 II Localement avancé : T3 ou T4 III Ganglionnaire : Tout N+ IV Métastique : Tout M+ I AU STADE LOCALISE : Classification d AMICO (risque de rechute biologique à 10 ans) Risque faible : <65 ans, asymptomatique Et : TR normal (T1 ou 2a) Et : PSA<10ng/ml Risque intermédiaire : TR anormal : (T2b) Risque élevé : Atteinte des 2 lobes (T2c) Ou : PSA Ou : PSA > 20 Et : Gleason <7 Ou : Gleason = 7 Ou : Gleason >7 Bilan d extension : 1. TDM abdo-pelv (iv+) ou curage ilio-obturateur de staging : Adp, envahissement des vésicules Pas de bilan d extension séminales, retentissement haut appareil (+ écho si DCPC) paraclinique 2. Scinti os (+ Rx des zones fixantes) 3. IRM pelvienne (prostatique) : si bilan à distance négatif : Ttt local curateur envisagé 16

15 Localisé : T1 ou T2 Risque faible (3) : PEC curative immédiate : 3 possibilités (discussion en RCP, accord du patient) Chirurgie Prostatectomie radicale, avec curage ilio-obturateur bilatéral (anapath) Si espérance de vie > 10 ans EI : incontinence, impuissance, sténose anastomotique vésico-urétrale PSA à M3 <0,1 ng/ml puis annuel Radiothérapie : Externe conformationnelle (si CI opératoire) EI : cystite/rectite radique, dysfonction érectile Ou Curiethérapie par implants d I125 (Si prostate <50ml, pas d Atcd de RTUP, pas de troubles mictionnels) Surveillance active PSA+TR /6 mois, nouvelles biopsies à 1 an puis /2-3 ans Décision d un Ttt curatif si : TR anormal, PSA>10, doublement du PSA en <3ans, >2 biopsies positives, Gleason > ou =7, T >3 mm Risque intermédiaire (3) : Prostatectomie radicale, avec curage ilio-obturateur bilatéral (anapath) Radiothérapie externe conformationnelle avec escalade des doses Hormonothérapie courte (6 mois) par analogues de LHRH puis RxTh externe Risque élevé (1) : RxTh externe conformationnelle (prostate + ganglions) associée à une hormonothérapie (3 ans) par analogues de LHRH Fiches du vice-major - pôle abdomino pelvien 17 17

INCONTINENCE URINAIRE

INCONTINENCE URINAIRE INCONTINENCE URINAIRE Généralités Perte involontaire d'urine par l'urètre. Symptôme fréquent (2,5 millions de personnes en France). Nombre sous estimé. Risque 2 fois plus élevé pour les femmes que pour

Plus en détail

Prostate Une petite glande de grande importance

Prostate Une petite glande de grande importance Prostate Une petite glande de grande importance Informations sur les maladies les plus fréquentes, à l intention des patients et des personnes intéressées Société Suisse d Urologie (SSU) Votre partenaire

Plus en détail

phase de destruction et d'élimination de débris

phase de destruction et d'élimination de débris LE POST PARTUM I ) Définition : c'est une période de 6 semaines allant de l'accouchement jusqu'au retour de couches (= règles). Pendant ce temps il est nécessaire d'effectuer une surveillance médicale

Plus en détail

INTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES

INTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES INTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES QU EST-CE QUE LE MDRD? Il s agit d une formule permettant d estimer le débit de filtration glomérulaire et donc la fonction rénale La formule est la suivante :

Plus en détail

chronique La maladie rénale Un risque pour bon nombre de vos patients Document destiné aux professionnels de santé

chronique La maladie rénale Un risque pour bon nombre de vos patients Document destiné aux professionnels de santé Document destiné aux professionnels de santé Agence relevant du ministère de la santé La maladie rénale chronique Un risque pour bon nombre de vos patients Clés pour la dépister et ralentir sa progression

Plus en détail

Infections urinaires chez l enfant

Infections urinaires chez l enfant Infections urinaires chez l enfant Questions et réponses pour diminuer vos inquiétudes Chers parents, Cette brochure a pour but de faciliter votre compréhension et de diminuer vos inquiétudes en vous

Plus en détail

LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86

LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86 LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT

Plus en détail

Chapitre 1 : Introduction à la rééducation périnéale

Chapitre 1 : Introduction à la rééducation périnéale Chapitre 1 : Introduction à la rééducation périnéale 1. Historique. Kegel (1949). Bourcier (1970). 1985 : reconnaissance officielle d acte de MK. Développement de la MK périnéale : facteur éco/p sociale

Plus en détail

Sujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT

Sujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT ANAMACaP Association Nationale des Malades du Cancer de la Prostate 17, bis Avenue Poincaré. 57400 SARREBOURG Sujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT Place des nouvelles techniques d imagerie

Plus en détail

Le dépistage du cancer de la prostate. une décision qui VOUS appartient!

Le dépistage du cancer de la prostate. une décision qui VOUS appartient! Le dépistage du cancer de la prostate une décision qui VOUS appartient! Il existe un test de dépistage du cancer de la prostate depuis plusieurs années. Ce test, appelé dosage de l antigène prostatique

Plus en détail

Accidents des anticoagulants

Accidents des anticoagulants 30 Item 182 Accidents des anticoagulants Insérer les T1 Objectifs pédagogiques ENC Diagnostiquer un accident des anticoagulants. Identifier les situations d urgence et planifier leur prise en charge. COFER

Plus en détail

TUMEURS DU BAS APPAREIL URINAIRE

TUMEURS DU BAS APPAREIL URINAIRE 1 Plan de cours I - TUMEURS PRIMITIVES DE LA VESSIE c1 - Tumeurs papillaires non infiltrantes c2 - Tumeurs papillaires infiltrantes c3 - Carcinome in-situ en muqueuse plane D - Pronostic : II - TUMEURS

Plus en détail

Le reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003

Le reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003 Pré-Requis : Corpus Médical Faculté de Médecine de Grenoble Le reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003 Sécrétion acide et peptique de l estomac Motricité œsophagienne et gastrique

Plus en détail

EXAMEN CLINIQUE D UN TROUBLE DE LA STATIQUE PELVIENNE

EXAMEN CLINIQUE D UN TROUBLE DE LA STATIQUE PELVIENNE EXAMEN CLINIQUE D UN TROUBLE DE LA STATIQUE PELVIENNE Pr Claude Hocké Pôle Gynécologie- Obstétrique-Reproduction Hôpital Pellegrin CHU Bordeaux 1 INTERROGATOIRE IL RESTE FONDAMENTAL ET PEUT ÊTRE DIVISÉ

Plus en détail

Les cancers de la prostate

Les cancers de la prostate Vous cherchez de l aide ou d autres informations? Vous avez besoin de parler? Vous cherchez des informations sur un type de cancer ou ses possibilités de traitement? Vous voulez savoir comment faire appel

Plus en détail

Leucémies de l enfant et de l adolescent

Leucémies de l enfant et de l adolescent Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE

Plus en détail

Module 2. De la conception à la naissance

Module 2. De la conception à la naissance Module 2. De la conception à la naissance ITEM 17. Principales complications de la grossesse Diagnostics différentiels d une hémorragie génitale Hématurie Rectorragie Diagnostics différentiels de l HTA

Plus en détail

HEPATITES VIRALES 22/09/09. Infectieux. Mme Daumas

HEPATITES VIRALES 22/09/09. Infectieux. Mme Daumas HEPATITES VIRALES 22/09/09 Mme Daumas Infectieux Introduction I. Hépatite aigu II. Hépatite chronique III. Les différents types d hépatites A. Hépatite A 1. Prévention de la transmission 2. Vaccination

Plus en détail

TRAITEMENT DE L INCONTINENCE URINAIRE. Dr B Pogu Urologue FMC Sud Marne

TRAITEMENT DE L INCONTINENCE URINAIRE. Dr B Pogu Urologue FMC Sud Marne TRAITEMENT DE L INCONTINENCE URINAIRE Dr B Pogu Urologue FMC Sud Marne DEFINITION! Incontinence urinaire (IU) : perte involontaire des urines par l urètre, survenant en dehors de la miction et pouvant

Plus en détail

INTERVENTIONS CHIRURGICALES EN GYNÉCOLOGIE

INTERVENTIONS CHIRURGICALES EN GYNÉCOLOGIE INTERVENTIONS CHIRURGICALES EN GYNÉCOLOGIE Informations générales pour la convalescence Pour vous, pour la vie Ce feuillet est destiné à mieux vous renseigner sur les points à observer après une opération

Plus en détail

le bilan urodynamique Dr René Yiou, CHU Henri Mondor

le bilan urodynamique Dr René Yiou, CHU Henri Mondor le bilan urodynamique Dr René Yiou, CHU Henri Mondor Bilan urodynamique Continence et miction = résultat d'un rapport de forces vessie/urètre: 1. Pression vésicale de remplissage (compliance): doit rester

Plus en détail

Cancers de l hypopharynx

Cancers de l hypopharynx Cancers de l hypopharynx A- GENERALITES 1) Epidémiologie Cancer fréquent et de pronostic grave du fait de son évolution insidieuse et de son caractère lymphophile. C est quasiment toujours un carcinome

Plus en détail

LA RÉTENTION URINAIRE DU POST-PARTUM

LA RÉTENTION URINAIRE DU POST-PARTUM LA RÉTENTION URINAIRE DU POST-PARTUM Prise en charge au CH de Pau Dr Sophie Rouleaud Service de médecine physique et de réadaptation Samedi 4 octobre 1 2 DEFINITION Définition 2003 Glavind K. et Bjork

Plus en détail

PRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES. Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière.

PRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES. Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière. PRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière. 75 Pas de conflits d intérêts. Définitions Pré éclampsie Définitions

Plus en détail

Item 182 : Accidents des anticoagulants

Item 182 : Accidents des anticoagulants Item 182 : Accidents des anticoagulants COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Cruralgie par hématome

Plus en détail

Suivi ambulatoire de l adulte transplanté rénal au-delà de 3 mois après transplantation

Suivi ambulatoire de l adulte transplanté rénal au-delà de 3 mois après transplantation SYNTHESE DES RECOMMANDATIONS PROFESSIONNELLES Suivi ambulatoire de l adulte transplanté rénal au-delà de 3 mois après transplantation Novembre 2007 OBJECTIF Assurer une qualité optimale du suivi et de

Plus en détail

Incontinence urinaire : trop souvent taboue

Incontinence urinaire : trop souvent taboue Incontinence urinaire : trop souvent taboue Tous concernés! De quoi s agit-il? C est une perte accidentelle ou involontaire des urines, qu il s agisse de quelques gouttes à une fuite plus conséquente :

Plus en détail

CHAPITRE 6 APPAREIL URINAIRE ET APPAREIL REPRODUCTEUR DE L HOMME

CHAPITRE 6 APPAREIL URINAIRE ET APPAREIL REPRODUCTEUR DE L HOMME CHAPITRE 6 APPAREIL URINAIRE ET APPAREIL REPRODUCTEUR DE L HOMME Table des matières ÉVALUATION DE LA FONCTION URINAIRE ET DE L APPAREIL REPRODUCTEUR DE L HOMME... 6 1 Anamnèse et examen physique... 6 1

Plus en détail

Service d Urologie - Hôpital de la Conception - APHM. 2. Service de Gynécologie Obstétrique - Hôpital de la Conception - APHM. 3

Service d Urologie - Hôpital de la Conception - APHM. 2. Service de Gynécologie Obstétrique - Hôpital de la Conception - APHM. 3 Efficacité de la stimulation transcutanée chronique du nerf tibial postérieur dans l hyperactivité vésicale de la femme atteinte de Maladie de Parkinson ou d Atrophie Multisystématisée A. Ohannessian 1,2,4,

Plus en détail

Carte de soins et d urgence

Carte de soins et d urgence Direction Générale de la Santé Carte de soins et d urgence Emergency and Healthcare Card Porphyries Aiguës Hépatiques Acute Hepatic Porphyrias Type de Porphyrie* Déficit en Ala déhydrase Ala Dehydrase

Plus en détail

1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies :

1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies : 1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies : a. Les troubles fonctionnels digestifs sont définis par les critères de Paris b. En France, le syndrome de l intestin irritable touche

Plus en détail

Prise en charge des déchirures périnéales obstétricales sévères. Courjon M, Ramanah R, Eckman A, Toubin C, Riethmuller D.

Prise en charge des déchirures périnéales obstétricales sévères. Courjon M, Ramanah R, Eckman A, Toubin C, Riethmuller D. Prise en charge des déchirures périnéales obstétricales sévères Courjon M, Ramanah R, Eckman A, Toubin C, Riethmuller D. Introduction Incidence : 0,5 à 3 % Importance de la reconnaissance et d un traitement

Plus en détail

Traitement des calculs urinaires par fragmentation (Lithotripsie par ondes de choc extracorporelle)

Traitement des calculs urinaires par fragmentation (Lithotripsie par ondes de choc extracorporelle) Traitement des calculs urinaires par fragmentation (Lithotripsie par ondes de choc extracorporelle) Le traitement des calculs urétéraux et rénaux a beaucoup changé depuis 1980 avec la venue d un appareil

Plus en détail

L Incontinence Urinaire au FEMININ. Examen paraclinique. Résidu Post Mictionnel. Examen pelvien

L Incontinence Urinaire au FEMININ. Examen paraclinique. Résidu Post Mictionnel. Examen pelvien L Incontinence Urinaire au FEMININ Dr Isabelle Kaelin-Gambirasio Erika Vögele Dr Johanna Sommer Examen pelvien Inspection : Atrophie vulvovaginale Inflammation vaginale Pertes d urines à la toux Prolapsus

Plus en détail

Prolapsus génital et incontinence urinaire chez la femme Professeur Pierre BERNARD Septembre 2002

Prolapsus génital et incontinence urinaire chez la femme Professeur Pierre BERNARD Septembre 2002 Prolapsus génital et incontinence urinaire chez la femme Professeur Pierre BERNARD Septembre 2002 Pré-Requis : Connaissance de bases : Anatomie du pelvis Classification des troubles de la statique génitale

Plus en détail

G U I D E P A T I E N T - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge du cancer du foie

G U I D E P A T I E N T - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge du cancer du foie G U I D E P A T I E N T - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge du cancer du foie Décembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer

Plus en détail

Contraception après 40 ans

Contraception après 40 ans Contraception après 40 ans Stratégies de choix des méthodes contraceptives chez la femme. Recommandations pour la pratique clinique Décembre 2004. ANAES/AFSSAPS Un vaste choix contraceptif Contraception

Plus en détail

Grossesse et HTA. J Potin. Service de Gynécologie-Obstétrique B Centre Olympe de Gouges CHU de Tours

Grossesse et HTA. J Potin. Service de Gynécologie-Obstétrique B Centre Olympe de Gouges CHU de Tours Grossesse et HTA J Potin Service de Gynécologie-Obstétrique B Centre Olympe de Gouges CHU de Tours HTA et grossesse Pathologie fréquente : 2 à 5 % des grossesses (2 à 3 % des multipares, 4 à 8 % des primipares)

Plus en détail

PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM. Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris

PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM. Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris Cancer du rectum France : 15000 décès/an : 1ère cause. Pronostic souvent réservé Métastases

Plus en détail

Incontinence anale du post-partum

Incontinence anale du post-partum Incontinence anale du post-partum Laurent Abramowitz Unité de proctologie médico-chirurgicale de l hôpital Bichat, Paris Et cabinet libéral Prévalence Inc anale France (1) : 11% > 45 ans Damon et al (2):Pop

Plus en détail

Ministère de la santé, de la jeunesse et des sports. Comité technique des infections nosocomiales et des infections liées aux soins

Ministère de la santé, de la jeunesse et des sports. Comité technique des infections nosocomiales et des infections liées aux soins Ministère de la santé, de la jeunesse et des sports. DIRECTION GENERALE DE LA SANTE DIRECTION DE L HOSPITALISATION ET DE L ORGANISATION DES SOINS Comité technique des infections nosocomiales et des infections

Plus en détail

Atelier N 2. Consultation de patientes porteuses d une maladie générale

Atelier N 2. Consultation de patientes porteuses d une maladie générale Atelier N 2 Consultation de patientes porteuses d une maladie générale Contre indica,ons à la grossesse Hypertension artérielle pulmonaire >30mmHg Maladie de Marfan (dilatation aortique>4 cm) Rétrécissement

Plus en détail

DIU DE REEDUCATION PELVI-PERINEALE. Responsables de l enseignement :

DIU DE REEDUCATION PELVI-PERINEALE. Responsables de l enseignement : DIU de rééducation pelvi-périnéale DIU DE REEDUCATION PELVI-PERINEALE Responsables de l enseignement : Pr. Gérard AMARENCO (UPMC), Pr. Michel COSSON (CHU Lille), Pr. Gilberte ROBAIN (UPMC) 1. Cible La

Plus en détail

Fibrillation atriale chez le sujet âgé

Fibrillation atriale chez le sujet âgé Dr Benoit Blanchard LE HAVRE Le 18 MARS 2014 Fibrillation atriale chez le sujet âgé Le plus fréquent des trouble du rythme cardiaque, 750,000 personnes atteintes de FA en France, 100,000 nouveaux cas chaque

Plus en détail

Le terme «infection urinaire» est souvent utilisé par les médecins pour des pathologies telles que l urétrite, la cystite ou la pyélonéphrite.

Le terme «infection urinaire» est souvent utilisé par les médecins pour des pathologies telles que l urétrite, la cystite ou la pyélonéphrite. Chapitre 21 : Maladies du système génito-urinaire (Traduction de la p259) Aperçu du chapitre Les maladies du système génito-urinaire sont classées dans le chapitre 14 d ICD-10-CM. Elles ne sont pas dans

Plus en détail

HTA et grossesse. Dr M. Saidi-Oliver chef de clinique-assistant CHU de Nice

HTA et grossesse. Dr M. Saidi-Oliver chef de clinique-assistant CHU de Nice HTA et grossesse Dr M. Saidi-Oliver chef de clinique-assistant CHU de Nice Définition HTA gravidique: Après 20 SA Systole> 140mmHg et/ou Diastole>90mmHg A 2 reprises séparées de plus de 6 heures Résolutive

Plus en détail

GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE

GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE SOURCES : ligues reins et santé A LA BASE, TOUT PART DES REINS Organes majeurs de l appareil urinaire, les reins permettent d extraire les

Plus en détail

LISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B

LISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B LISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B Actualisation février 2009 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication

Plus en détail

GUIDE PATIENT - AFFECTION DE LONGUE DURÉE. La prise en charge du cancer du rein

GUIDE PATIENT - AFFECTION DE LONGUE DURÉE. La prise en charge du cancer du rein GUIDE PATIENT - AFFECTION DE LONGUE DURÉE La prise en charge du cancer du rein Novembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer sur le cancer du rein, son

Plus en détail

SYNOPSIS INFORMATIONS GÉNÉRALES

SYNOPSIS INFORMATIONS GÉNÉRALES Evaluation de l utilisation d un anticoagulant anti-xa direct oral, Apixaban, dans la prévention de la maladie thromboembolique veineuse chez les patients traités par IMiDs au cours du myélome : étude

Plus en détail

INFECTIONS URINAIRES CHEZ L ENFANT

INFECTIONS URINAIRES CHEZ L ENFANT INFECTIONS URINAIRES CHEZ L ENFANT Chantal LOIRAT Service de Néphrologie Pédiatrique Hôpital Robert Debré DIU Stratégies Thérapeutiques anti-infectieuses Jan 2007 AFS 2006-2007 1 INFECTION URINAIRE CHEZ

Plus en détail

Diagnostic et antibiothérapie. des infections urinaires bactériennes. communautaires de l adulte

Diagnostic et antibiothérapie. des infections urinaires bactériennes. communautaires de l adulte SPILF 2014 Mise au point Texte court Diagnostic et antibiothérapie des infections urinaires bactériennes communautaires de l adulte dans son intégralité sans ajout ni retrait. 1 GROUPE DE TRAVAIL Pr François

Plus en détail

RÉFÉRENCES ET RECOMMANDATIONS MEDICALES

RÉFÉRENCES ET RECOMMANDATIONS MEDICALES CHAPITRE VI RÉFÉRENCES ET RECOMMANDATIONS MEDICALES I - Situation juridique La notion de références médicales opposables (RMO) est apparue dans la convention nationale des médecins de 1993. La réforme

Plus en détail

La vessie neurogène (VN)

La vessie neurogène (VN) La vessie neurogène (VN) Dr. Eugenia Luca, Service de Paraplégie CRR Sion, le 26.03.2015 Introduction Les troubles urinaires associés aux maladies neurologiques sont fréquentes et d expression polymorphe.

Plus en détail

Item 196 : Douleur abdominale aiguë chez la femme enceinte

Item 196 : Douleur abdominale aiguë chez la femme enceinte Item 196 : Douleur abdominale aiguë chez la femme enceinte Collège National des Gynécologues et Obstétriciens Français (CNGOF) Date de création du document 2010-2011 Table des matières Pré-Requis... 3

Plus en détail

Maternité et activités sportives

Maternité et activités sportives Maternité et activités sportives L obstétricien est de plus en plus souvent interrogé sur les avantages et les risques de maintenir ou de débuter une APS ou de loisir pendant la grossesse. Transformations

Plus en détail

Traitement antibiotique probabiliste des urétrites et cervicites non compliquées

Traitement antibiotique probabiliste des urétrites et cervicites non compliquées Bon usage Mise au point Traitement antibiotique probabiliste des urétrites et cervicites non compliquées Actualisation Octobre 2008 MESSAGES CLÉS L évolution de la résistance du gonocoque aux quinolones

Plus en détail

Principales complications de la grossesse Hypertension artérielle gravidique Item 17 - Module 2

Principales complications de la grossesse Hypertension artérielle gravidique Item 17 - Module 2 Objectifs : Principales complications de la grossesse Hypertension artérielle gravidique Item 17 - Module 2 Diagnostiquer et connaître les principes de prévention et de prise en charge de l hypertension

Plus en détail

Les traitements du cancer invasif du col de l utérus

Les traitements du cancer invasif du col de l utérus JUIN 2011 Les traitements du cancer invasif du col de l utérus Nom du chapitre COLLECTION GUIDES PATIENTS LE COL DE L UTÉRUS LE CHOIX DES TRAITEMENTS LA CHIRURGIE LA RADIOTHÉRAPIE LA CHIMIOTHÉRAPIE LES

Plus en détail

La planification familiale

La planification familiale La planification familiale après l avortement spontané ou provoqué Introduction Les grossesses non désirées sont l une des principales raisons pour lesquelles les femmes choisissent d avorter. Beaucoup

Plus en détail

GASTRO-ENTEROLOGIE. Variabilité. A des entrées. B des sites anatomiques. C inter-individuelle. D intra-individuelle

GASTRO-ENTEROLOGIE. Variabilité. A des entrées. B des sites anatomiques. C inter-individuelle. D intra-individuelle GASTRO-ENTEROLOGIE Variabilité A des entrées B des sites anatomiques 2 l externe + 2 l interne 15 litres sécrétion-absorption entrée 2 l duodénum 4 l grêle 3 l côlon 0,3 l anus 0,3 l œsophage 10" estomac

Plus en détail

Module digestif. II. Prévention du reflux gastro-œsophagien :

Module digestif. II. Prévention du reflux gastro-œsophagien : Module digestif Pathologie œsophagique I. Rappel anatomique : Etendu de 15 à 40 cm des arcades dentaires. D environ 25 cm de long. Constitué de 2 types de muscles. Recouvert par une muqueuse malpighienne

Plus en détail

Un test Pap pourrait vous sauver la vie

Un test Pap pourrait vous sauver la vie Un test Pap pourrait vous sauver la vie Un test Pap pourrait vous sauver la vie Vous avez 21 ans ou plus et êtes sexuellement active? Passez un test Pap! Si vous saviez qu un test Pap, qui prend 5 minutes,

Plus en détail

IRM du Cancer du Rectum

IRM du Cancer du Rectum IRM du Cancer du Rectum quels CHOIX TECHNIQUES pour quels OBJECTIFS THERAPEUTIQUES? Frank Boudghène, T. Andre, A. Stivalet, I. Frey, L. Paslaru, V. Ganthier, M. Tassart Hopital Tenon - Université Paris

Plus en détail

Traitement des plaies par pression négative (TPN) : des utilisations spécifiques et limitées

Traitement des plaies par pression négative (TPN) : des utilisations spécifiques et limitées BON USAGE DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ Traitement des plaies par pression négative (TPN) : des utilisations spécifiques et limitées Les systèmes de traitement des plaies par pression négative (TPN) sont des

Plus en détail

«Docteur, j ai la prostate!»

«Docteur, j ai la prostate!» «Docteur, j ai la prostate!» Texte D r Alain BITTON Urologue FMH Genève Conception et graphisme Comic Brains, Pécub Introduction 1 «Docteur, j ai la prostate! Pour moi, ce sera une opération au laser comme

Plus en détail

LE SYNDROME DE BUDD CHIARI

LE SYNDROME DE BUDD CHIARI CENTRE DE REFERENCE DES MALADIES VASCULAIRES DU FOIE (C.R.M.V.F.) Hôpital Beaujon 100 bd du Général Leclerc 92110 Clichy Service d Hépatologie Pavillon Abrami (consultation) Pavillon Sergent (hospitalisation)

Plus en détail

La déchirure. Les risques. Troubles périnéaux du post-partum. La déchirure

La déchirure. Les risques. Troubles périnéaux du post-partum. La déchirure Troubles périnéaux du post-partum La déchirure T. Linet La déchirure Les risques Entre 2 et 6 % de périnée complet mais TRES sous diagnostiqué car ± rupture du sphincter interne sur périnée semblant intact

Plus en détail

Prise en charge de l embolie pulmonaire

Prise en charge de l embolie pulmonaire Prise en charge de l embolie pulmonaire Dr Serge Motte Liège 06.12.14 - Laack TA et Goyal DG, Emerg Med Clin N Am 2004; 961-983 2 PLAN Diagnostic Prise en charge: Phase aiguë: analyse de gravité Choix

Plus en détail

ALLOGREFFE DE CELLULES SOUCHES HEMATOPOÏETIQUES (CSH) CHEZ 26 PATIENTS ATTEINTS DE β THALASSEMIES MAJEURES

ALLOGREFFE DE CELLULES SOUCHES HEMATOPOÏETIQUES (CSH) CHEZ 26 PATIENTS ATTEINTS DE β THALASSEMIES MAJEURES ALLOGREFFE DE CELLULES SOUCHES HEMATOPOÏETIQUES (CSH) CHEZ 26 PATIENTS ATTEINTS DE β THALASSEMIES MAJEURES R. Belhadj, R.Ahmed Nacer, F.Mehdid, M.Benakli, N.Rahmoune, M.Baazizi, F. Kaci, F.Harieche, F.Zerhouni,

Plus en détail

Arthralgies persistantes après une infection à chikungunya: évolution après plus d un an chez 88 patients adultes

Arthralgies persistantes après une infection à chikungunya: évolution après plus d un an chez 88 patients adultes Arthralgies persistantes après une infection à chikungunya: évolution après plus d un an chez 88 patients adultes G Borgherini 1, A Gouix 1, F Paganin 1, A Jossaume 1, L Cotte 2, C Arvin-Berod 1, A Michault

Plus en détail

Incontinence urinaire. DR.L.PEYRAT C.H.U. Tenon, Paris

Incontinence urinaire. DR.L.PEYRAT C.H.U. Tenon, Paris Incontinence urinaire DR.L.PEYRAT C.H.U. Tenon, Paris INCONTINENCE URINAIRE : DEFINITION 2002 ICS (Internationnal Contience Society) : perte involontaire d urine, on distingue Symptôme : élément décrit

Plus en détail

INCONTINENCE URINAIRE

INCONTINENCE URINAIRE INCONTINENCE URINAIRE Dr. René Yiou Service d urologie et département d anatomie CHU Henri Mondor 51, avenue du Maréchal de-lattre-de-tassigny 94010 Créteil Tel: 0149812559 Fax: 01.49.81.25.52 Email: rene.yiou@hmn.ap-hop-paris.fr

Plus en détail

Greffe de moelle osseuse: Guérir ou se soigner?

Greffe de moelle osseuse: Guérir ou se soigner? Greffe de moelle osseuse: Guérir ou se soigner? Malika Benkerrou Site de référence pédiatrique national sur la drépanocytose Hôpital Robert Debré, Paris 3èmes Journées de la Drépanocytose en Martinique

Plus en détail

PRISE EN CHARGE DES DOULEURS DU POST-PARTUM ET DES DOULEURS POST-CHIRURGICALES MARTINE CORNILLET-BERNARD

PRISE EN CHARGE DES DOULEURS DU POST-PARTUM ET DES DOULEURS POST-CHIRURGICALES MARTINE CORNILLET-BERNARD PRISE EN CHARGE DES DOULEURS DU POST-PARTUM ET DES DOULEURS POST-CHIRURGICALES MARTINE CORNILLET-BERNARD Douleurs du post-partum : Douleurs cicatricielles (déchirures ou épisio) Dyspareunies orificielles

Plus en détail

TRAITEMENT DES TUMEURS HEPATIQUES. Paul Legmann Radiologie A Pôle Imagerie

TRAITEMENT DES TUMEURS HEPATIQUES. Paul Legmann Radiologie A Pôle Imagerie TRAITEMENT DES TUMEURS HEPATIQUES Paul Legmann Radiologie A Pôle Imagerie TRAITEMENT DES TUMEURS HEPATIQUES Carcinome hépato-cellulaire : Sans traitement : survie à 5 ans < à 5 % (CHC sur cirrhose) Traitement

Plus en détail

PLEINS FEUX SUR LE RC EXAMENS SYSTEMATIQUES ET PREVENTION

PLEINS FEUX SUR LE RC EXAMENS SYSTEMATIQUES ET PREVENTION PLEINS FEUX SUR LE RC SFMG - 2009 EXAMENS SYSTEMATIQUE ET PREVENTION est le résultat de consultation le plus fréquemment relevé par les médecins généralistes de l OMG. Voir là. Pour mieux vous familiariser

Plus en détail

INFORMATION & PRÉVENTION. Le cancer de la vessie

INFORMATION & PRÉVENTION. Le cancer de la vessie INFORMATION & PRÉVENTION Le cancer de la vessie G R A N D P U B L I C Ce à quoi sert la vessie La vessie est une poche qui reçoit l urine produite par les reins, via les uretères*. Elle est constituée

Plus en détail

LES DOULEURS LOMBAIRES D R D U F A U R E T - L O M B A R D C A R I N E S E R V I C E R H U M A T O L O G I E, C H U L I M O G E S

LES DOULEURS LOMBAIRES D R D U F A U R E T - L O M B A R D C A R I N E S E R V I C E R H U M A T O L O G I E, C H U L I M O G E S LES DOULEURS LOMBAIRES D R D U F A U R E T - L O M B A R D C A R I N E S E R V I C E R H U M A T O L O G I E, C H U L I M O G E S INTRODUCTION La lombalgie est un symptôme fréquent avec une prévalence

Plus en détail

LITHIASE URINAIRE USAGER PRÉSENTANT UNE LITHIASE URINAIRE OC-091. Uroscan. Rx abdominal

LITHIASE URINAIRE USAGER PRÉSENTANT UNE LITHIASE URINAIRE OC-091. Uroscan. Rx abdominal USAGER PRÉSENTANT UNE LITHIASE URINAIRE OC-091 Catégorie de personnes visées : usager pour lequel un diagnostic clinique de lithiase urinaire a été évoqué par son médecin traitant Indication : répondre

Plus en détail

Insuffisance rénale. Définition. o Insuffisance rénale aiguë

Insuffisance rénale. Définition. o Insuffisance rénale aiguë Insuffisance rénale Définition o Insuffisance rénale aiguë Se traduit par un brusque arrêt de la filtration des déchets du sang et de la production d urine. Associée à un déséquilibre de l organisme en

Plus en détail

Recommandations 2005. Prise en charge des patients adultes atteints d un mélanome cutané MO

Recommandations 2005. Prise en charge des patients adultes atteints d un mélanome cutané MO Recommandations 2005 Prise en charge des patients adultes atteints d un mélanome cutané MO Recommandations pour la Pratique Clinique : Standards, Options et Recommandations 2005 pour la prise en charge

Plus en détail

LA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique

LA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique LA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique Caroline Karras-Guillibert Rhumatologue, Hôpital Saint Joseph, Marseille La lombalgie chronique : le «mal du siècle»?

Plus en détail

Institut WanXiang Historique de santé du patient

Institut WanXiang Historique de santé du patient Institut WanXiang Historique de santé du patient Merci de remplir ce questionnaire aussi complètement que possible et d indiquer les zones d incompréhension avec un point d'interrogation. En plus de toutes

Plus en détail

Le traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence

Le traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence Le traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence Dominique GENDREL Necker-Enfants Malades Traiter en urgence en présence de trophozoïtes Plus de 80% des paludismes d importation en

Plus en détail

QUE SAVOIR SUR LA CHIRURGIE de FISTULE ANALE A LA CLINIQUE SAINT-PIERRE?

QUE SAVOIR SUR LA CHIRURGIE de FISTULE ANALE A LA CLINIQUE SAINT-PIERRE? QUE SAVOIR SUR LA CHIRURGIE de FISTULE ANALE A LA CLINIQUE SAINT-PIERRE? Vous allez être opéré(e) à la clinique Saint-pierre d une fistule anale par l équipe chirurgicale des docteurs Bardou, Ben brahem

Plus en détail

Recommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés

Recommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés Recommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés - décembre 2009 - CARCINOMES BASOCELLULAIRES La chirurgie : traitement de référence et de 1 ère intention Classification clinique et histologique

Plus en détail

Les Arbres décisionnels

Les Arbres décisionnels Les Arbres décisionnels Les aides à la décision plainte-traitement (ou arbres décisionnels ) sont tirés de travaux effectués dans le cadre de l Organisation Mondiale de la Santé. Ils sont destinés à soutenir

Plus en détail

Campagne nationale pour l élimination des fistules obstétricales en Mauritanie

Campagne nationale pour l élimination des fistules obstétricales en Mauritanie Campagne nationale pour l élimination des fistules obstétricales en Mauritanie Contexte de la fistule obstétricale Situation en Mauritanie Progrès au niveau Pays/ Mise en œuvre Défis pour les années à

Plus en détail

Item 95 Maladies sexuellement transmissibles : infections urogénitales à gonocoque et Chlamydia trachomatis (en dehors de la maladie de Nicolas-Favre)

Item 95 Maladies sexuellement transmissibles : infections urogénitales à gonocoque et Chlamydia trachomatis (en dehors de la maladie de Nicolas-Favre) Annales de dermatologie et de vénéréologie (2012) 139, A57 A61 Disponible en ligne sur www.sciencedirect.com I. MODULES TRANSDISCIPLINAIRES Module 7 : Santé et environnement, maladies transmissibles Item

Plus en détail

Déclaration médicale. Ce document vaut demande d enquête de la part de l assureur.

Déclaration médicale. Ce document vaut demande d enquête de la part de l assureur. Déclaration médicale Ce document vaut demande d enquête de la part de l assureur. Les données communiquées ci-après seront nécessaires pour pouvoir formuler une offre d assurance. Important Le candidat

Plus en détail

INFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT

INFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT INFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT QUELS RÉSULTATS POUR LE RECEVEUR? QUELS RISQUES POUR LE DONNEUR? DONNER UN REIN DE SON VIVANT PEUT CONCERNER CHACUN /////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////

Plus en détail

Observation. Merci à l équipe de pharmaciens FormUtip iatro pour ce cas

Observation. Merci à l équipe de pharmaciens FormUtip iatro pour ce cas Cas clinique M. ZAC Observation Mr ZAC ans, 76 ans, 52 kg, est admis aux urgences pour des algies fessières invalidantes, résistantes au AINS. Ses principaux antécédents sont les suivants : une thrombopénie

Plus en détail

Vers une approche managériale des tarifs T2A

Vers une approche managériale des tarifs T2A Vers une approche managériale des tarifs T2A Contribution de CAHPP Consultant Juin 2013 Page 1 sur 35 SOMMAIRE SOMMAIRE... Page 2 PRÉAMBULE... Page 3 PARTIE I : MÉTHODOLOGIE... Page 5 PARTIE II : IMPACT

Plus en détail

Intérêt diagnostic du dosage de la CRP et de la leucocyte-estérase dans le liquide articulaire d une prothèse de genou infectée

Intérêt diagnostic du dosage de la CRP et de la leucocyte-estérase dans le liquide articulaire d une prothèse de genou infectée Intérêt diagnostic du dosage de la CRP et de la leucocyte-estérase dans le liquide articulaire d une prothèse de genou infectée C. Rondé-Oustau, JY. Jenny,J.Sibilia, J. Gaudias, C. Boéri, M. Antoni Hôpitaux

Plus en détail

Bonne lecture!! et si vous souhaitez consulter le document de l AFEF dans son intégralité, c est ici

Bonne lecture!! et si vous souhaitez consulter le document de l AFEF dans son intégralité, c est ici Un résumé des recommandations éditées par l AFEF le 1 er juin 2015 Les recommandations de l AFEF vont plus loin que celles de l EASL. Le Pr Victor De Lédinghen, du CHU de Bordeaux, et secrétaire général

Plus en détail

N 195 - DOULEURS ABDOMINALES ET PELVIENNES AIGUES DE L ENFANT. P.GALINIER et E.FOURNIE-GARDINI

N 195 - DOULEURS ABDOMINALES ET PELVIENNES AIGUES DE L ENFANT. P.GALINIER et E.FOURNIE-GARDINI N 195 - DOULEURS ABDOMINALES ET PELVIENNES AIGUES DE L ENFANT P.GALINIER et E.FOURNIE-GARDINI La douleur abdominale est un des motifs de consultation les plus fréquents en pédiatrie. Les étiologies sont

Plus en détail

Essai Inter-groupe : FFCD UNICANCER FRENCH - GERCOR

Essai Inter-groupe : FFCD UNICANCER FRENCH - GERCOR CLIMAT - PRODIGE 30 Etude de phase III randomisée évaluant l Intérêt de la colectomie première chez les patients porteurs d un cancer colique asymptomatique avec métastases hépatiques synchrones non résécables

Plus en détail

ECHOGRAPHIE EN GYNECOLOGIE ET EN OBSTETRIQUE

ECHOGRAPHIE EN GYNECOLOGIE ET EN OBSTETRIQUE ECHOGRAPHIE EN GYNECOLOGIE ET EN OBSTETRIQUE (Diplôme Interuniversitaire National d ) 17/02/2015 avec Bordeaux, Brest, Lille, Lyon, Marseille, Nantes, Paris V et XII, Toulouse et Tours Objectifs : Formation

Plus en détail