Parcours de santé des personnes âgées, comment améliorer l efficience de notre système de santé?
|
|
- Marthe Forget
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 ECOLE DES DIRIGEANTS DE LA PROTECTION SOCIALE Parcours de santé des personnes âgées, comment améliorer l efficience de notre système de santé? Patrick Marx Chef de projet «gestion du risque», ARS Lorraine «La stratégie nationale de santé, c est un choix, celui de réorganiser notre système de santé autour du patient, et de structurer une médecine de parcours». Cet engagement, tiré du discours du Premier ministre en février 2013 puis repris par la ministre de la Santé quelques semaines plus tard devant la communauté hospitalière, illustre l ambition majeure de notre système de santé pour les décennies à venir. Pour autant, parcours de soins, qualité, efficience, performance, sont autant de notions qui s imbriquent et s entrechoquent, tel un puzzle déroutant. Une complexité sémantique alimentée par une littérature abondante et de multiples expériences autour de la notion de parcours. C est donc dans ce contexte que plusieurs textes tentent de définir et d encadrer ce concept en promouvant diverses actions pour mieux prendre en charge le patient, plus particulièrement le patient âgé. Il s agit bien d organiser un travail collectif autour de la personne âgée confrontée aux pathologies délétères liées au vieillissement pour lui permettre d obtenir une réponse pertinente adaptée à ses besoins et non dispendieuse. Exprimé de manière très simple : ce n est pas au patient à mobiliser le système de soins, c est aux professionnels de santé de premier recours de se coordonner et de permettre au patient de bénéficier d une prise en charge adaptée. L article 48 de la loi de financement de la Sécurité sociale pour 2013 prévoit la possibilité d expérimenter de nouveaux modes d organisation des soins destinés à optimiser le parcours de santé des Personnes Âgées en Risque de Perte d Autonomie (PAERPA). L objectif de ces expérimentations est d éviter les ruptures dans l accompagnement des personnes âgées et de diminuer le recours à l hospitalisation non justifiée. Cette mesure met en œuvre une des recommandations du Haut Conseil pour l Avenir de l Assurance Maladie (HCAAM) qui, dans un rapport de 2010, insistait sur la nécessité d engager une réflexion sur l efficience de notre système de santé et de rompre avec la logique en silos des modes de financement et de structuration de l offre en développant une approche basée sur les parcours de soins (1). Cette recommandation a servi de support à la rédaction du cahier des charges de l expérimentation, article 70 de la LFSS 2012 qui fixe comme objectif de «favoriser la continuité du parcours de soins», à la fois par «une meilleure organisation des soins permettant d éviter quand c est possible une hospitalisation et de prévenir des ré hospitalisations des sujets âgés» et par «un véritable partage des informations entre les professionnels». Deux textes complémentaires qui identifient la personne âgée en perte d autonomie comme cible prioritaire des parcours à construire. (1) Avis du Haut Conseil pour l avenir de l Assurance maladie du 22 avril 2010 : «Vieillissement, longévité et Assurance maladie». 77
2 I. Une priorité : améliorer le parcours de santé de la personne âgée en perte d autonomie L ensemble des acteurs l admet : l organisation de notre système de santé n est pas optimale pour la prise en charge des personnes âgées. L analyse des données statistiques fournies par l Assurance maladie et l Agence Technique de l Information sur l Hospitalisation (ATIH) corroborent les informations tirées de l examen de nombreuses situations individuelles : les parcours des personnes âgées sont trop souvent fragmentés et obéissent plus à des carences dans l offre de soins qu aux besoins mêmes des personnes. Ainsi le recours à l hôpital reste trop systématique avec toutes ses conséquences délétères : rupture dans le mode de vie, désorientation et perte d autonomie. Plusieurs études anglo-saxonnes récentes démontrent ce que l on présupposait : un séjour à l hôpital même court (plus d une nuit) provoque souvent désorientation chez un patient âgé et perte de facultés cognitives (2). L hôpital est trop souvent le lieu d accueil de situations restées sans solutions ailleurs : manque de places en EHPAD, réaction trop tardive des services sociaux, lacunes dans l information des familles Il devient le creuset dans lequel se concentre la majorité des problèmes de coordination et de prise en charge du vieillissement, que ces difficultés aient ou non leur origine en son sein. L hôpital cumule au final les carences, les cloisonnements et les ambiguïtés liés à son propre fonctionnement et ceux de son environnement, la médecine de ville en premier lieu. D après le HCCM, les personnes âgées sont ainsi surreprésentées dans la population hospitalisée : les personnes de 60 ans et plus représentent 22 % de la population, mais 33 % de la population hospitalisée au moins une fois au cours d une année. De même, les 75 ans et plus représentent 9 % de la population mais 15 % de la population hospitalisée au moins une fois dans l année (3). Dans ce même ordre d idée, les statistiques les plus récentes montrent également un fort recours aux urgences, plus précisément un recours aux urgences suivies d une hospitalisation. Ainsi, à partir de 70 ans, ce taux augmenterait fortement pour dépasser les 40 % à compter de 80 ans. Enfin, les transitions entre les différents modes d hébergement ne sont pas suffisamment anticipées et préparées. Un constat sévère amplifié par d autres facteurs délétères de nature à induire des ruptures. A. La multiplicité des intervenants La multiplicité des acteurs, un atout en soi, peut vite se transformer en piège si la coordination des intervenants conduit à une segmentation de leurs interventions. Les réseaux, Services de Soins Infirmiers À Domicile (SSIAD) ne répondent pas tous aux exigences du développement des nouveaux modes d exercice regroupés encouragé par la loi «HPST» du 21 juillet Les dispositifs pilotés par des établissements de santé, hospitalisation à domicile en particulier, sont souvent mal connus et sous-utilisés par les professionnels de proximité. Les nombreux Comités Locaux d Information (2) Preoperative anxiety as a predictor of mortality and major morbidity in patients aged 70 and more American Journal of Cardiology (3) Direction de la Recherche, des Études, de l Évaluation et des Statistiques (2008), «L état de santé de la population en France rapport 2007», collection études et statistiques, La Documentation Française. 78 N 44 Novembre 2013
3 ECOLE DES DIRIGEANTS DE LA PROTECTION SOCIALE et de Coordination (CLIC) assurent certes un rôle d information, d orientation et de coordination mais demeurent cantonnés dans la sphère sociale ou médicosociale. De plus certains territoires sont mal couverts par une offre de soins de premier recours, cumulant ainsi vieillissement de leur population, induction de nouveaux besoins et démographie médicale fragile. B. Une organisation hospitalière trop axée sur la haute technicité L adaptation des structures hospitalières à la prise en charge des situations rencontrées par les personnes âgées se pose parfois avec acuité. C est notamment le cas pour les services d urgence, peu organisés pour un accueil gériatrique spécifique. Plus généralement, le questionnement porte sur l hyperspécialisation disciplinaire des plus grands hôpitaux, mal adaptée aux situations cliniques poly-pathologiques qui sont souvent la caractéristique du grand âge. Les réponses apportées par les EHPAD ne sont pas totalement adaptées aux besoins : les soins bucco-dentaires sont un maillon faible pour la plupart des EHPAD non équipés de fauteuils dentaires dont le personnel soignant n est pas formé et les familles peu motivées. Or une étude de 2009 menée par plusieurs URCAM a montré l intérêt d une prise en charge précoce de l hygiène buccodentaire des résidents qui, négligée, peut provoquer dénutrition et induire une iatrogénie médicamenteuse ; la multiplicité fréquente d intervenants médicaux au sein d un EHPAD, dont l activité est trop peu souvent coordonnée (moins de 50 % de médecins coordinateurs dans les établissements) est un obstacle à une prise en charge efficiente même s il est légitime que les personnes hébergées et leurs familles souhaitent conserver le lien privilégié avec leur médecin traitant ; la faiblesse de la prévention primaire (chutes, médicaments, nutrition) et l insuffisante prise en charge de la bientraitance par la promotion d actions de prévention (activités physiques adaptées, activités de stimulation intellectuelle et cognitive). L insuffisante prise en compte de la spécificité de la personne âgée par le médecin traitant, confrontée à une fragilité polypathologique, est patente. Plusieurs expériences tentent d ailleurs aujourd hui de promouvoir la formation des médecins au repérage de cette fragilité. L Assurance maladie s est d ailleurs engagée dans des négociations conventionnelles afin de valoriser les consultations «longues» visant tout particulièrement la personne de plus de 75 ans, atteinte ou non d affections de longue durée. Enfin, plusieurs régions financent des temps de formation pour les professionnels de santé avec le concours des organismes d Assurance complémentaire, voire certains laboratoires pharmaceutiques. La conjonction de ces multiples facteurs fragilise plus que de besoin la personne âgée et induit souvent des prises en charge dispendieuses et inadaptées. Dans ces conditions il devient indispensable de changer de paradigme et de mobiliser les acteurs de la santé pour offrir à la personne âgée un parcours intégrant une offre de services graduée et coordonnée. II. Une démarche pragmatique : mener des expériences concrètes sur le territoire national À partir du 1 er janvier 2013, des expérimentations pourront être menées pour une durée n excédant pas cinq ans, dans le cadre de projets pilotes mettant en œuvre de nouveaux modes d organisation des soins destinés à optimiser le parcours de santé des personnes âgées en risque de perte d autonomie, en coordonnant des acteurs très divers, en dégageant des marges de manœuvre 79
4 financières, en diminuant le recours à l hospitalisation et sa durée. Les expérimentations seront mises en œuvre sur quelques territoires par convention entre les agences régionales de santé, les organismes locaux d Assurance maladie, les professionnels de santé, les établissements de santé, sociaux et médico-sociaux, les collectivités territoriales volontaires ainsi que, le cas échéant, des organismes complémentaires d Assurance maladie. Un Comité national de Pilotage (COPIL PAERPA) du parcours de santé des personnes âgées en risque de perte d autonomie, a été installé en avril dernier sous la présidence de Dominique Libault, pour entamer une large concertation sur l amélioration de l offre de soins et tracer les grandes lignes du cahier des charges national des projets pilotes. Une réflexion qui s appuie sur les préconisations du HCAAM dans ses rapports de 2010 et 2011 de recourir d abord à la mise en place d un dispositif «prototype» sur un nombre limité de territoires (appelés territoires pilotes). Les principes qui devront guider l action publique dans ce domaine sont les suivants : le dispositif doit concerner l ensemble de la population et l ensemble des acteurs de la prise en charge sur un territoire ; le dispositif doit s appuyer sur les acteurs existants ; l organisation mise en place doit être reproductible ; le financement doit favoriser la continuité du parcours de santé ; l évaluation médico-économique doit être réalisée sur le long terme. Une double démarche est donc aujourd hui engagée sur les territoires : 11 projets expérimentaux (7 régions concernées) autour de la prévention des hospitalisations et de la sortie d hôpital sont menés au titre de l article 70 de la LFSS projets seront suivis au titre de l article 48 de la LFSS 2013 et mis en œuvre en septembre 2013 puis 3 autres effectifs début 2014 : Centre (territoire du Lochois), Île-de-France (territoire parisien), Lorraine (territoire nancéen), Midi-Pyrénées (territoire des Hautes-Pyrénées), Pays de la Loire (territoire mayennais), Aquitaine (territoire de Bordeaux), Limousin (territoire corrézien), Nord-Pas-de-Calais (territoire du Valenciennois-Quercitain). Ces actions permettront à plusieurs régions qui, par leur Projet Régional de Santé (PRS), se sont engagées à offrir à toute personne un égal accès à un parcours de santé en tous points du territoire régional, de trouver une traduction concrète sur des territoires identifiés, ruraux, urbains ou mixtes. Il est trop tôt pour tirer les premiers bilans de ces expérimentations débutantes mais les pistes tracées semblent prometteuses. Ainsi ont été retenus les projets de développement des téléconsultations dans les EHPAD et MSP en Poitou-Charente, la mise en place d un programme expérimental pour organiser de façon coordonnée le parcours de santé des personnes âgées atteintes d insuffisance cardiaque dans 3 arrondissements de Paris ou encore la modélisation d un parcours en chirurgie ambulatoire pour les patients isolés sur le territoire du Grand Nancy. Toutes ces pistes de travail devront veiller à la fluidité du parcours respectant le choix du patient, la qualité de la prise en charge et l efficience des moyens utilisés. Le parcours doit permettre des trajectoires réversibles. Il faut envisager des allers et retours. 80 N 44 Novembre 2013
5 ECOLE DES DIRIGEANTS DE LA PROTECTION SOCIALE III. Les ARS doivent accompagner la coordination autour de la personne âgée et promouvoir le décloisonnement des professionnels de santé La coordination des acteurs est un maillon essentiel du parcours du patient âgé en perte d autonomie. Un maillon qui doit se renforcer par une étroite collaboration formalisée entre les acteurs autour de la notion de «communication confiante». Plusieurs leviers peuvent être mobilisés pour actionner cette indispensable coordination : identifier et analyser les conditions de l efficience des parcours de santé et de soins au profit du patient et de la qualité des soins sur les territoires ; favoriser les coopérations entre professionnels de santé et le partage de l information. Tous ces «leviers» doivent être désormais actionnés par l ARS, avec la possibilité de mobiliser, sur un territoire, l ensemble des acteurs sur des objectifs quantifiés simples et visibles. Il conviendra également de cordonner les partenaires institutionnels, l Assurance maladie en particulier, engagés sur des expériences de parcours aujourd hui parallèles. Ainsi la convergence entre les Programmes d Aide au Retour à Domicile (PRADO) et parcours devra se faire dans un double souci de lisibilité et d efficience. Il conviendra également de veiller à ce que les projets locaux testent une des propositions du comité national de pilotage visant à construire, autour et en accord avec la personne âgée, une «coordination clinique de proximité» rassemblant, autour du médecin traitant, un infirmier, un pharmacien et, si besoin est, un masseur-kinésithérapeute ou tout autre professionnel de santé pouvant intervenir régulièrement à domicile. A. Substituer progressivement une médecine de parcours à une médecine d actes Concrètement, mettre en place une médecine de parcours et organiser le parcours de soins, signifie que ce n est pas au patient de coordonner lui-même la série d actes ou d interventions dont il a besoin. Cela induit que les professionnels de premiers recours doivent articuler leurs interventions et échanger des informations nécessaires à la continuité des soins. Une exigence qui paraît d une logique évidente mais dont on mesure les difficultés pratiques de mise en œuvre. C est pourquoi la pertinence des systèmes d information doit être repensée et s ouvrir largement aux nouvelles technologies : télémédecine dans le cadre de consultations spécialisées déportées, mise en place du dossier médical personnel Permettre demain à chacun d entre nous de bénéficier d une bonne prise en charge, par le bon professionnel de santé, dans la bonne structure, au bon moment, le tout au meilleur coût est une ambition légitime mais exigeante. Il faut accepter de passer d une médecine pensée comme une succession d actes isolés à une pratique coopérative entre professionnels. Une évolution qui est de moins en moins compatible avec un paiement à l acte exclusif et qui implique, plus qu aujourd hui, une participation active des patients, des aidants et des familles. B. Le cas particulier des urgences gériatriques De nombreux exemples tirés de la littérature médicale illustrent les effets délétères d une hospitalisation chez la personne âgée, aggravés chez la personne atteinte de troubles cognitifs ou de démence et majorés après passage par un sas d urgences. Les urgences gériatriques sont un enjeu de Santé publique car elles stigmatisent la faiblesse de la filière gériatrique et le manque d interfaces entre les différents secteurs. Une étude descriptive portant sur tous les 81
6 patients hospitalisés consécutivement en court séjour gériatrique au CHU de Grenoble entre janvier et avril 2007 a démontré une diminution du score des Activités de la Vie Quotidienne (AVQ) entre l état de base et la sortie d hospitalisation (4). Le passage aux urgences reste un marqueur particulièrement visible des failles de notre système. Plusieurs pistes d amélioration peuvent être tracées, gage de progrès rapides et mesurables : mieux articuler les activités d urgence et la permanence des soins ambulatoires ; réduire les hospitalisations injustifiées par une meilleure coordination autour du patient en lien avec le médico-social ; améliorer la gestion des lits à destination des établissements de santé MCO pour optimiser la gestion des flux programmés et non programmés (en lien avec le programme national de l ANAP Agence Nationale d Appui à la Performance) ; créer des lits de post-urgence gériatriques. IV. La médecine de parcours peut-elle améliorer l efficience de notre système de santé? L accompagnement des personnes âgées mobilise d ores et déjà des financements importants et variés par le recours aux professionnels de santé, aux établissements médico-sociaux et aux prestations et services sociaux. L équilibre financier des projets pilotes est une condition déterminante de leur réussite et donc de leur pérennité. Si certaines organisations ou prestations innovantes nécessitent des ressources nouvelles, le modèle économique des organisations mises en place doit être soutenable : l ensemble des dépenses doit être gagé par les économies générées sur la consommation de soins. La nature des crédits utilisés est également essentielle. Les fonds mobilisés doivent pouvoir être utilisés pour le soutien de la personne quelle que soit le professionnel ou la structure impliqués. Le Fonds d Intervention Régional (FIR), souple et fongible localement, apparaît pour l heure comme l instrument financier le plus adéquat pour accompagner le financement des projets pilotes. La réflexion sur les parcours de santé des personnes âgées doit permettre d expérimenter sur les territoires ces décloisonnements et de bénéficier ainsi d un retour d expériences intéressant en vue de déployer ensuite plus largement cette démarche et de tester sa réplication. Les actions mises en œuvre doivent permettre d infléchir durablement les comportements de l ensemble des acteurs du système de santé, qu ils soient professionnels de santé en ville ou à l hôpital, assurés, établissements et services de soins. C est peut-être une des seules voies qui nous permettront de concilier qualité de l offre et dépenses de santé. En ce sens, la réponse à la question posée est sans ambigüité : le parcours doit améliorer l efficience de notre système de santé d autant plus, qu expérimenté aujourd hui au profit de nos aînés les plus vulnérables, il devra être généralisé à toute la population. Plus qu une évolution des pratiques, une révolution des comportements! (4) S. Mazière, I. Lanièce, C. Millet, C. Bioteau, P. Couturier, G. Gavazzi, «Facteurs prédictifs du déclin fonctionnel de la personne âgée après une hospitalisation en court séjour gériatrique : importance de l évolution fonctionnelle récente», Clinique Universitaire de Médecine Gériatrique, CHU de Grenoble, France. 82 N 44 Novembre 2013
Annexe 2 Les expressions du HCAAM sur la coordination des interventions des professionnels autour du patient
Annexe 2 Les expressions du HCAAM sur la coordination des interventions des professionnels autour du patient Dans son avis de 2012 «L assurance maladie : les options du HCAAM» qui synthétise l ensemble
Plus en détail«Politique des ARS pour les seniors»
«Politique des ARS pour les seniors» Claude EVIN, Directeur Général de l Agence Régionale de Santé d Ile-de-France XX/XX/XX L ARS, acteur majeur de la politique de santé et d accompagnement au service
Plus en détail«Améliorer les parcours de santé des personnes âgées en risque de perte d autonomie»
DOSSIER PAERPA «Améliorer les parcours de santé des personnes âgées en risque de perte d autonomie» 1 _ SOMMAIRE Quelques données chiffrées 3 Les initiatives déjà engagées pour améliorer les parcours de
Plus en détailProyecto Telemedicina
Seminario Internacional Desarrollo de Servicios Sociales para Personas Mayores 3-4 octubre 2013 Proyecto Telemedicina Dr Jean-Philippe Flouzat Médico geriatra, Consejero Médico Social de la Agencia Regional
Plus en détailAllocution d ouverture de Jean DEBEAUPUIS, Directeur Général de l Offre de soins
Allocution d ouverture de Jean DEBEAUPUIS, Directeur Général de l Offre de soins Université d été de la performance en santé - 29 août 2014- Lille Monsieur le président, Monsieur le directeur général,
Plus en détailSYSTEMES D INFORMATION EN SANTE Journée régionale du 12 janvier 2012 - Blois
SYSTEMES D INFORMATION EN SANTE Journée régionale du 12 janvier 2012 - Blois La télémédecine au service des soins de 1 er recours et de l aménagement du territoire dominique.depinoy@acsantis.com Pourquoi
Plus en détailMaisons de Santé Pluridisciplinaires. Conditions d éligibilité à des soutiens financiers
Maisons de Santé Pluridisciplinaires Conditions d éligibilité à des soutiens financiers Les maisons de santé pluridisciplinaires (MSP) visent à offrir à la population, sur un même lieu, un ensemble de
Plus en détailP atients S anté T erritoires
H ôpital P atients S anté T erritoires L exercice regroupé dans les services de santé Une action coordonnée des professionnels en faveur des patients De plus en plus de professionnels de santé ont depuis
Plus en détailTélé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale :
Télé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale : Docteur DARY Patrick, Cardiologue, Praticien Hospitalier Centre Hospitalier de St YRIEIX - Haute Vienne 87500 Situé
Plus en détailContribution de la Mutualité Française Centre à la Stratégie Nationale de Santé. Tours
Contribution de la Mutualité Française Centre à la Stratégie Nationale de Santé Tours Débat régional du 13 février 2014 Chantier n 1 du programme Gaspar : développer les conventionnements tiers payant
Plus en détailRapport sur la mise en oeuvre des projets pilotes
Comité national de pilotage sur le parcours de santé des personnes âgées en risque de perte d'autonomie Rapport sur la mise en oeuvre des projets pilotes Comité présidé par Dominique Libault Composé d
Plus en détailAméliorer la coordination des soins : comment faire évoluer les réseaux de santé?
Guide méthodologique Améliorer la coordination des soins : comment faire évoluer les réseaux de santé? Octobre 2012 Direction générale de l offre de soins Sommaire Synthèse... 2 Introduction... 3 Partie
Plus en détailInsuffisance cardiaque et télémédecine: Exemple du Projet E care : prise en charge à domicile des insuffisants cardiaques en stade III
Insuffisance cardiaque et télémédecine: Exemple du Projet E care : prise en charge à domicile des insuffisants cardiaques en stade III de la NYHA Emmanuel ANDRES et Samy TALHA Service de Médecine Interne,
Plus en détailARRÊTÉ du. relatif au cahier des charges de santé de la maison de santé mentionné à l article L. 6323-3 du code de la santé publique.
RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Ministère du travail, de l emploi NOR : ARRÊTÉ du relatif au cahier des charges de santé de la maison de santé mentionné à l article L. 6323-3 du code de la santé publique. Le ministre
Plus en détailRéseau de Santé du Pays des Vals de Saintonge Pôle de santé du Canton d Aulnay de Saintonge MSP Aulnay et Néré PROJET D AULNAY PSP
Réseau de Santé du Pays des Vals de Saintonge PROJET D AULNAY MSP PSP Réseau de santé de proximité Historique Objectifs Particularités Avenir Réseau de Santé du Pays des Vals de Saintonge MAISON DE SANTE
Plus en détailMaison ou un Pôle de santé
Les 4 points clés pour créer une Maison ou un Pôle de santé pluri-professionnel De nouveaux modes d exercice coordonné et regroupé : L exercice médical dans les villes et dans les campagnes est aujourd
Plus en détailLa prévention : caractéristique du positionnement de la Mutualité Française sur l ensemble de son offre
La prévention : caractéristique du positionnement de la Mutualité Française sur l ensemble de son offre Avril 2011 La longue expérience de la Mutualité Française dans la mise en œuvre d actions de prévention,
Plus en détailRéunion régionale. avec les établissements de santé. 4 Avril 2013
Réunion régionale avec les établissements de santé 4 Avril 2013 1 Ordre du jour Introduction par Michel LAFORCADE, Directeur Général de l ARS Aquitaine 1 ) Optimiser les parcours de santé: place des établissements
Plus en détailTIC pour la santé et l'autonomie : évaluation des services rendus et modèles économiques, une approche nécessairement pluridisciplinaire
TIC pour la santé et l'autonomie : évaluation des services rendus et modèles économiques, une approche nécessairement pluridisciplinaire Telecom Bretagne, Institut Telecom M@rsouin, CREM Myriam.legoff@telecom-bretagne.eu
Plus en détailLE FINANCEMENT. MSPD Eric Fretillere Conseil Régional de l Ordre des Médecins d Aquitaine CDOM 47Page 1
LE FINANCEMENT Il ne faut pas se le cacher, le financement est une difficulté et de nombreuses maisons médicales dans les 10 dernières années, qui fonctionnaient de manière satisfaisante, sont «décédées»
Plus en détailDOSSIER DE PRESSE Le 31 octobre 2014
DOSSIER DE PRESSE Le 31 octobre 2014 La Bourgogne, territoire de soins numérique La Bourgogne fait partie des 5 régions lauréates de Territoire de Soins Numérique (TSN). La région va recevoir un soutien
Plus en détaile-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé
e-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé Professeur Michèle Kessler CHU de Nancy et réseau Néphrolor L une des applications de la télémédecine est la télésurveillance à domicile,
Plus en détailCONTRIBUTION DU CH-FO Le dialogue social et la gestion des ressources humaines
CONTRIBUTION DU CH-FO Le dialogue social et la gestion des ressources humaines 1/ Les constats les plus marquants sont : - l absentéisme de courte durée qui continue d évoluer fortement et qui met sous
Plus en détailOrganiser une permanence d accès aux soins de santé PASS
Établissements de santé Droits et accueil des usagers Organiser une permanence d accès aux soins de santé PASS Recommandations et indicateurs Préface Faire face aux inégalités de santé qui touchent tout
Plus en détailLe service public hospitalier et la vulnérabilité : Les équipes mobiles de gériatrie. Pr Nathalie Salles Pôle de Gérontologie CHU Bordeaux
Le service public hospitalier et la vulnérabilité : Les équipes mobiles de gériatrie Pr Nathalie Salles Pôle de Gérontologie CHU Bordeaux Plan Vulnérabilité et fragilité de la personne âgée Filière de
Plus en détailStratégie de déploiement
Messageries Sécurisées de Santé (MSSanté) Mars 2014 Page 1 La présente note vise à éclairer la démarche de mise en place d un système de messageries sécurisées de santé en concertation avec l ensemble
Plus en détailLa preuve par. Principaux enseignements du bilan des PRT et. du recensement des projets télémédecine 2013
La preuve par Principaux enseignements du bilan des PRT et du recensement des projets télémédecine 2013 Le recensement Télémédecine 2013 01 Synthèse du recensement Télémédecine 2013 02 Répartition et maturité
Plus en détailLes technologies de l information, support de la réorganisation territoriale
Les technologies de l information, support de la réorganisation territoriale Pierre Simon Président de l Association Nationale de Télémédecine (ANTEL) De quoi parlons-nous? Le cadre de la santénumérique
Plus en détailPlan «Alzheimer et maladies apparentées» 2008-2012
Plan «Alzheimer et maladies apparentées» 2008-2012 1 er février 2008 Sommaire 10 MESURES PHARES 6 RESUME DES FINANCEMENTS 7 SYNTHESE DES FINANCEMENTS PAR MESURE 8 AXE I. AMELIORER LA QUALITE DE VIE DES
Plus en détailEquipe mobile SMES CH Sainte-Anne (Paris)
Equipe mobile SMES CH Sainte-Anne (Paris) 1. Contexte local Géographie La psychiatrie adulte de l hôpital Sainte-Anne est orientée vers 7 secteurs psychiatriques adultes, que ce soit pour les hospitalisations,
Plus en détailLa télémédecine, complément nécessaire de l exercice médical de demain. Dr Pierre SIMON Président de l Association Nationale de Télémédecine (ANTEL)
La télémédecine, complément nécessaire de l exercice médical de demain Dr Pierre SIMON Président de l Association Nationale de Télémédecine (ANTEL) Angers FHF 13 septembre 2012 Ce qui a changé dans l exercice
Plus en détailsociales (pour information) CIRCULAIRE DGS(SD6/A)/DGAS/DSS/2002/551 / du 30 octobre 2002 relative aux appartements de coordination thérapeutique (ACT)
Le Ministre de la Santé, de la Famille Et des personnes Handicapées A Mesdames et Messieurs les Préfets de région Direction régionales des affaires sanitaires et sociales Mesdames et Messieurs les Préfets
Plus en détailL'impact des modes d'organisation sur la prise en charge du grand âge
Inspection générale des affaires sociales RM2011-064P L'impact des modes d'organisation sur la prise en charge du grand âge RAPPORT DE SYNTHESE Établi par Annie FOUQUET Jean Jacques TREGOAT Membres de
Plus en détailCahier des charges des maisons de santé pluri-professionnelles pouvant bénéficier d un soutien financier
DGOS/PF3/CdC MSP PF3 R2 DSS RB 21 07 10 Cahier des charges des maisons de santé pluri-professionnelles pouvant bénéficier d un soutien financier L article L. 6323-3 du code de la santé publique prévoit
Plus en détailNouveaux rôles infirmiers : une nécessité pour la santé publique et la sécurité des soins, un avenir pour la profession
Position adoptée par Conseil national de l Ordre des infirmiers le 14 septembre 2010 Nouveaux rôles infirmiers : une nécessité pour la santé publique et la sécurité des soins, un avenir pour la profession
Plus en détailCAHIER DES CHARGES Pour la mise en œuvre d une maison de santé pluridisciplinaire En Lot-et-Garonne
CAHIER DES CHARGES Pour la mise en œuvre d une maison de santé pluridisciplinaire En Lot-et-Garonne Les patients ont besoin d une réponse de proximité et d une prise en charge globale qui nécessite une
Plus en détailDOSSIER DE PRESSE. Les dates clés de la Coddem
6 ème séance plénière lundi 14 avril 2014 DOSSIER DE PRESSE La commission départementale de la démographie médicale : l instance incontournable en Lot-et-Garonne pour mettre en place un nouvel exercice
Plus en détailProgramme régional de télémédecine
e-santé Programme régional de télémédecine 2012 > Consultation réglementaire www.sante.midi-pyrenees.fr PRT > Programme régional Télémédecine Contexte p. 4 Les actions du premier Programme régional de
Plus en détail1 ère partie Amont de l'hôpital : organiser la permanence des soins une obligation médicale!
Plan «Urgences» 1 ère partie Amont de l'hôpital : organiser la permanence des soins une obligation médicale! Fiche 1.1 La permanence des médecins généralistes Mesure 1 Assurer la permanence de soins Mesure
Plus en détailCOMPTE-RENDU D ACCREDITATION DE LA CLINIQUE LA LIRONDE. Saint-Clément-de-Rivière 34980 Saint-Gély-du-Fesc
COMPTE-RENDU D ACCREDITATION DE LA CLINIQUE LA LIRONDE Saint-Clément-de-Rivière 34980 Saint-Gély-du-Fesc Avril 2003 SOMMAIRE COMMENT LIRE LE «COMPTE-RENDU D ACCREDITATION»... p.3 PARTIE 1 PRESENTATION
Plus en détailL hôpital dans la société. L expérience du CHU de Paris, l AP HP. Pierre Lombrail, Jean-Yves Fagon
L hôpital dans la société. L expérience du CHU de Paris, l AP HP. Pierre Lombrail, Jean-Yves Fagon Colloque Santé et Société Quels déterminants de santé et quel système de soins pour la santé de toute
Plus en détailMettre en place de plateformes inter-opérables mutualisées d informations et de services.
7 points pour garantir un bel avenir de la e-santé en France... by Morgan - Dimanche, janvier 30, 2011 http://www.jaibobola.fr/2011/01/avenir-de-la-e-sante-en-france.html La Recherche et le développement
Plus en détailPrécarité sociale et recours aux soins dans les établissements de soins du Tarn-et-Garonne
O B S E R V A T O I R E R E G I O N A L D E L A S A N T E D E M I D I - P Y R E N E E S Précarité sociale et recours aux soins dans les établissements de soins du Tarn-et-Garonne Novembre 2007 SYSTEME
Plus en détailCentre national de la danse Mesures en faveur de la formation, de l insertion, des conditions de vie et de la diversité des jeunes créateurs
Centre national de la danse Mesures en faveur de la formation, de l insertion, des conditions de vie MARDI Contact presse Ministère de la Culture et de la Communication Délégation à l information et à
Plus en détailMINISTERE DES AFFAIRES SOCIALES ET DE LA SANTE
MINISTERE DES AFFAIRES SOCIALES ET DE LA SANTE Direction générale de l offre de soins Sous-direction de la régulation Bureau R4 Dossier suivi par Denise Bauer Tél. : 01 40 56 52 78 Mel. : denise.bauer@sante.gouv.fr
Plus en détailContact chargées de mission FEHAP Centre : Magali BASTELICA, magali.bastelica@fehap.fr, 06 45 55 50 12 Nathalie PERPINIAL,
Contact chargées de mission FEHAP Centre : Magali BASTELICA, magali.bastelica@fehap.fr, 06 45 55 50 12 Nathalie PERPINIAL, nathalie.perpinial@fehap.fr, 06 74 72 73 78 SOMMAIRE Pourquoi la FEHAP intervientelle
Plus en détailL ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE DU PATIENT EN 15 QUESTIONS - RÉPONSES
L ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE DU PATIENT EN 15 QUESTIONS - RÉPONSES CONTEXTE 1. Pourquoi avoir élaboré un guide sur l éducation thérapeutique du En réponse à la demande croissante des professionnels de santé
Plus en détail«Les actions publiques en faveur de l action aux soins de proximité»
«Les actions publiques en faveur de l action aux soins de proximité» Mai 2014 La définition de territoires prioritaires : les espaces d équipes de soins fragiles et sous vigilances Enjeux des espaces d
Plus en détailPosition de l ASTEE sur l innovation en matière de services d eau et de déchets
Position de l ASTEE sur l innovation en matière de services d eau et de déchets Les services publics locaux de l environnement : des services discrets mais moteurs de développement Depuis leur mise en
Plus en détailLépine Providence DOSSIER DE PRESSE
Lépine Providence L E S E N S D E L A V I E DOSSIER DE PRESSE Réunir & innover au service des personnes âgées Depuis 2010, la Ville de Versailles est titulaire du label Bien vieillir. Véritable récompense
Plus en détailProjet de santé. Nom du site : N Finess : (Sera prochainement attribué par les services de l ARS) Statut juridique : Raison Sociale :
Projet de santé Nom du site : N Finess : (Sera prochainement attribué par les services de l ARS) Statut juridique : Raison Sociale : Adresse du siège social : Téléphone : Mail : Version : Etablie en date
Plus en détailAide kinésithérapeute : une réalité?
Aide kinésithérapeute : une réalité? Fabien Launay Cadre supérieur du pôle rééducation CHU de Dijon Dijon (21) Préambule : La fonction d aide-kinésithérapeute n est pas nouvelle. Elle peut être occupée
Plus en détailLe niveau 3 - alerte canicule correspond à une vigilance météorologique orange pour le paramètre canicule.
ANNEXE FICHE 10 : NIVEAU 3 - ALERTE CANICULE Le niveau 3 - alerte canicule correspond à une vigilance météorologique orange pour le paramètre canicule. I. MESURES PRISES AU NIVEAU 3 - ALERTE CANICULE 1.
Plus en détailLa télémédecine en action : 25 projets passés à la loupe. Un éclairage pour un déploiement national
La télémédecine en action : 25 projets passés à la loupe Un éclairage pour un déploiement national Journée Télémédecine ASIP Santé 3 mai 2012 Pascale MARTIN - ANAP Agence Nationale d Appui à la Performance
Plus en détailNouveau plan greffe : Axes stratégiques pour l avenir
Extrait Communiqué de presse Saint-Denis, le 12 avril 2012 Nouveau plan greffe : Axes stratégiques pour l avenir La dynamique du plan greffe 2000-2003 a généré un essor sans précédent de près de 50 % de
Plus en détailDocument de travail «Conduite de l évaluation interne dans les établissements hébergeant des personnes âgées dépendantes» Mars 2011
Document de travail «Conduite de l évaluation interne dans les établissements hébergeant des personnes âgées dépendantes» Mars 2011 DOCUMENT DE TRAVAIL Anesm-MARS 2011 1 Sommaire 1. Introduction... 3 Qu
Plus en détailPRADO, le programme de retour à domicile
, le programme de retour à domicile Enjeux et objectifs du programme Répondre à une volonté croissante des patients Adapter et renforcer le suivi post hospitalisation Optimiser le retour à domicile et
Plus en détailPrésentation du Programme PHARE
Présentation du Programme PHARE Le programme PHARE : des gains pour la qualité de l offre de soins Le contexte du programme PHARE Les achats hospitaliers représentent 18 Md, second poste de dépenses des
Plus en détailUN PROGRAMME POUR LA GERIATRIE
UN PROGRAMME POUR LA GERIATRIE 5 objectifs, 20 recommandations, 45 mesures pour atténuer l impact du choc démographique gériatrique sur le fonctionnement des hôpitaux dans les 15 ans à venir Rapport rédigé
Plus en détailAugmenter l impact économique de la recherche :
Augmenter l impact économique de la recherche : 15 mesures pour une nouvelle dynamique de transfert de la recherche publique, levier de croissance et de compétitivité Partout dans le monde, la recherche
Plus en détailMINISTÈRE DES AFFAIRES SOCIALES ET DE LA SANTÉ
MINISTÈRE DES AFFAIRES SOCIALES ET DE LA SANTÉ _ Direction de la recherche, des études, de l évaluation et des statistiques _ Sous-direction observation de la santé et de l assurance maladie _ Bureau établissements
Plus en détailAboutissement d un long processus de maturation
Les agences régionales de santé : missions et organisation Mises en place le 1 er avril 2010, les agences régionales de santé ont décloisonné les différents secteurs de la santé (hôpital, prévention, ambulatoire,
Plus en détailRéférentiel métier de Directeur des Soins en établissement et en institut de formation mars 2010
Référentiel métier de Directeur(trice) des soins Ce référentiel intègre à la fois le métier Directeur(trice) des soins en établissement et celui de Directeur(trice) des soins en institut de formation paramédicale.
Plus en détailPRDFP. 2011-2015 Le Contrat de Plan Régional de Développement des Formations Professionnelles. cohérence. Concertation. Innovation.
cohérence ÉGALITÉ DES CHANCES/DYNAMIQUE ÉCONOMIQUE Concertation Innovation Innovation www.regionreunion.com Concertation cohérence 2011-2015 Le Contrat de Plan Régional de Développement des Formations
Plus en détailma référence solidaire
Bien plus qu une mutuelle p ma référence solidaire mgen.fr Mutuelle Santé Prévoyance Autonomie Retraite Le groupe MGEN p La référence solidaire pour tous Chiffres clés 2013 2 3,7 3 209 millions de personnes
Plus en détailDE LA STRATEGIE LEADER. Appel d offres Novembre 2014
CAHIER DES CHARGES ACCOMPAGNEMENT A LA DEFINITION DE LA STRATEGIE LEADER DU PNR DE LA BRENNE Appel d offres Novembre 2014 Parc naturel régional de la Brenne Maison du Parc Le Bouchet - 36300 ROSNAY 02
Plus en détailLUTTER POUR UNE MEILLEURE SANTÉ : QUE PEUT-ON FAIRE DANS NOTRE QUARTIER?
LUTTER POUR UNE MEILLEURE SANTÉ : QUE PEUT-ON FAIRE DANS NOTRE QUARTIER? Résumé des trois enjeux présentés lors de l Assemblée publique du comité de lutte en santé de la Clinique communautaire de Pointe-Saint-Charles
Plus en détailTélésurveillance à domicile de patients chroniques et pratiques collaboratives : arrêt sur image vu d un Industriel
Télésurveillance à domicile de patients chroniques et pratiques collaboratives : arrêt sur image vu d un Industriel Colloque Tic Santé,11 février 2010 Dr France Laffisse, Orange Healthcare Plan Télésurveillance
Plus en détailVotre partenaire pour construire une offre de santé adaptée aux territoires. Les services de soins et d accompagnement de la Mutualité Française
Les services de soins et d accompagnement de la Mutualité Française Prévenir - Soigner - Accompagner Votre partenaire pour construire une offre de santé adaptée aux territoires Qui est la Mutualité Française?
Plus en détail> Présentation du programme... 3. > Peps Eurêka - Mémoire : Pour donner du Peps à ses neurones et à sa vie... 4
2 SOMMAIRE > Présentation du programme... 3 > Peps Eurêka - Mémoire : Pour donner du Peps à ses neurones et à sa vie... 4 > L Équilibre, où en êtes-vous? : Prévenir les chutes et apprendre à se relever
Plus en détailCONFERENCE NATIONALE DU HANDICAP. Relevé des conclusions
PRÉSIDENCE DE LA RÉPUBLIQUE Service de presse Paris, le 11 décembre 2014 CONFERENCE NATIONALE DU HANDICAP Relevé des conclusions A l occasion de la Conférence nationale du handicap du 11 décembre 2014,
Plus en détailI. Qu est ce qu un SSIAD?
1 Plan Introduction I. Qu est ce qu un SSIAD? II. L accompagnement du SSIAD III. Présentation du SSIAD de Meyssac et de Beynat IV. Les personnes prises en soin dans le SSIAD V. Présentation d une situation
Plus en détailMEMORANDUM POSITIONNEMENT DES ORGANISATIONS DE LA SOCIETE CIVILE SENEGALAISE SUR LA COUVERTURE MALADIE UNIVERSELLE
MEMORANDUM MEMORANDUM POSITIONNEMENT DES ORGANISATIONS DE LA SOCIETE CIVILE SENEGALAISE SUR LA COUVERTURE MALADIE UNIVERSELLE Novembre 2013 1. CONTEXTE DU MEMORANDUM Le Sénégal, à l image des pays de la
Plus en détailAPPEL À PROJET TSN - SYNTHESE RÉPONSE ARS AQUITAINE
1 Les Landes, et a fortiori le Nord et l Est de ce département, concentrent une majorité des défis de santé publique auxquels certains territoires nationaux sont aussi confrontés : qu il s agisse du vieillissement
Plus en détail...... en quelques mots 1
... en quelques mots 1 Un nouveau Projet d'entreprise pourquoi faire? Le Projet d'entreprise 2006-2009 a porté l ambition de faire de l Assurance Maladie un assureur solidaire en santé reconnu en tant
Plus en détailPROJET DE TÉLÉMEDECINE
PROJET DE TÉLÉMEDECINE ISIFC 2 ème année Année universitaire 2011-2012 LA TÉLÉSURVEILLANCE Louis ACHA Rafaël MINACORI ISIFC Génie biomédical 23,rue Alain SAVARY 25000 Besançon Cedex Tél : 03 81 66 66 90
Plus en détailLa recherche clinique de demain ne se fera pas sans les paramédicaux
La recherche clinique de demain ne se fera pas sans les paramédicaux Marc Beaumont, kinésithérapeute - 5ème journée inter régionale GIRCI - Tours, 3 juin 2015 Qu est ce que la recherche clinique? «une
Plus en détailMINISTÈRE DES AFFAIRES SOCIALES ET DE LA SANTÉ. Organisation
MINISTÈRE DES AFFAIRES SOCIALES ET DE LA SANTÉ _ Direction générale de l offre de soins _ Sous-direction du pilotage de la performance des acteurs de l offre de soins _ Bureau des coopérations et contractualisations
Plus en détailIntervention de Marisol TOURAINE. Ministre des affaires sociales, de la santé et des droits des. femmes. Maison de Santé Pluridisciplinaire
1 Intervention de Marisol TOURAINE Ministre des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes Maison de Santé Pluridisciplinaire Magny-en-Vexin Vendredi 20 février 2015 Seul le prononcé fait
Plus en détailSchéma Régional d Organisation des Soins VOLET AMBULATOIRE ANNEXE PHARMACIES DIAGNOSTIC DE L OFFRE AMBULATOIRE
VOLET AMBULATOIRE ANNEXE PHARMACIES DIAGNOSTIC DE L OFFRE AMBULATOIRE SOMMAIRE 1.DIAGNOSTIC REGIONAL DE LA DELIVRANCE DU MEDICAMENT EN AMBULATOIRE... 3 1.1.Les modes d ouverture d une pharmacie... 3 1.2.Le
Plus en détailDOSSIER DE PRESSE NOUVELLES GARANTIES PRÉVOYANCE
DOSSIER DE PRESSE NOUVELLES GARANTIES PRÉVOYANCE Protection ACCIDENT Protection HOSPI Capital ÉQUIPEMENT HANDICAP / DÉPENDANCE Contact presse : Stéphanie ARREGROS Responsable Communication Tél. : 01 64
Plus en détailJournées de formation DMP
Journées de formation DMP Le DMP dans l écosystème Chantal Coru, Bureau Etudes, ASIP Santé Mardi 26 juin 2012 Processus de coordination au centre des prises en charge Quelques exemples Maisons de santé
Plus en détailPLAN NATIONAL D ACTION POUR UNE POLITIQUE DU MEDICAMENT ADAPTEE AUX BESOINS DES PERSONNES AGEES
PLAN NATIONAL D ACTION POUR UNE POLITIQUE DU MEDICAMENT ADAPTEE AUX BESOINS DES PERSONNES AGEES 1 Introduction Dans le cadre des travaux de préparation de la Loi d orientation et de programmation pour
Plus en détailPROJET DE FUSION. Introduction : Une volonté de rapprochement
PROJET DE FUSION Introduction : Une volonté de rapprochement Historique Anjou Soins Services, Santé Loire Vallée de l Authion et UNA du Saumurois sont trois associations expérimentées dans le soutien à
Plus en détailClassifier le handicap épileptique avec ou sans autres déficiences associées. Réponses médico-sociales.
Classifier le handicap épileptique avec ou sans autres déficiences associées. Réponses médico-sociales. 1 Les outils de mesure existants et description du handicap épileptique Il ne s agit pas ici de mesurer
Plus en détailDiplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences
Annexe II Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Les référentiels d activités et de compétences du métier d infirmier diplômé d Etat ne se substituent pas au cadre réglementaire. En effet,
Plus en détailRenforcer la mobilisation du droit commun
Dossier ressources Comprendre le droit commun pour le renforcer dans les quartiers Dans son article 1 er, la loi pour la ville et la cohésion urbaine précise : «La politique de la ville mobilise et adapte,
Plus en détailL hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines
L hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines Hôpital de jour (HDJ) Permet des soins ou examens nécessitant plateau
Plus en détailCompte rendu de la journée technique du mardi 23 septembre organisée par ODIT France à la Maison du Tourisme 75014 Paris
Compte rendu de la journée technique du mardi 23 septembre organisée par ODIT France à la Maison du Tourisme 75014 Paris Thème : Commercialiser la campagne : les questions de base posées aux territoires
Plus en détailQuestions / Réponses. Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées
Questions / Réponses Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées Quelques chiffres sur les troubles du sommeil et la consommation de benzodiazépines
Plus en détailMinistère de l intérieur --------
Ministère de l intérieur -------- Examen professionnel d ingénieur principal des systèmes d information et de communication du ministère de l intérieur Session 2013 Meilleure copie Sujet n 1 - Réseaux
Plus en détailCHARTE D ÉTHIQUE PROFESSIONNELLE DU GROUPE AFD
CHARTE D ÉTHIQUE PROFESSIONNELLE DU GROUPE AFD AVANT-PROPOS Établissement public, l Agence Française de Développement exerce une mission d intérêt public, principalement à l international. CHARTE D ÉTHIQUE
Plus en détailDiffusion : répondre aux plus exigeantes des prises en charge possibles au domicile
Ministère des affaires sociales et de la santé Direction générale de l offre de soins Sous-direction de la régulation de l offre de soins Bureau R4 Personne chargée du dossier : Isabelle Prade Tél. : 01
Plus en détailRECENSEMENT DES USAGES EXPRIMÉS. De nombreux usages potentiels exprimés par les adhérents avec des degrés de maturité et de faisabilité variables
1 RECENSEMENT DES USAGES EXPRIMÉS De nombreux usages potentiels exprimés par les adhérents avec des degrés de maturité et de faisabilité variables 2 LE PSIT A DÉFINI UN CADRE POUR LE DÉVELOPPEMENT DE LA
Plus en détailDossier Médical Personnel une réalité partagée en Alsace!
Dossier Médical Personnel une réalité partagée en Alsace! Mardi 14 Février 2012 L accompagnement des professionnels de santé sur le terrain M. Gaston STEINER directeur d Alsace e-santé(gcs) Le DMP, socle
Plus en détailUn coût, des coûts, quels coûts?
Un coût, des coûts, quels coûts? Robert LAUNOIS (1-2) Journal d Economie Médicale 1999, T. 17, n 1, 77-82 (1) REES France - 28, rue d Assas - 75 006 Paris Email : reesfrance@wanadoo.fr - Site Internet
Plus en détailPréambule, définitions, limites du sujet :
Télémédecine : Quel cadre, quels niveaux de preuves, quelles modalités de déploiement. XXIX èmes Rencontres Nationales de Pharmacologie et Recherche Clinique, Innovation et Evaluation des Technologies
Plus en détailLa présente note vise à expliciter de façon synthétique le contexte de lancement et le contenu du Projet ITEP coordonné et piloté par la CNSA.
Projet ITEP La présente note vise à expliciter de façon synthétique le contexte de lancement et le contenu du Projet ITEP coordonné et piloté par la CNSA. I. LE CADRE JURIDIQUE Les Instituts Thérapeutiques,
Plus en détailTERRITOIRES ET SANTE
TERRITOIRES ET SANTE UNE REPONSE A L EVOLUTION DE LA DEMOGRAPHIE DES PROFESSIONNELS DE SANTE ET A L AMELIORATION DE L AMENAGEMENT DU TERRITOIRE : LES MAISONS DE SANTE PLURIDISCIPLINAIRES GUIDE DE MISE
Plus en détailUNE AMBITION TRIPARTITE POUR L EGALITE ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES DANS L ENTREPRISE
UNE AMBITION TRIPARTITE POUR L EGALITE ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES DANS L ENTREPRISE La grande conférence sociale a permis d établir une feuille de route ambitieuse, qui engage ensemble l Etat, les
Plus en détail