Les raisons de la restructuration du secteur bancaire

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1 raisons de la restructuration du secteur bancaire Jeudi 19 mars

2 Plan

3 Contexte

4 Contexte Actualité riche en évenements Annonce de la fusion de la Caisse d Epargne et du groupe Banque Populaire le 26 février 2009, après le rapprochement des organes de financement et d investissement de ces deux banques en novembre 2006 Restructuration bancaire suite à la crise des subprimes

5 Importance de la concentration

6 Pourquoi un mouvement de Essentiellement des opérations de concentration et fusions-acquisitions. Pourquoi? Volonté d augmenter les parts de marché Volonté de mieux résister aux chocs économiques et financiers Gains d efficience,économies d échelle et de gamme, diversification des activités, banque universelle? Législation contraignante grosses entités Fusions sur les marchés domestiques mais après? Fusions transfrontières.

7 Apparition de nouvelles problématiques Banques puissantes, taille critique? Sont-elles trop grosses? Nécessité d une refonte de la législation et des autorités de contrôle. Effets de la crise actuelle sur le nouveau système (restructuré) européen.

8 Problématique Dans quelle mesure la concentration bancaire a-t-elle engendré de nouvelles pratiques bancaires et des nouveaux enjeux pour le legislateur?

9 Le rôle de l environnement L environnement, catalyseur de la restructuration du secteur bancaire européen (Laurent Quignon (2006) et Rym Ayadi, Pascal de Lima, Georges Pujals (2002)) 1980 s : transformation du paysage financier : déréglementation, globalisation, innovation technologique. Essor des marchés financiers = consolidation domestique nécessaire pour faire concurrence (efficacité, optimisation des coûts) Caractère national des concentrations puis transfrontalier. Surcapacités bancaires et libéralisation récente Concentration : d abord, fusions-absorptions (i.e. intra-groupes) puis, acquisition (i.e. le transfert de contrôle)

10 Economies d échelle Concentration= Economies d échelle par une augmentation de la taille But : maximisation efficience et minimisation des coûts Baisse du prix des inputs grâce à l augmentation de la taille des firmes Activités des banques d investissement et de gestion d actifs caractérisées par des coûts fixes élevés : Gains de peformance plus élevés que dans les autres types de banques en cas de concentration. Fusions plus nombreuses dans ce domaine France : nombre d établissements de crédit divisé par deux (Pierre-Henri Cassou (2005))

11 Economie de gamme (Pastré et Pontbriand (2005)) Volonté européenne de constitution de grandes banques commerciales : intégration de différents métiers dans des groupes diversifiés (Citigroup aux Etats-Unis) Concept du «one-stop-shopping» : gamme complète de services financiers : nombre de prestations = clientèle plus large. Economies de gamme : incitation à la concentration. D où création d acteurs multispécialistes : exemple des métiers de bancassurance Banque universelle? Champions nationaux?

12 Synergie Amélioration de la chaîne de production Synergie de coûts : Intégration des équipes Regroupement back office et services généraux Rationalisation Synergie des revenus Meilleure combinaison des facteurs de production Complémentarité Développement des ventes croisées

13 Synergie II En pratique : Synergies de coûts quasi-inexistantes. Synergies de revenus grâce à la diversification des produits, aux ventes croisées et aux transferts de compétences. Synergies limitées dans le cas des fusions transfrontalières ( Clash culturel, autorité du pays cible, retour du protectionnisme) (Jacques Rambosson(2005))

14 Diversification des risques, création de valeur actionnariale

15 Diversification des risques, création de valeur actionnariale Lissage des résultats (cycliques pour banques d investissement et récurrents pour banques de détails)= limitation de la volatilité. Risques du marché globalisé depuis les années 1980 = augmentation de la taille/diversification nécessaires = fusion Objectif de toute banque : créer de la valeur actionnariale = volonté de fusionner (logique du tout > somme des parties) MAIS inefficacité économique des fusions : moins d une fusion sur deux est créatrice de valeur pour l actionnaire (Ayadi, de Lima et Pujals (2002))

16 d étape Mais importance des coûts sociaux collectifs dans les fusions, ce qui soulève certaines questions. Rationalité économique et motivations de telles fusions au regard des leviers? Sont-elles valables?

17 La restructuration bancaire est un processus d adaptation aux changements économiques et technologiques.

18 Globalisation financère et élargissement des possibilités Services financiers de dimension planétaire Hausse de la concurrence dans la banque, les opérations sur titres et l assurance. De nouveaux acteurs : investisseurs institutionnels (fonds de pension, fonds mutuels et compagnies d assurance)

19 Union Européenne Union Européenne (1985) : libéralisation des échanges Rédaction des conditions de fonctionnement du marché unique pour ces activités (favorisant la concurrence en facilitant les activités transfrontalières) 3D du modèle de banque universelle. Euro : gomme les risques de change ou de taux d intérêt, transparence des prix Concurrence = les marges des opérations bancaires

20 Un changement nécéssaire Nécessité de restructurer le système bancaire pour s adapter au nouveau contexte économique Besoin d avoir des champions nationaux (ex : groupe BNP Paribas (1999)) avec une organisation plus simple et allégée = regroupement ou fusion de filiales Ensuite, restructurations transnationales (ex : prise de contrôle de CCF par HSBC) Pas seulement des M & A mais aussi des accords de coopération (ex : BNP et Dresdner Bank) et des participations minoritaires (ex : SG dans BSCH)

21 Le rôle des NTIC Le développement des NTIC = nécessité d adaptation au nouveau monde Plus faciles à utiliser à une grande échelle Ouvre la voie à des nouveaux services sous deux angles : Intégration à son propre réseau = profiter des technologies pour mettre au point la relation avec la clientèle Création de nouvelles filiales spécialisées Élimination des barrières géographiques et techniques = unification des marchés Nouveaux canaux de distribution des services et produits bancaires = coûts = incitation à les part de marché pour compenser la forte concurrence

22 Evolution du nombre de banques

23 La banque universelle banques universelles sont des conglomérats financiers regroupant les différents métiers des banques de détail, des banques de financement et d investissement et des banques de gestion d actifs. Exemples : Barclays, Société générale.

24 Diversification des activités Coexistence de plusieurs métiers de la banque dans une même entité Gestion du risque entre banque de détail et d investissement Développement de filiales spécialisées Phénomène de bancassurance (notamment les contrats dassurance-vie) Phénomène de «One-stop shopping» : gamme complète de services financiers Fusions = plus large palette de prestations.

25 Développement à l international Des banques transfrontières Relais de croissance pour un champion national Souci d accompagnement des clients développement des banques américaines dans un pays dépend des flux commerciaux entre les Etats-Unis et ce pays (Goldberg et Johnson (1990))

26 Une hausse de la profitabilité

27 Corrélation entre concentration et rentabilité

28 Gain d efficence X-efficience : Production du maximum d output possible étant donné ses inputs et la meilleure technologie disponible. Fusions et Acquisitions aux Etats-Unis dans les années 1980 = profitabilité et économies d échelles, mais pas l X-efficience (Peristiani (1996)) Privatisations et fusions-acquisitions = productivité des banques allemandes et italiennes entre 1994 et 2004 (Fiorentino & al, 2009) Résultats empiriques contrastés sur l effet de la concentration sur l efficience

29 La taille critique Concept délicat à définir Etudes empiriques : Taille critique entre 3 et 10 Mds de $ d actifs aux Etats-Unis (Noulas (1990)) sous l hypothèse d homogénéité des fonctions de production Faible par rapport à la taille des firmes existantes Concept de taille critique non uniforme

30 limites du gigantisme Baisse du pouvoir d expertise Fusion : pas de résolution des problèmes mais une addition des problèmes des filliales fusionnées Surbancarisation limite les économies d échelles d une fusion de grands ensembles nationaux Hétérogénéité des banques : famille de métiers très différentes.

31 Small is beautiful petites firmes peuvent survivre et se développer à condition de suivre certaines conditions. Six commandements : 1 Secteur sans économies d échelle 2 Être spécialisé 3 Être flexible 4 Ne pas prendre trop de risques 5 Développer les coopérations 6 Conserver les marges (O. Pastré (2001))

32 enjeux Concentration = Too big to fail? Plus grande complexité : asymétrie d information? Baisse de la concurrence? (hausse des prix, monopole, manque de flexibilité face aux changements) Capacité à détourner la législation? Multiplication des activités = Multiplication des risques? Mauvaise identification des risques? Internationalisation = Augmentation des risques systémiques (effet chateau de cartes )

33 réglementations prudentielles I leçons de l affaire Enron : renforcement des obligations d information, indépendance des analystes financiers normes IAS/IFRS : modification du calcul de la valeur des actifs (juste valeur)

34 réglementations prudentielles II Bâle II (3 piliers) 1 Ratio McDonough : meilleure prise en compte des risques et des modèles de mesure des risques Fonds propres de la banque > 8%.[75%.(risques de crédits)+5% (risque de marché)+20%.(risques opérationnels)] 2 Surveillance plus importante (contrôle interne, audit externe) 3 Discipline de marché(communication et uniformisation des pratiques)

35 règles d action pour les Etats Règle de Bagehot concernant le préteur en dernier ressort... Soutien à une banque légitime si établissement illiquide mais solvable. Si oui, prêt sans limites contre sureté et prêts prohibitifs....vs. Too big to fail (TBTF) Se substituer aux banques (garantir les dépots) Responsabiliser et assainir

36 Too big to fail

37 Too big to fail Phénomène du TBTF = arbitrage entre coûts sociaux et aléa moral Sauver une banque pour éviter le risque systémique et l effet chateau de carte... au risque de créer une impunité chez les grandes banques Ne pas sauver les petites = Concentration

38 Une tradition dún état préteur en dernier ressort Savings and Loans (USA-1980 ) :2% du PIB Finlande-1990 :11% du PIB Crédit Lyonnais (France ) :0.5% du PIB Crise des subprimes : Montant record = sauvetage des banques fréquents

39 Au regard de la crise des subprimes Critique du ratio car complexité (Calcul) et simplicité (typologie des risques trop restreinte) Manque de significativité des ratios Incapacité à prendre en compte la transfusion des risques (via SIV notamment) = Relatif échec des règles prudentielles

40 Généralisation du TBTF? 15 Septembre 2008 :Faute de repreneur, Lehman Brothers fait faillite = contradiction du principe du TBTF? Pas forcément car : Lehman Brothers est une banque affaire (moindre coût social?) Conséquences désastreuses (Exacerbation des tensions sur les marchés interbancaires)= Conséquences sur d autres établissements TBTF depuis sans faille

41 Restructuration bancaire nécessaire pour s adapter au nouveau environnement économique. En France, passage d un système bancaire dominé par l Etat à un système privé (gain en liberté et simplicité) Jeu de la concurrence : nouveaux participants (acteurs et activités) et élimination des joueurs moins efficaces.

42 Forte concurrence = concentration du secteur bancaire pour jouer au niveau international Aujourd hui, nouveaux problèmes posés : la concentration n était pas la panacée du système financier Quel modèle pour la banque d aujourd hui? Role des banques : financement de l économie et système de paiements Faillite d un grand groupe désirable Indépendance de l État mais si grandes banques en difficultés Obligation sociale de l Etat?

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