Les entreprises certifi ées
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- Élodie Germain
- il y a 8 ans
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1 FICHE TÉMOIGNAGES ENTREPRISE 4 Politique énergétique 80 Suivi et mesure Objectifs, cibles et programmes énergétiques MANAGEMENT DE L ÉNERGIE Sensibilisation, formation et compétence Motivation État des lieux Plan d actions Mise en œuvre certification 5 Bilan EN BREF 4 Action collective de mise en œuvre d un système de Management de l Energie dans l industrie (SMEn, certifi able EN ou ISO 50001) portée par l AFNOR. 13 entreprises normandes engagées dans l opération de septembre 2010 à décembre bureaux d études spécialisés dans l effi cacité énergétique accompagnent les entreprises dans la mise en œuvre du SMEn (du diagnostic technique et organisationnel à la pré-certifi cation). Des formations et ateliers d échan - ges sont organisés régulièrement. Système de management de l énergie : du déploiement à la certifi cation Les entreprises certifi ées ISO dans le monde, dont 50 % en Allemagne, traduisent le développement rapide de la mise en œuvre des systèmes de management de l énergie dans l industrie. La France occupe aujourd hui la 6 e place au nombre de sites certifi és. Si l effi cacité d un SMEn ne requiert pas nécessairement une certifi cation (reconnaissance par tierce partie du respect des exigences du référentiel), le référentiel associé à la Norme est, lui, essentiel à l élaboration du système. Il spécifi e, en effet, l ensemble des éléments nécessaires pour assurer l efficacité de la démarche d économie d énergie et sa dynamique d amélioration continue. Chaque année, une part plus grande de la consommation devra être maîtrisée : de l usage énergétique global sur le site, à la maîtrise de chaque installation puis de chaque équipement. Le système doit permettre, de privilégier les actions préventives par une intégration systématique de l énergie dans les différents services et projets de l entreprise. Objectif : maximiser les économies par l anticipation des dérives et des gains potentiels. Deux éléments sont fondamentaux pour atteindre cet objectif : la maîtrise de chacun des éléments pouvant concourir à l évolution de la performance énergétique de l entreprise, l engagement fort de la direction qui doit inscrire dans la stratégie de l entreprise la performance énergétique comme élément à part entière de sa performance économique.
2 Performance et retour sur investissements Marie-Hélène Lefebvre, INGÉNIEURE ET AUDITRICE - AFNOR L AFNOR intervient à travers les différentes filiales du groupe à tous les niveaux de la mise en œuvre d une Norme : elle contribue à son élaboration, propose des formations pour comprendre et appliquer la Norme, conseille et accompagne les entreprises et peut intervenir en tant qu organisme de certification et réalise alors les audits de certification. La certifi cation «Système de Management de l Energie» s articule, en fait, sur deux niveaux ouvrant droit à deux taux de bonifi cation des CEE : bonifi cation de 50 % pour le niveau 1* et de 100 % pour le niveau 2 de la quantité de CEE attribuable sur chaque opération standard ou spécifi que (fi che BAT-SE-02 pour le tertiaire et IND-SE-01 pour l industrie). I. Le niveau 1 comprend 7 étapes, incluses dans le chapitre 4.4 de l ISO consacré à la «Planifi cation» : il traduit principalement l engagement de l entreprise, la disponibilité des éléments nécessaires à l élaboration du plan d actions et au plan d actions luimême. EXIGENCES DU NIVEAU 1 1. Domaine d application et périmètre (4.1b) 2. Engagement de la direction et nomination d un responsable «Energie» on notera ici que, contrairement au niveau 2, un simple engagement est exigé et non une véritable politique énergétique. (4.2.1 et e et c) 3. Revue énergétique (4.4.3 a,b,c) 4. Consommation de référence (4.4.4) 5. Indicateurs de performance énergétique (4.4.5) 6. Objectifs et cibles (4.4.6) 7. Formalisation du plan d actions (4.4.6) La mise en place de ce niveau 1 peut durer de 3 à 12 mois, il est valide 2 ans (non renouvelable). Si ce niveau peut suffi re pour certaines petites entreprises (n ayant pas besoin de formalisation du système), il faut, généralement, plutôt le considérer comme une étape de préparation.* * Attention, seules les opérations engagées avant fi n 2013 seront éligibles à la bonifi cation du niveau 1. II. Le niveau 2, dont la mise en place dure de 12 à 18 mois, complète le niveau 1 avec l ensemble des éléments nécessaires à la mise en œuvre des actions et du Système de management. Il repose sur l amélioration continue avec l analyse des résultats obtenus. Il s agit véritablement du Système de management permettant d impliquer tout le personnel (communication, formation, etc.) et de défi nir les responsabilités de chacun et les moyens de mesures. Si le SMEn peut profi ter de synergies et d une approche commune avec le SME (ISO14000), le simple fait que l énergie soit un des aspects environnementaux traités dans le SME est insuffi sant pour répondre aux exigences du SMEn. «Il faut, en effet, bien décliner et approfondir l approche sur l énergie (actions, suivi, responsabilités, usages énergétiques signifi catifs, etc). Par exemple, pour la veille réglementaire SME, la seule présence d un «onglet énergie» dans la veille SME n est pas suffi sant» précise Marie-Hélène Lefebvre, ingénieure à l AFNOR et auditrice QSE et ISO On notera qu à ce jour, une des différences importantes entre les deux systèmes réside dans les chapitres «conception-achats» exigés pour le SMEn mais pas encore pour le SME. Les principaux enseignements Ils sont issus des visites d évaluation et audits pour réussir la certifi cation sont : a) La préparation de l entreprise Disposer d un diagnostic énergétique sur le périmètre de la certifi cation. On notera que le contenu de la revue énergétique tel qu exigé par la norme ne reprend pas directement les éléments demandés dans un rapport de diagnostic énergétique. Comme le regrette Marie-Hélène Lefebvre, «trop souvent les visites d évaluation ou d audit constatent que les revues énergétiques sont incomplètes traduisant, notamment, une mauvaise compréhension de la notion d usages énergétiques signifi catifs et une appropriation insuffi - sante par l entreprise». Maîtriser le référentiel Exploiter les données pour les intégrer dans le système. Valoriser ce qui est fait et ce qui est disponible. Formuler le tout selon le cadre du référentiel. b) Les points de vigilance Pour le niveau 1, l engagement de la direction manque souvent de formalisation et de traduction effective. Pour le niveau 2, la notion de management est souvent insuffi samment développée. L audit interne et la revue de management doivent avoir été réalisés avant l audit de certifi cation. c) Les signes qui ne trompent pas Un trop faible nombre de personnes en charge du plan d actions : «L implication de chacun et la distribution des rôles est un point important, renchérit Marie-Hélène Lefebvre, d une part la hiérarchie doit véritablement s impliquer, d autre part, il faut un nombre suffi sant d intervenants». Passage de la simple sensibilisation (en mode «descendant») à une communication : le personnel émet des suggestions d amélioration Il s agit véritablement du Système de management permettant d impliquer tout le personnel (communication, formation, etc.) et de définir les responsabilités de chacun et les moyens de mesures
3 Passage du «plan d actions» au «programme de management» (pour chaque action défi nir les échéances, responsabilités, etc) et avoir une visibilité à moyen et long terme. La réalisation des audits repose sur plusieurs étapes L étape préalable pour l AFNOR est de dimensionner l offre d audit en fonction de différents paramètres comme : le périmètre du système, l effectif ou le nombre de sites concernés. L «Etape 1» permet d approfondir la connaissance de l entreprise pour élaborer un «plan d audit» décrivant le déroulement de l audit. «Au cours de cet audit, explique Marie-Hélène Lefebvre, nous collectons des éléments factuels justifi ant de la mise en œuvre des exigences du référentiel (interview, recueil de preuves). A la fi n, après une réunion de clôture, nous remettons un rapport répertoriant, notamment, des points forts (au delà du référentiel), des points de progrès, les points sensibles (dérives ou manques de preuves), des non conformités mineures et d autres majeures remettant en cause la certifi cation». Dans la démarche de certifi cation ISO 50001, l audit initial va être suivi par des audits de surveillance qui se dérouleront chaque année sur une partie seulement du référentiel et, principalement, sur les mises à jour et l amélioration continue. Après 3 ans, la certifi cation est remise en jeu à travers un audit de renouvellement. Ainsi, la valeur ajoutée des audits de surveillance n est pas seulement de sanctionner mais, également, de réaliser du benchmarking des bonnes pratiques. «C est aussi l intérêt d un œil externe, poursuit Marie-Hélène Lefebvre, de s intéresser non seulement à des éléments techniques mais aussi de management». L une des forces du Système de Management de l Energie est qu il permet réellement de s adapter, de la même façon, aux entreprises (enjeux, moyens, maturité, consommations, etc.) et au référentiel lui-même. C est, à la fois, une démarche rigoureuse et adaptable, deux atouts forts qui permettent à chaque entreprise d améliorer sa performance énergétique. Ferrero intégre les Systèmes de Management de l Énergie et de l Environnement avec efficacité Cécile Bernard, RATTACHÉE À LA DIRECTION, EN CHARGE DE L ANIMATION ET DE LA COORDINATION DU SMEN - FERRERO Le fait pour le site Ferrero d être déjà certifi é ISO a constitué un atout important pour s engager vers une certifi cation ISO «Les normes se ressemblent, commente Cécile Bernard, responsable Environnement. Dès lors, intégrer l énergie dans le système environnemental est une démarche logique. L énergie représente un coût important pour une entreprise. De plus, c est concret, parlant, et cela permet d enrichir le système environnemental en apportant de la cohérence». Le Système de Management de l Energie (SMÉ) peut donc venir affi ner et approfondir la démarche environnementale avec, notamment, pour la un document de base : le diagnostic énergétique qui permet d identifi er les potentiels d économies d énergie. Ces économies d énergies couvrent une large palette de paramètres allant de la conception des installations au pilotage des machines, en passant par les achats qui intègrent des critères énergétiques. Par exemple, un cahier des charges interne spécifi que au site a été élaboré avec les bonnes pratiques, venant en complément du cahier des charges du groupe. Les meilleures techniques disponibles ont ainsi été intégrées lors du remplacement de la chaudière vapeur entrainant la modifi cation des procédures de conduite de l installation et la formation des opérateurs. «Une autre étape importante, explique Cécile Bernard, c est la déclinaison de la politique énergétique allant du top management au personnel. Les responsables relaient les engagements de la Direction, Nutella et Kinder Bueno sont les deux produits phares fabriqués sur le site de production Ferrero situé à Villers-Ecalles (Seine-Maritime) d une superficie de m 2, où travaillent environ 400 salariés. Certifiée ISO depuis 2005, l usine a entrepris depuis 3 ans une démarche pour intégrer la performance énergétique et obtenir ainsi dès novembre 2012 la première certification ISO du secteur agroalimentaire en France. Villers-Ecalles est également site pilote au niveau des usines du groupe Ferrero. les informations, les «bons» comportements d autant que tous les services deviennent partie prenante ou du moins sont concernés». L implication de la direction est un point fondamental qui traduit l importance d intégrer l effi cacité énergétique dans ses propres pratiques. Toutefois, pour garantir un fonctionnement optimum et l atteinte des résultats, il est essentiel de bien s assurer que le Système de Management de l Energie ne disparaisse pas dans le Système de Management de l Environnement. Mieux, l effi - cacité de l intégration de ces systèmes doit s appuyer sur une articulation forte entre les deux. Intégration ne signifi e surtout pas fusion et le SMÉ doit alors impérativement garder ses spécifi cités (plan d actions, revue énergétique, critères d achat, sensibilisation ). Aussi, l articulation et la complémentarité des rôles entre le responsable «énergie» et le responsable «système» doit conserver toute son importance. Sur le site de Villers-Ecalles, les rôles sont principalement répartis entre d une part un responsable énergie (Fabrice Bonté) rattaché au service maintenance en charge de la gestion des équipements, du suivi technique... et d autre part, une responsable environnement (Cécile Bernard) rattachée à la Direction, représentante de la direction qui assure un rôle d animation et de coordination du «système» parmi d autres missions. «Mon rôle, poursuit Cécile Bernard, est de coordonner, synthétiser, analyser les dif-
4 Robert Bosch France mobilise via la certification férentes données pour rendre compte à la Direction». De manière opérationnelle, cela se traduit entre autres, par l organisation des revues de direction et le suivi des audits internes, la sensibilisation du personnel, l identifi cation de formations et la veille réglementaire. Ces économies d énergies couvrent une large palette de paramètres allant de la conception des installations au pilotage des machines, en passant par les achats qui intègrent des critères énergétiques La complémentarité du travail avec le responsable énergie peut s illustrer avec les indicateurs de performance énergétique qui sont élaborés et contrôlés à deux niveaux (qui, bien sûr, échangent entre eux) : un 1 er niveau détaillant poste par poste (responsable énergie) et un 2 e avec une approche plus globale permettant de disposer de davantage de recul (responsable système). La question de la sensibilisation question clé, avec la nécessité de faire vivre le système a conduit Ferrero à s appuyer sur des «relais énergie» qui se sont portés volontaires : «sur le thème de l énergie, les collaborateurs sont demandeurs» précise Cécile Bernard. Ils communiquent Site de production Ferrero à Villers-Ecalles (76). régulièrement des informations lors de réunions d échanges. Relais des bonnes pratiques, ils restent à l écoute de toutes propositions venant du terrain. Une journée de communication avec animations, quizz et cadeaux a été organisée pour mobiliser largement le personnel. Faire adhérer le personnel reste le plus gros challenge! D autant que la Direction fi xe déjà d autres objectifs liés à la sécurité, à la qualité et que la certifi - cation ne doit pas être vue comme une charge supplémentaire. Ferrero a donc choisi de présenter l énergie comme un complément consolidant la démarche environnementale. Pour également faire vivre le système, des formations à la norme ISO ont été organisées pour l ensemble des auditeurs internes, ce qui permet aussi de déployer plus effi - cacement la démarche. «Enfi n, disposer des ressources appropriées est un facteur essentiel de réussite : ressources humaine et fi nancière», conclut Cécile Bernard. S il faut, bien sûr, mobiliser des moyens pour la mise en œuvre du système et la certifi cation, il convient, toutefois, de considérer cette étape comme un début et non une fi n en soi. Il s agit donc de maintenir après la certifi cation des moyens adaptés pour faire vivre le SMÉ dans la durée et améliorer la performance énergétique de l entreprise. Patrick Donatin, RESPONSABLE DES SERVICES GÉNÉRAUX- ROBERT BOSCH FRANCE Implantée sur 18 hectares en périphérie de Caen, l usine Robert Bosch France de Mondeville est spécialisée dans la fabrication de produits électroniques pour l automobile. 750 personnes travaillent en continu dans des bâtiments, datant pour la plupart des années 90 et d une surface de mètres carrés. Avec la mise en œuvre du Système de Management de l Energie (SMEn), la performance énergétique désormais intégrée à la politique QSE est traitée comme une priorité. En effet réduire les consommations d énergie et obtenir la certifi cation ISO font partis des objectifs principaux du site fi xés par la direction pour Un suivi attentif mensuel est assuré par la direction (plan d action avancement, etc.) ainsi qu au moment de la revue annuelle de management. Sur ce site Robert Bosch France de Mondeville, le SMEn a constitué une étape supplémentaire dans un dispositif énergétique déjà bien rodé...
5 qui a toujours guidé le fonctionnement de l usine. «Nous avons de tout temps mené une approche intégrée de gestion des énergies de nos infrastructures, commente Patrick Donatin, responsable des services généraux. Au fil du temps et de la mise en place de nouveaux projets, nous devons nous adapter aux évolutions en besoins énergétiques. Notre préoccupation majeure étant d avoir des installations performantes, économisant l énergie et ayant un impact écologique réduit tout en répondant à nos besoins». La connaissance des consommations et de leurs répartitions grâce à une Gestion Technique Centralisée (GTC) est une source de données et un moyen de pilotage important. La mise en place d un Système de management de l énergie permet un cadrage de toutes les actions, celles déjà entreprises et celles à venir en assurant la pérennité de l ensemble. Il y a donc sur le site Robert Bosch France de Mondeville, à la fois, un état d esprit et des pratiques, qui ont facilité le passage à un véritable SMEn. Celui-ci s étend à l ensemble des services de l entreprise au-delà des services techniques. «Aujourd hui, le périmètre ISO est celui de toute l entreprise, allant jusqu aux utilisateurs (fabrication et services supports) qui doivent disposer d indicateurs. Ils prennent ainsi mieux conscience des problématiques énergétiques. La démarche de certification engagée depuis quelques mois nous permet de les toucher plus efficacement». Usine Robert Bosch France à Mondeville (14). Concrètement, Patrick Donatin en charge des services généraux et de la sûreté, pilote le SMEn et la démarche de certification. Le système de «management de l énergie» est un système supplémentaire qui complète ceux existants (Qualité, Sécurité, Environnement) le tout intégré dans une même politique. Mobiliser pour pérenniser L accompagnement du bureau d études pendant ces deux années pour la mise en œuvre du SMEn a déjà permis un travail en profondeur avec des formations, un véritable balisage du projet reposant notamment sur un point d avancement tous les deux mois. Ce bureau d études a, par exemple, mis en place un outil spécifique pour l évaluation des exigences de la norme, chapitre par chapitre, afin d apporter des éléments de preuve documentaires mais surtout de terrain pour préparer la certification. «Il a également permis de désacraliser et de Si l appropriation du SMEn par la direction est, bien sûr, essentielle, il convient d avoir une adhésion forte de l ensemble des salariés. Il est vrai que l enjeu est important, la performance énergétique étant liée à la performance économique de l entreprise mettre la démarche système à la portée des techniciens et ingénieurs des services opérationnels qui en prennent la maîtrise, contrairement aux systèmes QSE pour lesquels ils ne sont que partiellement acteur. Il a réussi cette vulgarisation et nous a aidé à nous approprier le langage et la logique système». Si l appropriation du SMEn par la direction est, bien sûr, essentielle, il convient d avoir une adhésion forte de l ensemble des salariés. Il est vrai que l enjeu est important, la performance énergétique étant liée à la performance économique de l entreprise. Cette implication passe par l information, donc par la communication. Classiquement, c est donc toute une chaîne d intervenants qui se mobilise en commençant par les achats, intégrant dorénavant des critères énergétiques dans la sélection des fournisseurs d équipements. Tous les services pouvant impacter la consommation d énergie sont sollicités. Les ressources humaines ont également un rôle notamment, elles ont à intégrer de nouvelles compétences dans les fiches de poste ayant trait à la gestion de l énergie. Mobiliser dans un périmètre plus élargi (sortir des services techniques) aurait pu constituer une étape difficile. Or, si la certification a permis de mieux identifier les différents interlocuteurs, elle a également instauré une forme de communication naturelle. Il est vrai qu étant centrés sur des aspects, à la fois, pratiques et économiques avec des indicateurs les techniciens s approprient vite l ISO «C est enthousiasmant, souligne Patrick Donatin, de constater l état d esprit des collaborateurs du site Robert Bosch France de Mondeville qui viennent nous voir et se mobilisent au quotidien. Je suis rassuré sur la bonne mise en œuvre du SMEn quand je constate cette mobilisation». Sur ce site, le système selon la norme ISO a été audité les 4, 5 et 6 juin par un organisme certificateur accrédité. A l issue de cet audit, le certificat a été acquis sans écart! Ce projet sous la responsabilité de Patrick Donatin, responsable des services généraux, n en est pas moins une réussite collective comme en témoigne le périmètre étendu à l ensemble des services du site Robert Bosch France de Mondeville.
6 Grâce au SMEn, les directions des entreprises considèrent, plus souvent, le critère de performance énergétique comme un enjeu tout à fait primordial. Ainsi, s agissant d un élément stratégique pour l entreprise, la démarche ne peut plus porter uniquement sur le court terme (action par action, projet par projet identifi ables par des diagnostics énergétiques) mais doit s intégrer dans des réfl exions à moyen et long termes. Si, le plus souvent, les seuls diagnostics permettent de corriger erreurs ou dysfonctionnements, l enjeu du SMEn est de prévenir les gaspillages énergétiques en intégrant la performance énergétique dans toutes les réfl exions en amont, (investissements, organisation, etc.). Le système doit, notamment, permettre d identifi er, au plus tôt, toutes les opportunités. Sachant qu il est toujours plus diffi cile et coûteux de modifi er un investissement en matériel une fois celui-ci réalisé. L expérience démontre, ainsi, qu il faut impérativement éviter d être prisonnier d un équipement peu effi cace (moteurs ou compresseurs énergivores ). «C est une véritable culture à insuffl er chez les acheteurs qui ont souvent le réfl exe d acheter moins cher, commente Pascal Dumoulin, alors que par exemple sur 5 ans, 75 % des coûts d utilisation d un compresseur proviennent de l énergie consommée. Le prix d achat initial représentant, au fi nal, assez peu». Il est, à ce sujet, pertinent d installer des compteurs permettant d indiquer le coût réel d utilisation de tel ou tel équipement avec une vision dans le temps. L anticipation est donc essentielle pour éviter que de mauvaises décisions ne doivent être compensées, ensuite, par des opérateurs ou des responsables «énergie» subissant ces Bureau d études Pascal Dumoulin, EXPERT-CONSEIL - ACE Changement de vision, un nouveau rapport au temps : anticipation et continuité Après avoir créé il y a près de 20 ans le bureau d études «Air Comprimé Energie», spécialisé à l origine dans les diagnostics air comprimé, a élargi depuis 10 ans ses compétences à l ensemble des sujets énergétiques. Ses équipes accompagnent aujourd hui les entreprises dans la mise en place de leur Système de Management de l Energie (SMEn). situations. Exemple : le mode d implantation d une nouvelle machine consommatrice dont l impact énergétique (consommation, puissance ) n a pas été prévu. Le SMEn peut constituer un outil effi cace pour orienter une nouvelle organisation prenant mieux en compte l énergie. Voir plus large La mise en œuvre d un Système de Management de l Energie demande aussi à sortir du seul volet technique souvent le plus immédiat sur lequel œuvrer pour travailler sur d autres paramètres. Si la baisse des consommations est une étape indispensable, elle n est pas suffi sante, car il faut maintenir ces résultats en pérennisant les gains obtenus. Au fi l du temps, le Système permet ainsi de conserver réellement un niveau élevé de performance en limitant les dérives naturelles. Il n est pas rare, d ailleurs, qu une entreprise, grâce au SMEn, adapte son mode de production et d organisation. Le volet «humain» constituant, comme toujours un facteur essentiel de réussite dans le temps, il faut, à la fois, convaincre pour modifi er certains comportements mais aussi plus formellement intégrer les paramètres de performance énergétiques dans la fonction même des postes qui peuvent infl uencer sur la consommation énergétique. «Tout ce qui est technique est «cernable», explique Pascal Dumoulin, le plus compliqué reste toujours le comportemental. Il faut se mobiliser pour convaincre les équipes de travailler ces aspects énergétiques, parfois, en modifi ant les habitudes de travail». Faire simple pour être efficace Pour que le système soit effi cace, il faut à la fois, qu il repose, sur des bases techniques solides (données physiques vérifi ées, équipements, etc.) et qu il soit adapté aux leviers d actions de l entreprise. «Il est très important d avoir des critères rationnels afi n ne pas éditer des règles sans lien avec la réalité du terrain, poursuit Pascal Dumoulin. Une entreprise doit disposer de véritables paramètres pour mettre en place un système doté d une bonne analyse de fonctionnement, d indicateurs, d un plan de comptage Le socle étant, au départ d une action, le diagnostic des installations avec la revue énergétique». C est, notamment, dans ce travail que réside l apport du bureau d études spécialisé en effi cacité énergétique. Ses ingénieurs vont ainsi se concentrer sur l essentiel tant dans le choix des actions, que des indicateurs à mettre en place. Par exemple en valorisant ce qui existe déjà et en transformant des indicateurs de production en indicateur d énergie. L ensemble de la démarche visant toujours à se concentrer davantage sur les objectifs de résultats que sur les obligations de moyens. Ainsi est-il essentiel d adapter les indicateurs aux utilisations et aux utilisateurs, notamment, en fonctionnant avec un système à double détente : plus détaillés pour les techniciens et les responsables «énergie» (pilotage, analyse ) et plus synthétiques pour la direction (aidant à la prise de décision) ou pour les opérateurs afi n d accroître leur sensibilisation. Reste que le SMEn ne doit pas être un système pour un système. Comme le souligne Pascal Dumoulin : «Il ne faut pas perdre en procédures ce que l entreprise gagne en économies d énergie». La démarche doit perdurer dans le temps et ne pas être uniquement à usage marketing, grâce à la certifi cation. «C est un véritable outil de gestion et de performance, et en aucun cas un certifi cat défi nitif de bonne conduite» ADEME DRHN - Juin Conception et rédaction : Partenaires d Avenir Crédits photos : page 1 Ademe, Ferrero, Bosch France - impression sur papier éco labellisé PEFC issu de forêts gérées durablement. Entreprises engagées dans l opération EN BASSE-NORMANDIE : Acome (50) les ateliers de la Dives (14) Manuplast (61) Stelmi (50) Robert Bosch (14) EN HAUTE-NORMANDIE : Benteler Aluminium Systems France (27) Ferrero (76) Laboratoires GSK (27) Novelis Foil France (27) PPG Coatings Manufacturing (76) Saint Gobain Solcera (27) Sea (27) BUREAUX D ETUDES : ACE, APRIME, MP Energie, TW ingénierie, Partenaires Contact Retrouvez les coordonnées de l ADEME en régions sur
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