Désinfectoguide révision décembre
|
|
- Timothée Grenon
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Désinfectoguide
2 Document préparé par Madame Vanessa VENANT, IDE référente en Hygiène Date Rédaction Nom Prénom Signature 2007 révision 2008 V. VENANT IDE Hygiéniste Date Vérification Nom Prénom Signature 10 décembre 2008 Y. DUPUIS Coordonnateur des Soins Date Vérification Nom Prénom Signature 10 décembre 2008 T. VRIELYNCK Président de la CME Date Validation Nom Prénom Signature 12 décembre 2008 Pour EOH 1 décembre 2008 P. SLAWINSKI Vice Président du CLIN Nom Prénom Signature Pour COMMISSION HYGIENE 12 décembre 2008 Nom Prénom Signature
3 Introduction Plusieurs types de désinfectants sont utilisés dans les établissements de santé : détergentsdésinfectants pour sols et surfaces, dispersats dirigés pour la désinfection des surfaces, détergents-désinfectants pour la pré-désinfection des dispositifs médicaux, désinfectants pour les dispositifs thermosensibles. Les désinfectants pour les dispositifs médicaux relèvent de la directive européenne sur les dispositifs médicaux (directive 93/42/CEE du 14 juin 1993) ainsi que de la loi n du 18 janvier 1994 et du décret n du 16 mars Les autres désinfectants relèvent de la directive européenne sur les biocides (directive 98/8/CE du 16 février 1998). I. Définition Un désinfectant est un produit chimique ou physique qui tue ou inactive des microorganismes tels que les bactéries, les virus et les protozoaires, sur des surfaces inertes comme par exemple le matériel à usage médical, les surfaces (sols, murs, conduite d eau, poignées de prote, brancards ). Il se distingue en cela des antiseptiques qui sont destinés aux applications sur un milieu vivant. Les désinfectants sont également connus sous le nom d anti-bactériens ou biocide où le mot bactérie est un abus de langage pour désigner tous les micro-organismes (bactéries, virus). Le terme anti-bactérien est utilisé de manière commerciale pour mettre en valeur le rôle stérilisant d un produit, sans pour autant suivre les spécifications médicales d un désinfectant. II. Domaines d application des désinfectants Les domaines d application des désinfectants sont multiples : Désinfection des surfaces Pré-désinfection des instruments et du matériel Désinfection par trempage des instruments Désinfection en machine des systèmes optiques d exploration Désinfection des bassins Désinfection des containers ou des bennes pour les déchets hospitaliers III. Caractéristiques du désinfectant idéal Un désinfectant «idéal» doit répondre aux critères suivants : Avoir un spectre d activité adapté aux objectifs fixés Avoir une action rapide Etre actif en présence de substances interférentes (sang, pus, eau dure) Avoir un effet prolongé dans le temps (effet de rémanence) Etre compatible et dénué d inconvénients pour le matériel Etre peu ou pas toxique pour le personnel Etre facile à doser
4 Ne pas avoir d odeur désagréable Avoir une certaine stabilité L activité d un désinfectant dépend de nombreux facteurs liés à la technique utilisée et à la nature du produit désinfectant. Parmi les facteurs liés au désinfectant, on peut citer : l activité anti-microbienne du principe actif, la concentration en principe actif, l effet des composants associés dans la solution, la température et le temps de contact. IV. Règles d utilisation Pour obtenir une désinfection optimale du matériel, il est nécessaire de réduire préalablement le nombre de micro-organismes présents. Toute désinfection doit être précédée : D une décontamination (ou pré-désinfection, terme recommandé par le comité technique national des infections nosocomiales) qui est le premier traitement à effectuer sur les objets et matériels souillés par des matières organiques dans le but de diminuer la population de micro-organismes et de faciliter le nettoyage ultérieur. D un nettoyage qui constitue l étape préalable indispensable à la désinfection ou à la stérilisation. L objectif est d éliminer les matières organiques et les germes présents. L état de propreté obtenu conditionne la qualité de la désinfection ou de la stérilisation ultérieure. Pour être efficace, l étape de décontamination-nettoyage doit respecter les quatre éléments du cercle de Sinner qui sont : 1- l action physico-chimique entre le produit et la salissure 2- l action mécanique : les brossages et les frottements permettent de décoller les salissures 3- la température 4- le temps d action du produit c est-à-dire la durée de contact nécessaire pour que le produit soit efficace
5 Les produits utilisés sont des détergents ou des détergents-désinfectants permettant de dissocier le biofilm microbien. Le biofilm est une substance produite par les microorganismes, permettant leur adhésion sur des surfaces ou du matériel souillé. V. Conditions d utilisation Les désinfectants ne sont pas des agents stérilisants. Ils permettent d obtenir une réduction qualitative et quantitative des micro-organismes présents. Quelque soit le désinfectant utilisé des consignes communes sont à respecter : Utiliser le désinfectant approprié à l usage qui lui est destiné Respecter les instructions du fabricant et les protocoles d emploi, de dilution et de temps de contact Tenir compte des incompatibilités et des antagonismes Ne pas mélanger des produits sans autorisation Manipuler les désinfectants avec des gants En cas de projections de produit sur la peau ou les muqueuses, rincer abondamment à l eau. Eventuellement consulter un médecin. VI. Conservation La durée et le mode de conservation des désinfectants est un point très important. Elle a pour but d éviter deux risques majeurs : L inactivation du produit La contamination microbienne L inactivation du produit est due surtout : A l exposition à la lumière et/ou à une température trop élevée A la conservation du produit dans des récipients inadaptés La contamination microbienne n est pas rare. Les désinfectants font l objet de contrôles de fabrication garantissant l absence de contamination du produit dans son conditionnement d origine. Pour l éviter, il faut respecter les consignes suivantes : Conserver le désinfectant dans son conditionnement d origine fermé Noter la date d ouverture sur le flacon En cas de doute sur la date d ouverture du flacon, il est préférable de le jeter Ne pas mélanger le contenu de flacons entamés Limiter strictement l utilisation des solutions diluées Respecter la durée de conservation d une solution d emploi ; elle va de quelques heures à quelques semaines suivant les produits
6 Noter sur le flacon de dilution la date de préparation Respecter la date de péremption (la date de péremption correspond à la durée de conservation du conditionnement d origine non ouvert).
7 VII. Principes de mise en œuvre du nettoyage et de la désinfection Nettoyer c est : Eliminer les salissures, les souillures et les microorganismes transitoires Désinfecter c est : Eliminer ou tuer des micro-organismes ou virus après nettoyage Pour le PATIENT Pour l ENVIRONNEMENT du patient Pour l ENVIRONNEMENT du patient Pour le PATIENT Les SAVONS Les DETERGENTS Les DESINFECTANTS Les ANTISEPTIQUES Les DETERGENTS/DESINFECTANTS Action NETTOYANTE Action NETTOYANTE et DESINFECTANTE Action DESINFECTANTE
8 VIII. Désinfectants disponibles au centre hospitalier de Somain NOM PRINCIPES ACTIFS PRESENTATION Novospray Anioxyde 1000 Diesin hg Anios DDSH Anios TSA Salvanios ph 10 Wip anios Solution d hypochlorite de sodium ou eau de javel Aniosgel 85 NPC Into plus désinfectant Biguanide Ammonium quaternaire Alcools amphotères Acide peracétique 0.15% Biguanide Dérivés phénoliques Ammoniums quaternaires isopropanol Ammonium quaternaire Acétate de guanidinium n- propanol Ammonium quaternaire Biguanide isopropanol Propionate d ammoniums quaternaires Acétate de guanidinium Chlorure de didecyldiméthylammonium Biguanide isopropanol Hypochlorite de sodium Ethanol Isopropanol 2.5% Alcool éthylique Acide citrique Bidon 5 litres Bidon 5 litres Flacon doseur 1 litre Flacon 750 ml, pulvérisateurmousseur Flacon 750 ml, pulvérisateurmousseur Flacon doseur 1 litre Sachets de 50 lingettes Bouteille 1 litre Flacon pompe 300 ml Flacon de poche 75 ml Bouteille 1 litre
9 NOM PROPRIETES INDICATIONS MODE D UTILISATION Novospray Bactéricide Fongicide Actif sur BK, HBV, HIV Désinfection terminale lors d un isolement septique Désinfection de contact par aérodiffusion. A utiliser sur surface propre, ne pas rincer, ne pas sécher. PRECAUTION A PRENDRE Mettre un masque, des gants Anioxyde 1000 Diesin hg Anios DDSH Anios TSA Bactéricide, tuberculocide, mycobactéricide, fongicide, virucide, actif sur HIV1,HBV et BVDV, sporicide Bactéricide, actif sur candida albican, sur BK, VIH1, aspergillus versicolor Bactéricide, fongicide,bk, HIV1, HBV, rotavirus, levuricide, herpès virus, BVDV Bactéricide, BK Désinfection totale de haut niveau du matériel chirurgical, médical, du matériel d endoscopie, du matériel thermosensible et des dispositifs médicaux Detergent-désinfectant des sols thermoplastique et assimilé, carrelages, sols peints et résines, surfaces modernes, mobilier stratifié et sanitaires Nettoyage et désinfection des surfaces hautes, dispositifs médicaux Nettoyage et désinfection de toutes surfaces pouvant entrer au contact des denrées alimentaires Solution obtenue après activation prête à l emploi. Vérification de la conformité du bain par bandelette spécifique Temps de contact : 10 minutes et 30 min pour sporicide Une dose pour 4 litres d eau froide Produit prêt à l emploi, pulvériser directement sur les surfaces ou sur un non-tissé Produit prêt à l emploi, pulvériser directement sur les surfaces ou sur un non-tissé Temps de contact : 5 min Port de lunettes ou masque à visière. Surblouse. Gants en nitryl Mettre des gants Laisser sécher, ne pas rincer Rincer après utilisation ( en cas de contact avec les denrées alimentaires)
10 Salvanios ph 10 Wip anios Solution d hypochlorite de sodium ou eau de javel Aniosgel 85 NPC Into plus désinfectant Bactéricide, actif sur BK, levuricide, actif sur HIV1 et HBV Bactéricide, actif sur mycobactérium tuberculosis, fongicide, actif sur HIV1, BVDV, rotavirus, herpès virus Bactéricide, fongicide, virucide, sporicide Bactéricide, actif sur HIV1, BVDV, herpès virus, rotavirus, coronavirus, adénovirus, influenza virus A, polio virus Bactéricide Nettoyage et prédésinfection des dispositifs médicaux : instruments chirurgicaux et médicaux, instruments thermosensibles et matériel endoscopique Nettoyage et prédésinfection des dispositifs médicaux et des structures externes des équipements. Essuyage des gaines d endoscopes lors du traitement préliminaire avant immersion pour nettoyage et désinfection Nettoyage et désinfection des siphons et des isolements en cas de clostridium difficile Traitement hygiénique et désinfection chirurgicale des mains par friction Détergent, détartrant, désinfectant pour l environnement des sanitaires. Diluer une dose du flacon dans 8 litres d eau froide Temps de contact : 15 min Rincer après utilisation Pour la matériel endoscopique, double nettoyage : 10 et 15 minutes Lingettes prêtes à l emploi à usage unique. Appliquer sur la surface. Ne pas rincer Siphon : 100 ml de javel Temps de contact : 15 min Clostridium : 1 litre d eau de javel à 9.6 pour 4 litres d eau Temps de contact : 10 min Cf protocole P 48 DSSI 34 Utilisation pur Laisser agir 5 à 10 min Rincer à l eau claire Mettre des gants Mettre des gants Mettre des gants Mettre des gants
11
La réglementation quelques incontournables
Unité d Hygiène et d Épidémiologie 2012 La réglementation quelques incontournables Code du Travail - Article L 231-2 du titre 3 Hygiène, sécurité et conditions de travail Paragraphe 2 : «Les établissements
Plus en détailChapitre VI : Gestion des risques épidémiques
Chapitre VI : Fiche n VI.1 : Gale Fiche n VI.2 : Tubeculose pulmonaire (accessible dans la prochaine version) Fiche n VI.3 : Gastro-entérite Fiche n VI.4 : Infection respiratoire aigüe basse Sommaire Sommaire
Plus en détailHygiène et prévention du risque infectieux en EHPAD. Maîtrise de la bio contamination et place du bio nettoyage. Jeudi 28 mai 2009
Hygiène et prévention du risque infectieux en EHPAD Maîtrise de la bio contamination et place du bio nettoyage Jeudi 28 mai 2009 Alain LEFEBVRE - Cadre supérieur de santé Hygiéniste 1 Le bio nettoyage
Plus en détailSTOP à la Transmission des microorganismes!
STOP à la Transmission des microorganismes! M.E Gengler Vendredi 25 Avril 2014 Vous avez ditstandard? Voici les «Précautions Standard» ou PS Les Précautions Standard : la Loi Respectez les «précautions
Plus en détailHygiène en Cuisine et Restauration
Guide Hygiène en Cuisine et Restauration Notre démarche de sécurité alimentaire PURODOR - MAROSAM Désinfection sols et surfaces ND 0 Nettoyant désinfectant ph : Bactéricide, levuricide et virucide*. Efficacité
Plus en détailPROCÉDURE. Code : PR-DSI-000-31
Code : PR-DSI-000-31 PROCÉDURE Instance responsable : Direction des soins infirmiers Approuvée par : Diane Benoit Présentée et adoptée au comité de direction le : 16 janvier 2013 Entrée en vigueur le :
Plus en détailBio nettoyage au bloc opératoire
Bio nettoyage au bloc opératoire Béatrice CROZE Infirmière hygiéniste Service d hygiène et d épidémiologie novembre 2012 Le bio nettoyage au bloc L impression omniprésente de travailler dans l urgence
Plus en détailConstruire un plan de nettoyage et de désinfection
Construire un plan de nettoyage et de désinfection Docteur Régine POTIÉ-RIGO Médecin du Travail Mlle Laetitia DAVEZAT IPRP Ingénieur Hygiène/Sécurité Mme Laetitia MARCHE Technicienne des services généraux
Plus en détailC.CLIN Ouest. Hygiène des structures d hébergement pour personnes âgées. 2002 2. H 2. HYGIÈNE DES LOCAUX
2. H 2. HYGIÈNE DES LOCAUX 23 C.CLIN Ouest. Hygiène des structures d hébergement pour personnes âgées. 2002 2. HYGIÈNE DES LOCAUX 2.1 Classification des locaux par zone 2.2 Fréquence du nettoyage par local
Plus en détailEntretien des DM Entretien des locaux Gestion du linge Gestion des déchets Gestion de la qualité de l eau EN EHPAD. MISSIONS de l ARLIN Bretagne
Entretien des DM Entretien des locaux Gestion du linge Gestion des déchets Gestion de la qualité de l eau EN EHPAD MISSIONS de l ARLIN Bretagne Conseils et assistance aux ES et aux EHPAD FAM MAS Animation
Plus en détailRésumé des modifications intervenues : simplification et clarification des actions descriptives
Référence : PT/RES/006-B Page :Page 1 sur 5 Objet : Maîtriser les dangers microbiologiques, biologiques, chimiques et physiques lors des opérations d épluchage, lavage et désinfection des légumes terreux,
Plus en détailFICHES INFORMATIVES HYGIENE DU PERSONNEL
LE GOUVERNEMENT DU GRAND-DUCHÉ DE LUXEMBOURG Direction de la Santé FICHES INFORMATIVES HYGIENE DU PERSONNEL Un plan d hygiène permet de garantir la propreté du personnel et éviter toutes contaminations
Plus en détailContent. Steriking Multi Seal Test Kit. Nettoyage et désinfection de haut niveau des dispositifs médicaux, endoscopes et matériel thermosensible.
HOSPITHERA NEWSFLASH n 2 Sterilization & Hygiene 09/2013 Content Steriking Multi Seal Test Kit Combine les tests qualitatifs de votre soudeuse. p2 Aniosept Activ 2% Nettoyage et désinfection de haut niveau
Plus en détailL ENTRETIEN DES LOCAUX ET DES EQUIPEMENTS AU BLOC OPERATOIRE
LUTTE CONTRE L INFECTION EN PERIODE PERI-OPERATOIRE mars 2010 L ENTRETIEN DES LOCAUX ET DES EQUIPEMENTS AU BLOC OPERATOIRE F. DUBOURDIEU Unité d Hygiène Hospitalière Hôpitaux Civils de Colmar Sommaire
Plus en détailHygiène des véhicules de transport sanitaire
2 0 0 4 Hygiène des véhicules 2 0 0 4 de transport sanitaire Sommaire Les fiches d enregistrement sont insérées dans le rabat en 3 ème de couverture. Préambule... 3 Étude préliminaire, objectifs... 3 Recommandations
Plus en détailAnnexes jointes Annexe 1 : Fiches d entretien par zone Annexe 2 : Fiche de traçabilité
Référence : PT/HYG/003-C Page :Page 1 sur 15 Objet : - Permettre de dispenser des soins de qualité dans un environnement maîtrisé (garantie de propreté visuelle et bactériologique). - Eviter la propagation
Plus en détailA LIRE IMPERATIVEMENT AVANT TOUTE UTILISATION A REMETTRE A L UTILISATEUR ET A CONSERVER
4 Le Pas du Château 85670 SAINT PAUL MONT PENIT TEL : 02-51-98-55-64 FAX : 02-51-98-59-07 EMAIL : info@medicatlantic.fr Site Internet : http//: www.winncare.fr MANUEL D UTILISATION Des Systèmes d Aide
Plus en détailMédical. Nettoyage et désinfection des dispositifs médicaux Produits et Services
Médical Nettoyage et désinfection des dispositifs médicaux Produits et Services L expérience pour votre sécurité Depuis plus de trente ans Dr. Weigert avec sa gamme accompagne et optimise les process de
Plus en détailNOCOSPRAY CARACTÉRISTIQUES TECHNIQUES UN FONCTIONNEMENT TRÈS SIMPLE DE MULTIPLES OPTIONS PERMETTANT DE S ADAPTER À CHAQUE SITUATION
NOCOSPRAY Notre concept est né de l association Nocospray + Nocolyse (machine/produit) pour une désinfection automatisée sous forme gazeuse. Il permet de traiter de façon automatisée l air et les surfaces
Plus en détail4 PROTOCOLES DE NETTOYAGE ET DE DESINFECTION A APPLIQUER 1 - PROCEDURE APPROFONDIE DE NETTOYAGE ET DE DESINFECTION DES VEHICULES
PROTOCOLE DE NETTOYAGE ET DE DESINFECTION DES TRANSPORTS SANITAIRES ET DE LEURS MATERIELS Selon les protocoles du CLIN, du SMUR 54 et du Groupe Synapse (69) Pour assurer une efficacité optimale du nettoyage
Plus en détailPrépration cutanée de l opéré
Prépration cutanée de l opéré Xème Journée d Hygiène Hospitalière de Bizerte. Bizerte le 3 décembre 2005 Conférence de Consensus de la Société Française d Hygiène Hospitalière 1 Définition: Ensemble de
Plus en détailL entretien en radiologie conventionnelle. Comment procède t on? Radiologie conventionnelle. Quel mobilier et matériel?
L entretien en radiologie conventionnelle Il existe plusieurs sortes d entretiens à l hôpital Selon le service, le risque infectieux, la zone à entretenir et les actes effectués, l entretien sera différent.
Plus en détailPeroxyacide pour l'hygiène dans les industries agroalimentaires
P3-oxonia active Description Peroxyacide pour l'hygiène dans les industries agroalimentaires Qualités Le P3-oxonia active est efficace à froid. Il n'est ni rémanent ni polluant. Il ne contient pas d'acide
Plus en détailBOP: Environnement - Entretien des salles d'opération et des locaux annexes
1. ENTRETIEN À L OUVERTURE D UNE SALLE D OPÉRATION NON UTILISÉE AU DELÀ DE 24 H Nettoyer les surfaces (table d opération, table d instruments, éclairage opératoire, appareil d anesthésie), avec un chiffon
Plus en détailREFERENTIEL D ACTIVITES ET DE COMPETENCES CQP AIDE DENTAIRE
REFERENTIEL D ACTIVITES ET DE COMPETENCES CQP AIDE DENTAIRE 1 ACTIVITES TECHNIQUES AIDE DENTAIRE / GESTION DU RISQUE INFECTIEUX Préparer et entretenir la salle de soins Entretenir la salle de stérilisation
Plus en détailAcides et bases. Acides et bases Page 1 sur 6
Acides et bases Acides et bases Page 1 sur 6 Introduction Sont réputés acides et bases au sens des règles de sécurité en vigueur en Suisse, les solides ou liquides qui ont une réaction acide ou alcaline
Plus en détailLE SPÉCIALISTE DE L HYGIÈNE Au service des Professionnels de la Restauration
ÉDITION 2015 LE SPÉCIALISTE DE L HYGIÈNE Au service des Professionnels de la Restauration Plonge manuelle Désinfection Décapage, détartrage Lavage automatique Notre ambition VOTRE SATISFACTION DIAGNOSTIC
Plus en détailENTRETIEN MENAGER D UNE CHAMBRE D UN PATIENT FAISANT L OBJET DE PRECAUTIONS SPECIFIQUES
1 ENTRETIEN MENAGER D UNE CHAMBRE D UN PATIENT FAISANT L OBJET DE PRECAUTIONS SPECIFIQUES A. NETTOYAGE COURANT Il est effectué: en dernier lieu, Idéalement ½ heure minimum après la réfection du lit. en
Plus en détail10 % À REVERSER S ENGAGE DU MONTANT DE VOS ACHATS À L AOI ACCOMPAGNEMENT ET FORMATION À L HYGIÈNE ÉCHANGES MADAGASCAR
MADAGASCAR ACCOMPAGNEMENT ET FORMATION À L HYGIÈNE Lavage des mains Propreté des locaux et des surfaces Protection personnelle Traitement de l instrumentation et des déchets dans les services dentaire,
Plus en détail«Bonnes pratiques de retraitement des dispositifs médicaux et audits des cabinets dentaires : des peurs à la réalité»
«Bonnes pratiques de retraitement des dispositifs médicaux et audits des cabinets dentaires : des peurs à la réalité» SSO-Fribourg, jeudi 12 février 2015 Dr Christine Cunier Adjointe du médecin-dentiste
Plus en détailFICHE DE DONNÉES DE SÉCURITÉ conformément au Règlement (CE) nº1907/2006 REACH Nom : KR-G KR-G
KR-G Page 1 de 5 1. IDENTIFICATION DE LA SUBSTANCE/PRÉPARATION ET DE LA SOCIÉTÉ/ENTREPRISE 1.1 Identificateur de produit : Nom du produit : KR-G 1.2 Utilisations identifiées pertinentes de la substance
Plus en détailCONSTRUCTION DES COMPETENCES DU SOCLE COMMUN CONTRIBUTION DES SCIENCES PHYSIQUES
CONSTRUCTION DES COMPETENCES DU SOCLE COMMUN CONTRIBUTION DES SCIENCES PHYSIQUES Compétence du socle : Compétence 6 : Les compétences sociales et civiques. Contribution attendue : Utiliser un produit chimique
Plus en détailcuisine Produits et services pour l hygiène en restauration La gamme
cuisine Produits et services pour l hygiène en restauration La gamme Notre expérience pour votre sécurité L expérience que Dr. Weigert a acquise depuis des décennies permet de résoudre les missions les
Plus en détailPRISE EN CHARGE D'UN PATIENT ATTEINT OU SUSPECT DE CLOSTRIDIUM DIFFICILE
PRISE EN CHARGE D'UN PATIENT ATTEINT OU SUSPECT DE CLOSTRIDIUM DIFFICILE PG SPI SUR 014 v1 2011 1/5 OBJET Conduite à tenir dans le cadre de l'arrivée d'un patient atteint ou suspect de portage de Clostridium
Plus en détailTraitement de l eau par flux dynamique
GmbH Traitement de l eau par flux dynamique afin de réduire les impuretés microbiologiques afin d empêcher l apparition de nouveaux germes dans les eaux de consommation et de process et Nouveau avec certificat
Plus en détailFiche de données de sécurité Selon l Ochim (ordonn. produits chim.) du18.05.2005, paragr.3
Nr. Article- Produit : 48785 Page: Page 1 En cas d urgence appeler le Centre Suisse d information toxicologique, Freiestr. 16, 8032 Zürich; Tél. des Urgences: ( jour et nuit) 145 ou +41 (0)44 251 51 51.
Plus en détailrévention de la transmission infections
Pdes révention de la transmission infections Préambule Tout le matériel utilisé par l inhalothérapeute et ayant servi à la prestation des soins cardiorespiratoires doit être aseptisé et contrôlé avant
Plus en détailNETTOYAGE ET CONDITIONNEMENT DU MATERIEL DE SOINS EN VUE DE LA STERILISATION
NETTOYAGE ET CONDITIONNEMENT DU MATERIEL DE SOINS EN VUE DE LA STERILISATION OBJECTIFS SPECIFIQUES : ENUMERER SANS ERREUR LES ELEMENTS QUI COMPOSENT LE MATERIEL COURANT DE SOINS EXPLIQUER CHACUNE DES TECHNIQUES
Plus en détailGUIDE D ENTRETIEN DE VOTRE SPA A L OXYGENE ACTIF
Actualisé 22/02/2008 - FL GUIDE D ENTRETIEN DE VOTRE SPA A L OXYGENE ACTIF Un bon entretien de votre spa comporte 2 étapes indissociables : le traitement mécanique et le traitement chimique. TRAITEMENT
Plus en détailCahier des bonnes pratiques pour un nettoyage écologique des locaux du Conseil Général de la Gironde
Le Conseil Général ménage votre santé! Cahier des bonnes pratiques pour un nettoyage écologique des locaux du Conseil Général de la Gironde Sommaire 1. Pourquoi créer ce cahier pratique du nettoyage écologique?
Plus en détail1 Introduction 2. 1.1 Description 2. 1.2 Accessoires et numéros de pièces 2. 1.3 Caractéristiques 3. 1.4 Aspects réglementaires 3. 2 Mise en service 4
Table des matières 1 Introduction 2 1.1 Description 2 1.2 Accessoires et numéros de pièces 2 1.3 Caractéristiques 3 1.4 Aspects réglementaires 3 2 Mise en service 4 2.1 Déballage et inspection 4 2.2 Batterie
Plus en détailHygiène et transport sanitaire
MINISTERE DE LA SANTE PUBLIQUE MINISTERE DIRECTION REGIONALE DE BIZERTE SERVICE REGIONAL D HYGIENE DU MILIEU Série des manuels d hygiène hospitalière SAMU Manuel 5 Hygiène et transport sanitaire Année
Plus en détailProcédures Utilisation des laboratoires L2
N PROCEDURES Personnes page concernées I PROCEDURES D UTILISATION I-1 Entrée/sortie du personnel Utilisateurs 2 I-2 Utilisation d un PSM de type II Utilisateurs 3 I-3 Elimination des déchets solides Biologiques
Plus en détailLES DOUCHES ET LES BASSINS OCULAIRES D URGENCE
LES DOUCHES ET LES BASSINS OCULAIRES D URGENCE LES DOUCHES ET LES BASSINS OCULAIRES D URGENCE Tous les jours, des milliers de Néo-Brunswickois travaillent près de produits chimiques dangereux. Même si
Plus en détailIBCP- Service Culture Cell- Règlement Intérieur des laboratoires de culture cellulaire
IBCP- Service Culture Cell- Règlement Intérieur des laboratoires de culture cellulaire Table des matières I -Liste des laboratoires de culture cellulaire de l IBCP :... 2 II -Conditions requises pour l
Plus en détailEVALUER LA MAITRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD
EVALUER LA MAITRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD Dr. Nathalie MAUBOURGUET Lundi 24 novembre 2008 Ministère de la Santé, Salle Laroque Séminaire National sur l Organisation de la Prévention des Infections
Plus en détailDésinfection du matériel médical et stérilisation Josée Savoie, Julie Moreau, Maroussia Groleau
La prévention des infections en cabinet privé Désinfection du matériel médical et stérilisation Josée Savoie, Julie Moreau, Maroussia Groleau 6 Vous recevez Martine à votre cabinet pour son examen annuel.
Plus en détailBIONETTOYAGE EN SOINS DE SUITE 2009
PS ENS-ENT 010 V1 BIONETTOYAGE EN SOINS DE SUITE 2009 n page 1/14 OBJET Améliorer la qualité de l'environnement du patient, contribuant ainsi à diminuer le risque d'infection. En cohérence avec le manuel
Plus en détailPrécautions standard d hygiène au cœur de la prévention du risque infectieux
Précautions standard d hygiène au cœur de la prévention du risque infectieux Ivana Novakova, Arlin IDF ivana.novakova@sap.aphp.fr arlin.idf@sap.aphp.fr La vie en EHPAD: modèle de tous les paradoxes et
Plus en détailC. difficile. Réponses aux questions les plus fréquemment posées sur le. à l Hôpital général juif HÔPITAL GÉNÉRAL JUIF SIR MORTIMER B.
Réponses aux questions les plus fréquemment posées sur le C. difficile à l Hôpital général juif HÔPITAL GÉNÉRAL JUIF SIR MORTIMER B. DAVIS HÔPITAL D ENSEIGNEMENT DE L UNIVERSITÉ MCGILL www.jgh.ca 1. CLOSTRIDIUM
Plus en détailLes Solutions Hydro-Alcooliques en 43 questions
LES ETAPES DE LA FRICTION HYDRO-ALCOOLIQUE ❶ Paume contre paume ❼ Poignets ❷ Paume / Dos main Etapes à renouveler jusque séchage complet ❻ Ongles Friction de 30 secondes Dose suffisante* ❸ Doigts entrelacés
Plus en détailLe choix des produits d entretien
écol'air Un établissement qui respire, c'est bon pour l'avenir! Le choix des produits d entretien pour une meilleure qualité de l air intérieur 1 4 Stratégies Le choix des produits d entretien pour une
Plus en détailEntretien des différents locaux
Fiche Pratique Entretien des différents locau Il n'eiste pas " la technique", mais plusieurs techniques qui seront élaborées sous forme de mode opératoire en tenant compte des contraintes du contete. Cependant,
Plus en détailRecommandations des experts de la Société de réanimation de langue française, janvier 2002 Prévention de la transmission croisée en réanimation
Réanimation 2002 ; 11 : 250-6 2002 Éditions scientifiques et médicales Elsevier SAS. Tous droits réservés S1624069302002414/FLA RECOMMANDATIONS Recommandations des experts de la Société de réanimation
Plus en détailProtection du personnel
PROTOCOLE POUR L EVACUATION DES EXCRETAS PAR LES ENTREPRISES DE VIDANGE/NETTOYAGE ET LES ONG s (Version 1.0, 23 décembre 2010) Sommaire I. Objectifs du protocole II. Protection du personnel III. Aspects
Plus en détailENTRETIEN DES DIFFERENTS LOCAUX
ENTRETIEN DES DIFFERENTS LOCAUX Bionettoyage REGARD A., LYON Juillet 2010 Il n'eiste pas " la technique", mais plusieurs techniques qui seront élaborées sous forme de mode opératoire en tenant compte des
Plus en détailFICHE DE SECURITE FUMESAAT 500 SC
1/5 FICHE DE SECURITE FUMESAAT 500 SC Identification de la préparation 1. Identification de la préparation de l entreprise Nom commercial: FUMESAAT 500 SC Identification Produit : éthofumésate 500 SC Substance
Plus en détailHUMI-BLOCK - TOUPRET
FICHE DE DONNEES DE SECURITE Révision antérieure : (Selon l annexe II du Règlement REACH de l UE 1907/2006) Mise à jour : 19 janvier 2010 Version : 1 HUMI-BLOCK - TOUPRET 1-IDENTIFICATION DU PRODUIT ET
Plus en détailProduits nettoyants. Détergents en poudre. Savons à mains DÉTERGENT EN POUDRE POUR LAVE-VAISSELLE
Détergents en poudre POUR LAVE-VAISSELLE POUR LA LESSIVE Code Colabor : 4289 4291 13394 18 kg Ce détergent en poudre à mousse contrôlée pour lave-vaisselle est recommandé pour les lave-vaisselle automatiques
Plus en détailLa démarche HACCP en cuisine de collectivité Manuel de formation
La démarche HACCP en cuisine de collectivité Manuel de formation Un expert à votre service pour votre réussite 1 La démarche HACCP en cuisine de collectivité Sommaire I. Hygiène en cuisine... 4 A. L hygiène...
Plus en détailGuide pour le dépôt des dossiers relatifs aux demandes d autorisation transitoire de mise à disposition sur le marché de certains produits biocides
Guide pour le dépôt des dossiers relatifs aux demandes d autorisation transitoire de mise à disposition sur le marché de certains produits biocides Arrêté du 13 juillet 2010 pris en application de l article
Plus en détailLA DÉMARCHE GLOBALE DE PRÉVENTION
LA DÉMARCHE GLOBALE DE PRÉVENTION La méthode HACCP olet 3 : Ressource documentaire 1 Exemples de protocoles (A1 à A5) 2 Exemples de fiches de contrôle (B1 à B4) Année : 2005-2006 A - 1 PROTOCOLE DE FABRICATION
Plus en détailSécurité au quotidien
Sécurité au quotidien Version 2010 3R B Livret à destination des personnels de laboratoire de biotechnologie des sections d enseignement technologique et professionnel INRS_3RB.indd 1 03/02/11 05:06 Ce
Plus en détailLes Bonnes Pratiques Hygiéniques dans l Industrie Alimentaire
Les Bonnes Pratiques Hygiéniques dans l Industrie Alimentaire 1- Hygiène du personnel Lors de l'embauche à l entreprise, toute personne affectée au travail et à la manipulation des produits est soumise
Plus en détailLe choix des produits d entretien
Le choix des produits d entretien pour une meilleure qualité de l air intérieur 1 4 Stratégies Le choix des produits d entretien pour une meilleure qualité de l air intérieur Sommaire Page 2 / QUELS LIENS
Plus en détailDésinfectez et dites adieu aux microbes et aux infections
Désinfectez et dites adieu aux microbes et aux infections P armi les activités régulières d un service de garde, il y a la désinfection des jouets 1. La technique que vous utilisez est-elle efficace? Les
Plus en détailRéférences et partenaires :
Eric RIPERT, 49 ans, Formateur - Consultant depuis 1995 dans les domaines HYGIENE SECURITE ENVIRONNEMENT. (H.S.E) Formateur et coordinateur de pôle en 2010 dans un centre de formation de premier plan sur
Plus en détailHYGIENE EN PRATIQUE DENTAIRE
HYGIENE EN PRATIQUE DENTAIRE MARS 1997 TABLE DES MATIERES 1. PREFACE 2. CONTAMINATION ET INFECTION, SOURCES ET VOIES DE TRANSMISSION 2.1 Source 2.2 Voies de transmission 2.3 Le patient réceptif 2.4 Micro-organismes
Plus en détailVIN BIO : Nettoyage et Hygiène
Maîtriser et conduire une vinification, c est sélectionner et développer des levures et bactéries utiles aux fermentations et éliminer tous les micro-organismes qui pourraient altérer le vin. L hygiène
Plus en détail4. Conditionnement et conservation de l échantillon
1. Objet S-II-3V1 DOSAGE DU MERCURE DANS LES EXTRAITS D EAU RÉGALE Description du dosage du mercure par spectrométrie d absorption atomique de vapeur froide ou par spectrométrie de fluorescence atomique
Plus en détailPériodiquement, nettoyer les surfaces de l unité pour les maintenir dans une condition sanitaire et ce, aussi souvent que nécessaire.
Périodiquement, nettoyer les surfaces de l unité pour les maintenir dans une condition sanitaire et ce, aussi souvent que nécessaire. Laver les surfaces à l aide d une solution d eau tiède et de savon,
Plus en détailAgent d entretien des locaux
Agent d entretien des locaux L entretien des locaux (bureaux, écoles, salles polyvalentes, structures sanitaires, gymnases ) nécessite l emploi de techniques, de produits et de matériels spécifiques qui
Plus en détailDossier Technique «Nettoyage et Désinfection» dans le cadre de l action collective «Efficacité des opération de Nettoyage et Désinfection
Dossier Technique «Nettoyage et Désinfection» dans le cadre de l action collective «Efficacité des opération de Nettoyage et Désinfection 1. NETTOYAGE/DESINFECTION GENERALITES Définition Lors de la préparation
Plus en détailMénage au naturel. Les recettes!
Pas toujours facile de faire le ménage face à tous les produits proposés en magasin et à leur potentielle dangerosité tant pour l environnement que pour la santé. Il est pourtant possible de choisir! De
Plus en détailENTRETIEN DES LOCAUX DE L ETABLISSEMENT DE SOINS DU CENTRE HOSPITALIER DE SAINT- GAUDENS
ENTRETIEN DES LOCAUX DE L ETABLISSEMENT DE SOINS DU CENTRE DE SAINT- GAUDENS CLIN-100 2/3 ENTRETIEN DES LOCAUX DE L ETABLISSEMENT DE SOINS DU CENTRE DE SAINT- GAUDENS CLIN-100 3/3 TABLE DES MATIERES CLIN-101
Plus en détail1. Identification de la substance ou préparation et de la Société. 2. Composition/ informations sur les composants
Date d impression : 23/08/02 Valable à partir du : 08.08.01 Page: 1/7 1. Identification de la substance ou préparation et de la Société Données relatives au produit : Nom commercial : KNAUF ZADUR Mortier
Plus en détailEBOLA - épidémie 2014 - Transport en ambulance d'un cas suspect
Virus Ebola Transmission : de personne à personne lors de contact avec liquides biologiques du malade (sang, excréments, vomissures, urine, salive, sperme). Incubation : de quatre à dix jours, au max 21
Plus en détailLa santé dans les milieux d accueil de la petite enfance
La santé dans les milieux d accueil de la petite enfance Edition 2011 Table des matières Introduction... 5 Chapitre 1 Surveillance de la santé... 7 1/ Cadre législatif...7 2/ Objectifs...7 3/ Examens
Plus en détaildémarche qualité Hygiène
démarche qualité Hygiène SALLES DE CLASSE, BUREAUX Chaise, table, bureau, sols, armoire, tableau, portes, interrupteurs, poubelle 1 z LAVETTE z SEAU z BALAI z SYSTEME DE LAVAGE DE SOL 1 z Eliminer tous
Plus en détailMai Thanh LE - Pôle Hygiène
Sodexo Le Better Tomorrow Plan Nos actions de progrès en bio nettoyage Mai Thanh LE - Pôle Hygiène Présentation de l entreprise Sodexo Depuis la création de l entreprise en 1966, Sodexo est le partenaire
Plus en détail2. HYGIENE ET PREVENTION DU RISQUE INFECTIEUX
Hygiène des soins infirmiers en ambulatoire - C.CLIN-Ouest 2002 2. HYGIENE ET PREVENTION DU RISQUE INFECTIEUX LES PRECAUTIONS STANDARD Objectif : Protéger systématiquement tous les patients et tous les
Plus en détailProduits pour hygiène en cuisine nettoyage de bâtiments détergents pour textiles
Produits vaisselle HalaGastro F11 Détergent pour lave-vaisselle avec chlore actif. Concentration d'utilisation: 0.3 0.5%, ph à 1.0%: 11.7 10600410-0002 10600410-0004 10600410-0007 Bidon 12 kg Bidon 25
Plus en détailLES SOINS D HYGIENE l hygiène bucco dentaire. Formation en Hygiène des EMS de la Somme EOH CH ABBEVILLE JUIN 2015
LES SOINS D HYGIENE l hygiène bucco dentaire Formation en Hygiène des EMS de la Somme EOH CH ABBEVILLE JUIN 2015 1 SOINS DE BOUCHE ENTRETIEN DES PROTHESES DENTAIRES L état bucco-dentaire est souvent préoccupant
Plus en détailCONSEIL SUPERIEUR D HYGIENE RECOMMANDATIONS EN MATIERE DE STERILISATION. <---- Cliquez. Table des matières
CONSEIL SUPERIEUR D HYGIENE RECOMMANDATIONS EN MATIERE DE STERILISATION Table des matières
Plus en détailTechniques d entretien des locaux (nettoyage et procédés de désinfection, désinfection par voie aérienne par le
Relais Régional des Etablissements de Santé de l Ouest Brest - 24 mai 2007 Techniques d entretien des locaux (nettoyage et procédés de désinfection, désinfection par voie aérienne par le peroxyde d hydrogène)
Plus en détailPrévention du risque infectieux en EHPAD, MAS, FAM et IME
Prévention du risque infectieux en EHPAD, MAS, FAM et IME Équipe: Dr Elise Seringe elise.seringe@sap.aphp.fr Ivana Novakova ivana.novakova@sap.aphp.fr 01 40 27 42 53 arlin.idf@sap.aphp.fr C CLINs de FRANCE
Plus en détailPREPARATION (NETTOYAGE, DESINFECTION ET STERILISATION) D AIGUILLES MEDICALES, DE RACCORDS, DE ROBINETS ET D AIGUILLES CHIRURGICALES A SUTURE UNIMED
U N I M E D S.A. CM/07.12.04 NETSTERIL.SPN Approuvé par/le: Claude Borgeaud / 08.10.13 PREPARATION (NETTOYAGE, DESINFECTION ET STERILISATION) D AIGUILLES MEDICALES, DE RACCORDS, DE ROBINETS ET D AIGUILLES
Plus en détailLes Infections Associées aux Soins
Les Infections Associées aux Soins Dr Catherine Sartor EOH Conception Assistance Publique Hôpitaux de Marseille Ecole IFSI, Marseille, 12 septembre 2014 Définitions 2007 Infection Nosocomiale (IN) 1999
Plus en détailinspection, nettoyage et désinfection
Réservoirs et canalisations d eau destinée à la consommation humaine : inspection, nettoyage et désinfection GUIDE TECHNIQUE Ce guide a été réalisé à l initiative du ministère chargé de la santé MINISTÈRE
Plus en détailPOURQUOI L HYGIENE HYGIENE = PROPRETE HYGIENE = PREVENTION DES INFECTIONS COMMUNAUTAIRES ET DES INFECTIONS ASSOCIEES AUX SOINS
Prise en charge d un «résident septique» en Etablissements Médico Sociaux PRÉVENTION DES RISQUES INFECTIEUX EN ETABLISSEMENTS MÉDICO SOCIAUX INFECTIONS NOSOCOMIALES ET COMMUNAUTAIRES ASSOCIÉES AUX SOINS
Plus en détailChapitre II : Gestion de l environnement et des circuits
Chapitre II : Gestion de l environnement et des circuits Fiche n II.1 : Entretien des locaux Fiche n II.2 : Hygiène en restauration Fiche n II.3 : Gestion du linge Fiche n II.4 : Gestion des déchets Fiche
Plus en détailSensibilisation des opérateurs à l hygiène des aliments
Sensibilisation des opérateurs à l hygiène des aliments Le respect des bonnes pratiques d hygiène de fabrication, par chaque opérateur, constitue le préalable à toute démarche de maîtrise de la sécurité
Plus en détailHygiène et prévention du risque infectieux en cabinet médical ou paramédical
RECOMMANDATIONS PROFESSIONNELLES Hygiène et prévention du risque infectieux en cabinet médical ou paramédical Recommandations Juin 2007 Avec le partenariat méthodologique et le concours financier de la
Plus en détailContact cutané. Contact avec les yeux. Inhalation. Ingestion.
FICHE SIGNALÉTIQUE 995-01 Canutec 1-613-996-6666 (24 heures) 1. PRODUIT CHIMIQUE ET FOURNISSEUR Identification du produit : 995-01 Nom du produit : Graisse montage pneu Famille chimique : Mélange Fournisseur/Fabricant
Plus en détailGuide de nettoyage et d assainissement
Guide de nettoyage et d assainissement pour la préparation des aliments d origine végétale Ministère de l Agriculture, de l Alimentation et des Affaires rurales de l Ontario L objectif premier de tout
Plus en détailHygiène alimentaire, formations obligatoires, législation du travail
GUIDE PRATIQUE Guide des bonnes pratiques pour les restaurateurs Hygiène alimentaire, formations obligatoires, législation du travail Restaurateurs Quelles Restaurateurs sont vos obligations? Quelles sont
Plus en détailOffre de formation. itinéraire Agent polyvalent-e d entretien en charge des activités de nettoyage des locaux. https://inscription.cnfpt.
2015 Offre de formation itinéraire Agent polyvalent-e d entretien en charge des activités de nettoyage des locaux Inscription en ligne aux stages https://inscription.cnfpt.fr/ Délégation régionale Basse-Normandie
Plus en détailPlanches pour le Diagnostic microscopique du paludisme
République Démocratique du Congo Ministère de la Santé Programme National de Lutte Contre le Paludisme Planches pour le Diagnostic microscopique du paludisme Ces planches visent à améliorer le diagnostic
Plus en détail