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1 Numéro 3 Mai 2006 zine du CICM es CrédiWtMutuel.mmaire RCA CONGO Bienvenu Maziezoula : "Crédits : il faut adapter nos méthodes" Page 11 Bernard Hamadjida a été élu Président du Crédit Mutuel de Centrafrique. Page 12 CONFEDERATION NIGER Trois caisses ouvertes en juin Page 9 SIIMEC Jean-François Youf a pris la direction de la SIIMEC à Dakar Page 8 Etienne Pflimlin : "Notre objectif c'est votre autonomie" Page 6 -Ne CMN Acteurs et partenaires du CICM en séminaire à Toulouse Lors du séminaire, les participants se sont rendus dans une Caisse du Crédit Mutuel Midi-Atlantique au centre de Toulouse. A la sortie, de gauche à droite on reconnaît : Bienvenu Maziezoula (Congo) ; Byll Arhini et James Nfokolong (Cameroun) ; à l'arrière plan, Jean-Claude Garcia (Centrafrique) ; Diao Cissé (Sénégal) ; à demi masqué, David Cohen (CICM Paris) ; Drissa Coulibaly (Mali) ; Youssef Djezzez (Philippines) et Alioune Diodio Ba (Sénégal). C Avec une régularité de métronome les administrateurs du CICM et les responsables des différents réseaux partenaires d'afrique et d'asie, se retrouvent en séminaire à la fin de l'hiver. Cette année c'est la Ville Rose qui avait le privilège de les accueillir. es rencontres qui rassemblent une trentaine de participants, tous acteurs responsables, est l'occasion de partager des expériences et de mettre en commun des réflexions. Pour le spectateur non averti, la lecture de l'ordre du jour pourrait prêter à sourire tant les sujets appartiennent au domaine des évidences dans un monde bancaire occidental formaté par des siècles de pratiques et de traditions. Mais, pour le Président de la Caisse de Bacongo, un quartier chaud de Brazzaville, l'espoir de voir une carte bancaire mise au service de ses sociétaires est encore du domaine du rêve. Comme il est peu probable que les enfants de son voisin puissent suivre sur Internet le cheminement du salaire paternel qui vient de là bas, de chez nous, d'une plateforme pétrolière en Mer du Nord, pour faire finir l'étage de la maison ou assurer le quotidien familial. Il est vrai que voila dix ans il n'était pas du tout concevable que cette banque mutualiste puisse survivre, ici à la guerre civile, là-bas aux séismes politiques ou économiques. Souvent les économies étaient la proie du feu de la case ou des rongeurs campagnols. Ce n'est pas du misérabilisme, simplement la réalité. Le quotidien du CICM est de mettre à la disposition des femmes et des hommes qui dirigent ces réseaux tous les outils bancaires banalisés aujourd'hui dans nos contrées. Mais cette mise à disposition doit suivre un cours pédagogique adapté. Ce n'est pas du soir au matin que l'on impose un contrôle de gestion rigoureux ou l'observance de ratios prudentiels de stricte obédience Standard & Poors. D'ailleurs, si on l'imaginait, ce serait faire preuve d'une mémoire défaillante.

2 i SEMI Entre la comptabilité sur le Grand Livre tenue dans l'arrière boutique du presbytère et la mise sur les fonds baptismaux des Cybermut et autres Symphonis il a fallu tout un apprentissage, peut être parfois quelques tâtonnements, toujours de la bonne volonté et de l'envie de mieux faire pour l'amélioration du service aux sociétaires. Depuis une trentaine Contrôle de gestion : la SIIMEC à l'ouvrage Depuis 2002 le service central du CICM, en l'occurrence tout particulièrement David Cohen en charge de l'informatique, planche avec le Crédit Mutuel du Sénégal sur un projet de Système Informatique de Gestion qui prolonge les outils comptables bancaires. En 2003 les différents mouvements ont approuvé un cahier des charges commun et une solution technique a commencé à poindre en Depuis le projet est en attente, faute, notamment, d'un support technique et logistique adapté. La création, puis la montée en puissance de la société informatique SIIMEC, ont permis de remettre le projet à l'ordre du jour du séminaire de Toulouse. La mise en place d'un contrôle de gestion pertinent répond à quatre objectifs principaux : - améliorer la qualité de l'information sur la réalité financière des mouvements ; - améliorer la vitesse de circulation, de traitement et de production de l'information. Trivialement, pouvoir en disposer avec pertinence en temps quasi réel et non plus de manière aléatoire - sécuriser les chaînes de traitement par une intégration informatique qui évite les opérations manuelles et pérennise le suivi, sans risque lié au départ d'un collaborateur... - assurer la transparence des établissements vis-à-vis des partenaires extérieurs : Banque centrale, Commission bancaire locale, Commissaires aux comptes, refinanceurs ou éventuels actionnaires. Incontournable pour une bonne gouvernance D'un point de vue technique le système cible doit pouvoir supporter des utilisateurs multiples et répartis sur l'ensemble du réseau, ce qui implique une solution de stockage puis de restitution des informations. Par ailleurs, compte tenu de la croissance rapide des réseaux, mais aussi de leur disparité, le système choisi doit être évolutif et s'appuyer sur un tronc commun qui couvre 80% des besoins. A Toulouse la synthèse des travaux a permis de déterminer trois axes principaux : - la création d'un Système d'information Décisionnel qui génère : un espace de dépôts des données de SiBanque, mais aussi des données prévisionnelles ; une base de données calibrée pour répondre à la demande à des interrogations complexes. - le choix d'une architecture d'année, en Afrique et aujourd'hui en Asie, le CICM apporte avec lui les graines de cette expérience acquise. Les mouvements qu'il patronne, suivent, à leur rythme. Souvent à grand pas. Ils s'imprègnent puis agissent. Pragmatiques héritiers de Raiffeisen. Escapade toulousaine dans un ordre du jour chargé et éclectique. Intranet, dont les qualités intrinsèques sont la fiabilité, l'accessibilité et la pérennité. De plus elle facilite les actions d'administration centralisées et minimise les développements spécifiques couteux. Pour les spécialistes notons que cette architecture sera associée à une base de données SQL Server. - la SIIMEC sera chargée de mettre en oeuvre ce projet après accord des utilisateurs sur son financement qui représente une charge de l'ordre de En l'état de développement de certains réseaux, on pense aujourd'hui au Sénégal et au Congo, ce projet devient incontournable pour leur pérennité et leur bonne gouvernance. Échange en atelier, de gauche à droite : Monique Groc (Toulouse), Louis Crusol (Président Fédération Antilles Guyane) et Gérard Légier (DG Mucodec, Congo) Témoianaae Monique Fillot Monique Fillot est administratrice du CICM. Elle représente la Fédération de Lyon "Les séances plénières sont de plus en plus structurées. Tout naturellement, les réseaux matures tirent vers le haut les autres réseaux plus jeunes ou ceux dont les difficultés ne leur permettent pas de se développer. Plusieurs thèmes abordés dont blanchiment et financement du terrorisme, élaboration d'un site Internet, mise en place d'une Centrale des Risques sont des sujets qui ne peuvent être traités sans une adhésion et une participation entière de tous les réseaux. Tous ces projets cimentent les liens tissés entre le CICM, force de proposition, et ses partenaires. Je reste étonnée et admirative du chemin parcouru et de la rapidité du développement. Hélas, certains points dont l'issue semble bien compromise persistent, je pense particulièrement à CMCA, qui cumule tous les handicaps. Autre source de satisfaction, la représentation des réseaux d'asie avec lesquels il va falloir compter désormais. Approche différente due à l'environnement et à la culture. La présence des deux expatriés de ces réseaux, permettait une info en direct, avec des précisions, des anecdotes qui nous les rendaient plus proches et plus concrets." Page 2 Différences

3 NAIR i SÉMINAIR Comment valoriser d'excellents résultats financiers? Directeur Général du Crédit Mutuel du Sénégal (CMS), Mamadou Touré a planché durant le séminaire sur un sujet fondamental pour une institution mutualiste : comment communiquer et valoriser ses résultats? Le Président Pflimlin, apportera d'ailleurs son éclairage sur le sujet lors de son intervention. Entre 2002 et 2005 le CMS est passé de sociétaires à Dans le même temps son PNB a été multiplié par six et son résultat par plus de sept (2 495 milliards de Francs CFA en 2005!). Ce résultat brillant est le fruit d'une planification déterminée pour accéder à la stabilisation et à la pérennisation de l'entreprise, désormais première banque sénégalaise des particuliers. Un plan d'amélioration de la productivité par agent et par strate de marché, ainsi qu'une maîtrise des coûts opératoires, liés à un développement commercial constant, ont permis cette progression. Les responsables du CMS pourraient être tentés de pavoiser et de clamer bien fort sur les toits de Dakar et au-dessus des baobabs leur génie et leur fortune. Bénéficiaires : l'entreprise, le sociétaire, les salariés. Plus raisonnablement, ils ont choisi de communiquer sur leurs résultats sous le prisme de leur utilisation. Et Mamadou Touré de ventiler la communication sur les résultats du CMS sous trois angles : - renforcement des fonds propres de l'entreprise pour financer son développement, faire face à d'éventuelles intrusions concurrentielles, envisager des diversifications qui pérennisent l'outil et apportent de nouveaux services aux sociétaires. - renvoi des résultats vers les sociétaires par la réduction des intérêts sur les crédits, la baisse de la tarification, l'amélioration des conditions d'accueil qui, en prime, apportera une valorisation de l'image et une plus grande notoriété. - les salariés bénéficieront également des fruits de leur travail : amélioration de leurs conditions de travail et de leur rémunération, amélioration de la prise en charge sociale et médicale, nouvelles possibilités d'épanouissement dans l'entreprise. En résumé, Mamadou Touré expliquait qu'après en avoir débattu avec son équipe de Direction et les élus de son Conseil le choix avait été fait de "communiquer sur ce que l'on fait de nos résultats plutôt que sur ce que l'on gagne. " Opération Afric@rte En présentant le sujet Patricia Lavocat, chargé de mission au CICM, n'hésitait pas à dire que l'introduction d'une carte dans les systèmes bancaires des réseaux africains liés au CICM représentait une " véritable révolution culturelle ". La carte bancaire peut répondre à quatre besoins : sécurisation des transactions, amélioration du service, diversification des produits, ouverture aux services de paiement et de retrait à l'international. Mais ces besoins doivent aussi tenir compte d'un contexte local où les réseaux de communication sont embryonnaire ce qui rend la densité des terminaux aléatoire et l'interconnexion bancaire peu réaliste pour l'heure. Par contre une carte personnalisée, avec piste magnétique ou puce, code biométrique ou code confidentiel, pourrait améliorer l'identification des sociétaires, renforcer la sécurité des opérations de guichet, limiter les fraudes en dématérialisant le livret qui est le seul lien entre le sociétaire et sa banque. Cette étape est assez légère car elle peut être gérée par un système interne hors des standards bancaires internationaux. Dans un second temps cette même carte, accompagnée de l'investissement d'un automate interne pourrait décongestionner les guichets, renforcer le rôle de conseil des guichetiers, améliorer l'image des mouvements en dotant leurs sociétaires d'un support socialement gratifiant. Les participants au séminaire de Toulouse ont focalisé leur attention sur la satisfaction de ces premiers besoins. Que ce soit en séance plénière ou en groupes de travail il ressort que le dossier est stratégique pour le développement des réseaux mais également très technique et doit être abordé avec une grande rigueur dans l'architecture des procédures. La phase d'étude, les choix techniques et budgétaires devraient pouvoir être arrêtés avant la fin de l'année Les phases de test sur deux pays pourraient voir le jour en Affaire chaude à suivre. Georges Coudray, Président du CICM, a dirigé l'ensemble des débats avec Yann Gauthier. Sur la photo, à sa gauche : James Nfokolong (Cameroun), Jean-Claude Garcia (Centrafrique), Bénédicte Brochu (Directrice PACMA, Mali) et Julienne Fiolenga (Centrafrique). Séance plénière sur le projet Afric@rte. Patricia Lavocat mène les débats présidés par Georges Coudray. Philippe Arnaudet (Bordeaux) à gauche de la photo, fait face à Thierry Brichant (DGA Confédération du Crédit Mutuel), à droite de la photo. Différences \,/ Page 3

4 ÉMINAIRE L'aridité des sujets ne saurait entamer la bonne humeur naturelle d'antoine Didonna. A sa droite Annie Rollin (Clermont- Ferrand) et David Cohen (CICM Paris). A sa gauche : Yann Gauthier (Directeur du CICM) et Marie- Armelle Vincendeau (La Roche-sur-Yon). Dispositifs prudentiels : lesquels? pour quoi faire? Il n'a pas fallu moins de deux DG pour capter l'attention des séminaristes de Toulouse sur l'importance des dispositifs prudentiels mis en place dans les banques : Mamadou Touré, Sénégal et Gérard Légier, Congo. Au départ, la sémantique du sujet est rebutante. De quoi peut-il bien s'agir? Dans un langage plus simple on parle de ratios, c'est à dire de rapport entre deux valeurs. Le ratio des taux de contentieux est par exemple le rapport entre la somme des crédits litigieux et douteux avec la somme des encours de crédits. Le ratio des taux de provision est le rapport entre les provisions comptabilisées et la somme des crédits litigieux et douteux. Autre ratio majeur dans une banque, celui du coefficient d'exploitation, qui est le rapport entre les frais généraux et le Produit Net Bancaire. En clair le rapport entre ce que l'on dépense et ce que l'on gagne sur un exercice. A plus de 100% il y a péril en la demeure. Un taux de 60% est de bon aloi mais pas exceptionnel. Le corpus de tous ces ratios, qui répondent chacun à des normes réglementaires incontournables, constitue ce fameux dispositif prudentiel. La normalisation de ces ratios permet également des comparaisons d'une entreprise à l'autre. A l'intention des administrateurs du CICM, mais aussi des élus des mouvements, Gérard Légier comme Mamadou Touré se sont attachés à démontrer qu'il ne s'agit pas seulement " de remplir des papiers pour satisfaire les besoins voraces des administrations,?? mais que le soin apporté à la fabrication et à la surveillance de ces ratios représente " le nécessaire investissement dans un outil de gestion pour soi-même comme pour l'extérieur. Dans ce cas de figure la réglementation nous aide à sécuriser notre exploitation. "Un vent de pédagogie active soufflait ce jour là sur Toulouse". Témoignage André Halipré Eckart Thom André Halipré est administrateur du CICM. Il représente la Fédération de Lille. Eckart Thom est administrateur du CICM. Il représente la Fédération de Normandie (Caen). "Le séminaire de Toulouse m'a conforté dans l'idée que le CICM réalise un travail considérable de construction de réseaux bancaires professionnels et pérennes adaptés à des populations qui ont un besoin réel de tels outils. Ce n'est pas de la charité, mais du développement durable. "J'ai, comme tous mes collègues, été frappé par la maturité des réseaux du Sénégal et du Congo et par la détermination des autres à suivre leur exemple en bénéficiant de leurs expériences. "Lors du séminaire le CICM a fortement appuyé sur la rigueur qui doit présider à la gouvernance des réseaux, tant sur le plan de la gestion que sur celui de la transparence des transactions. "Je note, en dernier lieu, le foisonnement de projets qui, malgré la pauvreté de moyens financiers et techniques, vont petit à petit se mettre en place. Il y a un mélange étonnant d'ambition et de pragmatisme." "Le CICM permet des ouvertures concrètes vers des mondes que l'on connaît mal. Par ailleurs l'action du CICM présente des retombées indirectes tout à fait intéressantes pour le Crédit Mutuel en terme d'image. A Toulouse j'ai été frappé parles qualités humaines des coopérants que nous envoyons sur le terrain. On sent qu'ils sont prêts à en découdre et qu'à force de persévérance et de travail tout leur paraît possible. Ils accumulent des expériences incomparables pour leur avenir dans un environnement coopératif. "J'ai également été frappé par la qualité de la réflexion sur une stratégie à long terme au Sénégal qui a ouvert les yeux de tous les partenaires, élus et salariés. Il y a un souffle prometteur. L'approche mutualiste permet de bien structurer l'environnement et de ne pas perdre le fil de l'objectif final : un meilleur service pour les sociétaires." Page 4 Différences

5 Centrale des risques Ce mercredi de séminaire était vraiment placé sous le signe des chiffres puisque, après les ratios de la matinée, allaient venir le contrôle des risques à l'heure de la sieste. Et c'est Antoine Didonna, actuellement mutualiste pionnier au Niger, qui tenait fermement la barre du sujet. En France, depuis la loi Neiertz de 1989, la Banque de France tient un Fichier des Incidents de remboursement des Crédits aux Particuliers (FICP). Un tel dispositif jusqu'alors inexistant en Afrique risque fort d'être mis en place avant la fin de L'objectif de la présentation était de sensibiliser tous les acteurs et par- Au départ des mouvements, quand les Caisses traitaient l'épargne et le crédit à l'échelle du village, nul n'aurait imaginé que le blanchiment d'argent sale et le financement du terrorisme pouvaient un jour faire irruption dans un séminaire du CICM. Mais, à l'heure où l'informatique permet aux immigrés travaillant alentour la planète de faire remonter à leur famille restée au pays les revenus de leur travail, ce risque n'est plus illusoire. Dans le flot des travailleurs honnêtes peuvent s'immiscer des trafiquants ou des personnages mal intentionnés. Les mouvements David Cohen est un perfectionniste. Avant de poser la problématique de l'internet pour le CICM et ses partenaires, il a tenu à faire un bref historique de l'explosion du web. Retenons deux chiffres : en 1996 seuls 8 millions d'ordinateurs étaient connectés, à usage professionnel quasi exclusif. On estime que, fin 2006, la planète comptera un milliard d'internautes. Dans ces conditions il est logique que chacun souhaite disposer d'une fenêtre sur la toile. L'objet du débat tenaires du CICM, à l'intérêt du sujet, à la fois en tant qu'obligation règlementaire mais aussi sous l'aspect de la sécurisation des organisations. L'informatique tiendra un rôle central dans ce dispositif, ne serait-ce que dans le croisement des fichiers entre Caisses, qui permettra de débusquer les doublons et trublions... Suivi individuel capital tant l'accumulation d'encours mal identifiés sur un même sociétaire peut rapidement fragiliser une Caisse, voire une banque. A l'instar des indiens d'amérique, les banquiers n'apprécient que très peu la cavalerie. Lutter contre le blanchiment partenaires du CICM sont mobilisés sur le sujet et à Toulouse, Bernard Tissot, DG de la BIMAO, la première banque mutualiste d'afrique de l'ouest, a déroulé toutes les procédures mises en place pour éradiquer ce genre de risques nouveaux. Son exposé, clair et documenté, a démontré que sa banque répondait en tous points aux exigences les plus draconiennes en la matière. C'était d'ailleurs un point de passage obligé pour obtenir la lettre de garantie de l'agence Française de Développement. Document obtenu sans coup férir en février dernier. Quelle stratégie sur la toile? Témoiana ae Monique Groc Monique Groc est administratrice du CICM. Elle représente la Fédération de Toulouse engagé à Toulouse était d'imaginer les possibilités de mutualisation des énergies en ayant à l'esprit que la situation relative des équipements informatiques et des réseaux à La Garenne-Colombes dans le neuf deux et à Niaganiao près de Kaolack au Sénégal, n'est pas la même... Une large réflexion sur le sujet s'est ouverte pour déterminer la nature des besoins en terme de sites Internet et les synergies qui pouvaient se mettre en place entre les réseaux. Sujet à suivre dans les mois à venir. "Nous avons organisé une présentation à laquelle nous avons invité de nombreux élus de la Fédération Midi-Atlantique. S'il n'y a pas eu beaucoup de question en direct je suis maintenant beaucoup sollicitée. Cette conférence a permis de réamorcer le fil du sujet que je m'efforce de diffuser auprès de tous nos élus. "Je suis frappée par la décalage grandissant qui existe entre des mouvements comme le Sénégal et ceux de certains autres pays. Les SÉMINAIR Atelier, de gauche à droite : Dassé Mariko (Président Jéméni, Mali), Pierre Levassor (Orléans), Philippe Arnaudet (Bordeaux), Alioune Diodio Ba (Président Crédit Mutuel du Sénégal), Mamadou Touré (DG Crédit Mutuel du Sénégal) et Gérard Légier (DG Mucodec, Congo). Expression libre en atelier. De gauche à droite : Monique Fillot (Lyon), André Halipré (Lille), Diao Cissé (Sénégal), James Nfokolong (Cameroun). Debout le Directeur du CICM est à la relance. Devant lui, de gauche à droite : Eckart Thomâ (Président de la Fédération de Normandie), Louis Crusol (Président de la Fédération Antilles Guyane), Bienvenu Maziezoula (Président Mucodec, Congo) et Eugène Foundou (Congo). Au centre Kéno Traoré (DG Jéméni, Mali) anime un atelier entouré, à sa droite par Bénédicte Brochu (Directrice PACMA, Mali) et James Nfokolong(Cameroun), à sa gauche par Bernard Tissot (DG Confédération et Banque Afrique de l'ouest). Face à lui Jean-Claude Garcia (DG CM Centrafrique). sénégalais avancent pied au plancher, alors que d'autres ont un peu plus de mal à atteindre un rythme de croisière. C'est là que les solidarités doivent jouer. Le CICM sert de passerelle entre toutes ces expériences. "Les maliens ont choisi la fin du séminaire pour annoncer qu'ils souhaitaient prendre le nom de Crédit Mutuel du Mali pour remplacer leur nom de Jéméni. Cela m'a émue. C'est un signe fort de reconnaissance." Différences \,/ Page 5

6 ÉMINAIRE Séance plénière, de gauche à droite : Baba Koïta (Président Confédération et Banque Afrique de l'ouest), Diao Cissé (Sénégal), Véronique de Crouy (Cambodia Mutuel Savings Crédit, Cambodge), Jean-Claude Garcia (DG Crédit Mutuel de Centrafrique), Bernard Hamadjida (Centrafrique). Etienne Pfimlin, Président du Crédit Mutuel "Notre objectif, votre autonomie" Le Président de la Confédération, Etienne Pflimlin, a participé au séminaire et s'est adressé aux participants. Il abordait les sujets phares du développement du CICM mais soulignait également la progression des dossiers en cours. Etienne Pflimlin situait l'action du CICM dans deux espaces : entre dynamisme et sécurité d'une part, entre développement et ambition d'autre part. Les projections sur Internet, les réflexions sur l'assurance et la mise en place de cartes bancaires ressortent du dynamisme et permettent de pousser en avant tous les modes de coopération. Les procédures draconiennes pour pallier aux risques de blanchiment, les dispositifs prudentiels et le développement d'une Inspection Confédérale, confortent l'indispensable rigueur pour donner plus de sécurité aux sociétaires, mais aussi à tous les partenaires des mouvements avec lequel coopère le CICM. Le projetafric@rtes a retenu l'attention du Président qui soulignait tout l'intérêt de cet outil bancaire comme moyen d'identification des sociétaires et de sécurisation des transactions. "C'est un dossier techniquement complexe et financièrement lourd." Etienne Pflimlin relevait avec intérêt la réflexion menée par le CICM sur les assurances. La bancassurance s'est banalisée dans le paysage bancaire français mais c'est le Crédit Mutuel qui, dans les années 70, en a été le pionnier. Il avait identifié que ses sociétaires pouvaient tirer avantage d'une prise en compte globale de leurs besoins. L'assurance ne peut se mettre en place qu'après analyse des spécificités nationales, réglementaires ou sociales. "Au sein d'une structure plurinationale comme le CICM, cette réflexion permet d'imaginer des mutualisations qui transcendent les différences." Améliorer le service aux sociétaires Le Président Pflimlin s'est félicité des résultats financiers remarquables obtenus en 2005 par certains réseaux mais il a attiré l'attention sur l'équilibre nécessaire dans la communication de ces résultats. " Des résultats positifs sont une ambition nécessaire pour assurer la stabilité, la pérennité des mouvements et pour répondre aux contraintes réglementaires qui pèsent sur tous les établissements financiers. Mais l'objet des organisations mutualistes est avant tout l'amélioration des services offerts aux sociétaires. Des résultats substantiels favorisent cette amélioration vers les sociétaires, à leur famille et leur environnement. C'est sur ces aspects que doit porter votre communication, c'est le vrai moteur du développement mutualiste." En parcourant l'évolution des dossiers depuis le séminaire de Brazzaville, le Président Pflimlin a relevé que la concrétisation des financements de l'agence Française de développement (AFD) et de la Banque Européenne d'investissement (BEI) vont permettre : le démarrage de la Confédération des Caisses Mutualistes d'afrique de l'ouest (CCMAO) ; un apport en quasi fonds propres à la BIMAO ; des garanties de levées de ressources auprès d'établissements bancaires de la zone Afrique de l'ouest (BCEAO) mais aussi l'octroi d'un prêt à la SIIMEC pour le lancement de projets informatiques. Donner des informations fiables aux actionnaires de la BIMAO En ce qui concerne l'afrique centrale, Etienne Pflimlin a salué l'avancée du dossier de la Banque de Développement des Etats d'afrique Centrale (BDEAC) qui permettra, dans un premier temps, de refinancer des Caisses congolaises mais aussi de réaliser les investissements immobiliers nécessaires à l'accueil des sociétaires à Brazzaville et à Pointe Noire. Le Président notait enfin que l'obtention du financement d'un réseau auprès du Ministère des Affaires étrangères avait permis de donner, début 2006, le coup d'envoi opérationnel du projet Niger. Dans la dernière partie de son intervention le Président de la Confédération du Crédit Mutuel a souhaité que la mise en place du contrôle et de l'inspection des Fédérations par la CCMAO permette, dès 2006, un vrai contrôle de l'activité des réseaux ainsi qu'une information fiable et régulière des actionnaires de la BIMAO, directement concernés par le bon fonctionnement du Crédit Mutuel du Sénégal et de Jéméni au Mali. Etienne Pflimlin souhaitait enfin que la Banque du Crédit Mutuel d'afrique Centrale, homologue géographique de la BIMAO, puisse recevoir l'agrément des autorités de tutelle avant la fin de Partenaires Comme il en a l'habitude dès qu'il se trouve en présence des responsables des mouvements, Etienne Pflimlin a renouvelé le message constant du CICM : si, depuis 30 ans, l'implication du Crédit Mutuel est très forte dans de nombreux domaines - informatique, création des banques et parfois encore dans certains pays - la vocation du Crédit Mutuel est de lancer les projets jusqu'à ce qu'ils atteignent la taille critique qui autorisera leur pérennité, puis de se retirer. "Notre objectif c'est votre autonomie!" A l'adresse des administrateurs du CICM Le Président de la Confédération notait que "depuis un an le Crédit Mutuel a mieux pris conscience de l'importance du travail réalisé parle CICM, notamment grâce à Différences, au film réalisé l'été dernier et aux actions que vous menez sur le terrain. Cet effort doit se poursuivre." Page 6 Différences

7 Témoignage SÉMINAIR Philippe Arnaudet Arnaudet est administrateur du CICM. Il représente la Fédération de Bordeaux. ILPhilippe "Au CICM, j'ai vraiment l'impression de reprendre contact avec nos racines mutualistes. À Toulouse, j'ai ressenti un progrès très sensible dans la construction des réseaux partenaires. Malgré leur handicap par rapport à nos propres organisations, ils franchissent les étapes à très grande vitesse. "Je constate aussi, avec un certain amusement, qu'ils font parfois les mêmes erreurs que nous avons faites par le passé, en confondant les priorités, mais cela conserve un aspect anecdotique, car, dans le même temps, ils réalisent, que, bien qu'en gagnant beaucoup d'argent, cela ne suffit pas à assurer la pérennité d'un réseau. "Des projets comme Internet ou l'assurance peuvent paraître ambitieux. On a tendance à dire : pas aujourd'hui, mais il y a un besoin exprimé par les sociétaires, il faut répondre présent. C'est à nous de rendre cela réalisable." Elie Bourdeau Elle Bourdeau est administrateur du CICM. Il représente la Fédération de Nantes "Le CICM nous permet de vivre en direct ce qu'ont réalisé nos ancêtres à la création du Crédit Mutuel : bancariser des familles sans accès naturel au monde bancaire. "Cela nous démontre que le mutualisme est toujours d'actualité et qu'il porte des valeurs que nous devons continuer à développer. "Les nouvelles générations baignent dans un monde mondialisé mais, au travers des réseaux du CICM, on sent bien que la proximité est un élément important de développement et d'équilibre pour les populations. Ce qui n'empêche pas de s'appuyer sur des outils modernes. "Ces réseaux qui émergent effectuent en quelques années le parcours que nous avons parfois mis plus d'un siècle à accomplir. Notre fierté c'est de les accompagner en leur balisant le chemin, en leur indiquant aussi les risques à éviter. "Un séminaire comme celui de Toulouse permet de recadrer ces objectifs." Lucien Borra (Strasbourg) très persuasif lors d'un atelier avec, de gauche à droite : Youssef Djezzez (Sikap, Philippines), Bienvenu Maziezoula (Président Mucodec, Congo), Rabia Chibani (Directrice Plateforme Cameroun) et Antoine Didonna (Niger) Atelier de travail, de gauche à droite : Antoine Didonna (Niger), Elie Bourdeau (Nantes), Louis-Marie Le Breton (Caisse Centrale Crédit Mutuel) et Albert Peccoux (Président Fédération de Savoie). A la gauche d'etienne Pflimlin, Gérard Bontoux, hôte du séminaire, Président de la Fédération Midi-Atlantique et son DG, Sylvain Besançon. Le dernier sujet à l'ordre du jour du séminaire de Toulouse dit assez bien l'évolution du CICM et de ses réseaux partenaires : Assurance, que pouvons-nous ou devons-nous faire? Jean-Claude Garcia a mené l'exposé avec tact, tant le sujet est sensible et les réponses loin d'être évidentes. La moindre précipitation pourrait être préjudiciable tant en terme financier qu'en risque d'image. Il est par contre certain que des besoins existent dans une population aux revenus souvent très faibles et aléatoires ou l'autoassurance familiale est aujourd'hui la seule réponse. Mais des assureurs commencent à s'intéresser à cette clientèle et se trouvent confrontés à la problématique de l'accès aux clients. Ce qui n'est pas le cas des Chaque atelier donne lieu à la présentation d'une synthèse. Hervé Thaunay (Angers) s'adonne ici à l'exercice, devant Youssef Djezzez (Sikap, Philippines) et Jacques Betti (Valence / Marseille). Bancassurance à l'africaine réseaux mutualistes... Alors pourquoi ne pas imaginer des partenariats commerciaux et se positionner comme distributeur? Ou bien créer des mutuelles originales, autonomes et ciblées? Le champ des solutions commerciales est vaste et très ouvert. Mais le dossier technique est d'une difficulté décuplée par les diversités législatives et réglementaires d'une contrée l'autre. Le champ des risques à couvrir ne l'est pas moins : assurance à la personne, assurance des biens, assurance crédit, assurance santé, assurance retraite, etc. Le décor est aujourd'hui planté. Sans le moindre doute le sujet va murir et pourrait émerger avec quelques pistes concrètes lors d'un prochain séminaire. A Toulouse on évoquait Lyon comme prochaine étape. Différences \,/ Page 7

8 N BREF... CAMBODGE Deux nouvelles Caisses à Phnom Penh En avril dernier Véronique de Crouy a pu ouvrir deux nouvelles Caisses à Phnom Penh, l'une sur la route de l'aéroport et l'autre dans le quartier très périphérique et populaire d'aekariech. "Les six premières Caisses que nous avons créées s'appuyaient sur la présence à proximité d'un marché. A Aekariech nous ouvrons un autre registre, précise Véronique de Crouy. Ce quartier est constitué d'énormes complexes industriels voués au textile. Les ouvriers sont le plus souvent issus de la campagne et envoient une bonne partie de leurs revenus à leur famille restée loin de la capitale. Cette Caisse leur offre une solution pour sécuriser leur épargne avant de pouvoir l'apporter à leur famille. C'est une autre manière d'approcher d'une clientèle populaire diversifiée de commerçants, d'artisans, de salariés, de ménages et d'étudiants." La vie sociale connaît déjà quelques mouvements avec, par exemple, le renouvellement de tout un Conseil dans la Caisse de Toul Tom Pong lors d'une Assemblée Générale. Une vraie dynamique démocratique s'enclenche. Après une première vague de volontaires un peu pionniers, viennent des élus qui ont pu anticiper leur rôle. Le nouveau Président est un chauffeur de touk-touk (mototaxi) qui est déjà grand père. La présidente du Comité de Crédit est une jeune étudiante très impliquée dans la vie de la Caisse : "Le CA est désormais un beau mélange d'hommes et de femmes balayant presque tous les âges et tou- La façade de la nouvelle Caisse d'aekariech dans un quartier populaire de fabriques textiles tes les catégories socio-économiques" se réjouit Véronique de Crouy qui veille à ce que les salariés des Caisses maîtrisent bien les éléments du discours et des pratiques mutualistes : "Notre démarche démocratique et participative est un élément déterminant de différenciation et de pérennisation par rapport aux autres organismes de micro finance." NOUVEAU PATRON À LA SIIMEC Portrait Jean-François Youf : "donner du sens" Depuis le 9 mai dernier Jean- François Youf a pris la direction de la SIIMEC à Dakar. Rencontre avec un jeune expatrié bien de son époque. Jean-François Youf est né en 1978 à Creil dans l'oise. Profil de bon élève. Prépa maths physique. École d'ingénieur à Troyes. Dès sa sortie, il enchaîne les missions de consultant pour des sociétés de service et d'ingénierie informatique. Il se spécialise sur les systèmes bancaires. Au début de l'année 2006, il était maître d'ouvrage pour Société Générale Asset Management. À la mi-janvier, il démissionne. "Techniquement mon travail me plaisait, mais, après cinq années, je sentais comme un appel d'air vers autre chose. Pour moi la seule manière d'y voir clair était de démissionner. Je voulais être libre pour vraiment choisir sans pression ni contrainte. " "Je ressentais le besoin de mettre à profit mes compétences au service de quelque chose qui ait du sens, au-delà des marges et du chiffre d'affaires. Je n'avais pas de polarité spécifique vers l'afrique, mais j'avais eu l'occasion d'y voyager sac au dos et j'avais été frappé parla diversité des cultures mais aussi par la gentillesse des gens." "Pour trouver ma voie je me suis rapproché des sites Internet traitant de coopération. C'est comme cela que je suis tombé sur l'offre du CICM sur la SIIMEC. Le challenge à relever est de taille, mais nous partons de bases solides. Ma mission est de coordonner l'ensemble des projets, mais l'objectif final est d'ancrer des méthodes et de faire émerger les compétences pour que la SIIMEC puisse devenir, à deux, trois ans, une entreprise autonome avec un personnel à 100% africain." On ne saurait être plus clair. Jean-François Youf n'est pas parti chercher fortune à Dakar, mais espère se rendre utile dans une mission, certes bancaire, mais qui comporte cette part d'étrangeté et de différences qui se nomme mutualisme. Son contrat de Volontaire International Solidarité roule sur deux ans minimum. Il part dans cette aventure avec sa compagne, Emilie, qui a quitté le douillet confort d'un salon de styliste pour se mettre elle aussi au service de projets humanitaires. Deux jeunes d'aujourd'hui. /. Page 8 \` / Différences

9 EN BREF NIGER Trois caisses sont nées... Il n'aura pas fallu six mois pour qu'antoine Didonna plante ses premières banderilles mutualistes au Niger. Au téléphone il s'emporte même : "Si j'avais pu mettre la main sur un informaticien les Caisse seraient ouvertes depuis quinze jours..." au moins. Et il a sans doute raison. Toujours est-il que d'ici le 15 juin une Caisse labellisée Crédit Mutuel du Niger, ouvrira, dotée du système informatique SiBanque2 à Dogondoutchi, une ville située à 300 km à l'est de la capitale Niamey. Une mutuelle locale qui vivotait a trouvé la proposition du CICM et d'épargne Sans Frontière (ESF) à sa convenance et a rejoint le projet. A la même date deux Caisses verront le jour à Niamey, l'une sur la rive droite, l'autre en centre Ville, près du Grand Marché. Un embryon de structure centrale s'est mis en place et tout semble prêt pour l'ouverture. "En janvier, quand nous sommes venus avec Yann Gauthier et Saïd Bourgij de ESF, nous avions rencontré toutes les autorités : Ministère des finances, cabinet du Premier ministre, Ambassade de France et Coopération. De la sorte, quand je suis arrivé mi février toutes les formalités administratives étaient prêtes. C'est pour cela que nous avons pu aller aussi vite dans le concret, souligne Antoine Didonna. Nous n'avons pas rencontré de difficultés pour trouver des locaux et j'ai embauché un collaborateur de qualité sur lequel je m'appuie pour les premiers recrutements de caissiers. Sauf de faire une énorme erreur d'appréciation, je crois qu'il y a une réelle demande des populations. Nous verrons très vite comment cela réagit." Une fois les structures d'accueil mises en places c'est là que le travail de prospection va commencer et Antoine reste fidèle à une recette avec laquelle il a rencontré la réussite sous d'autres cieux : "Dans le dernier Différences vous parliez de mon porte voix. Là ça va être le moment de le sortir de sa housse et d'aller me montrer sur les marchés..." CAMEROUN Premier résultat d'activité excédentaire en 2005 La Caisse unique de Yaoundé fonctionne désormais en harmonie avec quatre nouvelles agences ouvertes dans les quartiers de la capitale du Cameroun au cours du second semestre Présentant une unité d'image et d'implantation, les cinq ont permis à la Mutuelle de Développement et d'investissement du Cameroun de dégager un résultat positif de F CFA pour l'exercice "Bien sûr, commente Rabia Chibani- Jacquot, ce n'est pas grand-chose, mais c'est un signe positif de relance par rapport aux années précédentes." Ces lancements se sont accompagnés de campagnes publicitaires tant à la radio que par banderoles dans les artères concernées. "Pour donner confiance il faut avoir une certaine unité, ne pas hésiter à se montrer mais sans tapage, tant que nous n'avons pas l'agrément. Ensuite, on pourra faire plus de bruit." L'objectif de Rabia Chibani-Jacquot, pour 2006, est d'obtenir l'agrément pour la première Caisse et, dans la foulée, de tenir des Assemblées Générales Constitutives pour les quatre agences satellites, qui deviendront des Caisses de plein exercice. Sur cette base pourra dès lors se développer un embryon de Fédération avec les services classiques de la Fédération, l'assistance informatique, l'inspection, le développement du réseau, la formation et le service administratif et financier En ce qui concerne l'agrément, un premier pas a été franchi avec l'avis favorable du Ministère des finances qui a transmis le dossier pour avis à la Commission bancaire. Sous l'angle du développement Rabia Chibani-Jacquot mise sur le recrutement de deux agents de crédit qui auraient une polyvalence sur les cinq Caisses. "Nous sommes sur un marché particulier où nous avons à faire connaître une offre de qualité sans approche commerciale trop agressive pour le moment. Il faut doser et surfer sur la vague du bouche à oreille qui nous est très favorable." Lors de l'ouverture d'une nouvelle agence à Yaoundé : Jean-Pierre Hiol, administrateur ; Raymond Dou'a, membre du comité de surveillance ; Byll Arhini, Vice Président du Conseil d'administration ; James Nfokolong, Président (derrière la vitre) ; Jeannette Tchokwalieu, administratrice ; Rabia Chibani, la patronne du projet et Jeanne Nfokolong, promotrice. DERNIÈRE MINUTE Nous venons d'apprendre que la Cobac a donné son avis conforme pour l'agrément de la première Caisse du Cameroun. II ne reste plus qu'à attendre la parution de l'arrêté ministériel. Différences \,/ Page 9

10 ONGO Les Mucodec en vitesse de croisière Depuis le 22 mai et jusqu'au milieu de l'été, les Mucodec vivent au rythme d'une inauguration mensuelle de Caisse. II s'agit de la fin d'une première phase d'un chantier de rénovation total du parc immobilier qui va se poursuivre jusqu'en Si ces premiers chantiers ont connu quelque retard, la suite du programme, qui démarrera en août, tant à Pointe-Noire qu'à Brazzaville, devrait bénéficier des acquis de ces premières expériences : le Congo connaît actuellement un vrai regain d'activité qui se traduit par une raréfaction de la main d'oeuvre qualifiée mais aussi des matières premières. Dès lors les chantiers doivent être planifiés de manière très rigoureuse. Ce n'est qu'en fin d'année que devrait commencer le chantier de construction du siège des Mucodec qui se terminera au début de Dix ans après la fin de la guerre civile qui a détruit le pays, la République du Congo reprend des couleurs. Si la manne pétrolière, issue des champs offshores au large de Pointe-Noire y est pour beaucoup, la stabilité politique, jusqu'alors inédite, permet aux familles comme aux entrepreneurs de pouvoir envisager l'avenir avec plus de sérénité. Mais le mouvemente est encore timide. Cela se traduit (voir infographie) par une surliquidité des Mucodec, à l'inverse des mouvements de l'afrique de l'ouest comme le CMS ou Jéméni... Sous la conduite du Président Maziezoula et du DG Gérard Légier, les Mucodec profitent de cette période calme et assez faste pour se structurer en profondeur. L'investissement immobilier en est un des aspects, l'ancrage de Caisses dans la population en est un autre. "Lors des AG, explique Gérard Légier, nous avons ouvert dans chaque Caisse un livre sur lequel chacun est appelé à s'exprimer. Cela a été un vrai succès. Nous avons recueilli de réelles suggestions pour améliorer le service des sociétaires. Nous sommes dans la proximité, c'est ce qui fait notre force. On nous fait confiance parce que nous savons écouter." mars- 06 SOCIÉTAIRES Sociétaires : Le succès populaires des Mucodec ne se dément pas. Malgré la clôture de près de comptes inactifs en 2004 et 2005 les ouvertures se poursuivent au rythme de plus de 2000 par mois. La Caisse de la gare à Brazzaville compte sociétaires, celle de Bacongo Même phénomène avec la caisse du Centre Ville à Pointe-Noire : sociétaires. La gestion de telles affluences nécessite des investissements immobiliers et en personnel importants. La dématérialisation du Livret, seul moyen d'identification des sociétaires, est une priorité incontournable. Crédits : C'est le vrai point faible des Mucodec. Si l'épargne a été multipliée par six en huit ans, l'encours de crédits n'a pas doublé sur la même période. "Nous avons un coefficient d'engagement de 15,47 %, déplore Gérard Légier. C'est vraiment dans ce domaine qu'il nous faut faire porter notre effort. Il y a de réels besoins mais la guerre civile est encore trop proche pour que les gens se risquent à lancer des projets importants. C'est vrai pour le commerce, l'artisanat, les petites entreprises mais aussi pour les particuliers. Avec la stabilité qui s'installe, les choses devaient évoluer. Mais nous devons aussi prendre des initiatives pour aller plus et mieux au devant des sociétaires." CRÉDITS ' ' mars-06 DÉPÔTS Ej Dépôts : Entre 1998 et mars 2006 les dépôts aux guichets es Mucodec ont été multipliés par six... De quoi satisfaire n'importe quel banquier. Bien sûr le Directeur Général, Gérard Légier, est content de cette reconnaissance commerciale qui est un vrai gage de confiance mais il aimerait bien que cet argent des sociétaires "travaille" de manière rentable. Faute d'un bon développement des crédits et à cause d'un sévère encadrement monétaire il ne peut trouver des placements à cette masse liquide. De la sorte ce sont 38 milliards de Francs CFA qui sont bien au chaud dans les coffres de la Banque centrale. En sécurité mais stériles. Page 10 Différences

11 UN RÉSEAU NATIONAL DENSE : CONG L 82,9 Brazzaville Il Caisses Ivdingou Sbiti n 0,9Hbu 0.7 ondzi Do. si 1,3n n 4,9en kayin 2.5 ~4..,1c Les chiffres en bleu qui accompagnent les Caisses indiquent, en milliers, le nombre des sociétaires de chaque Caisse. Même si près de 86 % des sociétaires sont concentrés sur Brazzaville et Pointe-Noire les Mucodec souhaitent quand même entretenir et développer un réseau national dense qui couvre tout le pays. Même si le secteur du Pool, au sud de Brazzaville, n'est pas sécurisé, les quatre Caisses continuent à fonctionner avec un hébergement dans la capitale. De la sorte les sociétaires de ces Caisses peuvent continuer à bénéficier de la sécurité bancaire apportée par les Mucodec. Pour conserver un lien physique avec les Caisses du nord du pays les choses ne sont pas non plus très simples : à partir de la délégation d'oyo il faut près de six heures de piste pour rejoindre Ouesso et cinq à six heures de canotage pour arriver à Imfondo. Dans les mois qui viennent l'ensemble du réseau Mucodec sera relié en temps réel au système d'information central : au moyen d'une Boucle Locale Radio dans els deux grandes agglomérations et via un réseau hertzien pour les Caisses de province. De nouveaux services pourront ainsi être ouverts aux sociétaires : retraits déplacés, virements de compte à compte, etc. On comprend mieux, dès lors, l'urgence du dossier Afric@rte. BANQUE : Dans les mois à venir le dossier de création de la Banque du Crédit Mutuel d'afrique Centrale (BCMAC) devrait avancer de manière significative. Cela permettra aux Mucodec de pouvoir offrir de nouveaux services à ses sociétaires, notamment dans le domaine des transferts internationaux et des produits bancaires. FONDATION : Les Mucodec vont se doter d'un outil d'intervention dans les milieux associatifs sous la forme d'une fondation qui, dotée de moyens financiers, pourra intervenir dans le soutien de manifestations ou de projets hors du champ bancaire strict. STRUCTURATION : Le Président Maziezoula a organisé son Conseil Fédéral autour de trois délégations territoriales : Pointe-Noire, Brazzaville et Oyo. Un vice-président fédéral chapote chaque délégation avec comme rôle de faire remonter et d'animer la vie sociale de ce territoire. Portrait Bienvenu Maziezoula "Adapter nos méthodes" Bienvenu Maziezoula est discret et pragmatique. Il lui suffit parfois de poser le regard au dessus de ses lunettes pour faire revenir le calme alentour... De la même manière, il est ouvert à tout ce qui peut faciliter l'accès aux services bancaires pour une population avec qui il partage toutes les préoccupations du quotidien. Comme ses collègues et les cadres du réseau, il sent bien que les besoins de crédits ont du mal à s'exprimer. Avec Gérard Légier il s'est rendu au Cameroun, tout proche, pour observer une initiative supervisée par l'afd : des agents de crédits ratissent les contrées en cyclomoteurs et font connaître une offre de crédits. Ils sont à la fois chargés du placement mais aussi du suivi. Ils sont rémunérés en fonction de leurs résultats quantitatifs et qualitatifs. Chaque agent agit sur un portefeuille de 300 dossiers. "Je crois que nous pouvons transposer cette expérience. Ici, compte tenu de la pression de la clientèle, nous restons derrière nos guichets. Nous devons peut être créer un nouveau métier. Des salariés dont le travail essentiel se ferait en dehors de la Caisse. L'objectif n'est pas tant d'augmenter notre volume d'affaire que d'apporter un service dans des conditions intéressantes pour tous." A suivre. Différences \./ Page 11

12 N BREF... RÉPUBLIQUE CENTRAFRICAINE Bernard Hamadjida succède à Jean Loko Kette Le Président fondateur du Crédit Mutuel de Centrafrique, Jean Loko Kette, est décédé à l'automne dernier. Il fallait attendre le printemps pour qu'un successeur soit désigné par l'assemblée Générale. C'est chose faite depuis début avril, et c'est Bernard Hamadjida qui va désormais présider le mouvement. Âgé de 52 ans, marié, père de neuf enfants, Bernard Hamadjida était un proche collaborateur de Jean Loko Kette puisqu'il était Secrétaire général du Conseil de la Fédération depuis Le conseil de la fédération a donc choisi la continuité. Sur un plan professionnel, Bernard Hamadjida a effectué une bonne partie de sa carrière dans l'enseignement, avant d'entrer sur un versant plus politique de l'administration centrafricaine qui devait notamment le conduire en 1999 au poste de Chef de cabinet du ministre de la Jeunesse et des Sports. A la suite de cette élection interne au Crédit Mutuel, Bernard Hamadjida devait aussi être élu Président de l'association Professionnelle des Établissements de Micro Finance de Centrafrique. Cette fonction devrait permettre au CMCA de pouvoir bénéficier dans de bonnes conditions des différentes mesures qui vont être prises dans le cadre de la relance économique du pays. La fidélité des sociétaires gage d'avenir Si Jean-Claude Garcia, DG du Crédit Mutuel de Centrafrique, parle de "frémissement" dans l'activité du CMCA c'est sans doute que les grosses difficultés sont passées. Après une cure d'amaigrissement drastique, la structure du CMCA s'est stabilisée autour de sept Caisses et deux points de vente, implantés dans la capitale, Bangui. Le signe le plus encourageant vient d'une progression constante du nombre de sociétaires, entre 5 et 600 par mois, ce qui porte leur effectif à près de à la fin du mois d'avril dernier. Avec un encours de crédit de 1,085 milliard, pour une production annuelle de 1,3 md FCFA, le CMCA est dans ses objectifs. Le portefeuille est constitué pour l'essentiel de petits crédits (54 % d'entre eux sont inférieurs à Frans CFA) mais des dossiers plus importants, à destination d'entreprises, commencent à émerger. Les contentieux représentent encore 8% de l'encours. Si une part des contentieux est assez classique, certains naissent de la situation particulière de la Centrafrique où l'insécurité est endémique. Si un investissement de production fait l'objet d'un vol, il devient problématique de pouvoir procéder à son remboursement... Au regard des crédits, la situation des dépôts est avantageuse avec 3,153 Md Francs CFA qui laisse une trésorerie disponible de 1,5 Md. L'avenir de la République Centrafricaine dépend pour l'heure de l'attitude des bailleurs de fonds qui, si l'on écoute les discours, se disent préoccupés de l'avenir dans cette région et prévoient, à l'horizon 2007, une relance de l'aide dans les domaines de la micro finance et de la lutte contre la pauvreté. Une ligne de front sur laquelle le CMCA est en position depuis de longues années et qu'il ne demande qu'à voir évoluer favorablement. Attendre et voir. MALI Les credits s'envolent en 2005! Tandis que se poursuivent les travaux de construction du nouveau siège, les responsables de Jéméni, bientôt Crédit Mutuel du Mali, enregistrent un exercice satisfaisant sous l'angle de la progression de l'activité en 2005 : un accroissement de l'ordre de 10 % du nombre de sociétaires ( au 31 décembre 2005), une légère progression de l'épargne collectée (3,7 Md contre 3,1 en 2004) mais par contre une envolée des crédits qui passent de 2,3 milliards de Francs CFA en 2004 à 6,460 en S'il faut voir dans cette progression spectaculaire l'une des conséquences de l'apport en refinancement de la BIMAO, les responsables du mouvement malien ont également pris conscience de la relative fragilité d'une croissance qui ne serait pas pleinement maîtrisée. Le chantier du siège de Jéméni ne donne pas encore la pleine mesure du caractère original du bâtiment Page 12 \/ Différences Magazine interne du Centre International du Crédit Mutuel. Directeur de la publication : Yann Gauthier. Rédaction : telier d'écriture. Conception graphique : Natacha Fergova. Courriel : contact differences-magazine.com

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