LA PAPILLE GLAUCOMATEUSE EN PRATIQUE

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "LA PAPILLE GLAUCOMATEUSE EN PRATIQUE"

Transcription

1 LA PAPILLE GLAUCOMATEUSE EN PRATIQUE Yves LACHKAR Chef du Service d Ophtalmologie, Directeur de l Institut du Glaucome. Fondation Hôpital Saint Joseph (Paris) Eric SELLEM Ancien Chef de Clinique des Hôpitaux de Lyon Département de Glaucomatologie du Centre Ophtalmologique Kléber (Lyon)

2 Edité par le Laboratoire Chauvin Bausch & Lomb 416, rue samuel Morse - CS Montpellier Cedex 2 - France Tél. : Le contenu de cet ouvrage présente le point de vue de l auteur et ne reflète pas nécessairement l opinion du Laboratoire Chauvin Bausch & Lomb. Photo de couverture : Claude O Sughrue Conception - Réalisation : Agence Tabatha Impression : Douriez - bataille Halluin ISBN : Dépôt légal : Mai 2004 Tous droits de traduction, d adaptation et de reproduction par tous procédés, réservés pour tous pays. Toute reproduction ou représentation intégrale ou partielle, par quelque procédé que ce soit, des pages publiées dans le présent ouvrage, faite sans autorisation préalable et écrite de l éditeur est interdite et illicite et constitue une contrefaçon. Seules sont autorisées, d une part les reproductions strictement réservées à l usage privé du copiste et non destinées à une utilisation collective, et d autre part les analyses courtes et citations justifiées par le caractère scientifique ou d information de l œuvre dans laquelle elles sont incorporées (Loi du 11 mars 1957 art. 40 et 41. et Code Pénal art. 425).

3 Sommaire Introduction p. 1 La papille normale p. 5 Bref rappel anatomique p. 6 Aspect de la papille à l examen du fond d œil p. 7 Le rapport C/D p. 8 La taille de la papille p. 9 Reconnaître une excavation physiologique p. 10

4 Sommaire Les méthodes d examen et d enregistrement de la papille (analyseurs exclus) p. 13 Mesurer la taille du disque optique p. 14 Mesurer la surface de l anneau neuro-rétinien p. 16 Dessiner le disque optique p. 17 Photographier le disque optique p. 18 La papille glaucomateuse p. 21 L excavation glaucomateuse p. 22 Les atteintes associées, papillaires et para-papillaires p. 25 Formes cliniques p. 30 Pathogénie de l'excavation p. 32 Les pièges de la papille p. 37 Les petites papilles p. 38 Les grandes papilles p. 39 Les atrophies optiques non glaucomateuses p. 40 Les excavations évolutives non glaucomateuses p. 40 Les dysversions papillaires p. 40 Les papilles de la myopie forte p. 44 Les drusen papillaires p. 45 Les colobomes papillaires et para-papillaires p. 46

5 Sommaire Les fibres optiques sur la rétine p. 49 La répartition des fibres optiques sur la rétine p. 50 Les déficits des fibres optiques dans le glaucome p. 51 Les analyseurs de la tête du nerf optique et des fibres optiques p. 57 Le Heidelberg Retina Tomograph (HRT) p. 58 Le Nerve Fiber Analyser (GDX -VCC) p. 64 La Tomographie à Coherence Optique (OCT) p. 67 En conclusion : ce qui doit inquiéter, ce qui doit rassurer p. 77 Les papilles qui rassurent p. 77 Les papilles qui inquiètent p. 78 Les papilles difficilement interprétables ou définitivement ininterprétables p. 79 Les ouvrages de référence p. 80

6 Introduction Rédiger un guide pratique de la papille glaucomateuse : ce fut la seule ambition qui nous anima lorsque nous décidâmes d écrire le deuxième tome de cette série généreusement publiée par le laboratoire Chauvin Bausch & Lomb sur le glaucome après le premier livre du Pr Jean-Philippe Nordmann consacré au champ visuel. Nous ne prétendons pas livrer, entre autres, un rapport actualisé et exhaustif sur l anatomie de la tête du nerf optique ou sur la pathogénie de l atteinte glaucomateuse, quoique ces deux sujets devaient être immanquablement effleurés dans cette monographie. Le lecteur trouvera un rappel de l aspect de la papille normale, les moyens (du plus sommaire au plus sophistiqué) de l évaluer et de l enregistrer pour finalement mieux reconnaître et surveiller l atteinte glaucomateuse à l examen du fond d œil. Le texte écrit ici n est qu un prétexte à présenter une large iconographie essentiellement personnelle, avec des images d une grande banalité pour certaines, ou qui pour d autres - au contraire - montrent des aspects exceptionnels de la papille pouvant intriguer l observateur le plus averti. Il ne nous a pas paru essentiel, non plus, d insister sur les corrélations anatomo-cliniques existant entre l aspect du fond d œil et le retentissement fonctionnel d une éventuelle atteinte de la papille. En d autres termes, nous ne présenterons qu exceptionnellement l atteinte du champ visuel correspondant à l altération photographiée de la tête du nerf optique. Avec cette volonté clinique et pratique, il nous a semblé également que certaines explorations ne devaient pas justifier de développement particulier. Il en va ainsi de l angiographie de la papille, dont l intérêt n est plus reconnu dans la reconnaissance du glaucome, ou des autres méthodes explorant la perfusion de la tête du nerf optique, pourtant essentielles en recherche fondamentale. Le lecteur trouvera, à la fin de chaque chapitre, une courte bibliographie qui n est pas appelée dans le texte, mais qui lui permettra de faire le lien avec d autres publications richement référencées. Les ouvrages essentiels concernant la papille et son atteinte glaucomateuse seront mentionnés à la fin de ce livre. 1

7 Introduction Des chapitres ne devraient pas vieillir trop vite : ceux décrivant la papille normale et la papille glaucomateuse à l examen biomicroscopique. D autres paragraphes deviendront rapidement dépassés, tels ceux concernant les analyseurs de la papille et des fibres optiques, machines qui pourtant - nous en sommes persuadés - inaugurent un champ majeur d analyse pour les années futures. Ils devaient être cependant décrits, car leurs successeurs rendront vraisemblablement caduques, en matière de glaucome, toutes les autres explorations y compris, mais dans très longtemps, celles étudiant le champ visuel! Nous devons donc nous préparer à ces changements inéluctables dans notre pratique du diagnostic et du suivi du glaucome : cet ouvrage ne pouvait les ignorer. À ce propos, nous remercions Madame Odile Barrault - du département de périmétrie de l Hôpital Saint-Joseph -, et le Dr Alain Lefrançois de nous avoir fourni une grande partie de l iconographie concernant ces analyseurs de papille et de fibres optiques. Quelques clichés proviennent également de la collection du Dr Howard Cohn. À ces remerciements s associent ceux qui vont vers l agence Tabatha, qui a eu en charge la réalisation technique de cette monographie. Leurs conseils sur la qualité de nos clichés furent précieux, et la mise en forme de ces différents chapitres est le fruit de leur travail créatif. Enfin, ce livre n existerait pas sans le laboratoire Chauvin Bausch & Lomb, qui accepte une fois encore de se lancer dans l aventure d une lourde publication. Notre gratitude concerne particulièrement Yves Brouquet et Dominique Brault, pour leur enthousiasme et leurs encouragements ; nous y associons Catherine Craviolini et Sandrine Geismar, qui nous ont également beaucoup aidés pour la conception de cet ouvrage lors de plusieurs réunions préparatoires. Yves LACHKAR Eric SELLEM 3

8 La papille normale La papille, ou disque optique («disc» des anglo-saxons), ou tête du nerf optique, est le lieu de rassemblement des fibres optiques à l entrée du nerf optique. C est aussi la structure anatomique oculaire qui est détruite progressivement par le glaucome. Cette altération s exprime par l apparition d une excavation («cup»), ou par l élargissement d une excavation constitutionnelle physiologique. Elle est visible à l examen du fond d œil, et peut précéder de plusieurs années l apparition des désordres périmétriques. Le rapport «cup/disc» ou C/D est le rapport linéaire entre l excavation et le disque optique. La taille du disque optique est très variable d un individu à l autre (l évaluation clinique et para-clinique de cette taille est traitée dans un chapitre ultérieur), et elle conditionne directement la présence et la taille de l excavation physiologique, puisque la quantité de fibres optiques est relativement identique d un individu à l autre. Pour reconnaître le caractère pathologique d une excavation - et le glaucome est la situation clinique la plus fréquente dans cette reconnaissance -, il est naturellement nécessaire de connaître d abord les variations pouvant affecter l aspect d une papille «normale». Il n y a pas deux papilles identiques, à tel point que l on propose régulièrement, comme on le fait avec les empreintes digitales, l examen du fond d œil comme reconnaissance individuelle formelle! Melle C M. L Mme B Papilles droites et empreintes digitales de l index droit de 3 individus pris au hasard dans une foule anonyme 5

9 Pour en savoir plus 14. Lachkar Y, Cohn H. Sensitivity and specificity of optic disc variables ans analysis of a new variable for glaucoma diagnosis with Glaucoma-Scope. Br J Ophthalmol 1997 ;81 : Mikelberg F. Ability of the Heidelberg retina tomograph to detect early visual field loss. J Glaucoma 1995 ; 4 : Ohh, Skgreenfield DS, Mistlberger A, Liebmann JM, Ishikawa H, Ritch R. Optical coherence tomography and scanning laser polarimetry in normal, ocular hypertensive and glaucomatous eyes. Am J Ophthalmol 2000 ;129 : Paczaa JA, Friedman DS, Quiegley H, Barron Y, Vitale S. Diagnosis capabilities of frequency-doubling technology, scanning laser polarimetry and nerve fiber layer photographs to distinguish glaucomatous damage. Am J Ophthalmol 2001 ;131 : Puliafito CA. Optical coherence tomography of ocular diseases. Thorofare, NJ : Slack incorporated; Reus N, Colen T, Lemij H. Visualisation of localized retinal nerve fiber layer defects with the GDX with individual and fixed compensator of the anterior segment birefringence. Ophthalmolgy 2003;110: Schuman JS, Quantification of optic nerve layer thickness in normal and glaucomatous eyes using optical coherence tomography; a pilot study. Arch Ophtalmol 1995, 113 : Schuman JS, Reproductibility of nerve fiber layer thickness measurements using optical coherence tomography. Ophthalmology 1996 ; 103 : Shirakashi M, Funaki S, Funaki H, Yaoeda K, Abe H. Measurement of retinal nerve fiber layer by scanning laser polarimetry and high pass resolution perimetry in normal tension glaucoma with relatively high or low intraocular pressure. Br J Ophthalmol 1999 ; 83 : Tjon-Fo-Sang MJ, Lemij HG. The Sensitivity and Specificity of Nerve Fiber Layer Measurements in Glaucoma as Determined with Scanning Laser Polarimetry. Am J Ophthalmol 1997 ; 123 : Tsai C, Ethnic differences in optic head topography. Ophthalmology 1995 ; 4 : Weinreb RN, Shakiba S, MF, and Zangwill L. Scanning laser polarimetry to measure the nerve fiber layer of normal and glaucomatous eyes. Am J Ophthalmol 1995 ; 119 : Weinreb RN, Association between quantitative nerve fiber layer measurements and visual field loss glaucoma. J Glaucoma 1995 ; 120 : Weinreb RN, Zangwill L, Bedrry CC. Renuka Bathija, MD ; Sample PA. Detection of Glaucoma With Scanning Laser Polarimetry. Arch Ophthalmol 1998 ; 116 : ;: 75

10 Pour en savoir plus 28. Wollstein G ; Garway-Heath DF ; Hitchings RA Identificatio-n of early glaucoma cases with the scaning laser ophthalmoscope Ophthalmology 1998 ; 105 : 8, Wollstein G, Garway-Heath D, Fontana L, Hitchings R. Identifying early glaucomatous changes : comparison between expert clinical assessment of optic disc photographs and confocal scanning laser ophthalmoscope. Ophthalmol 2000 ;107 : Yamada N, Chen PP, Mills RP, Leen MM, Liebermann MF, Stamper RL, Stanford DC. Glaucoma sreening using the scanning laser polarimeter. J Glaucoma 2000 : 9 (3) : 254 : Zangwill L, Agreement between clinicians and a confocal laser ophtalmoscope in estimating cup/disc ratios. Am J Ophtalmol, 1995 : Zangwill L, Van Horn S, Marcia de Souza Lima, Sample P, Weinreb R. Optic Nerve Head Topography in Ocular Hypertensive Eyes Using Confocal Scanning Laser Ophthalmoscopy, Am J Ophthalmol 1996 ;122 : Zangwill LM, Bowd C, Berry CC, Williams J, Blumenthal EZ, Sanchez-Galeana CA, Vasile C, Weinreb RN. Discriminating between normal and glaucomatous eyes using the Heidelberg Retina Tomograph, GDx Nerve Fiber Analyzer, and Optical Coherence Tomograph. Arch Ophthalmol Jul;119(7):

11 En conclusion : ce qui doit inquiéter, ce qui doit rassurer LES PAPILLES QUI RASSURENT Grande excavation dans grande papille une grande papille peut naturellement être aussi glaucomateuse Excavations symétriques une asymétrie papillaire physiologique est possible quand les papilles sont de diamètre différent Excavation ronde ou à grand axe horizontal une papille très allongée verticalement peut contenir une excavation physiologique elle-même à grand axe vertical Anneau neuro-rétinien plus épais dans sa portion inférieure ou, tout au moins, pas plus mince en bas qu en haut, et à la condition que la papille ne soit pas en dysversion Vaisseau circum-linéaire en place certaines excavations physiologiques peuvent être traversées par des vaisseaux, qui ne sont donc pas circum-linéaires Grandes excavations familiales les glaucomes familiaux ne sont pas rares! 77

12 En conclusion : ce qui doit inquiéter, ce qui doit rassurer LES PAPILLES QUI INQUIÈTENT excavation dans petite papille l apparition d une excavation coïncide alors avec des altérations périmétriques déjà importantes Excavations asymétriques à condition que les diamètres de la papille soient eux-mêmes identiques des 2 côtés excavation à grand axe vertical d autant plus suspecte que la papille est ronde anneau neuro-rétinien plus mince dans sa portion inférieure vaisseau circum-linéaire exclu à condition que la papille ne soit pas en dysversion avec une obliquité inférieure l exclusion est d autant plus évidente que ce vaisseau avait été noté auparavant en dehors de l excavation hémorragie papillaire ou para-papillaire à différencier d une coudure vasculaire ; doit laisser craindre une aggravation du glaucome, qu il confirme par ailleurs 78

13 En conclusion : ce qui doit inquiéter, ce qui doit rassurer micro-papilles LES PAPILLES DIFFICILEMENT INTERPRÉTABLES... OU DEFINITIVEMENT ININTERPRÉTABLES souvent en dysversion ; peuvent ne jamais se creuser même en cas de glaucome très évolué myopie forte une excavation peut parfois s y creuser : bien examiner la coudure des vaisseaux au rebord papillaire druses papillaires souvent profondes, et alors difficilement visibles à l examen direct ; comblent les creusements papillaires dysversion papillaire atrophie para-papillaire sont plus évidents si l observation est binoculaire, mais peuvent se confondre avec une excavation glaucomateuse plus fréquente et évolutive dans le glaucome, mais peut s observer dans des yeux sains vaisseau circum-linéaire exclu? tous les vaisseaux qui se trouvent dans l excavation ne sont pas forcément circum-linéaires ; bien évaluer leur trajet et l anneau neuro-rétinien 79

14 Ouvrages de référence Quelques livres... dans lesquels de larges chapitres sont consacrés à la papille normale et à la papille pathologique 1. Béchetoille A. Glaucomes. Japperenard Eds (Angers), 1987, 488 pp 2. Béchetoille A. Les Glaucomes, Volume 1. Japperenard Eds (Angers- Paris), 1997, 278 pp 3. Béchetoille A. Les Glaucomes, Volume 2. Japperenard Eds (Angers- Paris), 2000, 320 pp 4. Drance S. Optic Nerve in Glaucoma. Kugler Publications (Amsterdam), 1995, 331 pp 5. Epstein D, Allingham RR, Schuman JS. Chandler and Grant s Glaucoma, Fourth Edition. Williams and Wilkins Eds (Baltimore), 1997, 654 pp 6. Etienne R. Les Glaucomes. DGL (Marseille), 1969, 622 pp 7. Hamard H, Chevaleraud J, Rondot P et coll. Neuropathies optiques. Rapport de la SFO, Masson Eds (Paris), 1986, 424 pp 8. Higginbotham. EJ, David AL. Management of Difficult Glaucoma, Blackwell Scientific Publications (Boston), 1994, 459 pp 9. Kaufmann P, Mittag T. Glaucoma, Mosby Eds (St Louis), 1998, 617 pp 10. Morrison JC, Pollack IP. Glaucoma: Science and Practice. Thieme Eds (New-York), 2003, 530 pp 11. Ritch R, Shields MB, Krupin T. The Glaucomas, Mosby Eds (St Louis), 1996, 1807 pp (3 volumes) 12. Scheurle AF, Schmidt E. Atlas of Scanning Laser Opthalmoloscopy. Springer Eds (Heidelberg), 2004, 170 pp 13. Schuman JS. Imaging in Glaucoma. Slacks Inc Eds (Thorofare), 1996, 203 pp 14. Shields B. Textbook of glaucoma. Williams and Wilkins Eds (Baltimore), 1997, 587 pp 15. Varma R, Spaeth GL. The Optic Nerve in Glaucoma. JB Lippincott Eds (Philadelphia), 1993, 354 pp 80

15 Edité par le Laboratoire Chauvin Bausch & Lomb 416, rue samuel Morse - CS Montpellier Cedex 2 - France Tél. : ISBN : Dépôt légal : Mai 2004 Impression : Douriez - bataille Halluin

OCT et MYOPIE. Jacques Chofflet Hôpital Saint Roch, Nice Prof. Gastaud Cabinet d Ophtalmologie d Antibes

OCT et MYOPIE. Jacques Chofflet Hôpital Saint Roch, Nice Prof. Gastaud Cabinet d Ophtalmologie d Antibes OCT et MYOPIE Jacques Chofflet Hôpital Saint Roch, Nice Prof. Gastaud Cabinet d Ophtalmologie d Antibes OCT & Myopie «OCT has had the largest clinical impact in ophthalmology.» Fujimoto, 2001. «OCT has

Plus en détail

Figure 1 Différents éléments influençant les mesures de seuil réalisées en champ visuel

Figure 1 Différents éléments influençant les mesures de seuil réalisées en champ visuel LE CHAMP VISUEL DU SUJET NORMAL INFLUENCE DES METHODES D'EVALUATION Jacques CHARLIER U279 INSERM, LILLE INTRODUCTION La connaissance du champ visuel du sujet normal, de ses variations intra et interindividuelles

Plus en détail

Céphalées vues aux Urgences. Dominique VALADE Centre d Urgence des Céphalées Hôpital Lariboisière PARIS

Céphalées vues aux Urgences. Dominique VALADE Centre d Urgence des Céphalées Hôpital Lariboisière PARIS Céphalées vues aux Urgences Dominique VALADE Centre d Urgence des Céphalées Hôpital Lariboisière PARIS Deux Objectifs aux Urgences Identifier les céphalées à risque vital Optimiser le traitement des céphalées

Plus en détail

Dégénérescence maculaire liée à l âge

Dégénérescence maculaire liée à l âge Dégénérescence maculaire liée à l âge LUC-09-02/10-6087 - 1 - Dégénérescence maculaire liée à l âge Sommaire 1. Introduction 2. Qu est-ce que la dégénérescence maculaire liée à l âge? 3. Forme sèche et

Plus en détail

Remodelage cornéen (RMC) : quelle incidence sur l architecture de la cornée?

Remodelage cornéen (RMC) : quelle incidence sur l architecture de la cornée? p13cdo92 24/04/06 16:18 Page 13 Remodelage cornéen (RMC) : quelle incidence sur l architecture de la cornée? Brigitte Lutcher*, Michel Puech**, Bernard Barthélémy***, Adil El Maftouhi**, Christophe Baudouin*

Plus en détail

LEURS SERVICES ET LEUR CADRE DE PRATIQUE LES OPTOMÉTRISTES : LEUR FORMATION, LEURS SERVICES ET LEUR CADRE DE PRATIQUE

LEURS SERVICES ET LEUR CADRE DE PRATIQUE LES OPTOMÉTRISTES : LEUR FORMATION, LEURS SERVICES ET LEUR CADRE DE PRATIQUE ordre des optométristes du québec LES OPTOMÉTRISTES : LEUR FORMATION, LEURS SERVICES ET LEUR CADRE DE PRATIQUE LES OPTOMÉTRISTES : LEUR FORMATION, LEURS SERVICES ET LEUR CADRE DE PRATIQUE VOIR QUI AU

Plus en détail

La réadaptation professionnelle des travailleurs lombalgiques : Présentation d'un modèle canadien

La réadaptation professionnelle des travailleurs lombalgiques : Présentation d'un modèle canadien Hôpital Cochin Samedi 1 er avril 2006 Forum Saint Jacques La réadaptation professionnelle des travailleurs lombalgiques : Présentation d'un modèle canadien Dr Jean-Baptiste Fassier 1,2 Centre d Etude et

Plus en détail

Lecture critique et pratique de la médecine

Lecture critique et pratique de la médecine 1-00.qxp 24/04/2006 11:23 Page 13 Lecture critique appliquée à la médecine vasculaireecture critique et pratique de la médecine Lecture critique et pratique de la médecine Introduction Si la médecine ne

Plus en détail

IMAGERIE PAR TOMOGRAPHIE ÉLECTRIQUE RÉSISTIVE DE LA DISTRIBUTION DES PHASES DANS UNE COLONNE À BULLES

IMAGERIE PAR TOMOGRAPHIE ÉLECTRIQUE RÉSISTIVE DE LA DISTRIBUTION DES PHASES DANS UNE COLONNE À BULLES IMAGERIE PAR TOMOGRAPHIE ÉLECTRIQUE RÉSISTIVE DE LA DISTRIBUTION DES PHASES DANS UNE COLONNE À BULLES E. Fransolet, M. Crine, G. L Homme, Laboratoires de Génie Chimique, P. Marchot, D. Toye. Université

Plus en détail

Table des matières A. Introduction... 4 B. Principes généraux... 5 C. Exemple de formule (à réaliser) :... 7 D. Exercice pour réaliser une facture

Table des matières A. Introduction... 4 B. Principes généraux... 5 C. Exemple de formule (à réaliser) :... 7 D. Exercice pour réaliser une facture Excel 2007 -2- Avertissement Ce document accompagne le cours qui a été conçu spécialement pour les stagiaires des cours de Denis Belot. Le cours a été réalisé en réponse aux diverses questions posées par

Plus en détail

GLAUCOME QUALITE DE VIE BASSE VISION APTITUDE CONDUITE - EXPERTISE

GLAUCOME QUALITE DE VIE BASSE VISION APTITUDE CONDUITE - EXPERTISE Texte de janvier 2007 GLAUCOME QUALITE DE VIE BASSE VISION APTITUDE CONDUITE - EXPERTISE Dr Xavier Zanlonghi (1, 2) 1 - Clinique Sourdille Centre Basse Vision 3 place Anatole France 44000 NANTES tél :

Plus en détail

TECHNIQUES D AVENIR LASER DOPPLER IMAGING LASER DOPPLER IMAGING LASER DOPPLER IMAGING

TECHNIQUES D AVENIR LASER DOPPLER IMAGING LASER DOPPLER IMAGING LASER DOPPLER IMAGING TECHNIQUES D AVENIR Jonathan LONDNER, Aurélie HAUTIER Centre Régional de Traitement des Grands Brûlés Service de chirurgie Plastique, Hôpital de la Conception, Marseille. DIAGNOSTIC DÉTERSION BOURGEONNEMENT

Plus en détail

CONSEILS POUR LA REDACTION DU RAPPORT DE RECHERCHE. Information importante : Ces conseils ne sont pas exhaustifs!

CONSEILS POUR LA REDACTION DU RAPPORT DE RECHERCHE. Information importante : Ces conseils ne sont pas exhaustifs! CONSEILS POUR LA REDACTION DU RAPPORT DE RECHERCHE Information importante : Ces conseils ne sont pas exhaustifs! Conseils généraux : Entre 25 et 60 pages (hormis références, annexes, résumé) Format d un

Plus en détail

Lasik Xtra: Résultats cliniques. Dr Philippe Charvier Dr David Donate Thaëron Rozenn (optometriste) Lyon, France

Lasik Xtra: Résultats cliniques. Dr Philippe Charvier Dr David Donate Thaëron Rozenn (optometriste) Lyon, France Lasik Xtra: Résultats cliniques Dr Philippe Charvier Dr David Donate Thaëron Rozenn (optometriste) Lyon, France Introduction Lasik Xtra : Lasik combiné à un cross-linking cornéen accéléré Traitement de

Plus en détail

Vous allez être opéré(e) de Membrane Epimaculaire

Vous allez être opéré(e) de Membrane Epimaculaire Vous allez être opéré(e) de Membrane Epimaculaire HÔPITAL LARIBOISIERE Service d'ophtalmologie 2 rue Ambroise Paré 75475 Paris cedex 10 tel : 33 (0)1 49 95 64 88 La rétine est constituée de cellules visuelles

Plus en détail

L ATROPHIE DU SPHINCTER ANAL EXTERNE en ENDOSONOGRAPHIE TRIDIMENSIONNELLE. Vincent de PARADES PARIS

L ATROPHIE DU SPHINCTER ANAL EXTERNE en ENDOSONOGRAPHIE TRIDIMENSIONNELLE. Vincent de PARADES PARIS L ATROPHIE DU SPHINCTER ANAL EXTERNE en ENDOSONOGRAPHIE TRIDIMENSIONNELLE Vincent de PARADES PARIS INTRODUCTION L incontinence anale du post-partum partum relève de deux mécanismes : la déchirure de l

Plus en détail

Trousse média 2015. Soyez vu... nous sommes lus! La revue

Trousse média 2015. Soyez vu... nous sommes lus! La revue Trousse média 2015 Soyez vu... nous sommes lus! La revue Imprimé 10 raisons profitables d investir dans la revue l Optométriste 1. Bénéficiez d une excellente visibilité auprès de l ensemble des optométristes

Plus en détail

Rapport de stage d initiation

Rapport de stage d initiation Ministère de l enseignement supérieur et de la recherche scientifique Direction Générale des Études Technologiques Institut Supérieur des Etudes Technologiques de SILIANA Département Technologies de l

Plus en détail

des banques pour la recherche

des banques pour la recherche ADN, cellules, tissus... des banques pour la recherche FÉVRIER 2009 Les banques d échantillons de matériel biologique (tissus, cellules, ADN ), appelées biobanques, mettent à disposition des chercheurs

Plus en détail

Tablette Pegasus PC Notes. Code : 0954 201. Conrad sur INTERNET www.conrad.com Version 02/03. 15. Conditions du système.

Tablette Pegasus PC Notes. Code : 0954 201. Conrad sur INTERNET www.conrad.com Version 02/03. 15. Conditions du système. Conrad sur INTERNET www.conrad.com N O T I C E Version 02/03 Unité de base (USB) PCNT _ BU05 Crayon électronique PEN1 _ V006 Support bloc notes PCNT _ PAD01 Piles SR41 620004 Mine 9100520 Notice 9100120

Plus en détail

1. Informations préliminaires

1. Informations préliminaires 1 Tout d abord, nous vous remercions vivement de faire confiance aux Éditions Honoré Champion, dont le prestige a toujours tenu à l extrême qualité du fond et au soin apporté à la forme. D où ces quelques

Plus en détail

Pseudotumor cerebri. Anatomie Le cerveau et la moelle épinière baignent dans un liquide clair, appelé le liquide céphalo-rachidien (LCR).

Pseudotumor cerebri. Anatomie Le cerveau et la moelle épinière baignent dans un liquide clair, appelé le liquide céphalo-rachidien (LCR). Hypertension intracrânienne idiopathique Pseudotumor cerebri Votre médecin pense que vous pouvez souffrir d hypertension intracrânienne idiopathique connue aussi sous le nom de «pseudotumeur cérébrale».

Plus en détail

4 ème journée de la. Société Algérienne du Glaucome 2012. Dr A.ACHELI Pr O.Ouhadj Pr M.T.Nouri CHU Beni Messous

4 ème journée de la. Société Algérienne du Glaucome 2012. Dr A.ACHELI Pr O.Ouhadj Pr M.T.Nouri CHU Beni Messous 4 ème journée de la Société Algérienne du Glaucome 2012 Dr A.ACHELI Pr O.Ouhadj Pr M.T.Nouri CHU Beni Messous INTRODUCTION Glaucome et cataracte sont deux maladies oculaires distinctes mais sont fréquemment

Plus en détail

MESURER SA PRESSION ARTÉRIELLE À DOMICILE. La société québécoise D HYPERTENSION ARTÉRIELLE

MESURER SA PRESSION ARTÉRIELLE À DOMICILE. La société québécoise D HYPERTENSION ARTÉRIELLE MESURER SA PRESSION ARTÉRIELLE À DOMICILE QU EST-CE QUE LA PRESSION ARTÉRIELLE? La pression artérielle est la force du sang circulant dans les artères lors de chaque contraction du cœur. La mesure de

Plus en détail

Canadian Ophthalmological Society evidence-based clinical practice guidelines for the management of glaucoma in the adult eye

Canadian Ophthalmological Society evidence-based clinical practice guidelines for the management of glaucoma in the adult eye VOL. 44, SUPPL. 1 JUNE/JUIN 2009 Canadian Ophthalmological Society evidence-based clinical practice guidelines for the management of glaucoma in the adult eye Guide factuel de pratique clinique de la Société

Plus en détail

Service d Urologie - Hôpital de la Conception - APHM. 2. Service de Gynécologie Obstétrique - Hôpital de la Conception - APHM. 3

Service d Urologie - Hôpital de la Conception - APHM. 2. Service de Gynécologie Obstétrique - Hôpital de la Conception - APHM. 3 Efficacité de la stimulation transcutanée chronique du nerf tibial postérieur dans l hyperactivité vésicale de la femme atteinte de Maladie de Parkinson ou d Atrophie Multisystématisée A. Ohannessian 1,2,4,

Plus en détail

La malvoyance d un instant n est pas celle d une vie

La malvoyance d un instant n est pas celle d une vie La malvoyance d un instant n est pas celle d une vie La malvoyance, un handicap grave Une personne malvoyante est une personne dont la vue est déficiente malgré le port de lunettes ou de lentilles, ou

Plus en détail

La maladie de Stargardt

La maladie de Stargardt La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée à vous informer sur la maladie de Stargardt.

Plus en détail

Au service exclusif des Personnels de l Enseignement Privé depuis 1945 GAMME COLLECTIVE

Au service exclusif des Personnels de l Enseignement Privé depuis 1945 GAMME COLLECTIVE 1 GAMME COLLECTIVE Au service exclusif des Personnels de l Enseignement Privé depuis 1945 2 NOTRE EXPERIENCE A VOTRE SERVICE Plus de 65 ans d expérience dans la protection sociale de l enseignement privé.

Plus en détail

J. Goupil (1), A. Fohlen (1), V. Le Pennec (1), O. Lepage (2), M. Hamon (2), M. Hamon-Kérautret (1)

J. Goupil (1), A. Fohlen (1), V. Le Pennec (1), O. Lepage (2), M. Hamon (2), M. Hamon-Kérautret (1) J. Goupil (1), A. Fohlen (1), V. Le Pennec (1), O. Lepage (2), M. Hamon (2), M. Hamon-Kérautret (1) (1) Pôle d Imagerie, service de Radiologie, CHU Caen (2) Pôle Cardio-thoracique, service de Chirurgie

Plus en détail

STAGE D INITIATION RAPPORT DE. Elaboré par. Prénom NOM. Encadré par : Mr Prénom NOM (Société) Société d accueil :. (Sigle de la société d accueil)

STAGE D INITIATION RAPPORT DE. Elaboré par. Prénom NOM. Encadré par : Mr Prénom NOM (Société) Société d accueil :. (Sigle de la société d accueil) (Sigle de la société d accueil) REPUBLIQUE TUNISIENNE ***** MINISTERE DE L'ENSEIGNEMENT SUPERIEUR, DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE ET DE LA TECHNOLOGIE ***** DIRECTION GENERALE DES ETUDES TECHNOLOGIQUES *****

Plus en détail

Alphonse Carlier, Intelligence Économique et Knowledge Management, AFNOR Éditions, 2012.

Alphonse Carlier, Intelligence Économique et Knowledge Management, AFNOR Éditions, 2012. 1 Du même auteur chez le même éditeur Alphonse Carlier, Intelligence Économique et Knowledge Management, AFNOR Éditions, 2012. AFNOR 2013 Couverture : création AFNOR Éditions Crédit photo 2011 Fotolia

Plus en détail

Sillage Météo. Notion de sillage

Sillage Météo. Notion de sillage Sillage Météo Les représentations météorologiques sous forme d animation satellites image par image sont intéressantes. Il est dommage que les données ainsi visualisées ne soient pas utilisées pour une

Plus en détail

Foscolo (1), J Felblinger (2), S Bracard (1) CHU Hôpital central, service de neuroradiologie, Nancy (1) CHU BRABOIS, Centre d investigation clinique

Foscolo (1), J Felblinger (2), S Bracard (1) CHU Hôpital central, service de neuroradiologie, Nancy (1) CHU BRABOIS, Centre d investigation clinique S A l (1) G H (2) S S Aptel (1), G Hossu (2), S Foscolo (1), J Felblinger (2), S Bracard (1) CHU Hôpital central, service de neuroradiologie, Nancy (1) CHU BRABOIS, Centre d investigation clinique innovation

Plus en détail

Diabète de type 1 de l enfant et de l adolescent

Diabète de type 1 de l enfant et de l adolescent GUIDE - AFFECTION DE LONGUE DURÉE Diabète de type 1 de l enfant et de l adolescent Juillet 2007 Juillet 2007 1 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication

Plus en détail

La littératie numérique est-elle vraiment une littératie? Pour quelle raison se soucie-t-on de la définition de la littératie numérique?

La littératie numérique est-elle vraiment une littératie? Pour quelle raison se soucie-t-on de la définition de la littératie numérique? Tiré de Adult Literacy Education, un article de blogue écrit par David J. Rosen, D.Ed. http://davidjrosen.wordpress.com/2013/01 TEACH Magazine, disponible en version imprimée et numérique, est la plus

Plus en détail

Optimisation et programmation mathématique. Professeur Michel de Mathelin. Cours intégré : 20 h

Optimisation et programmation mathématique. Professeur Michel de Mathelin. Cours intégré : 20 h Télécom Physique Strasbourg Master IRIV Optimisation et programmation mathématique Professeur Michel de Mathelin Cours intégré : 20 h Programme du cours d optimisation Introduction Chapitre I: Rappels

Plus en détail

Un comparatif de rétinographes non mydriatiques

Un comparatif de rétinographes non mydriatiques Un comparatif de rétinographes non mydriatiques Xavier Zanlonghi L es rétinographes non mydriatiques (RNM), qui, dans leur conception d origine n étaient pas destinés aux ophtalmologistes, ont depuis fait

Plus en détail

Justine Ludi. HEAD Genève

Justine Ludi. HEAD Genève Justine Ludi HEAD Genève Laura Wohlgehaben HEAD Genève Karine Laurence EAVM Montréal Projet Évolution chronologique du projet. Nos projets étaient quasi identiques lors de la formation des groupes. Dans

Plus en détail

IMMED Monitoring vidéo porté

IMMED Monitoring vidéo porté IMMED Monitoring vidéo porté L indexation vidéo au service du soin des personnes Projet financé par PEPS S2TI CNRS et des bourses BQR de l Université Bordeaux 1 1 Contexte Maladies et dépendances liées

Plus en détail

Les biens culturels :

Les biens culturels : www.cicrp.fr Imagerie scientifique Jean-Marc Vallet & Odile Guillon Journée «Contrôle non destructif» Paris - 6 octobre 2011 Les biens culturels : - Caractère unique et précieux - Notion d ancienneté,

Plus en détail

RECHUTE ET ACCIDENT DE SERVICE

RECHUTE ET ACCIDENT DE SERVICE RECHUTE ET ACCIDENT DE SERVICE 10èmes Journées nationales de médecine agréée 21 Octobre NANTES Docteur Jean-Michel MAUREL, médecin conseil Assurances et services des collectivités locales SOMMAIRE q DEFINITION

Plus en détail

Ischémie myocardique silencieuse (IMS) et Diabète.

Ischémie myocardique silencieuse (IMS) et Diabète. Ischémie myocardique silencieuse (IMS) et Diabète. A propos d un cas clinique, sont rappelés: - les caractères cliniques et pronostiques de l IMS chez le diabétique, - la démarche de l identification de

Plus en détail

Journées de cardiologie Jeudi 31 mai 2012 Dr JM DUPUIS Service de cardiologie CHU ANGERS

Journées de cardiologie Jeudi 31 mai 2012 Dr JM DUPUIS Service de cardiologie CHU ANGERS Surveillance des pace makers et des défibrillateurs Journées de cardiologie Jeudi 31 mai 2012 Dr JM DUPUIS Service de cardiologie CHU ANGERS La stimulation cardiaque La stimulation cardiaque Historique

Plus en détail

En février 2013, l Institut a été félicité par Agrément Canada pour avoir atteint les normes d excellence nationales en soins de santé.

En février 2013, l Institut a été félicité par Agrément Canada pour avoir atteint les normes d excellence nationales en soins de santé. INSTITUT DE L ŒIL DE MONTRÉAL MONTREAL EYE INSTITUTE L INSTITUT Fondée en 1984, La Clinique de l œil de Montréal est devenue, à la suite d'une importante expansion, l Institut de l œil de Montréal, un

Plus en détail

Comment évaluer. la fonction contractile?

Comment évaluer. la fonction contractile? Comment évaluer la fonction contractile? Pr Xavier MONNET Service de réanimation médicale Hôpital de Bicêtre Assistance publique Hôpitaux de Paris Conflit d intérêt Pulsion Medical Systems CAP PiCCO Echocardiographie

Plus en détail

Le seul ami de Batman

Le seul ami de Batman Le seul ami de Batman Avant de devenir un héros de cinéma en 1989, Batman est depuis plus de 50 ans un fameux personnage de bandes dessinées aux États-Unis. Il fut créé en mai 1939 dans les pages de Détective

Plus en détail

7. Recherche des essais

7. Recherche des essais 7. Recherche des essais Le chapitre précédent a insisté sur la nécessité de réaliser une recherche des essais aussi exhaustive que possible. Seule la conjonction de tous les moyens disponibles peut laisser

Plus en détail

Numérisation et valorisation des fonds patrimoniaux dans les collectivités

Numérisation et valorisation des fonds patrimoniaux dans les collectivités Numérisation et valorisation des fonds patrimoniaux dans les collectivités Les Archives municipales d Aubervilliers David Desbans Archives municipales et Documentation d Aubervilliers Objectifs et enjeux

Plus en détail

Système de gestion des données RAPIDComm 3.0 : la solution avancée de connectivité et de communication en biologie délocalisée

Système de gestion des données RAPIDComm 3.0 : la solution avancée de connectivité et de communication en biologie délocalisée Système de gestion des données RAPIDComm 3.0 : la solution avancée de connectivité et de communication en biologie délocalisée White paper Allen B, Hoffman G, Arkhipov V Des réponses pour la vie. 2 1 Résumé

Plus en détail

Echifa. La première assurance santé pour toute la famille

Echifa. La première assurance santé pour toute la famille Echifa La première assurance santé pour toute la famille Nous vous protégeons, vous et votre famille Assurances Maghrebia en Tunisie s associe avec Sano Concept (une société du groupe APRIL), leader dans

Plus en détail

Secteur Protégé d Hématologie

Secteur Protégé d Hématologie INFORMATIONS PATIENTS Secteur Protégé d Hématologie Centre accrédité de greffe de moelle osseuse et de cellules souches d hématopoïétiques Le Secteur d Hématologie est destiné à des patients atteints de

Plus en détail

Full Professor or Associate Professor of Ophthalmology, Head Physician Head of the Anterior Segment Service for the Jules Gonin Eye Hospital

Full Professor or Associate Professor of Ophthalmology, Head Physician Head of the Anterior Segment Service for the Jules Gonin Eye Hospital The Faculty of Biology and Medicine of the University of Lausanne, Switzerland, the Lausanne University Hospital (CHUV) and the Jules-Gonin Eye Hospital invite applications for a position of: Full Professor

Plus en détail

Université de Lorraine Licence AES LIVRET DE STAGE LICENCE 2014-2015

Université de Lorraine Licence AES LIVRET DE STAGE LICENCE 2014-2015 Université de Lorraine Licence AES LIVRET DE STAGE LICENCE 2014-2015 1 LA REDACTION DU RAPPORT DE STAGE Le mémoire ne doit pas consister à reprendre tels quels des documents internes de l entreprise ou

Plus en détail

Chapitre 18 : Transmettre et stocker de l information

Chapitre 18 : Transmettre et stocker de l information Chapitre 18 : Transmettre et stocker de l information Connaissances et compétences : - Identifier les éléments d une chaîne de transmission d informations. - Recueillir et exploiter des informations concernant

Plus en détail

PRESENTATION DES RECOMMANDATIONS DE VANCOUVER

PRESENTATION DES RECOMMANDATIONS DE VANCOUVER PRESENTATION DES RECOMMANDATIONS DE VANCOUVER Voici une présentation des recommandations de Vancouver. Ces recommandations ont pour objet d uniformiser la présentation des références bibliographiques dans

Plus en détail

GUIDE PRATIQUE. Droit d accès

GUIDE PRATIQUE. Droit d accès 111 GUIDE PRATIQUE Droit d accès QU EST-CE QUE LE DROIT D ACCÈS? page 2 COMMENT EXERCER SON DROIT D ACCÈS? page 3 POUR ACCÉDER A QUOI? page 5 QUELLE RÉPONSE ATTENDRE? page 6 QUAND ET COMMENT SAISIR LA

Plus en détail

NORMES DE PRÉSENTATION DES MANUSCRITS

NORMES DE PRÉSENTATION DES MANUSCRITS Les Presses de l Université du Québec NORMES DE PRÉSENTATION DES MANUSCRITS Le manuscrit, en version complète et définitive, doit être présenté de la manière la plus simple et uniforme possible, afin de

Plus en détail

The Over-60 Research Unit UCSF 2007 adaptation en français en 2013

The Over-60 Research Unit UCSF 2007 adaptation en français en 2013 The Over-60 Research Unit UCSF 2007 adaptation en français en 2013 Adaptée par Amandine Capber Titulaire d'un Master 2 recherche, étudiante en Master 2 professionnel Neuropsychologie et Psychopathologie

Plus en détail

L opération de la cataracte. Des réponses à vos questions

L opération de la cataracte. Des réponses à vos questions L opération de la cataracte Des réponses à vos questions Qu est-ce que la cataracte? Quel objectif? Cette brochure vous donne toutes les informations utiles concernant l opération de la cataracte. Définition

Plus en détail

Contents. 1 Introduction Objectifs des systèmes bonus-malus Système bonus-malus à classes Système bonus-malus : Principes

Contents. 1 Introduction Objectifs des systèmes bonus-malus Système bonus-malus à classes Système bonus-malus : Principes Université Claude Bernard Lyon 1 Institut de Science Financière et d Assurances Système Bonus-Malus Introduction & Applications SCILAB Julien Tomas Institut de Science Financière et d Assurances Laboratoire

Plus en détail

Nom : Groupe : Date : 1. Quels sont les deux types de dessins les plus utilisés en technologie?

Nom : Groupe : Date : 1. Quels sont les deux types de dessins les plus utilisés en technologie? Nom : Groupe : Date : Verdict Chapitre 11 1 La communication graphique Pages 336 et 337 1. Quels sont les deux types de dessins les plus utilisés en technologie? Les dessins de fabrication. Les schémas.

Plus en détail

SAISIE DES NOTES DE BAS DE PAGE et BIBLIOGRAPHIE MEMO RÉSUMÉ. Norme AFNOR Z 44-005 NF ISO 690. Dernière édition : octobre 2011

SAISIE DES NOTES DE BAS DE PAGE et BIBLIOGRAPHIE MEMO RÉSUMÉ. Norme AFNOR Z 44-005 NF ISO 690. Dernière édition : octobre 2011 SAISIE DES NOTES DE BAS DE PAGE et BIBLIOGRAPHIE MEMO RÉSUMÉ Norme AFNOR Z 44-005 NF ISO 690 Dernière édition : octobre 2011 Texte mis à jour le 29 janvier 2014 MM. DAUTHIER dauthier@univ-tln.fr 1 Notes

Plus en détail

Evaluation d un appareil quantitatif ultrasonore utilisant des matrices (Beam scanner):précision standardisée

Evaluation d un appareil quantitatif ultrasonore utilisant des matrices (Beam scanner):précision standardisée Evaluation d un appareil quantitatif ultrasonore utilisant des matrices (Beam scanner):précision standardisée M-A Gomez, M Nasser-Eddin, M Defontaine, B Giraudeau, F Jacquot, F Patat INTRODUCTION L ostéoporose

Plus en détail

Toute utilisation du site www.eau-services.com doit respecter les présentes conditions d utilisation.

Toute utilisation du site www.eau-services.com doit respecter les présentes conditions d utilisation. Mentions légales Toute utilisation du site www.eau-services.com doit respecter les présentes conditions d utilisation. I CONDITIONS D UTILISATION DU SITE Ce Site est soumis à la loi française. En consultant

Plus en détail

PageScope Enterprise Suite:

PageScope Enterprise Suite: PageScope Enterprise Suite: des solutions coordonnées pour une meilleure gestion de la productivité de votre parc d imprimantes et d appareils multifonctions. PageScope Entreprise Suite vous offre une

Plus en détail

Master4Light. Caractérisation Optique et Electrique des Sources Lumineuses. Equipement 2-en-1 : source de courant et spectrophotomètre

Master4Light. Caractérisation Optique et Electrique des Sources Lumineuses. Equipement 2-en-1 : source de courant et spectrophotomètre DSF-M4L-Rev2.0-04/12 Master4Light Equipement 2-en-1 : source de courant et spectrophotomètre Interface graphique logicielle, connexion USB Configuration personnalisable : laboratoire et in-situ http://www.majantys.com

Plus en détail

Zéro papier dès le premier jour

Zéro papier dès le premier jour Zéro papier dès le premier jour Économies de coûts et augmentation de productivité grâce à la numérisation www.i-fourc.fr A digital archive Véritable référence dans le domaine de la numérisation, I-FourC

Plus en détail

Dr E. CHEVRET UE2.1 2013-2014. Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires

Dr E. CHEVRET UE2.1 2013-2014. Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires I. Introduction II. Les microscopes 1. Le microscope optique 2. Le microscope à fluorescence 3. Le microscope confocal 4. Le microscope électronique

Plus en détail

Quel apport de l imagerie dans les traitements anti-angiogéniques?

Quel apport de l imagerie dans les traitements anti-angiogéniques? Quel apport de l imagerie dans les traitements anti-angiogéniques? L Fournier, D Balvay, CA Cuénod Service de radiologie, Hôpital Européen Georges Pompidou Laboratoire de Recherche en Imagerie, Equipe

Plus en détail

LE DROIT D AUTEUR, LES NORMES ET INTERNET

LE DROIT D AUTEUR, LES NORMES ET INTERNET LES NORMES ET INTERNET Comment profiter de la disponibilité des normes frança ises, européennes, internationales et étrangères sur Internet, sans tomber dans les pièges de la violation du droit d auteur

Plus en détail

Transport des gaz dans le sang

Transport des gaz dans le sang UE3-2 - Physiologie Physiologie Respiratoire Chapitre 9 : Transport des gaz dans le sang Docteur Sandrine LAUNOIS-ROLLINAT Année universitaire 2011/2012 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits

Plus en détail

LASER DOPPLER. Cependant elle n est pas encore utilisée en routine mais reste du domaine de la recherche et de l évaluation.

LASER DOPPLER. Cependant elle n est pas encore utilisée en routine mais reste du domaine de la recherche et de l évaluation. LASER DOPPLER INTRODUCTION La technique qui utilise l effet Doppler à partir d un faisceau laser est l une des seules qui permette d enregistrer en continu le reflet de la perfusion superficielle de tissus

Plus en détail

Paysage de nuages. Objectif. Matériel. Vue d ensemble. Résultats didactiques. Durée. Niveau

Paysage de nuages. Objectif. Matériel. Vue d ensemble. Résultats didactiques. Durée. Niveau Objectif Aider les élèves à identifier certaines caractéristiques des nuages. Permettre aux élèves d observer les nuages, de les décrire avec un vocabulaire simple et de comparer leurs descriptions avec

Plus en détail

1. Vérification de conformité aux normes Champion

1. Vérification de conformité aux normes Champion 1 Tout d abord, nous vous remercions vivement de faire confiance aux Éditions Honoré Champion, dont le prestige a toujours tenu à l extrême qualité du fond et au soin apporté à la forme. D où ces quelques

Plus en détail

Dossier de candidature du Comité Départemental du Tourisme Haute Bretagne Ille-et-Vilaine

Dossier de candidature du Comité Départemental du Tourisme Haute Bretagne Ille-et-Vilaine Dossier de candidature du Comité Départemental du Tourisme Haute Bretagne Ille-et-Vilaine «Les interconnectés 2014» Coordonnées : Comité Départemental du Tourisme Haute Bretagne Ille-et-Vilaine 5 rue du

Plus en détail

COMMISSION NATIONALE D EVALUATION DES DISPOSITIFS MEDICAUX ET DES TECHNOLOGIES DE SANTE. AVIS DE LA COMMISSION 08 février 2011 CONCLUSIONS

COMMISSION NATIONALE D EVALUATION DES DISPOSITIFS MEDICAUX ET DES TECHNOLOGIES DE SANTE. AVIS DE LA COMMISSION 08 février 2011 CONCLUSIONS COMMISSION NATIONALE D EVALUATION DES DISPOSITIFS MEDICAUX ET DES TECHNOLOGIES DE SANTE AVIS DE LA COMMISSION 08 février 2011 Nom : Modèles et références retenus : Fabricant : Demandeur : Données disponibles

Plus en détail

lightpainting procedural Ou comment utiliser processing en dehors des sentiers battus.

lightpainting procedural Ou comment utiliser processing en dehors des sentiers battus. lightpainting procedural Ou comment utiliser processing en dehors des sentiers battus. Le light painting (littéralement «peinture de lumière» en français) est une technique de prise de vue photographique.

Plus en détail

medical vision group

medical vision group medical vision group «Nos clients et partenaires sont pour nous des êtres humains, avec leurs attentes, concrètes et professionnelles, et leurs sentiments. Aller à leur rencontre est notre force.» medicalvision

Plus en détail

LE TRAVAIL SUR ÉCRAN DANS LA BRANCHE DES TÉLÉCOMMUNICATIONS

LE TRAVAIL SUR ÉCRAN DANS LA BRANCHE DES TÉLÉCOMMUNICATIONS LE TRAVAIL SUR ÉCRAN DANS LA BRANCHE DES TÉLÉCOMMUNICATIONS DOCUMENT ÉTABLI PAR LA COMMISSION PARITAIRE SANTÉ ET PRÉVENTION DES RISQUES DES TÉLÉCOMMUNICATIONS LE CONTEXTE Quel que soit le secteur d activité,

Plus en détail

La visio-conférence holographique : Pourquoi? Comment?

La visio-conférence holographique : Pourquoi? Comment? La visio-conférence holographique : Pourquoi? Comment? Francis Felix Labo LSIS / Arts & Métiers Paritech (ENSAM) 2 Cours des Arts et Métiers 13100 Aix-en-Provence Thierry Henocque AIP-Primeca Dauphiné

Plus en détail

Recommandations pour la réalisation pratique et la diffusion des mémoires

Recommandations pour la réalisation pratique et la diffusion des mémoires Recommandations pour la réalisation pratique et la diffusion des mémoires Sommaire 1 Décrire le contenu du mémoire : le résumé et les mots-clés...2 1.1.1 Le résumé...2 1.1.2 Les mots-clés...2 2 Bibliographie...4

Plus en détail

LMD. Expertise comptable COLLECTION. Le meilleur. du DCG 3. Droit social. 2 e ÉDITION. Marie-Paule Schneider Maryse Ravat.

LMD. Expertise comptable COLLECTION. Le meilleur. du DCG 3. Droit social. 2 e ÉDITION. Marie-Paule Schneider Maryse Ravat. LMD COLLECTION Expertise comptable Le meilleur du DCG 3 Droit social 2 e ÉDITION Marie-Paule Schneider Maryse Ravat Sup FOUCHER «Le photocopillage, c est l usage abusif et collectif de la photocopie sans

Plus en détail

Lotus Notes 7 Utilisateur Messagerie, agenda, tâches

Lotus Notes 7 Utilisateur Messagerie, agenda, tâches IBM Lotus Notes 7 Utilisateur Messagerie, agenda, tâches Référence AVERTISSEMENT Lotus Notes 7 est une marque déposée de la société IBM. Toutes les marques citées dans cet ouvrage sont des marques déposées

Plus en détail

MIEUX COMPRENDRE CE QU EST UN ACCIDENT VASCULAIRE CÉRÉBRAL AVC

MIEUX COMPRENDRE CE QU EST UN ACCIDENT VASCULAIRE CÉRÉBRAL AVC MIEUX COMPRENDRE CE QU EST UN ACCIDENT VASCULAIRE CÉRÉBRAL AVC SOMMAIRE UN QUIZ POUR FAIRE UN POINT SUR MES CONNAISSANCES Un quiz pour faire un point sur mes connaissances 3 Vrai Faux Qu est-ce que l on

Plus en détail

C. SCIT 2577 06. Le 9 juillet 2003

C. SCIT 2577 06. Le 9 juillet 2003 C. SCIT 2577 Le 9 juillet 2003 Concerne : Tâche n 24 du programme de travail du Groupe de travail du SCIT sur les normes et la documentation : rapports techniques annuels pour 2002 sur les activités d

Plus en détail

Site : www.dys35.fr - Email : contact@dys35.fr - Tél. 02.99.53.48.82. Conférence - Débat

Site : www.dys35.fr - Email : contact@dys35.fr - Tél. 02.99.53.48.82. Conférence - Débat Site : www.dys35.fr - Email : contact@dys35.fr - Tél. 02.99.53.48.82 Conférence - Débat Ecole et Troubles Spécifiques du Langage et des Apprentissages : Les pratiques au Canada, en Angleterre et en Belgique

Plus en détail

Crédits photos Philippe Montigny, Christophe Lepetit, Pascal Bourguignon, Julien-René Jacque, Cédric Hesly.

Crédits photos Philippe Montigny, Christophe Lepetit, Pascal Bourguignon, Julien-René Jacque, Cédric Hesly. Mentions légales Le site www.sofiproteol.com est la propriété de SOFIPROTEOL SA SOFIPROTEOL SA Société Anonyme au capital de 212.087.000 euros 804 808 095 RCS PARIS SIRET : 804 808 095 00017 CODE APE (en

Plus en détail

Activité scientifique et recherche :

Activité scientifique et recherche : L INSTITUT DE L ŒIL Notre Mission: L Institut de l Œil de Montréal a pour mission d offrir à chaque patient, une évaluation individuelle de l état de santé de ses yeux, qui tient compte de l ensemble de

Plus en détail

Le cliché thoracique

Le cliché thoracique Le cliché thoracique Date de création du document 2008-2009 Table des matières * Introduction... 1 1 Nomenclature radiologique... 1 2 Le cliché thoracique de face... 2 2. 1 Qualité du cliché... 1 2. 2

Plus en détail

LA GMAO ACCEDER : EXPLOITATION POUR L ENSEIGNEMENT

LA GMAO ACCEDER : EXPLOITATION POUR L ENSEIGNEMENT LA GMAO ACCEDER : EXPLOITATION POUR L ENSEIGNEMENT 1 - AVANTAGES DE LA GMAO ACCEDER POUR ENSEIGNER 2 - GENERALITES POUR L EXPLOITATION EN BAC PRO ET BTS 3 LA GMAO ET LE NOUVEAU REFERENTIEL BTS 2014 MAINTENANCE

Plus en détail

PROJET DE TÉLÉMEDECINE

PROJET DE TÉLÉMEDECINE PROJET DE TÉLÉMEDECINE ISIFC 2 ème année Année universitaire 2011-2012 LA TÉLÉSURVEILLANCE Louis ACHA Rafaël MINACORI ISIFC Génie biomédical 23,rue Alain SAVARY 25000 Besançon Cedex Tél : 03 81 66 66 90

Plus en détail

Maps Tableau de bord avec MindManager et Power Markers

Maps Tableau de bord avec MindManager et Power Markers Maps Tableau de bord avec MindManager et Power Markers Nick Duffill, Harport Consulting traduction Martine Jésus Qu est-ce exactement qu une map tableau de bord? Qu est-ce qu une map tableau de bord? N

Plus en détail

Prise en charge des dysplasies et carcinomes in situ de la surface oculaire au CHT de Nouvelle-Calédonie

Prise en charge des dysplasies et carcinomes in situ de la surface oculaire au CHT de Nouvelle-Calédonie Prise en charge des dysplasies et carcinomes in situ de la surface oculaire au CHT de Nouvelle-Calédonie Congrès de la SFO Mai 2011 M. Le Loir (Brest), E. Mancel (Nouméa), L.W. Hirst (Brisbane) Dysplasie

Plus en détail

Principales causes de décès selon le groupe d âge. 0 24 25 44 45 64 65 84 85 et plus

Principales causes de décès selon le groupe d âge. 0 24 25 44 45 64 65 84 85 et plus Module 2 Exercice 1: Cellules souches hématopoïétiques 1. Causes de décès en Suisse (2010) La figure suivante montre les causes de décès les plus fréquentes en Suisse en 2010, telles qu elles ont été relevées

Plus en détail

EmpreintePro logiciel de gestion de laboratoire

EmpreintePro logiciel de gestion de laboratoire EmpreintePro logiciel de gestion de laboratoire 3 Versions évolutives INTÉGRALE RÉFÉRENCE ESSENTIEL Gardez le sourire, avec EmpreintePro La gestion informatisée de votre laboratoire est simple facile rapide.

Plus en détail

MISE A JOUR : 04 FEVRIER 2011 PROCÉDURE D INSTALLATION. Cegid Business COMMENT INSTALLER CEGID BUSINESS V9 SOUS WINDOWS XP, VISTA ET 7

MISE A JOUR : 04 FEVRIER 2011 PROCÉDURE D INSTALLATION. Cegid Business COMMENT INSTALLER CEGID BUSINESS V9 SOUS WINDOWS XP, VISTA ET 7 PROCÉDURE D INSTALLATION Cegid Business V9 COMMENT INSTALLER CEGID BUSINESS V9 SOUS WINDOWS XP, VISTA ET 7 Sommaire 1. Introduction 2. Installation de SQL Server 2005 ou 2008 3. Installation de Cegid Business

Plus en détail

Bonn. rds» Conso. A propos de CONSOLIS SABLA. publics : bâtiments principalem personnes CONSOLIS. préfabriqué. assainisse cimetières

Bonn. rds» Conso. A propos de CONSOLIS SABLA. publics : bâtiments principalem personnes CONSOLIS. préfabriqué. assainisse cimetières Bonn na Sablaa Concours de Création «Consolis Awa rds» REGLEMENT DU CONCOURS Conso olis et Bonna Sabla en bref A propos de CONSOLIS CONSOLIS S est un groupe industriel européen du secteur de d la construction,

Plus en détail

Complications oculaires associées à l anesthésie générale

Complications oculaires associées à l anesthésie générale 51 e Congrès national d anesthésie et de réanimation. Médecins. Conférences d actualisation. 2009 Elsevier Masson SAS. Tous droits réservés Complications oculaires associées à l anesthésie générale M.

Plus en détail

CONDITIONS GENERALES D UTILISATION DE L APPLICATION LINK MYPEUGEOT 1 - PREAMBULE

CONDITIONS GENERALES D UTILISATION DE L APPLICATION LINK MYPEUGEOT 1 - PREAMBULE CONDITIONS GENERALES D UTILISATION DE L APPLICATION LINK MYPEUGEOT 1 - PREAMBULE L application Link MyPeugeot (ci-après dénommée «l Application») est une application mobile gratuite, compatible ios 6 ou

Plus en détail