10h15 : Fabrice Gzil : «Comment peut-on "modéliser" les troubles mnésiques liés au vieillissement chez la souris?»

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1 Journée doctorale 26 juin 2007 Grande salle de l IHPST Programme 9h15 : Introduction 9h30 : Eric Charmetant : «Darwin et l éthique» 10h15 : Fabrice Gzil : «Comment peut-on "modéliser" les troubles mnésiques liés au vieillissement chez la souris?» 11h : Pause 11h15 : Esther Cotelle-Lardreau : «Différence entre auras épileptiques et auras migraineuses au dix-neuvième siècle» 14h30 : Cyrille Imbert : «Explication, compréhension, opacité» 15h15 : Thomas Pradeu : «Qu est-ce qu un organisme? Immunologie et individualité biologique» 16h : Pause 16h15 : Isabelle Drouet : «Théories probabilistes de la causalité et réseaux bayésiens»

2 Résumés Eric Charmetant : Darwin et l éthique Au regard de la grande pluralité des éthiques «darwiniennes» contemporaines, on pourrait être tenté de soutenir que l approche évolutionniste de l éthique manque de spécificité pour éclairer véritablement des débats de philosophie morale. Or, l étude des écrits de Charles Darwin montre que sa réflexion sur l éthique ne correspond ni au testament d un scientifique âgé et célèbre ni à un pur reflet de la société victorienne, mais traverse l ensemble de son œuvre. En effet, Charles Darwin lie, de manière très forte, la philosophie morale de James Mackintosh ( ) avec le problème du développement et de la transmission des habitudes morales. En cela, sa pensée garde une grande fécondité pour penser le développement moral individuel et la stabilisation des systèmes éthiques. Fabrice Gzil : Comment peut-on «modéliser» les troubles mnésiques liés au vieillissement chez la souris? Dans les recherches actuelles sur le vieillissement - vieillissement «normal» ou vieillissement associé à une pathologie - les modèles murins occupent aujourd'hui une place considérable. Ils interviennent à la fois dans la recherche dite fondamentale (qui vise à comprendre les 'mécanismes' du vieillissement) et dans la recherche dite appliquée (qui vise, par exemple, à découvrir de nouvelles pistes thérapeutiques contre la maladie d'alzheimer). Les modèles murins, en particulier, sont abondamment utilisés dans la recherche sur les troubles mnésiques liés au vieillissement. Cette importance des modèles murins dans la recherche bio-médicale sur les troubles cognitifs liés au vieillissement soulève un certain nombre de questions, à la fois épistémologiques et éthiques. Est-il possible de reproduire les troubles des fonctions cognitives supérieures chez la souris? N'y a-t-il pas, entre la souris et l'homme, d'importantes différences (en particulier dans la structure anatomique du cerveau), qui limitent considérablement la portée des résultats? Etant données les difficultés qu'il y a à reproduire chez la souris les composantes cliniques et biologiques de l'alzheimer, est-il vraiment légitime de «sacrifier» autant d'animaux dans la recherche bio-médicale sur les maladies neuro-dégénérative? De notre point de vue, on peut résumer toutes ces questions en paraphrasant Montesquieu dans les Lettres Persanes («Comment peut-on être persan?»). Le problème paraît en effet se poser de la manière suivante: Comment peut-on modéliser les troubles mnésiques liés au vieillissement chez la souris? Nous aborderons cette question en nous focalisant sur deux types de

3 modèles murins : les modèles transgéniques de la maladie d'alzheimer (1) et les modélisations contemporaines des troubles de la navigation spatiale au cours du vieillissement (2). Nous reviendrons également sur des aspects plus proprement conceptuels, en particulier sur la distinction proposée par Evelyn Fox Keller entre «models of» et «models for» (3). (1) Götz J. et al. Transgenic animal models of Alzheimer's disease and related disorders: histopathology, behaviour and therapy. Molecular Psychiatry 2004; 9: (2) Rondi-Reig et al. Impaired sequential egocentric and allocentric memories in forebrain-specific-nmda receptor knock-out mice during a new task dissociating strategies of navigation. The Journal of Neuroscience. 2006; 26 (15): (3) Keller E.F Models of and models for: Theory and practice in contemporary biology. Philosophy of science 2000; 67 (3): Esther Cotelle-Lardreau : Différence entre auras épileptiques et auras migraineuses au dix-neuvième siècle Dans la classification de l International Headache Society, le concept d aura joue un rôle central, puisqu il sert de principe de classement entre «migraine sans aura» et «migraine avec aura». Historiquement, le concept d aura est emprunté au vocabulaire de l épilepsie ; emprunt qui a lieu dans la médecine anglaise au début du dix-neuvième siècle, et dans la médecine française au milieu du dixneuvième siècle. Il importe donc de déterminer quelles caractéristiques de l aura épileptique ont été retenues pour penser l aura migraineuse. S appuyant sur la littérature médicale française et anglaise du dixneuvième siècle, on examine deux procès : 1) l émergence du concept d aura ; 2) les modifications de ce concept au cours du dix-neuvième siècle. On verra que le sens original du terme «aura», comme ensemble de sensations tactiles, est en usage depuis le second siècle jusqu au dix-neuvième siècle, moment à partir duquel une multiplicité d autres symptômes sont reconnus : l aura est alors considérée comme prémices d une attaque épileptique. A la fin du dix-neuvième siècle, l aura qui précède une migraine est, en même façon, considérée comme une séquence de la crise ; mais à la différence de l aura épileptique, elle n implique, à cette époque, aucune origine focale des symptômes. Cyrille Imbert : Explication, compréhension, opacité Les théories dominantes de l'explication sont d'accord sur le fait que les

4 explications scientifiques permettent de développer notre compréhension de la Nature. J'essaie d'abord dans cette présentation de montrer que ces théories sont mal adaptées pour rendre compte de la façon dont une explication permet de développer une compréhension effective d'un fait. Pour qu'une explication apporte de la compréhension, il faut en effet qu'on soit capable de voir comment l'explanans est relié à l'explanandum et pour cela, il est besoin de ressources computationnelles. Comme aucune des différents théories de l'explication ne discute ni même ne mentionne l'usage de ces ressources (pas même la théorie de Kitcher pour laquelle la notion de dérivation est centrale), on peut conclure que le concept de compréhension présent dans ces théories est au mieux insuffisamment détaillé. Il correspond en fait implicitement à la compréhension que pourrait avoir une créature archangélique dotée de ressources cognitives infinies. Un tel concept de compréhension est symptomatique de la conception de la science que Humphreys (2004) a baptisé «science en principe», et sur laquelle était fondée la philosophie des sciences du XXème siècle. Dans la deuxième partie de cette présentation, j'esquisse une théorie de l'explication qui permet de remédier à ces insuffisances. A partir de là, j'essaie de définir une notion, «l'opacité» permettant de décrire la plus ou moins grande difficulté qu'on peut avoir à comprendre un fait, même quand on en possède une explication complète. Je discute notamment de certaines caractéristiques de l'opacité comme sa possible relativité au format de représentation dans lequel le système étudié est décrit. Dans la dernière partie de cette présentation, j'essaie enfin plus explicitement de voir en quoi les concepts de la théorie de la complexité informatique peuvent être utiles pour définir l'opacité et donc caractériser notre compréhension effective des faits que nous expliquons. Thomas Pradeu : Qu est-ce qu un organisme? Immunologie et individualité biologique La question «Qu est-ce qu un organisme?» a été peu à peu remplacée, dans la philosophie de la biologie contemporaine, par la question «Qu est-ce qu un individu?». La question de savoir comment individuer les entités biologiques est cruciale, à la fois pour la biologie et pour la métaphysique. Un mode d individuation s est imposé comme le plus satisfaisant, celui qui se fonde sur la théorie de l évolution par sélection naturelle (TESN). Selon ce mode d individuation, l organisme n est qu un individu parmi d autres (gène, cellule, organelle, espèce, etc.) On considère généralement que la physiologie (biologie fonctionnelle) serait très utile pour définir l individualité biologique, mais que malheureusement elle n offre pas de théorie. Je cherche à démontrer ici : i) Qu un domaine particulier de la physiologie, l immunologie, peut nous offrir une théorie de l individuation.

5 ii) Que cette individuation ne peut pas reposer sur l hypothèse dominante de l immunologie, l hypothèse dite du «soi» et du «non-soi». A la place, je propose de la faire reposer sur une autre hypothèse immunologique, dite «hypothèse de la continuité». iii) Que, à l aide de l hypothèse de la continuité, on peut proposer une définition physiologique de l organisme comme ensemble d entités hétérogènes sous la surveillance des interactions immunitaires. iv) Que cette individuation physiologique doit être articulée à l individuation évolutionnaire pour parvenir à la définition la plus précise possible de ce qui compte comme un individu biologique. Isabelle Drouet : Théories probabilistes de la causalité et réseaux bayésiens D'un côté, les théories probabilistes de la causalité qui apparaissent dans les années 1970 visent à caractériser les causes à partir de ceci qu'elles augmentent la probabilité de leurs effets. De l'autre côté, les réseaux bayésiens sont utilisés depuis le milieu des années 1980 pour inférer des relations causales à partir de données probabilistes. Les philosophes qui s'intéressent à la causalité suggèrent souvent qu'il existe un rapport entre la définition probabiliste de la causalité et l'inférence des probabilités aux causes fondée sur les réseaux bayésiens. Pour autant, le rapport qui existe entre les théories probabilistes de la causalité et les réseaux bayésiens n'est jamais caractérisé rigoureusement. L'exposé vise à mettre au jour les caractéristiques principales de ce rapport.

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