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1 LES BESOINS EN FORMATION ET LES FREINS A L EMPLOI DU PUBLIC SUR 5 TERRITOIRES DE L ARRONDISSEMENT DE LILLE - LIVRET 3 - Analyse des typologies de demandeur d emploi

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3 Présentation de la démarche Méthode et précautions méthodologiques Définition des termes utilisés dans l étude... 6 Définition des notions utilisées dans l étude. 7 Synthèse et enjeux 8 Analyse de la typologie de demandeur d emploi Public Jeune non allocataire du RSA Public Allocataire du RSA Public Senior non allocataire du RSA Annexe 17 3

4 Présentation de la démarche Qui sommes nous? La Maison De l Emploi (MDE) Pévèle Mélantois Carembault, la MDE Métropole Nord-Ouest, la MDE Val de Marque, la MIE du Roubaisis et la MDE Villeneuve d Ascq - Mons en Baroeul constituent des plateformes de concertation territoriale qui agissent à l échelle de leurs territoires respectifs. Elles ont vocation à fédérer les acteurs de l emploi, les acteurs de la formation et les acteurs économiques autour de la mise en œuvre de plans d actions communs susceptibles de répondre aux problématiques emplois, compétences et ressources humaines perçues collectivement sur le territoire. Le Comité de Bassin d Emploi Lille Métropole est une association de développement local dont l'objectif est de maintenir et développer l'emploi sur l'arrondissement de Lille. Pour garantir la pertinence des plans d actions développés, les Maisons De l Emploi et le Comité de Bassin d Emploi se sont dotés de «Fonctions Observatoire». Elles visent à réunir, à consolider, à interpréter et à partager l ensemble des données quantitatives et qualitatives nécessaires aux travaux et projets territoriaux menés dans le champ de l emploi, de l insertion, de la formation et des ressources humaines. Objectifs de l étude Cette étude s inscrit dans une volonté, partagée par les partenaires au sein de l Observatoire Partenarial de l Economie de Lille Métropole et notamment de son atelier Accès au Marché du Travail, de renforcer les observations portant sur les besoins des demandeurs d emploi et sur les mesures emploi, formation et insertion. Elle a pour objectif d identifier des enjeux et des axes de travail locaux par la caractérisation, d une part, des difficultés d accès à l emploi rencontrées par les publics prioritaires en termes de freins à l emploi et de besoins en formation perçus au regard de leurs projets professionnels, et d autre part, des spécificités des différents publics et territoires analysés. Elle vise ainsi à alimenter les réflexions des différents acteurs, instances et groupes de travail œuvrant à l insertion, à l orientation, à la formation ou au retour à l emploi des demandeurs d emploi fragilisés des territoires Maisons De l Emploi concernés. Les enjeux généraux perçus à travers ce document ont vocation à être approfondis et opérationnalisés par les acteurs de terrain en vue d initier ou de développer des actions susceptibles de répondre aux difficultés du public. Territoires et partenaires associés Cette étude a été mise en œuvre sur les 5 territoires volontaires couverts par les Maisons De l Emploi Pévèle Mélantois Carembault, Métropole Nord-Ouest, Val de Marque, Roubaisis et Villeneuve d Ascq - Mons en Baroeul. Les observatoires des Maisons De l Emploi concernées et du CBE Lille Métropole ont mis en œuvre l ingénierie nécessaire à sa réalisation. Ils tiennent à remercier tous les acteurs locaux de l emploi volontaires qui ont accepté de s associer à la collecte des données et/ou à l interprétation des résultats via leurs directions, chargés de missions et conseillers socio-professionnels. Les partenaires mobilisés par territoire sont détaillés dans le tableau ci-dessous. Territoire Pévèle Mélantois Carembault 44 communes ; hab demandeurs d emploi Métropole Nord-Ouest 10 communes ; hab demandeurs d emploi Roubaisis 4 communes ; hab demandeurs d emploi Val de Marque 7 communes ; hab demandeurs d emploi Villeneuve d Ascq Mons en B. 11 communes ; hab demandeurs d emploi Acteurs locaux de l emploi impliqués CCAS de Ronchin et de Lesquin ; Mission Locale PMC ; Office Intercommunal ; PLEPS Lille Est ; PLEPS Lille Ouest ; PLIE SEM ; Pôle emploi de Lille Postes Fluvial ; Pôle emploi de Seclin ; Pôle Interm Aide ; R.G.P. de Seclin, de Ronchin et d Ostricourt PLIE Métropole Nord-Ouest ; Mission Locale Métropole Nord-Ouest ; Espace CyberBase Emploi de la MDE Métropole Nord-Ouest PLIE de Roubaix-Lys ; Mission Locale de Roubaix ; Mission Locale de Wattrelos ; Mairie de Lys-lez-Lannoy Mission Locale du Val de Marque ; PLIE du Val de Marque ; CCAS de Hem ; CCAS de Wasquehal ; AISE Hem PLIE de Villeneuve d Ascq Mons en Baroeul ; Mission Locale Métropole Est ; Pôle Emploi de Lille Hellemmes 4

5 Méthode et précautions méthodologiques Méthode d étude L étude, menée entre octobre 2011 et mars 2012, a pris la forme d une enquête. Elle a consisté en la consolidation de études de cas de demandeurs d emploi accompagnés par les acteurs de l emploi des territoires Maisons De l Emploi de l arrondissement de Lille volontaires (Pévèle Mélantois Carembault, Métropole Nord-Ouest, Val de Marque, Roubaisis et Villeneuve d Ascq - Mons en Baroeul). Un questionnaire a permis aux acteurs de remonter les situations individuelles des publics jeunes, allocataires du RSA et seniors en termes de projets professionnels, de besoins en formation et de freins à l emploi rencontrés (voir la définition des notions en page 7 et le questionnaire utilisé en annexe). Tous les acteurs de l emploi (conseillers, responsables ) partenaires du projet avaient la responsabilité de sélectionner aléatoirement un nombre de demandeurs d emploi accompagnés sur la base d un échantillonnage préalablement fixé. Pour chaque personne tirée au sort, un questionnaire a été complété en dehors de la présence du demandeur d emploi concerné puis anonymisé avant d être transmis aux Maisons de l Emploi. Ces dernières ont réalisé la consolidation et le traitement des données réunies. Des acteurs locaux de l emploi ont été associés à l interprétation des résultats. Construction et structure de l échantillon L échantillon de l enquête est composé de demandeurs d emploi résidant dans les cinq territoires couverts par l étude. En vue d obtenir des résultats représentatifs des populations locales de demandeurs d emploi, le volume de questionnaires récoltés par chaque Maison De l Emploi est proportionnel aux poids relatifs de leurs territoires respectifs en termes de demandeurs d emploi. De même, la répartition des trois types de publics (Jeunes hors RSA, Allocataires du RSA et Seniors hors RSA) est proportionnelle à leurs poids parmi les demandeurs d emploi inscrits à Pôle emploi. Publications Cette publication partagée propose une analyse globale de toutes les données issues de tous les questionnaires remplis dans les cinq territoires concernés. Elle se décline en trois livrets autonomes qui permettent au lecteur d appréhender rapidement ses résultats sous trois angles clés : l analyse des besoins en formation perçus auprès du public (livret n 1) ; l analyse des freins périphériques à l emploi perçus auprès du public (livret n 2) ; l analyse des spécificités de chacune des trois catégories de publics étudiées en termes de besoins en formation et de freins à l emploi (ce livret n 3). Il s agit d une réalisation commune aux cinq Maisons De l Emploi partenaires. En complément de ces travaux, chacune des cinq Maisons De l Emploi propose, via une publication locale dédiée, une analyse des questionnaires complétés sur leur propre territoire. Le rapprochement de ces cinq productions avec la présente étude inter-maisons De l Emploi permet d identifier les spécificités de chaque territoire par rapport à la moyenne globale. Précautions méthodologiques Subjectivité des analyses : Dans le cadre de l enquête, les études de cas de demandeurs d emploi ont été réalisées en dehors de la présence de ces derniers, à partir de l expertise des conseillers socio-professionnels et de la consultation des dossiers individuels du public. Il s agira d être attentif au fait que les résultats proposés reflètent uniquement la perception des acteurs de l emploi associés au projet vis-à-vis de la situation des personnes accompagnées. Analyse des spécificités : Les raisonnements utilisés dans ce document sont basés sur les notions de spécificité et de surreprésentation des populations auprès desquelles un besoin ou un frein donné a été perçu. On estime que, si un public particulier est surreprésenté au sein de la population concernée par un frein ou un besoin donné par rapport à son poids dans l échantillon initial, ces derniers concerneront plus spécifiquement ce public particulier. La partie «Définition des termes utilisés dans l étude» de cette publication précise la structuration de l échantillon initial de l enquête. Généralisation des résultats et marges d erreurs : L échantillon de demandeurs d emploi construit dans le cadre de l enquête a été redressé statistiquement pour être représentatif de la population étudiée. Néanmoins, la généralisation des études de cas réalisées à l ensemble des demandeurs d emploi inscrits dans les cinq territoires concernés nécessite de tenir compte d un certain nombre de marges d erreurs dans la lecture des chiffres produits. Il faudra être vigilant à ne voir dans ces éléments que les grandes tendances de la réalité territoriale. De même, il est conseillé de n interpréter que les écarts importants constatés au sein des différentes variables. 5

6 Définition des termes utilisés dans l étude Définition des typologies de public Le public observé dans le cadre de cette étude a été divisé en trois typologies pour répondre aux attentes des territoires : Répartition des typologies de public dans l échantillon «Jeunes hors RSA», c'est-à-dire les demandeurs d emploi ayant moins de 26 ans et n étant pas allocataires du RSA Seniors hors RSA (27%) Jeunes hors RSA (31%) «Allocataires du RSA», c'est-à-dire les demandeurs d emploi allocataires du Revenu de Solidarité Active, quels que soient leur âge ou leur parcours d accompagnement (PPAE ou CER) «Seniors hors RSA», c'est-à-dire les demandeurs d emploi ayant 45 ans ou plus et n étant pas allocataires du RSA RSA (43%) Définition des niveaux de formation Les niveaux de formation des publics observés ont été classés en quatre catégories regroupant les classifications habituelles : Aucun diplôme, c'est-à-dire les demandeurs d emploi ayant un niveau scolaire inférieur au BEP, CAP ou équivalent (VI ou Vbis) Bac (12%) Répartition des niveaux de formation dans l échantillon Supérieur au bac (7%) Inférieur au bac, c'est-à-dire les demandeurs d emploi possédant un niveau de formation équivalent au BEP ou CAP (V) Aucun diplôme (50%) Bac, c est-à-dire les demandeurs d emploi ayant un niveau de formation équivalent au baccalauréat général ou technique (IV) Supérieur au bac, c est-à-dire les demandeurs d emploi ayant obtenu un diplôme équivalent au BTS, DUT, Master (III, II ou I) Inférieur au bac (31%) Définition des durées de chômage La notion de durée de chômage utilisée dans l étude est différente de celle de durée d inscription à Pôle emploi : Elle renvoie à la durée pendant laquelle le public n a pas occupé d activité professionnelle stable La durée de chômage d une personne est mesurée indépendamment de sa situation auprès de Pôle emploi 2 ans et plus (48%) Répartition des durées de chômage dans l échantillon Moins d 1 an (28%) Les courtes périodes d emploi précaire, de contrat aidé ou d alternance ne forment pas une activité professionnelle stable 1 à 2 ans (24%) 6

7 Définition des notions utilisées dans l étude Définition des besoins en formation Suite à une consultation préalable réalisée auprès des acteurs locaux de l emploi, les besoins en formation perçus par les conseillers socio-professionnels dans le cadre de l étude ont été définis autour de cinq catégories : Besoin en Maîtrise des Savoirs de Base (MSB), Français Langue Etrangère (FLE), illettrisme : le demandeur d emploi a besoin de progresser en lecture, écriture et calcul pour avancer dans son parcours professionnel. Besoin en Module professionnel : pour atteindre son objectif professionnel, le demandeur d emploi a besoin de suivre une formation technique non diplômante, d obtenir une habilitation, de passer un permis de type CACES Besoin en Formation qualifiante : pour atteindre son objectif professionnel, le demandeur d emploi a besoin de valider un cursus de formation conduisant à un titre professionnel ou à un diplôme. Aucun besoin en formation : Le conseiller socio-professionnel estime que le demandeur d emploi n a pas besoin d entrer dans une formation quelconque pour avancer dans son parcours professionnel. Définition des freins périphériques à l emploi Suite à une consultation préalable réalisée auprès des acteurs locaux de l emploi, 28 types de freins périphériques à l emploi susceptibles d être rencontrés par le public ont été définis. Ils ont été regroupés en 8 grandes familles : 1. Adaptation à l entreprise : Difficulté avec la hiérarchie : Respect des consignes, attitude vis-à-vis des responsables Difficulté à être à l heure : Ponctualité, articulation vie personnelle et professionnelle Difficulté à s intégrer en équipe : Interaction avec les collègues, sociabilité, respect des tâches Difficulté à intégrer les autres savoir-être... : Codes vestimentaires, hygiène, codes moraux 2. Repérage sur le marché du travail : Difficulté à choisir un projet professionnel : Orientation, représentation des métiers, deuil de l activité Difficulté à valoriser ses compétences : Technique de recherche d emploi, technique d entretien Manque d autonomie dans les démarches : Gestion des démarches, des documents, des rendez vous Découragement /démobilisation / confiance : Gestion d échecs successifs, envie de retrouver un emploi 3. Mobilité : Incapacité à obtenir le permis : Difficultés cognitives indépendantes des freins financiers. Pas de véhicule personnel utilisable : Absence de permis, de véhicule, d assurance, d essence Réseau de transport inadapté : Circuits et/ou horaires des transports en commun inadaptés Frein financier d accès au réseau : Manque de ressources pour l achat de tickets de trains, de bus Réticences sociales ou psychologiques : Veut travailler dans le quartier, la famille s oppose à la mobilité 4. Logement : Pas de logement : Sans Domicile Fixe, dort dans la rue Logement provisoire : Foyer, hébergement chez des amis, hôtel Risque de perte de logement : Bail arrivant à terme, risque d expulsion Logement inadapté / insalubre : Logement trop petit, trop grand, qui n est plus aux normes 5. Difficultés financières : Aucun revenu : Aucun revenu salarial ou social n est perçu par le ménage. Revenu insuffisant : Revenus insuffisants pour la vie du ménage ou l accès à l emploi. Surendettement : Situation de surendettement avec ou sans dossier en cours. 6. Garde d enfants : Offre de services insuffisante : Aucune crèche disponible, assistantes maternelles trop éloignées Frein financier : L offre de garde d enfants est pertinente mais inaccessible financièrement. Difficulté d organisation familiale : Refus de la garde d enfants, difficulté de gestion du planning quotidien 7. Difficultés administratives : Absence de couverture sociale : Pas d inscription à la CMU Absence d autorisation de travail : Etranger en situation irrégulière de résidence ou de travail. Personne sous main de justice : En attente de décision ou d application de peine judiciaire. 8. Santé : Difficulté d ordre physique : Incapacité physique au regard du métier recherché Difficulté d ordre psychologique : Maladie psychiatrique, déficience intellectuelle, addiction 7

8 Synthèse et enjeux Les données de l étude permettent d appréhender les champs prioritaires à aborder, à développer ou à approfondir pour travailler au retour à l emploi des demandeurs d emploi fragilisés ayant fait l objet de l enquête. Si un certain nombre de besoins et de problématiques apparaît commun aux trois catégories de public analysées dans le cadre des travaux menés, les Jeunes hors RSA, les Allocataires du RSA et les Seniors hors RSA se distinguent par des enjeux spécifiques. Des enjeux particuliers liés à la montée en compétences L étude des besoins en formation perçus par les conseillers socio-professionnels auprès des Jeunes hors RSA, des Allocataires du RSA et des Seniors hors RSA révèle des enjeux particuliers à chacune de ces catégories de public. La population Jeune hors RSA est celle pour laquelle un besoin en formation est le plus souvent perçu par les conseillers, notamment en matière de Formation qualifiante et, dans une moindre mesure, en Contrat de professionnalisation. Alors que ces besoins en formation apparaissent très majoritairement reconnus comme des étapes indispensables à l accès à l emploi, les résultats de l enquête mettent en exergue un enjeu lié aux faibles proportions de ces besoins bénéficiant de solutions en cours de mise en œuvre. Ce constat questionne et incite à une réflexion plus poussée sur ses causes et motifs. La nature des projets professionnels exprimés par ce public, notamment quand des besoins en Formation qualifiante ou en Contrat de professionnalisation sont perçus, illustre l intérêt de travailler au développement, à l accessibilité ou à l attractivité des ressources de formation en direction des familles de métiers de la banque/assurance/immobilier, de la santé, du commerce/métiers de bouche et de l hôtellerie/restauration/loisirs. Pour le public Allocataires du RSA, les principaux besoins en formation détectés par les conseillers socio-professionnels portent sur la Formation qualifiante et les problématiques de MSB, FLE, illettrisme. Les enjeux relatifs à la mise en œuvre de réponses aux besoins en formation perçus sont identiques à ceux évoqués précédemment, y comprit en matière de MSB, FLE, illettrisme alors que la population des Allocataires du RSA est celle qui reconnaît et accepte le plus ses besoins dans ce domaine. L offre de services qui paraît la plus intéressante à accompagner pour le public Allocataire du RSA en matière de Formation qualifiante porte sur les familles de métiers de la santé, des services aux personnes et aux collectivités, de la banque/assurance/immobilier et de l installation/maintenance. Pour les Seniors hors RSA, les besoins en formation perçus par les conseillers correspondent, dans près de la moitié des cas, à des besoins en Formation qualifiante et en Module professionnel. A l inverse, les besoins en Contrat de professionnalisation sont pratiquement inexistants. L enquête illustre ici un enjeu similaire à celui constaté auprès des Jeunes hors RSA concernant la mise en œuvre de réponses aux besoins en formation, y comprit dans le champ des besoins en Module professionnel. Du point de vue des métiers, l offre de services en Formation qualifiante qui paraît la plus intéressante à encourager porte sur les domaines professionnels du commerce/métiers de bouche et de la santé. Dans le champ des besoins en Module professionnel, il semble pertinent de travailler vers les métiers de l industrie et du transport/logistique. Des enjeux communs liés à la levée des freins périphériques à l emploi Les résultats de l enquête illustrent une certaine homogénéité dans la hiérarchie des freins périphériques à l emploi perçus auprès des différentes typologies de demandeur d emploi étudiées. Le fait que les Jeunes hors RSA, les Allocataires du RSA et les Seniors hors RSA rencontrent systématiquement 2 à 4 freins à l emploi et soient d abord concernés par des problématiques de Repérage sur le marché du travail puis, par ordre d importance, de Difficultés financières, de Mobilité et d Adaptation à l entreprise incite à orienter les réflexions vers une approche transversale des différentes catégories de population. En écartant la question des Difficultés financières qui semble inhérente à la situation des demandeurs d emploi fragilisés étudiés, la famille de freins liée au Repérage sur le marché du travail constitue de loin la problématique la plus souvent perçue quelle que soit la catégorie de population abordée. Ce constat est renforcé par le fait que les questions de manque de confiance en soi, de difficulté à valoriser ses compétences et de manque d autonomie dans les démarches arrivent toujours en tête des freins à l emploi détaillés perçus par les conseillers auprès des Jeunes hors RSA, des Allocataires du RSA et des Seniors hors RSA. 8

9 Cette prééminence des freins liés au Repérage sur le marché du travail illustre l intérêt de développer en direction de toutes les catégories de public, outre les actions de définition de projet professionnel et de technique de recherche d emploi, les projets liés, d une part, au développement personnel des demandeurs d emploi, et d autre part, à l accompagnements de type coaching/tutorat individuel ou collectif. Dans le même ordre d idée, si les freins liés à la Mobilité sont proportionnellement plus souvent perçus auprès de la population Jeune hors RSA, ils touchent l ensemble des typologies de public à un niveau suffisamment important pour encourager les acteurs de l emploi à développer une dynamique globale sur ces questions. Par ailleurs, même si les proportions de demandeurs d emploi concernés sont moindres, l étude permet de constater le caractère transversal à toutes les catégories de public des difficultés liées à l Adaptation à l entreprise. Cette famille de freins est perçue dans des proportions similaires auprès des Jeunes hors RSA, des Allocataires du RSA et des Seniors hors RSA. Au delà de ces quatre premières grandes familles de freins à l emploi, chaque catégorie de demandeur d emploi étudiée se caractérise néanmoins par des freins périphériques spécifiques. Les Seniors hors RSA se distinguent par la part importante des personnes concernées par des freins liés à la Santé, notamment d ordre physique. Cette proportion, qui est même supérieure à la proportion de Seniors hors RSA concernés par les questions d Adaptation à l entreprise, met en exergue les enjeux de développement d actions liées à la reconnaissance de compétences transversales et transférables susceptibles de faciliter les reconversions professionnelles. De leurs côtés, si les Allocataires du RSA partagent avec les Jeunes hors RSA le fait d être particulièrement concernés par les questions liées au Logement, cette catégorie de public apparaît spécifiquement concernée par des difficultés de Garde d enfants. Ces deux derniers freins périphériques à l emploi interrogent les leviers disponibles pour accompagner les populations concernées dans la résolution de difficultés relevant de «l économie familiale». Affiner la réflexion en fonction des spécificités des cinq territoires Particularités pour Métropole Nord-Ouest La part des Jeunes hors RSA et des Allocataires du RSA qui rencontrent plus de 5 freins est plus importante. Les acteurs perçoivent moins de besoins en formation et de freins à l emploi auprès des Seniors hors RSA. Les Allocataires du RSA ont plus de freins de Santé, de Garde d enfants et de Logement, d une part, et de besoins en Module professionnel ou MSB, FLE, illettrisme, d autre part. Particularités pour le Roubaisis Le public Allocataire du RSA est celui auprès duquel les conseillers ont perçu le plus de besoins de formation. Les Jeunes hors RSA et les Seniors hors RSA sont plus nombreux à cumuler 5 freins et plus. Ces derniers sont aussi les plus nombreux à n avoir aucun frein. Particularités pour le Pévèle Mélantois Carembault Les Jeunes hors RSA et les Seniors hors RSA sont relativement plus impactés par toutes les familles de freins. La part des Seniors hors RSA et des Allocataires du RSA ayant un besoin en Formation qualifiante est plus faible. Les Allocataires du RSA sont plus spécifiquement concernés par les freins de Santé, de Mobilité, de Garde d enfants et de Difficultés administratives. Particularités pour Val de Marque Les Seniors hors RSA ont des besoins en Formation qualifiante plus importants. Les Allocataires du RSA sont proportionnellement plus souvent confrontés à un seul frein périphérique. Particularités pour Villeneuve d Ascq- Mons en Baroeul Les besoins en MSB, FLE, illettrisme sont aussi surreprésentés au sein du public Jeunes hors RSA. La part très importante de Seniors hors RSA ayant des Difficultés financières occulte les autres freins de ce public. Toutes les familles de freins, hors Santé et Difficultés administratives, touchent plus fortement les Allocataires du RSA. Ils ont cependant moins de besoins en formation. 9

10 Public Jeune non allocataire du RSA Analyse des besoins en formation perçus Les conseillers identifient des besoins en Formation qualifiante et en Contrat de professionnalisation auprès de 55% du public Jeune hors RSA (respectivement 41% et 14%). Ces besoins sont surreprésentés chez les Jeunes hors RSA par rapport à l ensemble du public (+16 points). Besoins en formation perçus 25% du public Jeune hors RSA n a aucun besoin en formation particulier. Cette absence de besoin chez les Jeunes hors RSA est sous-représentée par rapport à l ensemble des publics enquêtés (- 14 points). Les besoins en Module professionnel ou en MSB, FLE, illettrisme apparaissent minoritaires chez ce public. Statuts des besoins en formation perçus Tous les besoins en formation détectés auprès du public Jeune hors RSA sont considérés comme indispensables à l accès à l emploi (entre 83% et 95% des besoins en formation perçus). Le taux de reconnaissance du besoin par le public est variable selon le type de formation : de 52% pour les besoins en MSB, FLE, illettrisme à 80% pour ceux en Contrat de professionnalisation. En moyenne, 6 besoins en formation sur 10 détectés bénéficient d une solution en cours de mise en œuvre. Projets professionnels et besoins en formation perçus L existence d un besoin en formation est variable selon le projet professionnel du public. Selon les conseillers, 48% des Jeunes hors RSA ayant un projet professionnel dans les métiers de l industrie n ont aucun besoin en formation alors qu ils ne sont que 14% quand ils s orientent vers la banque/assurance/immobilier et 17% vers les métiers du transport/logistique. La nature du besoin en formation évolue elle aussi selon le projet professionnel. Des besoins en Formation qualifiante ou en Contrat de professionnalisation sont plus souvent perçus quand le public se tourne vers les métiers de la santé, de la banque/assurance/immobilier, du commerce /métiers de bouche et de l hôtellerie /restauration/loisirs. Les besoins en Module professionnel apparaissent liés aux métiers du transport/logistique. 10

11 Analyse des freins périphériques à l emploi perçus Nombre de familles de freins à l emploi rencontrées par personne Selon les conseillers, 67% du public Jeune hors RSA cumule de 2 à 4 freins périphériques à l emploi, 5% n est concerné par aucun frein et 16% cumule plus de 5 freins périphériques à l emploi. Ces tendances constatées auprès des Jeunes hors RSA correspondent à celles perçues auprès de l ensemble du public enquêté. Familles de freins à l emploi rencontrées Les deux principales familles de freins perçues auprès du public Jeune hors RSA correspondent aux Difficultés financières (détectées chez 77% du public Jeune hors RSA de l enquête) et aux difficultés de Repérage sur le marché du travail (74%). Les Difficultés financières, les questions de Mobilité et les problématiques de Logement sont surreprésentées chez les Jeunes hors RSA par rapport à leurs poids dans l ensemble du public (+4 points minimum). A l inverse, les difficultés de Garde d enfants et de Santé sont sous-représentées au sein du public Jeune hors RSA par rapport à l ensemble du public étudié (respectivement -10 points et -11 points). 10 principaux freins à l emploi détaillés rencontrés L absence de revenu est le 1 er frein périphérique à l emploi perçu par les conseillers auprès des Jeunes hors RSA (56% de ce public rencontre cette difficulté). Ensuite, les difficultés à valoriser les compétences, le découragement, le manque d autonomie dans les démarches et l absence de véhicule personnel utilisable concernent chacune plus de 30% du public Jeune hors RSA enquêté. Enfin, près du quart des Jeunes hors RSA apparaît touché par des difficultés à choisir un projet professionnel. 11

12 Public Allocataire du RSA Analyse des besoins en formation perçus 32% du public Allocataire du RSA a un besoin détecté en Formation qualifiante, 14% en MSB, FLE, illettrisme et 11% en Module professionnel. Les besoins en Contrat de professionnalisation perçus chez ce public sont quasi nuls. Besoins en formation perçus Les besoins en MSB, FLE, illettrisme sont surreprésentés parmi les Allocataires du RSA. La part des personnes concernées est supérieure de 2 points à celle constatée parmi l ensemble du public de l enquête. Les conseillers n identifient aucun besoin en formation particulier auprès de 42% du public Allocataire du RSA. Cette proportion est supérieure de 3 points à celle constatée dans l ensemble du public de l enquête. Statuts des besoins en formation perçus Hormis le Contrat de professionnalisation, tous les besoins en formation détectés auprès des Allocataires du RSA sont considérés comme indispensables à l accès à l emploi (entre 66% et 94% des besoins en formation perçus). Le taux de reconnaissance du besoin en formation par le public est variable selon le type de formation : de 65% pour les besoins en MSB, FLE, illettrisme à 86% pour ceux en Module professionnel. En moyenne, un peu moins de 6 besoins en formation sur 10 détectés bénéficient d une solution en cours de mise en œuvre. Projets professionnels et besoins en formation perçus L existence d un besoin en formation est variable selon le projet professionnel du public. Selon les conseillers, 65% des Allocataires du RSA ayant un projet professionnel dans les métiers du support à l entreprise n ont aucun besoin en formation alors qu ils ne sont que 19% quand ils s orientent vers les métiers de la santé et 8% vers les métiers de l industrie. La nature du besoin en formation évolue elle aussi selon le projet professionnel. Des besoins en Formation qualifiante sont plus souvent perçus quand le public se tourne vers les métiers de la banque/assurance /immobilier, de l installation/maintenance, de la santé et des services aux personnes et aux collectivités. Les besoins en Module professionnel apparaissent liés aux métiers de l industrie. 12

13 Analyse des freins périphériques à l emploi perçus Nombre de familles de freins à l emploi rencontrées par personne Selon les conseillers, 66% du public Allocataire du RSA cumule de 2 à 4 freins périphériques à l emploi, 3% n est concerné par aucun frein et 15% cumule plus de 5 freins périphériques à l emploi. Ces tendances constatées auprès des Allocataires du RSA correspondent à celles perçues auprès de l ensemble du public enquêté. Familles de freins à l emploi rencontrées Les deux principales familles de freins perçues auprès du public Allocataire du RSA correspondent aux difficultés de Repérage sur le marché du travail (détectées chez 73% du public Allocataire du RSA) et aux Difficultés financières (67%). Globalement, la quasi-totalité des familles de freins touche autant les Allocataires du RSA que l ensemble de la population de l enquête. Seuls les freins liés au Logement et à la Garde d enfants semblent concerner plus spécifiquement ce public. Les proportions d Allocataires du RSA concernés par ces deux familles de freins sont supérieures de respectivement 3 points et 11 points à celles constatées auprès de l ensemble du public enquêté. 10 principaux freins à l emploi détaillés rencontrés L accès à un revenu insuffisant est le 1 er frein périphérique à l emploi perçu par les conseillers auprès des Allocataires du RSA (58% de ce public rencontre cette difficulté). Ensuite, les difficultés de découragement, de manque d autonomie dans les démarches et de valorisation des compétences concernent chacune plus de 35% du public Allocataire du RSA enquêté. Enfin, près du quart des Allocataires du RSA apparaît touché par des difficultés à choisir un projet professionnel ou à disposer d un véhicule personnel utilisable. 13

14 Public Senior non allocataire du RSA Analyse des besoins en formation perçus 28% du public Senior hors RSA a un besoin détecté en Formation qualifiante, 13% en Module professionnel et 9% en MSB, FLE, illettrisme. Les besoins en Contrat de professionnalisation perçus chez ce public sont quasi nuls. Besoins en formation perçus Les besoins en Module professionnel sont surreprésentés parmi les Seniors hors RSA. La part des personnes concernées est supérieure de 2 points à celle constatée parmi l ensemble du public de l enquête. Les conseillers n identifient aucun besoin en formation particulier auprès de 50% du public Senior hors RSA. Cette proportion est supérieure de 11 points à celle constatée dans l ensemble du public de l enquête. Statuts des besoins en formation perçus Hors Contrat de professionnalisation, tous les besoins en formation détectés auprès du public Senior hors RSA sont considérés comme indispensables à l accès à l emploi (entre 73% et 87% des besoins en formation perçus). Le taux de reconnaissance du besoin en formation par le public est variable selon le type de formation : de 50% pour les besoins en MSB, FLE, illettrisme à 79% pour ceux en Module professionnel. En moyenne, 5 besoins en formation sur 10 détectés bénéficient d une solution en cours de mise en œuvre. Projets professionnels et besoins en formation perçus L existence d un besoin en formation est variable selon le projet professionnel du public. Selon les conseillers, les Seniors hors RSA n ont aucun besoin en formation quand ils s orientent vers les métiers de la banque/assurance/immobilier et de la communication/multimédia. A l inverse, ils ne sont que 24% à n avoir aucun besoin en formation quand ils se tournent vers les métiers du commerce/métiers de bouche. La nature du besoin en formation évolue elle aussi selon le projet professionnel. Des besoins en Formation qualifiante sont plus souvent perçus quand le public se tourne vers les métiers du commerce/métiers de bouche et de la santé. Les besoins en Module professionnel sont liés aux métiers de l industrie et du transport/logistique. 14

15 Analyse des freins périphériques à l emploi perçus Nombre de familles de freins à l emploi rencontrées par personne Selon les conseillers, 68% du public Senior hors RSA cumule de 2 à 4 freins périphériques à l emploi, 5% n est concerné par aucun frein et 10% cumule plus de 5 freins périphériques à l emploi. Ces tendances constatées auprès des Seniors hors RSA correspondent à celles perçues auprès de l ensemble du public enquêté. Familles de freins à l emploi rencontrées Les deux principales familles de freins perçues auprès du public Senior hors RSA correspondent aux difficultés de Repérage sur le marché du travail (détectées chez 77% du public Senior hors RSA) et aux Difficultés financières (54%). Cependant, la quasi-totalité des familles de freins touche proportionnellement moins les Seniors hors RSA que l ensemble de la population de l enquête. Seuls les freins liés à la Santé touchent plus spécifiquement ce public. La proportion des Seniors hors RSA concernés par cette famille de freins est supérieure de 14 points à celle constatée auprès de l ensemble du public enquêté. 10 principaux freins à l emploi détaillés rencontrés L accès à un revenu insuffisant est le 1 er frein périphérique à l emploi perçu par les conseillers auprès des Seniors hors RSA (45% de ce public rencontre cette difficulté). Ensuite, les difficultés liées à la valorisation des compétences, au découragement, aux problématiques d ordre physique et au manque d autonomie dans les démarches concernent chacune plus de 30% du public Senior hors RSA. Enfin, près du quart des Seniors hors RSA apparaît touché par des difficultés à choisir un projet professionnel ou à disposer d un véhicule personnel utilisable. 15

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18 Questionnaire utilisé dans le cadre de l étude MNO PMC RX VAMB VDM Enquête sur les besoins en formation et les freins à l emploi du public Formulaire de saisie de la situation d un demandeur d emploi Contact pour toute question liée à l enquête Formulaires à retourner complétés, à Identification du demandeur d emploi Age : Moins de 26 ans De 26 à 44 ans 45 ans et plus Allocataire du RSA : Oui Non Commune d habitation : Niveau de formation actuel : Inférieur au BEP/CAP Inférieur au Bac Bac Supérieur au bac (VI, V non validé) (V, IV non validé) (IV validé) (III, II, I) Durée de chômage (éventuellement entrecoupée de courtes périodes de travail CUI, Intérim ) Moins d 1 an De 1 à 2 ans Plus de 2 ans Parcours du demandeur d emploi Souhait métier / projet professionnel prioritairement validé à ce jour : (Un seul choix possible) Agriculture (jardinier, éleveur, maraîcher, vétérinaire ) Industrie (ingénieur, conducteur de ligne, soudeur ) Hôtellerie, Restauration, Loisirs (cuisinier, animateur, voyagiste, serveur ) Installation, Maintenance (mécanicien, chauffagiste, maintenance industrielle ) Services aux personnes et aux collectivités (nettoyage, gardiennage, formateur, aide à domicile ) Support à l entreprise (secrétaire, comptable, informatique, marketing ) Projet indéfini ou non validé Banque, Assurance, Immobilier (agent d accueil, conseiller, expert ) Commerce, Métiers de bouche (boucher, caissier, coiffeur, vendeur ) Bâtiment et Travaux Publics (architecte, grutier, peintre, maçon ) Communication, Multimédia (photographe, imprimeur, webmaster ) Santé (pharmacien, infirmier, aide soignant ) Transport, Logistique (conducteur de véhicule, magasinier ) Autre : précisez _ 18

19 Besoin en formation prioritaire à ce jour au regard du projet professionnel : (Un seul choix possible) Aucun besoin particulier en formation Maîtrise des Savoirs de Base, FLE, illettrisme Module professionnel (permis, habilitation, CACES ) Formation qualifiante (titre professionnel, diplôme ) Contrat de professionnalisation Précisez : _ Précisez : _ Précisez : _ Précisez : _ Statut du projet de formation au sein du parcours vers l emploi (si un besoin en formation existe) : (Un choix par ligne) La formation constitue une étape indispensable pour l accès à l emploi : Oui Non Le besoin en formation est validé / accepté / reconnu par la personne : Oui Non Une solution au besoin en formation est en cours de mise en œuvre : Oui Non Freins périphériques à l emploi devant être levés dans le cadre du parcours : (Plusieurs choix possibles) - Adaptation à l entreprise - Repérage sur le marché du travail Difficulté avec la hiérarchie Difficulté à choisir un projet professionnel Difficulté à être à l heure Difficulté à valoriser ses compétences Difficulté à s intégrer en équipe Manque d autonomie dans les démarches Difficulté à intégrer les autres Découragement /démobilisation/ savoir-être / codes de l entreprise confiance en soi / refus des propositions - Mobilité - Logement Incapacité à obtenir le permis Pas de logement Pas de véhicule personnel utilisable Logement provisoire Réseau de transport inadapté Frein financier d accès au réseau Réticences sociales ou psychologiques Risque de perte de logement Logement inadapté / insalubre - Difficultés financières - Garde d enfants Aucun revenu Offre de services insuffisante Revenu insuffisant Frein financier Surendettement Difficulté d organisation familiale - Difficultés administratives - Santé Absence de couverture sociale Difficulté d ordre physique Absence d autorisation de travail Difficulté d ordre psychologique Personne sous main de justice Autre : précisez _ 19

20 Retrouvez les trois livrets et leurs déclinaisons locales 20

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