"Livre Blanc" Pollens et ambroisie
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- Noël Vincent
- il y a 8 ans
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1 "Livre Blanc" Pollens et ambroisie Michel THIBAUDON (RNSA) Pour assurer la fécondation des organes femelles des fleurs, les anthères des fleurs mâles produisent des grains de pollen. Les grains, une fois reconnus par la fleur femelle, émettent un tube pollinique et transmettent aux organes femelles des glycoprotéines de fécondation; ce sont ces glycoprotéines des grains de pollen qui présentent un caractère allergisant. Pour que cette fécondation puisse se faire, certaines plantes utilisent les insectes (fécondation entémophile) et d'autres utilisent le vent (anémophilie). Dans ce dernier cas, la rencontre entre les grains de pollen et les organes femelles étant aléatoire, les fleurs mâles émettent d'énormes quantités de grains de pollen. Ce sont les grains de pollen de ces espèces à reproduction anémophile qui seront retrouvés dans l'air à de fortes concentrations; L'allergie au pollen ne concerne donc qu'un nombre limité d'espèces végétales, la plupart des fleurs d'ornementation, belles et odorantes, ne sont pas productrices de pollen allergisant. Les espèces, présentes en France, produisant les plus fortes quantités de pollen allergisant sont : - arbres : cyprès, aulne, noisetier, bouleau, frêne, peuplier, charme, chêne, hêtre, platane, olivier etc.. - herbes : graminées, plantain, pariétaire, armoise et ambroisies. Les pollens considérés comme les plus allergisants sont : - arbres : cyprès, bouleau. - herbes : graminées, ambroisies. Effets sur la santé : Ces pollens provoquent des phénomènes d'allergies touchant les voies respiratoires et la conjonctive oculaire. Seuls les allergiques, c'est à dire les personnes réagissant de façon spécifique sur le plan immunologique, subissent les assauts de ces grains leur provoquant : - des conjonctivites : sensation de démangeaison, larmoiements, rougeurs. - des rhinites : écoulement nasal. - des toux et des éternuements à répétition. 1
2 - des gênes respiratoires, accompagnées fréquemment de respiration sifflante et même de crise d'asthme. Plus rarement, il est constaté quelques phénomènes d'urticaire cutané. Par contre, ces symptômes, très visibles, s'accompagnent systématiquement d'insomnies et de grande fatigue, ayant des conséquences importantes sur les capacités intellectuelles et physiques des allergiques au pollen. Prévalence : La prévalence de l'allergie au pollen serait en France de près de 20% de la population, soit plus de 10 millions d'habitants. Plus des trois quart d'entre eux sont allergiques au pollen des graminées, la moitié aux principaux pollens d'arbres et dans certaines régions, comme la région lyonnaise, 10% de la population générale est allergique au pollen d'ambroisie. Le coût direct de chaque saison pollinique est de plusieurs centaines d'euro par allergique, sans compter les coûts liés aux arrêts de travail et aux déficiences passagères. Pour preuve un exemple de courbe de consommation médicamenteuse réalisée par l'urcam Rhône-Alpes (figure1) sur la seule région Rhône-Alpes. On constate un très important pic de consommation de médicaments anti-allergiques concomitant aux pics de pollen de graminées, et un deuxième pic au mois d'août, lors de la pollinisation des ambroisies sur cette région. Une étude réalisée en Suisse, comportement très proche de la France, a démontré que la prévalence de la rhinite allergique lié au pollen d'ambroisie est de 11,1% chez les adultes et 6,80% chez les enfants et l'asthme associé est de 6,80% chez les adultes et 9% chez les enfants. Méthode de mesure : La surveillance du contenu pollinique de l'air avec information sur le risque allergique associé est réalisé en France uniquement par le Réseau National de Surveillance Aérobiologique (RNSA). Le réseau dispose d'une soixantaine de capteurs de fond (par opposition aux capteurs de proximité), situés dans les principales agglomérations du territoire. Les critères d'implantation nationale dépendent des cartes botaniques, des cartes climatiques et des cartes de répartition de la population. Il est ainsi possible de tenir informés le Corps Médical, les autorités de Santé et les patients allergiques d'une grande partie du territoire sur le risque allergique d'exposition aux pollens à caractère allergisant. Ces capteurs fournissent des bandes impactées par les particules présentes dans l'air. Après une préparation simple, les analyses sont réalisées par microscopie optique. Les analystes, formés par le RNSA, procèdent à l'identification des particules biologiques 2
3 impactées. Grâce à des critères de dimensions, de forme, de présence d'apertures et d'ornementation, l'analyste est à même d'identifier la famille de l'espèce à l'origine du grain de pollen observé. La collecte des données qualitatives et quantitative est enregistrée dans une base de données spécifique. Le RNSA dispose ainsi des enregistrements bi-horaires des principaux taxons allergisants par ville. Ces données métrologiques complétées par des données cliniques et phénologiques, ainsi que par des prévisions météorologiques permettent d'établir des bulletins allergo-polliniques par ville définissant le risque allergique d'exposition sur le plan prévisionnel, par principaux pollens. Les informations sont diffusées à tous les acteurs concernés, et sont disponibles pour le Grand Public sur le site Internet : Utilité de l'information sur le risque allergique d'exposition aux pollens. Ces informations sont, en premier lieu, destinées au Corps Médical, et plus généralement aux professions de santé. En effet, les symptômes de la bronchite allergique sont très proches de ceux de la bronchite infectieuse. L'information doit permettre au médecin ou au pharmacien de penser à la possible origine allergique devant les symptômes et à percrire le traitement adapté, antiallergique ou antibiotique selon les cas. Les traitements antiallergiques doivent être pris uniquement pendant la période d'exposition. Le suivi des comptes pollinique et du risque allergique d'exposition associé permet au prescripteur et au patient une meilleure utilisation des traitements, en limitant le coût et les effets secondaires. Pour la plupart des allergies aux espèces végétales, contrairement aux allergies aux acariens, il n'est pas possible de mettre en place des prescriptions d'éviction. Il n'est en effet pas envisageable de limiter l'exposition aux principaux pollens d'arbres et aux pollens de graminées. Seules quelques mesures de proximité peuvent être prises en limitant les espèces d'arbres les plus allergisants dans les espaces verts gérés par les autorités publiques ou par les particuliers. Une exception à cette possibilité: l'ambroisie qui compose la deuxième partie de cet exposé. Cas particulier de l'ambroisie Écologie : L'ambroisie (ambrosia artemisiifolia) est une planta annuelle, monoïque (fleurs mâles et fleurs femelles sur le même pied) de la famille des asteraceae. Leur taille varie de 20 à 120 cm. L'ambroisie produit des graines environ 10 semaines après la floraison. L'ambroisie, plante invasive, se développe au fil des activités humaines : au long des routes et des chemins, sur les champs moissonnés, dans certaines prairies, dans certaines cultures (maïs, tournesol, 3
4 pois) dans les jardins et sur les terres rapportées (chantiers). L'ambroisie apprécie un sol chaud, sec et riche à PH neutre ou facilement acide. L'ambroisie produit des grains de pollen de microns, disposant d'ornementations en fines aiguilles sur toute sa surface. Chaque pied peut produire plusieurs centaines de millions de grains de pollen. La pollinisation de l'ambroisie, en France, s'étend de la première dizaine de jours du mois d'août jusqu'à la deuxième quinzaine du mois de septembre. La plante produit un pollen depuis le lever du soleil tout au long de la matinée pour atteindre un pic journalier entre 11h et 13h. (cf. figure 2 rythme nycthéméral de l'ambroisie). Les conditions météorologiques, température et humidité relatives n'ont que peu d'action sur la production de pollen d'ambroisie, seules les pluies abondantes et prolongées ont un impact significatif sur cette production et sur la dispersion des grains, ce qui est rare en cette saison de pollinisation. Répartition géographique de l'ambroisie : L'ambroisie artemisiifolia n'est pas une plante indigène, c'est une plante importée, certainement d'amérique du Nord, région où elle serait à l'origine de la moitié des cas de pollinoses. Les plus fortes régions d'infestation en France sont : le Nivernais, l'allier, la région Lyonnaise, la Vallée du Rhône d'ambérieu à Montélimar. Toutes les régions adjacentes à ces régions comportent de nombreux nids d'ambroisie, toutefois en quantités moindres. (Cf figure 3 Carte de l'ambroisie) En Europe, cette plante est particulièrement implantée en Italie du Nord, en Suisse, en Slovénie, Croatie, Autriche, Hongrie et Bulgarie. Les périodes de conflits en ex Yougoslavie ont permis à la plante de coloniser les champs non cultivés, ainsi que l'ensemble des terrains agricoles ou non, délaissés. Données polliniques : Le Réseau National de Surveillance Aéropollinique (RNSA) réalise la surveillance en continu de la concentration de pollen dans l'air, dont les pollens d'ambroisie, sur le territoire français, et en particulier sur la Région Rhône-Alpes. La pollinisation s'étend de début août à fin septembre, avec des pics réguliers de fin août à mi-septembre. (Cf figure 4 : courbe journalière 2005 Ambroisie Lyon Gerland) Cette pollinisation est à même de provoquer un risque allergique d'exposition aux pollens d'ambroisie pendant un certain nombre de jours, plus particulièrement en Rhône- Alpes, comme cela est présenté sur la carte de France en figure 5 : Carte du Risque Allergique
5 Si l'on observe l'évolution tant de la pollinisation, que celle du nombre de jours où le risque allergique d'exposition au pollen est élevé (Cf figure 6 : Courbe 1987/2005 ) depuis 1987 à Lyon, on constate une forte variabilité inter annuelle, mais surtout une tendance positive de cette pollinisation malgré les moyens mis en œuvre. Les études épidémiologiques menées par le CAREPS en liaison avec les autorités territoriales, ainsi que les études de consommation médicamenteuses sont tout à fait concordantes, tant sur le plan spatial que sur un plan temporel avec les comptes polliniques. Symptomatologie Comme la plupart des pollens, les pollens d'ambroisie provoquent, souvent simultanément, des conjonctivites dans 75% des cas, des rhinites dans 90%, des gênes respiratoires (toux essoufflement et asthme) dans 50% des cas. Ces symptômes s'accompagnent de fatigue et d'insomnie ainsi que, parfois, de complications infectieuses de type otites, sinusites ou bronchites. L'origine de l'affection n'est pas obligatoirement héréditaire, et peut survenir plus tard dans la vie que la plupart des allergies saisonnières. De plus, on retrouve des allergiques souffrant de pollinose à un âge plus avancé que pour les autres pollinoses. Diagnostic : Outre l'interrogatoire, la période de pollinisation spécifique mi-août miseptembre, est un élément facilitant du diagnostic d'une pollinose à l'ambroisie. En outre, les allergologues disposent d'extraits allergéniques performants pour tests cutanés et des réctifs pour dosage biologiques des immunoglobulines spécifiques ambroisie. Traitement Comme pour les autres pollens, le médecin peut utiliser soit des traitements symptomatiques de l'allergie (antihistaminiques, antiallergique ), soit des traitement curatifs comme la désensibilisation spécifique (voie orale ou voie injectable). Ces désensibilisations sont d'une efficacité correcte dans les cas de monosensibilisation. Il est clair que devant la lourdeur et l'incertitude de ces thérapeutiques, celles-ci doivent impérativement s'accompagner de mesures de prévention. Celles-ci comprenant plus particulièrement : - apprendre à reconnaître la plante pour l'éliminer ou alerter les autorités. - Prendre connaissance des périodes de pollinisation (
6 - Éviter le contact avec le pollen o en dormant si possible la fenêtre fermée. o en se lavant les cheveux avant de se coucher. o en changeant régulièrement les taies d'oreiller. o en n'étendant pas le linge dehors au soleil. o en réalisant les activités extérieures le plus tard possible dans la journée et à des périodes non venteuses. o en portant des lunettes de protection. o en roulant vitres fermées et filtre à pollen en bon état. Etc Lutte contre la dissémination de la plante - Traitements curatifs Il existe en France et en Europe des zones fortement infestées, et des zones limitrophes dont l'infestation peut être encore contrôlée. o Dans les zones fortement infestées, la plante est présente, la pollinisation et la grenaison sont abondantes. Seule une éradication continue sur le long terme pourra limiter à la fois la production et la dissémination des grains de pollen et limiter la reproduction de la plante par la grenaison. La législation locale mise en place doit être respectée, tant par les collectivités locales, les particuliers et les agriculteurs. La plante se trouvant dans les cultures, dans les champs en intercultures, sur les bords de route et de champs, sur les berges des rivières, sur les voies ferrées et sur les chantiers de construction, l'action efficace ne peut être que collective. L'arrachage fin juillet, reste la méthode la plus radicale. Cet arrachage peut être complété ou remplacé par des méthodes ou des herbages chimiques, ou par des méthodes de fauchage généralisées en 2 passages. Le premier passage ayant pour objet la coupe de la plante avant la floraison (limitation de la production de pollen), et le second début septembre avant la grenaison (limitation de la production de graines). o Dans les zones limitrophes Les méthodes d'éradication restent les mêmes, mais on peut, toutefois se contenter d'un seul passage en fauchage, arrachage début septembre pour stopper la grenaison. 6
7 - Traitements préventifs L'ambroisie étant une plante opportuniste, elle se développe plus particulièrement sur les terrains mis à nu : intercultures, chantiers, bords de route etc Pour ces raisons, un des meilleurs traitements préventifs consiste à assurer le couvert végétal. Tous les terrains, déblais, doivent être traités pour éviter la végétalisation de la plante. La lutte contre l'ambroisie en culture d'été est délicate, car l'ambroisie agit comme une adventrice très concurrentielle. L'utilisation des herbicides est possible, mais délicate. Certaines espèces cultivées, comme le tournesol étant de la même famille que l'ambroisie, l'utilisation des herbicides reste difficile et provoque bien souvent une baisse des rendements de production pouvant aller jusqu'à 70%. Les agriculteurs doivent utiliser des méthodes physiques et chimiques complémentaires comme le "désherbinage". Sur les zones non agricoles, le couvert et la surveillance pré-arrachages restent les deux méthodes obligatoires à mettre en pratique. CONCLUSION : La lutte contre l'ambroisie ne peut être qu'une action collective de la part des autorités territoriales, des médecins, des agriculteurs et des particuliers. Il s'agit d'obtenir un résultat probant parlant sur une allergie respiratoire invalidante, dont le coût est à prendre en considération par rapport aux dépenses liées à la lutte. Le Conseil supérieur d'hygiène Public de France a émis en décembre 2001 (annexe1), un avis recommandant la surveillance des pollens sur tout le territoire, et en particulier la surveillance des pollens d'ambroisie. En outre, l'action n 27 du Plan National Santé Environnement (PNSE) reprend la nécessité de garantir la pérennité de la surveillance des pollens et en particulier de ceux d'ambroisie (Cf. annexe 2) Ces recommandations sont reprises dans divers documents comme les PRQA (Plan régional Qualité de l'air), le plan Asthme. Tous les acteurs sont concernés. 7
8 Références bibliographiques à consulter : Ouvrages - D. VERVLOËT A. MAGNAN : Traité d'allergologie, Flammarion Médecine, Suisse C. DECHAMP H. MEON : Ambroisies polluants biologiques, ARPPAM, édition 2003 Articles : - P.TARAMARCAZ C. LAMBELET B. CLOT C. KEIMER C. HAUSEN : Ragweed (ambrosia) progression and its health risks : will Switzerland resist this invasion?, Swis Med Wkly 2005 ; 135 : M. LAAIDI K.LAAIDI J.P. BESANCENOT- M. THIBAUDON : Ragweed in France : an invasive plant and its allergenic pollen, Ann Allergy Asthma Immunology 2003; 91: M. THIBAUDON F. FINET C. LACHASSE : Ragweed in France and in the Rhône-Alpes region (Lyuon Bourgoin Grenoble Roussillon). Eur Ann Allergy Clin Immunol 2003; 35 : S. JÄGER : Ragweed sensitisation rates correlates with the amount of inhaled airborn pollen. A- 14 year study in Vienna, Austria. Aerobiologia 2000; 16: B. CLOT R. GEHRIG AG.PETERS D. SCHNEITER P. TERCIER M. THIBAUDON : Pollen d'ambroisie en Suisse : Production locale ou transport? Eur Ann Clin Immunol 2002; 34: N. DELABAYS C. LAMBELET D. JEANMONOD C. KEIMER B. CLOT : L'ambroisie à feuille d'armoise : une espèce à surveiller en Suisse. Revus Suisse Agric 2002; 34 : M. LAAIDI J.P. BESANCENOT- M. THIBAUDON : Two statistical approaches to forecasting the start and the duration of the pollen season of Ambrosia in the area of Lyon France. Int J Biometereol 2003; 48: L'ambroisie : une plante qui coûte des millions à la santé. BAG bulletin 2005; 30: CAREPS : Place de l'allergie à l'ambroisie parmi les pollinoses dans certains secteurs en Rhône- Alpes État de la situation en 2004; Rapport n 503 Juillet G. GAUVRIT A. LOMBARD B. CHAUVEL : Gestion de l'ambroisie à feuille d'armoise en intercluture. Phytoma La défense des végétaux; 580 mars B. CHAUVEL F. DESSAINT J.P. LONCHAMP J. GASQUEZ : Cinq élues et des candidates. PHYTOMA 6 La défense des végétaux, 578, Janvier F. DESSAINT B. CHAUVEL F. BRETAGNOLLE : L'ambroisie, chronique de l'extension d'un "polluant biologique" en France. Médecine/Sciences 2005; 21 :
9 Annexe 1 Conseil Supérieur d'hygiène Publique de France Séance du 18 décembre 2001 A V I S Concernant l'évaluation et la gestion du risqué Lié à la pollution pollinique : le cas de l'ambroisie Considérant que les données épidémiologiques tendent à montrer que 6 à 12% de la population d'une partie de la région Rhône-Alpes présentent des symptômes d'allergie aux pollens d'ambroisie ou Ambrosia artemisiifolia pendant la période de floraison, à savoir les mois d'août et septembre; Considérant que cette réaction allergique peut se manifester par divers symptômes, rhinite, conjonctivite, trachéite, urticaire, eczéma, et pour certains sujets par un asthme parfois très grave, la sinusite et l'otite étant des complications de la rhinite allergique. Considérant que l'ambroisie prospère dans les terrains dénudés, les terres rapportées (remblais), les sols peu ou mal entretenus : friches industrielles, lotissements en cours de construction, chantiers, bas-côtés, terrains vagues, voies de communications, jachères, mais aussi dans les jardins, dans certains types de culture et dans les chaumes. Considérant qu'elle se dissémine du fait de l'activité humaine en particulier par le transport de terres infestées (par camions ou trains), et que son pollen est dispersé par les vents sur de grandes distances. Considérant que l'ambroisie s'est particulièrement développée dans la région Rhône-Alpes et que les concentrations en pollens atteignent des seuil de risque allergique dans d'autres régions ou pays avoisinants (Provence, Côte d'azur, Auvergne, Suisse). Considérant les coûts en termes de santé publique tant sur le plan de la consommation pharmaceutique de l'absentéisme. Le Conseil Considère que ces données constituent des éléments suffisamment préoccupants pour justifier la mise en œuvre d'une politique de prévention sous l'autorité des préfets concernés coordonnant l'action des ministères chargés de la santé, de l'environnement, de l'agriculture et de l'équipement. Constate que les action entreprises depuis plusieurs années n'ont pas permis d'arrêter la prolifération de l'ambroisie. 9
10 Préconise donc qu'un plan intégré, avec des responsabilités désignées, des objectifs clairement fixés et une évaluation soit mis en œuvre, afin d'aboutir à un travail coordonné associant plus particulièrement les représentants des agriculteurs, les maîtres d'œuvre et entreprises de bâtiments et travaux publics, les responsables de l'entretien des bords de routes, de rivières, de voies de chemin de fer, ainsi que les collectivités locales. Souhaite que soient définis des indicateurs métrologiques et sanitaires permettant de mieux connaître les liens entre le taux de prévalence des allergies au pollen d'ambroisie et l'exposition à ces pollens. Demande que la surveillance des concentrations en pollens d'ambroisie soit étendue, et que soit évaluée la part de production locale et celle issue du transport par le vent, souhaite que soit réalisée une cartographie afin d'identifier avec précision les zones les plus touchées ainsi que celles ou l'ambroisie tend à se développer. Recommande que soit étudiée la faisabilité d'un réseau de surveillance sanitaire sur l'ensemble de la problématique "allergie aux pollens" avec une sous-rubrique "allergie à l'ambroisie". Demande qu'une information de la population sur les mesures à prendre pour se protéger et se traiter soit développée dans les zones affectées. Pense qu'il est nécessaire d'acquérir de nouvelles connaissances scientifiques sur la plante, en particulier sur ses besoins biologiques, son éventuelles diversité génétique et les facteurs responsables de extension. Propose que les grands mouvements de terre fassent l'objet de mesures préventives pour éviter l'infestation de nouvelles zones et que le contrôle des semences mises sur le marché soit renforcé. Et enfin, demande que soit élaborée une stratégie d'intervention à caractère générale sur l'ensemble de la problématique "pollens". Cet avis ne peut être diffusé que dans sa totalité sans omission ni ajout. 10
11 Annexe 2 : Actions PNSE Améliorer l'information sur la prévention de l'asthme et des allergies. Une campagne sera menée sur 5 ans par l'inpes à partir de 2005 pour informer le grand public sur les symptômes évocateurs d'asthme et d'allergies et sur leurs causes : allergènes, notamment pollens, moisissures, produits chimiques et sur les facteurs aggravants (tabagisme). Concernant les pollens allergisants, le Réseau National de Surveillance Aérobiologique sera pérennisé et renforcé afin d'établir les calendriers polliniques régionaux annuels et les risques allergiques associés. La présence simultanée de polluants et d'allergènes pouvant induire des effets synergiques, l'identification des diverses sources d'allergènes et de polluants au domicile des personnes affectées nécessite la création dans des associations ou des établissements de postes de conseillers en environnement intérieur. 11
12 Figure 1 : Courbe de consommation médicamenteuse (URCAM Rhône-Alpes) Médicaments anti-allergiques généraux en région Rhône-Alpes Nb de boîtes/1000 bénéficiaires Annecy Annonay Bourg Chambéry Grenoble Lyon Privas Roanne St Etienne Valence Vienne Villefranche semaines Figure 2 : Rythme nycthéméral de l'ambroisie Nb Nb grains/m3 de 9 Répartitions Bi-Horaires 2005 à Lyon (Gerland) h 3h 5h 7h 9h 11h 13h 15h 17h 19h 21h 23h 12
13 Figure 3 : Carte de France de l'ambroisie : Présence de la Plante. Figure 4 : Courbe journalière de la pollinisation de l'ambroisie Lyon Gerland 2005 Nbre grains/m3/jour LYON Seuil Risque Allergique 0 1-août 8-août 15-août 22-août 29-août 5-sept 13
14 Figure 5 : Carte de France du Risque Allergique , lié aux pollens d'ambroisie. X X Nb de jours où le risque allergique est supérieur ou égal à 3 pour 2004 Nb de jours où le risque allergique est supérieur ou égal à 3 pour 2005 De 0 à 5 jours où le risque allergique est supérieur ou égale à 3 De 5 à 10 jours où le risque allergique est supérieur ou égale à 3 De 10 à 20 jours où le risque allergique est supérieur ou égale à 3 Plus de 20 jours où le risque allergique est supérieur ou égale à 3 Figure 6 : Courbe d'évolution de l'ambroisie 1987/2005 Lyon Gerland gr/m3/an Evolution des ambroisies - Lyon (Gerland) de 1987 à 2005 gr/m3 jrs à RA>=3 Linéaire (gr/m3) Linéaire (jrs à RA>=3) Jrs à RA >=
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Bilan d activité 2013 de la surveillance des pollens en Poitou-Charentes
ATMO Poitou-Charentes, centre régional de surveillance de la qualité de l air Bilan d activité 2013 de la surveillance des pollens en Poitou-Charentes Crédit-photo : Gérard Sulmont (RNSA) Référence : POLN_EXT_12_193
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