Évaluation de la campagne «Feel Your Power» 2002 Rapport succinct
|
|
- Raymond Philippe Joly
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Évaluation de la campagne «Feel Your Power» 2002 Rapport succinct Situation initiale La campagne «Feel Your Power» a été lancée au début de l année 2000 par Promotion Santé Suisse. Elle a pour objectif de motiver les personnes vivant en Suisse à mieux prendre soin de leur santé. La campagne courre sur une durée de cinq ans. La campagne «Feel Your Power» se compose de plusieurs éléments visant la promotion de la santé : le Docteur D. Moniack doit sensibiliser la population dans ce sens au moyen de ses messages publicitaires provocateurs (conseils maladie), alors que les diverses actions menées sur le terrain visent une application concrète en matière de mouvement ou de santé. L'effet et les retombées de la campagne «Feel Your Power» sont évalués périodiquement depuis son lancement. Il s agit en particulier de répondre aux questions relatives à la nécessité, à la qualité, à l acceptation, à l utilité et au succès de la campagne. Lors de la première année, tous les niveaux et activités de la campagne ont été analysés le plus précisément possible. Les deuxième et troisième années ont donné l occasion de se concentrer sur certains points précis. Les instruments de mesure et les principaux champs d analyse ont été conservés durant les trois années afin de pouvoir tirer des conclusions sur les changements et les évolutions. Chaque année, une enquête représentative a été menée auprès de la population. Le contenu des articles de presse ainsi que les questionnaires remplis suite aux actions santé ont été analysés en continu. Taux de perception et évaluation de la campagne «Feel Your Power» Alors que le taux de mémorisation (recall) n a que très faiblement évolué au cours de la campagne pour atteindre 3 pour cent à l heure actuelle, le taux de reconnaissance (recognition) au sein de la population suisse a poursuivi sa nette progression et se monte à 51 pour cent. Au milieu de l année 2000, nous étions partis du principe que la campagne avait atteint 1.3 million de personnes (ayant entendu parler de la campagne ou lu quelque chose à son sujet). Fin 2001, le chiffre est passé à 2 millions et il s élève aujourd hui à 2.8 millions. L&S SFB AG / Février
2 Les personnes avec un niveau de formation faible ont moins perçu la campagne que les personnes avec un niveau de formation plus élevé. Bien que le taux de perception ait doublé au sein de la population étrangère au cours d une année, seul un tiers des étrangères et de étrangers vivant en Suisse connaît la campagne, alors que pour les Suissesses et les Suisses ce chiffre dépasse 50 pour cent. Nous constatons toujours de grandes différences entre le taux de perception de «Feel Your Power» et le «Docteur D. Moniack». Bien que le taux de reconnaissance de «Feel Your Power» ait doublé au cours de l année dernière, celui-ci est encore nettement inférieur à celui du «Docteur D. Moniack». Alors que 46 pour cent de la population suisse connaissent le «Docteur D. Moniack», seuls 18 pour cent connaissent «Feel Your Power». Le «Docteur D. Moniack» n est plus aussi fortement rejeté que l'an dernier. Un certain effet d accoutumance explique que le sentiment de provocation s est affaibli chez certaines personnes. «Feel Your Power» est toujours mieux apprécié que le «Docteur D. Moniack». Le «Docteur D. Moniack» est en particulier rejeté par les personnes plus âgées et par les femmes (préoccupées par leur santé). Nous constatons encore une certaine contre-productivité de la campagne au cours de sa troisième année, mais elle ne pose pas problème et a largement régressé. Que les personnes interrogées ne comprennent pas ou mal la campagne n est pas un problème de compréhension, mais bien plus un problème de perception. Plus une campagne dure longtemps, plus les gens croient la connaître, même s ils ne peuvent reproduire son contenu que de façon vague ou erronée. Les conseils concrets en matière de santé n ont que très faiblement atteint leur public. Plus du double des personnes disent avoir reconsidéré leurs habitudes (2000 : 8% de la population; 2002 : 18%) en raison de la campagne, mais ceux qui ont concrètement modifié leur comportement sont très rares. Le nombre de personnes qui a changé ne serait-ce que partiellement son comportement en matière de santé et ses habitudes en raison de la campagne n a pas connu la même évolution que le taux de perception et s'élève également en 2002 à moins de 5%. Il n est pas possible de déceler des modifications significatives dans le comportement de la population en matière de santé entre les années 2000 et En clair, cela signifie que s'il y a eu des modifications au cours de l année dernière, celles-ci se situent à un niveau que les tailles d'échantillonnage ne permettent pas de déceler. L intérêt des médias pour la campagne «Feel Your Power» a fortement régressé depuis son lancement. L'écho de la campagne dans la presse écrite est faible de nos jours. Seule une poignée d articles parlait de la campagne en Il manque à la campagne un partenaire médiatique de poids pour assurer la publication régulière L&S SFB AG / Février
3 d articles. Ce constat se retrouve dans le sondage effectué auprès de la population : le nombre de personnes ayant lu un article de journal concernant la campagne a continuellement régressé depuis l an 2000 et est passé de 15 à 7 pour cent. Nous avions déjà constaté au cours des années 2000 et 2001 que les initiateurs de la campagne sont à peine connus. Cet état de fait n a pas changé depuis, bien au contraire. Malgré une référence plus fréquente et plus visible du nom de la fondation et d'une augmentation massive du taux de reconnaissance, le nombre de personnes qui savent que Promotion Santé Suisse a lancé la campagne est toujours aussi faible (à savoir 1.4% de la population). La campagne est de plus en plus fréquemment attribuée à l'office fédéral de la santé publique. La comparaison avec d autres campagnes de santé (par ex. programme alcool) montre que les taux de reconnaissance et la compréhension du message de «Feel Your Power» sont bons et que les résultats concernant l'évaluation, l'acceptation et l'efficacité sont acceptables. En ce qui concerne la notoriété de l'émetteur, «Feel Your Power» reste clairement en dessous des attentes. Actions santé Les actions santé ont fait évoluer les choses et ont procuré beaucoup de plaisir aux participants. L organisation était réussie et les objectifs fixés ont en grande partie pu être atteints. L activation de personnes inactives et peu conscientes de leur santé ainsi que l apport de preuves concernant une modification durable du comportement restent difficiles. Cependant, les actions ont nettement gagné en caractère au cours des trois dernières années et révèlent du potentiel pour l avenir. Les médias se montrent également presque entièrement positifs dans leur évaluation des actions santé. En tout, ce sont plus de personnes qui ont participé activement aux manifestations. Les deux «SlowUps» ont enregistré le plus grand nombre de participants. Les différentes actions ont touché des tranches d âge différentes. Dans l ensemble, le résultat est équilibré. Les enfants et les familles prennent surtout part aux «SlowUps» et aux deux événements organisés en collaboration avec la CSS («Journées forestières pour les familles Silviva» et «SAC Vols en altitude»). Nous trouvons de nombreuses personnes âgées dans les «SlowUps» et au «Swiss Walking Event». La plupart des actions s'adressent de façon à peu près équilibrée aux deux sexes. Le «Swiss Walking Event» fait toutefois exception, car la participation des femmes y est majoritaire. Parmi les actions organisées au cours de l an 2002 dans le cadre de «Feel Your Power», le «Swiss Walking Event» et les «journées forestières pour les familles L&S SFB AG / Février
4 Silviva» ont le meilleur taux de notoriété (15% resp. 13%). Entre 5 et 10 pour cent de la population suisse connaissent les deux «SlowUps», les «SAC Vols en altitude» et le «Swissnordicday». 43% de la population suisse ont entendu parler d au moins une des actions soutenues par Promotion Santé Suisse (y compris «Allez Hop!») ou lu un texte à leur sujet. Le taux de notoriété a tendance à grimper en fonction de l'âge, du niveau de formation et du revenu du ménage. La majorité des organisateurs trouvent que la collaboration avec «Feel Your Power» est bonne, même qu elle pourrait être développée et que la présence de «Feel Your Power» (en particulier par rapport aux autres sponsors) pourrait être accentuée. Les médias et la population ne savent toujours pas que les actions réussies sont des manifestations «Feel Your Power». Seul un article sur trois relatant les actions santé mentionne le soutien de la fondation et seul un article sur quatre fait référence à «Feel Your Power». Lors des grandes manifestations («SlowUps» et «Swiss Walking Event»), la référence à la fondation et à la campagne est plus rare lors des plus petites actions. Pour ces dernières, l écho médiatique est toutefois faible. Malgré un taux de notoriété impressionnant, seule une fraction de la population connaît la campagne «Feel Your Power» grâce aux actions santé. Les actions santé renforcent toutefois l efficacité de la campagne. Les personnes qui connaissent au moins une action santé se sentent plus interpellées par la campagne et ont plus réfléchi à leur comportement en matière de santé que les personnes qui ne connaissent pas les actions santé. Le taux de perception d une action santé ne dépend pas en premier lieu de la taille de la manifestation. Les deux «SlowUps» ont un taux de notoriété faible malgré un nombre de participants élevé, alors que les «journées forestières pour les familles» sont connues d un grand nombre de personnes bien que le nombre de participants soit faible. L écho dans les médias n a qu une influence limitée sur le taux de perception. La relation entre le nombre d articles publiés dans la presse écrite (par rapport au nombre d'articles) et le taux de perception est très faible. Une présence médiatique marquée lors des «SlowUps» ne se traduit pas directement par un taux de notoriété élevé auprès de la population. Pour influencer le taux de perception, il convient de disposer d un partenaire médiatique important (tel que le Journal Coop ou une émission télévisée) qui commente intensément et en continu les manifestions organisées. Il s avère que l'orientation des médias par la préparation et la communication de contenus et d'articles de presse est un facteur important pour que la fondation et la campagne soient mentionnées en tant qu'initiatrice ou sponsor. L&S SFB AG / Février
5 Notoriété et image de Promotion Santé Suisse Le fait que seul un pour cent des personnes interrogées savent que «Feel Your Power» et le «Docteur D. Moniack» ont été lancé par Promotion Santé Suisse, laisse supposer que la population connaît à peine Promotion Santé Suisse. Mais cela n est que partiellement vrai. En effet, 29 pour cent de la population suisse ont déjà entendu parler de Promotion Santé Suisse. Un nombre très restreint de personnes savent concrètement ce que fait Promotion Santé Suisse. Les personnes plus actives et plus concernées par leur santé que la moyenne ainsi que les personnes âgées connaissent plus souvent Promotion Santé Suisse que les personnes (plus jeunes) qui ne se préoccupent que peu de leur santé. Les personnes qui ont déjà entendu parler de Promotion Santé Suisse apprécient ses activités de façon positive mais retenue. La légitimité de Promotion Santé Suisse augmente cependant clairement si l on explique aux gens le but poursuivi par la création de cette organisation et ce qu elle fait réellement. Plus de 80% de la population suisse pensent qu il est (très) important que Promotion Santé Suisse prenne au sérieux les tâches assignées. La cotisation de CHF 2.40 est largement acceptée et est plutôt considérée comme trop faible. La campagne «Feel Your Power» n a contribué ni à augmenter la notoriété ni à améliorer l image de Promotion Santé Suisse. Les personnes qui connaissent la campagne apprécient les activités de la fondation, sa légitimité et l adéquation du montant de CHF 2.40 dans la même mesure que les personnes qui ne connaissent pas la campagne. De manière générale, il n est pas possible de déceler un transfert d'image tant positif que négatif de la campagne vers la fondation. Il n en va pas de même pour les actions santé. En effet, les personnes qui ont entendu parler des actions santé connaissent plutôt la fondation et ont une attitude plus positive à son sujet et par rapport à ses activités que les personnes qui ne connaissent pas les actions santé. En clair, cela signifie que les actions santé influencent positivement l image de Promotion Santé Suisse, alors que la campagne ne le fait pas. Promotion Suisse Santé est également mentionnée dans la presse suisse en relation avec d autres activités qu elle a initiées ou qu'elle soutient. Cependant, ces articles ne mentionnent presque jamais les tâches et les objectifs de la fondation. Les médias présentent Promotion Santé Suisse en tant que sponsor et organisateur, mais pas en tant qu initiateur ou centre de compétence. Promotion Santé Suisse est plus un fournisseur de fonds que d idées. L&S SFB AG / Février
6 Différences entre les régions linguistiques La campagne «Feel Your Power» est peut-être moins connue au Tessin que dans le reste de la Suisse, mais il s avère que le nombre de personnes ayant réfléchi et modifié leur comportement en matière de santé sur la base de la campagne y est plus élevé qu'en Suisse allemande et en Romandie. En résumé, il est possible d affirmer que la campagne «Feel Your Power» a provoqué plus de changements malgré un écho plus faible dans l ensemble de la population que dans les autres régions de Suisse. L efficacité élevée de la campagne «Feel Your Power» au Tessin s explique par les mesures spécifiques appliquées dans ce canton, à savoir le guide dédié au mouvement intitulé Guia al movimento in Ticino. Le guide se distingue par un taux de perception relativement faible mais d une efficacité exceptionnellement élevée. Le guide n était cependant pas à même d interpeller tous les groupes de population de la même manière. Les personnes de 25 à 50 ans de la couche moyenne, dont la prise de conscience en matière de santé était moyenne, sont celles qui se sont le plus laissé motiver par le guide, alors que les personnes âgées, sans emploi et celles des couches inférieures ainsi que les personnes faiblement intéressées par leur santé n'ont que faiblement été touchées par le document. A l exception des «journées forestières pour les familles» (qui sont très connues au Tessin), le meilleur taux de notoriété de l ensemble des actions santé s enregistre en Suisse alémanique. Alors que près de la moitié de la population suisse allemande a pris connaissance d une manifestation «Feel Your Power», ce chiffre n'atteint qu'un quart en Suisse romande. La Suisse italophone occupe une position médiane, puisque 40% des Tessinoises et des Tessinois ont déjà entendu parler d une des manifestations organisées. Promotion Santé Suisse est connu à parts égales dans toutes les régions linguistiques. L image de la fondation est nettement meilleure au Tessin qu'en Suisse allemande et romande. L acceptation et l appréciation élevées de Promotion Santé Suisse en Suisse italienne ne peuvent pas être attribuées à un seul facteur (par ex. le guide). L&S SFB AG / Février
7 Recommandations La campagne doit avoir une orientation univoque et des objectifs précis. Dans un concept global, il s agit de définir avec précision les cibles, les thèmes, les contenus, les phases de la campagne, les canaux, les méthodes et les stratégies de communication. Il s'est avéré juste de ne pas miser sur une campagne moralisatrice accompagnée d un index levé. L ironie ne convient pas à tout le monde, mais elle a été particulièrement bien reçue par le groupe cible primaire (personnes peu préoccupées par leur santé). Les lieux communs tels que «L activité physique est bonne pour la santé» n ont aucun effet ou provoquent même un réflexe de rejet dans le groupe cible visé. La campagne doit donc être fortement intensifiée ou alors simplifiée. La relation entre le «Docteur D. Moniack» et «Feel Your Power» s est avérée être trop complexe dans sa forme présente (avec les moyens disponibles). La multiplicité des sujets ne fait toutefois sens que si l on a tous les éléments devant soi. Au vu des circonstances, il s'agit de se concentrer sur un slogan, une figure, une «marque». Sans «Feel Your Power», le «Docteur D. Moniack» n a toutefois pas de sens. Attirer l attention par la provocation et l irritation ne peut et ne doit pas être le seul et unique objectif d une campagne de promotion de la santé. Aujourd hui, de nombreuses personnes connaissent le «Docteur D. Moniack», mais elles ne savent pas toujours pour qui ou quoi (institution, idée, contenu) il milite. La campagne Feel Your Power doit à l avenir se présenter avec plus de contenus concrets. La campagne a besoin de messages plus clairs, plus évidents, plus cohérents, plus vraisemblables, plus fondés et (dans la mesure du possible) plus spécifiques aux groupes visés. Il s'agit de se focaliser sur des messages positifs. Il est conseillé de présenter plus de «solutions», c est-à-dire de présenter des comportements sains qui se laissent facilement intégrer dans le quotidien et qui ont des effets (récompenses) immédiats (comme par ex. les conseils de détente de «Déconnecter et se relaxer»). Il est tout particulièrement recommandé de partir de l environnement professionnel et personnel quotidien pour donner des conseils de santé aux personnes inactives, peu préoccupées par leur santé. Le besoin de disposer de conseils simples mais fondés est élevé. Ce faisant, il s'agit également d'aborder les réticences et les obstacles. L&S SFB AG / Février
8 Le groupe hétérogène des inactifs a besoin de nombreuses portes d entrée et de systèmes de motivation ciblés. La durabilité de l impact ne peut être garantie que si l on conçoit une intégration et un accompagnement à long terme. Les actions santé doivent proposer une vaste palette de variantes pour y participer. Les grandes manifestations tout comme les offres décentralisées proposées pendant une plus longue période, qui sont utilisées par de plus petits groupes, font partie de cette palette d'offres. Les actions santé, les grandes manifestations et les offres décentralisées devraient être réparties plus équitablement entre les régions linguistiques. Alors que l on a enregistré de grands progrès au Tessin au cours de l année 2002, il s est avéré que la palette d'offres concrètes (actions santé) était très limitée en Suisse romande. Les actions santé doivent devenir des événements «Feel Your Power» (pour autant que «Feel Your Power» soit toujours le thème central). Le nom de l initiateur de la campagne doit être communiqué haut et fort. En tant qu organisation à but non lucratif Promotion Santé Suisse jouit d une grande crédibilité. Les gens doivent remarquer que l on ne souhaite pas leur vendre un produit commercial. Promotion Santé Suisse doit se présenter de façon plus offensive en tant que partenaire, sponsor et/ou initiateur. Ce faisant, la fondation ne doit pas seulement apparaître comme fournisseur de fonds, mais aussi comme fournisseur d'idées et ainsi asseoir sa réputation de centre de compétence. Lors de l établissement de contacts avec les médias, la fondation peut jouer un rôle plus marqué en profitant des contacts existants et de l utilité publique de la fondation. L utilisation de canaux de communication innovateurs et spécifiques aux groupes cibles (comme ceux utilisés pour «Déconnecter et se relaxer») peut être étendue et conduit en fin de compte également à un grand écho médiatique. La campagne doit en elle-même devenir un thème de campagne. La combinaison de canaux publicitaires et d'articles dans les médias conventionnels n augmente pas seulement l attention, mais fait ressortir les connaissances sur les contenus et l'expéditeur de la campagne. L&S SFB AG / Février
Le résumé ci-après condense un certain nombre de résultats sélectionnés. Le rapport intégral peut être obtenu auprès de Pro Senectute Suisse.
Résumé de l étude Les seniors et Internet Pro Senectute Suisse L utilisation des technologies de la communication et de l information (TIC) par les personnes de 65 ans et plus en Suisse en 2015 Institut
Plus en détailSondage sur le phénomène de la cyberintimidation en milieu scolaire. Rapport présenté à la
Sondage sur le phénomène de la cyberintimidation en milieu scolaire Rapport présenté à la Mars 2008 Tables des matières Contexte et objectifs.... 2 Page Méthodologie.3 Profil des répondants...6 Faits saillants..10
Plus en détailSONDAGE SUR LA CULTURE FINANCIERE D UNE POPULATION D INTERNAUTES MAROCAINS
SONDAGE SUR LA CULTURE FINANCIERE D UNE POPULATION D INTERNAUTES MAROCAINS Service Education des Epargnants &Habilitation des Intervenants Sondage sur la culture financière d une population d internautes
Plus en détailBerne, mai 2007. Questions fréquentes au sujet de l aide sociale
1 Berne, mai 2007 Questions fréquentes au sujet de l aide sociale 2 Pourquoi la CSIAS en tant qu association privée peut-elle établir des normes en matière d aide sociale? La CSIAS est l association professionnelle
Plus en détailEnquête publique sur les changements climatiques -------- Compléments aux graphiques
Enquête publique sur les changements climatiques -------- Compléments aux graphiques Les résultats de l enquête sont analysés d après le nombre de variables explicatives pouvant influencer le comportement,
Plus en détailRapport annuel sur «l école bouge» année scolaire 2012/13
«l école bouge»: rapport annuel de l année scolaire 2012/13 20/03/2014 Rapport annuel sur «l école bouge» année scolaire 2012/13 Structures d accueil de jour 1. Aperçu de l année scolaire 2012/13 Contexte
Plus en détailNOTORIETE DE L ECONOMIE SOCIALE SOLIDAIRE ET ATTENTES DE LA JEUNESSE
NOTORIETE DE L ECONOMIE SOCIALE SOLIDAIRE ET ATTENTES DE LA JEUNESSE - Note de synthèse de l'institut CSA - N 1100760 Juin 2011 2, rue de Choiseul CS 70215 75086 Paris cedex 02 Tél. (33) 01 44 94 59 11
Plus en détailREPONSE SUISSE AU QUESTIONNAIRE RELATIF A LA PROTECTION SOCIALE
REPONSE SUISSE AU QUESTIONNAIRE RELATIF A LA PROTECTION SOCIALE DES PERSONNES AGEES ADRESSE AUX GOUVERNEMENTS PAR L'EXPERTE INDEPENDANTE SUR LA QUESTION DES DROITS DE L'HOMME ET L'EXTREME PAUVRETE (i)
Plus en détailObservatoire de l Auto-Entrepreneur
Observatoire de l Auto-Entrepreneur La vision des Français sur l Auto-Entreprise 5 ème édition - Mai 2011 Nouveau Dispositif 2011/ 2012 Comprendre les auto-entrepreneurs comme un groupe social à part entière
Plus en détailL'AOST est l'organisation faîtière suisse des autorités du marché du travail des cantons. Son but est
STATUTS DE L ASSOCIATION DES OFFICES SUISSES DU TRAVAIL (AOST) 1. Nom, siège et but Art. 1 L'association des offices suisses du travail (AOST) est une association constituée au sens des articles 60 et
Plus en détailNOTORIETE DE L ECONOMIE SOCIALE SOLIDAIRE ET ATTENTES DE LA JEUNESSE
NOTORIETE DE L ECONOMIE SOCIALE SOLIDAIRE ET ATTENTES DE LA JEUNESSE - Note de synthèse de l'institut CSA - N 1100760 Juin 2011 2, rue de Choiseul CS 70215 75086 Paris cedex 02 Tél. (33) 01 44 94 59 11
Plus en détailÉcoutez ce qui se dit sur l épargne-retraite au Canada
MARS 2014 ÉCHEC ET MAT! LES RÉGIMES D ÉPARGNE EN MILIEU DE TRAVAIL : UNE SOLUTION GAGNANTE POUR LES CANADIENS EN VUE DE LA RETRAITE Notre 6 e sondage annuel Indice canadien de report de la retraite montre
Plus en détailLa Clé de notre succès est "r + a + r = rr" ( Relevanz + aléatoire + rotation = résultat de la recherche)
Nous avons un rêve... Un jour, des moteurs de recherche travailleraient de façon démocratique! Un jour, les résultats de recherche ne seraient pas manipulés! Un jour, on n'obtiendrait pas 1.000.000 de
Plus en détailSondage SEMO 2011/2012 : Résultats
Département fédéral de l économie, de la formation et de la recherche DEFR Secrétariat d'etat à l'économie SECO Marché du travail / Assurance-chômage Mesures du marché du travail Markus Weber 07.06.2013
Plus en détailProtection des renseignements personnels, publicité ciblée et médias sociaux : Ampleur du problème : certaines observations déconcertantes
Protection des renseignements personnels, publicité ciblée et médias sociaux : Ampleur du problème : certaines observations déconcertantes Avner Levin * * Professeur agrégé et directeur, Privacy and Cyber
Plus en détailMonitoring des données relatives au poids effectué par les services médicaux scolaires des villes de Bâle, Berne et Zurich
Promotion Santé Suisse Editorial Feuille d information 1 Les données de poids de plus de 13 000 enfants et adolescents dans les villes suisses de, et ont été collectées pour l année scolaire 2012/2013
Plus en détailAffiliation comme personne sans activité lucrative
Caisse de compensation PROMEA Ifangstrasse 8, case postale, 8952 Schlieren Tél. 044 738 53 53, 044 738 53 73 info@promea.ch, www.promea.ch Obligation de cotiser à l'avs Affiliation comme personne sans
Plus en détail«Le Leadership en Suisse»
«Le Leadership en Suisse» Table des matières «Le Leadership en Suisse» Une étude sur les valeurs, les devoirs et l efficacité de la direction 03 04 05 06 07 08 09 11 12 13 14 «Le Leadership en Suisse»
Plus en détailAffiliation comme personne sans activité lucrative
Pour nous, la qualité est importante Obligation de cotiser à l'avs Affiliation comme personne sans activité lucrative Etes-vous inscrit(e) comme personne sans activité lucrative auprès d une autre caisse
Plus en détailBanque de données d offres & carte web interactive d offres
Réseau des parcs suisses Monbijoustrasse 61, 3007 Bern Tel. +41 31 381 10 71; info@paerke.ch; www.paerke.ch Banque de données d offres: a.jordan@paerke.ch Carte web interactive: t.estermann@paerke.ch Feuille
Plus en détailEvaluation Agi Son 2005. Agi son 2005. Evaluation de la campagne de sensibilisation aux risques auditifs liés à l écoute de musiques amplifiées
Agi son Evaluation de la campagne de sensibilisation aux risques auditifs liés à l écoute de musiques amplifiées 1 Introduction p. 3 Méthode p.4 1. Le public p.5 A. Caractéristique des personnes interrogées
Plus en détailEtude nationale sur l audition Résultats
Etude nationale sur l audition Résultats 18 février 2013 Partenaires de l étude: Contenu Résumé Introduction Objectif Méthodologie de l étude Raisons pour lesquelles aucun appareil auditif n a été porté
Plus en détailAffiliation comme personne sans activité lucrative
Ver#m Ifangstrasse 8?Postfach?8952 Schlieren Tel. 044 738 20 70? 044 738 20 77 ak043@verom.ch?www.verom.ch Ausgleichskasse Caisse de compensation Cassa di compensatione ABC Obligation de cotiser à l'avs
Plus en détailEtude salariale. Pour le domaine des ressources humaines 2013/2014 www.careerplus.ch
Pour le domaine des ressources humaines 2013/2014 B Sommaire 1. Editorial... 2 2. «La motivation passe par l égalité salariale»... 3 3. Résumé... 4 4. Faits et chiffres sur le marché suisse... 5/6 5. Méthode...
Plus en détailL expérience des services financiers et la connaissance de l ACFC - le point de vue du public
L expérience des services financiers et la connaissance de l ACFC - le point de vue du public 5R000-040048/001/CY Présenté à : L Agence de la consommation en matière financière du Canada 24 mars 2005 Table
Plus en détailPRET DE LISEUSES EN BIBLIOTHEQUE Les principaux enseignements de l expérimentation
PRET DE LISEUSES EN BIBLIOTHEQUE Les principaux enseignements de l expérimentation CARACTERISTIQUES DU PROJET DE PRET DE LISEUSES Les partenaires : la BDY, bibliothèques des Yvelines, le MOTif, observatoire
Plus en détailAtelier Campagne Marketing social
Atelier Campagne Marketing social Vous devez mettre sur pied, au cours de ce bref atelier, une campagne de marketing social. Vous devrez aussi justifier vos activités de communication. Le nom d une organisation
Plus en détailLes entreprises paient avec un retard de 19,3 jours la morale de paiement en berne à cause de l effet domino
Statistiques des comportements de paiement: le comporte Statistiques des comportements ment de paiement: de paiement le comportement des de entreprises en Suisse 4 ème trimestre et perspectives 2009 Editeur:
Plus en détailLe monitoring cannabis 2004-2008 et les recommandations pour la prévention
Le monitoring cannabis 2004-2008 et les recommandations pour la prévention Présentation lors du congrès «Pour un bon développement! Nouvelles approches en prévention pour enfants, jeunes et familles» 30
Plus en détailStatuts de la JS Suisse
Statuts de la JS Suisse Statuts modifiés à l'assemblée Annuelle de la JS Suisse du 28 et 29 mars 2015 www.jss.ch info@jss.ch 1 FORME JURIDIQUE ART. 1 Sous la détermination, Schweizerische JungsozialistInnen
Plus en détailSTATUTS. Adoptés par l Assemblée générale du 19 juin 2013
membre de wohnbaugenossenschaften schweiz verband der gemeinnützigen wohnbauträger coopératives d habitation Suisse fédération des maîtres d ouvrage d utilité publique STATUTS Adoptés par l Assemblée générale
Plus en détailLe système d information hospitalier. exercice d équilibre entre innovation et activité quotidienne
Le système d information hospitalier exercice d équilibre entre innovation et activité quotidienne Résultats du sondage de septembre 2012 ch Table des matières Avant-propos 3 A propos de l étude 4 Institutions
Plus en détailExamen 2012. Matière d examen. Temps alloué: 120 minutes
Berufsprüfung für Technische Kaufleute mit eidg. Fachausweis Examen professionnel pour les agents technico-commerciaux avec brevet fédéral Candidat-No... Nom: Prénom:.. Examen 2012 Matière d examen Marketing
Plus en détailLe choix stratégique des canaux de communication
Le choix stratégique des canaux de communication Une analyse des attitudes des entreprises du domaine Business to Business (B2B) face à différentes combinaisons de médias Introduction La fragmentation
Plus en détailP RO - enfance. Plateforme Romande pour l accueil de l enfance
P RO - enfance Plateforme Romande pour l accueil de l enfance Rapport de la phase d analyse 1. Résumé Le présent document contient la description du déroulement et des résultats de la phase d analyse des
Plus en détailÉtude sur la compétitivité des administrations cantonales
Étude sur la compétitivité des administrations cantonales réalisée pour les Chambres de commerce latines Avril 2015 2 1. Descriptif de la recherche Contexte et méthodologie 3 La 7 ème vague de l étude
Plus en détailSondage web sur la démocratie et la participation citoyenne
Sondage web sur la démocratie et la participation citoyenne Sondage web sur la démocratie et la participation citoyenne Rapport d analyse des résultats Présenté à l'institut du Nouveau Monde 22 mai 2012
Plus en détailRAPPORT FINAL. Étude sur la littératie financière chez les jeunes POR # 441-07
POR # 441-07 RAPPORT FINAL Étude sur la littératie financière chez les jeunes Préparé pour : L Agence de la consommation en matière financière du Canada Date du rapport : Août 2008 This report is also
Plus en détailPrésentation de l association Les ados Suisses romands et les petits jobs. Sondage Ados Job
Dossier Version de presse 1.0 Sondage Ados Job L enquête Quelles sont les habitudes des jeunes Suisses en matière de petits jobs. Sondage en ligne sur le site www.adosjob.ch Du 1 er au 30 septembre 2012
Plus en détailMarketing III. Calcul du prix & Indicateurs. Contenu
Calcul du prix & Indicateurs Pour la gestion économique de l'entreprise, il est essentiel que les prix des biens et services soient soigneusement calculés en tenant compte de tous les facteurs internes
Plus en détailMobile & achats à la demande. Comment le marketing à la performance permet-il aux mobiles d influencer le parcours d achat. tradedoubler.
Mobile & achats à la demande Comment le marketing à la performance permet-il aux mobiles d influencer le parcours d achat tradedoubler.com En Europe, les canaux mobiles de marketing à la performance transforment
Plus en détailSondage public 2012 sur les services policiers
Sondage public 2012 sur les services policiers 2 Sixième sondage public depuis 1995. Le sondage est conçu pour faire comprendre les perceptions des citoyens sur la criminalité i et la sécurité et mesurer
Plus en détailL endettement chez les jeunes Rapport final
L endettement chez les jeunes Rapport final Résultats du sondage pour le secteur d Alma L école secondaire Séminaire Marie-Reine-du-Clergé ainsi que le Collège d Alma Remis au : Service budgétaire de Lac-
Plus en détailNORME INTERNATIONALE D AUDIT 260 COMMUNICATION DES QUESTIONS SOULEVÉES À L OCCASION DE L AUDIT AUX PERSONNES CONSTITUANT LE GOUVERNEMENT D'ENTREPRISE
NORME INTERNATIONALE D AUDIT 260 COMMUNICATION DES QUESTIONS SOULEVÉES À L OCCASION DE L AUDIT AUX PERSONNES CONSTITUANT LE GOUVERNEMENT D'ENTREPRISE SOMMAIRE Paragraphes Introduction... 1-4 Personnes
Plus en détailSTATUTS. l'association Fonds paritaire d'application, de formation et social pour le secteur de la location de services
STATUTS de l'association Fonds paritaire d'application, de formation et social pour le secteur de la location de services - - Statuts de l'association Fonds paritaire d'application, de formation et social
Plus en détailPour diffusion immédiate. Nouveau sondage CROP : LES AIRES PROTÉGÉES, UNE PRIORITÉ SELON LES QUÉBÉCOIS
COMMUNIQUÉ Pour diffusion immédiate Nouveau sondage CROP : LES AIRES PROTÉGÉES, UNE PRIORITÉ SELON LES QUÉBÉCOIS Montréal, le 6 mars 2007 Un sondage réalisé du 28 février au 4 mars 2007 par la maison CROP
Plus en détailLe jeu pathologique en Suisse: quelques données épidémiologiques*
Le jeu pathologique en Suisse: quelques données épidémiologiques* Guido Bondolfi, médecin associé, département de Psychiatrie, Hôpitaux Universitaires de Genève; Christian Osiek, psychologue, professeur
Plus en détail3 e fiche d'informations sur l'initiative relative à la caisse unique
3 e fiche d'informations sur l'initiative relative à la caisse unique Financement du système de santé, aujourd'hui et en cas d'acceptation de l'initiative sur la caisse unique: exemple d'une famille avec
Plus en détailMonitorage sur le tabac en Suisse : notoriété, utilisation et acceptation
Hans Krebs Kommunikation und Publikumsforschung Monitorage sur le tabac en Suisse : notoriété, utilisation et acceptation Résultats de l enquête menée sur les organisations partenaires de l Office fédéral
Plus en détailRÉPUBLIQUE FRANÇAISE AU NOM DU PEUPLE FRANÇAIS N 0903439, 0903440, 0903441, 0903442, 0903443. M. Olivier Yeznikian Rapporteur
TRIBUNAL ADMINISTRATIF DE LILLE N 0903439, 0903440, 0903441, 0903442, 0903443 RÉPUBLIQUE FRANÇAISE AU NOM DU PEUPLE FRANÇAIS M. Olivier Yeznikian Rapporteur M. Charles-Edouard Minet Rapporteur 4ublic Le
Plus en détailStatuts du 16 mars 2013
Statuts du 16 mars 01 Nom et siège Article 1) L Association Suisse des Donneurs Vivants d Organe, ASDVO en abrégé, est une association selon l Article 60 du Code Civil Suisse (CC). Elle est neutre du point
Plus en détailÉtude d impact IBM sur les états frontaliers - Sommaire
Étude d impact IBM sur les états frontaliers - Sommaire Les États-Unis sont le marché touristique international le plus important pour le Canada et l Ontario. Par conséquent, on déploie des efforts importants
Plus en détail01_15. Directive sur la poursuite contre un mineur
REPUBLIQUE ET CANTON DE GENEVE Département des finances Office des poursuites Direction générale 01_15. Directive sur la poursuite contre un mineur Modifications, contrôles, approbation Version Date Description,
Plus en détailL'assurance responsabilité civile des administrateurs et des dirigeants
L'assurance responsabilité civile des administrateurs et des dirigeants Qu'est-ce que l'assurance responsabilité civile? L'assurance responsabilité civile des administrateurs et des dirigeants (A&D) est
Plus en détailStatuts Psychomotricité Suisse. Contenu. 29 mai 2013, Comité Central Psychomotricité Suisse adopté par les membres lors de l Assemblée générale
Statuts Psychomotricité Suisse 29 mai 2013, Comité Central Psychomotricité Suisse adopté par les membres lors de l Assemblée générale Contenu 1 Généralités 2 2 Membres 2 3 Organisation 4 4 Finances 9 5
Plus en détailBAROMÈTRE DE L ÉCONOMIE NUMÉRIQUE
BAROMÈTRE DE L ÉCONOMIE NUMÉRIQUE Chaire Économie numérique de Paris-Dauphine Réalisé par Médiamétrie Huitième édition 3 e trimestre 2013 Un outil : Initié par la chaire Économie numérique de l Université
Plus en détailÉtude auprès de la génération X. Le paiement virtuel et la gestion des finances personnelles
Étude auprès de la génération X Le paiement virtuel et la gestion des finances Rapport Présenté à Madame Martine Robergeau Agente de Développement et des Communications 11 octobre 2011 Réf. : 1855_201109/EL/cp
Plus en détailLe menu du jour, un outil au service de la mise en mémoire
Le menu du jour, un outil au service de la mise en mémoire Type d outil : Outil pour favoriser la mise en mémoire et développer des démarches propres à la gestion mentale. Auteur(s) : Sarah Vercruysse,
Plus en détailLes approches de réduction des méfaits trouvent un certain appui dans la population québécoise*
INSTITUT NATIONAL DE SANTÉ PUBLIQUE DU QUÉBEC Les approches de réduction des méfaits trouvent un certain appui dans la population québécoise* Denis Hamel, statisticien Unité Connaissance-surveillance MISE
Plus en détailUne nouvelle enquête montre un lien entre l utilisation du Cloud Computing et une agilité accrue de l entreprise ainsi qu un avantage concurentiel.
un rapport des services d analyse de harvard business review L agilité de l entreprise dans le Cloud Une nouvelle enquête montre un lien entre l utilisation du Cloud Computing et une agilité accrue de
Plus en détailComparaison européenne du social media et de l email Dialogue interactif avec Facebook, Twitter, email & co. (Volet 3 Enquête Décisionnaires
Comparaison européenne du social media et de l email Dialogue interactif avec Facebook, Twitter, email & co. (Volet 3 Enquête Décisionnaires Marketing) Prologue : Contexte et méthodologie Chapitre 1 :
Plus en détailLes français et les jeunes conducteurs
DOSSIER DE PRESSE Paris, 4 mai 2015 www.jeune-conducteur-assur.com Les français et les jeunes conducteurs Révélation de l étude Jeune Conducteur Assur / Ifop Enquête menée auprès d un échantillon de 1000
Plus en détailSondage d opinion auprès des Canadiens Perception à l égard des couples de même sexe PROJET 12717-014
Sondage d opinion auprès des Canadiens Perception à l égard des couples de même sexe PROJET 12717-014 Table des matières Contexte et objectifs... 6 Méthodologie... 8 Résultats détaillés 1. Perception
Plus en détailPréparation d une maturité avec mention bilingue français-allemand ou français-anglais
Préparation d une maturité avec mention bilingue français-allemand ou français-anglais Dans les écoles de maturité des gymnases du canton de Vaud Edition 2014 Département de la formation, de la jeunesse
Plus en détailMarketing Mix: Distribution
Marketing Mix: Distribution 1 Les objectifs d apprentissage de ce module visent à: comprendre les étapes pour développer une stratégie de marketing définir le Marketing mix déterminer les principes directeurs
Plus en détailCantons et villes dans le système statistique suisse
Gian Antonio Paravicini Bagliani Président de la conférence des offices régionaux de statistique de la Suisse CORSTAT Cantons et villes dans le système statistique suisse La fonction statistique s'est
Plus en détailLE SAVIEZ-VOUS? 58 % des français partis en vacances les ont préparés en ligne soit 17,2 millions. (Source : Raffour Interactive 2012)
LE SAVIEZ-VOUS? 58 % des français partis en vacances les ont préparés en ligne soit 17,2 millions. (Source : Raffour Interactive 2012) 12,2 millions ont réservé en ligne, soit 73 % de transformation. (Source
Plus en détailLa consommation de tabac chez les jeunes, de 2001 à 2009/10
Psychologisches Institut Sozial- und Gesundheitspsychologie Hans Krebs Kommunikation und Publikumsforschung La consommation de tabac chez les jeunes, de 200 à 2009/0 Résumé du rapport de recherche 20 Monitorage
Plus en détailStatuts de l ATE Association transports et environnement
Statuts de l ATE Association transports et environnement ATE Association transports et environnement Aarbergergasse 61, case postale 8676, 3001 Berne tél. 031 328 58 58, IBAN CH48 0900 0000 4900 1651 0
Plus en détailTop 20 de la bourse suisse : Sept entreprises politiquement actives
Top 20 de la bourse suisse : Sept entreprises politiquement actives Au moins sept des 20 sociétés du Swiss Market Index sont politiquement actives. C est le résultat d une consultation lancée par ACTARES
Plus en détailGESTION DE LA RELATION CLIENT (CRM) Etat actuel et perspectives du marché suisse en 2002
GESTION DE LA RELATION CLIENT (CRM) Etat actuel et perspectives du marché suisse en 2002 CONSULTING KPMG Consulting SA La «gestion de la relation client» (ou, en anglais, Customer Relationship Management,
Plus en détailCoûts sociaux du jeu dans les casinos
BÜRO FÜR ARBEITS- UND SOZIALPOLITISCHE STUDIEN BASS AG KONSUMSTRASSE 20. CH-3007 BERN. TEL +41 (0)31 380 60 80. FAX +41 (0)31 398 33 63 INFO@BUEROBASS.CH. WWW.BUEROBASS.CH Coûts sociaux du jeu dans les
Plus en détailMarketing social. PPA Mars 2007
Marketing social PPA Mars 2007 Objectifs Survol des principes du marketing social. VOUS en tant que spécialiste du marketing social. Qu est-ce que le marketing social? Le marketing social est «l utilisation
Plus en détailRésultats de l enquête Besoins Informatiques des Entreprises de Région Midi-Pyrénées
Résultats de l enquête Besoins Informatiques des Entreprises de Région Midi-Pyrénées Objectifs et méthodologie: La Commission Emploi - Formation - Education de La Mêlée a pour vocation de connaître, entre
Plus en détailC R É D I T A G R I C O L E A S S U R A N C E S. Des attitudes des Européens face aux risques
C R É D I T A G R I C O L E A S S U R A N C E S Observatoire Ipsos-LogicaBusiness Consulting/Crédit Agricole Assurances Des attitudes des Européens face aux risques Fiche technique Ensemble : 7245 répondants
Plus en détailCahier des charges. pour la réalisation d une étude. Articulation des programmations nationale et communautaire en faveur de la R&D
Cahier des charges pour la réalisation d une étude Articulation des programmations nationale et communautaire en faveur de la R&D Sommaire Sommaire...2 Article 1 Objet du marché...3 Article 2 Contexte...3
Plus en détailLa perception de l ISR par les Français. Principaux résultats de l enquête Ipsos pour EIRIS & FIR Octobre 2012
La perception de l ISR par les Français Principaux résultats de l enquête Ipsos pour EIRIS & FIR Octobre 2012 L enquête Enquête nationale conduite en ligne par Ipsos du 14 au 16 sept. 2012 dans le cadre
Plus en détailPortfolio du choix professionnel
Portfolio du choix professionnel L association de médias pour le premier choix professionnel Reinhard Schmid Sous le patronage de Formation des Parents CH FAPERT, Fédération des Associations de parents
Plus en détailCPA Canada Tendances conjoncturelles (T1 2015)
CPA Canada Tendances conjoncturelles (T1 2015) Préparée pour les Comptables professionnels agréés du Canada Le 1 er mai 2015 Renseignements sur le sondage Le rapport trimestriel CPA Canada Tendances conjoncturelles
Plus en détailEvaluation du Réseau Santé Psychique Suisse
Universität Zürich Institut für Politikwissenschaft Forschungsbereich Policy-Analyse & Evaluation Evaluation du Réseau Santé Psychique Suisse Sur mandat de l Office fédéral de la santé publique Thomas
Plus en détailEnquête auprès des parents
Projet Brosse à dents débutant Institut für Hygiene und Arbeitsphysiologie ETH-Zentrum, Clausiusstr. 25 8092 Zürich Adresse électronique: www_zahnbuerstenergonomie@web.ethz.ch Enquête auprès des parents
Plus en détailL IMPACT DES RESEAUX SOCIAUX SUR LES COMPORTEMENTS DES JEUNES CONSOMMATEURS
Magdalena Grębosz Jacek Otto Ecole Polytechnique de Lodz, Pologne L IMPACT DES RESEAUX SOCIAUX SUR LES COMPORTEMENTS DES JEUNES CONSOMMATEURS L Introduction L Internet est actuellement le plus grand réseau
Plus en détailLes cantons, vu les art. 15, 16 et 34 de la loi fédérale sur les loteries et les paris professionnels du 8 juin 1923 1, arrêtent:
Convention intercantonale sur la surveillance, l autorisation et la répartition du bénéfice de loteries et paris exploités sur le plan intercantonal ou sur l ensemble de la Suisse adoptée par la Conférence
Plus en détailL OBSERVATOIRE LCL EN VILLE - RÉALISÉ PAR BVA L ÉCONOMIE DU PARTAGE, ZOOM SUR LES JEUNES URBAINS. Juin 2014
L OBSERVATOIRE LCL EN VILLE - RÉALISÉ PAR BVA L ÉCONOMIE DU PARTAGE, ZOOM SUR LES JEUNES URBAINS Juin 2014 Contacts BVA : Céline BRACQ Directrice BVA Opinion Lilas BRISAC Chargée d études 01 71 16 88 00
Plus en détailHOTELA : votre partenaire pour toutes les assurances sociales. Simplify your business.
1 HOTELA : votre partenaire pour toutes les assurances sociales. Simplify your business. Table des matières 3 HOTELA : le portrait Par des entrepreneurs pour des entrepreneurs 4 HOTELA : les assurances
Plus en détailL influence des medias sociaux auprès des entreprises dans le choix d un partenaire financier. réalisée par
L influence des medias sociaux auprès des entreprises dans le choix d un partenaire financier Etude réalisée par Médias sociaux L influence des médias sociaux auprès des entreprises dans le choix d un
Plus en détailPréoccupations, attentes et prévoyance des travailleurs non salariés et des dirigeants de très petites entreprises
Préoccupations, attentes et prévoyance des travailleurs non salariés et des dirigeants de très petites entreprises Institut CSA pour Metlife Novembre 2014 Sommaire Fiche technique 3 Profil de l échantillon
Plus en détailContrat de prêt FONDATION POUR L INNOVATION TECHNOLOGIQUE
Contrat de prêt entre FONDATION POUR L INNOVATION TECHNOLOGIQUE appelée par la suite STI c/o BFH Spin off Park Faubourg du Lac 103b 2501 Bienne et investit
Plus en détailenvironics research group
environics research group Sommaire Sondage en ligne sur les perceptions du public concernant le développement de carrière et le milieu de travail Janvier 2011 Préparé pour : Parrainé en partie par : 33,
Plus en détailSOMMAIRE. AVRIL 2013 TECHNOLOGIE ÉTUDE POINTS DE VUE BDC Recherche et intelligence de marché de BDC TABLE DES MATIÈRES
AVRIL 2013 TECHNOLOGIE ÉTUDE POINTS DE VUE BDC Recherche et intelligence de marché de BDC TABLE DES MATIÈRES Faits saillants du sondage 2 Contexte et méthode de sondage 3 Profil des répondants 3 Investissements
Plus en détailAdjumedCollect. manuel pour l utilisateur. Version: 03.03.15. AdjumedCollect est l instrument servant à la saisie des données.
AdjumedCollect manuel pour l utilisateur Version: 03.03.15 AdjumedCollect est l instrument servant à la saisie des données. Adjumed Services AG, Birmensdorferstrasse 470, CH-8055 Zurich - Tél. +41 44 445
Plus en détailProjet «Pharmacie vivre sans tabac»
Projet «Pharmacie vivre sans tabac» Programme national d arrêt du tabagisme www.apotheken-raucherberatung.ch Présentation Programme national d arrêt du tabagisme Projet «Pharmacie vivre sans tabac» Résultats
Plus en détailStatuts des organisations du monde du travail dans le champ professionnel de la forêt (Ortra Forêt)
Statuts des organisations du monde du travail dans le champ professionnel de la forêt (Ortra Forêt) 12.4.2013 I Nom, siège, but Article 1: Nom de l association Sous le nom «Ortra Forêt Suisse», ci-dessous
Plus en détailQui sont les enseignants?
Extrait de : Regards sur l'éducation 2008 : Panorama Accéder à cette publication : http://dx.doi.org/10.1787/9789264040649-fr Qui sont les enseignants? Merci de citer ce chapitre comme suit : OCDE (2009),
Plus en détailLa montée des bases de données open source
La montée des bases de données open source Un document eforce FRANCE Mars 2003 La montée des bases de données open source - Page 1 sur 6 La montée en puissance des projets open source est incontestable
Plus en détailChaque étape est à prendre en considération. Recommandation pour une meilleure approche de l'attribution
Chaque étape est à prendre en considération Recommandation pour une meilleure approche de l'attribution Vue d'ensemble Avec l avènement de la publicité en ligne vint la promesse d une nouvelle ère digitale,
Plus en détailwww.habefast.ch contact@habefast.ch Agence web en Suisse romande CH-1260 Nyon 022 362 25 70
1 By Agence web en Suisse romande 2 Qu est ce qu est le SEO? Le référencement naturel ou SEO (Search Engine Optimisation) est une pratique qui, comme son nom l indique, permet d optimiser un site web pour
Plus en détailRESPONS. Info Mail 3 Janvier 2015 RESPONS SHURP ENSEMBLE. Lettre d information de l étude RESPONS
RESPONS RESPONS RESidents Perspectives Of Living in Nursing Homes in Switzerland est un projet du Domaine santé de la Haute école spécialisée bernoise. RESPONS étudie la qualité des soins du point de vue
Plus en détailLES ÉLÈVES INSCRITS EN FORMATION PROFESSIONNELLE ET LEURS BESOINS SPÉCIFIQUES DE SOUTIEN À LA PERSÉVÉRANCE ET À LA RÉUSSITE. QUI SONT-ILS VRAIMENT?
LES ÉLÈVES INSCRITS EN FORMATION PROFESSIONNELLE ET LEURS BESOINS SPÉCIFIQUES DE SOUTIEN À LA PERSÉVÉRANCE ET À LA RÉUSSITE. QUI SONT-ILS VRAIMENT? Élisabeth Mazalon et Sylvain Bourdon Université de Sherbrooke
Plus en détail