OFFICE SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE DES PÊCHES MARITIMES 3, AVENUE OCTAVE-GREARD - PARIS. NOrrES Erf MÉMOIRES. ~EGt1E~Gt1RS

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1 OFFICE SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE DES PÊCHES MARITIMES 3, AVENUE OCTAVE-GREARD - PARIS NOrrES Erf MÉMOIRES ~EGtE~GtRS effeetuées élu eourrs des Crroisièrres de l'o~"et délhs lél lviéditerrrrélhée en par G. PRUVOT Professeur à la Sorbonne, DiTécteur du laboratoire de Banyuls-sur-Mer Ed. BLONDEL LA ROUGERY. Ëditeur 7, Rue Saint.Lazare, 7 PARIS Mars 923

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3 ~egherrghes effegtuées au GOUtfS des Ctfoisiètfes de l'orvet dans la ]VIéditerrtfanée, en PAR G. P~UVOT PROFESSEUR A LA SORBONNE DIRECTEUR DU LABORATOIRE DE BANYULS-SUR-MER Les travaux de recherches que la Direction du laboratoire Arago, de Banyuls:,sur-Mer, a été chargée d'effectuer, en exécution des accords internationaux de Rome et de Madrid, sous les auspices de l'office scientifique et technique des Pêches maritimes, ont consisté pour l'année 92, d'abord en séries verticales d'opérations océanographiques (prises de températures, récoltes d'échantillons d'eaux et pêches de plancton) répétées en un certain nombre de stations le long de deux parcours, d'abord de Port-Vendres à Ajaccio, puis de Port-Vendres à Mahon, Philippeville et Tunis. Ils ont été brièvement résumés dans le fascicule, de ~ars 922, du Bulletin océanographique de Monaco. Ensuite, une deuxième partie de la campagne a été consacrée à une étude des fonds et de la faune de la région côtière tunisienne, entre le méridien du cap Farina et le plateau des îles Kerkennah au sud, conduite spécialement en vue de préparer l'exécution d'une carte des fonds de pêche de la Régence. En conséquence, il a été procédé à un certain nombre de lignes de sondages rapprochés avec récolte d'échantillons du fond et opérations de pêche appropriées (chalut, gangui, drague) sur leur trajet. Les résultats ont fait déjà l'objet d'un rapport publié dans le Bulletin de l'office des Pêches (Notes et Mémoires, N 8,.novembre 92). D'après le programme arrêté pour 922, on s'est proposé comme objets pnnclpaux: De compléter l'étude océanographique du bassin occidental de la Méditerranée, à l'est des îles Baléares, en portant, cette fois, les investigations dans la partie comprise entre la côte de Provence, la Sardaigne, la Sicile et la côte tunisienne; 2 D'explorer la région des grands bancs qui, étendus de la Sicile à la Tunisie, forment le seuil de séparation entre la Méditerranée occidentale et la Méditerranée orientale.

4 6 G. PRUVOT Le personnel scientifique à bord du vapeur du laboratoire l'orvet, commandé par le Capitaine L. Bonafos, comprenait, sous la direction du Professeur G. Pruvot, M. le Professeur O. Duboscq, directeur de la station zoologique de Cette, M. le Dr Trégouboff, assistant du laboratoire maritime de Villefranche-sur-Mer, secondés par Mme A. Pruvot et M. A. Cantacuzène, anciens élèves des laboratoires d~ la Sorbonne, et M. F. Dieterlen, de l'institut Agronomique. La croisière a duré du 3 juin au 28 août, coupée par un court séjour aux chantiers de la Seyne, pour faire procéder à quelques installations (chambre de veille pour le Commandant, poste pour un supplément d'équipage, bouilleur) dont la nécessité s'imposait pour rendre possible un travail soutenu au large dans des parages éloignés des ports, peu nombreux du reste, où peut se faire le ravitaillement en eau douce. Cette précaution n'a pas tardé à être' justifiée; quelques cas de peste s'étant déclarés à Tunis, le jour même de notre arrivée. ont entraîné pour nous, par raison d'ordre sanitaire, l'impossibilité momentanée de débarquer en Sicile et l'obligation de tenir la mer sans interruption et sans ravitaillement, beaucoup plus longtemps qu'il avait été escompté. Au cours de ce premier voyage, de Banyuls à Toulon, plusieurs séries d'opérations (dragages, températures, récoltes d'eaux et de plancton) ont été effectuées, notamment au sud de Marseille, où nos observations. confirmant celles faites en 920 et 92. ne sont pas favorables à l'existence de la grande falaise sous-marine abrupte, figurée déjà par Marsilli en 725 et désignée par Marion sous le nom de falaise Peyssonnel. Nous n'avons rencontré là que le talus du plateau continental, modérément incliné (J 0 à 5 degrés au maximum), que la drague remonte sans effort, sans rencontrer autre chose qu'un fond de graviers vaseux, rocailleux par place. BASSIN l Mf:DITERRANllN OCCIDENTAL Après retour à Banyuls, l'orvet, un peu retardé dans son départ par la persistance du mauvais temps dans le golfe, a mis le cap sur la pointe S. W. de la Sardaigne (cap Sperone). puis sur Cagliari. et de là, après un court séjour, sur Tunis par le banc des Eskerkis. Enfin, la partie à proprement parler océanographique de la campagne a été complétée par les études faites le long de la ligne choisie pour le retour, de Tunis à la Galite, et de là directement sur Port-Vendres (du 23 au 28 août). Au total, il a été pris daj!> la région parcourue. en 35 stations, distantes de 40 en 40 milles en moyenne, 8 séries verticales de températures, 60 échantillons d'eau, et 22 pêches de plancton. Le détail en est donné sur les tableaux annexés à la fin de cette note et on y a joint le relevé des opérations et analyses de 92, pour permettre une comparaison des résultats et, dans une certaine mesure, une vue d'ensemble sur le régime de nos eaux méditerranéennes pendant l'été.

5 CROISIÈRES DE L'ORVET 7 Températures. - Deux séries d'observations au large du Golfe du Lion, pendant l'hiver, ont montré que le réchauffement estival des eaux continue à se propager dans la profondeur très tard dans la saison (fin décembre), alors que les eaux superficielles ont déjà été ramenées à une température voisine de la température minima des grandes profondeurs. Le 23 décembre, la température décroissait lentement et régulièrement de la surface (4,6) jusqu'au fond (3,06) par.25m.; elle était à tous les niveau~ au-dessous de 00 m. sensiblement plus élevée qu'à la fin même de l'été. Mais, deux mois plus tard, le 2 février, la stratification thermique était inverse, faiblement croissante jusqu'à 00 m. environ (de 2 4 à 2 94), puis se maintenant à peu près sans changement jusque vers 400 m., pour montrer ensuite jusqu'au fond les mêmes valeurs décroissantes que lors de l'observation. précédente. En été, l'allure est tout autre: la température baisse rapidement de la surface jusque vers 40 ou 50 mètres (chute de 8 à lo:degrés), puis lentement COURBES DES TEMPÉRATURES de Port-Vendres à Ajaccio ( Juillet 92 ) - ~ :> ;;: >(.>( ~ ;<...;...,...,...;...; :;}..;..;..., ~ ;:;ç..., C/) <J) C/) <J) CIl <rj CIl <J) CIl v.>.~ ><:l ;;ë<:l ~~ 22~ 20~ 8~, --~<.>.:.... ",, \ ?5J ZOQ"e- 3 Zb entre 50 et 00 mètres (2 degrés en moyenne), et à ce niveau elle yst déjà arrivée, à quelques dixièmes près, à la valeur qu'elle conservera jusqu'aux plus grandes profondeurs. Mais il n'y a pas de couche homothermique à proprement parler, les variations étant sensibles dans toute la hauteur de la colonne d'eau et d'une région à l'autre du bassin.

6 8 G. PRUVOT 00 f-t-_o Presque partout, on peut noter un léger relèvement de la température contre le fond, plus accentué dans le voisinage des côtes, attribuable vrai- IOOW--.J ===::=:==""""",--r ~~::::::" lOL...L_.L.-_-'----'-_ J_ semblablement à la conduction par le sol de l'échauffement-plus rapide des terres émergées. Les graphiques ci-contre montrent l'allure des variations thermométriques dans les couches superficielles, jusqu'à 200 m. pr.le long des parcours de l'orvet, de l'ouest à l'est, et du nord au sud du bassin, en 92 et 922 Guillet). A niveau égal, et jusque vers 50 à 00 m. pro les eaux sont plus

7 CROISIÈRES DE L'ORVET 9 froides aux abords du Golfe du Lion, conséquence du climat (fréquence même en été, du vent du nord sur les côtes du Languedoc) et ce refroi ~ dissement s'étend, en s'atténuant, dans toute la portion nord-ouest du bassin jusqu'à Minorque. Particulièrement marqué à la fin de juin et en juillet 922 il s'est fait sentir alors jusqu'au voisinage de la Sardaigne. Mais, au retour vers le 20 août, nos thermomètres ont accusé une importante transgression des eaux chaudes se propageant à partir de l'est, sur une épaisseur d'une centaine de mètres, ayant pour cause initiale les fortes chaleurs qui onl sévi pendant une partie du mois sur le nord de l'afrique, notamment en Tunisie. A l'est du seuil sicilo-tunisien, région qui appartient déjà à la Méditerranée centrale, où la température de surface de l'eau dépasse 26 et 27, les eaux chaudes, supérieures à 5, butent et remontent contre le plateau (V. st. LVII et LIlI), d'où elles redescendent sur le versant opposé et jusqu'à une profondeur notablement plus grande que celle de leur point de départ. Salinités. - Partout, dans les eaux profondes (au-dessous de 200 m.), la salinité s'est montrée supérieure à 38 / 00, Elle se maintient ou croît légèrement jusque vers 800 m., puis décroît un peu jusqu'au fond. Mais, à profondeur égale, elle montre des différences sensibles suivant les régions; et ces variations sont indépendantes de la température. Ainsi, par exemple, on a relevé par 500 m. pro : S = 38,46 (T = 3 7) au sud de Marseille, S = 38,55 (T = 3 74) au large d'ajaccio, S = 38,42 (T. 3005) au sud de Mahon, S = 38,53 (T = 4002) au nord de Pantelleria, etc... et même aux plus grandes profondeurs observées, il existe encore des dif~ férences. Ainsi: S = 38,40 au nord de Minorque, par m. pro (T = 2 92), S = 38,30 à l'ouest de la Corse, par m. pro (T = 2097), S = 38,35 au nord de Philippeville, par m. pro (T = 2 88). Si on distingue dans le grand bassin de la Méditerranée occidentale une région nord s'étendant au nord du 40 parallèle (ligne Mahon-Oristano) et une région sud comprise entre celui-ci et la côte d'afrique, on constate que le maximum observé (38,65) a été trouvé dans l'ouest de la première région, à mi-chemin de la côte d'espagne à Minorque, par 300 m. de profondeur. Pour l'isobathe de 200 m., le maximum (38.40) s'est trouvé dans la même région, au sud de la côte de Provence, et de là la salinité diminue à la fois vers l'est et vers le sud (38,20 au large d'ajaccio, de même qu'au nord de Mahon). La diminution est encore plus marquée dans la région méridionale (de 38,5 au sud de Minorque à 30,00 au large de Philippeville). Cet abaissement de la densité paraît devoir être attribué ici à l'apport des eaux atlantiques, qui se fait sentir jusqu'à cette profondeur, mais peu audessous, car il y a déjà relèvement sensible et tendance à l'uniformisation dès la cote de 300 mètres.

8 2 G.PRUVüT pêches ont été nulles dans les eaux tunisiennes jusque vers le 0 septembre, où nous avons rencontré dans les parages de la Galite, une petite faune déjà abondante. En 922, le plancton superficie!, visiblement d'origine occidentale, s'étendait à l'est, dès la fin de juillet, jusqu'au nord~est du cap Bon, mais toujours constitué uniquement des petites formes banales les plus ubiquistes. Mais à la profondeur de 200 à 300 m., on rencontrait des groupements plus caractéristiques, rappelant le faciès des eaux plus spetentrionales : Siphonophores (Abyla), Ptéropodes thécosomes, Cymbulia, Phyllirhoe, Phronima, nombreux Chétognathes. J'ai déja signalé, l'année dernière, que nos pêches nocturnes ont toujours été de beaucoup plus fructueuses, quantitativement et qualitativement, que celles faite pendant les heures de jour. Le même fait s'est répété en 922 ;" c'est la nuit presque exclusivement qu'on prend à la surface les Annélides pélagique (Alciopiens, Tomopteris, Neciochœta), les Pterotrachœa, les Ptéropodes gymnosomes (Pneumoderma, Clione, Cliopsis), certaines larves de Crustacés (P yllosomes, grandes Zoes) et de poissons (Pleuronectes, Lepto~ céphale). Les Chétognathes, les Siphonophores, y sont particulièrement abondants; et enfin il faut signaler la présence, constatée plusieurs fois, d'animaux nettement caractérisés comme bathypélagiques, notamment de petits poissons à appareils lumineux qui ne sont jamais capturés le jour qu'à des profondeurs considérables. En somme, la répartition du plancton est déterminée, pour une bonne part au moins, par les conditions physico~chimiques des eaux. La salinité paraît jouer le rôle principal; les régions à haute salinité sont les plus riches; nombre de formes y sont presque exclusivement cantonnées, et même les types les plus ubiquistes, répandus partout, y sont plus abondants qu'ailleurs. La température élevée des eaux superficielles est plutôt une condition défavorable, et il semble que les organismes planctoniques sont sollicités de s'y soustraire en descendant dans la profondeur, passivement selon toute apparence. du "imple fait de la diminution de densité des eaux échauffées. II PLATEAU SICILO-TUNISIEN La période du 28 juillet au 22 août a été consacrée à l'exploration du grand plateau et des bancs unissant la Sicile et la Tunisie. Le travail a consisté surtout en séries de sondages et de pêches (dragues et chalut) avec récolte d'échantillons du fond, 52 stations relevées sur la carte ci-jointe ont été pratiquées à intervalles rapprochés sur les trajets: De Tunis à Marsala (banc Talbot) ; ~ De Marsala à Mazzara (extr. nord du banc de l'aventure) ; 3 De Mazzara à Tunis (banc de l'aventure) ; 4 De Tunis à Port-Empedocle (banc Graham et banc Terrible) ; )0 De Porto-Empedocle à l'île Pantelleria. Là, dans la soirée du 5 août.

9 CROISIÈRES DE L'ORVET 3 nous avons été pris au mouillage par une véritable tempête. Après avoir -cherché la nuit et tout le jour suivant un abri tenable, tout autour de l'île, il nous a fallu fuir finalement en abandonnant les engins, ligne~ e trémails, que nous avions posés la veille. La dernière ligne parcourue a été : 6 De Pantelleria à Sousse, par les bancs indiqués au large du Golfe <le Hammamet. Nous avions étudié l'année précédente la région spécialement côtiere Je Tunisie, jusqu'à une quarantaine de milles du rivage au maximum. Un <les buts de notre travail de cette année était, au point de vue pratique, pour satisfaire à la demande du Service des travaux publics de la Régence, d'étendre le plus au large possible la carte déjà esquissée des fonds de pêche tunisiens en recherchant s'il existe, au milieu des bancs de cette région. des terrains favorables à l'emploi du chalut. Cette région des bancs, dont le plus vaste et le plus important est le banc -de l'aventure, n'est, en fait, que la surface du plateau continental, là où il forme une large terrasse d'une soixantaine de milles entre la saillie du cap Bon et la côte sud~ouest de Sicile. Le détroit par lequel communiquent les deux bassins méditerranéens n'a, en cet endroit, que 80 milles environ de large. Du côté nord, les grands fonds du bassin occidental se relèvent rapidement et régulièrement de m. à 500 m. environ, en re le plateau <les Eskerkis et les îles }Egates. Du côté du sud, l'allure est plu tourmentée. Les grandes profondeurs s'arrêtent à la hauteur de la côte orientale de Sicile; puis, le plateau qui s'en détache et porte à son extrémité l'île de Malte isole entre celle-ci et Pantelleria une fosse étroite et allongée où la profondeur atteint encore.600 m. En face, les petites îles Limosa, Lampéduse, Pantelleria, jalonnent aussi le bord du plateau opposé qui les réunit à la côte tunisienne. Entre ces deux plateaux affrontés, les fonds continuent à se relever de part et d'autre, jusqu'au seuil de jonction, sorte de col sousmarin, qui va presque en ligne droite de la pointe du cap Bon au cap Lilibeo (Marsala) et sur lequel la profondeur extrême n'atteint même pas 300 m. Les eaux profondes des deux bassins méditerranéens sont donc complètement séparées. En certains points, nos chiffres de sonde s'éloignent sensiblement de ceux portés sur les cartes marines; celles-ci ne sont, d'ailleurs, que la reproduction d'une ancienne carte anglaise datant de 864, et elle ne donnent presque aucun renseignement sur la nature du sol sous~marin. J'aurais été désireux de reconnaître et d'examiner l'écueil Graham (4 m. 60 de profondeur) qui paraît être le reste de l'île volcanique tempoifaire Julia, apparue et disparue en 83 ; je dois confesser que nous n'avons pu le rencontrer; nous avons plusieurs relèvements à son voisinage, dont un à un mille au plus du point marqué; mais la sonde y a donné 45 m. et '96 m., avec fond de sable vaseux; et aucun indice de mouvement ou de -changement de coloration des eaux n'a relevé la présence, aussi loin que la vue pouvait s'étendre, d'un écueil aussi superficiel. En ce qui concerne la nature du sol, la vase profonde vient partout buter

10 , 4 G. PRUVOT contre le pied du talus continental, par 300 m. et même moins de profondeur; elle est comme d'habitude, molle, fine, gris-jaunâtre, mais devient gluante. plus compacte et bleutée dans la fosse mentionnée plus haut, comme au fond des indentations qui échancrent le bord des plateaux qui la dominent. Ce changement de consistance et de coloration qui doit être attribué à la.transformation chimique de l'oxyde de fer qu'elle renferme, est l'indice d'une stagnation absolue et prolongée des eaux dans lesquelles ne vient pénétrer.et se déposer aucun sédiment alluvial actuel. Quant au sol du plateau continental dont le contour est dessiné sensiblement par l'isobathe de 200 m., il est assez inégal, formé pour la plus grande -part, et cela presque partout à partir du rivage, sans interposition. de vase -côtière, de sables et de graviers plus ou moins grossiers, peu ou pas chargés de vase, et les divers bancs qui y sont délimités, un peu arbitrairement, sur les cartes marines par l'isobathe de 00 m., n'en sont que les parties les plus élevées, où le fond, peut-être plus balayé par les courants, est formé d'éléments particulièrement grossiers et rocailleux. Le banc de l'aventure est le,plus vaste: il offre, et il est le seul à offrir un intérêt réel pour la pêche. én raison de sa large surface, assez unie, du sol ferme et dur, propre au traî 'nage des engins à plateaux. Quelques exemples choisis en ses différentes parties donneront des -conditions qu'il présente un tableau plus précis qu'une longue dissertation: Au milieu même du banc, on peut dire sur son sommet (stat. XL à XLII de la carte ci-jointe), par 80 m. prof., c'est un beau fond, propre et dur,.de' sable assez fin, tassé, semé de grandes coquilles, entières et brisées; les Invertébrés dominant sont des Comatules, des Spongiaires, des Ascides.composées, des Avicules, de petits Pectens. Vers le Sud-Ouest, sur la partie appelée banc Scourge, (St. XLIII, par.exemple), par 63 m., le fond est le même, sable et petit gravier régulier; mais la Comatule précédente (Antedon rosaeeus) est remplacée par sa congénère des eaux plus profondes (A. phalangium). Comme poissons, le chalut a ramené seulement: raie (Raia miraletus), 2 baudroies (Lophius piscatorius), merlans (Merl. vulgaris), 6 grondins (Trigla milvus et T r. corax), 3 moustelles (Phycis blennoides), et 7Plagusia laciea. Les merlans surtout étaient de petite taille, avec des caractères de jeunes.,. Encore plus au sud, au bord même du plateau (St. L, par exemple), par 7 m. pr., le fond se montre encore identique, mais la pêche y a été plus fructueuse : 3 raies (Raia oeel/ata), 2 serrans (ParacentrQpristis hepatus), merlans, de bonne taille (25 à 30 centimètres), 26 grondins (Trigla pini et Tr. corax), 72 cavillone (Lepidotrigla aspera), quelques Centriscus. Capros, Zeus label" jeunes, et surtout de nombreux Pleuronectes: 2 soles, 40 Arnoglossus megastomus et Am. Grohmanni. Mais au nord-est, du côté opposé, vers la terre ferme, à une dizaine de mille~ seulement de la côte sicilienne (St. XXXIX), par 4 m. pr., les fonds ont devenus nettement vaseux, plus mous, caractérisés avant tout par l'abondance des Algues vertes et brunes et des grands Hydraires, et le produit du chalut est néanmoins sensiblement le même que précédemment: mous-

11 CROISIÈRES DE L'ORVET 5 telles, grondins, plagusies, petites soles (Solea microchir), une torpille (Torpedo marmorata), 25 merlans jeunes, 5 capelans (Cadus minutus, espèce rare dans les parages aussi méridionaux), auxquels il faut ajouter cette fois, une trentaine de grandes crevettes (Penœus caramote). Et tout à fait à la bordure sud du plateau (St. LXVI, par exemple), par 224 m. pr., les sédiments sableux de la région centrale ont passé progres~ sivement à la vase profonde grise, peu sableuse, avec débris de coquilles; beau fond mou, mais à cette profondeur, la plus grande ou nous ayons pêché, le poisson s'est montré particulièrement rare et petit, merlans, trigles, baudroies, moustelles, accompagnées encore de quelques grandes crevettes (Penœus). Enfin, sur le versant nord, du côté du large (St. XXXI à XXXIII), de 90 m. à 0 m. pr., le fond devient très rocailleux, concrétionné et semé de coquilles d'ostroo, probablement rocheux par places. Il est caractérisé par la présence de T érétratules, de Dorocidaris très abondants, de grands Bryozoaires rameux, de Lithothamnion roulés, d'algues brunes, Laminaires et autres. C'est un faciès coralligène, très intéressant pour le naturaliste, mais ou il serait imprudent de risquer des filets; nous ne l'avons exploré qu'avec l'engin des corailleurs. En somme, la portion du plateau continental à laquelle on peut attribuer globalement le nom de plateau de l'aventure représente sensiblement une table rectangulaire rattachée par un de ses grands côtés à la Sicile, du cap Lilibeo au cap San Marco (Sciacca). Légèrement relevé en sa partie moyenne suivant une ligne courbe que jalonnent les bancs Talbot, Scourge, Graham, au sol inégal, ferme et caillouteux, il s'abaisse rapidement des trois autres côtés; mais, tandis que sur le versant sud-est, les sédiments deviennent progressivement plus fins, plus mous et de plus en plus vaseux, au point de passer sans démarcation à la vase grisâtre des grands fonds, du côté opposé, vers le nord, au contraire, la bordure accuse brusquement un caractère accidenté, très semblable au faciès qui a été décrit sur les côtes de Provence, sous le nom de fonds coralligènes profonds. A l'exception de cette bordure, étroite du reste, et sous réserve de quelques pointements rocheux hypothétiques, toute cette étendue, que nous avons traversée en tous sens avec nos engins, forme lin fond plutôt résistant et sain qui paraît bien approprié à la pêche aux filets traînants. Mais il n'en est pas de même des quelques petits bancs qui surgissent de façon abrupte un peu à l'est du grand plateau; ils sont trop réduits, d'ailleurs, pour qu'on songe à les exploiter, du moins de cette manière. Les fonds y sont durs, inégaux, caractérisés par l'abondance des concrétions d'algues calcaires globuleuses, comme roulées, semblables à celles que nous avons relevées autrefois dans les parages orientaux des Baléares et que les pêcheurs du pays y nomment Cascajos. Sur l'un d'eux, le plus méridional, une tête de roche a accroché (St. LXI, par 7 m. de profondeur) et brisé une de nos dragues; c'est la seule fois que pareil accident est arrivé. La drague est remontée néanmoins à demi~pleine de gravier calcaire très propre, rap~ portant avec lui nombre d'animaux intéressants, des Astéries, des Ascidies.

12 6 G. PRUVOT surtout des formes rares ou nouvelles de Gastéropodes opisthobranches, et aussi un petit poisson appartenant au genre Ammodytes, probablement l'amm. terebrans de Cisternas. Enfin, dans le but d'étendre jusqu'à la limite pratiquement accessible, en fait jusqu'à l'extrême bord du plateau continental, notre connaissance des fonds de pêche de la Régence, nous avons pratiqué une série de sondages et de pêches, au large de la côte orientale de Tunisie. à une soixantaine de milles du fond du golfe de Mammamet, où les cartes marines portent au sud de Pantelleria l'indication de quelques petits bancs légèrement suré~ levés. analogues à ceux du plateau sicilien. Formés de sables et de gravier relativement fin, auxquels se mêle encore à cette distance une notable pro~ portion de vase côtière jaune. ils marquent le bord même de la plateforme continentale au pied de laquelle la profondeur tombe rapidement de 00 m. environ à plus de 300 m. Je dois signaler, qu'en général. nous avons trouvé dans cette région (St. LXIX à LXXIX). particulièrement à la hauteur de Sousse et de l'île Kuriat, des profondeurs supérieures à celles des cartes (exemple: 74 m. au lieu de 86 m, à la station LXXII). Au point de vue faunistique. ces fonds montrent des associations d'invertébrés caractéristiques : abondance de Spongiaires, entre autres Thenea muricata, que nous n'avions pas rencontrée ailleurs, de Zoanthus, de grands Hydraires (Sertularia, Antennularia, Aglaophenia), des Bryozoaires calcaires nombreux et variés, des Astropectens, des Sténorhynques à longues pattes annelées de blanc et de rose. des Sépioles, etc... Comme poissons, la faune ordinaire des fonds sableux: merlans (M. vulgaris et M. poutasson) grondins (Trigla milvus, Tr. corax) cavillons (Lepidotrigla aspera), serrans (Serranus cabrilla, Paracentropristis hepatus), Malarmat (Peristedion cataphraetum), sole (Solea variegata), cithare (Cith. linguatula), moustelles (Phycis blennoides.et mediterraneus), moulette (Callionymus maculatus). Mais là encore, tous ces poissons sont peu abondants et de petite taille (les merlans ne dépassaient pas une quinzaine de centimètres), ce qui tend à infirmer l'opinion généralement répandue, chez les pêcheurs, qu'au large les individus devraient être plus abondants et plus beaux que dans les parages littoraux plus exploités. En résumé, toutes,les échancrures de la côte tunisienne, golfes et baies, sont tapissées d'une couche uniforme de sédiments meubles qui nivelle les aspérités du sol sous-jacent. Ces sédiments diminuent progressivement d'épaisseur vers le large. et n'atteignent pas habituellement le bord même du plateau continental. D'origine actuelle, dûs aux apports par les vents, les cours d'eau, les eaux de ruissellement, ils ont une consistance et une composition variables, suivant le caractère des terres voisines qui en fournissent les élements. Dans la région méridionale, jusqu'au plateau des Kerkennah, et même un peu plus au Nord, jusqu'à la hauteur du Ras Kapudia. le sol sous-marin faisant suite à une région de type désertique bien caractérisé, est de sable

13 CROISIÈRES DE L'ORVET 7 pur, gris et fin, sans mélange appréciable de particules vaseuses. La profondeur est faible, ne dépassant 40 m. que dans la partie la plus septentrionale, et le sol est couvert jusqu'à 30 ou 35 m. d'herbiers de Posidonies et d'algues. C'est la région où prospère et que ne paraît pas dépasser l'éponge usuelle (Hippospongia equina). Les pêcheries fixes des indigènes, en clayonnages de feuilles de palmier, y sont très développées; elles fournissent une grande abondance de poissons, toujours de petite taille, où dominent les Sargues (5. vulgaris, 5. annularis). Les filets traînants sont gênés pour y travailler par la quantité de débris de zostéracées et d'algues dont ils se chargent rapi dement. Plus au nord, dans le golfe de Hammamet, le sédiment de recouvrement.est, par contre, une vase jaune, très fine et très molle, sans algues ni débris de coquilles ou d'organismes gênants, constituant ainsi un fond propre, favorable à l'emploi du chalut; il s'étend sur une vaste surface jusqu'au bord du talus continental, qui est souligné par l'étroit liséré sablo-vaseux habituel. Dans la troisième des grandes échancrures de la côte, le golfe de Tunis, le fond est assez semblable au précédent, ce qu'explique suffisamment la similitude des terrains émergés qui sont l'origine des dépôts, formés là aussi d'une fine vase molle gris jaunâtre, en nappe uniforme jusqu'à la hauteur de l'île Zembra, au delà de laquelle viennent les sables et graviers du large. Ce sont ces derniers, plus ou moins pénétrés par la vase littorale, plus ou moins grossiers, plus ou moins mélangés de concrétions et de débris calcaires, qui représentent la surface primitive du plateau formée d'alluvions anciennes. Mais, sur le prolongement des saillies rocheuses, falaises, caps, de la côte qui séparent les vallées d'alluvion (cap Blanc, cap Bon, Ras Dimas), ces sables et graviers séparent les compartiments nivelés précédents à partir de la ligne même du rivage et jusqu'au bord du platéau sous forme de larges tables inégales, couvertes parfois de sable peu grossier et vaseux, mais par endroits rocailleux, concrétionnées et revêtues d'algues et de colonies d'animaux fixés, que percent çà et là des têtes de roche isolées, dangereuses pour les filets. Les petits chaluts peuvent y travailler moyennant quelques mesures de prudence, mais les espaces exploitables ainsi y sont toujours peu étendus. Ce sont les parties les plus graveleuses, ordinairement surélevées qui forment les «( bancs)) indiqués sur les cartes (bancs des Eskerkis, de Mamoura, de Nabeul, Kuriat, etc.) De l'autre côté, sur le versant sicilien du détroit, la répartition des sédiments est, en dépit des dénivellations plus accentuées, moins variée et plus uniforme, conséquence de l'allure générale de la côte qui s'étend sensiblement en ligne droite des Îles!Egates à la région de Syracuse, sans former de golfes caractérisés. Les apports de vase côtière y sont peu importants. mal localisés, et laissent à nu la plus grande partie du plateau qui est ici très large (une cinquantaine de milles) entre Marsala et Girgenti. Partout, dominent des sables peu vaseux, plus grossiers sur les bancs qui marquent les régions saillantes du plateau. Mais, plus que la constitution physico-chimique du sol, ce qui, pour le

14 lb C. PRUVOT naturaliste et le pêcheur. caractérise surtout les fonds et accroît leur diversité. ce sont les associations d'organismes végétaux et animaux, fixés ou du moin sédentaires, quimontrent presque partout une localisation remarquable. On a relevé ici comme types principaux: A. - Fonds d'herbiers, Tapis de zostéracées entremêlées d'algues vertes (Caulerpa, Codium, Halimeda) ; éponges, Lamellibranches (Arca Noe). poulpes, seiches, crevettes (Palœmon). B. - Fonds à algues brunes (Laminaires, etc.) ; Gorgonacées (Gorgonia. Primnoa), Spatangues, avicules, crustacés décapodes (Calappa, Gonoplax. Eurynome, Galathea, etc...) C. - Fonds Coralligènes, caractél;sés par l'abondance d'organismes et dt" débris calcaires (Lithothamnion, grands Bryozoaires, Serpules, coquille variées), marqués sur les cartes marines, mad., abréviation de madrépores. quoique les véritables Madréporaires en sgient absents. Echinodermes (DoTocidaris, Echinaster,.ophioglypha, etc.), Annélides tubicoles, lamellibranches (Pecten, Pectunculus, Cardium). A noter comme variété les sables coquilliers, moins grossiers, formés en majeure partie de menus débris de coquilles : Annelides, Ascidies, D. - Fonds à Alcyonaires. La forme dominante est Alcyonium digilatwn. asiocié à des Vérétilles, des Pennatules, de grands Hydraires (Aglaophenia. Lafora), des Holothuries (Stichopus), Sépioles, Calmars, Pagures. Ce fond est peu développé et peu caractérisé dans la région tunisienne ; il est généralement remplacé par un faciès à Spongiaires où dominent les grandes Eponges siliceuses (C/iona, Esperella, Reniera, Axinella, etc.) t't les Ascidies composées; pas d'echinodermes, mais nombreux Crustacé;, (Pilumnus, Stenorhynchus, grands Penœus). E. - Fonds li Comatules, caractérisés par l'abondance extrême d'antedon phalangium ; des Hydraires (Sertularia,) Aphrodites, Hermiones, Murex, Crustacés très variés (Pisa, Lambrus, Calappa, Dorippe, Portunus, Galathea, Pagurus, Crangon). Peu ou pas de Spongiaires, d'ascidies, de Lamellibranches. A une profondeur moindre, et là où le fond est plus exclusivement vasem.. l'a. phalangium est remplacé par l'a. rosaceus et le type général du reste de la faune montre des caractères de transition, le rapprochant plus ou moin" du faciès à Spongiaires précédent. Mais, par contraste avec cette diversité des faciès, ce sont, presque partout, les mêmes espèces de poissons que ramènent les chaluts. Ni la profondeur, ni la nature du fond ne semblent exercer d'influence bien appréciable sur leur distribution. Le merlan (Merlucins vulgal'is), le rouget barbet (Mullus barbatus), les grondins (Trigla pini, mi/vus, corax, etc.), les Pleuronectes (Cit!JaTus lingualula, Amoglossus Grohmanni, Solea variegala et S. microchir), quelques raies, sargues, pageaux, dorades, ont à peu près les seuls à présenter une réelle valeur économique.

15 CROISIÈRES DE L'ORVET T9 Cette indifférence relative de la plupart des espèces vis-à-vis du milieu, c'est-à-dire vis-à-vis des..:onditions d'existence et d'alimentation, marche de pair avec la diminution de taille des individus. Seuls à peu près les grondins montrent un assez beau développement témoignant d'une exacte adaptation aux conditions des eaux méridionales; et ce sont eux aussi qui sont les plus spécialisés dans leur habitat, recherchant de préférence les fonds vasosableux consistants, au pourtour des plateaux. Les rougets, particulièrement abond~nts dans la vase côtière, sont plus petits, de coloration plus terne, de chair plus molle et moins estimée que leurs congénères des côtes européennes. Quant au merlu qui montre, comme plusieurs autres Gadidés, un si remarquable développement dans les eaux océaniques septentrionales. il n'est pas douteux qu'il est ici en état d'appauvrissement organique, à la limite même de son extension géographique. Il paraît en être de même pour les Pleuronectes, quoique à un moindre degré. Les renseignements pris auprès des pêcheurs siciliens ont confirmé et renforcé les conclusions à tirer tant de nos propres observations que de l'enquête faite l'année dernière auprès des chalutiers de la Goulette et de Sousse. Notamment, trois chalutiers à vapeur du port de Sciacca emploient un grand chalut à plateaux, de 29 brasses; les plateaux sont plutôt petits,. p U 80 X om90 et surtout très légers; le filet, par contre, est assez lourdement lesté. Allant de port en port, ils pêchent toute l'année, ordinairement par 50 à 60 brasses de fond, jusqu'à 7 ou 8 milles de la côte, leur faible vitesse, 6 nœuds, les empêchant d'aller travailler plus au large. La pêche est, d'aprè eux, plus abondante en été qu'en hiver; en 7 ou 8 heures de traînage, ils prennent alors en moyenne de 4 à 6 quintaux de poisson, merlus, grondins, rougets. Le poisson est, en général, petit; de belles pièces sont, par exemple, les merlans d'une livre. Les bénéfices ne sont pas considérables, mais sont uffisants. Il ressort, en somme, de l'étude qui précède, qu'il existe sur les bancs du large plateau sicilien, comme au large des côtes tunisiennes, d'assez grandes étendues pouvant se prêter parfaitement à la pêche au chalut; quoique les fonds y soient peu poissonneux, comme c'est, du reste, le cas général en Méditerranée, elles sont susceptibles de fournir à une flotte de pêche beaucoup plus nombreuse que celle qui n'en exploite actuellement qu'une faible partie, un produit suffi amment rémunérateur, à condition de perfectionner encore l'outillage pour l'adaljter de mieux en mieux à la nature des fonds, comme au travail à grande distance, et de s'appliquer à réduire autant qu possible les frais d'exploitation.

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17 CROISIÈRES DE L'ORVET dirigées par M. ie Professeur G. PRUVOT GRAPHIQUES ET TABLEAUX ANNEXES

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19 CROISIÈRES DE L'ORVET 23 Croisière de l'orvet (.JUIN-SEPTEMBRE 92) LISTE DES STATIONS ET DES OPÉRATIONS EFFECT:JÉES Les désignations entre parenthèses sont celles de la carte de la région tunisienne parue dans le no 8 du Bulletin (novembre 92). f Station. Longil. Latit. Profond. Opérations ~ 3 4'E, 42 32'N, 88 m. Températures, échantillon d'eau. Il 3 23' 42 34' 06 Températ., éch.d'eau, plancton. III 3 33' 42 36' 20 T emp.éch.d'eau, éch.fond, planet: IV 3 52' 42 45' 370 T,m",., ',h.d'~", é,h. d" fo"d V 4 0' 42 48' 380 Tempér., écho d'eau, plancton. VI 4 58' 42 37'.600 env. Tempér., écho d'eau. VII 5 0' 42 29'.900 env. Tempér., écho d'eau, plancton. VIII 5 3" 42 20' Tempér., écho d'eau, plancton. IX 6 26' 42 2' env. Tempér., écho d'eau. X 7 25' 42 4' env. Tempér., écho d'eau. XI 7 42' 42" l' env. Tcmpér., éch, d'eau, plancton. XII 8 2' 4 55' env. Temp'r., écho d'eau. XIII 8 38' 4 4r SOO env. Tempér., écho d'eau, plancton. XIV S04' 4 5' 550 env. Tempér., écho d'eau, plancton. XV 3 6' 42 25' 76 Tempér., écho d'eau, chalut. XVI 3 22' 42 9' 9 Temp., éch.d'eau, plancton,dragu~ XVII 3 6' 42 9' 95 Tempér., écho d'eau, plancton.. XVIII 3 6' 42 3'5 92 Tempér., écho d'eau. XIX 3 34' 4 5'.06 Tempér., écho d'eau. XX 3 55' 4 9' env. Plancton. XXI 3 52' 4 S' env. Tempér., écho d'eau, plancton. XXII 4 3'S 40 33' 2.S00 env. Tempér., écho d'eau, plancton. XXIII 4 33' 3903S' 957 Tempér., écho d'eau, plancton. XXIV 4 45' 3907' 2,000 env. Tempér., écho d'eau, plancton. XXV 5 3' 3902' env. Plancton. XXVI 5 IS' 3S043' env. T empér., écho d'eau, plancton, XXVII s039' 38 9' 2.S00 env. Tempér., écho d'eau, plancton. XXVIII 6 24' 37 5S' env. Tempér., éch, d'eau, plancton. XXIX 6 2' 37 35' env. Tempér., écho d'eau, XXX 6 45' 37 38'5 2.S00 env. Tempér., écho d'eau, plancton. XXXI 7 6' 37 4' env. T empér., éch, d'eau, plancton. XXXII 9 6' 37 2' 62 Tempér., écho d'eau, plancton. XXXIII 9053' 37 6' S Plancton. XXXIV 9 53' 37 6' S Plancton.

20 24 G. PRUVOT Station Longit. Latit. Profond. Opérations XXXV (T. ) 0026' E. 37 4'N. 50 Echant. de fond, chalut. : XXXVI (T. 2) 0029' 37 4' 6 - plancton. XXXVII (T. 3) IÜ"27' 37 0' 29 - XXXVIII (T. 4) Ü"26' 37 6' 74 - XXXIX (T. 5) Ü"34' 37 6' 4 - chalut. XL (T. 6) Ü"38' 37 0' 38 - plancton. XLI (T. 7) 0"4' 37 9' 29 - XLII (T. 8) Ü"44' 37 8' 3 Echant. de fond. XLIII (T. 9) 0044' ' 30 - chalut. XLIV (T. 0) Ü"45' 37 0 ' 32 - chalut. XLV (T. JI) ()<'47' 37 2' 39 - chalut. XLVI(T.2) 0047' ' 9 - XLVII (T. 3) ' 37 7' 2 Petit gangui, trémails. XLVIII (T. t4) 005 ' ' 72 Echant. de fond. XLlX(T.5)!OO54' ' 83 - L (T. 6) IOO5S' 37 0 J' 20 - LI (T. 7) Ü"56' 37 2' 3S - grande drague.. LII(T.8) Ü"S8' ' 3S - LIli (T. 9) 004 ' ' 63 - UV (T. 20) 0 S' ' 05 - chalut. LV (T. 2) 7' ' 09 - LVI (T. 22) III) 6' 37 5' 67 - LVII (T. 23) 7' ' 78 - LVIII (T. 24) 0 0' ' 07 - UX (T. 25) 3' ' 46 - Drague LX (T, 26) 0 4' 37 0 l' 56 - LXI (T. 27) 3' ' 32 - LXII (T. 28) 0 3' ' 98 - LXIII (T. 29) 3' ' 52 - LXIV (T. 30) 2' ' 56 - LXV (T. 3) 7' 36 49' 6 Trémails, palangres, LXVI (T. 32) 2' 36 48' 90 Echant. de fond. LXVII (T. 33) 5' 36 47' 07 - chalut. LXVIII (T. 34) 6' 36 45' 3 - LXIX (T, 35) 2' 36 45' 37 - LXX (T. 36) 26' 36 44' 26 Echant. de fond, LXXI (T. 37) 9' 36 39' 20 - LXXII (T. 38) 4' ' 73 - LXXIII (T. 39) 7' 36 3' 47 - LXXIV (T. 40) 7' 36 3 ' 35 - LXXV (T. 4) 0 7' 36 33' 32 - LXXVI (T. 42) 0036' ' 4 Palangres. LXXVII (T. 43) 0037' 36 3' 80 Echant. de fond, chalut. LXXVIII (T. 44) 0039' 36 9' 78 - LXXIX (T. 45) 0 0' 36 25' 03 - LXXX(T. 46) 0 4' 36 9' 3 - chalut

21 \, \ D E c Ij"IT f, l 0 iy '6(/0 ~ VII 'OOf} IdElbeC~ :: ~,~'"'"'j Je! G'Sho \J Mon rlsla ".~'<j~~ "- ~7S0" " \:XXVI.. $$0 \ \ \, '. "XXV "'\(:8'50 l', '., Bal é," ".,,... Xli.'<.':;0, '-i"" --"-".., =--- '. ",,,, XII' "'''-l7s0 XXIII..", <Xlv 2000 XXV?lOD " " (~j'oo,.,, '. l----;: l-----"\;-----~--->, ----,--"'":"", r '-"-'-"-'=~+ f.n;~p±:-;.;:cj,,-'-----'t ' î" "- "UllI '--('so '" ""t XXVII 800 '- W------! \ j'>.W;;;; ,----'--ç- '-- '-"" 2760 XX"... 2$50 "0- -'- -~:~~ c')... lag~ ~ '", CroIsières de ItineraIres en 82 -/d-- en 822 Numeros des stations ProFondeurs ""V XLII Echelle o JO 5C 60 9D l'

22 CROISIÈRES DE L'ORVET 2S Station. Longit. Latit. Profond. Opérations LXXXI (T. 47) 4' E. 36 4' N. 08 Echant. de fond. LXXXII (T. 48) ' 36 7' 93 - LXXXIII (T, 49) 7' 36 l' 58 - LXXXIV. (T. 50) 0053' 35 52' 55 LXXXV (T. 5) 0057' 35 54' 49 - LXXXVI (T. 52) 2' 35 54' 47 - LXXXVII (T. 53) 5' 35 55' 50 - LXXXVIII (T,54) 9' 35 56' 66 - LXXXIX (T. 55) 3' 35 56' 93 - XC (T,56) 5' 35 57' - chalut. XCI (T. 57) 9' 35 55' 7 - XCII (T,58) 5' 35 53' 84 - XCIII (T. 59) 3' 35 52' 7 - XCIV (T. 60) 2' 35 47' 9 Trémails. XCV(T.6) ' 35 46' 55 Echant. de Fond. XCVI (T. 62) 5' 35 45' 74 - XCVII (T.63) 20' 35 43' 89 - chalut. XCVIII (T, 64) 20' 35 36' 82 Echant. de fond. XCIX (T. 65) 9' 35 3' 8 - C (T. 66) 8' 35 26' 64 - CI (T. 67) 8' 35 2' 56 - CIl (T. 68) 23' 35 9' 48 - chalut. CIII (T. 69) 22' 35 6' 45 - CIV (T' 70) 7' 35 7' 48 - chalut. CV (T. 7) 6' 35 5' 46 - CVI (T. 72) 6' 35 5' 45 - CVII (T. 73) ' 35 4' 2 Petit gangui. CVIII (T. 74) 6' 35 2' 24 Echant. de fond. CIX (T. 75) 20' 35 9' 2 Plancton.

23 26 G. PRUVOT Croisière de l'orvet (JUIN-AOUT 922) LISTE DES STATIONS ET OPÉRATIONS EFFECTUÉES Stations Longit. Latit. Profond. Opérations 3 37'E N. 22 m. Plancton. Ir 3 27' 42049' 98 Plancton. III 3 47' 43 8' 96 Chalut. IV 5 0' 43 ' 95 Plancton. V 4 2' 43 3' 382 Drague. VI 3 35' 42 0' 435 Tempér., échant. d'eau, plancton. VfI 4 9' 4 45'.9'6 Tempér., échant. d'eau, plancton. VIll 4 35' 4 32' env. Plancton. IX 5 3' 4 7' env. Tempér., écho d'eau, plancton. X 5 38' 40058' l.600 env. f empér., écho d'eau, plancton. XI 5 58' 40043' env. Plancton. XIl 6 28' 40025' env. fempér., échant. d'eau, plancton. XIII 6 53' 400 3' env. Tempér., échant. d'eau, plancton. XIV 7 29' 39040' env. Plancton. XV 9036' 38 47' 525 Plancton. XVI 00 3' 38 26'.350 f empér., écho d'eau, plancton. XVII 0047' 37 56' 339 Drague. XVIII 0055' 37 40' 3 Temp., écho d'eau, sondage, écho fond. XIX 0046' 37 2' 275 Plancton. XX 0048' 37 7' 22 Nasses et trémails (i. Z~mbra). XXI 8 53' 37 37' 342 Températ., écho d'eau. XXII 8 ' 37 45' env. Plancton. XXIII 6 23' 38 47' env. Plancton. XXIV 6 9' 39020' env. Températ., écho d'eau. XXV 4 48' 40036' env. Plancton. XXVI 4 27' 4 l' env. Tempér., écho d'eau. XXVII 4 0' 4 2' Z.300 env. Plancton. XXVIII 3 38' 4 5!'.40 Plancton. XXIX 22' 37 7' 357 Températ., écho d'eau. XXX 28' 37 9' 357 Sondage, écho du fond. XXXI 34' 37 2' 09 Engin des Corailleurs. XXXII 4' 37 23' 92 Engin des Corailleur s. XXXIII 20 4' 37 34' 90 Engin des Corailleurs. XXXIV 2 23' 37 38' 28 Drague. XXXV 2 23' 37 36' 39 Sondage, écho du fond. XXXVI 2 25' 37 3' 75 Sondage, écho du fond.

24 , CROISIÈRES DE. L'ORVET 27 Stations Longit, Lafit. Profond. Opérations XXXVII 2<>24'E 'N. 75 Sondage, é~h. du fond. XXXVIII 2 28' 37 24' 39' Chalut. XXXIX 2 39' 37 22' 4 Chalut. XL 2<>' 37 7' 84 Drague. XLI 2 8' 37 5' 87 Sondage, écho du fond. XLII 2 5' 37 4' 89 Drague. XLIII 55' 37 0' 63 Clialut. XLIV \ 49' 37 ' 63 Chalut. XLV 28' 37 2' 382 Plancton. XLVI 36' 37 2' 505 Sondage, écho du fond. XLVII 44' 37 2' 429 Sondage, écho du fond. XLVIII 44' 36 56' 846 Temp" éeh. d'eau, plancton. XLIX 45' 36 54' 775 Sondage, écho du fond. L 56' 37 0' 7 Chalut. LI \ 59' 37 2' 9 Chalut. LI 2 25' 37 ' 40 Chalut. LIlI 2027' 37 9' 46 Températ., écho d'eau, chalut; LlV 2 45' 37 0' 45 Sondage, écho du fond. LV 2 47' 37 9' 96 Drague. LVI 2049' 37 9' 08 Sondage, écho du fond. LVII 3 5' 37 l' 339 Tempét., éclant. d'eau: LVIII 3 l' 36 57' 283 Sondage, écho du Fond. LX 2 57' 36 58' 245 Sondage, écho du Fond. LX 2 53' 36 57' 299 Sondage, écho du Fond. LXI 2 5' 36 56' 7\ Drague. LXII 2037' 36 57' 5 Sondage, écho du fond, LXIII 2 34' 36 56' 22 Sondage, écho du fond. LXV 2 34' 36 52' 29 Chalut. LXIV 2035' 36 54' 27 Sondage, écho du Fond, 0 LXVI 2 29' 36 52' 224 Chalut, LXVII 2 9' 36 44'.230 Températ., sondage, 'ch du fond. t LXVIII 55' 36 50' 2 Trémails (i. Pantelleria). LXIX 39' 35 49' 23 Tempér., écho d'eau, chalut. LXX 43' 35 47' 88 Chalut. LXXI 4' 35 49' 78 Sondage, écho du Fond, LXXII 4' 35 5' 74 Chalut. LXXIII 4' 35 54' 78 Chalut. LXXIV 40' 36 3' 252 Sondage, écho du fond. LXXV 39' 36 6' 289 Sondage, écho du fond. LXXVI 40' 36 8' 278- Sondage, écho du fond. LXXVII 42' 36 20' 60 Chalut. LXXVIII 45' 36 23' 48 Chalut. LXXIX 50' 36 32' 36 Sondage, écho du fond.

25 28 G. PRUVOT Croisières de l'orvet (92.922) CARACTÉRISTIQUES DES FONDS S, sable; Gr., graviers; V. vase; Coq., coquilles; R. roche; Ale., Alcyqnaires ; A. phal., Antedon phalangium; A. ros., Antedon rosaeeus; Bryoz. Bryozoaires; Corn. Comatules; Corail., Coralligène ; Crust., Crustacés; Dor., Dorocidaris ; Fior., Floridées ; Hol., Holothuries; Hydr. Hydraires ; Lith., Lithothamnion ; Spong. Spongiaires; Synasc., Synascidies. Stations Profond. Nat. du fond Faciès bionomiques T. J 50 m. S. vas. gris jaun. F. à Corn. (A. phal et A. ras) et Spong., sans Synasc. T. 2 6 S. vas. gris j. idem T V. sabl. j., molle - T V. peu sabl. j. - T. 5 "4 V. jaun., molle. F. à Corn. (A. ros.). sans Spong. nt Synasc T V. j. molle. idem T V. j. molle. - T. 8 3 V.j. molle. - T V. lég t sabl.. molle F. à Com. (A. ras.) et Hol. (Stichopus C. T V.!ég t sabl. idem T. 39 V. lég t sabt. -- T.2 9 V. sabj., coq. - T Gr. lég t vas. coq. - T Gr. vas. coq. F. Corail. à Bryoz. T.6 20 Gr. coq. (R.?) - T.7 35 S. vas. mou. F. à Com. (A. ros.) et Hol. (Stichopus) T.9 63 V. jaun. molle. - T S. et Gr. coq. F. à Spong. et Dorocid T rn, R. et Gr. coq. - T S. gross., coq. dur. - T S. lég t vas., dur. - T Gr. coq., dur. - T S. vas. c,oq, - T S. vas. F à Crust.(Penœus). sans Corn. ni Spong. T S. vas. - T S. et Gr. vas. - T R et Gr. coq. - T Gr. coq. dur. - T S. vas. mou - T S. vas. F. à Com. (A ros.) et Crust. (Crabes. Penœus). T.34 3 S. vas. idem T S vas. grosso - T V. argil. compacte. - T S. vas, coq. - T S. vas. coq. -

26 CROISIÈRES DE L'ORVET 29 Stations. Profond. Nat. du fond. Faciès bionomiques. T S. coq. dur. F. à Algues brunes et Fior. T.4O 35 S. grosso F. Corail. à Alg. brune.s et Lith. T S. gross F. d herbiers. T V. jaun. molle. F. à Spong. et Syn., sans Com. T V. jaun. molle idem T V. j. leg t sabl. - T.46 3 V. jaun. molle. - T V. j. coq. F. à Com. (A. ros.) et Spong., Cor. àl Bryoz. et Crust. (Pemeus C.). T S. vas. gross., coq. T S. grosso coq. - T S. grosso coq. _. T.5 49 S. vas. coq. - T S. et Cr. (R.?) - T m. S. et Cr. coq. - T S. leg l vas., coq. F. à Algues brune~ et FIor. T S. fin leg! vas. - T. 56 V. grise sabl. F. à Spong. et Synasc., sans Com. T V. jaune molle. idem T Cr. coq. (R.?) F. Corail. à Li/h. et Bryoz. T.59 7 Cr. coq. (R.?) idem T S. coq. F. à Algues brunes et FIor. T S. fin coq., dur. -, T S. fin vas. F. à Com. (A. ros.) et Spong. ; C r. àl Bryoz. et FIor. T S. fin vas. idem T.65 8 V. leg t sabi., grise. - T V. sabi. coq. T S. fin vas. ' - T S. fin gris. F. à Algues vertes (Co:iium, Callierpa) et FIor. (Vidalia). i T S. fin gris. ideml T S. fin gris. F. à Algues vertes (Codillm, caulerpa) et Spong. T S. fin gris. idem T Cr. (R.?) - T S. fin blanc. F. d'herbiers et Algues vertes. T S. blanc coq. - T.75 2 S. fin blanc. Fond d'herbiers. XXIX 357 V. sabl. j., compacte. - XXX 357 V. arg. comp. - XXXI 09 Cr. coq. (R.?) F. corail. a Dorocid. XXXII 92 Cr. coq. idem XXXIII 90 Cr. (R.?) F. Cor. à Algues br., Lith., Doroe. XXXIV 28 Gr. vas. coq F. à Algues br. (Laminaria).

27 30 G. PRUVOT. XL Stations, Profond. Nat. du Faciès bionomiques. XXXV 39 V. gris jaun., molle. F. à Algues br. (Laminaria) XXXVI 75 m. Gr. coq. F. corail. XXXVII 75 S. et Gr. (R.?). F. corail XXXVIII 39 V. grise molle. F. à Ale., Hydr., Crust. (Penœus). XXXIX 4 V. grise molle.. -, 84 Gr. coq. f. à Corn. (A. ~os), Spong. et Syn. ;\ grandes coq. ent. XLI 87 S. et Gr. coq. idem XLII 89 S. et Gr. coq. idem XLIII 62 S. vas., dur. F. à Cam, (A. phal. CC). XLIV 63 S. vas., dur. - XLV 382 V. sabl. camp. - XLVI 505 V. sabl camp. - XLVII 429 V. sabl. camp. - XLVlII 846 V. gris bleu c mp. - XLIX L 7 S. et Gr. lég t vas. F. à Com. (A. phal. CC) et Dar., sans Spong. LI 9 S. peu vas., dur. idem LII 40 V. lég l sabl., molle F. à Alcyon. et gr. Hydr. LIll 46 V. grise, molle. idem LIV 45 S. vas. - LV 96 Gr. caner. F. CoraIL à Lith. LVI 08 Gr. caner. idem LVII 339 V. jaun., molle. - LVIII 283 V. jaun., molle. - LIX 245 V. sabl. jaun. - LX 209 V. lég l sabl., molle. - LXI 7 Gr. caner. R. F. Corail. à Lith. et FIor LXII 5 S. et Gr. iùem LXIII 22 C;. el Gr. - LXIV 27 S. et Gr. - LXV 29 V. sahl. coq. grise. F. à Crust. (Penœus). LXVI 224 V. lég l sabl. - LXVII 230 V. gris-bleu camp. - LXIX 23 S. as., dur, rocaill. F. Cora]]. à Lith. d Dar. LXX 88 V sabl. camp. id~m LXXI 78 V. lég ' sabl. - LXXII 74 V. jaune molle. F. à Com. (A. ros),sprong. et gr. Hydr.. LXXIII 78 V. grise lég ' sabl. idell LXXIV 252 V. grise moll~. - LXXV 289 V. sable grise, mali. - LXXVI 278 V. grise molle. - LXXVII 60 V. sabl. j.. coq. F. à Cam. (.-. r s.). LXXVIII 48 V. Hbl. j., ceq. - LXXIX 36 V arllllr;s-ble~l.comp - l'

28 CROISIÈRES DE L'ORVET Croisière de l'orvet (ÉTÉ 92) PLANCTON ~ Heures Stations Profondeur Durée, Filet 29-VI 9 h. St. Il De JOO ID. à 0 Soie no 80, vertical. 30-VI 0 h. 30 St. III De 20 m. à 0 Soie, vertical. id. h. 30 id. De 2 à 3 m. 20 mm. Tissu cellular. 20 h. 5 St. V De 200 m. à 0 Soie, vertical. I-VII 7 h. St. VII De. 200 à Soie, vert. fermant. id. 3 h. 30 St. VIII 00.m. 30 mm. Grand filet étamine. id. 4 h. 45 id. 00 m. - id. id. 5 h. 50 id id. S-VII 0 h. St. XIII Sm 30 min. Tissu cellular. i..!. 9 h. id. Surface - Haveneau à main. 6- VII 9 h. 30 St. XIV De 500 m. à 0 - Soie, vertical. id. Il h. id. Surface - Haveneau à main. 7-VII 6 h. St. XI 50m. h. Grand filet étamine id. IS h. id. Surface - Haveneau à main. 25-VII 6 h. St. XVII 20 m. 30 mm. Grand filet étamine 28-VII Il h. 45 ist. XVI 30 m. 25 mm. Moussel. coton. 29-VII 7 h. -5 St. XXI De 200 m. à 0 - Soie, vertical. 3J-VII Il h. St. XXIII Surface - Haveneau à main. id. 7 h. St. XXIV id.. - id. id. 8 h. id. id. - Soie, en marche. -VIII 8 h. \St. XXVI id. 30 mm. Soie no 80. id. 8 h. 3e - Entre 500 et 400 m h. Mauss. coton. id. - - Entre.000 et 700 m. h. id. id. - - Entre et.600] h. id. id. - - Entre.500 et.000 h. id. 4-VlII 9 h. St.XXXI Surfaae Haveneau à main. id. 2 h. id. Entre 500 et 400 m. 45 mm. Mauss. coton. 20-VlTl 8 h. 3e St. XXXVIII De 3 à 4 m. 20 mm. Soie no VIII 9 h. Ist. XL Surface 20 mm. Mauss. coton 3D-VIII 8 h. 45 St. XLI De 2 à - m. - id. 2.IX Il h. 25 St. XLII De 2 à 4 m. -5 mm. id. 3 IX 22 h. St. XXXIII De 2 à 3 m. 40 min. id. 4-IX 22 h 3C St. XXXIV 2m. 45 mm. id. II-IX 9 h. 45 St. XXXII Surface Haveneau à main. id. 0 h. St. XXII id. 30 mm. Grand filet étamine. 2-IX 3 h. 30 St. XXX d. 25 mm. id. id. 0 h. St. XXVIII Entre 500 et 350 m. 30 mm. Mauss. coton. id. - - Entre.000 et 700 m. - id. id. - - Entre.500 ct. DOm - id. id. - - Entre m - id. 3-IX 3 h. 30 Sl. XXV Surface 20 min. Grand filet étamine 5-IX 6 h. St. XXII De m. à 0 - Mauss. coton. id. S h. id. Surface - Haveneau à main. 6-IX 0 h. 30 St. XX De 2 à5 m. 25 mm. Grand filet étamine.,

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