Rééducation de l enfant atteint d arthrite juvénile idiopathique mars 2012
|
|
- Bertrand Piché
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Rééducation de l enfant atteint d arthrite juvénile idiopathique mars 2012 Docteur E. Rumilly emilie.rumilly@ugecamne.fr Centre de Médecine Physique et Réadaptation pour Enfants 46 rue du Doyen Jacques Parisot Flavigny/Moselle
2 Plan Définition/classification Clinique Caractéristiques de l arthrite selon la forme d AJI Complications selon le stade Indication des examens radiologiques Diagnostics différentiels Traitements Traitements médicamenteux Traitements locaux Traitement de Médecine physique et réadaptation Bilans Principe Stratégie selon l articulation touchée Genou : phase aiguë / phase chronique Hanche : phase aiguë / phase chronique Cheville : phase aiguë / phase chronique Poignet / main : phase aiguë / phase chronique Apport des biothérapies dans la prise en charge globale
3
4 Définition/Classification
5 Définition AJI=plusieurs entités Arthrites Durée >6 semaines Enfants <16 ans Absence de cause identifiée Incidence : 2-20/ selon les études Prévalence : / selon les études
6 ILAR : International League of Associations for Rheumatology Classification ILAR 2001 Systémique/maladie de Still : AJIs 4-17% Oligoarthrite (oaji) Persistante Extensive 27-56% Polyarticulaire (FR-)/séronégative 11-28% Polyarticulaire (FR+)/ Polyarthrite rhumatoïde 2-7% Arthrite et enthésopathies 3-11% Arthrite et psoriasis 2-11% Arthrites indifférenciées
7 Critères inclusion/exclusion Spondylarthropathie Uvéite Entéropathie inflammatoire sacroiliite HLAB27 Sacroiliite uvéite Antécédents familiaux sexe Nombre articulations topographie Critères d inclusion et d exclusion Âge D apparition psoriasis Facteur rhumatoïde Signes systémiques fièvre, éruption, ADP, HSM, épanchement séreux
8 Groupes homogènes AJIs Signes systémiques Syndrome inflammatoire AJI polyarticulaires FR+ Facteurs rhumatoïdes Terrain génétique DR1,DR4 Arthrites et enthésites Sexe Ratio 7/1 Génétique : HLA B27 Mécanisme autoinflammatoire Polyartrhite rhumatoïde Spondylarthropathies
9 Groupes homogènes Forme pédiatrique persistante: oaji Sexe ratio : 1/3 (forme féminine) Début : 2-4 ans Atteinte asymétrique 1-4 articulations dans les 6 premiers mois Si extensive : >5 articulations après 6 mois Facteurs antinucléaires : 70-80% Uvéite chronique 30%
10 Groupes hétérogènes oaji extensive Arthrite et enthésites ss-groupe masculin Polyarthrite FR - Arthrite psoriasique ss-groupe féminin
11 Clinique
12 Caractéristiques de l Arthrite AJIs oaji Polyarticulaire Oligo- ou polyarticulaire Pas les IPD symétrique très inflammatoire membres inférieurs Grosses articulations (genoux,chevilles) asymétrique toutes les articulations (+ colonne cervicale et temporo-mandibulaire). Destructrice (hanches, poignets) Ankylose (rachis cervical) Signes généraux/atteintes extra articulaires Peu destructrice Formes très inflammatoires Formes sèches (destruction à bas-bruit) Séquelles +++ Polyarticulaire 40% Rémission : 36% à 8 ans 50% à 26 an Gêne fonctionnelle majeure Pronostic svt sévère Rémission (FR->FR+)
13 AJIS oaji
14 Complications selon le stade Synovite aiguë Tuméfaction, épanchement, augmentation de chaleur locale Douleur très vive Impotence fonctionnelle et attitude antalgique Amyotrophie Synovite chronique douleur modérée tuméfaction articulaire avec peu d épanchement rétractions musculaires et amyotrophie diffusion : téno-synovites Évolution d un seul tenant ou par poussées successives Restauration complète encore possible
15 Complications selon le stade Atteinte ostéo-cartilagineuse Signes inflammatoires réduits Raideurs et déformations Douleurs ++ (mécaniques) Instabilité
16
17 Indication des examens radiologiques
18 Indications de l imagerie Radiographie standard phase initiale : diagnostic différentiel IRM et échographie Dépister complications Évolution Efficacité thérapeutique Plus efficace, moins invasif IRM ATM, hanche Cartilage, synovie, réhaussement au gadolinium Intérêt pronostique (genoux + gado) Problème de coût/accessibilité/ anesthésie chez le petit
19
20 Diagnostic différentiel
21 AJIS Processus malins Leucémie, lymphome, neuroblastome Infections Viral : EBV, VIH, CMV, hépatites Bactériens : endocardite, lyme, BK, mycoplasme.. Connectivite LED, Dermatomyosite, Connectivites mixtes Fièvres récurrentes FMF Syndromes inflammatoires systémiques Sarcoïdose, MITD (crohn) Vascularites PAN, Behçet, Kawasaki..
22 Traitements
23 Traitements médicamenteux AINS, corticoïdes Methotrexate: en 2ème intention (après AINS) Retard de croissance, ostéoporose, tassements vertébraux, surcharge pondérale per os ou IM Biothérapies en Bloquent la progression des destructions ostéo-articulaires Anti TNF : Etanercept( Enbrel ) Adalimumab( Humira ) Infliximab (Rémicade ) Inhibition de l interleukine Anti IL1: Anakinra (Kineret ) Anti IL6: Tocilizumab (Actemra )
24 Principes thérapeutiques Approche thérapeutique progressive ttt symptomatique le moins agressif vers ttt plus spécifique et plus caustique Pronostic vital rarement mis en jeu Absence de traitement curatif formel Peu de critères pronostiques évolutifs de départ si amélioration stabilisée : Arrêt successif des corticoïdes, des AINS Après 2 ans sans signe clinique arrêt du traitement de fond
25 Traitements locaux Corticothérapie intra-articulaire: hexacétonide de triamcinolone (Hexatrione ) formes oligo-articulaires résistantes aux AINS si absence de lésions ostéo-chondrales immobilisation stricte 3 jours Maximum 4 à 6 /articulation Synovectomie chirurgicale: arthroscopie ou arthrotomie Si persistance de synoviale inflammatoire, avant atteinte cartilagineuse
26 Traitement de MPR
27 Bilans Connaître la situation de l enfant / sa maladie Ancienneté de l atteinte Durée de la poussée Traitements Analyse des conséquences : systématique Des déficiences Etat inflammatoire et douleurs Mobilité et stabilité articulaire Déficit musculaire Des incapacités Marche préhension AVJ Des situations de handicap Conditions de vie et domicile Ecole Sport et loisirs
28 Bilan articulaire et musculaire Mobilité Mesures pas toujours reproductibles, différentes dans la journée douleur, dérouillage important Causes de limitation synovite et épanchement contraction musculaire antalgique et rétractions musculaires et capsulo-ligamentaires altérations cartilagineuses ou/ et de l os sous-chondral (radio/irm ++) articulations non atteintes (compensation) Instabilité : mouvement et force, douleurs Déficit musculaire : constant ténosynovites (poignets chevilles) défaut d utilisation du membre mécaniques
29 Bilans fonctionnels non spécifiques Test d écriture d Ajuriaguerra copie à vitesse normale et à vitesse maximale1mn, 5 épreuves étalonné de 6 à 11,5 ans et par classe du CP au CM2, filles et garçons notion de vitesse et notion qualitative Test d écriture BHK rapide, 1 épreuve 5mn, validé du CP au CM2, qualitatif et quantitatif
30 Bilans fonctionnels spécifiques JAFAR : Juvénile Arthritis Functional Assessment Report Questionnaire sur 23 actes de la vie quotidienne : parents (JAFARP), enfants (JAFARC). À partir de 7 ans JAFAS : Juvenile Arthritis Functional Assessment Scale 10 épreuves standardisées et chronométrées. À partir de 7 ans CHAQ : Chidren Health Assessment Questionnaire parent et enfant validé en français items sur 8 domaines AVJ (score 0 à 3), 2 EVA (douleur, évaluation globale)
31 Traitement de MPR : Critères de choix des techniques : état inflammatoire Phase inflammatoire Douleur et attitude vicieuse antalgique : orthèses de repos, balnéothérapie Entretien articulaire et musculaire Mobilisations articulaires infradouloureuses Travail musculaire isométrique Phase chronique Restauration d amplitude (ou en éviter l aggravation) Renforcement musculaire Rééducation de la marche et des préhensions Aides techniques, éducation gestuelle Vie familiale et scolaire
32 Critères de choix des techniques : extension de l atteinte Atteinte localisée Gêne fonctionnelle majeure *Détermination de priorités conserver les amplitudes utiles Forme systémique *traitement analytique de l'articulation concernée *travail global orienté vers la restauration de la fonction Atteinte extensive Altération de l état général, arthrites très douloureuses *Complications des traitements (corticoïdes)
33 Orientation en centre de rééducation atteinte poly-articulaire, préparation à une intervention ou en post-opératoire difficultés de scolarisation / mise en décharge chez un enfant scolarisé conditions familiales défavorables
34 GENOU : phase aiguë Flessum Orthèse cruro-jambière port nocturne Travail isométrique du quadriceps Étirements des ischio-jambiers
35 GENOU : phase chronique Flessum Orthèse de posture «3 points» Mobilisations spécifiques Rééducation proprioceptive ++ Si flessum> 30 : Discuter mise en traction, infiltration ou chirurgie
36
37 CHEVILLE : phase aiguë Ténosynovites Décharge et Orthèse suro-pédieuse Cannes anglaises ou FR Orthèse de décharge à appui pré-tibial Travail isométrique
38 CHEVILLE : phase chronique reprise d appui avec orthèse légère, semelle orthopédique chaussures avec contrefort enveloppant orthèses de repos, uniquement port nocturne rééducation proprioceptive du pied en appui +++ déroulement du pas
39
40 HANCHE : phase aigüe = décharge Traction collée en extension et abduction progressive Entretien articulaire, postures décubitus ventral Domicile ou Centre de MPR Indication et durée: clinique, écho, IRM
41 HANCHE : phase chronique Remise en charge en piscine Traction nocturne Travail musculaire des fessiers et rééducation de la marche Hygiène pondérale
42
43 POIGNET / MAIN : phase aigüe Orthèse repos: anti-brachio-palmaire Orthèses de fonction: Portées au cours des activités à risque Stabiliser, diminuer la douleur, état inflammatoire et attitudes vicieuses Entretien des amplitudes : flexion des doigts, écartement, pinces
44 POIGNET/MAIN : phase chronique orthèses de fonction et orthèses de correction mobilisations pour la récupération des amplitudes ergothérapie, éducation gestuelle si persistance douleurs, instabilité: discuter chirurgie
45
46
47 RACHIS CERVICAL Phase inflammatoire traction cervicale, collier cervical, minerve, IRM, pas de mobilisations Risque: limitation de l extension, des rotations, luxation atloïdo-axoïdienne++ + Phase chronique suppression de l oreiller pour les périodes de repos adaptation hauteur et inclinaison du plan de travail
48 Apport des biothérapies
49 PLACE ACTUELLE DE LA MPR DANS LA PRISE EN CHARGE DES ARTHRITES JUVENILES IDIOPATHIQUES Gavillot C*, Krasny-Pacini A*, Chastang MC*, Bill S*, Rumeau F*, Lemelle I**, Journeau P***. *Service de Médecine Physique et de Réadaptation, Institut Régional de Réadaptation, **Service de Médecine Infantile, ***Service de Chirurgie Orthopédique Hôpital d enfants, CHU de Nancy 107 enfants 62 enfants Traitements en % Biothérapies 96% Autres traitements 2 enfants sous biothérapie
50
51 % enfants ayant séjourné en centre de MPR Durée moyenne en centre de MPR Sport scolaire Oui Dispense Déplacements difficiles Difficultés d écriture Ordinateur portable à l école 62 enfants 107 enfants % (8) 6% (6) 25,7 mois 13,2 mois 51% 12% 67% 10% 33% 7 VSL Taxi 9,3% 1 VSL 35% 4 14,6% 11
52 Objectifs des différentes techniques de MPR Antalgie/prévention Préserver le potentiel fonctionnel Retarder détérioration articulaire Diversité des formes, localisations, évolution imprévisible, aigüe ou chronique Pas de protocole précis Adapter en permanence
53 Conclusion Biothérapies Rééducation Précoce +++ Formes sévères: préserver le potentiel fonctionnel et assurer une vie aussi proche que possible de la normale Équipes pluridisciplinaires spécialisées Rhumatologue pédiatre, médecin MPR, chirurgien orthopédiste infantile
54 Références : «pour en savoir plus» HAS : Arthrite juvénile idiopathique. Protocole national de diagnostic et de soins. Juillet 2009 Arthrite juvénile idiopathique : critères de classification, Chantal Job-Deslandre ; revue du rhumatisme, monographie 77(2010) Job-Deslandre C.; Arthrite juvénile idiopathique ; encyclopédie orphanet 2003 Arthrite juvénile idiopathique, actualités en imagerie ; M Panuel, A-L. Jurquet, K Retornaz. Nouveautés pharmaceutiques dans l arthrite juvénile idiopathique. B. Bader-Meunier, P. Quartier. Archives de pédiatrie 16 (2009) Häfner R, Truckenbrodt H, Spamer M. Rehabilitation in children with juvenile chronic arthritis.baillieres Clin Rheumatol May;12(2): Takken T, Van Brussel M, Engelbert RH, Van Der Net J, Kuis W, Helders PJ. Exercise therapy in juvenile idiopathic arthritis: a Cochrane Review. Eur J Phys Rehabil Med Sep;44(3): Beltramo F, Lemelle I, Thollot F, Sommelet-Olive D. [Rehabilitation of children with chronic inflammatory arthritis]. Rev Prat Dec 1;44(19): C. Gavillot, F. Beltramo, F. Rumeau,.I. Lemelle, P. Journeau. Rééducation de l enfant atteint d arthrite juvénile idiopathique : cas cliniques. Lett Med Phys Readapt (2008) 24:
Spondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste. Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil
Spondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil Le Diagnostic Objectif de la démarche diagnostique Diagnostic de SPONDYLARTHROPATHIE
Plus en détailLes formes cliniques. Maxime Breban
Reconnaître la Spondylarthrite en 2011 Les formes cliniques Maxime Breban maxime.breban@apr.aphp.fr Qu'est-ce que les rhumatismes inflammatoires? Inflammation chronique des articulations Maladies complexes
Plus en détailLes postures, l appareillage Point de vue du médecin MPR. Dr. P. LUBLIN MOREL CMPR de COUBERT 2011
Les postures, l appareillage Point de vue du médecin MPR Dr. P. LUBLIN MOREL CMPR de COUBERT 2011 Introduction Le rôle du médecin MPR : poser les indications Réflexion pluridisciplinaire Définir les objectifs
Plus en détailL arthrose, ses maux si on en parlait!
REF 27912016 INFORMER UPSA BROCH ARTHROSE V2 08-12.indd 2 30/08/12 11:48 Qu est-ce que l arthrose? L arthrose est une maladie courante des articulations dont la fréquence augmente avec l âge. C est une
Plus en détailLombalgie inflammatoire. François Couture Rhumatologue Hôpital Maisonneuve Rosemont Avril 2010
Lombalgie inflammatoire François Couture Rhumatologue Hôpital Maisonneuve Rosemont Avril 2010 Pronostic d une lombalgie aigue 1mois: 66 à 75% encore symptomatiques quelques limitations fonctionnelles 82
Plus en détailQue représentent les Spondyloarthrites Axiales Non Radiographiques? Pascal Claudepierre CHU Mondor - Créteil
Que représentent les Spondyloarthrites Axiales Non Radiographiques? Pascal Claudepierre CHU Mondor - Créteil Liens d intérêt Intérêts financiers : aucun Liens durables ou permanents : aucun Interventions
Plus en détailLes Spondylarthrites
Les Spondylarthrites Le concept de spondylarthrite Ensemble de rhumatisme inflammatoires chroniques qui partagent certaines de leurs manifestations cliniques ainsi qu un terrain génétique commun. Le concept
Plus en détailSYNTHÈSE DES RECOMMANDATIONS PROFESSIONNELLES. Spondylarthrites. Décembre 2008
SYNTHÈSE DES RECOMMANDATIONS PROFESSIONNELLES Spondylarthrites Décembre 2008 OBJECTIFS - Mieux identifier les patients atteints de spondylarthrite afin de raccourcir le délai entre l apparition des symptômes
Plus en détailLe diagnostic de Spondylarthrite Ankylosante? Pr Erick Legrand, Service de Rhumatologie, CHU Angers
Le diagnostic de Spondylarthrite Ankylosante? Pr Erick Legrand, Service de Rhumatologie, CHU Angers Les spondylarthopathies 0.2% de la population en France Arthrites Réactionnelles rares S. Ankylosante
Plus en détailAnatomie. Le bassin inflammatoire. 3 grands cadres. 4 tableaux. Spondylarthrite ankylosante. Spondylarthrite ankylosante 26/10/13
Anatomie Enthésopathies Docteur Emmanuel Hoppé Service de Rhumatologie CHU Angers 18.10.2013 Symphyse pubienne Coxo-fémorales Bursopathies Sacroiliaques 4 tableaux 3 grands cadres Douleur lombofessière
Plus en détailGenou non traumatique
Epidémiologie Genou non traumatique Laure Brulhart (Paola Chevallier) 25 37% des patients >50 ans souffrent de gonalgie 50% restriction dans les AVQ 33% consultent leur généraliste Facteurs associés avec
Plus en détailSpondylarthrite juvénile. Dr Sandrine Lacassagne Hôpital Necker 25 Novembre 2010
Spondylarthrite juvénile Dr Sandrine Lacassagne Hôpital Necker 25 Novembre 2010 Formes de spondylarthrite de l adulte (1) Spondylarthrite ankylosante: critères de New York modifiés Sacroiliite radiologique
Plus en détailLES DOULEURS LOMBAIRES D R D U F A U R E T - L O M B A R D C A R I N E S E R V I C E R H U M A T O L O G I E, C H U L I M O G E S
LES DOULEURS LOMBAIRES D R D U F A U R E T - L O M B A R D C A R I N E S E R V I C E R H U M A T O L O G I E, C H U L I M O G E S INTRODUCTION La lombalgie est un symptôme fréquent avec une prévalence
Plus en détailAssurance Maladie Obligatoire Commission de la Transparence des médicaments. Avis 2 23 Octobre 2012
Assurance Maladie Obligatoire Commission de la Transparence des médicaments Avis 2 23 Octobre 2012 Titre I : Nom du médicament, DCI, forme pharmaceutique, dosage, présentation HUMIRA (DCI : Adalimumab
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 18 novembre 2009
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 18 novembre 2009 LEDERTREXATE 5 mg, solution injectable B/1 ampoule de 2 ml (Code CIP : 315 012-5) LEDERTREXATE 25 mg, solution injectable B/1 ampoule de 1 ml (Code CIP
Plus en détailLa prise en charge de votre spondylarthrite
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre spondylarthrite Vivre avec une spondylarthrite Décembre 2008 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce
Plus en détailLa prise en charge de votre polyarthrite rhumatoïde
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre polyarthrite rhumatoïde Vivre avec une polyarthrite rhumatoïde Décembre 2008 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 10 mai 2006
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 10 mai 2006 METOJECT 10 mg/ml, solution injectable en seringue pré-remplie 1 seringue pré-remplie en verre de 0,75 ml avec aiguille : 371 754-3 1 seringue pré- remplie
Plus en détailLES ORTHESES DE COMPRESSION CONTENTION
LES ORTHESES DE COMPRESSION CONTENTION Parfois sous estimées, les orthèses de compression contention augmentent le niveau de vigilance par leur mécanisme de «rappel à l ordre», préviennent les récidives
Plus en détailActualisation de la prescription en biologie rhumatologie
Actualisation de la prescription en biologie rhumatologie Pathologies inflammatoires et connectivites Pathologies dégénératives Exclusion du métabolisme phosphocalcique et des marqueurs du remodelage osseux
Plus en détailAccidents des anticoagulants
30 Item 182 Accidents des anticoagulants Insérer les T1 Objectifs pédagogiques ENC Diagnostiquer un accident des anticoagulants. Identifier les situations d urgence et planifier leur prise en charge. COFER
Plus en détailSpondylarthrite ankylosante
39 Item 282 Spondylarthrite ankylosante Insérer les T1 Objectifs pédagogiques ENC Diagnostiquer une spondylarthrite ankylosante. Argumenter l'attitude thérapeutique et planifier le suivi du patient. COFER
Plus en détailLES TROUBLES MUSCULOSQUELETTIQUES. Le 2 décembre 2008
LES TROUBLES MUSCULOSQUELETTIQUES Le 2 décembre 2008 DEROULEMENT DE LA RENCONTRE 1ère partie : les localisations des TMS, les facteurs d'apparition, la prise en charge thérapeutique 2ème partie : les chiffres
Plus en détailDiagnostic différentiel des infections ostéoarticulaires
Diagnostic différentiel des infections ostéoarticulaires Emmanuelle Vignot Hôpital Edouard Herriot, Lyon Unité Inserm UMR1033 Lyon emmanuelle.vignot@chu-lyon.fr Arthrite septique (1) 1/ Monoarthrite :
Plus en détailItem 182 : Accidents des anticoagulants
Item 182 : Accidents des anticoagulants COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Cruralgie par hématome
Plus en détailLa polyarthrite rhumatoïde est-elle une maladie courante parmi la patientèle d'un rhumatologue?
Association Française des Polyarthritiques & des Rhumatismes Inflammatoires Chroniques 9, rue de Nemours - 75011 Paris E-mail : afp@nerim.net - www.polyarthrite.org Tél. : 01 400 30 200 - Fax : 01 400
Plus en détailLes rhumatismes inflammatoires. Arthrite Rhumatoïde, Arthrite psoriasique, Spondylarthrite ankylosante
Les rhumatismes inflammatoires Arthrite Rhumatoïde, Arthrite psoriasique, Spondylarthrite ankylosante Arthrite Rhumatoïde (RA) Voorstelling van de ziekte Arthrite Rhumatoïde Inflammation chronique des
Plus en détailDr Pascale Vergne-Salle Service de Rhumatologie, CHU de Limoges. Membre enseignant chercheur EA 4021
Dr Pascale Vergne-Salle Service de Rhumatologie, CHU de Limoges Membre enseignant chercheur EA 4021 Rhumatisme inflammatoire chronique Prévalence des SA ies en Europe = 1 à 2% Age moy : 26 ans, ratio homme/femme:
Plus en détailI Identification du bénéficiaire (nom, prénom, N d affiliation à l O.A.) : II Eléments à attester par un médecin spécialiste en rhumatologie :
ANNEXE A : Formulaire de première demande Formulaire de première demande de remboursement de la spécialité HUMIRA pour une spondylarthrite axiale sévère sans signes radiographiques de spondylarthrite ankylosante
Plus en détailNouvelle option thérapeutique pour les enfants présentant cette forme rare et sévère d arthrite
Communiqué de presse Bâle, 18 avril 2011 La FDA homologue Actemra dans le traitement de l arthrite juvénile idiopathique systémique (AJIS) Nouvelle option thérapeutique pour les enfants présentant cette
Plus en détailANDRIANJAFISON Francia
ANDRIANJAFISON Francia PLACE DE LA CORTICOTHERAPIE DANS LA PRISE EN CHARGE DES RHUMATISMES INFLAMMATOIRES CHRONIQUES : REALITES ET PERSPECTIVES A ANTANANARIVO Thèse de Doctorat en Médecine 2 UNIVERSITE
Plus en détailPsoriasis et travail dans le BTP. Pr E. Delaporte
Psoriasis et travail dans le BTP Pr E. Delaporte 30 Mai 2013 Janvier 2013 : File active de 335 malades traités (293) ou ayant été traités (42) par immunosupp./ modulateurs (MTX CyA biomédicaments) 214
Plus en détailItem 123. Psoriasis. Insérer les T1. Objectifs pédagogiques
20 Item 123 Psoriasis Insérer les T1 Objectifs pédagogiques ENC Diagnostiquer un psoriasis. Argumenter l'attitude thérapeutique et planifier le suivi du patient. COFER Connaître les particularités cliniques,
Plus en détailQuand penser à une pathologie inflammatoire osseuse ou articulaire
Quand penser à une pathologie inflammatoire osseuse ou articulaire en orthopédie pédiatrique p? Mathie LORROT, Chantal JOB-DESLANDRE Hôpital Robert Debré, Faculté de Médecine Paris 7 Cours DESC chirurgie
Plus en détailSYNDROME DU TUNNEL CARPIEN, EPICONDYLITE ET TRAVAIL : POINT DE VUE DU RHUMATOLOGUE
SYNDROME DU TUNNEL CARPIEN, EPICONDYLITE ET TRAVAIL : POINT DE VUE DU RHUMATOLOGUE D. VAN LINTHOUDT La Chaux-de-Fonds Lausanne, le 19.11.2004 SYNDROMES DOULOUREUX PAR SURCHARGE DU MEMBRE SUPERIEUR épaule
Plus en détailTrucs du métier. L arthrite psoriasique en l absence du psoriasis. clinicien@sta.ca. Avez-vous un truc? Son épidémiologie et son expression
L arthrite psoriasique en l absence du psoriasis Trucs du métier Son épidémiologie et son expression Le psoriasis est une maladie cutanée inflammatoire chronique qui touche de 1 % à 3 % de la population
Plus en détailDiagnostic, prise en charge thérapeutique et suivi des spondylarthrites
Diagnostic, prise en charge thérapeutique et suivi des spondylarthrites RECOMMANDATIONS PROFESSIONNELLES Diagnostic, prise en charge thérapeutique et suivi des spondylarthrites RECOMMANDATIONS Décembre
Plus en détailProtocole de rééducation des syndromes fémoro-patellaires
1 Protocole de rééducation des syndromes fémoro-patellaires Dans la grande majorité des cas, les syndromes fémoro-patellaires (SFP) guérissent avec un traitement médical bien conduit. Pour être efficace,
Plus en détailPHYSIOTHERAPIE ET RHUMATISMES INFLAMMATOIRES
PHYSIOTHERAPIE ET RHUMATISMES INFLAMMATOIRES Cercle de Qualité Le Merle d Aubigné (CQMdA) Bodmer Eveline, Baumberger Dominique, Bensaddik-Brunner Verena, Canova Danielle, Dosso Elena, Dunand Alain, Finazzi
Plus en détailCette intervention aura donc été décidée par votre chirurgien pour une indication bien précise.
Qu est-ce qu une arthroscopie? Il s agit d une intervention chirurgicale mini-invasive dont le but est d explorer l articulation du genou et de traiter la lésion observée dans le même temps. Comment se
Plus en détailVignette clinique 1. Femme, 26 ans; caissière. RC : Dorsalgie depuis 18 mois. ATCD : Tabagisme 20 paquets/année; pas de maladies chroniques HMA :
Vignette clinique 1 Femme, 26 ans; caissière RC : Dorsalgie depuis 18 mois. ATCD : Tabagisme 20 paquets/année; pas de maladies chroniques HMA : Depuis 6 mois, douleurs dorsales à caractère inflammatoire
Plus en détailLombalgies inflammatoires de l homme jeune
Lombalgies inflammatoires de l homme jeune Auteur : Dr Éric TOUSSIROT, Besançon Comité éditorial : Dr Laure GOSSEC, Paris Dr Henri NATAF, Mantes-La-Jolie Relecteurs CFMR : Pr Bernard DUQUESNOY, Lille Pr
Plus en détailLE RACHIS : UNE ENTITE COMPLEXE IMPORTANTE A PRESERVER
LE RACHIS : UNE ENTITE COMPLEXE IMPORTANTE A PRESERVER I : INTRODUCTION Dans le cadre de la Semaine Européenne de la Construction il est utile de se remémorer ou de prendre simplement conscience que notre
Plus en détailTRAITEMENT DE LA POLYARTHRITE RHUMATOIDE
TRAITEMENT DE LA POLYARTHRITE RHUMATOIDE RÉVOLUTION DES PRINCIPES DE TRAITEMENT Mise à disposition de nouvelles molécules Traitements de fond classiques ( Méthotrexate, Salazopyrine ) : plus efficaces
Plus en détailo Anxiété o Dépression o Trouble de stress post-traumatique (TSPT) o Autre
Page 1 Garantie Responsabilité civile - Lésions corporelles de l assurance automobile - Étude des dossiers de demande d indemnisation fermés en Ontario Descriptions des blessures Élaborées à partir des
Plus en détailPrise en Charge de la Fracture du Col du Fémur. Dr Christine LAFONT Service de Gériatrie C.H.U. TOULOUSE
Prise en Charge de la Fracture du Col du Fémur Dr Christine LAFONT Service de Gériatrie C.H.U. TOULOUSE Épidémiologie «Problème médical, social et économique» Incidence : France : 50/100 000 hab. Augmente
Plus en détailDouleurs des mains. Douleurs des mains les plus fréquentes: pertinence, causes, traitements. C.Zenklusen septembre 2013
Douleurs des mains Douleurs des mains les plus fréquentes: pertinence, causes, traitements C.Zenklusen septembre 2013 Causes de douleurs aux mains Articulations (origine articulaire) Nerfs (origine nerveuse)
Plus en détailRecommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés
Recommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés - décembre 2009 - CARCINOMES BASOCELLULAIRES La chirurgie : traitement de référence et de 1 ère intention Classification clinique et histologique
Plus en détailItem 123 : Psoriasis
Item 123 : Psoriasis COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Définition...3 II Épidémiologie du rhumatisme
Plus en détailLa chirurgie dans la PC
La chirurgie dans la PC GF PENNECOT Marchant ou déambulant Grand handicapé Kinésith sithérapie Appareillage Médicaments Chirurgie neuro ortho LESION NEUROLGIQUE STABLE Spasticité Perte de la sélectivit
Plus en détailMarche normale et marche pathologique
Marche normale et marche pathologique Pr. JM Viton, Dr. L. Bensoussan, Dr. V. de Bovis Milhe, Dr. H. Collado, Pr. A. Delarque Faculté de Médecine, Université de la Méditerranée, Fédération de Médecine
Plus en détailInstitut Régional de Réadaptation Nancy DUHAM 2010
C. Gable - DUHAM 2010 Les orthèses provisoires en pathologie traumatique LES FRACTURES DIGITALES LA MAIN COMPLEXE LES ENTORSES DIGITALES Institut Régional de Réadaptation Nancy DUHAM 2010 Colette Gable,
Plus en détailLa maladie de Still de l adulte
La maladie de Still de l adulte Syndrome de Wissler-Fanconi La maladie Le diagnostic Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur Cette fiche est destinée
Plus en détail. Arthritepsoriasique
Les traitements biologiques dans les rhumatismes inflammatoires Dr Clio RIBBENS Service de Rhumatologie. Centre HospitalierUniversitairede Liège Nouveautés dans l'arthrite : Thérapeutiques anti-nf a..
Plus en détailSpondylarthrite grave
Titre du document (En-tête) GUIDE - AFFECTION DE LONGUE DURÉE Spondylarthrite grave Décembre 2008 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de Santé Service communication 2, avenue
Plus en détailPrise en charge des fractures du fémur par enclouage intra-médullaire
Prise en charge des fractures du fémur par enclouage intra-médullaire GUIDE POUR LES PARENTS 514-412-4400, poste 23310 hopitalpourenfants.com/trauma Le fémur est l os le plus long du corps humain : il
Plus en détailPROTHÈSE AMPUTATION. Amputation fémorale. Prescription
1 PROTHÈSE AMPUTATION Amputation fémorale prothèse pour amputation fémorale avec ou sans manchon, genou à verrou - pneumatique hydraulique micro processeur. rotateur de genoux pied classe I II III tout
Plus en détailCollection Soins infirmiers
Collection Soins infirmiers Une production du Université de Caen Basse-Normandie Traumatologie : traitements des fractures Dr. J-P de ROSA CH. AVRANCHES-GRANVILLE Fractures diagnostic 2 Fractures-diagnostic
Plus en détailFaculté de Médecine Montpellier-Nîmes
Déficience, incapacité et handicap Médecine Physique et de Réadaptation MPR Anciennement «Rééducation et Réadaptation Fonctionnelles» Dr Arnaud Dupeyron Département de Rééducation et Réadaptation Fonctionnelles
Plus en détailLES SPONDYLARTHROPATHIES (SPONDYLARTHRITES) : APPROCHE DIAGNOSTIQUE ET THÉRAPEUTIQUE
JUILLET 2010 08 LES SPONDYLARTHROPATHIES (SPONDYLARTHRITES) : APPROCHE DIAGNOSTIQUE ET THÉRAPEUTIQUE MARK HAZELTINE, MD, FRCPC CENTRE DE RHUMATOLOGIE DE LAVAL JEAN-LUC TREMBLAY, MD, FRCPC CENTRE HOSPITALIER
Plus en détailLe syndrome SAPHO Ostéomyélite multifocale chronique récidivante Spondylarthrite hyperostosante pustulo-psoriasique
Ostéomyélite multifocale chronique récidivante Spondylarthrite hyperostosante pustulo-psoriasique La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre
Plus en détailLes fractures de l extrémité inférieure du radius (238) Professeur Dominique SARAGAGLIA Mars 2003
Les fractures de l extrémité inférieure du radius (238) Professeur Dominique SARAGAGLIA Mars 2003 Pré-Requis : Anatomie descriptive et fonctionnelle de l extrémité inférieure du radius Résumé : Les fractures
Plus en détailFaculté de Médecine de Marseille Université Aix Marseille II. Maître de stage : Dr BLANC Bernard. Récit authentique d une situation
Faculté de Médecine de Marseille Université Aix Marseille II Maître de stage : Dr BLANC Bernard. Récit authentique d une situation complexe en Cabinet : La lombalgie symptomatique Semestre de stage : 4
Plus en détailPsoriasis & Sport. Pour un meilleur accès des personnes psoriasiques aux activités sportives. Qui le psoriasis touche-t-il?
Psoriasis, let s sport together! Psoriasis & Sport Pour un meilleur accès des personnes psoriasiques aux activités sportives Qui le psoriasis touche-t-il? On estime que 2 à 3 % de la population belge est
Plus en détailNeurologiques gq Centrales EMPR LE NORMANDY GRANVILLE
La Marche dans les Affections Neurologiques gq Centrales S Injeyan JL Isambert Y Bebin S Le Doze M Cano P Fages W Loisel La Marche Fonction complexe Organisée hiérarchiquement au niveau spinal Contrôlée
Plus en détailCritères de suivi en rééducation et. d orientation en ambulatoire ou en soins de suite ou de réadaptation
RECOMMANDATIONS PROFESSIONNELLES Critères de suivi en rééducation et Octobre 2007 Version pré-commission d orientation en ambulatoire ou en soins de suite ou de réadaptation Après chirurgie des ruptures
Plus en détailArthralgies persistantes après une infection à chikungunya: évolution après plus d un an chez 88 patients adultes
Arthralgies persistantes après une infection à chikungunya: évolution après plus d un an chez 88 patients adultes G Borgherini 1, A Gouix 1, F Paganin 1, A Jossaume 1, L Cotte 2, C Arvin-Berod 1, A Michault
Plus en détailI. EXERCICES POUR LA CERVICALGIE CHRONIQUE. Exercice 1 : Posture
148 l e x a m e n m u s c u l o s q u e l e t t i q u e I. EXERCICES POUR LA CERVICALGIE CHRONIQUE Faites les exercices suivants au moins 2 fois par jour, tous les jours. Faites l effort de maintenir une
Plus en détailIntérêt de l IRM dans le diagnostic précoce des atteintes psoriasiques des doigts et des orteils
Intérêt de l IRM dans le diagnostic précoce des atteintes psoriasiques des doigts et des orteils LAPEGUE Franck (1-2), LOUSTAU Olivier (2), DENIS Aymeric (2), BOUSCATEL Elodie (1), PONSY Sylvie (1), SANS
Plus en détailSpondylarthrite ankylosante (Pelvispondylite rhumatismale) Etiologie, diagnostic, évolution, surveillance, principes de traitement
Spondylarthrite ankylosante (Pelvispondylite rhumatismale) Etiologie, diagnostic, évolution, surveillance, principes de traitement Pathologie de l'appareil locomoteur - rhumatologie DCEM3 Internat n 297
Plus en détailINFORMATION CONCERNANT L OSTEOTOMIE DU GENOU
INFORMATION CONCERNANT L OSTEOTOMIE DU GENOU Votre état nécessite la réalisation d'une ostéotomie au niveau du genou. Cette fiche est destinée à vous en expliquer les grands principes, le but et les bénéfices
Plus en détailQuoi de neuf dans la prise en charge du psoriasis?
Quoi de neuf dans la prise en charge du psoriasis? Nathalie QUILES TSIMARATOS Service de Dermatologie Hôpital Saint Joseph Marseille Ce que nous savons Le psoriasis Affection dermatologique très fréquente,
Plus en détailLa main traumatique: traumatismes ostéo- articulaires des doigts longs. DR Moughabghab
La main traumatique: traumatismes ostéo- articulaires des doigts longs. DR Moughabghab Rappel anatomique! Phalanges: P1 P2 P3 = os longs! Articulations IP = trochléennes un seul degré de liberté. - tête
Plus en détailI. TECHNIQUES DE RÉÉDUCATION ET DE RÉADAPTATION 1. KINÉSITHÉRAPIE PASSIVE : PAS D ACTION MUSCULAIRE VOLONTAIRE DU PATIENT
CHAPITRE 1 PRINCIPALES TECHNIQUES DE RÉÉDUCATION ET DE RÉADAPTATION. SAVOIR PRESCRIRE LA MASSO-KINÉSITHÉRAPIE (ET L ORTHOPHONIE, NON TRAITÉ) Module 4. Handicap incapacité dépendance Question 53 Objectif
Plus en détailQuel que soit le matériel d ostéosynthèse, un certain nombre de principes permettent de bien conduire le geste chirurgical
Information supplémentaire 3 Quel que soit le matériel d ostéosynthèse, un certain nombre de principes permettent de bien conduire le geste chirurgical Installation Sur table normale, en décubitus dorsal
Plus en détailRisques liés à l'activité physique au travail Hyper sollicitation articulaire
Risques liés à l'activité physique au travail Hyper sollicitation articulaire Mireille Loizeau Cours DIUST Paris Descartes-20 janvier 2015 1 Définition et facteurs de risque 2 Définition Contraintes bio-mécaniques,
Plus en détailDr Ottaviani Service de Rhumatologie Hôpital Bichat Staff du 23 Mai 2014
Obésité et rhumatismes inflammatoires Dr Ottaviani Service de Rhumatologie Hôpital Bichat Staff du 23 Mai 2014 Obésité 1 Obesity Trends* Among U.S. Adults BRFSS, 1985 (*BMI 30, or ~ 30 lbs overweight for
Plus en détailLa reprise de la vie active
Prothèse de hanche Les conseils de votre chirurgien La reprise de la vie active Vous êtes aujourd hui porteur d une prothèse de hanche ; elle va vous permettre de reprendre vos activités sans gène ni douleur.
Plus en détailCommuniqué. Abbott présente à Santé Canada une demande d homologation d HUMIRA pour le traitement du psoriasis POUR PUBLICATION IMMÉDIATE
POUR PUBLICATION IMMÉDIATE Communiqué Abbott présente à Santé Canada une demande d homologation d HUMIRA pour le traitement du psoriasis Media: Sylvie Légaré (514) 832-7268 Abbott Gabrielle Collu 514)
Plus en détailCeinture Home Dépôt. Orthèse lombaire et abdominale. Mother-to-be (Medicus)
Orthèse lombaire et abdominale Mother-to-be (Medicus) Prévention Soutient courbe lombaire Supporte poids du ventre Ajustable Soulage les maux de dos en position debout (Beaty et al. 1999) Ceinture Home
Plus en détailInformation destinée aux patients Votre rééducation après une opération du ligament croisé antérieur du genou
Information destinée aux patients Votre rééducation après une opération du ligament croisé antérieur du genou Service de chirurgie orthopédique et traumatologie de l appareil moteur Objectif de votre rééducation
Plus en détailC. Berthelot, I. Proust, L. Le Yoncourt, M. Cambrelin, F. Lavernhe, C. Chabrol Bordes, S. Yvernault, M. Druet-Cabanac et les membres du GNMST-BTP
Etude de la prévalence des troubles musculo-squelettiques et de la gestion des approvisionnements et des évacuations de déchets de chantier dans les entreprises du bâtiment de moins de 10 salariés C. Berthelot,
Plus en détailDate de l événement d origine Date de récidive, rechute ou aggravation. Date d expiration. Date de la visite. Membre supérieur Membre inférieur
N o d assurance maladie ATTESTATION MÉDICALE Code RAMQ 09926 Prénom et nom à la naissance Date de naissance Année Mois Jour Sexe Année Mois Date d expiration Init. Nom du médecin N o de permis N o de groupe
Plus en détailProtocoles canins pour les traitements par ondes de choc radiales STORZ MEDICAL
Delivered by Protocoles canins pour les traitements par ondes de choc radiales STORZ MEDICAL Docteur Artem Rogalev et Spok APPLICATEURS - PARAMETRES MACHINE CERA-MAX C 15 : Grâce à sa composition en poudre
Plus en détailPréfaces... 6. Introduction... 8
Préfaces... 6 Introduction... 8 Comment aborder une problématique musculosquelettique chronique?... 10 Termes importants... 12 La douleur... 14 Repérage anatomique... 24 Les principaux syndromes musculosquelettiques...
Plus en détailPOLYARTHRITE RHUMATOÏDE/ RHEUMATOID ARTHRITIS. Jacques Morel et Bernard Combe. Service d'immuno-rhumatologie, CHU Lapeyronie 34295 MONTPELLIER cedex 5
1 Rev Prat. 2006 Mar 15;56(5):553-62 POLYARTHRITE RHUMATOÏDE/ RHEUMATOID ARTHRITIS Jacques Morel et Bernard Combe Service d'immuno-rhumatologie, CHU Lapeyronie 34295 MONTPELLIER cedex 5 La polyarthrite
Plus en détailREEDUCATION APRES RUPTURE DU LIGAMENT CROISE ANTERIEUR OPERE
REEDUCATION APRES RUPTURE DU LIGAMENT CROISE ANTERIEUR OPERE REEDUCATION APRES RUPTURE DU LIGAMENT CROISE ANTERIEUR OPERE Eric HALLARD, Kinésithérapeute La rupture du LCAE est de plus en plus fréquente
Plus en détailTYNDALL. 13 rue Dubrunfaut 75012 PARIS Tél. 01 74 05 74 23 >SIREN N 451 386 544 APE N 00014. Bulletin d Informations. et d échanges N 35 DECEMBRE 2011
TYNDALL Bulletin d Informations 13 rue Dubrunfaut 75012 PARIS Tél. 01 74 05 74 23 >SIREN N 451 386 544 APE N 00014 Site internet : www.inflamoeil.org SOMMAIRE 1. L éditorial de la Présidente 2. Les uvéites
Plus en détailCohorte Observatoire Musculosquelettique (COMETT) Pénibilité et Vieillissement
TITRE DU CONSORTIUM : Cohorte Observatoire Musculosquelettique (COMETT) Pénibilité et Vieillissement RESPONSABLES : Alexis Descatha, UMS 011, Villejuif ; Yves Roquelaure, LEEST, Angers ; Bradley Evanoff,
Plus en détailLA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique
LA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique Caroline Karras-Guillibert Rhumatologue, Hôpital Saint Joseph, Marseille La lombalgie chronique : le «mal du siècle»?
Plus en détailSociété Algérienne de Dermatologie Pédiatrique 12èmes Journées Nationales Alger, 3-4 mars 2011. Symposium PFIZER
Société Algérienne de Dermatologie Pédiatrique 12èmes Journées Nationales Alger, 3-4 mars 2011 Symposium PFIZER Psoriasis de l enfant et traitement biologique B. Bouadjar, Alger Traitement du psoriasis
Plus en détailLombosciatalgie aigue et chronique Quelle prise en charge? Dr Azizi Fatima Rabat
Lombosciatalgie aigue et chronique Quelle prise en charge? Dr Azizi Fatima Rabat rappeler l examen clinique du rachis Reconnaître les signes d alertes(red flags) Distinguer la lombalgie commune d une lombalgie
Plus en détailLes traumatismes et l arthrite inflammatoire
Les traumatismes et l arthrite inflammatoire Document de travail à l intention du Tribunal d appel de la sécurité professionnelle et de l assurance contre les accidents du travail Septembre 2008 préparé
Plus en détailKinésithérapie et réadaptation pour les patients PSH Retour d'expérience 2006-2012. Alaitz AMEZQUETA kinésithérapeute + Équipe de rééducation
Kinésithérapie et réadaptation pour les patients PSH Retour d'expérience 2006-2012 Alaitz AMEZQUETA kinésithérapeute + Équipe de rééducation Anniversaire ASL Paris 26 mai 2012 Présentation de l'équipe
Plus en détailCHAPITRE VI : L ARTHROSE
CHAPITRE VI : L ARTHROSE I- Introduction II- Définition III- Epidémiologie descriptive A- Prévalence B- Incidence C-Les facteurs de risque D- Facteurs de risque de progression structurale IV- Retentissement
Plus en détailLA PROTHESE TOTALE DE GENOU
LA PROTHESE TOTALE DE GENOU Introduction : La destruction du cartilage est fréquente au niveau du genou qui est une articulation très sollicitée et soumise à tout le poids du corps. La conséquence de cette
Plus en détailProgramme «DoSanté Lycée» Présentation et évaluation
Programme «DoSanté Lycée» Présentation et évaluation 1 1 Contexte - Public ciblé 1/3 des accidents du travail sont dus à des manutentions. Coût annuel : 1,5 milliards d euros. Les lombalgies représentent
Plus en détailAnalyse pharmaco-économique des anti-tnf alpha dans le traitement de la Polyarthrite Rhumatoïde en France.
Synthèse Bibliographique en Biologie et Biotechnologie Janvier 2012 Analyse pharmaco-économique des anti-tnf alpha dans le traitement de la Polyarthrite Rhumatoïde en France. Problématique : Jusqu où la
Plus en détailRHUMATISMES INFLAMMATOIRES CHRONIQUES DE L ADULTE : diagnostic et prise en charge initiale par le généraliste. DOSSIER DOCUMENTAIRE
RHUMATISMES INFLAMMATOIRES CHRONIQUES DE L ADULTE : diagnostic et prise en charge initiale par le généraliste. DOSSIER DOCUMENTAIRE Document établi avec le concours méthodologique de la HAS et conforme
Plus en détailLES ANTI-TNF DANS LES MALADIES AUTO-IMMUNES ET LES VASCULARITES
LES ANTI-TNF DANS LES MALADIES AUTO-IMMUNES ET LES VASCULARITES par X. MARIETTE* Les inhibiteurs du TNFα représentent une révolution thérapeutique en rhumatologie dans le traitement de la polyarthrite
Plus en détail