Info-réseau. Journal d information du Comité National de Liaison des Régies de quartier

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1 n 23 octobre novembre décembre 2001 Info-réseau Journal d information du Comité National de Liaison des Régies de quartier Le travail et l emploi au cœur des Régies de quart i e r La con j on ctu re intern a ti onale et n a ti onale obl i ge ch acun d en tre nous à be a u coup d éco ute et d hum i l i t é. La catastrophe de Toulouse nous ra ppelle que to ut est fra gile et d ava n t a ge en core dans les milieu x pop u l a i re s. Mais cet te situ a ti on révèle aussi la ch a l eur du lien hu m a i n, la dimens i on des solidari t é s. Nom breux sont ceux dans le Réseau et parmi nos parten a i re s qui ont manifesté et manife s ten t en core leur solidarité matéri ell e, f i n a n c i è re et humaine à l attenti on des habitants des qu a rti ers d é va s t é s. C est ici, a u s s i, que le sens de notre acti on prend un vi s a ge parti c u l i er : celui de ces hommes et femmes des Régies toulousaines qui, spontanément,se sont portés au secours des victimes de cette catastrophe. Que po uva i ent-ils leur propo s er? l eur force de travail! Dans ce con tex te, ce nu m é ro d In fo - R é se a u con s acré au trava i l et à l emploi trouve un écho excepti on n el Le travail et l em p l oi s ont pour les Régies de qu a rti er le c i m ent d une pra ti que part a g é e d é con omie solidaire et soc i a l e du ra bl e, vi s i bl e, recon nue et humaine. Dans notre société to ute en ti è re, l em p l oi est une donnée inconto u rn a ble pour la recon n a i s s a n ce sociale de chaque individu. Au sein de notre Réseau, n o u s devons avoir l ex i gen ce de perm et tre, n o t a m m ent aux plus défavori s é s, d avoir plei n em ent leu r ch a n ce alors que la société se to u r- ne trop souvent vers l uniqu e rech erche de prof i t s. Le con tex te de l em p l oi trad i- ti on n el doit s i m po s er comme un des moyens de remplir cet te miss i on. C est un droi t, c est aussi un devoir pour nous de met tre en place des passerell e s, p a r exemple en dével oppant l inserti on par l activité écon om i qu e, en ren forçant le su ivi social et l accom p a gn em ent du rant to ut ce parco u rs et enfin en favori s a n t l accès à la form a ti on pour to u s. Ce parco u rs que su ivront les salariés des Régies de quartier doit être exem p l a i re. Il peut parfois être l on g. Pour le men er à bi en, il faut des moyens ad a pt é s, or cert a i n e s ori en t a ti ons du système insti tutionnel sont peut-être à améliorer. Le travail dans les Régies de qu a rti er doit se con ju g u er harm on i eu s em ent avec les réalités ex t é ri eu res au qu a rti er, les difficultés écon om i ques et soc i a l e s, les parti c u l a rités de ch acun de s s a l a ri é s. suite de l éditorial page 2 S O M M A I R E 2-3 En direct des Régies De nouvelles activités 4-7 Zo o m L em p l oi dans les Régies : qu elle re s s o u rce! 8-1 1En dire ct du Réseau Assemblée générale du Réseau Vie des commissions Publications Agenda 12 In t e rview Parole à Alain Philippe, Président de la fondation Macif. Guy Dumontier, Président du Comité national de liaison des Régies de quartier

2 2 suite de l éditorial Ad a pter les form a ti ons aux réalités ren con trées par les Régi e s, qu elles soi ent hu m a i n e s, techn i qu e s, s ociales ou écon om i qu e s, est un des défis du Réseau et de ses parten a i re s. Le développement de la vie associative, la bonne com pr é h en s i on du terri toi re d interven ti on, la ge s ti on de la proximité perm et tent aux R é gies de qu a rti er de se ren forcer pour une mise en situ a ti on de travail plus perti n en te et du ra ble de s personnes en difficulté. C est avec cet te approche com p l è- te, recon nue et soutenu e, qu ell e s po u rront jouer éga l em ent leu r rôle social dans le re s pect de s d roits des salari é s. L i n s erti on repose sur une prise en com pte gl obale des atten te s, be s oins et réalités des indivi du s ; que ce soit en mati è re de trava i l, de logem en t, de santé ou bi en en ten du de form a ti on. Les Régies de qu a rti er doivent être à la poi n te de ces com b a t s, ê tre des lieux de réflex i on, d i n form a- ti on, de propo s i ti ons et de revend i c a ti ons pour le re s pect de s d roits indispen s a bles à l exerc i ce d une vraie citoyen n et é. L é con omie de marché dem eu re i n con to u rn a bl e, mais elle ne peut à elle seule ga ra n tir l inserti on du ra ble des pers onnes en situ a- ti on de ch ô m a ge ou d inactivi t é pers i s t a n te. En impliquant les autres acteu rs dont l État, je plaiderais dava n t a ge pour une écon omie plu ri ell e, s o l i- d a i re et soc i a l e, une écon omie de re s pon s a bilité en donnant un rôle fort au secteur assoc i a ti f, vecteu r de démoc ra tie et de libert é. Guy Dumon ti er, président du C N L RQ En dire ct des Régies De nouvelles activi t é s P lu s i eu rs Régies de qu a rti er ont mis en œuvre des servi ces de prox i m i t é de type inédit. En voici quelques exemples. Un projet d animation du quartier basé sur la concert a t i o n R é gie de quarti er Stade Fo n t a i n e au Loup - Chalon sur Saône (71) Dans le cad re du dével oppem ent de ses missions sur le qu a rti er, la Régi e du Stade de Ch a l on sur Saône met en place un po s te d Adu l te - relais : a gent de con cert a ti on et d animati on. Sa mission est triple : Le dével oppem ent du lien social et la dy n a m i que de la vie assoc i a tive, au programme : r é u n i ons thémati ques de con cert a ti on avec les habit a n t s, c r é a ti on du journal du qu a rti er le Petit bu ll eti n, a n i m a- ti on de gro u pes de travail réunissant les habitants pour dy n a m i s er leu r i m p l i c a ti on dans l évo luti on de leu r qu a rti er. L a m é n a gem ent et l animati on d e s p aces pour les familles dans la p é ri ph é rie des bâti m ents en co u rs de réhabi l i t a ti on. En fon cti on de s be s oins ex primés par les habit a n t s, l a gent d animati on propos era des proj ets d aménagem en t s l é gers sur les espace s. Il en assu rera le su ivi de réalisati on ainsi qu e l a n i m a ti on. Le rôle d interf ace avec les servi ce s i n tervenant sur le qu a rti er. Par sa con n a i s s a n ce du qu a rti er, l Adu l te - relais parti c i pera à l élabora ti on et à la mise en œuvre des acti ons dével oppées pour l améliora ti on de la vi e qu o ti d i enne des habi t a n t s. Cet te activité ren force la mission de la Régie auprès des habi t a n t s. E n accom p a gnant la réhabi l i t a ti on du qu a rti er, elle en gen d re une réell e dy n a m i que co ll ective par et pour les h a bi t a n t s. Le prix de la convivialité Régie Plus - Chambery (73) Avec la co ll a bora ti on du Cen tre s ocial et le souti en de la vi ll e, l a R é gie a initié le proj et d ouvertu re d un l i eu convivial de prox i m i t é. La parti c u l a rité de ce lieu est d ouvrir ses portes (18 h-22 h en sem a i n e, 16 h-23 h le wee k - end) à la ferm etu re des commerces et services publics. Ce sera un lieu d ex pre s s i on et de p a rt a ge cultu rel en tre les habi t a n t s. L obj ecti f est de réunir et d impliqu er un public diversifié (famill e s, j eu n e s, pers onnes âgées) par la progra m m a ti on d événem ents et d a n im a ti ons propres aux sen s i bi l i- tés de ch acun : repas et wee k - end à t h è m e s, ex po, pr é s en t a ti on d arti s te s, pr é s en t a ti on d assoc i a ti ons et a n i m a ti on autour du livre, de la mu s i qu e,du cinéma Dans le cad re du con trat de plan Et a t - R é gi on,ce proj et a reçu un pri x de F au ti tre des proj et s i n n ovants de la Po l i ti que de la Vi ll e. Cet te activité gérée par la Régie Plu s et le Cen tre social ouvre ses porte s co u rant octobre. N OUVELLES RÉGIES LA B E L L I S É E S Rosières Près Troyes ( 1 0 ) Dreux Multi-Services ( 2 8 ) Mont-de-Marsan ( 4 0 ) N O U V E AUX SITES EN EXPE RT I S E S De u i l - L a - Ba r re (95) C h a r t res Sa i n t - C h é ron (28)

3 L atelier mécanique ava n c e en cyc l o m o t e u r R é gie de quarti er de Vendôme - Vendôme (41) En févri er 2000, l a tel i er mécan i que a ouvert mode s tem ent ses porte s. Très ra p i dem en t, le Con s ei l G é n é ra l, la PA I O, le Ro t a ry, le Lion s Clu b, le Foyer des jeunes trava i ll eu rs con f i ent à la Régie bon n om bre de cycl om o teu rs pour fac i- l i ter la mobilité des jeunes et de s adu l tes en situ a ti on pr é c a i re. L a bonne marche de l atel i er a perm i s de rec ruter un chargé de dével oppem en t, un en c ad rant tech n i qu e ainsi qu un jeune en con trat aidé. Le bo u che à orei lle aidant, ces dern i ers mois l atel i er a récupéré, r é p a- ré et ven du 10 cycl om o teu rs aux h a bitants du qu a rti er. Dern i è rem en t, l a tel i er a fait l acqu i s i ti on d une m o to - c ro t te s et a s su re le net toya ge pour la vi lle de Ven d ô m e. Pa ra ll è l em en t, un cycl o des P T T, remis en état et aménagé, On l a lu dans la presse Ils nettoient la ville pour s o ff ri r des va c a n c e s Cet été, la Régie de Saint Etienne du Rouvray a confié le nettoyage des pelouses à une équipe de jeunes de 16 à 25 ans. C est dans le cadre du contrat de ville qu a été mis en place ce chantier dont l un des p a r a m è t res est de pre n d re en compte leur projet de va c a n c e s. Ce chantier a permis aux jeunes de pre n d re conscience de leurs dro i t s et devoirs dans une situation de trava i l. Au t re constat positif : les jeunes vo n t inciter leurs familles et connaissances à ne plus jeter les détritus. «Nous allons les informer de ce que nous avo n s t rouvé, il est important de re s p e c t e r l e n v i ronnement et le travail eff e c t ué». Avec leur pécule, les n e t t oye u r s sont partis en camping, pour partager leur passion : le rap. Paris - Normandie -17/08/01 perm et de lancer un servi ce co u r- s i er et petits dépannage s. Ces deu x activités couplées of f rent l équ ival ent d un po s te à plein tem p s. Au j o u rd hu i,23 cyclos sont à la dispo s i ti on des habitants pour un côut de loc a ti on de 5 F par jour, et la fréqu en t a ti on régulière de l atel i er po u r des loc a ti ons ou travaux de peti te m a i n ten a n ce ne cesse d augm en ter. Un chantier pour bétonner le lien social Tre i ze habitants du quartier de la Régie de Moulins Sud ont entrepris de rénover les 26 bâtiments de la Résidence. La particularité de ce chantier est de réunir des salariés de 16 à 54 ans. Fa voriser le lien social e n t re les générations du quartier est l une des missions de la Régie. L i n i t i a t i ve permet aux jeunes d a m é l i o rer leur image auprès des adultes, de même qu elle permet aux adultes de porter un autre re g a rd sur la jeunesse et de perd re certains a priori. Jeunes et adultes ont prouvé qu i l s p o u vaient s unir pour participer à l amélioration du cadre de vie et se positionner comme des acteurs locaux. Dans quelques semaines, trois d e n t re eux partiront au Mali rénover une maison des jeunes. La Montagne - 29/08/01 Sol i d a ri t é To u l o u s e Au j o u rd hu i,toulouse est vi ctime d une catastroph e qui to u che les habi t a n t s des qu a rti ers pop u l a i re s ainsi que les salariés et bénévoles des Régi e s to u l o u s a i n e s. Pour répon d re à l urgence, In fo - r é seau se fait le relais d un appel à la solidari t é : So l i d a rité To u l o u s e. Les habitants des qu a rti ers pop u l a i res de To u l o u s e ont parti c u l i è rem en t s o u f fert matéri ell em ent et psych o l ogi qu em ent de l ex p l o s i on de l usine ch i m i que située à prox i- mité de leur habi t a ti on. Les em p l oy é s,les bénévoles des Régies é ga l em en t.les locaux des Régies ont été to u ch é s. Le Réseau des Régies de qu a rti er, repr é s enté par le Comité nati onal de liais on des Régies de qu a rti er (C N L RQ) lance un appel à la solidarité perm ettant de f a i re face au plus urgen t. Un com pte spécial a été o uvert à la B F C C et peut recevoir vos don s ( dons de parti c u l i er, d a s- s oc i a ti on ou d en trepri s e ). Ti t u l a i re du compte C N L R Q T O U LO U S E S O L I DA R I T É Domiciliation du compte B F C C PA R I S AG DAU M E S N I L Nu m é ro du compte Pa i em ent par vi rem ent d i rectem ent auprès de s B F C C ou par ch è qu e a u près du C N L RQ 3

4 Régie de quartier R E G A R D S Arles (13) Intervient sur les quartiers de Barriol, Griffeuille et Alyscamps (8 000 habitants). Créée en 2000, elle compte aujourd hui 18 salariés. Collectif Régie de quartier Pont Evêque (38) Intervient sur les quartiers Le Plan des Aures et Les Genêts, qui regroupent environ 2000 habitants. Créée en Mai 2000, elle compte aujourd hui 15 salariés. Régie Service 13 Marseille (13) Intervient sur les 13 e et 14 e arrondissements de Marseille. Créée en 1989, elle compte aujourd hui 95 salariés. L em p l oi dans les Régies : qu elle re s s o u rce! La crise de l em p l oi est en core très pr é s en te dans les qu a rti ers d habi t a t s ocial où sont implantées les Régi e s. Face à une forte dem a n de émanant des insti tuti on n els et des habi t a n t s, elles ne peuvent à elles seules pall i er le problème du ch ô m a ge. Au s s i, les Régies propo s ent des em p l ois qui con du i- s ent à une réelle inserti on, to ut en s i n s c rivant dans un proj et plus gl ob a l, celui de la parti c i p a ti on à l améliora ti on de la vie qu o ti d i enne du qu a rti er. Ces em p l ois son t, à l éch elle du qu a rti er, un outil de dével oppem ent social par l activité écon om i qu e,qu elle que soit la taille ou l ancien n eté de la Régi e. Le s exemples des R é gies de Arl e s, Ma rsei lle 13 et Pont Evêque i llu s trent la divers i- té de leu rs pra ti ques au qu o ti d i en qui conver gent to utes cependant vers un même but : réussir l accom p a gn em ent des salariés dans leur parco u rs d inserti on sociale et profe s s i on n ell e. Une atten ti on parti c u l i è re au rec rutem en t Une des missions essen ti elles d une Régie est d accom p a gn er ses salari é s, s i po s s i bl e, ju s qu à l em p l oi dans le secteur écon om i que trad i ti on n el. Cet accom p a gn em ent ten te de pren d re en com pte la probl é m a ti que gl obale de la pers onne et la Régie va met tre ses bénévoles et son outil de travail à la dispo s i- ti on du nouvel arriv é. Lors du rec rutem en t, l a t ten ti on est portée sur les be s oins de la pers on n e,p lutôt que sur la rech erche d une com p é ten ce pour un po s te déterm i n é.la Régie va aider la pers onne à intégrer son po s te et ses re s- pon s a bi l i t é s, à dével opper son savoi r- ê tre et sa capacité à se proj eter dans l aven i r, laissant ainsi en trevoir une réinserti on péren n e. Un pari qu i, po u r ê tre réussi, n é ce s s i te une analyse précise des be s oins du futur salari é. À Pon t - Ev ê qu e,le rec rutem ent des salariés de la Régie est géré avec les parten a i res insti tuti on n els pr é s ents sur les qu a rti ers. Aline Girod, la directri ce, tra i- te cet aspect qui dem a n de une atten ti on parti c u l i è re avec le l i eu re s s o u rce s em p l oi form a ti on i n s t a llé au cen tre soc i oc u l tu rel et notamment avec l anim a tri ce locale d inserti on. Les pri orités tech n i qu e s, ad m i n i s tra tives et humaines sont alors très cl a i rem ent définies. Il ne s a git pas pour autant d une ex tern a l i s a ti on de l em b a u ch e, l a n i m a tri ce locale d inserti on étant ell e - même mem bre du C A de la Régie dont elle connaît parf a i tem ent les obj ecti fs. 4

5 Aline voit même trois ava n t a ges à cet te distance créée au mom ent de l i n t é gra ti on du salarié dans l assoc i a- ti on. Con cernant le su ivi ad m i n i s trati f, cet te con f i g u ra ti on perm et la va l i d a ti on par un or ganisme agréé du pr é - bilan obl i ga toi re pour un con tra t d i n s erti on. Sur le plan pédagogi qu e, le salari é com m en ce ainsi son parco u rs d ins erti on par un appren ti s s a ge de s rel a ti ons insti tuti on n ell e s, ce qui se r é v é l era utile lors qu il sera con f ronté à d autres interl oc uteu rs (or gan i s m e s, en trepri s e s... ). E n f i n,le travail de co ll a bora ti on en tre la directri ce de la Régie et l animatrice locale d inserti on perm et à cet te dern i è re d ef fectu er un su ivi indivi dualisé de la pers onne ren con trée (sur son C V, sa pr é s en t a ti on ).Ce parten a ri a t, mis en place dès le rec rutem ent et se po u rsu iva n t pendant le passage du salarié dans la Régi e, est un facteur po s i ti f du parco u rs d inserti on. La po l i ti que d em b a u che : u n e r é ponse au con te x te loc a l Une Régi e, en tant que stru ctu re du secteur mixte (défini par la loi con tre les exclu s i ons) peut avoir reco u rs à la p lus large palet te des mesu res d accom p a gn em ent du ch ô m a ge. E lle s en em p a re pour ad a pter au mieux le p a rco u rs d inserti on.mais elle doit le faire dans un souci constant d évo luti on du statut de la pers onne pour ne pas ri s qu er de l install er dans la pr é c a rité ou dans un c ad re ad m i n i s tra ti f ri gi de. Le rôle de la Régie est ju s tem ent de faire oubl i er ces marqu a ges en intégrant le salarié dans une stru ctu re pre s que ord i n a i re. C est po u rqu oi elle peut faire co h a bi ter, au sein de ses é qu i pe s,p lu s i eu rs types de con tra t s, aidés ou non, co u rt s ou plus lon g. Le but prem i er est de mutu a l i s er les comp é ten ce s,de don n er à ch acun un po s te com p a ti ble avec s on parco u rs to ut en hon orant son con trat avec le b a i ll eur ou la vi ll e. «S il s a git de rem et tre qu el qu un en s ell e, un C D D de 6 mois peut su f f i re. Mais pour les gen s les plus éloi gnés de l em p l oi, il faut appren d re la vi e s oc i a l e,a ppren d re le bo u l ot», ex p l i que le directeur de la R é gie Servi ce 13 à Ma rs ei ll e, «et cela peut néce s s i ter d ad a pter un parco u rs de deux à trois fois 6 moi s, a u co u rs du qu el l en c ad rant fait gradu ell em ent com pren d re au salarié les ge s tes tech n i qu e s,les tenants et les abo uti s- sants du trava i l, les ex i gen ces du cl i en t». Le ge s ti onn a i re de parco u rs et le ch ef d é qu i pe tech n i que assu ren t en s em ble le su ivi de l habi t a n t - s a l a rié pour un résu l t a t qui peut être l accès à un em p l oi trad i ti on n el ou la progre s s i on au sein de la stru ctu re. Par exem p l e, Nad i r Ab del k ri m, d a bord canton n i er à la Régie 13 de Ma rs ei ll e, est aujourd hui ch ef d é qu i pe. À Arl e s, le qu a rti er de Ba rriol de habitants fait p a rtie de l aggl om é ra ti on arl é s i enne (13 vi ll a ges) qu i a en core une iden tité ru rale très forte. «Ic i, com m en te R é gis Mi ti f i o t, tro uver un trava i l, c est obtenir un Con trat em p l oi solidari té.» Po u rt a n t, le Con s eil d ad m i n i s tra ti on a fait le ch oix du sas vers l em p l oi trad i ti on n el et d ouvrir to utes les piste s po s s i bles de cet te ori en t a ti on. Ai n s i, les 15 à 20 ouvri ers de la Régi e, en majorité de s fem m e s, en c adrés par 3 ch efs d équ i pe (1 C E C et 2 C D I) s ont tous en C D D de droit com mu n.le con trat est clair : a u - delà du type d activi t é, il s a git d abord d un con tra t m oral en tre la Régie et le salari é. Du bilan profe s s i on n el Le con trat est clair : au delà du type d activi t é, il s a git d abord d un con trat moral en tre la Régi e et le salari é i n i tial à la sorti e, le salarié peut con s tru i re un parco u rs et f a i re de son passage à la Régie une étape vers l em p l oi p é ren n e. Il est trop tôt pour éva lu er l impact réel de cet te po l i ti qu e en l absen ce d un P L I E, s tru ctu re qui serait a pri ori la plu s a pte à le faire. Le directeur place l utilité de la Régie non s eu l em ent sur le plan de l évo luti on profe ss i on n elle indivi du elle mais éga l em ent sur celui de l évo luti on du qu a rti er et de son iden tité dans l a ggl om é ra ti on. 5

6 6 L équipe de la Régie Regards à Arles. En participant au dével oppem ent de l activi t é, la Régi e renoue avec une histoi re ouvri è re du qu a rti er et une a n c i enne ferveur assoc i a tive. Il ne s a git pas de nostalgi e mais bi en d une citoyen n eté active qui se met en place. «Quand qu el que chose ne va pas, c est à la Régie qu on vi ent en faire part.» L a ccom p a gn em ent : a d a pter les parco u rs intern e s, mut u a l i s er les re s s o u rce s Si acc u ei llir des hommes et des femmes les plus éloi gn é s de l em p l oi est une des missions prem i è res d une Régi e, une autre mission est de fo u rnir un servi ce de qu a l i t é. Les re s pon s a bles des Régies se doivent de répon d re à ce s deux ex i gen ce s. À Ma rs ei lle Servi ce 13, la mission d accom p a gn em en t est confiée à Mo h a m ed Ara bi. G e s ti on n a i re de parco u rs ( voir le résumé de la fiche de po s te p. 7 ), il fait le l i en en tre les or ganismes qui envoi ent des candidats à la R é gie le P L I E ou Pôle 13 et l en c ad rant tech n i que qu i, en intern e,a s su re la qualité du trava i l. Le Con s eil d ad m i n i s tra ti on de la nouvelle Régie d Arl e s a demandé à Régis Mi ti f i o t, s on directeu r, de rec ruter, dès que po s s i bl e,un profe s s i on n el de l accom p a gn em en t s ocial qui apportera un rega rd com p l é m en t a i re à celu i de l A N PE et vi en d ra soutenir le travail de l en c ad ra n t tech n i qu e. L accom p a gn em ent du salarié prend to ute sa dimen s i on s il s a ppuie sur un réel parten a riat loc a l. À Pon t - Ev ê qu e, si la Régie est trop récen te pour ouvrir un droit su f f i s a n t a u près des or ganismes de form a ti on, ses salariés prof i- tent d une form a ti on interne et de form a ti ons ex tern e s mises en place par des parten a i res insti tuti on n els (C L I, P L I E ). La progre s s i on de ch acun est assurée par une a t ten ti on portée à ses be s oins ou à ses probl è m e s. Sa n s que jamais les barri è res de l indiscréti on soi ent fra n- ch i e s, la directri ce est à l éco ute du salari é. Les bonnes rel a ti ons tissées avec les profe s s i on n els du qu a rti er des Au res (le Plie, le cen tre soc i a l, la Cl i l An pe, la D D T E F P, l a s s oc i a ti on de pr é ven ti on spécialisée) perm et tent à la directri ce de la Régie d être au co u rant de s opportunités de po s tes qui po u rra i ent corre s pon d re à une étape dans le parco u rs de ch ac u n. E lle peut ainsi su s pen d re un dispo s i ti f, le temps néce s s a i re pour or gan i s er un essai dans une autre stru ctu re. Il en est de même à Ma rs ei lle et Arl e s,où ces parten a ri a t s i n s ti tuti on n els sont essen ti ell em ent ciblés sur les be s oi n s et les difficultés ren con trées par les salari é s. De plu s, l en c ad rant tech n i que suit la progre s s i on des salariés su r le plan stri ctem ent profe s s i on n el. À Pon t - É v ê qu e, un ancien artisan assu re le su ivi du ch a n ti er de pei n tu re, to ut en délivrant aux salariés une form a ti on com p l é m en t a i re en carrel a ge et rev ê tem en t des sols. Pa s s i onné du travail bi en fait, il a tro uvé sa place dans la Régie et une recon n a i s s a n ce de son ex p é ri en ce d a rti s a n, liée à ses qualités de form a teur et d en c ad ra n t tech n i qu e. L em p l oi : un vec teur de tra n s form a ti on sociale du qu a rti er La femme africaine de Pon t - É v ê qu e, les deux jeu n e s m a gh r é bins à l en trée de la cité des Iris à Ma rs ei ll e, l e f acteur dans sa to u rnée à Arles ont pu indiqu er sans h é s i t a ti on où était la Régie et, si la porte était ferm é e, à qu elle autre il faudrait fra pper. Preuve du lien vi s i ble qu e les assoc i a ti ons créent dans leur qu a rti er ; preuve éga l e- m ent que la manière dont elles met tent en œuvre les dispo s i ti fs d aide à l em p l oi les con duit à all er bi en au-del à de l aide à la pers on n e. À Pon t - É v ê qu e, à Ma rs ei lle et Arl e s,les Régies sont en lien étroit avec des habitants qu i p a rt a gent la même pr é occ u p a ti on. Le travail sur l envi ron n em en t, la pr é s en ce assu r é e, Les dispo s i ti fs d aide à l em p l oi con du i s ent à all er bi en au-delà de l a i de à la pers on n e. l a m é l i ora ti on qu o ti d i enne des rel a ti ons sociales : a ut a n t de points po s i ti fs qui favori s ent une implicati on plus co l- l ective des habi t a n t s.ce sont là les dimen s i ons palpabl e s de l em p l oi dont bénéficie directem ent la pop u l a ti on. Ri en d éton n a n t,a l ors, à ce que à Pon t - É v ê que une salariée parti c i pe au comité de rédacti on du journal de la R é gie et envi s a ge de se pr é s en ter comme mem bre du Con s eil d ad m i n i s tra ti on à la fin de son con tra t.

7 Le parcours d i n s e rtion et l e n t re p rise Régie L accompagnement,la formation, le suivi de chaque salarié, représentent des coûts pour une Régie. Comment fait la Régie pour maintenir son équilibre financier? Charles Parnis : La Régie de Marseille 13 n est pas assujettie à la T VA mais à la taxe sur les salaires, ce qui représente un moindre coût de production. Elle bénéficie de financements publics pour l aide à l emploi et maintient son coût horaire au niveau de celui du marché, c est ainsi qu elle peut financer le surcoût de l accompagnement social. Qu est-ce qui distingue les Régies du secteur concurrentiel? Régis Mitifiot : Tout d abord, une Régie agit là où les entreprises ne sont pas présentes, soit parce que le marché n est pas rentable à hauteur de ce qu elles souhaitent, soit parce que les pouvoirs publics ont choisi de réserver un champ économique à la contractualisation avec des associations. Par ailleurs, l aide publique aux postes aidés représente un moindre coût salarial, qui devient une ressource utilisée non pas pour rémunérer le capital financier d un investisseur, mais pour prendre en charge le coût de l utilité sociale. Enfin, compter en coût n est pas suffisant. Pour être juste, il faut valoriser les coûts évités par la sortie des personnes des dispositifs d accompagnement social du chômage. Aline Girod : Il faut ajouter la plus-value apportée par la qualité du travail des ouvriers de la Régie sur le quartier qu ils habitent, dans lequel ils sont connus et reconnus, où ils créent du lien ordinaire en assurant une présence bien différente de celle d une entreprise qui honore sa prestation sans autre implication dans le quartier. Régie service 13 à Ma r s e i l l e Fiche de poste : le g e s t i o n n a i re de parc o u r s d insertion* ( c o o rdonnateur social) ( r é su m é ) Hi é r a rchiquement rattaché au dire c t e u r, le gestionnaire de parcours d i n s e r t i o n remplit trois missions : le re c r u t e m e n t, le suivi tutoral et la gestion du plan de formation, tâches auxq u e l l e s s ajoute le suivi administratif des s u bventions corre s p o n d a n t e s. Le re c ru t e m e n t.le gestionnaire de p a rcours est en lien avec les d i ff é rentes structures institutionnelles auprès desquelles il représente la politique d emploi de la Régie. Il va l i d e les candidatures en faisant la synthèse des besoins, des critères d éligibilité et des critères de suivi par des o rganismes. Il s appuie sur l accompagnateur externe pour r é s o u d re des pro b l é m a t i q u e s périphériques à l emploi. Il org a n i s e une réunion mensuelle de coord i n a t i o n interne pour examiner les mouve m e n t s des salariés avec toutes les personnes concernées. Le suivi tutoral. Le gestionnaire de parcours organise le suivi tutoral a vec les chefs d équipe et responsables techniques en interne et avec le référent externe pour assure r le suivi et la résolution de pro b l è m e s périphériques à l emploi. En fin de p a rcours, il est le maître d œ u v re de la re c h e rche d opportunités qui c o r respondent au profil du salarié. La gestion du plan de form a t i o n. En gérant le plan de formation, pilier de la politique d une structure d insertion, le gestionnaire de parc o u r s possède une vision globale de l é volution des salariés. Il a les moye n s d une conception cohérente des p a rc o u r s. (*) Issue d un référentiel métier qui oblige à cette dénomination un peu technocratique, l appellation ne doit pas cacher une réalité qui a pour ambition de construire un partenariat associatif et institutionnel au-delà de la seule logique d i n s e r t i o n. 7

8 En dire ct du Réseau La dernière Assemblée générale du Comité National de Liaison des Régies de quart i e r L Assemblée Générale du C N L RQ q u i s est tenue les 9 et 10 juin dernier à Montalieu (38) a re g roupé 160 personnes venant de toute la Fr a n c e m é t ropolitaine et D O M. Les membre s a c t i f s du réseau sont les présidents et les directeurs des Régies de quartier. Ils étaient parfois accompagnés de bénévoles ou de salariés de leur Régie. Ce rassemblement fut l o c c a s i o n d accueillir une délégation de représentants d associations de Bobo Dioulasso (Bu rkina) et de f o n c t i o n n a i res Angolais avec qui la commission globalisation du C N L RQ est en contact dans le cadre d échanges No rd / Su d. L Assemblé générale ord i n a i re se déroulant sur une demi-journée, les participants ont pu débattre en ateliers du thème vers une o rganisation territoriale de prox i m i t é du réseau national. Thème complexe qui a permis de mettre en évidence une forte demande des Régies : mieux se connaître, monter des projets en commun dans une prox i m i t é géographique (échelle de la région ou du département), et réaffirmer leur attachement à l instance nationale à vocation politique, qui est garante de l identité commune. Le Conseil d administration du C N L RQ p roposera une organisation qui réponde aux besoins des Régies et favorise un débat interne sur les diff é rents aspects du projet Régie de quartier. Cette réunion fut l occasion de n o m b reux échanges, sur les pratiques et sur les sujets qui préoccupent les participants, ce fut aussi un moment fort de convivialité partagée. 8 Pr é s e n c e n a t i o n a l e Le C N L RQ est impliqué dans les diff é rents trava u x de réflexion initiés par ses p a r t e n a i res institutionnels et associatifs : Me m b re du C N I A E (Conseil National de l Insertion par l Economique), il participe au comité de suivi des études engagées par la D G E F P (Délégation Générale à l Emploi et à la Fo r m a t i o n p rofessionnelle) sur le fonctionnement des C D I A E (Comité départemental de l Insertion par l Ac t i v i t é Economique) et au gro u p e de travail du C N I A E sur la formation et la qualification des publics. Me m b re titulaire du C N VA (Conseil National de la Vi e A s s o c i a t i ve), il participe aux g roupes de trava i l : Volontariat et Bénévo l a t, Vie associative et Te r r i t o i re, questions juridiques et fiscales, Fo r m a t i o n p ro f e s s i o n n e l l e. Me m b re actif de l In t e r réseau de l Ec o n o m i e So l i d a i re (I R E S) qui communique ses travaux et réflexions dans sa p u b l i c a t i o n. Le C N L RQ est invité aux t r a vaux du groupe Em p l o i et Insertion de l U N I O P S S ( Union Na t i o n a l e Interfédérale des Œuvres et Organismes privés s a n i t a i res et sociaux). Guy Du m o n t i e r, Pr é s i d e n t du C N L RQ a été nommé au t i t re de personnalité qualifiée membre du Comité consultatif de l Ec o n o m i e s o c i a l e. Ponctuellement, le C N L RQ participe à des trava u x interministériels qui ont pour objet des questions re l a t i ves à l insertion par l activité économique, l économie solidaire, la politique de la Ville et du d é veloppement local. Ce maillage partenarial f a vorise la légitimité, la p romotion ainsi que l é valuation des pratiques d économie solidaire et de c i t oyenneté déve l o p p é e s dans les Régies de quartier. Et l implication des m e m b res du réseau C N L RQ au cœur du dialogue civil contribue à la reconnaissance du caractère d utilité sociale des activités des Régies de Op t i m i s e r l a c o m m u n i c a t i o n par les n o u ve l l e s t e c h n o l o g i e s Avec l arrivée de Sébastien Gross g e s t i o n n a i re du site des Régies de quartier, l équipe du C N L RQ s o u h a i t e re n f o rcer sa communication multimédia. C o n n e c t ez - vous, consultez le site, ouvrez vos boîtes à lettres, des infos sont à vo t re disposition. Sur le site public c n l rq. o rg, un forum est ouvert vos contributions sont v i vement attendues! a c c u e i c n l rq. o r g

9 C O M I S S I O N F O R M A T I O N Les orientations de la form a t i o n La Com m i s s i on Form a ti on s é l a r gi t. Sa com po s i- ti on est ainsi repr é s en t a tive du déco u p a ge régi on a l du réseau, et ch a que mem bre peut être témoin de s réalités locales et relais des travaux de la Com m i s s i on Form a ti on. E lle trava i lle en sous-gro u pe s, con s ti tués en fon c- ti on des pri orités de form a ti on actu elles : l a pp u i au dével oppem ent de la form a ti on profe s s i on n ell e, la form a ti on à la sécuri t é / p é n i bilité au trava i l, l a con s o l i d a ti on des con n a i s s a n ces de base, la va l i d a- ti on des acquis profe s s i on n el s Appui au d é ve l o p p e m e n t de la form a t i o n p ro f e s s i o n n e l l e La prem i è re phase de la démarche d app u i au dével oppem ent de la form a ti on profe s s i on n ell e dans les Régies de qu a rti er est ach ev é e. E lle portait sur le recen s em ent des be s oi n s en form a ti on et l é t a bl i s s em ent d un d i a gn o s ti c.une étu de a été menée dans 6 Régi e s, sur la base d en treti en s avec les salari é s ( op é ra teu rs de qu a rti er, ch efs d équ i pe, en c ad rants tech n i qu e s, accom p a gn a teu rs s oc i oprofe s s i on n el s, d i recteu rs ). Les résu l t a t s ont fait l obj et d une a n a lyse co ll ective et de pr é con i s a ti on s. On con s t a te que les R é gies ren con trent de réelles difficultés po u r or ga n i s er la form a ti on de leu rs salari é s. Cet te faible pra ti que de la form a ti on profe s s i on n ell e s ex p l i que pri n c i p a l em en t par la com p l exité des statuts des salariés et par la spécificité des publics em p l oy é s. Le statut des salariés est très divers i f i é : s a l a riés sur des po s te s d i n s erti on, en C D D de co u rte du r é e, s a l a ri é s en C D I à temps com p l et ou parti el Cet te diversité ren d difficile la mise en place d une po l i ti que de form a ti on uniforme au sein de ch a que Régi e, n o t a m m ent parce qu un nom bre important de salariés re s te trop peu de temps (co u rte du r é e du con trat ou temps tr è s p a rti el) dans la Régi e pour élaborer un proj et de form a ti on. Les Régies em b a u ch en t a u j o u rd hui de s pers onnes de plus en plu s é l oi gnées de l em p l oi, c u mulant des difficultés s ociales et profe s s i on n elles qui ne l eur perm et tent pas de se proj eter dans l aven i r. Les amen er à con s tru i re un proj et de form a ti on n é ce s s i te un accom p a gn em en t ren forcé des salariés et le r è gl em ent pr é a l a ble de s mu l tiples probl è m e s qu ils peuvent ren con trer. Pa rmi les acti on s pr é conisées par le Com i t é de pilotage, le C N L RQ a pri ori t a i rem ent retenu : La sen s i bi l i s a ti on des Régies de qu a rti er à la form a ti on profe s s i on n ell e; La mise en place d une acti on co ll ective de form a ti on à la p é n i bilité et la sécurité au trava i l; Le dével oppem en t d acti ons de form a ti on pr é - qu a l i f i a n tes dans les Régies : redy n a m i s a ti on et con s o l i d a ti on des con n a i s s a n ces de base. 9

10 En dire ct du Réseau C O M I S S I O N G L O B A L I S A T I O N L accueil de la délégation bobolaise dans les Régies Dans le cad re du proj et La maîtrise de la vi ll e du P P D U ( Programme pri ori t a i re de dével oppem ent urb a i n ), de s acteu rs assoc i a ti fs bobolais (Bu rkina) ont été acc u ei ll i s d é but juin par les Régies de qu a rti er et à l As s em bl é e g é n é rale du C N L RQ. La déléga ti on com prenait des repr é s entants d assoc i a- ti ons mobilisées dans des activités de pr é - co ll ecte de s ordu res ménagères et des animateu rs bu rkinabés du P P D U. Sept Régies (Sa rreg u em i n e s, Bel fort Résiden ce s, Sa i n t - Bri eu c, Sa i n t - Herbl a i n, Na n te s, Moulins et Orl é a n s R E PE R E S ) ont eu le plaisir d acc u ei llir la déléga ti on bobolaise qui a pu ainsi avoir une vi s i on de la divers i t é des terri toi re s. P lu s i eu rs thèmes ont été abordés lors des éch a n ge s,m en é s dans un climat de convivialité (peti t - d é j eu n er d acc u eil à Saint-Herblain, pot de bienvenue à Belfort ) : L en tité Régie de qu a rti er : l a rti c u l a ti on du trava i l b é n é vo l e s / s a l a ri é s, la spécificité de l accom p a gn em en t s ocial et profe s s i on n el, la form a ti on et la qu a l i f i c a ti on profe s s i on n ell e. Les pra ti ques en mati è re de ge s ti on urbaine de prox i- m i t é : activité de démon t a ge de matéri el inform a ti qu e ( en vue de leur rec ycl a ge) de la Régie de Sa i n t - Herbl a i n, proj et de sen s i bi l i s a ti on à la propreté à l école (Orl é a n s ), r é c u p é ra ti on de tex ti l e, usine de reva l ori s a ti on de s d é ch et s,s i te de com po s t a ge de déch ets vert s,a s s oc i a ti on m obilisée par le tri sélecti f des déch ets (Sa i n t - Herbl a i n ). Le parten a riat local et l import a n ce du maill a ge en tre les baill eu rs et co ll ectivités locales pour la pérennité de s activités des Régi e s. La passati on de com m a n de de marchés publics a, par aill eu rs, fait l obj et de nom breu s e s qu e s ti on s. Du rant l As s em blée générale du C N L RQ, la déléga ti on a a pprécié les éch a n ges spon t a n é s,l intérêt des acteu rs de s R é gies pr é s en t s.le fon cti on n em ent assoc i a ti f du C N L RQ a vivem ent intéressé les Bobo l a i s. Les Régies ont ainsi été amenées à mieux con n a î tre les proj ets des acteu rs assoc i a ti fs Bobolais et leu rs be s oi n s en termes de souti en (stru ctu ra ti on, r é c u p é ra ti on de m a t é ri el inuti l i s é ). Cet éch a n ge a permis aux Bobo l a i s de s i m m er ger dans les activités des Régies et de vi s i ter des ch a n ti ers d inserti on (en treti en du qu a rti er et nettoya ge à Bel fort ). Les Bobolais ont éga l em ent évoqu é l eu rs propres difficultés con cernant le manque de liaison en tre les proj ets assoc i a ti fs et la po l i ti que loc a l e. E U R O P E A G E N D A 10 Association Eu ro p é e n n e des Régies quart i e r. M. Claude De s p i e g e l e e r, président de l Association Wa l l o n n e des Régie de quartier, à été nommé président de l Association Eu ropéenne des Régies de quartier. M. François Re i s s e r, vice-président, de la Régie Re p è re s d Orléans, à été nommé vice-président de l A s s o c i a t i o n Eu ropéenne des Régies de quartier. Le C N L RQ leur souhaite la b i e n ve n u e. Novem bre 2001 Jeudi 15 Formation continue des Di recteurs à Paris (75) T h è m e : Vie économique des Régies de quartier : accès à la commande publique et réponse aux appels à pro j e t s Samedi 17, dimanche 18 Re n c o n t res Acteurs VI, 3 e module à Po n t - à - Mo u s s o n ( 54 ) Re n c o n t res Acteurs VII, 2 e module à Bordeaux (33) Vendredi 23, samedi 24 C A du CNLRQ à Mâcon (71) Samedi 24, dimanche 25 Re n c o n t res Acteurs V, 3 e module à St - Brieuc (22) Mardi 27 au jeudi 29 Stage Se c r é t a i re s - a c c u e i l, Paris (75) D é cem bre 2001 Vendredi 7 Réunion des Délégués en régions à Paris (75) Samedi 8, dimanche 9 S é m i n a i re Pr é s i d e n t s - Di re c t e u r s Thème : Face à l é vo l u t i o n des publics et des quartiers : le sens de l action des Régies de quartier Samedi 15, dimanche 16 Re n c o n t res Acteurs VII, 3 e module à Paris (75)

11 1901 > 1981 > 2001 C e n t e n a i re de la liberté d association (Loi 1901) Vingtième annive r s a i re de la liberté d association pour les étrangers ( t i t re IV de loi 1901, promulguée en 1981) À l occ a s i on de cet annivers a i re, le go u- vern em ent et la mission du Cen ten a i re ont signé une Ch a rte d en ga gem en t s r é c i proques en tre l Etat et les assoc i a- ti on s. L Etat s en ga ge à met tre en œuvre les moyens ju ri d i ques et financiers propres à perm et tre l épanouissem ent de la vie assoc i a tive, pour que l assoc i a ti on s oit un lieu de démoc ra tie parti c i p a tive le plus ouvert po s s i bl e. Viens voir mon quartier ma communauté d h a b i t a n t s C é l é brer la loi 1901 dans les Régies fût un m om ent fort de convivialité en tre les salari é s, les bénévoles et les habitants de s qu a rti ers, et aussi une façon de ra ppel er aux pers onnalités locales po l i ti qu e s, é con om i ques ou assoc i a tives la dimen s i on c i toyenne et assoc i a tive d une Régi e. Terri toi res et médiati on Les porte s o uvertes dans les Régies on t pris la form e d un dîner de qu a rti er, d u n go û ter agr é- m enté d un g â teau aux 100 bo u gi e s, d u n e proj ecti on vi d é o, d une ex po s i ti on, d une pr é s en t a ti on théâtra l e, de débats Tous se sont emparés des tex tes de cet te loi, pour débattre avec les habitants de la réalité ju ri d i que de la Régi e, de la perti n en ce du ch oix de ce statut dans la dimen s i on po l i ti que de l assoc i a ti on. Certains se sont plus parti c u l i è- rem ent attachés au Ti tre I V de cet te loi ( dont c était le vi n g tième annivers a i re ) qui perm et la liberté d assoc i a ti on aux é tra n gers. Des outils de com mu n i c a ti on (affich e s, a utoco llants ) sont à la dispo s i ti on des Régies qui souhaitent po u rsu ivre l op é ra ti on Portes ouvertes : n h é s i te z pas à con t acter le C N L RQ. Terri to i re s, la revue éditée par l Association pour la démocratie et l éducation locale et sociale (Adels) consacre son dossier de novembre aux formes alternatives de résolution des conflits, notamment les médiations, qu elles soient institutionnelles ou citoyennes. L appel au tiers dans le démêlement de la conflictualité interpersonnelle ou personne/institution se multiplie et se diversifie. Formation, professionnalisation des médiateurs, rôle des collectivités locales, mais aussi retour sur l enjeu profond de cet appel généralisé à la médiation, sur les dysfonctionnements qu il révèle dans notre société. Terri to i re s emmène ses lecteurs à voir et comprendre des initiatives et des pratiques qui nous poussent à repenser la place collective des citoyens dans la gestion de leurs propres conflits. Une démarche qui ouvre la réflexion sur ce qui s apparente à une nouvelle forme de régulation sociale. Te r ri t o i res n 422, 45 F 108/110, rue Sa i n t - Maur Pa r i s w w w. a d e l s. o rg I N F O - R É S E AU Les actes des Tro i s i è m e s re n c o n t re s et le film du Printemps des q u a r t i e r s sont toujours disponibles pour p o u r s u i v re les débats : Fo rums & débats. 65 pages pour re v i v re cet événement et avant tout pour permettre aux habitants de poursuivre les discussions, aux Régies d i l l u s t rer leur engagement dans l économie solidaire et la vie associative, aux p a r t e n a i res de garder une trace symbolique et déterminante de leur collaboration aux côtés des militants salariés et b é n é voles du mouve m e n t des Régies de quartier. Printemps des quart i e r s 26 minutes qui présentent un autre visage des quartiers, le 15 avril 2000 au Pa rc Fl o r a l. Pour se pro c u rer les a ffiches, film et Ac t e s, s a d resser au C.N.L.R.Q. a c c u e i c n l rq. o rg Directeur de la publication Guy Dumontier. Sec r é t a riat de rédacti on Cécile Cl avi er. R é d a c ti on Cl o ti l de Br é a u d, François Hannoyer, S t é phane Laure, Christophe Leroux et Ch ri s tiane Royer. I llu s tra ti on s Al bert. Ma qu et te Pa tricia Ch a p u i s. Imprimeur L F T, Montreuil. Numéro de dépôt légal 91/0322. Abonnement 1 2, 2 0 Euros 80 F (4 numéros). Comité National de Liaison des Régies de quar tier 47-49, rue Sedaine Paris. cnlrq@wanadoo.fr Site 11

12 Alain Philippe, pr é s i dent de la fon d a ti on Mac i f ( l en trevu e, fixée de longue date, s est déroulée au len demain de la catastrophe de To u l o u s e ) Info-réseau - Un mot sur To u l o u se? La Mac i f est con cernée par cet événem ent dra m a ti qu e d a bord parce que l ex p l o s i on a tué des pers on n e s. E ll e l est aussi parce que de nom breux habitants des qu a r- ti ers proches sont dans la détre s s e.e lle l est enfin parce qu elle com pte parmi ces habitants be a u coup de soc i é- t a i re s.e lle déplore un mort parmi eu x. Dès qu elle a appris par les re s pon s a bles locaux de s R é gies com bi en elles ava i ent été to u ch é e s, la Fon d a ti on Mac i f a débl oqué des fonds qui sont allés directem ent au C N L R Q S O L I DA R I T É TO U LO U S E qui diffusera cet te a i de, con c r è tem en t, là où elle est néce s s a i re. IR : C est un mode d implication habituel? Cela corre s pond à une longue trad i ti on. Depuis 1974, un fonds de solidarité est géré par les soc i é t a i res de la Mac i f. La mutu elle peut pren d re en ch a r ge aussi, p a r exem p l e, les co ti s a ti ons d assu ra n ce de familles en diffic u l t é, s el on des cri t è res d ancien n eté et de baisse sign i f i- c a tive des revenu s, liées au ch ô m a ge.avec la créati on de la Fon d a ti on, en 1993, une partie des résultats est affectée au financem ent de causes d intérêt généra l. No u s d é p l oyons des moyens humains et financiers pour prom o uvoir une solidarité active et con c r è te. IR : Quels sont les choix qui ont présidé à la mise en place du partenariat avec les Régies de quartier? La Fon d a ti on Mac i f pro l on ge le de s s ein social de son fon d a teu r, la Mac i f. En cel a, elle s a t t ache à ti s s er de s l i ens avec des parten a i res proches de ses obj ecti fs et en gagés dans une démarche solidaire. Les Régies de qu a rti er sont de ceu x - l à. E lles inscriven t l eur acti on dans une approche terri tori a l e, au plus pr è s des habi t a n t s, au plus près de leu rs probl è m e s, de leu rs be s oi n s,mais aussi de leur espoi r. La Fon d a ti on qui est régi onalisée se retro uve dans le m i l i t a n tisme de proximité qui ne rel è ve ni d une d é m a rche cari t a tive, ni d une démarche hu m a n i t a i re, mais plutôt d une tra n s form a ti on soc i a l e.e lle en treti en t des rel a ti ons parten a riales avec nom bre d acteu rs de s réseaux d accom p a gn em ent soc i a l, p u blics ou priv é s, qu il s a gisse de la Déléga ti on interm i n i s t é ri elle à l écon omie soc i a l e, de la Déléga ti on interm i n i s t é ri elle à l ins erti on des jeu n e s, de la Caisse des dépôts et con s i gn a ti ons ou de Fra n ce active avec laqu elle nous avons un parten a riat solide et du ra bl e. La Fon d a ti on [ ] se retro uve dans le militantisme de proximité qui ne rel è ve ni d une démarch e c a ri t a tive, ni d une démarch e hu m a n i t a i re,mais plutôt d une tra n s form a ti on soc i a l e. IR : Est-ce que cette solidarité s exprime de façon particulière en matière d emploi? C est pr é c i s é m ent sur ce champ que la Fon d a ti on en ten d i n terven i r. E lle s est donné comme pri orité le souti en à la créati on d em p l ois du ra bles dans l écon omie soc i a l e. L em p l oi parce que c est le sésame, vecteur de co h é s i on s oc i a l e; L é con omie sociale parce qu elle est notre famille de pensée et qu elle porte en elle to utes les va l eu rs que nous vo u l ons prom o uvoi r, en plaçant l homme au cen tre de s i n i ti a tives écon om i ques et en trepren a ri a l e s. O utre ce souti en à la créati on d em p l ois du ra bl e s, n o u s trava i ll ons avec nos parten a i res à la péren n i s a ti on de s E m p l ois jeu n e s, con s i d é rant qu il serait vain de créer de l em p l oi dans l écon omie sociale si l on ne pr é s erve pas celui qui ex i s te déjà. IR : On rêvait hier de plein-emploi, on évoque aujourd h u i la récession : est-ce que cela change vos stratégies? On rêvait hier du plei n - em p l oi,mais on cra i gnait ava n t - h i er que cela soit difficile à co u rt terme! Nous re s ton s, pour notre part,m ode s tes sur la qu e s ti on de l em p l oi, de la pr é c a rité et de l exclu s i on. Nous ga rdons cependant le cap de nos pri orités en dem eu rant vi gilants sur troi s points : Ê tre plus réacti fs et diminu er les len teu rs dans le port a ge de nos proj et s; R é du i re la distance avec nos parten a i re s et dével opper une parti c i p a ti on plus interactive; E n f i n, nous con cen trer sur le public cible que sont les jeu n e s. Va l ori s er l écon omie sociale à leu rs yeu x, c est faire œ uvre d édu c a ti on pop u l a i re et pr é p a rer une soc i é t é p lus solidaire. L ex p é ri en ce mon tre qu une mei ll eu re con n a i s s a n ce de ses va l eu rs perm et aux jeunes d ad h é rer fon d a m en t a l em ent aux pri n c i pes de la mutu a l i t é. 12

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