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1 «Dites docteur, on m a dit que j avais la DMLA» Place du médecin traitant dans la prise en charge de la Dégénérescence Maculaire liée à l Âge (DMLA). Dr Sarah PERIGNON

2 Toutes formes confondues, la DMLA concerne environ 8 % de la population française. Sa fréquence augmentant avec l âge : 1 % des personnes âgées de 50 à 55 ans, 55 et 65 ans à %,15-20 % pour les personnes âgées de 65 à 75 ans. Elle atteint jusqu à 25 % et 30 % des patients au-delà de 75 et 80 ans respectivement. C est, en effet, la principale cause de malvoyance dans les pays industrialisés. Pour les cas les plus dramatiques, on estime le nombre de nouveaux cas de cécité légale (au sens de l'oms, à différencier de l'absence totale de vision) liée à la DMLA en France à par an.

3 DÉFINITION On pourrait donc définir la DMLA comme une atteinte maculaire tardive, multifactorielle, apparaissant sur un terrain génétiquement prédéterminé, dont l expression clinique est fonction de facteurs additionnels et environnementaux. un stade initial de maculopathie liée à l âge (MLA) un stade avancé de dégénérescence maculaire liée à l âge proprement dite (DMLA) = formes tardives correspondant aux complications atrophiques (forme «sèche») et néovasculaires (forme «humide»). Physiopathologie multifactorielle : âge / stress oxydatif / facteur génétique

4 Traitement Seule la forme humide décompensée se traite de façon active. Injection intravitréenne d anti-vegf: protocole de base de 3 injections à 1 mois d intervalle puis traitement fonction des récidives. Le but du traitement : ralentir l évolution de la maladie L injection, sous anesthésie locale en salle dédiée, est indolore. Les patients sont gênés 12 h par des brûlures et une hyperhémie liées à la bétadine. Une des complication, bien que rarissime, est l endophtalmie, traduite par une aggravation rougeur/douleur/bav après les 12 premières heures: URGENCE +++

5 ALERTE 3 signes doivent alerter le patient et ses médecins sur l existence d une probable DMLA. Il s agit : - d une baisse d acuité visuelle (surtout si elle est rapidement progressive et unilatérale) - de métamorphopsies (déformations des images perçues par le patient, vagues) - d un scotome (tache +/- opaque dans la partie centrale du champ visuel, fixe et permanent)

6 Rôle médecin traitant : prévention primaire - Antécédents familiaux de DMLA - Tabagisme - Obésité, HTA - Alimentation mal équilibrée. Le rôle du médecin traitant sera alors de proposer un arrêt du tabagisme, et une modification du régime alimentaire favorisant les fruits (kiwi, agrumes riches en Vit C), les légumes surtout verts et les poissons gras, les oléagineux riches en oméga 3, les huiles et margarines végétales riches en Vit E, les huîtres, coquillages, pain complet, foie, riches en zinc.

7 Rôle médecin traitant : prévention secondaire Chez tout patient présentant des facteurs de risque, ou se plaignant de troubles visuels, le rôle du médecin traitant sera de proposer une consultation chez un ophtalmologiste (le degré d urgence du rendez-vous dépendant de la symptomatologie du patient). Outre l arrêt du tabac, la réduction pondérale, le traitement de l HTA et une alimentation variée, les suppléments alimentaires peuvent être prescrits en cas de MLA ou DMLA unilatérale.

8 Rôle médecin traitant : prévention tertiaire Le dépistage précoce des complications néovasculaires (forme humide ou exsudative) ou de leur récidive est essentiel pour limiter les conséquences visuelles et traiter au plus vite. Le rôle du médecin traitant sera de rappeler et de réexpliquer l importance de l autosurveillance ; la motivation des patients ayant tendance à baisser avec le temps. Enfin lorsque malheureusement la malvoyance s est installée, une prise en charge sociale est souvent nécessaire (aide à domicile, prestation de compensation du handicap etc ). L ensemble de ces demandes est habituellement réalisé autour du patient par la famille et le médecin traitant.

9 Un petit mot sur l ALD Compte tenu du taux de malvoyance, les patients ont souvent des difficultés à se rendre aux consultations qui sont mensuelles à bimensuelles la première année ( rappelons qu un patient est injecté en moyenne 7 fois la première année et examiné 10 fois en cas de décompensation unilatérale), L ALD hors liste n est plus acceptée par la SS mais l ALD non éxonérante prenant en charge les déplacements est possible.

10 Les nouveautés EYLEA : nouvel anti-vegf par voie intravitréenne qui viendra concurrencer LUCENTIS La dose recommandée est de 2 mg, correspondant à 50 microlitres par IVT une fois par mois pendant 3 mois consécutifs suivi d une injection tous les 2 mois la première année. La recherche pour la forme atrophique : utilisation de cellules souches embryonnaires.

11 Merci de votre attention

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