MASSES CERVICALES de l l ENFANT. Sophie MISSONNIER Philippe MESTDAGH Caroline CHAFFIOTTE Jean-Pierre PRUVO

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "MASSES CERVICALES de l l ENFANT. Sophie MISSONNIER Philippe MESTDAGH Caroline CHAFFIOTTE Jean-Pierre PRUVO"

Transcription

1 MASSES CERVICALES de l l ENFANT Sophie MISSONNIER Philippe MESTDAGH Caroline CHAFFIOTTE Jean-Pierre PRUVO

2 Masses cervicales de l enfant Très fréquentes en pédiatrie Contexte parfois urgent Présentation clinique: -torticolis -infection locale -rarement douleur Bilan 1. ECHOGRAPHIE 2. Parfois Scanner ou IRM Le plus souvent bénin (malformatif ou infectieux++) Mais attention aux étiologies malignes ++ SARCOMES

3 Age Clinique Durée e d éd évolution Localisation Imagerie (US++, TDM, IRM)

4 Rôle de l él échographie Localisation Extension Contenu: -homogène ou hétérogène -liquide, solide, mixte, pseudo-solide -cloisons, calcifications Vascularisation

5 TDM / IRM Examens de 2 ème intention IRM++ car non irradiant Permettent de mieux caractériser une masse solide, d apprécier son extension loco-régionale et ses rapports avec les structures voisines.

6 2 TYPES: - masses latérales - masses médianesm

7 Nous étudierons successivement: Les masses cervicales médianes, et en particulier les Kystes du Tractus Thyréoglosse (les + fréquents!). Les masses cervicales latérales, avec en premier les tumeurs parotidiennes, puis les autres localisations de masse cervicale latérale.

8 I. MASSES CERVICALES MEDIANES

9 Masses cervicales médianes Kystes du Tractus Thyréoglosse ++++ Kystes Branchiaux Peuvent être para-médian Pathologies Thyroïdiennes (rares) Kystes Dermoïdes = Tératomes

10 1) Kystes du tractus thyréoglosse +++fréquent, la plus fréquente des malformations Apparaît si infection (taille augmente) Défaut de fermeture du canal de Bochdalek 1 ère décennie

11 DIFFERENTES LOCALISATIONS Le long du trajet de migration de la thyroïde, dans le canal de Bochdalek Ph.DEVRED

12 De la base de la langue à la thyroïde, proche de l os hyoïde++, sous hyoïde=75% Médian ou latéralisé si volumineux, sous cutané,nodulaire, hypoéchogène Mobile ascension à la déglutition. Signe associé: possible déviation de la trachée

13 En échographie: Tuméfaction sous-cutanée (ou dans les muscles si sous-hyoïdien) Kystique, bien limitée Médiane ou latéralisée à gauche Anéchogène Echogène si hémorragie ou infection En TDM hypodense avec rehaussement partiel faible (rehaussement++ si infection) En IRM HypoT1, HyperT2

14 Image médiane, collectée, sur le trajet du canal de bochdalek SCANNER

15 2) PATHOLOGIE THYROÏDIENNE Rare chez l enfant Ectopie, du médiastin à la mandibule Kystes colloïdes Adénomes Thyroïdites auto-immunes Thyroïdites bactériennes (rarissimes!) Cancers

16 a) Thyroïde ectopique Le plus souvent au niveau de la base de la langue, Loge thyroïdienne vide ATTENTION:chirurgie abusive = hypothyroïdie diagnostic impératif! Hyperdensité spontanée+++ en TDM permet le diagnostic

17 b) Adénomes et kystes (rares) Adénome folliculaire thyroïdien kyste

18 c) Maladie de basedow Hyperplasie diffuse de la thyroïde Hypoéchogène //muscles Aspect hétérogène Parfois en «rayon d abeille» (réticulations) +++ Hypervascularisation doppler des vitesses (=hashimoto)

19 d) Thyroïdite de Hashimoto Thyroïde «léopard»,hétérogène, micronodules, septa En échographie: FREQUENTE+++ Ganglions associés Glande hypoéchogène Infiltration lymphocytaire++ Hypertrophie puis atrophie Bords parfois lobulés DOPPLER, parfois hypervascularisée

20 e) Thyroïdite subaigüe e de De Quervain Augmentation de taille globale +/- totalement hypoéchogène Redevient par la suite d échogénicité normale +/- zones de fibrose CLINIQUE+++ masse médiane douleur T

21 f) Cancers rares ++ Nodule mixte Ou solide++ K papillaire de la thyroïde Au doppler: Calcifications Évocatrices de c.papillaire

22 3) KYSTES DERMOÏDES DES =Tératomes RARES Rares après 1 AN, souvent dès la naissance Du plancher de la bouche à la région sus-sternale (sous-mental+++) NON MOBILE CONTENU graisseux, calcifié NB: gravité liée au risque de détresse respiratoire, malignité ++ rare à cet âge

23 Forme majeure, de diagnostic anténatal natal La seule option thérapeutique est la chirurgie quand elle est possible

24 Formes plus modérées Masse régulière tissulaire Echogène ECHO A contenu hétérogène, plus ou moins graisseux ou calcifié TDM Non vascularisée

25 En Scanner et IRM: TDM : Plage graisseuse, ne prenant pas le contraste Tératome pré laryngé IRM : HyperT1, disparaît après saturation de la graisse

26 II.MASSES CERVICALES LATERALES

27 Repères importants: Ils permettent de différencier quasiment toutes les étiologies! -Carotide - Muscle SCM

28 Intérêt de l imagerie: l (le plus souvent) parotidite ou adénite? Localisation extra- ou intra-parotidienne de la masse!!!

29 1.Tumeurs parotidiennes

30 Première question : masse -kystique ou -vasculaire? Si vasculaire = angiome Si kystique = lymphangiome kystique

31 a) Angiome parotidien Fréquent Dès la naissance Augmente jusqu à 2ans puis involution spontanée F>H, G>>D Bosselé, déforme la glande Extension vers la peau

32 En échographie: isoéchogène homogène ou hétérogène avec des nodules hypoéchogènes, Hypervascularisation doppler En scan: prise de contraste+ En IRM: ++ hypert2, hypo ou isot1 Rehaussement uniforme et intense++ Possible hyposignal T1 linéaire correspondant à des structures vasculaires circulant à haute vitesse

33 b) Lymphangiome kystique Possible localisation parotidienne Fréquent 4 ans++ Apparition brutale Intra ou extra VII (N.FACIAL) =>pronostic chirurgical 1 kyste ou multiloculaire Cf plus loin

34 c) Parotidite AIGUE: - virale -> oreillons volume bilatérale + douleur parotidienne et pharyngée, otalgies, ggl sous-maxillaires, T, asthénie -> CMV, échov, coxsackie - Suppurée fact. favorisants= AEG, Alcool, diabète volume unilat., douleur, inflamm, T pus à l orifice du Sténon => AB le + souvent streptocoque

35 CHRONIQUES - Lithiases +++ rares chez l enfant Douleur ++ en début de repas Sialographie + Bactério/cyto - Bactérienne récidivante donne une déformation canalaire en grappe de raisin - Sialodocholite non lithiasique = évolution des parotidites récidivantes avec dilatation des canaux Risque : évolution vers Lymphome ou transformation lymphoépithéliale

36 NB: GRENOUILLETTE =mucocèle de la glande sous maxillaire Masse unilatérale, arrondie, indolore, fluctuante,rénittente Sus-hyoïdienne, latéralisée Kyste mucoïde avec possible sténose du Wharton Contenu strictement liquidien TDM

37 d) Adénome pléomorphe Homogène Occupe quasi toute la glande En écho: Asymétrie de signal entre les 2 glandes En IRM: - Hyposignal T1 - Hypersignal T2 franc e) Cystadénolymphome Ou tumeur de Warthin, souvent polaire inférieur Kystique, arrondi, bien limité, contours de signal hétérogène Zones hypert1 hypot2, caractéristiques = kystes riches en cholestérol

38 f) Autres tumeurs + rares en pédiatriep Adénopathies intra-parotidiennes Lymphomes malins Tumeur muco-épidermoïde:(ado) Masse multikystique infiltrante HypoT1 + hypot2 Kystes salivaires Abcès

39 g) Tumeurs parotidiennes très s rares chez l enfantl Si malin :Rechercher des ADP +++ Tumeur à ç acineuses Rhabdomyosarcomes Cylindrome: douleur + infiltration nerveuse + métastases + récidive (ado++)

40 Neurofibrome de Recklinghausen = phacomatose de type 1, maladie autosomique dominante liée au chromosome 17 1/3000 naissances Expression variable: de simples tâches café au lait jusqu à des atteintes très sévères IRM

41 Neurofibromatose de Recklinghausen Association de tumeurs cutanées, des nerfs et du SNC avec des tâches café au lait Neurofibrome (cutané ou plexiforme), névrome, gliome, méningiome du V Nodules de Lisch (hamartomes de l iris) Lentigines axillaires et inguinales Lésions osseuses de type dysplasie

42 2. Masses cervicales latérales Non parotidiennes

43 a)adénite aigue JAMAIS NEONATAL 1 à 4 ans Association à otite, rhinopharyngite, angine Fièvre + douleur + aspect rapidement inflammatoire A pyogène: lymphadénite aiguë, évolue vers adénophlegmon (masse GG + nécrose) et collection centro-gg Autres: viral(mni), toxo, griffes du chat, mycobactéries et BK

44 ECHO adénite Hypoéchogène//thyroïde Centre plus échogène que le cortex avec une vascularisation radiaire. Caractère collecté évalué sur la nécrose centrale hypoéchogène et la proximité de la peau pour la fistulisation Adénopathies nécrotiques

45 TDM Adénite suppurée ADENOPHLEGMON

46 Ganglion ou Adénopathie? 3 critères permettent de les différencier: Forme: fusiforme // arrondie Structure: présente // anormale Vascularisation: hile présent // anarchique (vasc. Centrale) NB: En revanche, difficile d être formel pour différencier une adénopathie inflammatoire ou néoplasique!

47 Adénopathies métastatiques (ici d un K papillaire de la thyroïde)

48 ADENOPATHIES INFECTIEUSES ICI : ADENITE TUBERCULEUSE

49 b) Abcès Porte d entrée? Image - Arrondie - Coque Collectée +/- fistulisation

50 c) Cellulite cervicale Complication d un processus infectieux local ++ jugal ou sous-mental Rx: Air TDM hyperdensité de la graisse sous cutanée sans réel abcès. Crépitation=>chir Gravité liée à l extension médiastinale (TDM++)

51 d) Lymphangiome kystique Fréquent ++ avant 4 ans Malformation lymphatique tumorale bénigne, unilatérale 1 seul kyste ou multiloculaire, Macro, microkystique ou mixte Apparition brutale, évolution variable Complications= infection, hémorragie, parfois compressif

52 En écho: Aspect multikystique Avasculaire (sauf les cloisons, qui peuvent être vascularisées) Rapports vasculaires? Ponction? DOPPLER Rechercher malformation veineuse associée! Lymphangiome kystique

53 Caractéristiques: ristiques: Masse kystique, cloisonnée, polylobée, très étendue, Envahissement de tous les tissus adjacents (extension en profondeur++ importante à évaluer) IRM: signal hétérogène, hypot1, hypert2, possible signal graisseux (= Dermoïde) Pas de pédicule vasculaire nourricier

54 Intérêt de l IRM et/ou du scanner pour évaluer l extension à : Muscle mylo-hyoïdien La langue Médiastin post TDM sans

55 Principales localisations des lymphangiomes kystiques: 70 à 80% cou Plancher buccal Parotide 15% axillaire Autres: médiastinal, rétropéritonéal, splénique, colique Souvent isolés mais peuvent être diffus = lymphangiomatose NB: association plus fréquente avec Syndrome de Down (=Trisomie 21)

56 ANAPATH du LYMPHANGIOME CARACTERISTIQUE! Tissu lymphoïde Cellules musculaires lisses Cloisons de tissu conjonctif Revêtement endothélial = Hamartome bénin 3 TYPES: Capillaire, caverneux, kystique

57 e) Fibromatosis coli =torticolis congénital nital ou hématome h SCM Fréquent+++ Néonatal++, découvert à 1 mois Accouchement difficile Raideur Ttt Kiné Régresse avant 9 mois Dt>G Tuméfaction ferme, oblongue, aux dépends du SCM Parfois vascularisée

58 ECHOGRAPHIE BILATERALE COMPARATIVE+++ ATTENTION : Diagnostics différentiesl!! -fibrome desmoïde du SCM -neuroblastome cervical Mais diagnostic clinique + écho : EVIDENT SCM normal Fibromatosis coli

59 f) Hémangiome H sous-cutan cutané Tissulaire, contours réguliers Uniforme, homogène, hypoéchogène, En échographie doppler Hypervascularisé au doppler, +/- vitesses

60 Au scanner: masse régulière, spontanément hypodense, Se rehaussant après injection de PdC Pour l IRM cf parotide NB: Hémolymphangiome: kystique, polymorphe, hypoéchogène, hétérogène association cloisons + kystes + hypervasc

61 HEMANGIOME Tumeur bénigne régressive, congénitale 3 Types: - cutané 85%(dg clinique = angiome «fraise») -mixte 13% - sous-cutané 2%: masse bleutée, molle, pulsatile, Ils augmentent de taille surtout la première année de vie puis stabilisation et régression Complications: Ulcération (douleur + cicatrice), obstruction/compression, infection, extension et nécrose (face++)

62 g) Kystes et Fistules branchiales Sillons Processus mandibulaire Rappels embryologiques Arcs Poches I II Crête épicardique III IV CAE Sinus cervical I II III IV Cavité Tympanique primitive CAE Amygdale palatine Glande parathyr. Sup Dérive de la 4 ème poche Corps ultimobranchial thymus Plancher du pharynx Caecum foramen Glande thyroïde Intestin antérieur Développement des poches branchiales ecto- et entoblastiques J.LANGMAN-Masson

63 Généralités s sur les anomalies branchiales: avant 3-4 ans Révélé par une Récidives++ 1 ère fente/poche: F>H Sous auriculaire, plancher CAE Retromandibulaire Otorrhée purulente, masse parotidienne, adénite +/- association anomalie parotide/n.facial Orifice dans triangle de Poncet (CAE, menton, os hyoïde) 2 ème fente/poche: Les + fréquents= 95% Kystes > fistules Sous-hyoïdiens En dehors de l axe jugulo-carotidien 4 types selon localisation 3&4èmes fentes/poches: ++rares Cervical bas Paramédian Thyroïdien (4 ème ) TJS INF abcès++ Diagnostic de certitude= chir. Peut donner des kystes parathyroïdiens

64 FISTULOGRAPHIE Fistule du 1 er arc Fistule du 2 ème arc

65 Echographie Kyste de la 4 ème poche branchiale, (près de la thyroïde) Hypoéchogène, homogène oblongue Kyste de la 2 ème fente

66 Scanner Fistule de la 2ème fente

67 IRM Fistule du 2 ème arc Trajet Orifice cutané Fin, au niveau de l amygdale

68 Anomalies du 2èmes 2 arc Type I: sous l aponévrose cervicale superficielle, en avant du SCM Type II: sous l aponévrose cervicale moyenne, en dehors des gros vaisseaux, parfois adhérant à la VJI Type III: entre CI et CE, peut s étendre du pharynx à la base du crâne Type IV: le long de la paroi pharyngée latérale

69 h) Thymus ectopique ECHO Asymptomatique chez nourrisson Masse sousangulomaxillaire En Echo: Homogène Hypoéchogène +/- trajet jusqu au thymus médiastinal En IRM : +/- en continuité avec le thymus médiastinal normal, même signal que le thymus médiastinal s il existe HypoT1, hypot2 T1 IRM T2

70 i) Autres masses latérales Lipoblastome ECHO Masse discrètement hétérogène, bien limitée

71 LIPOBLASTOME Tumeur bénigne des tissus mous, immature, fréquente chez l enfant de moins de 3 ans, le plus souvent de localisation cervicomédiastinale. Tumeur graisseuse plus ou moins cloisonnée Diagnostic différentiel avec le liposarcome, rare, en particulier avant 10 ans

72 En IRM T2: Spontanément hypert1 HyperT2, homogène En TDM: Hypodensité non rehaussée après injection

73 Masses augmentant au cri: Ectasie jugulaire VJD VJG Thymus Apex pulmonaire Laryngocèle

74 Tumeur du glomus carotidien Scanner sans et avec Injection En dedans & En arrière De la bifurcation carotide

75 Reconstruction 3D

76 Même si elle est rare il ne faut jamais oublier la pathologie maligne Rhabdomyosarcome & Neuroblastome

77 RHABDOMYOSARCOME Tumeur maligne des tissus mous, dégénérescence de cellules musculaires striées ou de cellules souches mésenchymateuses 3 types: embryonnaire, alvéolaire ou botryoïde 2 pics de fréquence : 2-5 ans et ado Possible association avec -malformations génito-urinaires -malformations du SNC -neurofibromatose -Syndrome de Li fraumeni Localisation tête et cou = 41%,dans le triangle cervical postérieur, génito-urinaire= 37% puis membres

78 En Imagerie : IRM=imagerie de choix Densité et signal tissulaire (iso-signal ou discret hypersignal T1 par rapport aux muscles et relatif hypersignal T2) non spécifique (Yousem). Ils sont rehaussés par l'injection mais sans hypervascularisation. Ils peuvent être nécrotiques lorsqu'ils sont volumineux et sont rarement calcifiés

79 Neuroblastome Très rare au niveau cervical (1-5% des neuroblastomes) Tumeur embryonnaire sympathique Diagnostic biologique (catécholamines, LDH, VIP) + Imagerie C : englobement des vaisseaux du cou, extension locale (rétropharyngée, base du crâne, voies aériennes,plexus nerveux, trous de conjugaison, canal rachidien), ADP et métastases ( os, moëlle osseuse, ganglions à distance et orbite)

80 Rx standard : opacité oblongue +/- microcalcifications et possibles anomalies osseuses Echographie : masse tissulaire échogène +/- zones hyperéchogènes atténuantes= microcalcifications, avec possibles plages de nécrose tumorale hypoéchogènes, Scintigraphie MIBG (fixation), TDM : densité tissulaire avec calcifications faiblement rehaussé après injection de PdC, +/- Adénopathies IRM : hyposignal relatif T1 mais supérieur au muscle, relatif hypersignal T2, rehaussement diffus hétérogène

81 EN BREF

82 Masses cervicales médianes Kystes du tractus thyréoglosse Kystes dermoides Pathologie thyroidienne Certains kystes branchiaux Très fréqt La+fréqt des malfo. Apparaît si infection ( volume) 1ère décennie De la base de langue à la thyroide Proche os hyoide+++ Sous os hyoide 60% Median+++ Sous cutané+++ Latéralisé si volume++ Mobile Ascention à la déglutition = Tératome Rare Du plancher bouche À la région sus sternale Sous mental+++ Non mobile Contenu graisseux calcifié Rare Kystes colloides Adénome Thyroidites.Auto-immune (rare chez enfant) Hashimoto Thyroide hypoéchogène «en peau de léopard».bactérienne exceptionnel Ectopie Médiastin mandibule Pfs para-médians Dr P.MESTDAGH

83 ADP intraparotidiennes Les tumeurs parotidiennes Lymphomes malins Kystes salivaires Angiome Fréqt++ Dès la naissance avant 2 ans Puis involution spontanée F>H G>>D Bosselée Déforme la glande Extension vers peau++ Echo: IRM: H-T1 H+T2 Signal sur les échos successifs du T2 Prise de Gado+++ Lymphangiome kystique - fréqt 4 ans extra VII ou intra VII 1 seul kyste Apparition brutale ou kyste multiloculaire Adénome pléomorphe Encapsulé Ferme lente de volume Prolongements profonds récidives Parotidites Cystadéno -lymphome = tumeur de Warthin Kystique++ Polaire inf++ Parotidite Suppurée Fréqt++ 4/5ans H>F Sous maxillite associée Unilatéral+++ Déficit immu/deshydrat Infec&ORL/aliments Récidivant à bascule Sténon+/-dilaté Séquelles=images en plomb de chasse Tumeur muco épidermoide 13 ans Multikystique Infiltrante Autres Rare+++ Cylindrome Très rare Adolescent Douloureux Infiltre les nerfs Métastatique récidive T à C acineuses 10 ans Neurofibromes plexiformes (Recklinghausen Parotidite ourlienne Bilatérale+++ orchite/méningite Pancréatite/surdité Rhabdomyosarcomes

84 Cellulite cervicale Jugal/sous mental Rx : air? Crépitation Chir Lymphangiome kystique = hygroma kystique Malfo.lymphatique tumorale benigne Pfs compressif Molle Mal limitée post.du cou Prolongement Intra-thx++ Multikystique+++ Cervical bas avasculaire Kystes et fistules branchiales < 3/4ans Révélé par infection Récidive+++ 1ère fente/poche F>H Sous auriculaire Rétro-mandibulaire Otorrhée purulente 2ème fente/poche Les + fréqts Sous hyoidiens En dh axe jugulo-carot. 3/4ème fentes/poches Très rare Paramédian Thyroidien (4ème) Infection toujours (abcès++) Masses cervicales latérales Fibromatosis coli =torticolis congénital nital ou hématome du SCM Néonat Découvert à 1mois Fréqut++ Raideur Accoucht difficile Drt>Gch Ferme+++ Oblongue Au dépens du SCM++ Pfs vascularisé Kiné Régresse avant 9mois Adénite aigue Jamais néonataln 1 à 4 ans Otites Rhinopharyngites Angines A pyogène =lymphadénite aigue Adénophlegmon = masse GG +nécrose Collection centro-gg Autres Viral Toxo Griffes du chat Mycobactéries et BK Hémangiome sous cutané Pathologie parotidienne TUMEURS MALIGNES Rhabdomyosarcome Neuroblastome Tumeurs vasculaires Thymus ectopique Et autres masses expansives au cri

85 BIBLIOGRAPHIE Imagerie des masses du cou chez l enfant (feuillets de radiologie 2000) F.SAAD, L.MAINARD,M.A.GALLOY, E.GACONNET, J.C.HOEFFEL Pathologie malformative des parties molles du cou (sfip) Ph.DEVRED, G.GORINCOUR, B.BOURLIERE-NAJEAN Kystes et fistules congénitaux du cou OUOBA K, DAO M,CISSE R, KABRE M, SAKANDE B, SANOU A Echographie des glandes thyroïdes et parathyroïdes Le thymus chez l enfant (sfip) Fred E AVNI, F ZIEREISEN, G GUISSART, A MASSEZ, S LOURYAN Bruxelles Tuméfactions congénitales du cou clinique de cancérologie cervico-maxillofaciale ECU, Sept 2003 Lymphangiome kystique cervico-médiastinal (arch inst Pasteur Madagascar 2000) rakotosamimanana J, Raharisolo vololonantenaina CR, Ratvoson H, Ahmad Ahgmad, Razafindramboa H Les malformations congénitales latéro-cervicales d origine branchiale M Hamoir Ph Rombaux AS Cornu X Gruyer P Clapuyt

86 BIBLIOGRAPHIE (suite) Cours du DIU d échographie modules thyroïde, Dr Leenhardt Dr Monpeyssen Cours du DIU d échographie module Radiopédiatrie, «masses cervicales de l enfant» C.Cellier, M.Elmaleh, C.Garel (2005) Angiomes,G.Lorette, F.Combazard, Ch.Bodemer Neuroblastome ou sympathoblastome,www-sante.ujf-grenoble.fr, Pr D.Plantaz Liens iconocerf medimag sur wwwmed.univ-rennes1.fr

Apport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales

Apport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales Apport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales A propos de 35cas L.Derouich, N.El Benna, N.Moussali, A.Gharbi, A.Abdelouafi Service de Radiologie Hôpital 20 Aout CHU Ibn Roch Casablanca Maroc plan

Plus en détail

Concours d Internat et de Résidanat

Concours d Internat et de Résidanat Concours d Internat et de Résidanat Ce programme a pour but d aider à la préparation des concours d internat et de résidanat. Il ne constitue en aucun cas un répertoire de «questions d examen» mais une

Plus en détail

Qu est-ce qu un sarcome?

Qu est-ce qu un sarcome? Qu est-ce qu un sarcome? Qu est-ce qu une tumeur? Une tumeur est une prolifération anormale de cellules. Les tumeurs ne devraient donc pas automatiquement être associées à un cancer. Certaines tumeurs

Plus en détail

IRM du Cancer du Rectum

IRM du Cancer du Rectum IRM du Cancer du Rectum quels CHOIX TECHNIQUES pour quels OBJECTIFS THERAPEUTIQUES? Frank Boudghène, T. Andre, A. Stivalet, I. Frey, L. Paslaru, V. Ganthier, M. Tassart Hopital Tenon - Université Paris

Plus en détail

Apport de l IRM dans la

Apport de l IRM dans la Apport de l IRM dans la caractérisation tissulaire préopératoire des tumeurs rectales Y MORMECHE, S SEHILI, J MORMECHE, CH CHAMMEKHI, S KHELIFI, A BACCAR, MH DAGHFOUS, A CHERIF TUNIS - TUNISIE PLAN Introduction

Plus en détail

PROGRAMME DU CONCOURS D ACCES AU RESIDANAT DE CHIRURGIE DENTAIRE

PROGRAMME DU CONCOURS D ACCES AU RESIDANAT DE CHIRURGIE DENTAIRE MINISTERE DE L ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE UNIVERSITE D ALGER DEPARTEMENT DE 1- SPECIALITE : PROTHESE 1 Anatomie dentaire 2 Les matériaux à empreinte 3 Les traitements pré-prothetiques

Plus en détail

Cancers de l hypopharynx

Cancers de l hypopharynx Cancers de l hypopharynx A- GENERALITES 1) Epidémiologie Cancer fréquent et de pronostic grave du fait de son évolution insidieuse et de son caractère lymphophile. C est quasiment toujours un carcinome

Plus en détail

De la chirurgie du nodule aux ganglions

De la chirurgie du nodule aux ganglions De la chirurgie du nodule aux ganglions Docteur Xavier CARRAT Institut Bergonié Clinique Saint Augustin Chirurgie des lésions bénignes de la thyroïde problématique opératoire «simple» avec indication portée

Plus en détail

Maladies et Grands Syndromes : Angiomes (223) Professeur Guy Magalon Juin 2005

Maladies et Grands Syndromes : Angiomes (223) Professeur Guy Magalon Juin 2005 Maladies et Grands Syndromes : Angiomes (223) Professeur Guy Magalon Juin 2005 1. Définition Les angiomes sont des tumeurs très fréquentes. La définition de TOURAINE rend parfaitement compte de la complexité

Plus en détail

La langue, constituant la majeure partie de la partie inférieure de la cavité orale,

La langue, constituant la majeure partie de la partie inférieure de la cavité orale, LES «ANNEXES» DE LA CAVITE ORALE La Langue La langue, constituant la majeure partie de la partie inférieure de la cavité orale, occupe l espace dans cette cavité orale, dans la concavité de l arche mandibulaire,

Plus en détail

Sein inflammatoire. Isabelle Leconte Cliniques universitaires St Luc

Sein inflammatoire. Isabelle Leconte Cliniques universitaires St Luc Sein inflammatoire Isabelle Leconte Cliniques universitaires St Luc Sein inflammatoire 3 types Mastites infectieuses Mastites non infectieuses Cancer inflammatoire 2 situations cliniques Allaitement Hors

Plus en détail

Neurofibromatose 1 Maladie de Von Recklinghausen

Neurofibromatose 1 Maladie de Von Recklinghausen Neurofibromatose 1 Maladie de Von Recklinghausen La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche

Plus en détail

Leucémies de l enfant et de l adolescent

Leucémies de l enfant et de l adolescent Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE

Plus en détail

.( /.*!0) %1 2"+ %#(3004) 05' 203 .(.*0"+ ) '!2"+ %#(30+ 0!"%) 4!%2) 3 .( @.*" '!%2"+ %#(30! &' 4!!% .+.*0%!!'!(!%2"+ 16 3047!

.( /.*!0) %1 2+ %#(3004) 05' 203 .(.*0+ ) '!2+ %#(30+ 0!%) 4!%2) 3 .( @.* '!%2+ %#(30! &' 4!!% .+.*0%!!'!(!%2+ 16 3047! !"#! $ %#&' (!"#$!% & % ' (!%' ) )''! *)+* *! %#"+, ' ( ', -) " *.( /.*!0) %1 2"+ %#(3004) 05' 203.(.*0"+ ) '!2"+ %#(30+ 0!"%) 4!%2) 3.( -.* %)!(2"+ %#(30! &' 4!!%.+.*0%!!'!(!%2"+ 16 3047!%(%' 0.(89.*

Plus en détail

Images en «franc» hypersignal T2 du pelvis féminin Atlas iconographique

Images en «franc» hypersignal T2 du pelvis féminin Atlas iconographique Images en «franc» hypersignal du pelvis féminin Atlas iconographique Cavet M, Soyer P, Malzy P, Bendavid S, Merlin A, Martin-Grivaud S, Rymer R RADIOLOGIE VISCERALE ET VASCULAIRE, HOPITAL LARIBOISIERE

Plus en détail

Imagerie TDM et IRM des obstacles du bas cholédoque

Imagerie TDM et IRM des obstacles du bas cholédoque Imagerie TDM et IRM des obstacles du bas cholédoque O Bruot, V Laurent, P.A Ganne, C Barbary, S Corby, E Kermarrec, S Béot, D Régent Service de Radiologie Brabois Adultes JFR Octobre 2006 CHU NANCY Préface

Plus en détail

QUE SAVOIR SUR LA CHIRURGIE de FISTULE ANALE A LA CLINIQUE SAINT-PIERRE?

QUE SAVOIR SUR LA CHIRURGIE de FISTULE ANALE A LA CLINIQUE SAINT-PIERRE? QUE SAVOIR SUR LA CHIRURGIE de FISTULE ANALE A LA CLINIQUE SAINT-PIERRE? Vous allez être opéré(e) à la clinique Saint-pierre d une fistule anale par l équipe chirurgicale des docteurs Bardou, Ben brahem

Plus en détail

Maladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin

Maladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin Maladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin Ce que vous devez savoir Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca MALADIE DE HODGKIN Ce que vous devez savoir Même si vous entendez parler du

Plus en détail

Le cliché thoracique

Le cliché thoracique Le cliché thoracique Date de création du document 2008-2009 Table des matières * Introduction... 1 1 Nomenclature radiologique... 1 2 Le cliché thoracique de face... 2 2. 1 Qualité du cliché... 1 2. 2

Plus en détail

Lymphome non hodgkinien

Lymphome non hodgkinien Lymphome non hodgkinien Ce que vous devez savoir Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca LYMPHOME NON HODGKINIEN Ce que vous devez savoir Même si vous entendez parler du cancer presque

Plus en détail

LE LARYNX VUE ANTERIEURE DU LARYNX : Décembre 2007 Sources Étudiantes. Faculté de Médecine Montpellier-Nîmes

LE LARYNX VUE ANTERIEURE DU LARYNX : Décembre 2007 Sources Étudiantes. Faculté de Médecine Montpellier-Nîmes LE LARYNX Le larynx est un conduit aérien qui joue un rôle essentiel dans la phonation mais aussi dans la respiration. Suite au larynx, se trouve la glotte, une zone rétrécie qui délimite les voies aériennes

Plus en détail

Recommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés

Recommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés Recommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés - décembre 2009 - CARCINOMES BASOCELLULAIRES La chirurgie : traitement de référence et de 1 ère intention Classification clinique et histologique

Plus en détail

La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène

La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène 1 La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène Document rédigé par l équipe pluridisciplinaire du centre de référence pour les maladies cardiaques héréditaires (Paris), en collaboration avec des patients

Plus en détail

Patient de 40 ans, pas d antécédent notable. Abcès dentaire soigné par ATB + AINS.

Patient de 40 ans, pas d antécédent notable. Abcès dentaire soigné par ATB + AINS. Patient de 40 ans, pas d antécédent notable Abcès dentaire soigné par ATB + AINS. Syndrome infectieux sévère clinique (fièvre à 40 C frissons, AEG) et biologique Extraction de la dent 38 et ponction-aspiration

Plus en détail

Peut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY

Peut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY Peut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY A quoi sert l imagerie conventionnelle dans le diagnostic

Plus en détail

Tuméfaction douloureuse

Tuméfaction douloureuse Santé bucco-dentaire Médecin de 1 er recours et problèmes dentaires fréquents Dre May SALMAN, médecin dentiste HUG Dr Jean-Pierre RIEDER, médecin interniste HUG Plan de présentation Santé bucco-dentaire

Plus en détail

Moyens d étude de la peau

Moyens d étude de la peau Moyens d étude de la peau Dr. Yannick Le Corre yalecorre@chu-angers.fr Service de Dermatologie Vénéréologie Pr. L. Martin 2011-2012 CHU Angers UE Revêtement cutané Dermoscopie ou Dermatoscopie Examen de

Plus en détail

Cavité buccale et système dentaire

Cavité buccale et système dentaire Cavité buccale et système dentaire I. Introduction La cavité buccale forme la 1 ère cavité du tube digestif. Les dents ont un rôle : Fonctionnel : mastication, déglutition, phonation Esthétique : expression

Plus en détail

Le traitement conservateur des tumeurs malignes des membres a largement remplacé les amputations

Le traitement conservateur des tumeurs malignes des membres a largement remplacé les amputations FACE A FACE Péroné vascularisé / Péroné non vascularisé Reconstruction après résection tumorale Dr NOURI / Dr BEN MAITIGUE SOTCOT Juin 2012 Le traitement conservateur des tumeurs malignes des membres a

Plus en détail

SYNDROME DU TUNNEL CARPIEN, EPICONDYLITE ET TRAVAIL : POINT DE VUE DU RHUMATOLOGUE

SYNDROME DU TUNNEL CARPIEN, EPICONDYLITE ET TRAVAIL : POINT DE VUE DU RHUMATOLOGUE SYNDROME DU TUNNEL CARPIEN, EPICONDYLITE ET TRAVAIL : POINT DE VUE DU RHUMATOLOGUE D. VAN LINTHOUDT La Chaux-de-Fonds Lausanne, le 19.11.2004 SYNDROMES DOULOUREUX PAR SURCHARGE DU MEMBRE SUPERIEUR épaule

Plus en détail

LA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique

LA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique LA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique Caroline Karras-Guillibert Rhumatologue, Hôpital Saint Joseph, Marseille La lombalgie chronique : le «mal du siècle»?

Plus en détail

UNE INTERVENTION CHIRURGICALE AU NIVEAU DU SEIN

UNE INTERVENTION CHIRURGICALE AU NIVEAU DU SEIN UNE INTERVENTION CHIRURGICALE AU NIVEAU DU SEIN Informations générales Pour vous, pour la vie Cette brochure vise à vous fournir des informations générales concernant l intervention chirurgicale que vous

Plus en détail

LES DOULEURS LOMBAIRES D R D U F A U R E T - L O M B A R D C A R I N E S E R V I C E R H U M A T O L O G I E, C H U L I M O G E S

LES DOULEURS LOMBAIRES D R D U F A U R E T - L O M B A R D C A R I N E S E R V I C E R H U M A T O L O G I E, C H U L I M O G E S LES DOULEURS LOMBAIRES D R D U F A U R E T - L O M B A R D C A R I N E S E R V I C E R H U M A T O L O G I E, C H U L I M O G E S INTRODUCTION La lombalgie est un symptôme fréquent avec une prévalence

Plus en détail

PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM. Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris

PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM. Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris Cancer du rectum France : 15000 décès/an : 1ère cause. Pronostic souvent réservé Métastases

Plus en détail

Item 262 : Migraine et algie de la face

Item 262 : Migraine et algie de la face Item 262 : Migraine et algie de la face Collège Français d'orl Date de création du document 2010-2011 Table des matières * Introduction... 1 1 Classification des céphalées (International Headache Society,

Plus en détail

Sujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT

Sujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT ANAMACaP Association Nationale des Malades du Cancer de la Prostate 17, bis Avenue Poincaré. 57400 SARREBOURG Sujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT Place des nouvelles techniques d imagerie

Plus en détail

APONEVROTOMIE ENDOSCOPIQUE du Syndrome Compartimental d Effort à l Avant-bras

APONEVROTOMIE ENDOSCOPIQUE du Syndrome Compartimental d Effort à l Avant-bras APONEVROTOMIE ENDOSCOPIQUE du Syndrome Compartimental d Effort à l Avant-bras Didier FONTÈS Institut Main, Epaule et Sport Paris Espace Médical Vauban - Paris VII e Séminaire DIU d Arthroscopie 2012 Le

Plus en détail

Manuel d hygiène bucco-dentaire Destiné à la formation de prophylaxistes

Manuel d hygiène bucco-dentaire Destiné à la formation de prophylaxistes Manuel d hygiène bucco-dentaire Destiné à la formation de prophylaxistes élaboré pour le SDI par Graziella Secci hygiéniste dentaire g_secci@bluewin.ch SDI 2006 / 2007; Ed. n 1 La cavité buccale - Anatomie

Plus en détail

Item 262. Migraine et algie de la face. Objectifs pédagogiques

Item 262. Migraine et algie de la face. Objectifs pédagogiques Item 262. Migraine et algie de la face I. CLASSIFICATION DES CEPHALEES II. MIGRAINE III. ALGIES VASCULAIRES DE LA FACE IV. NEVRALGIES V. CEPHALEES ASSOCIEES A UNE DOULEUR DE LA FACE (DENTAIRE, SINUSIENNE,

Plus en détail

Douleurs des mains. Douleurs des mains les plus fréquentes: pertinence, causes, traitements. C.Zenklusen septembre 2013

Douleurs des mains. Douleurs des mains les plus fréquentes: pertinence, causes, traitements. C.Zenklusen septembre 2013 Douleurs des mains Douleurs des mains les plus fréquentes: pertinence, causes, traitements C.Zenklusen septembre 2013 Causes de douleurs aux mains Articulations (origine articulaire) Nerfs (origine nerveuse)

Plus en détail

TUMEURS ET PSEUDO-TUMEURS DES PARTIES MOLLES : QUEL CRÉDIT PEUT-ON ACCORDER À L ÉCHOGRAPHIE?

TUMEURS ET PSEUDO-TUMEURS DES PARTIES MOLLES : QUEL CRÉDIT PEUT-ON ACCORDER À L ÉCHOGRAPHIE? TUMEURS ET PSEUDO-TUMEURS DES PARTIES MOLLES : QUEL CRÉDIT PEUT-ON ACCORDER À L ÉCHOGRAPHIE? R.CAMPAGNA, F.THEVENIN, D.RICHARME, H.GUERINI, A.FEYDY, F.LAROUSSERIE, JL.DRAPÉ Service de Radiologie B CHU

Plus en détail

Les différentes maladies du coeur

Les différentes maladies du coeur Auteur : Dr Pascal AMEDRO Les différentes maladies du coeur 1. Le cœur normal L oxygène capté dans l air va dans les poumons, où le sang «bleu» est alors oxygéné et devient «rouge». Il est conduit par

Plus en détail

OSSIFICATION DU LIGAMENT VERTEBRAL COMMUN POSTERIEUR ET DU LIGT JAUNE: MYELOPATHIE CERVICALE SUBAIGUE

OSSIFICATION DU LIGAMENT VERTEBRAL COMMUN POSTERIEUR ET DU LIGT JAUNE: MYELOPATHIE CERVICALE SUBAIGUE OSSIFICATION DU LIGAMENT VERTEBRAL COMMUN POSTERIEUR ET DU LIGT JAUNE: MYELOPATHIE CERVICALE SUBAIGUE Jurgita Bruzaite,, Monique Boukobza,, Guillaume Lot* Services de Neuroradiologie et de Neurochirurgie

Plus en détail

TUMEURS DU BAS APPAREIL URINAIRE

TUMEURS DU BAS APPAREIL URINAIRE 1 Plan de cours I - TUMEURS PRIMITIVES DE LA VESSIE c1 - Tumeurs papillaires non infiltrantes c2 - Tumeurs papillaires infiltrantes c3 - Carcinome in-situ en muqueuse plane D - Pronostic : II - TUMEURS

Plus en détail

Les cancers des voies aérodigestives supérieures

Les cancers des voies aérodigestives supérieures INFORMATION & PRÉVENTION Les cancers des voies aérodigestives supérieures G R A N D P U B L I C Cancers des Voies Aérodigestives Supérieures (VADS) Généralités Sommaire > Localisation des cancers des VADS.....

Plus en détail

neurogénétique Structures sensibles du crâne 11/02/10 Classification internationale des céphalées:2004

neurogénétique Structures sensibles du crâne 11/02/10 Classification internationale des céphalées:2004 11/02/10 Structures sensibles du crâne neurogénétique Cheveux Cuir chevelu Tissu sous cutané Périoste Os Dure mère Méninges molles Cerveau vaisseaux MIGRAINE:PHYSIOPATHOLOGIE MIGRAINE:PHYSIOPATHOLOGIE

Plus en détail

1 of 5 02/11/2012 14:03

1 of 5 02/11/2012 14:03 1 of 5 02/11/2012 14:03 Le cancer du chat par Sandrine Cayet, docteur-vétérinaire Le cancer chez le chat n est pas une fatalité. Un cancer chez le chat, c est comme chez l homme, ça se diagnostique, ça

Plus en détail

Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur la scintigraphie osseuse et le TEP-SCAN

Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur la scintigraphie osseuse et le TEP-SCAN Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur la scintigraphie osseuse et le TEP-SCAN Docteur Antoine MONET Centre d Imagerie Fonctionnelle Clinique Saint Augustin Jeudi 25 Septembre 2008 Un peu d histoire

Plus en détail

LA HERNIE DISCALE LOMBAIRE

LA HERNIE DISCALE LOMBAIRE Feuillet d'information complémentaire à l attention du patient LA HERNIE DISCALE LOMBAIRE Madame, Monsieur, Suite aux examens, une hernie discale au niveau du rachis lombaire a été diagnostiquée, il faudrait

Plus en détail

F JABNOUN, H BERMENT, R KHAYAT, M MOHALLEM, Y BARUKH, P CHEREL Institut Curie Hôpital René Huguenin, Saint Cloud JFR 2010

F JABNOUN, H BERMENT, R KHAYAT, M MOHALLEM, Y BARUKH, P CHEREL Institut Curie Hôpital René Huguenin, Saint Cloud JFR 2010 F JABNOUN, H BERMENT, R KHAYAT, M MOHALLEM, Y BARUKH, P CHEREL Institut Curie Hôpital René Huguenin, Saint Cloud JFR 2010 Une anomalie ACR5 n est pas synonyme de malignité (VPP>95%) Quelle CAT après un

Plus en détail

compaction ventriculaire gauche sur la fonction ventriculaire chez l adulte

compaction ventriculaire gauche sur la fonction ventriculaire chez l adulte Influence des paramètres de non compaction ventriculaire gauche sur la fonction ventriculaire chez l adulte C. Defrance, K. Warin-Fresse, G. Fau, P. Guérin, B. Delasalle, P.D. Crochet La non compaction

Plus en détail

Anatomie. Le bassin inflammatoire. 3 grands cadres. 4 tableaux. Spondylarthrite ankylosante. Spondylarthrite ankylosante 26/10/13

Anatomie. Le bassin inflammatoire. 3 grands cadres. 4 tableaux. Spondylarthrite ankylosante. Spondylarthrite ankylosante 26/10/13 Anatomie Enthésopathies Docteur Emmanuel Hoppé Service de Rhumatologie CHU Angers 18.10.2013 Symphyse pubienne Coxo-fémorales Bursopathies Sacroiliaques 4 tableaux 3 grands cadres Douleur lombofessière

Plus en détail

G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge de votre mélanome cutané

G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge de votre mélanome cutané G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre mélanome cutané Mars 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer sur le mélanome

Plus en détail

DIPLÔME INTERUNIVERSITAIRE D ECHOGRAPHIE. Examen du Tronc Commun sous forme de QCM. Janvier 2012 14 h à 16 h

DIPLÔME INTERUNIVERSITAIRE D ECHOGRAPHIE. Examen du Tronc Commun sous forme de QCM. Janvier 2012 14 h à 16 h ANNEE UNIVERSITAIRE 2011-2012 DIPLÔME INTERUNIVERSITAIRE D ECHOGRAPHIE Examen du Tronc Commun sous forme de QCM Janvier 2012 14 h à 16 h Les modalités de contrôle se dérouleront cette année sous forme

Plus en détail

TECHNIQUES D AVENIR LASER DOPPLER IMAGING LASER DOPPLER IMAGING LASER DOPPLER IMAGING

TECHNIQUES D AVENIR LASER DOPPLER IMAGING LASER DOPPLER IMAGING LASER DOPPLER IMAGING TECHNIQUES D AVENIR Jonathan LONDNER, Aurélie HAUTIER Centre Régional de Traitement des Grands Brûlés Service de chirurgie Plastique, Hôpital de la Conception, Marseille. DIAGNOSTIC DÉTERSION BOURGEONNEMENT

Plus en détail

QUI PEUT CONTRACTER LA FA?

QUI PEUT CONTRACTER LA FA? MODULE 1 : COMPRENDRE LA FIBRILLATION AURICULAIRE 16 QUI PEUT CONTRACTER LA FA? La FA est plus fréquente chez les personnes âgées. Par contre, la FA dite «isolée» (c.-à-d. sans qu il y ait de maladie du

Plus en détail

Spondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste. Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil

Spondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste. Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil Spondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil Le Diagnostic Objectif de la démarche diagnostique Diagnostic de SPONDYLARTHROPATHIE

Plus en détail

MIGRAINES. Diagnostic. A rechercher aussi. Critères IHS de la migraine. Type d aura. Particularités chez l enfant. Paraclinique.

MIGRAINES. Diagnostic. A rechercher aussi. Critères IHS de la migraine. Type d aura. Particularités chez l enfant. Paraclinique. MIGRAINES Diagnostic Critères IHS de la migraine SANS AURA : 5 crises 4-72 heures sans traitement 2 caractéristiques suivantes : Unilatérales Pulsatiles Modérées ou sévères Aggravation par activités physiques

Plus en détail

DÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE

DÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE DÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE Le présent livret a été rédigé à l attention des patients et de leurs familles. Il ne doit pas remplacer les conseils d un spécialiste en immunologie. 1 Egalement Disponible

Plus en détail

Centre des Malformations Vasculaires. Petit Pierre et la tache mystérieuse. Collection / Petit Pierre et Pauline

Centre des Malformations Vasculaires. Petit Pierre et la tache mystérieuse. Collection / Petit Pierre et Pauline Centre des Malformations Vasculaires Petit Pierre et la tache mystérieuse Collection / Petit Pierre et Pauline Index INDEX Édito 1 Chers parents et patients 2 Qu est-ce qu un angiome 3 Le diagnostique

Plus en détail

Médecine Nucléaire : PET-scan et imagerie hybride

Médecine Nucléaire : PET-scan et imagerie hybride Médecine Nucléaire : PET-scan et imagerie hybride Benjamin GEISSLER Centre d d Imagerie Nucléaire St-Etienne, Roanne, Le Puy en Velay 1967 2007 Principes Spécialit cialité médicale (1950) Radiologie Radiothérapie

Plus en détail

Recherche Information - prévention - dépistage Actions pour les malades et leurs proches. Les cancers des voies aérodigestives supérieures

Recherche Information - prévention - dépistage Actions pour les malades et leurs proches. Les cancers des voies aérodigestives supérieures Recherche Information - prévention - dépistage Actions pour les malades et leurs proches Les cancers des voies aérodigestives supérieures G R A N D P U B L I C Janvier 2009 LES CANCERS DES VOIES AÉRODIGESTIVES

Plus en détail

F-FLUORODÉOXYGLUCOSE EN ONCOLOGIE Expérience en Ile de France

F-FLUORODÉOXYGLUCOSE EN ONCOLOGIE Expérience en Ile de France 18F-fluorodéoxyglucose en oncologie. Expérience en Ile de France. 18 F-FLUORODÉOXYGLUCOSE EN ONCOLOGIE Expérience en Ile de France H. FOEHRENBACH 1, J. LUMBROSO 2 1 Service Médecine Nucléaire, Hôpital

Plus en détail

Symposium des Société Française d Angéiologie (SFA) et Société Francophone de Médecine Sexuelle (SFMS), Paris, Journées internationales Francophones

Symposium des Société Française d Angéiologie (SFA) et Société Francophone de Médecine Sexuelle (SFMS), Paris, Journées internationales Francophones Symposium des Société Française d Angéiologie (SFA) et Société Francophone de Médecine Sexuelle (SFMS), Paris, Journées internationales Francophones d Angéiologie 8 Janvier 2010 Historique 1550 Falloppio

Plus en détail

Compte rendu d hospitalisation hépatite C. À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie

Compte rendu d hospitalisation hépatite C. À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie Compte rendu d hospitalisation hépatite C À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie ASSISTANCE PUBLIQUE HOPITAUX DE PARIS HOPITAL DU BON SECOURS Service d HEPATHOLOGIE du Professeur

Plus en détail

Cancer de l'œsophage. Comprendre le diagnostic. Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca

Cancer de l'œsophage. Comprendre le diagnostic. Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca Cancer de l'œsophage Comprendre le diagnostic Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca Cancer de l'œsophage Comprendre le diagnostic Vous venez d apprendre que vous avez un cancer Une

Plus en détail

SYNTHÈSE DES RECOMMANDATIONS PROFESSIONNELLES. Spondylarthrites. Décembre 2008

SYNTHÈSE DES RECOMMANDATIONS PROFESSIONNELLES. Spondylarthrites. Décembre 2008 SYNTHÈSE DES RECOMMANDATIONS PROFESSIONNELLES Spondylarthrites Décembre 2008 OBJECTIFS - Mieux identifier les patients atteints de spondylarthrite afin de raccourcir le délai entre l apparition des symptômes

Plus en détail

Les grands syndromes. Endoscopie trachéo-bronchique. Professeur D. ANTHOINE CHU de NANCY

Les grands syndromes. Endoscopie trachéo-bronchique. Professeur D. ANTHOINE CHU de NANCY Les grands syndromes Endoscopie trachéo-bronchique Professeur D. ANTHOINE CHU de NANCY 1 Endoscopie souple avec pince et brosse (fibroscopie) 2 Endoscopie Arbre bronchique normal Bifurcation trachéobronchique

Plus en détail

Marchés des groupes à affinités

Marchés des groupes à affinités Marchés des groupes à affinités Guide du produit destiné aux conseillers Régime d assurance maladies graves Chèque-vie MD de base La Compagnie d Assurance-Vie Manufacturers Le produit en bref Nul n aime

Plus en détail

Collection Soins infirmiers

Collection Soins infirmiers Collection Soins infirmiers Une production du Université de Caen Basse-Normandie Traumatologie : traitements des fractures Dr. J-P de ROSA CH. AVRANCHES-GRANVILLE Fractures diagnostic 2 Fractures-diagnostic

Plus en détail

DÉFINITION OBJECTIFS. Information délivrée le : Cachet du Médecin : Au bénéfice de : Nom : Prénom :

DÉFINITION OBJECTIFS. Information délivrée le : Cachet du Médecin : Au bénéfice de : Nom : Prénom : Version 2 mise à jour nov 2011 Information délivrée le : Cachet du Médecin : Au bénéfice de : Nom : Prénom : Cette fiche d information a été conçue sous l égide de la Société Française de Chirurgie Plastique

Plus en détail

UE2 CANCEROLOGIE Place de la Médecine Nucléaire

UE2 CANCEROLOGIE Place de la Médecine Nucléaire UE2 CANCEROLOGIE Place de la Médecine Nucléaire Imagerie Imagerie de Gamma Caméra Tomographie d émission monophotoniqueou TEMP: radiopharmaceutiqueémetteurs de rayonnement Gamma Imagerie de Caméra TEP

Plus en détail

IRM hépatique: ce que le manipulateur doit savoir

IRM hépatique: ce que le manipulateur doit savoir CHU Henri Mondor IRM hépatique: ce que le manipulateur doit savoir P.Zerbib, A.Luciani, F.Pigneur, R.Raymond, A.Rahmouni CHU Henri Mondor Créteil Service Imagerie Médicale Pr.A.RAHMOUNI Objectifs Comprendre

Plus en détail

Item 127 : Transplantation d'organes

Item 127 : Transplantation d'organes Item 127 : Transplantation d'organes Date de création du document 2008-2009 Table des matières * Introduction... 1 1 Allogreffe de moelle ou de cellules souches...1 2 Transplantation d'organes... 2 3 Diagnostic...3

Plus en détail

Accidents des anticoagulants

Accidents des anticoagulants 30 Item 182 Accidents des anticoagulants Insérer les T1 Objectifs pédagogiques ENC Diagnostiquer un accident des anticoagulants. Identifier les situations d urgence et planifier leur prise en charge. COFER

Plus en détail

Volume 1 : Epidémiologie - Etudes des facteurs de risques

Volume 1 : Epidémiologie - Etudes des facteurs de risques 2 V o l u m e Volume 1 : Epidémiologie - Etudes des facteurs de risques Volume 2 : Epidémiologie - Situation et actions Recherche des données d incidence estimée des cancers au Maroc Recherche des données

Plus en détail

Artéfact en queue de comète à l échographie hépatique: un signe de maladie des voies biliaires intra-hépatiques

Artéfact en queue de comète à l échographie hépatique: un signe de maladie des voies biliaires intra-hépatiques Artéfact en queue de comète à l échographie hépatique: un signe de maladie des voies biliaires intra-hépatiques T Smayra, L Menassa-Moussa, S Slaba, M Ghossain, N Aoun Hôtel-Dieu de France, Université

Plus en détail

Les formalités médicales ci-dessous sont celles prévues aux conditions générales du contrat assurance emprunteur çaassure n 24.

Les formalités médicales ci-dessous sont celles prévues aux conditions générales du contrat assurance emprunteur çaassure n 24. 1 FM4 PAGE 1/4 Les formalités médicales ci-dessous sont celles prévues aux conditions générales du contrat assurance emprunteur çaassure n 24.747 si : L âge de l emprunteur est < 50 ans & le capital assuré*

Plus en détail

Le diagnostic de Spondylarthrite Ankylosante? Pr Erick Legrand, Service de Rhumatologie, CHU Angers

Le diagnostic de Spondylarthrite Ankylosante? Pr Erick Legrand, Service de Rhumatologie, CHU Angers Le diagnostic de Spondylarthrite Ankylosante? Pr Erick Legrand, Service de Rhumatologie, CHU Angers Les spondylarthopathies 0.2% de la population en France Arthrites Réactionnelles rares S. Ankylosante

Plus en détail

Quels sont les facteurs qui font augmenter les risques de cancer du rein?

Quels sont les facteurs qui font augmenter les risques de cancer du rein? Qu est-ce que le cancer du rein? L adénocarcinome rénal est le type le plus fréquent de cancer du rein 1. Le rôle des reins consiste à filtrer le sang et à évacuer les déchets de l organisme dans l urine.

Plus en détail

mon enfant a un cancer www.e-cancer.fr

mon enfant a un cancer www.e-cancer.fr mon enfant a un cancer GUIDE d information à l intention des familles www.e-cancer.fr mon enfant a un cancer Ce guide a été édité en août 2009 par l Institut national du cancer (INCa) et la Société française

Plus en détail

Service évaluation des actes professionnels

Service évaluation des actes professionnels TRAITEMENT DES AGÉNÉSIES DENTAIRES MULTIPLES LIÉES AUX DYSPLASIES ECTODERMIQUES OU À D'AUTRES MALADIES RARES, CHEZ L ENFANT ATTEINT D OLIGODONTIE, AVEC POSE DE 2 IMPLANTS (VOIRE 4 MAXIMUM) UNIQUEMENT DANS

Plus en détail

Le don de moelle osseuse :

Le don de moelle osseuse : DON DE MOELLE OSSEUSE Le don de moelle osseuse : se décider aujourd hui, s engager pour longtemps LA MOELLE OSSEUSE ET SA GREFFE La moelle osseuse C est le tissu mou dans le centre du corps des os qui

Plus en détail

G U I D E P A T I E N T - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge du cancer du foie

G U I D E P A T I E N T - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge du cancer du foie G U I D E P A T I E N T - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge du cancer du foie Décembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer

Plus en détail

HERNIE DISCALE LOMBAIRE

HERNIE DISCALE LOMBAIRE Feuillet d'information complémentaire à l'attention du patient HERNIE DISCALE LOMBAIRE Madame, Monsieur, Suite aux examens, une hernie discale au niveau du rachis lombaire a été diagnostiquée ; il faudrait

Plus en détail

Transplantation hépatique à donneur vivant apparenté. Olivier Scatton, Olivier Soubrane, Service de chirurgie Cochin

Transplantation hépatique à donneur vivant apparenté. Olivier Scatton, Olivier Soubrane, Service de chirurgie Cochin Transplantation hépatique à donneur vivant apparenté Olivier Scatton, Olivier Soubrane, Service de chirurgie Cochin Introduction Le prélèvement d une partie du foie chez une personne «vivante» et apparentée

Plus en détail

AMAMI Anaïs 3 C LORDEL Maryne. Les dons de cellules & de tissus.

AMAMI Anaïs 3 C LORDEL Maryne. Les dons de cellules & de tissus. AMAMI Anaïs 3 C LORDEL Maryne Les dons de cellules & de tissus. Introduction : Une greffe (don) de cellules consiste à administrer à un patient dont un organe vital ne fonctionne plus correctement, une

Plus en détail

Cette intervention aura donc été décidée par votre chirurgien pour une indication bien précise.

Cette intervention aura donc été décidée par votre chirurgien pour une indication bien précise. Qu est-ce qu une arthroscopie? Il s agit d une intervention chirurgicale mini-invasive dont le but est d explorer l articulation du genou et de traiter la lésion observée dans le même temps. Comment se

Plus en détail

Accidents musculaires. Dr Marie-Eve Isner-Horobeti Praticien Hospitalier Service de Médecine Physique et de Réadaptation CHU Strasbourg-Hautepierre

Accidents musculaires. Dr Marie-Eve Isner-Horobeti Praticien Hospitalier Service de Médecine Physique et de Réadaptation CHU Strasbourg-Hautepierre Accidents musculaires Dr Marie-Eve Isner-Horobeti Praticien Hospitalier Service de Médecine Physique et de Réadaptation CHU Strasbourg-Hautepierre I. Lésions musculaires aiguës Classification Clinique

Plus en détail

LE SYNDROME DE BUDD CHIARI

LE SYNDROME DE BUDD CHIARI CENTRE DE REFERENCE DES MALADIES VASCULAIRES DU FOIE (C.R.M.V.F.) Hôpital Beaujon 100 bd du Général Leclerc 92110 Clichy Service d Hépatologie Pavillon Abrami (consultation) Pavillon Sergent (hospitalisation)

Plus en détail

Le cancer de la thyroïde GRAND PUBLIC

Le cancer de la thyroïde GRAND PUBLIC GRAND PUBLIC Edition actualisée Janvier 2010 SOMMAIRE > Ce livret a été préparé par le professeur Martin Schlumberger, chef du Service de Médecine Nucléaire à l Institut Gustave Roussy (IGR), à Villejuif

Plus en détail

Cancer du sein in situ

Cancer du sein in situ traitements et soins octobre 2009 recommandations professionnelles Cancer du sein COLLECTION recommandations & référentiels Recommandations de prise en charge spécialisée Carcinome canalaire et carcinome

Plus en détail

La maladie de Verneuil Hidrosadénite suppurée

La maladie de Verneuil Hidrosadénite suppurée Hidrosadénite suppurée La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur Cette fiche est destinée à vous informer

Plus en détail

Cordarone et Thyroïde par François Boustani

Cordarone et Thyroïde par François Boustani Physiologie de la thyroïde : l hormonosynthèse thyroïdienne se fait à partir de l iode essentiellement d origine digestive et de la thyroglobuline qui est une protéine synthétisée par la thyroïde à partir

Plus en détail

UNIVERSITE DE PARIS ANNEE UNIVERSITAIRE 2006-2007 MEMOIRE EN VUE DE L OBTENTION DU DIPLOME INTERUNIVERSITAIRE DE PEDAGOGIE MEDICALE

UNIVERSITE DE PARIS ANNEE UNIVERSITAIRE 2006-2007 MEMOIRE EN VUE DE L OBTENTION DU DIPLOME INTERUNIVERSITAIRE DE PEDAGOGIE MEDICALE UNIVERSITE DE PARIS ANNEE UNIVERSITAIRE 2006-2007 MEMOIRE EN VUE DE L OBTENTION DU DIPLOME INTERUNIVERSITAIRE DE PEDAGOGIE MEDICALE Création d un site Internet pédagogique à l usage des étudiants de DCEM2

Plus en détail

LE GRAND LIVRE Du. Pr Jean-Jacques Altman Dr Roxane Ducloux Dr Laurence Lévy-Dutel. Prévenir les complications. et surveiller la maladie

LE GRAND LIVRE Du. Pr Jean-Jacques Altman Dr Roxane Ducloux Dr Laurence Lévy-Dutel. Prévenir les complications. et surveiller la maladie Pr Jean-Jacques Altman Dr Roxane Ducloux Dr Laurence Lévy-Dutel LE GRAND LIVRE Du diabète Vivre avec le diabète à tout âge Traiter et surveiller la maladie Prévenir les complications, 2012 ISBN : 978-2-212-55509-7

Plus en détail

Pseudotumor cerebri. Anatomie Le cerveau et la moelle épinière baignent dans un liquide clair, appelé le liquide céphalo-rachidien (LCR).

Pseudotumor cerebri. Anatomie Le cerveau et la moelle épinière baignent dans un liquide clair, appelé le liquide céphalo-rachidien (LCR). Hypertension intracrânienne idiopathique Pseudotumor cerebri Votre médecin pense que vous pouvez souffrir d hypertension intracrânienne idiopathique connue aussi sous le nom de «pseudotumeur cérébrale».

Plus en détail

Céphalées vues aux Urgences. Dominique VALADE Centre d Urgence des Céphalées Hôpital Lariboisière PARIS

Céphalées vues aux Urgences. Dominique VALADE Centre d Urgence des Céphalées Hôpital Lariboisière PARIS Céphalées vues aux Urgences Dominique VALADE Centre d Urgence des Céphalées Hôpital Lariboisière PARIS Deux Objectifs aux Urgences Identifier les céphalées à risque vital Optimiser le traitement des céphalées

Plus en détail

Troubles thyroïdiens

Troubles thyroïdiens Troubles thyroïdiens L hypothyroïdie L hyperthyroïdie Nodules thyroïdiens Goitre exophtalmique ou maladie de Graves ou de Basedow ou thyréotoxicose Thyroïdite chronique d Hashimoto Cancer de la glande

Plus en détail