Rencontre des pays de la Francophonie préparatoire à la sixième Conférence internationale sur l éducation des adultes (CONFINTEA VI)
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- Pascale Vincent
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1 1 Rencontre des pays de la Francophonie préparatoire à la sixième Conférence internationale sur l éducation des adultes (CONFINTEA VI) «Pour une alphabétisation durable : Prévenir et lutter contre l illettrisme» Lyon, février 2009 SYNTHESE ET RECOMMANDATIONS
2 2 A Le contexte A la demande du Directeur général de l Unesco, l Agence nationale de lutte contre l illettrisme (ANLCI) et la Commission française pour l Unesco, en partenariat avec l Organisation internationale de la Francophonie (OIF), l Institut de l Unesco pour l apprentissage tout au long de la vie (UIL) et de nombreux autres partenaires, ont organisé une rencontre des pays de la Francophonie préparatoire à la Conférence internationale sur l éducation des adultes (CONFINTEA VI). Avec comme thème de travail «Pour une alphabétisation durable Prévenir et lutter contre l illettrisme», les participants ont été invités à aborder, dans un cadre francophone, une préoccupation majeure de la plupart des pays du monde, en développement aussi bien qu industrialisés, qui concerne le maintien, dans la durée, des compétences acquises. Pour l organisation de la manifestation, le comité chargé de la préparer a identifié trois grands thèmes : - L alphabétisation durable dans la vie quotidienne : hygiène, nutrition, santé, famille, scolarisation, environnement, multilinguisme - Alphabétisation durable et vie professionnelle : vie de l entreprise, les secteurs de production, l accès et le maintien dans l emploi, les TICS, la reconnaissance des acquis de l expérience - Alphabétisation et vie sociale et culturelle : éducation tout au long de la vie, ouverture d autres actions culturelles, droits des citoyens etc. B Le déroulement de la manifestation Quarante et un pays de l espace de la Francophonie ont participé à la rencontre, soit 450 participants dont 16 ministres de l éducation et/ou de l alphabétisation. La nécessité de s assurer que l alphabétisation soit effectivement durable a été soulignée dès l ouverture des travaux. Contrairement aux idées reçues, les compétences de base ne sont pas, pour tous, acquises une fois pour toutes : elles peuvent s effriter, s amenuiser et demandent à être maintenues, consolidées et renouvelées. L un des points importants aura donc été celui de l accès à la connaissance tout au long de la vie. Savoir lire, écrire, compter, utiliser les technologies de la communication est essentiel mais ne suffit pas ; il faut également apprendre à raisonner et à développer son esprit critique, ce qui permettra de développer de nouvelles connaissances et compétences dans le cadre personnel et familial comme au niveau professionnel et citoyen. Ces réflexions ont été conduites et approfondies dans un cadre de travail où se sont alternées des interventions de personnalités en séance plénière pour lancer les discussions et des échanges interactifs dans des ateliers d autre part. C est ainsi qu après avoir entendu les responsables des principales institutions partenaires de la manifestation, un invité d honneur, Monsieur Mamadou N DOYE, ancien Ministre de
3 3 l éducation du Sénégal, ancien Secrétaire exécutif de l Association pour le développement de l éducation en Afrique (ADEA), s est livré à une réflexion sur la problématique de l alphabétisation durable, en en dégageant la richesse et les enjeux. Chacun des trois grands thèmes a été ensuite introduit par une table ronde composée de responsables nationaux de l éducation et de l alphabétisation, aux présentations desquels des ministres ont été invités à réagir. Ont suivi treize ateliers sur les diverses facettes de ces trois grands thèmes, conçus de façon interdisciplinaire et intersectorielle afin d éviter les cloisonnements. Le résultat de ces ateliers a permis de la sorte de dégager des lignes de convergence, des complémentaires, des mots clés communs. Lors de la séance de clôture au cours de laquelle le rapport général de la rencontre a été présenté, une table ronde de spécialistes, de chercheurs et de représentants du monde économique a été l occasion de confronter les résultats aux préoccupations de l éducation en milieu scolaire, de l apprentissage non formel et informel, de la formation durant la vie professionnelle, enfin de la reconnaissance de l expérience acquise tout au long de la vie. Appelés à être aussi concrets que possible, les participants ont échangé des expériences et des exemples de bonnes pratiques qui ont permis de dégager les enjeux majeurs de l alphabétisation durable et de formuler des recommandations ayant en vue le passage à l action. C Les enjeux majeurs En propos liminaire, il a été souligné à maintes reprises la nécessité de bien définir les concepts utilisés : éducation formelle, non formelle, informelle, alphabétisation, ce qui va bien au-delà de l aptitude à lire, écrire et compter pour englober la capacité d adaptation au changement, de réaction, l esprit critique, les savoirs fondamentaux, etc. Les débats ont conduit à retenir les enjeux majeurs suivants : 1 La durabilité Il paraît essentiel de : -rendre pérennes les acquis de l éducation, éviter l effritement des connaissances -donner une pertinence sociale et économique à l alphabétisation pour qu elle soit adaptée aux besoins des apprenants, afin d éviter que ceux-ci s en désintéressent entraînant un gaspillage de l investissement consenti. -intégrer la notion d éducation tout au long de la vie, droit pour chacun d accéder à l éducation ou d y revenir à tout moment de la vie pour acquérir ou parfaire ses connaissances, s insérer ou progresser sur le marché de l emploi ou tout simplement pour une meilleure qualité de la vie.
4 4 -mettre en place des stratégies sur le long terme, partant du principe que le système éducatif est un continuum, de l éducation du primaire au supérieur, en intégrant éducation formelle, non formelle et l éducation acquise dans la vie quotidienne, professionnelle, sociale, culturelle, citoyenne. -accompagner l alphabétisation par la mise en place d un environnement lettré (presse, publications, actions culturelles) sans lequel les acquis risquent de s effriter avec le temps au lieu de se consolider. 2 la qualité Elle est inséparable de la durabilité et une condition de la pérennité. La recherche de la qualité doit conduire à ne pas établir de hiérarchie entre l éducation formelle qui conclut à un diplôme et ouvre la porte de l emploi et l alphabétisation des adultes. Il s agit d éviter que cette dernière apparaisse comme formation au rabais. En ne légiférant pas à deux vitesses on peut proclamer l égale valeur des différentes voies d accès à la connaissance. Un appel aux chercheurs a été lancé pour définir des indicateurs de qualité dans la formation, y compris la formation des formateurs. 3 le développement L alphabétisation durable est facteur de développement. pour l individu, car elle lui permet d acquérir des connaissances, de les élargir et de mieux s insérer dans la société, tout en lui donnant la perspective d un meilleur épanouissement personnel, pour l entreprise qui accroît sa productivité et son rayonnement en bénéficiant de ressources humaines de plus en plus qualifiées, pour le pays tout entier qui a besoin, à l heure de la mondialisation et de l évolution rapide des savoirs, de former ses citoyens au plus haut degré de compétence possible. Etant donné l importance de cet enjeu, l alphabétisation durable va être appelée à fédérer les démarches du ministère de l éducation et des ministères de la santé, de l économie, du travail. 4 l ouverture à l autre, le vivre ensemble : Le rôle important de la culture dans l épanouissement de l individu a été souligné de même que le respect de la diversité culturelle et le respect de l autre dans ses différentes spécificités. Il a été proposé d inclure dans l alphabétisation durable des modules sur les droits de l Homme, la compréhension mutuelle, la culture de la paix. L importance des langues locales et plus précisément le rôle des langues maternelles se sont trouvés au cœur des débats de la rencontre.
5 5 Considérant la langue comme un élément d identité culturelle, les participants ont plus précisément insisté, et à plusieurs reprises s agissant des pays africains, sur la nécessité de se servir des langues locales à des fins pédagogiques. L appel à ces langues constitue en effet le meilleur moyen pour réaliser l alphabétisation des adultes en premier lieu, ce qui est susceptible de favoriser l apprentissage d autres langues et la promotion de la diversité culturelle. C est en approfondissant la réflexion sur les langues que la rencontre de Lyon a considéré comme centrale la question des connaissances locales et la nécessité de fonder l apprentissage des adultes sur les savoirs existants. Il s agit de valoriser et d exploiter dans le processus d alphabétisation les traditions orales et la culture locale, donnant ainsi un commencement de réponse à l interrogation de notre invité d honneur : «Comment alphabétiser une population dans une langue qu elle ne connaît pas»? La langue étant un outil d accès à la connaissance, il convient aussi de prendre en compte le besoin d apprentissage de langues de grande communication. Aussi le bilinguisme et si possible le multilinguisme doivent-ils être encouragés pour atteindre cet objectif. 5 L enjeu démocratique Les relations entre alphabétisation durable et démocratie ont été abordées sous l angle du lien entre éducation et apprentissage de la liberté. Il s agit de permettre à l individu de faire ses propres choix. L alphabétisation permet à chacun de participer activement à la vie de la cité, de connaître ses droits et ses devoirs, de passer de la citoyenneté locale au citoyen du monde. Ce sont des enjeux considérables que doivent relever tous les acteurs. D Les recommandations de la rencontre francophone 1 - Recommandations aux chercheurs -travailler sur le concept d alphabétisation durable forgé dans la perspective de lutter contre l analphabétisme de retour et l illettrisme et de rendre pérennes les acquis de l éducation ; relier ce concept à l éducation formelle, non formelle et informelle ; examiner les types de passerelles possibles pour rapprocher ces différents secteurs de l éducation et les faire travailler en complémentarité -élaborer des indicateurs pour une gestion de l éducation tout au long de la vie mettant l accent sur l accès et la qualité -inclure des critères pour la formation des formateurs 2 - Recommandations aux usagers -prendre conscience que l éducation est un droit tout au long de la vie, et que la reconnaissance des acquis de l expérience fait partie de ce droit -apprendre à détecter leurs besoins en compétences de base et être en mesure de les faire prendre en compte dans leur vie quotidienne ainsi que pour leur insertion dans le monde professionnel et leur participation à la vie citoyenne
6 6 3 - Recommandations aux formateurs -tenir compte, dans l offre de formation, de la diversité des apprenants et des réalités locales, ce qui signifie que le formateur doit être lui-même en mesure de délivrer une formation adaptée au contexte et aux disponibilités des apprenants -s imposer une exigence de qualité qui stimule l adhésion à l acquisition des apprentissages premiers, donne les bases pour des acquisitions ultérieures, permette de s insérer dans le monde économique et favorise l exercice des droits (en résumé, avoir l ambition de passer de l alphabétiseur au formateur professionnel) 4 - Recommandations aux partenaires dans la société civile -aux familles, s impliquer davantage dans les différents stades de l alphabétisation et de la post-alphabétisation -au monde de la santé, développer des outils d alphabétisation ou d éducation pour une meilleure compréhension des individus en matière d hygiène et de nutrition -aux entreprises, contribuer au développement de programmes de formation de base en leur sein et à la recherche de synergies de formation entre les organismes de formation, les partenaires sociaux et le monde économique 5 - Recommandations aux décideurs politiques -veiller à ce que l Etat joue pleinement son rôle d'arbitrage en matière d éducation et de formation pour tous, dans une perspective de cohésion sociale et de développement du vivre ensemble -considérer que l investissement dans l éducation et la formation est rentable et doit rester une priorité, même en période de crise -jouer un rôle de régulateur afin de préserver, dans le monde de l entreprise, un équilibre entre les exigences économiques et le développement personnel des employés -promouvoir une meilleure coordination et une meilleure efficacité des actions menées par tous les partenaires de l éducation de base des adultes, notamment avec les collectivités locales, pour une juste répartition des rôles dans la promotion des langues locales et la préservation de la diversité culturelle 6 - Recommandations à l'unesco -promouvoir l alphabétisation durable comme un élément essentiel de la stratégie de l'éducation pour tous et contribuer à la mettre en oeuvre -mener un plaidoyer auprès des Etats pour les convaincre de l'importance de la reconnaissance des acquis de l'expérience, comme facteur indispensable de l'éducation tout au long de la vie, et considérer l'opportunité d élaborer un instrument international offrant un cadre de référence pour le développement de dispositifs nationaux de reconnaissance des acquis de l expérience
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