Colmatage des drains et matériaux filtrants

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Colmatage des drains et matériaux filtrants"

Transcription

1 CHAPITRE 12 Colmatage des drains et matériaux filtrants 12.1 INTRODUCTION Il est désastreux de constater après l installation de drains qu ils sont colmatés et que l investissementestperdu. Lecolmatagedesdrainsestinfluencéparlescaractéristiquesdusol,dudrainetles conditions d installation. Pour contrôler le colmatage des drains, il est important de comprendre les phénomènes qui y sont associés. Les matériaux filtrants sont utilisés pour contrôler l ensablement des drains et il est nécessaire de les connaître et les conditions d utilisation pour pouvoir faire des recommandations adéquates TYPES DE COLMATAGES Avant de décrire les phénomènes de colmatage des drains, il est important de connaître les formes et les origines en terme terminologique. Le colmatage des tuyaux de drainage peut revêtir deux formes: Lecolmatageexterneestl obstructiontotaleoupartielledesperforationset/oularéductionde la conductivité hydraulique du sol au voisinage du drain qui limitent la pénétration de l eau dans le drain. Le drain perd alors beaucoup de son efficacité hydraulique. Lecolmatageinterneestl obstructiontotaleoupartielledudrainpardesparticulesdesol,des racines ou des dépôts de nature chimiques ou biologiques. Ce colmatage amène une réduction delasectionhydrauliquedutuyauetdesacapacitédetransport. L origine du colmatage peut être unique ou mixte(combinant plusieurs causes). Les principales sont : Lescolmatagesminéraux:ilssontprovoquésparlamigrationdeparticulesminéralesquise déposent dans le tuyau(colmatage interne) et/ou qui sont immobilisées dans la zone autour du

2 192 COLMATAGE DES DRAINS ET MATÉRIAUX FILTRANTS drain. Ce dernier cas amène alors la formation d une zone peu perméable(colmatage externe). Ce colmatage peut survenir rapidement après la pose lors de la période de consolidation du sol dans la tranchée près du drain. Il est alors appelé colmatage primaire. Il est principalement le fait des mauvaises conditions d installation où le sol est très humide ou saturé. Le colmatage peut se produire dans les périodes subséquentes d écoulement et il est alors appelé colmatage secondaire. Ce dernier colmatage est principalement dû à la nature du sol. Le colmatage secondairedesdrainspardesparticulesdesolestaussiappeléensablementdesdrains.ilestlaprincipale forme de colmatage à laquelle les praticiens doivent faire face. Dans certains cas, l ensablement des drains peut se produire très rapidement voire dans l année qui suit l installation. Lescolmatages physico-chimiques et biologiques :ilssont dusaux modificationsdu milieu induites par la pose des drains qui provoque la prolifération d une microflore adaptée aux nouvelles conditions et/ou à des dépôts résultant de transformations chimiques. Les colmatages ferriques sontletypeleplusrépandu:ilscombinentdesdépôtsd oxydedeferobstruantles perforations et le développement d un gel bactérien à l intérieur du drain. Lescolmatagesracinaires:ilssontdusàl accumulationd uncheveluracinairedansledrain. Ils se produisent principalement dans les situations de drains transportant l eau provenant d une source. Le drain est alors un milieu privilégié pour l attraction racinaire car il constitue une réserve d eau et d air facilement utilisable. Les radicelles pénètrent dans le drain par les perforations et lorsqu elles meurent, elles créent des bouchons dans les tuyaux qui gênent alors l écoulement de l eau PROCESSUS D ENSABLEMENT Le processus d ensablement des drains commence lorsque les particules de sol sont arrachés et emportés dans le drain par le mouvement de l eau au travers des perforations. Pour comprendre le phénomène, il est important d analyser les forces que subit un volume élémentaire de sol à la surface de suintement. Dans un premier temps, nous allons analyser le cas d un volume élémentaire de sol pulvérulent(figure 12.1). L élémentestsoumisàlaforcedelagravitéetàuneforceascendantedue à l écoulement. La force de gravité correspond au poids déjaugé(poids - poussée d Archimède) : F g =(γ s γ e )(1 n) x y z [12.1] F g =Forcegravitationnelle γ s =Poidsspécifiquedesparticulesdesol(g/cm 3 ) γ e =Poidsspécifiquedesparticulesdel eau(g/cm 3 ) n =porosité La force due à l écoulement est provoquée par la différence de potentiel ou gradient hydraulique: F e =γ e 1 2 x y =γ e 1 2 z x y z =γ e i x y z [12.2] F e =Forced écoulement

3 PROCESSUS D ENSABLEMENT 193 F écoulement x F gravité y z 2 1 Figure 12.1 Bilan des forces sur un élément soumis à un écoulement ascendant. φ =Potentiel i = 1 2 z =gradienthydraulique L élémentsesoulèveralorsquelaforcedueàl écoulementseraplusgrandequelaforcedegravitéet ce phénomène est appelé boulance : F e F g γ e i (γ s γ e )(1 n)) [12.3] [12.4] Legradientquipermetl amorceduphénomèneestappelégradientcritique(i c ): i c γ s γ e γ e (1 n) [12.5] Ensupposantquelesparticulesdesolontunpoidsspécifiquede2,65g/cm 3 etquelesparticulessont desbillesarrangéesdelafaçonlapluscompacteavecuneporositéde0,35,legradientcritiqueest alorsde1,07. Danslecasd unsolidéalpossédantuneporositéde0,50,legradientcritiqueestalors de 0,83. Dans les sols pulvérulents, nous constatons que le gradient critique est de l ordre de l unité, cequiesttrèsélevé. Danslecasd unsolréel,lesforcesdecohésionetdefrictiondoivent êtreconsidéréesetellessont représentées par la résistance au cisaillement(τ)(figure 12.2): τ =F c +W sinθ f =F c +F f [12.6] τ = Résistance au cisaillement F c =Forcedecohésion W =Chargeappliquéesurlesol sinθ f =angledefrictionoucoefficientdefriction

4 194 COLMATAGE DES DRAINS ET MATÉRIAUX FILTRANTS F f =Forcedefriction (τ) Force de cisaillement Friction Cohésion sinθ f CHARGE(W) Figure 12.2 Résistance au cisaillement. Nous allons analyser le cas d une perforation située dans la partie inférieure du drain et une autre située dans la partie supérieure(figure 12.3). F écoulement F cohésion F friction DRAIN F cohésion F gravité F écoulement F gravité PERFORATION AU BASDUDRAIN PERFORATION AU HAUT DU DRAIN Figure 12.3 Bilan des forces sur un élément de sol à l entrée d un perforation. Pouruneperforationaubasdudrain,laforcedefrictionestnulle(W=0)etlebilandesforcesdonne: F e F g +F c γ e i (γ s γ e )(1 n))+f c i c γ s γ e γ e (1 n))+ F c γ e [12.7] [12.8] [12.9]

5 FORMATION DE PONTS 195 Pouruneperforationauhautdudrain,lebilandesforcesdonne: F e F c +F f F g [12.10] Laforcedefrictionestcauséeparlepoidsdelacolonnedesolau-dessusdel élément. Legradient critique est: i c F c γ e + W γ e sinθ f γ s γ e γ e (1 n)) [12.11] Comme nous le voyon,s les forces de cohésion et de gravité essaient de contrer les forces d écoulementpouruneperforationaubasdudrainalorsquelesforcesdecohésionetdefrictionmoinslaforce de gravité essaient de contrer les forces d écoulement pour une perforation au haut du drain. Au haut dudrain,lesforcesdefrictionsontimportantescomptetenudupoidsdelacolonne(w)desolau-dessus du drain FORMATION DE PONTS La section précédente analysé les forces provoquant le mouvement d un élément de sol dans une situation de stabilité beaucoup après l installation du drain. Dans la réalité, les particules de sol arrachéparlemouvementdel eauserontemportéesverslaperforation. Silaparticuleoulamotteest beaucoup plus petite que la perforation, elle entrera facilement dans le drain. Par contre, si elle est de latailledelaperforationouplusgrande,elleseraretenueparlaperforationetilsecréeraunpontà l entrée de la perforation. Le pont empêchera les particules suivantes de pénétrer dans le drain. Ce pont joue alors le rôle d un filtre. La figure 12.4 de l analyse micromorphologique de lames minces de sol à l interface avec le drain montre clairement la formation d arches par des agrégats(petites mottes de terre) ASPECTS THÉORIQUES L analyse des résultats de recherche permet de décrire théoriquement les processus se produisant suite à l installation d un drain. Après l installation du drain, le drain est recouvert plus ou moins rapidement par des mottes de sol qui laissent beaucoup de vides. Le processus de tassement du sol débutelentementavecladéformationdesmottescauséeparlapressiondelamassedesolau-dessus de celles-ci. Le tassement est influencé par la consistance du sol et son niveau s accroit avec le temps. Lorsquel eaucommenceàcoulerlelongdesmottes,ellebrisetousliensdecohésionnon permanents et les mottes s effritent. La gravité et les forces de l écoulement emportent les mottes brisées,lesagrégatsetlesparticulesdesolverslesperforationsdudrain. Silesagrégatsoulesmottes sont de l ordre de grandeur ou plus large que les perforations, elles vont former rapidement un pont face à la perforation. Si les agrégats ou les particules sont plus petites que l ouverture, elles entrerons facilement dans le drain et le processus se poursuivra jusqu à ce qu un agrégats ou groupe de particule ou d agrégats de plus grande dimension vienne former un pont au-dessus de l ouverture ou que

6 196 COLMATAGE DES DRAINS ET MATÉRIAUX FILTRANTS Figure 12.4 Formation d une arche par des petits agrégats et chemin préférentiel vers une perforation(gallaicahnd et al., 1987). le drain soit rempli. Si un pont se forme, tous les autres agrégats ou particules s accumuleront derrière le pont et le solidifieront. Lorsque ce processus, le haut du drain doit être considéré différemmentdubasdudrain. Auhautdudrain,legradienthydrauliqueetlagravités additionnepourpousserlesoldanslesondulationsdudrainfaceauxouvertures. Aubasdudrain,l écoulementestversle haut et agit contre la gravité. Dans cette situation, la pression est nécessairement plus petite qu audessus du drain. Alors, le sol sera moins bien consolidé dans les ondulations sous le drain qu au-dessusdudrainetlespontsserontplusdifficileàbâtiretserontmoinsstables. Lesolpluslâchedansles ondulationsaubasdudrainoffremoinsderésistanceàl écoulementetplusd eauvaentrerparles perforations situées au bas du drain. Si la force de traction de l eau sur les particules est suffisante pour les soulever(phénomène de boulance), les particules entrerons en grande quantité dans le drain. Lesollâchedanslesondulationsaubasdudrainpeutexpliquerpourquoiilsembleentrerplusdesol parlebasdudrainqueparlehaut. Laformationdepontsamèneàconsidéreruncasparticulier:siun agrégat ou une motte épouse exactement la forme de la perforation, celle-ci obstruera complètement la perforation et l eau ne pourra pénétrer dans le drain. Si cette situation est intéressante pour prévenir l ensablement des drains, elle l est moins en terme de drainage.

7 ASPECTS THÉORIQUES 197 Lors de l irrigation souterraine, l écoulement de l eau est inversée par rapport au drainage et il peut alors fragiliser les ponts. Les particules de sol seront plus susceptibles d entrer dans le drain lors des périodes drainage subséquentes. Figure 12.5 Évolution de la tranchée suite à l installation d un drain.

8 198 COLMATAGE DES DRAINS ET MATÉRIAUX FILTRANTS 12.6 PRÉDICTION DE LA SÉDIMENTATION Très peu d études ont essayé de prédire le niveau de sédimentation dans le drain. La première est basée sur l analyse granulométrique et l analyse des agrégats sous tamisage dans l eau(lagacé et Skaggs, 1984): ln(sed) =12,25+0,038AGR_1 0,122SM+0,144 ln AGR_25_50 0,046AGR_10_25+0,502ln AGR_100_200 0,160Argile 0,049Sable 2,964ln(Limon) +0,012CU+0,046ArgileLarg +0,848ln LimonLarg [12.12] SED = Épaisseur de sédiments(mm) AGR_1=Agrégats<0,1mm(%) SM =Sable moyen(%) AGR_25_50=Agrégats[0,25-0,50mm](%) AGR_10_25=Agrégats[0,10-0,25mm](%) AGR_100_200=Agrégats[1,00-2,00mm](%) Argile=Argile(%) Sable=Sable(%) Limon=Limon(%) CU = Coefficient d uniformité Larg = Largeur des pertuis(mm) Lecoefficientdecorrélationobtenuaétéde0,886etlafigure11.6présentelarelationentrelesépaisseurs de sédiments prédites et observées pour les cas analysés. En utilisant les résultats de plusieurs expériences Gallichand et Lagacé(1987) ont présenté une synthès présentée à la figure x. Les résultats peuvent être représntés par l équation suivante qui peut aider à prédire le niveau de sédiments dans les sols pulvérulents: CFHR+Fsol <0,5 [12.13] CF = Coefficient = 1,0(pertuis ronds), = 1,1(pertuis rectangulaires) HR = Rayon hydraulique des pertuis(mm) Fsol=Facteursol=0,68 -(1,187 D60)

9 199 Figure 12.6 Relation entre les épaisseurs de sédiments prédites et observées (Lagacé et Skaggs, 1985). FRACTION Broadhead, 1981 Broughton et al. 1982, et Lagacé, 1983 Gallichand et Lagacé, 1987 Lagacé, 1983 Trafford et Mice, 1972 Wiiardson, 1979 CFHR+FSOIL(mm) Figure 12.7 Prédiction de la fraction de sédiment occupant l espace libre en utilisant différents résultats de la littérature(adapté de Gallichand et Lagacé, 1988).

10 MEMBRANES GÉOTEXTILES Il existe différentes catégories de membranes géotextiles Les membranes tissées Les membranes tissées sont constituées de fibres orientées en deux directions perpendiculaires et qui s entrecroisent mutuellement. Comparativement aux autres méthodes de fabrication, le tissage représente une méthode plus coûteuse, mais il a l avantage de conduire à un produit ayant une structuresimple:ladistributiondelatailledesporesestjusquàuncertainpointuniforme,simpleetfacile à déterminer. D autre part, la géométrie relativement simple des membranes tissées permet de relier directement leurs propriétés mécaniques à celles des fibres. Il faut noter cependant que les caractéristiques de contrainte des membranes tissées sont presque toujoursprésentéesentermesdedirectiondechaîneoudetrame,maissilesmembranessontsoumisesà un effort dans une autre direction(diagonale), leurs propriétés sont considérablement modifiées. Dans l ensemble les membranes tissées offrent quand même des résistances moyennement fortes à très fortes et possèdent aussi une structure de pores simples Les membranes tricotées Alors que pour les membranes tissées les brins sont essentiellement rectilignes, les membranes tricotées sont constituées par des boucles de fibres reliées par des segments linéaires. Ainsi, de par cette structure, les membranes tricotées peuvent être soumises à des tensions dans une ou plusieurs directions sans augmenter de façon significative l effort sur les fibres. Leprocédédetricotageadeuxavantagessurletissage.Ilestmoinscheretiloffrelapossibilitéde fabriquer des tubes. Une des applications de ces tubes est leur utilisation comme filtres autour des drains agricoles Les membranes non tissées Oninclutdanscegroupetouteslesmembranesquinesontnitisséesnitricotées.Ellessontconstituées par des fibres reliées entre elles par différents procédés qui leur confèrent des propriétés particulières. Dans l ensemble, les membranes non tissées sont relativement bon marché et elles présentent des résistances à l effort allant de faible à moyennement forte. Elles ont également une très grande déformabilité. Elles sont largement utilisées comme filtres, comme drains, comme agent séparateur ou dans des travaux de renforcement léger Les membranes aiguillettées L aiguilletage est un procédé mécanique qui consiste à entremêler les filaments au moyen d aiguilles, ce qui confère une certaine résistance à la nappe obtenue. Pour obtenir une plus grande résistance, on peut aussi superposer plusieurs nappes qui seront aiguillettées ensemble.

11 MEMBRANES GÉOTEXTILES 201 Les membranes aiguillettées sont épaisses comparativement à leur poids(85 à 90% de vide) et la structure des pores est assez complexe. Ceci peut représenter un avantage en filtration Les membranes liées thermiquement Les fibres sont liées entre elles par passage entre deux cylindres chauffés et sous une importante pression.onobtientainsiunesouduredesfilamentslesunsauxautresauxpointsdecontact.lamembrane formée est relativement mince; la configuration et la dimension des pores sont indépendantes delacontrainteappliquéeàlamembrane.cependant,ilarrivesouventquesilanappedefibresest chauffée suffisamment pour créer une liaison solide entre les fibres, il s en suit une dégradation de leurs propriétés mécaniques ainsi qu une réduction de leur orientation Les membranes liées chimiquement Cesmembranessontproduitesparimprégnationdelanappedefibresavecunerésinequisertàles lier ensemble. L épaisseur et la structure de ces membranes sont intermédiaires entre les membranes aiguillettées et celles liées thermiquement. Cette méthode est cependant la plus coûteuse et, toutes choses égales d ailleurs, les membranes liées chimiquement ont moins de vide et une perméabilité plus faible Autres types On peut également trouver des membranes fabriquées à l aide d une combinaison de ces techniques de liaison. Ainsi, des membranes liées chimiquement sont souvent aiguillettées. D autre part, de nombreuses membranes sont produites en utilisant plus d une technique de constructionetdeliaison:parexemple.ilestcourantd aiguilletterdesfibressurunsupporttissé. Il apparaît donc qu il existe une grande variété de membranes et il est également évident qu on peut en obtenir un éventail encore plus grand avec le développement de nouvelles techniques et de nouveaux matériaux. Le domaine des caractéristiques de ces membranes est très étendu aussi bien du point de vue des caractéristiques des pores que des propriétés mécaniques. Leur durée de vie peut également être très différente. L ingénieur devra donc reconnaître ces différences et choisir les membranes qui conviennent le mieux pour chaque application particulière.

12 202

LES EAUX USÉES. L évacuation des eaux usées. Les eaux vannes (EV) : eaux provenant des cuvettes de WC.

LES EAUX USÉES. L évacuation des eaux usées. Les eaux vannes (EV) : eaux provenant des cuvettes de WC. L évacuation des eaux usées Les eaux vannes (EV) : eaux provenant des cuvettes de WC. Les eaux ménagères (EM) : eaux provenant de la cuisine (évier, lave-vaisselle) et de la salle de bains (lavabo, baignoire,

Plus en détail

«Silva Cell Investir dans l infrastructure verte»

«Silva Cell Investir dans l infrastructure verte» «Silva Cell Investir dans l infrastructure verte» Silva Cell Module d enracinement pour arbres Application : - Le module Silva Cell crée un espace souterrain permettant l enracinement des arbres en ville.

Plus en détail

UTILISATION DES SÉDIMENTS VALORISÉS : exemple de la plate-forme expérimentale SOLINDUS pour le pré-traitement des produits de dragage

UTILISATION DES SÉDIMENTS VALORISÉS : exemple de la plate-forme expérimentale SOLINDUS pour le pré-traitement des produits de dragage UTILISATION DES SÉDIMENTS VALORISÉS : exemple de la plate-forme expérimentale SOLINDUS pour le pré-traitement des produits de dragage Dr H. Bréquel, Responsable département Recherche 1 1 /20 CONTEXTE ET

Plus en détail

MISE EN DÉCHARGE. Une entreprise de Bayer et LANXESS

MISE EN DÉCHARGE. Une entreprise de Bayer et LANXESS MISE EN DÉCHARGE Une entreprise de Bayer et LANXESS MISE EN DÉCHARGE Introduction INTRODUCTION La mise en décharge, dans le respect de l environnement, de certains types de déchets est un complément important

Plus en détail

Mécanique des sols I. Chapitre I Propriétés physiques des sols. Chapitre II Hydraulique des sols. Chapitre III Déformations des sols

Mécanique des sols I. Chapitre I Propriétés physiques des sols. Chapitre II Hydraulique des sols. Chapitre III Déformations des sols Mécanique des sols I Chapitre I Propriétés physiques des sols Chapitre II Hydraulique des sols Chapitre III Déformations des sols Chapitre IV Résistance au cisaillement des sols Chapitre III Déformations

Plus en détail

Les composites thermoplastiques

Les composites thermoplastiques Les composites thermoplastiques Définition Par définition, un thermoplastique (anglais :thermoplast) est un matériau à base de polymère (composé de macromolécules) qui peut être mis en forme, à l état

Plus en détail

Consolidation des argiles. CUI Yu-Jun ENPC-CERMES, INSTITUT NAVIER

Consolidation des argiles. CUI Yu-Jun ENPC-CERMES, INSTITUT NAVIER Consolidation des argiles CUI Yu-Jun ENPC-CERMES, INSTITUT NAVIER Plan Introduction Argiles Phénomène de consolidation Essais de consolidation Equation de la consolidation Degré de consolidation et facteur

Plus en détail

Problèmes sur le chapitre 5

Problèmes sur le chapitre 5 Problèmes sur le chapitre 5 (Version du 13 janvier 2015 (10h38)) 501 Le calcul des réactions d appui dans les problèmes schématisés ci-dessous est-il possible par les équations de la statique Si oui, écrire

Plus en détail

Comment concevoir son lit biologique

Comment concevoir son lit biologique santé - sécurité au travail > RISQUE PHYTOSANITAIRE Gestion des effluents phytosanitaires Comment concevoir son lit biologique > Choix du procédé > Méthode de conception > Construction du lit biologique

Plus en détail

CREATION DE FORAGE, PUITS, SONDAGE OU OUVRAGE SOUTERRAIN

CREATION DE FORAGE, PUITS, SONDAGE OU OUVRAGE SOUTERRAIN REPUBLIQUE FRANCAISE - PREFECTURE DE LA DROME A retourner à : DDT/Service Eau Forêt Espaces Naturels 4 place Laënnec BP 1013 26015 VALENCE CEDEX 04.81.66.81.90 CREATION DE FORAGE, PUITS, SONDAGE OU OUVRAGE

Plus en détail

Technologie des contacteurs gaz liquide : cas des colonnes à plateaux et à garnissage. M. Prévost

Technologie des contacteurs gaz liquide : cas des colonnes à plateaux et à garnissage. M. Prévost Technologie des contacteurs gaz liquide : cas des colonnes à plateaux et à garnissage M. Prévost Version V2/ nov 2006 Structure du cours Partie 1 : Introduction Partie 2 : Mise en contact de Gaz et de

Plus en détail

Systèmes de stockage simples à installer et économiques

Systèmes de stockage simples à installer et économiques Systèmes de stockage simples à installer et économiques Parallèlement à l accroissement et à l ampleur des événements pluviométriques, l accélération et l augmentation des débits de pointe accentuent de

Plus en détail

Règlement numéro LA GESTION DES EAUX DE SURFACE ET LES RACCORDEMENTS AUX SERVICES D AQUEDUC ET D ÉGOUT. Avril 2011

Règlement numéro LA GESTION DES EAUX DE SURFACE ET LES RACCORDEMENTS AUX SERVICES D AQUEDUC ET D ÉGOUT. Avril 2011 Règlement numéro 346 LA GESTION DES EAUX DE SURFACE ET LES RACCORDEMENTS AUX SERVICES D AQUEDUC ET D ÉGOUT Avril 2011 VOS RESPONSABILITÉS LIÉES AUX SERVICES D AQUEDUC ET D ÉGOUT DE VOTRE IMMEUBLE Protection

Plus en détail

DÉCLARATIONS DU VENDEUR SUR L IMMEUBLE 1 INFORMATIONS GÉNÉRALES VENDEUR 2 / PAR VENDEUR 1 / PAR

DÉCLARATIONS DU VENDEUR SUR L IMMEUBLE 1 INFORMATIONS GÉNÉRALES VENDEUR 2 / PAR VENDEUR 1 / PAR DÉCLARATIONS DU SUR L IMMEUBLE 1 / PAR 2 / PAR nom, adresse, téléphone et courriel du vendeur 1 nom, adresse, téléphone et courriel du vendeur 2 ci-dessous collectivement nommés «vendeur» Ce formulaire

Plus en détail

NOTICE DE MISE EN SERVICE

NOTICE DE MISE EN SERVICE NOTICE DE MISE EN SERVICE Dispositif de Surpression à Variation, pompe de 2,2kW 1. GENERALITES Avant de procéder à l installation, lire attentivement cette notice de mise en service. CONTROLE PRELIMINAIRE

Plus en détail

Les «must» pour l équipement de vos ateliers

Les «must» pour l équipement de vos ateliers Technologies Toutes les solutions mobiles de filtration et d épuration d air dans les milieux industriels ou les milieux hostiles Les «must» pour l équipement de vos ateliers Du standard au «sur mesure».

Plus en détail

Sols urs et plafonds. Sols, murs et plafonds. Jean-Jacques TRAUTWEIN. Techniques du tapissier décorateur J.J TRAUTWEIN

Sols urs et plafonds. Sols, murs et plafonds. Jean-Jacques TRAUTWEIN. Techniques du tapissier décorateur J.J TRAUTWEIN Sols m urs et plafonds Techniques du tapissier décorateur ÉDITIONS VIAL Techniques du tapissier décorateur Sols, murs et plafonds J.J TRAUTWEIN Jean-Jacques TRAUTWEIN 9 782851 011565 ÉDITIONS VIAL Sommaire

Plus en détail

La séparation membranaire : comment maintenir la performance des membranes?

La séparation membranaire : comment maintenir la performance des membranes? La séparation membranaire : comment maintenir la performance des membranes? Alfa Arzate, ing., Ph.D. Journées Acéricoles Hiver 2010 OBJECTIF DE LA PRÉSENTATION L objectif premier de cette présentation

Plus en détail

Mon installation d assainissement non collectif PRÉSERVER LA RESSOURCE EN EAU ET RESPECTER LES MILIEUX AQUATIQUES. Guide.

Mon installation d assainissement non collectif PRÉSERVER LA RESSOURCE EN EAU ET RESPECTER LES MILIEUX AQUATIQUES. Guide. Mon installation d assainissement non collectif PRÉSERVER LA RESSOURCE EN EAU ET RESPECTER LES MILIEUX AQUATIQUES Guide d entretien Aillevans - Athesans Etroitefontaine - Autrey Le Vay - Beveuge - Bonnal

Plus en détail

Etude expérimentale et numérique de la Sédimentation/Consolidation de sols à très forte teneur en eau

Etude expérimentale et numérique de la Sédimentation/Consolidation de sols à très forte teneur en eau Etude expérimentale et numérique de la Sédimentation/Consolidation de sols à très forte teneur en eau Gilbert LE BRAS (IUT de st nazaire, Dépt. Génie Civil) Alain ALEXIS (GeM) 1/42 Introduction Domaine

Plus en détail

Logiciel pavages drainants mode d emploi

Logiciel pavages drainants mode d emploi Logiciel pavages drainants mode d emploi FEBESTRAL a développé, en collaboration avec le Centre de Recherches Routières (CRR), un logiciel de calcul pour pavages drainants. Ce programme vous guide lors

Plus en détail

DOUBLE PARK ECO «La solution» DESCRIPTION TECHNIQUE

DOUBLE PARK ECO «La solution» DESCRIPTION TECHNIQUE DOUBLE PARK ECO «La solution» DESCRIPTION TECHNIQUE P2-F et P4-F 185 (Modèle standard) P2-F et P4-F 170 MODELE P2/4-F 170 P2/4-F 185 (Standard) P2/4-F 195 P2-F et P4-F 195 H 325 340 350 DH 156 171 181

Plus en détail

Muret Laurentien MC. Classique et Versatile

Muret Laurentien MC. Classique et Versatile Muret Laurentien MC Classique et Versatile Le muret Laurentien par son look classique s agence à toutes nos gammes de pavé. Qualités et caractéristiques Intégration particulièrement harmonieuse du muret

Plus en détail

Traitement de l eau par flux dynamique

Traitement de l eau par flux dynamique GmbH Traitement de l eau par flux dynamique afin de réduire les impuretés microbiologiques afin d empêcher l apparition de nouveaux germes dans les eaux de consommation et de process et Nouveau avec certificat

Plus en détail

Styrodur C, un XPS exempt de CFC, HCFC et HFC. De l air, tout simplement. Ecologique, tout simplement.

Styrodur C, un XPS exempt de CFC, HCFC et HFC. De l air, tout simplement. Ecologique, tout simplement. Styrodur C, un XPS exempt de CFC, HCFC et HFC. De l air, tout simplement. Ecologique, tout simplement. Isolation thermique plus qu une simple protection de l environnement Une isolation thermique optimale

Plus en détail

Voyez la réponse à cette question dans ce chapitre. www.hometownroofingcontractors.com/blog/9-reasons-diy-rednecks-should-never-fix-their-own-roof

Voyez la réponse à cette question dans ce chapitre. www.hometownroofingcontractors.com/blog/9-reasons-diy-rednecks-should-never-fix-their-own-roof Une échelle est appuyée sur un mur. S il n y a que la friction statique avec le sol, quel est l angle minimum possible entre le sol et l échelle pour que l échelle ne glisse pas et tombe au sol? www.hometownroofingcontractors.com/blog/9-reasons-diy-rednecks-should-never-fix-their-own-roof

Plus en détail

MISAPOR verre cellulaire

MISAPOR verre cellulaire MISAPOR verre cellulaire Remblai allégé pour ouvrage en génie civile 2015-03 Suisse: Allemagne: France: MISAPOR AG Löserstrasse 2 CH-7302 Landquart Téléphone +41 81 300 08 08 Fax +41 81 300 08 09 info@misapor.ch

Plus en détail

Des innovations avec des matériaux plastiques haute performance. La gamme complète en PTFE, une gamme leader.

Des innovations avec des matériaux plastiques haute performance. La gamme complète en PTFE, une gamme leader. Des innovations avec des matériaux plastiques haute performance. La gamme complète en PTFE, une gamme leader. Nos solutions d ingénierie en PTFE : elles montrent la voie. Vaste et complète : notre gamme

Plus en détail

TABLE DES MATIÈRES. 1- Historique... 1. 2- Types de ventilateurs et leurs différents usages... 1

TABLE DES MATIÈRES. 1- Historique... 1. 2- Types de ventilateurs et leurs différents usages... 1 LA VENTILATION DES COUVERTURES 01-01-1998 TABLE DES MATIÈRES Page 1- Historique... 1 2- Types de ventilateurs et leurs différents usages... 1 3- Recommandations et investigations avant réfection... 3 4-

Plus en détail

RELEVE D ETAT DU PONT DES GRANDS-CRÊTS. On a procédé une auscultation visuelle entre le 23 et le 29 mars 2007.

RELEVE D ETAT DU PONT DES GRANDS-CRÊTS. On a procédé une auscultation visuelle entre le 23 et le 29 mars 2007. RELEVE D ETAT DU PONT DES GRANDS-CRÊTS On a procédé une auscultation visuelle entre le 23 et le 29 mars 2007. Pour mieux comprendre les résultats ici une petit plan où il y a signalées les différentes

Plus en détail

UNE MEILLEURE CONNAISSANCE

UNE MEILLEURE CONNAISSANCE CONCEVOIR ET GÉRER DES AMAS DE FUMIER SOLIDE AU CHAMP UNE MEILLEURE CONNAISSANCE pour un meilleur environnement En 2002, le Règlement sur les exploitations agricoles (REA) prévoyait l échéance des dispositions

Plus en détail

Révision de la numérotation des règlements

Révision de la numérotation des règlements Révision de la numérotation des règlements Veuillez prendre note qu un ou plusieurs numéros de règlements apparaissant dans ces pages ont été modifiés depuis la publication du présent document. En effet,

Plus en détail

BLUBOX Système de récupération des eaux de pluie

BLUBOX Système de récupération des eaux de pluie BLUBOX Système de récupération des eaux de pluie La gestion responsable des eaux pluviales : UNE SOLUTION ACTUELLE POUR UN AVENIR DURABLE L eau est une ressource essentielle à toute forme de vie sur Terre.

Plus en détail

Les besoins en eau de refroidissement des centrales thermiques de production d électricité. Alain VICAUD - EDF Division Production Nucléaire

Les besoins en eau de refroidissement des centrales thermiques de production d électricité. Alain VICAUD - EDF Division Production Nucléaire Les besoins en eau de refroidissement des centrales thermiques de production d électricité 1 Les circuits d eau d une centrale thermique Circuit secondaire Appoint Circuit primaire Circuit tertiaire Purge

Plus en détail

Chauffage individuel FICHE TECHNIQUE

Chauffage individuel FICHE TECHNIQUE FICHE TECHNIQUE Chauffage individuel 2 9 10 CONNAÎTRE > Chauffage central à eau > Chauffage par pièce > Autres systèmes REGARDER > Energies utilisées > Consommations > Inconforts ENTRETENIR > Contrat de

Plus en détail

BÂTIMENTS / TRAVAUX PUBLICS TRANSPORT, SERVICES ET COMMERCE INTERNATIONAL

BÂTIMENTS / TRAVAUX PUBLICS TRANSPORT, SERVICES ET COMMERCE INTERNATIONAL BÂTIMENTS / TRAVAUX PUBLICS TRANSPORT, SERVICES ET COMMERCE INTERNATIONAL A. PRÉSENTATION : BEST ENTREPRISE SARL est une société de droit sénégalais qui intervient dans les Bâtiments/Travaux Publics, le

Plus en détail

Semis direct du maïs

Semis direct du maïs Département fédéral de l'économie DFE Station de recherche Agroscope Reckenholz-Tänikon ART Semis direct du maïs Etude comparative de différents semoirs pour semis direct Bernhard Streit Journée d information

Plus en détail

Thème Le domaine continental et sa dynamique

Thème Le domaine continental et sa dynamique Thème Le domaine continental et sa dynamique 1 Chapitre I Caractérisation du domaine continental - I - Les caractéristiques de la lithosphère continentale 1) La nature de la croûte continentale Rappels

Plus en détail

Pose avec volet roulant

Pose avec volet roulant Pose avec volet roulant Coffre volet roulant Coulisse MONTAGE 2 PERSONNES MINIMUM La quincaillerie 4,2 x 25 Les outils (x 10) 3,5 x 9,5 (x 10) (x 1) (x 4) 3 2 1 (x 1) (x 4) 7 1 Positionnez les coulisses

Plus en détail

Électricité. 1 Interaction électrique et modèle de l atome

Électricité. 1 Interaction électrique et modèle de l atome 4 e - AL Électricité 1 Électricité 1 Interaction électrique et modèle de l atome 1.1 Électrisation par frottement Expérience 1.1 Une baguette en matière plastique est frottée avec un chiffon de laine.

Plus en détail

Prévenir les dégâts d eau au sous-sol

Prévenir les dégâts d eau au sous-sol Prévenir les dégâts d eau au sous-sol Des milliers de réclamations enregistrées chaque année en assurance habitation. Des dommages parfois sérieux, d autres fois moins, mais toujours désolants et, la plupart

Plus en détail

FICHE TECHNIQUE POSTE METALLIQUE

FICHE TECHNIQUE POSTE METALLIQUE CEL FRANCE Sarl au capital de 40 000E RC Alès 97RM 300 SIRET 410 748 875 00011 TVA CEE FR56410748875 NAF 316D Tableaux HTA Transformateur HTA Postes de transformation TGBT Disjoncteur BT www.cel france.com

Plus en détail

RÉSUMÉ DES PRINCIPALES RÈGLES CONCERNANT LE RACCORDEMENT D UNE RÉSIDENCE AU NOUVEAU RÉSEAU D AQUEDUC ET D ÉGOUT DU VILLAGE

RÉSUMÉ DES PRINCIPALES RÈGLES CONCERNANT LE RACCORDEMENT D UNE RÉSIDENCE AU NOUVEAU RÉSEAU D AQUEDUC ET D ÉGOUT DU VILLAGE RÉSUMÉ DES PRINCIPALES RÈGLES CONCERNANT LE RACCORDEMENT D UNE RÉSIDENCE AU NOUVEAU RÉSEAU D AQUEDUC ET D ÉGOUT DU VILLAGE Des règles différentes peuvent s appliquer dans le cas d un commerce. Informez-vous

Plus en détail

Thème 17: Optimisation

Thème 17: Optimisation OPTIMISATION 45 Thème 17: Optimisation Introduction : Dans la plupart des applications, les grandeurs physiques ou géométriques sont exprimées à l aide d une formule contenant une fonction. Il peut s agir

Plus en détail

3. Artefacts permettant la mesure indirecte du débit

3. Artefacts permettant la mesure indirecte du débit P-14V1 MÉTHODE DE MESURE DU DÉBIT D UN EFFLUENT INDUSTRIEL EN CANALISATIONS OUVERTES OU NON EN CHARGE 1. Domaine d application Cette méthode réglemente la mesure du débit d un effluent industriel en canalisations

Plus en détail

Déformabilité des sols. Tassements. Consolidation

Déformabilité des sols. Tassements. Consolidation Déformabilité des sols. Tassements. Consolidation par Jean-Pierre MAGNAN Ingénieur en chef des Ponts et Chaussées Directeur technique au Laboratoire Central des Ponts et Chaussées, Paris Professeur de

Plus en détail

Plan de modernisation des installations industrielles

Plan de modernisation des installations industrielles Plan de modernisation des installations industrielles 1 Sommaire 1 - Contexte - Introduction 2 - Réglementation 3 - Périmètre 4 - Guides techniques 5 - Synthèse : périmètre-actions 2 1 Contexte - Introduction

Plus en détail

Les techniques alternatives dans la gestion des eaux pluviales. Jean Yves VIAU Directeur Opérationnel

Les techniques alternatives dans la gestion des eaux pluviales. Jean Yves VIAU Directeur Opérationnel Les techniques alternatives dans la gestion des eaux pluviales Jean Yves VIAU Directeur Opérationnel Plan de présentation Présentation Saint Dizier environnement Les techniques alternatives La maîtrise

Plus en détail

Domosol : Système solaire combiné (SSC) de production d eau chaude et chauffage

Domosol : Système solaire combiné (SSC) de production d eau chaude et chauffage Domosol : Système solaire combiné (SSC) de production d eau chaude et chauffage Tc Le système solaire combiné (SSC) Domosol de ESE est basé sur le Dynasol 3X-C. Le Dynasol 3X-C est l interface entre les

Plus en détail

Banc d études des structures Etude de résistances de matériaux (RDM) et structures mécaniques

Banc d études des structures Etude de résistances de matériaux (RDM) et structures mécaniques Banc d études des structures Etude de résistances de matériaux (RDM) et structures mécaniques Descriptif du support pédagogique Le banc d essais des structures permet de réaliser des essais et des études

Plus en détail

R A P P O R T. Monsieur le Président, Mesdames, Messieurs, Bref historique

R A P P O R T. Monsieur le Président, Mesdames, Messieurs, Bref historique Commune de Peseux Conseil communal R A P P O R T du Conseil communal au Conseil général relatif à une demande de crédit de CHF 1'910'000.- pour la rénovation des conduites d'eau, de gaz, d'électricité,

Plus en détail

Bulletin n 6 LA MALADIE DU ROND

Bulletin n 6 LA MALADIE DU ROND MINISTÈRE DE L'AGRICULTURE ADMINISTRATION DES EAUX ET FORETS COMMISSION D'ÉTUDES DES ENNEMIS DES ARBRES, DES BOIS ABATTUS ET DES BOIS MIS EN ŒUVRE Bulletin n 6 LA MALADIE DU ROND On appelle «maladie du

Plus en détail

Maçonneries. Guide pratique du patrimoine bâti du Vexin français. Les différents types de roches. La localisation

Maçonneries. Guide pratique du patrimoine bâti du Vexin français. Les différents types de roches. La localisation Maçonneries Guide pratique du patrimoine bâti du Vexin français Territoire de calcaire, c est tout naturellement que le choix des matériaux pour ériger les constructions dans le Vexin français s est porté

Plus en détail

Quel Sont les 7 couleurs de l arc en ciel?

Quel Sont les 7 couleurs de l arc en ciel? Quel Sont les 7 couleurs de l arc en ciel? Rouge, orange, jaune, vert, bleu, indigo et violet Pourquoi a on défini 7 couleurs pour l arc an ciel A cause de l'analogie entre la lumière et le son, la gamme

Plus en détail

Circuits intégrés micro-ondes

Circuits intégrés micro-ondes Chapitre 7 Circuits intégrés micro-ondes Ce chapitre sert d introduction aux circuits intégrés micro-ondes. On y présentera les éléments de base (résistance, capacitance, inductance), ainsi que les transistors

Plus en détail

Le bac à graisses PRETRAITEMENT. Schéma de principe. Volume du bac à graisses. Pose

Le bac à graisses PRETRAITEMENT. Schéma de principe. Volume du bac à graisses. Pose Le bac à graisses Schéma de principe Lorsqu on a une longueur de canalisation importante entre la sortie des eaux de cuisine et la fosse septique toutes eaux, il est fortement conseillé d intercaler un

Plus en détail

MISE À LA TERRE POUR LA SÉCURITÉ ÉLECTRIQUE

MISE À LA TERRE POUR LA SÉCURITÉ ÉLECTRIQUE Les informations techniques PROMOTELEC MISE À LA TERRE POUR LA SÉCURITÉ ÉLECTRIQUE La sécurité des personnes contre un défaut d isolement survenant dans un matériel doit être assurée. En effet, un défaut

Plus en détail

Un leader dans la BARRIÈRE PARE VAPEUR BI-ADHÉSIVE

Un leader dans la BARRIÈRE PARE VAPEUR BI-ADHÉSIVE Un leader dans la technologie auto-adhésive! POLYVAP SA BARRIÈRE PARE VAPEUR BI-ADHÉSIVE feuille d aluminium POLYVAP SA est une membrane bitumineuse préfabriquée et bi-adhésive d excellente qualité. Elle

Plus en détail

77876 MONTEREAU CEDEX FRANCE SAS

77876 MONTEREAU CEDEX FRANCE SAS Câbles Energie SILEC CBLE 0 MOYENNE TENSION - HT ENERGIE STER GINE Documents de normalisation : Spécification Technique particulière EDF-GDF Services concernant les conducteurs pour pont gainé. Réf. STER-G/CP

Plus en détail

Guide d entretien. de votre assainissement non collectif

Guide d entretien. de votre assainissement non collectif juillet 2009 Guide d entretien de votre assainissement non collectif Votre système d assainissement n est pas raccordé au «tout à l égout». Il est dit «non-collectif», «autonome» ou encore «individuel».

Plus en détail

Guide d installation Agrément n 2010-018

Guide d installation Agrément n 2010-018 Filtres EPURFIX COMPACT COCO PEHD 5 et 7E.H. C.P. (Série «Compact») Guide d installation Agrément n 2010-018 Ce GUIDE D INSTALLATION contient l information nécessaire à la préparation et à la réalisation

Plus en détail

Projet de parc éolien en mer au large de Courseulles-sur-Mer

Projet de parc éolien en mer au large de Courseulles-sur-Mer ÉOLIENNES OFFSHORE DU CALVADOS avril 2013 Projet de parc éolien en mer au large de Courseulles-sur-Mer Synthèse d étude relative à la protection des câbles Sommaire 1. CONTEXTE ET OBJECTIF DE L ETUDE...

Plus en détail

(51) Int Cl.: B23P 19/00 (2006.01) B23P 19/04 (2006.01) F01L 1/053 (2006.01)

(51) Int Cl.: B23P 19/00 (2006.01) B23P 19/04 (2006.01) F01L 1/053 (2006.01) (19) (12) DEMANDE DE BREVET EUROPEEN (11) EP 1 886 760 A1 (43) Date de publication: 13.02.2008 Bulletin 2008/07 (21) Numéro de dépôt: 0711197.6 (1) Int Cl.: B23P 19/00 (2006.01) B23P 19/04 (2006.01) F01L

Plus en détail

Colle époxydique multi usages, à 2 composants

Colle époxydique multi usages, à 2 composants Notice Produit Edition 20 01 2014 Numéro 9.11 Version n 2013-310 01 04 02 03 001 0 000144 Colle époxydique multi usages, à 2 composants Description est une colle structurale thixotrope à 2 composants,

Plus en détail

STOCKAGE SOUTERRAIN. Gestion de l élimination en Europe toute entière Sécurité à long terme Solutions répondant aux besoins de nos clients

STOCKAGE SOUTERRAIN. Gestion de l élimination en Europe toute entière Sécurité à long terme Solutions répondant aux besoins de nos clients STOCKAGE SOUTERRAIN Gestion de l élimination en Europe toute entière Sécurité à long terme Solutions répondant aux besoins de nos clients Prestations de service complètes à l échelle européenne Gestion

Plus en détail

FICHE DE DONNEES DE SECURITE

FICHE DE DONNEES DE SECURITE PAGE 1/7 DATE DE MISE A JOUR : 16/11/2011 1/ - IDENTIFICATION DU PRODUIT ET DE LA SOCIETE Identification du produit : Gaines, films, housses, et/ou sacs transparents et colorés en polyéthylène. Famille

Plus en détail

1 Le chauffage des serres agricoles

1 Le chauffage des serres agricoles 1 Le chauffage des serres agricoles 1.1 Introduction Les serres offrent aux maraîchers et aux horticulteurs la possibilité de maîtriser le climat (température, humidité et lumière) et de produire, au moment

Plus en détail

Emprisonnons la chaleur 7 L isolation des murs

Emprisonnons la chaleur 7 L isolation des murs Emprisonnons la chaleur 7 L isolation des murs 7.1 Isolant soufflé 7.2 Rénovation de l intérieur 7.3 Rénovation de l extérieur 7.4 Endroits divers : garages attenants et autres espaces 7.5 Ajouts et nouvelles

Plus en détail

Chapitre 2 : Caractéristiques du mouvement d un solide

Chapitre 2 : Caractéristiques du mouvement d un solide Chapitre 2 : Caractéristiques du mouvement d un solide I Rappels : Référentiel : Le mouvement d un corps est décris par rapport à un corps de référence et dépend du choix de ce corps. Ce corps de référence

Plus en détail

Phénomènes dangereux et modélisation des effets

Phénomènes dangereux et modélisation des effets Phénomènes dangereux et modélisation des effets B. TRUCHOT Responsable de l unité Dispersion Incendie Expérimentations et Modélisations Phénomènes dangereux Description et modélisation des phénomènes BLEVE

Plus en détail

1- LES CHUTES DE PERSONNES...

1- LES CHUTES DE PERSONNES... 7 1-1- LES CHUTES DE PERSONNES... sont la cause de plusieurs accidents de travail Les chutes n ont pas de cible. Qui n est pas tombé dans un stationnement, en sortant de sa voiture, en se rendant à sa

Plus en détail

IMPACT DU TRAITEMENT DE SOL SUR L EROSION INTERNE DES SOLS FINS COMPACTES

IMPACT DU TRAITEMENT DE SOL SUR L EROSION INTERNE DES SOLS FINS COMPACTES IMPACT DU TRAITEMENT DE SOL SUR L EROSION INTERNE DES SOLS FINS COMPACTES IMPACT OF SOIL TREATMENT ON INTERNAL EROSION OF FINE COMPACTED SOILS Abdelwadoud MEHENNI 1,2, Olivier CUISINIER 1, Farimah MASROURI

Plus en détail

- I - Fonctionnement d'un détecteur γ de scintillation

- I - Fonctionnement d'un détecteur γ de scintillation U t i l i s a t i o n d u n s c i n t i l l a t e u r N a I M e s u r e d e c o e ffi c i e n t s d a t t é n u a t i o n Objectifs : Le but de ce TP est d étudier les performances d un scintillateur pour

Plus en détail

Tiré à part de la rubrique L ENTREPRISE DU MOIS. de la revue L EAU, L INDUSTRIE, LES NUISANCES

Tiré à part de la rubrique L ENTREPRISE DU MOIS. de la revue L EAU, L INDUSTRIE, LES NUISANCES ÉDITIONS JOHANET, 60, RUE DU DESSOUS DES BERGES - 75013 PARIS TÉL. 01 44 84 78 78 - FAX 01 42 40 26 46 - WWW.REVUE-EIN.COM REVUE MENSUELLE - ISSN 0755-5016 Tiré à part de la rubrique L ENTREPRISE DU MOIS

Plus en détail

«La solution» DESCRIPTION TECHNIQUE

«La solution» DESCRIPTION TECHNIQUE «La solution» DESCRIPTION TECHNIQUE P2-f & P4-f - 185/180 - Standard P2-f & P4-f - 170/165 - Compact P2-f & P4-f - 200/195 - Confort MODELE H DH P2f-4f - 185/180 - Standard 340 171 P2f-4f - 170/165 - Compact

Plus en détail

MESURES DE FAIBLES PERMÉABILITÉS (in-situ et en laboratoire) liées aux projets de décharges: Principales techniques de mesure, normalisation

MESURES DE FAIBLES PERMÉABILITÉS (in-situ et en laboratoire) liées aux projets de décharges: Principales techniques de mesure, normalisation COMITÉ FRANÇAIS DE MÉCANIQUE DES SOLS Journée «HYDRAULIQUE» du 23-01-2002 MESURES DE FAIBLES PERMÉABILITÉS (in-situ et en laboratoire) liées aux projets de décharges: Principales techniques de mesure,

Plus en détail

DP 500/ DP 510 Appareils de mesure du point de rosée mobiles avec enregistreur

DP 500/ DP 510 Appareils de mesure du point de rosée mobiles avec enregistreur DP 500/ DP 510 Appareils de mesure du point de rosée mobiles avec enregistreur de données Les nouveaux appareils DP 500/ DP 510 sont les appareils de service mobiles idéaux pour mesure le point de rosée

Plus en détail

LES LOIS PHYSIQUES APPLIQUÉES AUX DEUX-ROUES : 1. LA FORCE DE GUIDAGE

LES LOIS PHYSIQUES APPLIQUÉES AUX DEUX-ROUES : 1. LA FORCE DE GUIDAGE LES LOIS PHYSIQUES APPLIQUÉES AUX DEUX-ROUES : 1. LA FORCE DE GUIDAGE 2. L EFFET GYROSCOPIQUE Les lois physiques qui régissent le mouvement des véhicules terrestres sont des lois universelles qui s appliquent

Plus en détail

Décharges. La meilleure protection des couches étanches à l eau. Décharges

Décharges. La meilleure protection des couches étanches à l eau. Décharges Décharges La meilleure protection des couches étanches à l eau Décharges Décharges LA MEILLEURE PROTECTION DES COUCHES ÉTANCHES À L EAU Les produits minéraux de drainage comme le gravier et le sable de

Plus en détail

NOTRE OFFRE GLOBALE STAGES INTER-ENTREPRISES

NOTRE OFFRE GLOBALE STAGES INTER-ENTREPRISES NOTRE OFFRE GLOBALE STAGES INTER-ENTREPRISES HYDRAULIQUE MOBILE 5 Stages de 4 jours ----- HM1 HM2 HM3 HM4 HM5 2 Stages SAUER DANFOSS de 2 jours ----- PVG 32 ----- POMPE 90 MOTEUR 51 ELECTRONIQUE EMBARQUEE

Plus en détail

Synthèse SYNTHESE - 1 - DIRECTION GENERALE DE L ENERGIE ET DU CLIMAT. Service du climat et de l efficacité énergétique

Synthèse SYNTHESE - 1 - DIRECTION GENERALE DE L ENERGIE ET DU CLIMAT. Service du climat et de l efficacité énergétique DIRECTION GENERALE DE L ENERGIE ET DU CLIMAT Service du climat et de l efficacité énergétique Observatoire national sur les effets du réchauffement climatique Synthèse SYNTHESE Prise en compte de l'élévation

Plus en détail

murs de soutènement et dalles patio

murs de soutènement et dalles patio murs de soutènement et dalles patio solide et esthétique Que ce soit pour votre jardin, votre entrée ou pour un projet de plus grande ampleur, choisir un design Pisa est l assurance d une solution gagnante

Plus en détail

INFLUENCE de la TEMPERATURE. Transition ductile/fragile Choc Thermique Fluage

INFLUENCE de la TEMPERATURE. Transition ductile/fragile Choc Thermique Fluage INFLUENCE de la TEMPERATURE Transition ductile/fragile Choc Thermique Fluage Transition ductile/fragile Henry Bessemer (UK)! 1856 : production d'acier à grande échelle Pont des Trois-Rivières 31 janvier

Plus en détail

métallerie LA QUALITÉ & LE SERVICE AU COEUR DE NOTRE DÉMARCHE Notre indépendance fait la différence

métallerie LA QUALITÉ & LE SERVICE AU COEUR DE NOTRE DÉMARCHE Notre indépendance fait la différence Gamme métallerie LA QUALITÉ & LE SERVICE AU COEUR DE NOTRE DÉMARCHE GRILLAGE SERRURIER Le grillage serrurier résulte d un process d assemblage par soudure de fils entre eux. Les fils assemblés peuvent

Plus en détail

BALAIS Moteur (charbons)

BALAIS Moteur (charbons) BALAIS Moteur (charbons) 1/ Rôle a) Pour les machines électriques comportant des bagues (alternateur moteur asynchrone) : moteur universel Les balais doivent maintenir un contact constant avec la bague

Plus en détail

LES PNEUS SONT-ILS DANGEREUX POUR LA SANTÉ ET L ENVIRONNEMENT? Les pneus sont dangereux dans des piles, pas dans des Earthships.

LES PNEUS SONT-ILS DANGEREUX POUR LA SANTÉ ET L ENVIRONNEMENT? Les pneus sont dangereux dans des piles, pas dans des Earthships. les pneus sont sécuritaires LES PNEUS SONT-ILS DANGEREUX POUR LA SANTÉ ET L ENVIRONNEMENT? Réutiliser un vieux pneu dans un Earthship, où il devient une ressource utile et passe le reste de son temps dans

Plus en détail

II - 2 Schéma statique

II - 2 Schéma statique II - 2 Schéma statique Philippe.Bouillard@ulb.ac.be version 7 septembre 2006 Schéma statique Définition Appuis et liaisons [Frey, 1990, Vol. 1, Chap. 5-6] Éléments structuraux Sans références Les dias

Plus en détail

Chapitre 10 : Mécanique des fluides

Chapitre 10 : Mécanique des fluides Chapitre 10 : Mécanique des fluides 1. Pression hydrostatique Les fluides regroupent gaz et liquides. En général, on considère des fluides incompressibles. Ce n est plus le cas en thermodynamique. Un objet

Plus en détail

Eau chaude sanitaire FICHE TECHNIQUE

Eau chaude sanitaire FICHE TECHNIQUE FICHE TECHNIQUE Eau chaude sanitaire 2 5 6 6 CONNAÎTRE > Les besoins d eau chaude sanitaire > Les modes de production > La qualité de l eau > Les réseaux de distribution > La température de l eau REGARDER

Plus en détail

Ablation de sutures. Module soins infirmiers

Ablation de sutures. Module soins infirmiers Ablation de sutures Module soins infirmiers Equipe enseignante de l IFSI du Centre Hospitalier de ROUBAIX Diaporama réalisé par : Stéphane Dubus, Formateur I. Définition Il s agit d ôter les sutures cutanées

Plus en détail

Systèmes d aspiration pour plan de travail

Systèmes d aspiration pour plan de travail Systèmes d aspiration pour plan de travail Les systèmes d aspiration Nederman pour plan de travail peuvent être utilisés dans tout type d environnement en partant des postes d assemblage où des fumées

Plus en détail

SÉRIES SM Cribles CRIBLES À TROMMELS SM 414 SM 414 K SM 518 SM 620 SM 620 K SM 720 CRIBLE À ÉTOILES SM 1200 WE CARE

SÉRIES SM Cribles CRIBLES À TROMMELS SM 414 SM 414 K SM 518 SM 620 SM 620 K SM 720 CRIBLE À ÉTOILES SM 1200 WE CARE SÉRIES SM Cribles CRIBLES À TROMMELS SM 414 SM 414 K SM 518 SM 620 SM 620 K SM 720 CRIBLE À ÉTOILES SM 1200 WE CARE CRIBLES SÉRIE SM CRIBLES À TROMMELS POUR UN CRIBLAGE OPTIMAL CRIBLES À TROMMELS Le trommel

Plus en détail

Cours de Structures en béton

Cours de Structures en béton Cours de Structures en béton Chapitre 12 DETAILS DE CONSTRUCTION Section 12.3 Les murs 12.3.1 Le mur extérieur en béton armé 12.3.2 Le mur extérieur en maçonnerie traditionnelle 12.3.3 Le mur extérieur

Plus en détail

MANUEL DE POSE PANNEAU ACIER. Une structure de hauteur 1m10/1m50 DES PRINCIPES BASIQUES (UN COTE PROFOND 1M50)

MANUEL DE POSE PANNEAU ACIER. Une structure de hauteur 1m10/1m50 DES PRINCIPES BASIQUES (UN COTE PROFOND 1M50) MANUEL DE POSE PANNEAU ACIER Une structure de hauteur 1m10/1m50 DES PRINCIPES BASIQUES (UN COTE PROFOND 1M50) 2 EXCAVATION Avant le travail d excavation, il est nécessaire de préparer la plate forme du

Plus en détail

EDUCATION A L ENVIRONNEMENT QUALITE DE L EAU

EDUCATION A L ENVIRONNEMENT QUALITE DE L EAU DOCUMENT D AIDE A LA PREPARATION DE LA CLASSE Plan de Rénovation de l Enseignement des Sciences et de la Technologie A l école au cycle 3. EDUCATION A L ENVIRONNEMENT QUALITE DE L EAU Groupe sciences Isère

Plus en détail

Etude de diagnostic hydrogéologique du sous sol de Clamart Quartiers Schneider et Centre ville MAI 2013

Etude de diagnostic hydrogéologique du sous sol de Clamart Quartiers Schneider et Centre ville MAI 2013 Etude de diagnostic hydrogéologique du sous sol de Clamart Quartiers Schneider et Centre ville MAI 2013 Zones d étude et problématiques Quartiers concernés par l étude 1. Centre ville 2. Schneider Quartier

Plus en détail

SIGMA C est le résultat qui compte

SIGMA C est le résultat qui compte SIGMA C est le résultat qui compte L avenir depuis 1918 L avance technologique grâce au concept breveté SIGMA: fermeture hermétique, pressurage en position de remplissage, extraction verticale, surface

Plus en détail

GENERALITES SUR LA MESURE DE TEMPERATURE

GENERALITES SUR LA MESURE DE TEMPERATURE Distributeur exclusif de GENERALITES SUR LA MESURE DE TEMPERATURE INTRODUCTION...2 GENERALITES SUR LA MESURE DE TEMPERATURE...2 La température...2 Unités de mesure de température...3 Echelle de température...3

Plus en détail

Fiche Produit. 1m2 I Escalier Gain de Place en Colimaçon. Ludovic Cretenoud 079 / 353 15 23

Fiche Produit. 1m2 I Escalier Gain de Place en Colimaçon. Ludovic Cretenoud 079 / 353 15 23 Fiche Produit Avec cette fiche produit je souhaite vous informer et vous inspirer. 1m2 : une solution innovante et efficace pour mettre un escalier là où il n y a pas la place pour en mettre un! Conçu

Plus en détail

CIRCUITS DE PUISSANCE PNEUMATIQUES

CIRCUITS DE PUISSANCE PNEUMATIQUES V ACTIONNEURS PNEUMATIQUES : 51 Généralités : Ils peuvent soulever, pousser, tirer, serrer, tourner, bloquer, percuter, abloquer, etc. Leur classification tient compte de la nature du fluide (pneumatique

Plus en détail