Négociation dans les Systèmes Multi-Agents

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Négociation dans les Systèmes Multi-Agents"

Transcription

1 Négociation dans les Systèmes Multi-Agents Maxime MORGE MASTER WEB Intelligence MASTER WEB Intelligence p.1/31

2 Les Systèmes Multi-Agents SMA=A+E+I+O O I A A I A I I A I I A A I O E les SMA = un paradigme de programmation ; un sous domaine de l IA ; un outil de simulation. MASTER WEB Intelligence p.2/31

3 Motivations : résolution de conflits Par nature les Systèmes Multi-Agents sont distribués, décentralisés, co-opératifs (coopératifs ou concurrents) : autant de sources de conflits : omnipotence? : actions, plans, buts, tâche/sous-tâches... omniscience? : information incomplète incohérente, incertaine, indisponible... ressouces limitées et partagées : fichiers, tps CPU, espace disque, batterie... Techniques de résolution de conflits : médiation : un arbitre, un agent centralisateur qui tranche ; normalisation a priori : poids, autorité, force ; négociation : échange de compromis pour parvenir à un accord. MASTER WEB Intelligence p.3/31

4 Négociation : interprétation géométrique Ai Pi Pi Pj Pk Aj Ak Pi Ci Pj Pj Ck Pi Cj Pk Pk Pi Ci Aire d acceptabilité précédente Aire d acceptabilité courante Offre précédente de l agent i Offre courante de l agent i Recherche distribuée dans l espace des accords potentiels MASTER WEB Intelligence p.4/31

5 Grille d analyse de la négociation automatique Utilité Protocole Primitives Correspondance Language Decision Sémantique NEGOCIATION Préférences Structure de l objet Processus Stratégie Comportement Procédure Les briques de construction d un système de négociation automatique MASTER WEB Intelligence p.5/31

6 Grille d analyse : le langage LA NÉGOCIATION = UN ÉCHANGE DE PROPOSTIONS : la structure de l objet de la négociation : valeurs : discrètes/continues, propositions/prédicats, binaires/multivaluées ; issues simples/multiples : prix, prix/quantité ; opérateur :?, conjonction, disjonction, relation d ordre ; dynamique/statique : dissociation des notions ; simple ou complexe : ressource/plan. les primitives du langage : plus que des simples messages mais des actes de language (pragmatique : signe/signification/usage) ; la sémantique du langage : pré-conditions et post-conditions pour spécifier les conditions d illocution (génération) et leur effet percolutoire (interprétation). le protocole : la séquence des actions possibles ; MASTER WEB Intelligence p.6/31

7 Grille d analyse : la décision LA NÉGOCIATION = UNE PRISE DE DÉCISION DISTRIBUÉE : la fonction d utilité : elle permet d évaluer et de comparer les propositions. Le but de l agent est d optimiser cette fonction ; la fonction de mise en correspondance : l objet doit être au préalable traduit pour que l agent puisse évaluer son intérêt ; les préférences : les poids relatifs des différents aspects/alternatives. la stratégie : elle concerne la tactique, le comportement général de l agent pour la résolution des conflits. MASTER WEB Intelligence p.7/31

8 Grille d analyse : le processus LA NÉGOCIATION = UN PROCESSUS : le modèle procédural : un cycle de négociation se décompose en phase : le règlement de l agenda : construction conjointe de l objet de négociation ; l exploration du champ : limites des critères, fixer le niveau d acceptabilité, choisir la stratégie, estimer les réticences ; la découverte des différents : la recherche des désaccords, des limites, des ambitions, des objectifs ; le déploiement des stratégies, leur modification ; l évaluation et réalisation des concessions ; la mesure des divergences entre participants. le comportement du système : l analyse qualitative et quantitative du processus en terme d efficacité, d équité. MASTER WEB Intelligence p.8/31

9 Objet de négociation ex : Négociation Multi-Attribut (ADEPT/SLA) Slot Name Instantiated Values SERVICE_NAME: cost_&_design_customer_network SLA_ID: a1001 SERVER_AGENT: DD CLIENT_AGENT: CSD SLA_DELIVERY_TYPE: on-demand DURATION: (minutes) 320 START_TIME: 9:00 END_TIME: 18:00 VOLUME: 35 PRICE: (per costing) 35 PENALTY: 30 CLIENT_INFO: cr_profile REPORTING_POLICY: customer_quote MASTER WEB Intelligence p.9/31

10 Objet de négociation (cont.) ex : Négociation Multi-Attribut/Multi-Partenaire MASTER WEB Intelligence p.10/31

11 Les actes de langages les unité du discours : appel à proposition proposition/contre-proposition offre complète/partielle acceptation/refus récompences/menaces/appels (rewards/threats/appeals) ex : FIPA Agent Communication Language Appel à proposition (cfp :sender (agent-identifier :name i) :receiver (set (agent-identifier :name j)) :content "((action (agent-identifier :name j) (sell plum 50)) (any?x (and (= (price plum)?x) (<?x 10))))" :ontology fruit-market :language fipa-sl) MASTER WEB Intelligence p.11/31

12 Les actes de langages (cont.) Proposition (propose :sender (agent-identifier :name j) :receiver (set (agent-identifier :name i)) :content "((action j (sell plum 50)) (= (any?x (and (= (price plum)?x) (<?x 10))) 5)" :ontology fruit-market :in-reply-to proposal2 :language fipa-sl) Refus (reject-proposal :sender (agent-identifier :name j) :receiver (set (agent-identifier :name i)) :content "((action (agent-identifier :name j) (sell plum 50)) (cost 200) (price-too-high 50))" :in-reply-to proposal13) MASTER WEB Intelligence p.12/31

13 Le protocole les rôles : Initiateur, Participants... l arité du protocole : one-to-one : un acheteur - un vendeur ; many-to-one : plusieurs vendeurs - un acheteur ; many-to-many : plusieurs vendeurs - plusieurs acheteurs. ex : FIPA Contract Net Interaction Protocol MASTER WEB Intelligence p.13/31

14 Négociation non-coopérative MASTER WEB Intelligence p.14/31

15 Négociation non-coopérative motivation : la standardisation des infrastructures de communication (TCP/IP, WWW, KQML, FIPA, Java), autorise la conception d agents interagissant dans un environnement ouvert, en temps réel et pouvant mettre en œuvre des transactions pour le commerce électronique (bande passante, biens, informations...) ; négociation non-coopérative = cadre institutionnel où les agents arrêtent seuls leur choix, sans consulter les autres agents, pour satisfaire leur propre but ; les agents self-interested maximisent une fonction d utilité ; objectif : développer des mécanismes d interactions (enchère, vote, marchandage, marché, contrat, formation de coalition) pour garantir la robustesse du système ; Par opposition, la résolution coopérative de problème distribuée a pour objet la conception de système, notamment le protocole et les stratégies des agents qui sont élaborées dans le but de maximiser la satisfaction globale du système. MASTER WEB Intelligence p.15/31

16 Robustesse du système Les critères d évaluation du système : coût computationnel : calculabilité de la fonction d utilité, calculabilité de la fonction de meilleure réponse, l espace nécessaire à la représentation de la meilleure stratégie, coût des communications, distributivité de la recherche. qualité de solution : comparaison des solutions obtenues à l issue des différents mécanismes en mesurant par exemple le crédit global des agents. rationalisme individuel : participer à une négociation est pour un agent individuellement rationnel ssi ses gains sont plus importants que s il n y avait pas participé, unn processus est individuellement raisonnable ssi l ensemble des agents en tire bénéfice ; stabilité : un agent peut-il acroître son gain en changeant de stratégie? symétrie : existe-il un agent "dictateur"? MASTER WEB Intelligence p.16/31

17 La théorie des jeux Définition 1 (Jeu non-coopératif) On appelle jeu non-coopératif un triplet < I,S,Π I > défini par : un ensemble de N joueurs : I = {1,2,...,N} ; pour chaque joueur i I, un ensemble de stratégies S i, qui contient toutes les stratégies possibles de ce joueur. s i S I est une stratégie particulière du joueur i. Par conséquent, S i = {s i 1,si 2,...,si k i } si k i stratégies sont possibles pour le joueur i. Si chaque joueur i choisit une stratégie i nous pouvons représenter le résultat (i.e. profil de stratégies) du jeu par le vecteur S = (s 1,s 2,...,s N ) pour chaque joueur i, une fonction d utilité π i,qui donne la valeur pour le joueur i de chaque résultat du jeux : π i (S) défini tel que : π i : S = X i I S i R S (s 1,s 2,...,s N ) π i (S) Nous pouvons représenter l ensemble des utilités par un vecteur qui contient toutes ces fonctions Π I = (π 1,π 2,...,π N ) MASTER WEB Intelligence p.17/31

18 Jeu non-coopératif : 2 exemples Le dilemme des prisonniers : Clyde nier avouer Bonnie nier ( 1, 1) ( 10, 0) avouer (0, 10) ( 8, 8) La bataille des sexes : Clyde O F Bonnie O (2, 1) (0, 0) F (0, 0) (1, 2) MASTER WEB Intelligence p.18/31

19 Stabilité le profil de stratégie S i est défini tel que : S i = {s 1,...,s i 1,s i+1,...,s N } défini tel que S i X i j S j. On a donc S (S i,s i ) (1) Définition 2 (Stratégie dominante) Une stratégie particulière (ŝ i S i ) d un joueur est une stratégie dominante du joueur i ssi, quelles que soient les stratégies choisies par les autres joueurs, elle maximise le gain de i : s i S i, s i S i π i (ŝ i,s i ) π i (s i,s i ) Un équilibre en stratégie dominante est un résultat de jeu où tous les agents jouent une stratégie dominante (n existe que pour un nombre très restreint de jeux). Définition 3 (Équilibre de Nash) Un résultat de jeu Ṡ = (ṡ 1,...,ṡ N ) avec ṡ i S i est un équilibre de Nash ssi aucun joueur n a intérêt à dévier unilatéralement de sa stratégie ṡ i quand les joueurs continuent à jouer ṡ 1. On a donc : s i S i π i (ṡ i,ṡ i ) π i (s i,ṡ i ) Un équilibre de Nash décrit l issue d un jeu non coopératif dans lequel aucun joueur n a intérêt à modifier sa stratégie, compte tenu des stratégies des autres joueurs. MASTER WEB Intelligence p.19/31

20 Stabilité : 2 exemples LE DILEMME DES PRISONNIERS : Clyde nier avouer Bonnie nier ( 1, 1) ( 10, 0) avouer (0, 10) ( 8, 8) LA BATAILLE DES SEXES : Clyde O Bonnie O (2, 1) (0, 0) F F (0, 0) (1, 2) MASTER WEB Intelligence p.20/31

21 Stabilité : 2 exemples LE DILEMME DES PRISONNIERS : Clyde nier avouer Bonnie nier ( 1, 1) ( 10, 0) avouer (0, 10) ( 8, 8) avouer est une stratégie dominante, (avouer, avouer) est un équilibre en stratégie dominante LA BATAILLE DES SEXES : Clyde O Bonnie O (2, 1) (0, 0) F (0, 0) (1, 2) pas de stratégie dominante F MASTER WEB Intelligence p.20/31

22 Stabilité : 2 exemples LE DILEMME DES PRISONNIERS : Clyde nier avouer Bonnie nier ( 1, 1) ( 10, 0) avouer (0, 10) ( 8, 8) avouer est une stratégie dominante, (avouer, avouer) est un équilibre en stratégie dominante mais également un équilibre de Nash LA BATAILLE DES SEXES : Clyde O Bonnie O (2, 1) (0, 0) F (0, 0) (1, 2) pas de stratégie dominante (O,O) et (F,F) sont des équilibres de Nash F MASTER WEB Intelligence p.20/31

23 Satisfiabilité Définition 3 (Bien-être social) Le bien-être social mesure le crédit global des agents, la somme des gains des agents étant donné une solution. Cette mesure est arbitraire puisqu elle nécessite de comparer les fonctions d utilité et donc présuppose que cette comparabilité est possible. C est une hypothèse forte et très restrictive. Définition 3 (Optimum de Pareto) Une solution est un optimum de Pareto (i.e. efficace au sens de Pareto) ssi il n en existe pas d autre qui permette d accroître le niveau de satisfaction d un ou plusieurs agents sans faire diminuer celle d au moins un autre agent. On s interdit de comparer le gain en satisfaction des uns avec les pertes des autres. MASTER WEB Intelligence p.21/31

24 Satisfiabilité : 2 exemples LE DILEMME DES PRISONNIERS : Clyde nier avouer Bonnie nier ( 1, 1) ( 10, 0) avouer (0, 10) ( 8, 8) LA BATAILLE DES SEXES : Clyde O Bonnie O (2, 1) (0, 0) F F (0, 0) (1, 2) MASTER WEB Intelligence p.22/31

25 Satisfiabilité : 2 exemples LE DILEMME DES PRISONNIERS : Clyde nier avouer Bonnie nier ( 1, 1) ( 10, 0) avouer (0, 10) ( 8, 8) (nier, nier) maximise le bien-être social LA BATAILLE DES SEXES : Clyde O Bonnie O (2, 1) (0, 0) F (0, 0) (1, 2) (O,O) et (F,F) maximisent le bien-être social F MASTER WEB Intelligence p.22/31

26 Satisfiabilité : 2 exemples LE DILEMME DES PRISONNIERS : Clyde nier avouer Bonnie nier ( 1, 1) ( 10, 0) avouer (0, 10) ( 8, 8) (nier, nier) maximise le bien-être social (nier, nier) pareto-domine (avouer, avouer) LA BATAILLE DES SEXES : Clyde O Bonnie O (2, 1) (0, 0) F (0, 0) (1, 2) (O,O) et (F,F) maximisent le bien-être social (O,O) et (F,F) sont des optimum de Pareto F MASTER WEB Intelligence p.22/31

27 Agentification : raisonnement économique On parle d agent à rationalité économique : agent = joueur ; action = choix réalisé par un agent à un instant du jeu ; résultat = réponse du système (environnement/ autres agents) ; stratégie = choisir une action étant donnée un historique de résultats ; utilité = représentation mathématique des préférences individuelles ; espérence d utilité = utilité de résultats incertains (prudence/audace). max p(résultat stratégie)u i (résultat) stratégierésultat Par opposition au raisonnement logique. La rationalité des agents est limitée. MASTER WEB Intelligence p.23/31

28 Le vote = un processus de décision MASTER WEB Intelligence p.24/31

29 Théorie du choix social Définition 3 (Fonction de choix social) Soient A : un ensemble d agents, O : un ensemble de choix sociaux, ( i,o) i A : les préférences individuelles (transitive asymétrique strict). On appel fonction de choix social la préférence collective. Elle doit satisfaire les propriétés suivantes : existe quelque soit les préférences individuelles ; (,O) est asymétrique et transitive ; la règle d unanimité (efficacité parétienne) : si i A o i o alors o o la règle d indépendance vis à vis des alternatives non-pertientes : si o,o O o i o o i o alors la règle de non-dictature : i A o i o o o MASTER WEB Intelligence p.25/31

30 Théorème d Arrow Théoreme 0 Théorème d Arrow Si O 3 Il n existe pas de fonction de choix social qui vérifie les six conditions. ex : Protocole binaire : alternative non pertinente, dépendance vis à vis de l agenda, choix paréto-dominé. MASTER WEB Intelligence p.26/31

31 Les différentes enchères (-500 JC, Babylone) MASTER WEB Intelligence p.27/31

32 Enchère orale Enchère anglaise : les participants surenchèrent jusqu à ce que l un deux l emporte : prix minimum ascendant ; offre publique des particpants ; transaction avec le plus offrant ; prix effectif : la meilleure offre. Enchère hollandaise : l initiateur annonce un prix qui va décroitre jusqu à ce que l un des participants l accepte : prix maximum décroissant ; offre publique de l initiateur ; transaction avec le premier à crier "Mine" ; prix effectif : celui indiqué par l horloge hollandaise. MASTER WEB Intelligence p.28/31

33 Enchère écrite Enchère FPSB First-Price Seal-Bid : les offres sont faîtes simultanément : offres secrètes des participants (Seal-Bid) ; transaction avec le plus offrant ; prix effectif : la meilleure offre (First-Price). Enchère Vickrey : identique à l exception du prix effectif : offres secrètes des participants ; transaction avec le plus offrant ; prix effectif : la seconde meilleure offre. MASTER WEB Intelligence p.29/31

34 Architecture d agent négociant Agent a Agent b propose x Accepter x Évaluation des propositions Refuser x U(x)? Contre proposer y y? Stratégie de négociation heuristiques y? y? Marchandage Ua(y)>Ua(x) Ub(y)=Ub(x) Manipulation de l objet de négociation y=x+f(z) Concession U(y)=f(t),f(b),... MASTER WEB Intelligence p.30/31

35 Conclusions Système Multi-Agents : un paradigme de programmation ; Négociation : résolution décentralisée de conflit ; Système de négociation : langage, décision, processus négociation non-coopérative : cadre où les agents arrêtent seuls leur choix, sans consulter les autres agents, pour satisfaire leur propre but ; résolution coopérative de problème distribuée a pour objet la conception de système, notamment le protocole et les stratégies des agents qui sont élaborées dans le but de maximiser la satisfaction globale du système ; objectif de la négociation non-coopérative : développer des mécanismes d interactions (enchère, vote, marchandage, marché, contrat, formation de coalition) pour garantir la robustesse du système. MASTER WEB Intelligence p.31/31

Simulation centrée individus

Simulation centrée individus Simulation centrée individus Théorie des jeux Bruno BEAUFILS Université de Lille Année 4/5 Ce document est mis à disposition selon les termes de la Licence Creative Commons Attribution - Partage dans les

Plus en détail

COORDINATION NON COOPÉRATIVE: MÉTHODES D ENCHÈRES

COORDINATION NON COOPÉRATIVE: MÉTHODES D ENCHÈRES COORDINATION NON COOPÉRATIVE: MÉTHODES D ENCHÈRES Cours 6c Principe Protocole centralisé, un commissaire-priseur/vendeur (auctioneer) et plusieurs enchérisseurs/acheteurs (bidders) Le commissaire-priseur

Plus en détail

Deuxième partie es jeux non-coopératifs avec information complète 3. É quilibre de Nash (1951) 4. D ynamique et rétroduction 5.

Deuxième partie es jeux non-coopératifs avec information complète 3. É quilibre de Nash (1951) 4. D ynamique et rétroduction 5. Deuxième partie Les jeux non-coopératifs avec information complète 3. Équilibre de Nash (1951) 35 4. Dynamique et rétroduction 61 5. Jeux répétés 85 3. Équilibre de Nash (1951) John Nash a généralisé

Plus en détail

Introduction à la Théorie des Jeux p.1/77

Introduction à la Théorie des Jeux p.1/77 Introduction à la Théorie des Jeux Sébastien Konieczny konieczny@cril.univ-artois.fr CRIL-CNRS Université d Artois - Lens Introduction à la Théorie des Jeux p.1/77 Théorie des Jeux Définition La théorie

Plus en détail

Economie de l Incertain et des Incitations

Economie de l Incertain et des Incitations Economie de l Incertain et des Incitations CHAPITRE 2 Eléments de théorie des jeux en information symétrique et asymétrique Equilibres Bayesiens - Université de Tours - M1 AGE - Arnold Chassagnon - Automne

Plus en détail

4. Utilisation d un SGBD : le langage SQL. 5. Normalisation

4. Utilisation d un SGBD : le langage SQL. 5. Normalisation Base de données S. Lèbre slebre@unistra.fr Université de Strasbourg, département d informatique. Présentation du module Contenu général Notion de bases de données Fondements / Conception Utilisation :

Plus en détail

CHAPITRE 5. Stratégies Mixtes

CHAPITRE 5. Stratégies Mixtes CHAPITRE 5 Stratégies Mixtes Un des problèmes inhérents au concept d équilibre de Nash en stratégies pures est que pour certains jeux, de tels équilibres n existent pas. P.ex.le jeu de Pierre, Papier,

Plus en détail

Intelligence Artificielle et Systèmes Multi-Agents. Badr Benmammar bbm@badr-benmammar.com

Intelligence Artificielle et Systèmes Multi-Agents. Badr Benmammar bbm@badr-benmammar.com Intelligence Artificielle et Systèmes Multi-Agents Badr Benmammar bbm@badr-benmammar.com Plan La première partie : L intelligence artificielle (IA) Définition de l intelligence artificielle (IA) Domaines

Plus en détail

Conception et contrôle des SMA tolérants aux fautes

Conception et contrôle des SMA tolérants aux fautes Conception et contrôle des SMA tolérants aux fautes Une plate-forme multiagents tolérante aux fautes à base de réplication Nora FACI Contexte SMA large échelle Nombre important d agents Ressources éloignées

Plus en détail

Implantation des protocoles de communication FIPA dans la plate-forme GAMA

Implantation des protocoles de communication FIPA dans la plate-forme GAMA L Institut de la Francophonie pour l Informatique L unité de recherche Geodes, Institut de Recherche pour le Développement (UR079, IRD) Master INTELLIGENCE ARTIFICIELLE ET MULTIMEDIA, 2 ème année, Spécialité

Plus en détail

Joueur B Pierre Feuille Ciseaux Pierre (0,0) (-1,1) (1,-1) Feuille (1,-1) (0,0) (-1,1) Ciseaux (-1,1) (1,-1) (0.0)

Joueur B Pierre Feuille Ciseaux Pierre (0,0) (-1,1) (1,-1) Feuille (1,-1) (0,0) (-1,1) Ciseaux (-1,1) (1,-1) (0.0) CORRECTION D EXAMEN CONTROLE CONTINU n 1 Question de cours Question 1 : Les équilibres de Cournot et de Stackelberg sont des équilibres de situation de duopole sur un marché non coopératif d un bien homogène.

Plus en détail

La microéconomie est-elle utile?

La microéconomie est-elle utile? La microéconomie est-elle utile? Les manuels de microéconomie comportent généralement des centaines de pages, pleines de courbes et de formules mathématiques. Une proportion importante des articles publiés

Plus en détail

QUI VEUT JOUER AVEC MOI?

QUI VEUT JOUER AVEC MOI? QUI VEUT JOUER AVEC MOI? Michel Rigo (Université de Liège) http://www.discmath.ulg.ac.be/ JOUER SÉRIEUSEMENT, POURQUOI? Jeux coopératifs : marché boursier, économie, émergence de réseaux sociaux,... Mise

Plus en détail

Présentation du module Base de données spatio-temporelles

Présentation du module Base de données spatio-temporelles Présentation du module Base de données spatio-temporelles S. Lèbre slebre@unistra.fr Université de Strasbourg, département d informatique. Partie 1 : Notion de bases de données (12,5h ) Enjeux et principes

Plus en détail

Optimisation multi-critère pour l allocation de ressources sur Clouds distribués avec prise en compte de l énergie

Optimisation multi-critère pour l allocation de ressources sur Clouds distribués avec prise en compte de l énergie Optimisation multi-critère pour l allocation de ressources sur Clouds distribués avec prise en compte de l énergie 1 Présenté par: Yacine KESSACI Encadrement : N. MELAB E-G. TALBI 31/05/2011 Plan 2 Motivation

Plus en détail

Programmation d'agents intelligents Vers une refonte des fils de raisonnement. Stage de fin d'études Master IAD 2006

Programmation d'agents intelligents Vers une refonte des fils de raisonnement. Stage de fin d'études Master IAD 2006 vendredi 8 septembre 2006 Programmation d'agents intelligents Vers une refonte des fils de raisonnement Stage de fin d'études Master IAD 2006 Benjamin DEVEZE Responsable : M. Patrick TAILLIBERT Plan Plan

Plus en détail

LES NOUVEAUX PARADIGMES DU MARKETING

LES NOUVEAUX PARADIGMES DU MARKETING Table des matières Master Recherche Management, Logistique et Stratégie Jean-Louis Moulins I. LA DEMARCHE MARKETING : CONTENU ET EVOLUTION 1. Le Protomarketing 2. Le Marketing Vente ou Marketing Commercial

Plus en détail

La plate-forme DIMA. Master 1 IMA COLI23 - Université de La Rochelle

La plate-forme DIMA. Master 1 IMA COLI23 - Université de La Rochelle La plate-forme DIMA Master 1 IMA COLI23 - Université de La Rochelle DIMA Bref aperçu Qu'est-ce? Acronyme de «Développement et Implémentation de Systèmes Multi-Agents» Initié par Zahia Guessoum et Jean-Pierre

Plus en détail

Business Process Design Max Pauron

Business Process Design Max Pauron Business Process Design Max Pauron 2005 Max Pauron - Reproduction and communication, even partial, are strictly prohibited without written permission. Unauthorized photocopying is a crime. Contexte Les

Plus en détail

Bases de données. Chapitre 1. Introduction

Bases de données. Chapitre 1. Introduction Références : Bases de données Pierre Wolper Email : pw@montefiore.ulg.ac.be URL : http : //www.montefiore.ulg.ac.be/~pw/ http : //www.montefiore.ulg.ac.be/ ~pw/cours/bd.html Henry F. Korth, Abraham Silberschatz,

Plus en détail

Jeux sous forme extensive (Jeux dynamiques)

Jeux sous forme extensive (Jeux dynamiques) (Jeux dynamiques) Plan du chapitre ( juillet 008) / éfinitions, exemples et équivalences Arbres de jeux, information et mémoire tratégies et réduction en forme normale Équilibre de Nash parfait en sous-jeux

Plus en détail

Apprentissage par renforcement (1a/3)

Apprentissage par renforcement (1a/3) Apprentissage par renforcement (1a/3) Bruno Bouzy 23 septembre 2014 Ce document est le chapitre «Apprentissage par renforcement» du cours d apprentissage automatique donné aux étudiants de Master MI, parcours

Plus en détail

COURS 8 : INTRODUCTION A LA THEORIE DES JEUX

COURS 8 : INTRODUCTION A LA THEORIE DES JEUX Université Pierre et Marie Curie Licence Informatique 2014-2015 Cours LI 352 - Industrie Informatique et son Environnement Économique Responsable : Jean-Daniel Kant (Jean-Daniel.Kant@lip6.fr) COURS 8 :

Plus en détail

Les apports de l informatique. Aux autres disciplines

Les apports de l informatique. Aux autres disciplines Les apports de l informatique Aux autres disciplines Le statut de technologie ou de sous-discipline est celui de l importation l et de la vulgarisation Le statut de science à part entière est lorsqu il

Plus en détail

Une solution open source, sans commission sur les ventes, avec un engagement limité.

Une solution open source, sans commission sur les ventes, avec un engagement limité. la-billetterie.net est une solution indépendante à destination des salles de spectacles ou des organisateurs d événements. Elle permet la vente d abonnements et de billets en ligne ou au guichet, le contrôle

Plus en détail

La sécurité dans les grilles

La sécurité dans les grilles La sécurité dans les grilles Yves Denneulin Laboratoire ID/IMAG Plan Introduction les dangers dont il faut se protéger Les propriétés à assurer Les bases de la sécurité Protocoles cryptographiques Utilisation

Plus en détail

UNIVERSITE DE TECHNOLOGIE DE COMPIEGNE U. F. R. DE SCIENCES ET TECHNOLOGIE. Doctorat. Technologies de l information et des systèmes FABRICIO ENEMBRECK

UNIVERSITE DE TECHNOLOGIE DE COMPIEGNE U. F. R. DE SCIENCES ET TECHNOLOGIE. Doctorat. Technologies de l information et des systèmes FABRICIO ENEMBRECK UNIVERSITE DE TECHNOLOGIE DE COMPIEGNE U. F. R. DE SCIENCES ET TECHNOLOGIE Doctorat Technologies de l information et des systèmes FABRICIO ENEMBRECK CONTRIBUTION A LA CONCEPTION D AGENTS ASSISTANTS PERSONNELS

Plus en détail

Machines virtuelles Cours 1 : Introduction

Machines virtuelles Cours 1 : Introduction Machines virtuelles Cours 1 : Introduction Pierre Letouzey 1 pierre.letouzey@inria.fr PPS - Université Denis Diderot Paris 7 janvier 2012 1. Merci à Y. Régis-Gianas pour les transparents Qu est-ce qu une

Plus en détail

Prise en compte des ressources dans les composants logiciels parallèles

Prise en compte des ressources dans les composants logiciels parallèles Prise en compte des ressources dans les composants logiciels parallèles Aperçus de l action RASC et du projet Concerto F. Guidec Frederic.Guidec@univ-ubs.fr Action RASC Plan de cet exposé Contexte Motivations

Plus en détail

UN PROGRAMME INNOVANT AU CŒUR DES ENJEUX COMPÉTITIFS DE L ENTREPRISE MODERNE

UN PROGRAMME INNOVANT AU CŒUR DES ENJEUX COMPÉTITIFS DE L ENTREPRISE MODERNE UN PROGRAMME INNOVANT AU CŒUR DES ENJEUX COMPÉTITIFS DE L ENTREPRISE MODERNE SE DOTER D UNE VISION SYSTÉMIQUE DU MANAGEMENT STRATÉGIQUE BASÉ SUR LA THÉORIE DES CONTRAINTES (TOC), LE «LEAN MANUFACTURING»

Plus en détail

Évaluation et implémentation des langages

Évaluation et implémentation des langages Évaluation et implémentation des langages Les langages de programmation et le processus de programmation Critères de conception et d évaluation des langages de programmation Les fondations de l implémentation

Plus en détail

LA MULTIPLICATION DES PLATEFORMES DANS L INDUSTRIE DU JEU VIDÉO

LA MULTIPLICATION DES PLATEFORMES DANS L INDUSTRIE DU JEU VIDÉO LA MULTIPLICATION DES PLATEFORMES DANS L INDUSTRIE DU JEU VIDÉO Thierry Rayna Novancia Business School Paris Imperial College London Conférence économie des plateformes 23 octobre 2013 MULTIPLICATION DES

Plus en détail

Marchés, réseaux et politique de la concurrence. Claude Crampes (claude.crampes@tse-fr.eu)

Marchés, réseaux et politique de la concurrence. Claude Crampes (claude.crampes@tse-fr.eu) Marchés, réseaux et politique de la concurrence Claude Crampes (claude.crampes@tse-fr.eu) Toulouse, avril 2015 2. Comportements anti-concurentiels 2.1. Choix stratégiques 2.2. Abus de position dominante

Plus en détail

Limitations of the Playstation 3 for High Performance Cluster Computing

Limitations of the Playstation 3 for High Performance Cluster Computing Introduction Plan Limitations of the Playstation 3 for High Performance Cluster Computing July 2007 Introduction Plan Introduction Intérêts de la PS3 : rapide et puissante bon marché L utiliser pour faire

Plus en détail

Agents mobiles pour la recherche d'informations sur des réseaux hétérogènes. D.Picard & A.Revel

Agents mobiles pour la recherche d'informations sur des réseaux hétérogènes. D.Picard & A.Revel Agents mobiles pour la recherche d'informations sur des réseaux hétérogènes D.Picard & A.Revel Le code mobile......un code successivement embarqué Code Mobile Programme se déplaçant sur d autres supports

Plus en détail

Théorie des Jeux Et ses Applications

Théorie des Jeux Et ses Applications Théorie des Jeux Et ses Applications De la Guerre Froide au Poker Clément Sire Laboratoire de Physique Théorique CNRS & Université Paul Sabatier www.lpt.ups-tlse.fr Quelques Définitions de la Théorie des

Plus en détail

Sylvie Guessab Professeur à Supélec et responsable pédagogique du Mastère Spécialisé en Soutien Logistique Intégré des Systèmes Complexes

Sylvie Guessab Professeur à Supélec et responsable pédagogique du Mastère Spécialisé en Soutien Logistique Intégré des Systèmes Complexes Préface Toute personne est un jour confrontée à devoir prendre une décision, qu il s agisse de l étudiant qui réfléchit à son orientation académique, du chercheur qui doit privilégier une option scientifique

Plus en détail

Chap 3 : La connaissance du client. I. Les fondements de la connaissance du client. Les principales évolutions sont résumées dans le tableau suivant :

Chap 3 : La connaissance du client. I. Les fondements de la connaissance du client. Les principales évolutions sont résumées dans le tableau suivant : Chap 3 : La connaissance du client I. Les fondements de la connaissance du client A. D une société de consommation à une société de consommateurs Depuis les années 1980, les mutations sociales ont eu d

Plus en détail

Bases de Données. Stella MARC-ZWECKER. stella@unistra.u-strasbg.fr. Maître de conférences Dpt. Informatique - UdS

Bases de Données. Stella MARC-ZWECKER. stella@unistra.u-strasbg.fr. Maître de conférences Dpt. Informatique - UdS Bases de Données Stella MARC-ZWECKER Maître de conférences Dpt. Informatique - UdS stella@unistra.u-strasbg.fr 1 Plan du cours 1. Introduction aux BD et aux SGBD Objectifs, fonctionnalités et évolutions

Plus en détail

Méthodologies de développement de logiciels de gestion

Méthodologies de développement de logiciels de gestion Méthodologies de développement de logiciels de gestion Chapitre 5 Traits caractéristiques des deux approches de méthodologie Présentation réalisée par P.-A. Sunier Professeur à la HE-Arc de Neuchâtel http://lgl.isnetne.ch

Plus en détail

JADE : Java Agent DEvelopment framework. Laboratoire IBISC & Départ. GEII Université & IUT d Evry nadia.abchiche@ibisc.univ-evry.

JADE : Java Agent DEvelopment framework. Laboratoire IBISC & Départ. GEII Université & IUT d Evry nadia.abchiche@ibisc.univ-evry. : Java Agent DEvelopment framework Laboratoire IBISC & Départ. GEII Université & IUT d Evry nadia.abchiche@ibisc.univ-evry.fr Introduction à la plateforme JADE 1) Modèle d agent 2) Services 3) Norme FIPA

Plus en détail

INTERSYSTEMS CACHÉ COMME ALTERNATIVE AUX BASES DE DONNÉES RÉSIDENTES EN MÉMOIRE

INTERSYSTEMS CACHÉ COMME ALTERNATIVE AUX BASES DE DONNÉES RÉSIDENTES EN MÉMOIRE I N T E RS Y S T E M S INTERSYSTEMS CACHÉ COMME ALTERNATIVE AUX BASES DE DONNÉES RÉSIDENTES EN MÉMOIRE David Kaaret InterSystems Corporation INTERSySTEMS CAChé CoMME ALTERNATIvE AUx BASES de données RéSIdENTES

Plus en détail

PROGRAMME DETAILLE. Parcours en première année en apprentissage. Travail personnel. 4 24 12 24 CC + ET réseaux

PROGRAMME DETAILLE. Parcours en première année en apprentissage. Travail personnel. 4 24 12 24 CC + ET réseaux PROGRAMME DETAILLE du Master IRS Parcours en première année en apprentissage Unités d Enseignement (UE) 1 er semestre ECTS Charge de travail de l'étudiant Travail personnel Modalités de contrôle des connaissances

Plus en détail

Programmation de services en téléphonie sur IP

Programmation de services en téléphonie sur IP Programmation de services en téléphonie sur IP Présentation de projet mémoire Grégory Estienne Sous la supervision du Dr. Luigi Logrippo Introduction La téléphonie sur IP comme support à la programmation

Plus en détail

Optimisez vos environnements Virtualisez assurément

Optimisez vos environnements Virtualisez assurément Optimisez vos environnements Virtualisez assurément Présenté par Jean-Steve Shaker Architecte de solutions - Virtualisation Une approche unique et simplifiée Solutions en Solutions d infrastructure infrastructure

Plus en détail

Consecutive Master en Business administration

Consecutive Master en Business administration Consecutive Master en Business administration Orientation : Je définis la stratégie sponsoring d une marque de sport pour maximiser son impact aux prochains Jeux Olympiques de Vancouver. 1 FORMATION PERSPECTIVES

Plus en détail

Acquisition des données - Big Data. Dario VEGA Senior Sales Consultant

Acquisition des données - Big Data. Dario VEGA Senior Sales Consultant Acquisition des données - Big Data Dario VEGA Senior Sales Consultant The following is intended to outline our general product direction. It is intended for information purposes only, and may not be incorporated

Plus en détail

Florian CARRE Comment rédiger un bon projet de R&D européen? Organiser la rédaction règles administratives

Florian CARRE Comment rédiger un bon projet de R&D européen? Organiser la rédaction règles administratives Florian CARRE Comment rédiger un bon projet de R&D européen? Organiser la rédaction règles administratives Organiser la rédaction Appel à projet Consortium + Idée de projet Réunion de consortium proposition

Plus en détail

La demande Du consommateur. Contrainte budgétaire Préférences Choix optimal

La demande Du consommateur. Contrainte budgétaire Préférences Choix optimal La demande Du consommateur Contrainte budgétaire Préférences Choix optimal Plan du cours Préambule : Rationalité du consommateur I II III IV V La contrainte budgétaire Les préférences Le choix optimal

Plus en détail

RFC 7011 : Specification of the IP Flow Information export (IPFIX) Protocol for the Exchange of Flow Information

RFC 7011 : Specification of the IP Flow Information export (IPFIX) Protocol for the Exchange of Flow Information RFC 7011 : Specification of the IP Flow Information export (IPFIX) Protocol for the Exchange of Flow Information Stéphane Bortzmeyer Première rédaction de cet article le

Plus en détail

ilottery 2.0 DÉVELOPPER LE JEU En collaboration avec

ilottery 2.0 DÉVELOPPER LE JEU En collaboration avec ilottery 2.0 DÉVELOPPER LE JEU L I V R E B L A N C En collaboration avec RÉSUMÉ 2 Ce livre blanc repose sur une étude commandée par Karma Gaming et réalisée par Gaming Insights Group. Les données viennent

Plus en détail

Master IAC 2013-2014. Philippe Caillou DÉVELOPPEMENT DE SMA. Cours 1b

Master IAC 2013-2014. Philippe Caillou DÉVELOPPEMENT DE SMA. Cours 1b DÉVELOPPEMENT DE SMA Cours 1b Je veux développer mon application.. Comme toujours, j utilise Java/Python/C#/ Mais : Est-ce que je ne reprogramme pas exactement la même chose que quelqu un d autre? (en

Plus en détail

FORCE DE VENTE : une approche commerciale efficace

FORCE DE VENTE : une approche commerciale efficace Les formations standardisées voulant mettre le commercial dans un «moule» et formater une personne en appliquant des techniques à la lettre sont bien différentes de ce que nous vous proposons chez Semaphorus.

Plus en détail

Vision industrielle et télédétection - Détection d ellipses. Guillaume Martinez 17 décembre 2007

Vision industrielle et télédétection - Détection d ellipses. Guillaume Martinez 17 décembre 2007 Vision industrielle et télédétection - Détection d ellipses Guillaume Martinez 17 décembre 2007 1 Table des matières 1 Le projet 3 1.1 Objectif................................ 3 1.2 Les choix techniques.........................

Plus en détail

Gestion de la Relation Client

Gestion de la Relation Client Gestion de la Relation Client Guillaume Ansel & Ulrich Duvent 2010 Rapport d étude de conception d un module de Gestion de la Relation Client (Customer Relationship Management) pour un ERP à but pédagogique

Plus en détail

COMMANDES SQL... 2 COMMANDES DE DEFINITION DE DONNEES... 2

COMMANDES SQL... 2 COMMANDES DE DEFINITION DE DONNEES... 2 SQL Sommaire : COMMANDES SQL... 2 COMMANDES DE DEFINITION DE DONNEES... 2 COMMANDES DE MANIPULATION DE DONNEES... 2 COMMANDES DE CONTROLE TRANSACTIONNEL... 2 COMMANDES DE REQUETE DE DONNEES... 2 COMMANDES

Plus en détail

Généralités sur le Langage Java et éléments syntaxiques.

Généralités sur le Langage Java et éléments syntaxiques. Généralités sur le Langage Java et éléments syntaxiques. Généralités sur le Langage Java et éléments syntaxiques....1 Introduction...1 Genéralité sur le langage Java....1 Syntaxe de base du Langage...

Plus en détail

aux différences est appelé équation aux différences d ordre n en forme normale.

aux différences est appelé équation aux différences d ordre n en forme normale. MODÉLISATION ET SIMULATION EQUATIONS AUX DIFFÉRENCES (I/II) 1. Rappels théoriques : résolution d équations aux différences 1.1. Équations aux différences. Définition. Soit x k = x(k) X l état scalaire

Plus en détail

Relever le challenge de la transformation numérique dans un contexte international

Relever le challenge de la transformation numérique dans un contexte international Relever le challenge de la transformation numérique dans un contexte international Dominique Gire Directeur Associé Novulys Didier Fleury Directeur Associé Novulys dominique.gire@novulys.fr didier.fleury@novulys.fr

Plus en détail

LA METHODE DU COUT CIBLE (TARGET COSTING)

LA METHODE DU COUT CIBLE (TARGET COSTING) LA METHODE DU COUT CIBLE (TARGET COSTING) Finalité de la démarche Optimiser les performances futures de profit du produit sur l ensemble de son cycle de vie. Prérequis Connaissance élémentaire de la problématique

Plus en détail

Competence Management System (Système de Gestion de Compétences)

Competence Management System (Système de Gestion de Compétences) Dispositif :... 3 Qu est-ce qu un CMS?... 3 Quels sont les dispositifs intégrés à un CMS... 3 Comment envoyer des emails?... 3 Puis-je envoyer des emails seulement à un groupe de personnes?... 4 Comment

Plus en détail

FONDEMENTS ÉPISTÉMIQUES DE CONCEPTS D ÉQUILIBRE EN THÉORIE DES JEUX

FONDEMENTS ÉPISTÉMIQUES DE CONCEPTS D ÉQUILIBRE EN THÉORIE DES JEUX Lucie MÉNAGER EUREQua, université de Paris I Panthéon-Sorbonne Olivier TERCIEUX Paris-Jourdan Sciences économiques (PSE) et CNRS FONDEMENTS ÉPISTÉMIQUES DE CONCEPTS D ÉQUILIBRE EN THÉORIE DES JEUX Mots-clés

Plus en détail

Introduction aux Bases de Données Relationnelles Conclusion - 1

Introduction aux Bases de Données Relationnelles Conclusion - 1 Pratique d un : MySQL Objectifs des bases de données Où en sommes nous? Finalement, qu est-ce qu un? Modèle relationnel Algèbre relationnelle Conclusion SQL Conception et rétro-conception Protection de

Plus en détail

TEPZZ 568448A_T EP 2 568 448 A1 (19) (11) EP 2 568 448 A1 (12) DEMANDE DE BREVET EUROPEEN. (51) Int Cl.: G07F 7/08 (2006.01) G06K 19/077 (2006.

TEPZZ 568448A_T EP 2 568 448 A1 (19) (11) EP 2 568 448 A1 (12) DEMANDE DE BREVET EUROPEEN. (51) Int Cl.: G07F 7/08 (2006.01) G06K 19/077 (2006. (19) TEPZZ 68448A_T (11) EP 2 68 448 A1 (12) DEMANDE DE BREVET EUROPEEN (43) Date de publication: 13.03.2013 Bulletin 2013/11 (1) Int Cl.: G07F 7/08 (2006.01) G06K 19/077 (2006.01) (21) Numéro de dépôt:

Plus en détail

CORBA. (Common Request Broker Architecture)

CORBA. (Common Request Broker Architecture) CORBA (Common Request Broker Architecture) Projet MIAGe Toulouse Groupe 2 1 CORBA, introduction (1/4) Les systèmes répartis permettent de créer des applications basées sur des composants auto-gérables,

Plus en détail

ENQUÊTE AUPRÈS DES EMPRUNTEURS HYPOTHÉCAIRES

ENQUÊTE AUPRÈS DES EMPRUNTEURS HYPOTHÉCAIRES ENQUÊTE AUPRÈS DES EMPRUNTEURS HYPOTHÉCAIRES La clé qui ouvre de nouvelles portes AU CŒUR DE L HABITATION ENQUÊTE 2014 AUPRÈS DES EMPRUNTEURS HYPOTHÉCAIRES ENQUÊTE 2014 AUPRÈS DES EMPRUNTEURS HYPOTHÉCAIRES

Plus en détail

Introduction aux systèmes temps réel. Iulian Ober IRIT ober@iut-blagnac.fr

Introduction aux systèmes temps réel. Iulian Ober IRIT ober@iut-blagnac.fr Introduction aux systèmes temps réel Iulian Ober IRIT ober@iut-blagnac.fr Définition Systèmes dont la correction ne dépend pas seulement des valeurs des résultats produits mais également des délais dans

Plus en détail

ÉBAUCHE POUR COMMENTAIRE MODALITÉS RELATIVES AUX ADJUDICATIONS DES OBLIGATIONS À TRÈS LONG TERME DU GOUVERNEMENT DU CANADA

ÉBAUCHE POUR COMMENTAIRE MODALITÉS RELATIVES AUX ADJUDICATIONS DES OBLIGATIONS À TRÈS LONG TERME DU GOUVERNEMENT DU CANADA ÉBAUCHE POUR COMMENTAIRE Banque du Canada MODALITÉS RELATIVES AUX ADJUDICATIONS DES OBLIGATIONS À TRÈS LONG TERME DU GOUVERNEMENT DU CANADA 1. Par les présentes, le ministre des Finances donne avis que

Plus en détail

Ces formations se font uniquement «Sur mesure» - Nous contacter. II - Techniques de vente «Avancées» - 6 ou 7 modules selon le concept vente

Ces formations se font uniquement «Sur mesure» - Nous contacter. II - Techniques de vente «Avancées» - 6 ou 7 modules selon le concept vente FORMATIONS COMMERCIALES MANAGEMENT Ces formations se font uniquement «Sur mesure» - Nous contacter I - Techniques de vente «Basic» - 6 modules II - Techniques de vente «Avancées» - 6 ou 7 modules selon

Plus en détail

FRONTeO Plateforme digitale pour les banques. Dossier de presse

FRONTeO Plateforme digitale pour les banques. Dossier de presse FRONTeO Plateforme digitale pour les banques Dossier de presse 2015 Sommaire Page 3 Editorial «La banque se digitalise, l informatique évolue, MAINSYS anticipe...» Page 4 Une gamme complète de solutions

Plus en détail

Les systèmes de base de données temps réels. Pokrovskaya Natalia, Kabbali Nadia

Les systèmes de base de données temps réels. Pokrovskaya Natalia, Kabbali Nadia Les systèmes de base de données temps réels Pokrovskaya Natalia, Kabbali Nadia Année académique 2008-2009 Table des matières 1 Introduction 2 2 Système de gestion de bases de données classiques 3 3 Systèmes

Plus en détail

4.2 Unités d enseignement du M1

4.2 Unités d enseignement du M1 88 CHAPITRE 4. DESCRIPTION DES UNITÉS D ENSEIGNEMENT 4.2 Unités d enseignement du M1 Tous les cours sont de 6 ECTS. Modélisation, optimisation et complexité des algorithmes (code RCP106) Objectif : Présenter

Plus en détail

Résultat des discussions du groupe de travail franco-allemand sur les infrastructures de charge

Résultat des discussions du groupe de travail franco-allemand sur les infrastructures de charge 26/01/10 Résultat des discussions du groupe de travail franco-allemand sur les infrastructures de charge Le groupe de travail franco-allemand sur les infrastructures de charge des véhicules électriques

Plus en détail

Votre outil pour vous démarquer sur le terrain de l interactivité. www. Moteurs de recherche. Médias Sociaux. Web. Mobilité. Assurance automobile

Votre outil pour vous démarquer sur le terrain de l interactivité. www. Moteurs de recherche. Médias Sociaux. Web. Mobilité. Assurance automobile Votre outil pour vous démarquer sur le terrain de l interactivité. www Web Mobilité Médias Sociaux Moteurs de recherche Assurance automobile Votre nouveau terrain de concurrence: l interactivité On parle

Plus en détail

Ecole des Hautes Etudes Commerciales HEC Alger. par Amina GACEM. Module Informatique 1ière Année Master Sciences Commerciales

Ecole des Hautes Etudes Commerciales HEC Alger. par Amina GACEM. Module Informatique 1ière Année Master Sciences Commerciales Ecole des Hautes Etudes Commerciales HEC Alger Évolution des SGBDs par Amina GACEM Module Informatique 1ière Année Master Sciences Commerciales Evolution des SGBDs Pour toute remarque, question, commentaire

Plus en détail

Bases de données réparties: Fragmentation et allocation

Bases de données réparties: Fragmentation et allocation Pourquoi une base de données distribuée? Bibliographie Patrick Valduriez, S. Ceri, Guiseppe Delagatti Bases de données réparties: Fragmentation et allocation 1 - Introduction inventés à la fin des années

Plus en détail

Comment optimiser les tests avec une démarche d automatisation simplifiée

Comment optimiser les tests avec une démarche d automatisation simplifiée P A C I F I C A - A S S U R A N C E S D O M M A G E S Comment optimiser les tests avec une démarche d automatisation simplifiée Jean-Luc VILLETTE (PACIFICA) Eddy JABES (ALTEN) Journée Française des Tests

Plus en détail

Nouvelles propositions pour la résolution exacte du sac à dos multi-objectif unidimensionnel en variables binaires

Nouvelles propositions pour la résolution exacte du sac à dos multi-objectif unidimensionnel en variables binaires Nouvelles propositions pour la résolution exacte du sac à dos multi-objectif unidimensionnel en variables binaires Julien Jorge julien.jorge@univ-nantes.fr Laboratoire d Informatique de Nantes Atlantique,

Plus en détail

Vérifier la qualité de vos applications logicielle de manière continue

Vérifier la qualité de vos applications logicielle de manière continue IBM Software Group Vérifier la qualité de vos applications logicielle de manière continue Arnaud Bouzy Kamel Moulaoui 2004 IBM Corporation Agenda Analyse de code Test Fonctionnel Test de Performance Questions

Plus en détail

Le cadre des Web Services Partie 1 : Introduction

Le cadre des Web Services Partie 1 : Introduction Sécurité en ingénierie du Logiciel Le cadre des Web Services Partie 1 : Introduction Alexandre Dulaunoy adulau@foo.be Sécurité en ingénierie du Logiciel p.1/21 Agenda (partie 1) 1/2 Introduction Services

Plus en détail

Architecture Orientée Service, JSON et API REST

Architecture Orientée Service, JSON et API REST UPMC 3 février 2015 Précedemment, en LI328 Architecture générale du projet Programmation serveur Servlet/TOMCAT Aujourd hui Quelques mots sur les SOA API - REST Le format JSON API - REST et Servlet API

Plus en détail

GeNCA : un modèle général de négociation de contrats entre agents

GeNCA : un modèle général de négociation de contrats entre agents GeNCA : un modèle général de négociation de contrats entre agents THÈSE présentée et soutenue publiquement le 2 Novembre 2004 pour l obtention du Doctorat de l Université des Sciences et Technologies de

Plus en détail

Virtualisation des ressources serveur. Exemple : Systèmes partitionnés sous HP-UX et Oracle

Virtualisation des ressources serveur. Exemple : Systèmes partitionnés sous HP-UX et Oracle Virtualisation des ressources serveur Exemple : Systèmes partitionnés sous HP-UX et Oracle Sommaire 1 PRINCIPES DE LA VIRTUALISATION DES SERVEURS 3 2 PRINCIPES DE LA VIRTUALISATION DES SERVEURS PARTITIONNES

Plus en détail

TP1 Méthodes de Monte Carlo et techniques de réduction de variance, application au pricing d options

TP1 Méthodes de Monte Carlo et techniques de réduction de variance, application au pricing d options Université de Lorraine Modélisation Stochastique Master 2 IMOI 2014-2015 TP1 Méthodes de Monte Carlo et techniques de réduction de variance, application au pricing d options 1 Les options Le but de ce

Plus en détail

Hervé Couturier EVP, SAP Technology Development

Hervé Couturier EVP, SAP Technology Development Hervé Couturier EVP, SAP Technology Development Hervé Biausser Directeur de l Ecole Centrale Paris Bernard Liautaud Fondateur de Business Objects Questions à: Hervé Couturier Hervé Biausser Bernard Liautaud

Plus en détail

Convergence Grand public professionnelle

Convergence Grand public professionnelle Note de synthèse Convergence Grand public professionnelle Cette note synthétise les réflexions d une des tables rondes des entretiens Télécom de Mars 2006, organisés par Finaki. A cette table étaient à

Plus en détail

AFRC Centres de Relation Client - Optimisation & Virtualisation

AFRC Centres de Relation Client - Optimisation & Virtualisation AFRC Centres de Relation Client - Optimisation & Virtualisation Laurent CORNU Partner, Customer Relationship Management Leader IBM Business Consulting Services Plus que tout autre canal, le centre de relation

Plus en détail

Modèles et simulations informatiques des problèmes de coopération entre agents

Modèles et simulations informatiques des problèmes de coopération entre agents Modèles et simulations informatiques des problèmes de coopération entre agents Bruno Beaufils LIFL Axe CIM Équipe SMAC Laboratoire d'informatique Plan 1. Motivations 2. Dilemme itéré du prisonnier 3. Simulations

Plus en détail

BABEL LEXIS : UN SYSTÈME ÉVOLUTIF PERMETTANT LA CRÉATION, LE STOCKAGE ET LA CONSULTATION D OBJETS HYPERMÉDIAS

BABEL LEXIS : UN SYSTÈME ÉVOLUTIF PERMETTANT LA CRÉATION, LE STOCKAGE ET LA CONSULTATION D OBJETS HYPERMÉDIAS Quatrième colloque hypermédias et apprentissages 275 BABEL LEXIS : UN SYSTÈME ÉVOLUTIF PERMETTANT LA CRÉATION, LE STOCKAGE ET LA CONSULTATION D OBJETS HYPERMÉDIAS Anne-Olivia LE CORNEC, Jean-Marc FARINONE,

Plus en détail

L apprentissage automatique

L apprentissage automatique L apprentissage automatique L apprentissage automatique L'apprentissage automatique fait référence au développement, à l analyse et à l implémentation de méthodes qui permettent à une machine d évoluer

Plus en détail

L exclusion mutuelle distribuée

L exclusion mutuelle distribuée L exclusion mutuelle distribuée L algorithme de L Amport L algorithme est basé sur 2 concepts : L estampillage des messages La distribution d une file d attente sur l ensemble des sites du système distribué

Plus en détail

Conférence-débats sur le TEC CEDEAO: menaces et opportunités pour l économie du Bénin

Conférence-débats sur le TEC CEDEAO: menaces et opportunités pour l économie du Bénin Conférence-débats sur le TEC CEDEAO: menaces et opportunités pour l économie du Bénin Cotonou 27 aout 2013 Salifou TIEMTORE Directeur des Douanes pi RAPPELS L article 3 du Traité Révisé fait de la création

Plus en détail

Un mécanisme de négociation multicritère pour le commerce électronique

Un mécanisme de négociation multicritère pour le commerce électronique Un mécanisme de négociation multicritère pour le commerce électronique Marie-Jo Bellosta, Imène Brigui, Sylvie Kornman, Suzanne Pinson, Daniel Vanderpooten To cite this version: Marie-Jo Bellosta, Imène

Plus en détail

A GRASPxELS approach for the Job Shop with generic time-lags and new statistical determination of the parameters

A GRASPxELS approach for the Job Shop with generic time-lags and new statistical determination of the parameters A GRASPxELS approach for the Job Shop with generic time-lags and new statistical determination of the parameters Présenté par : Equipe de travail : Laboratoire : Maxime CHASSAING Philippe LACOMME, Nikolay

Plus en détail

Dans ce document, on décrit les indices des prix des biens de la TIC qui sont produits, ainsi que les sources de données et la méthodologie.

Dans ce document, on décrit les indices des prix des biens de la TIC qui sont produits, ainsi que les sources de données et la méthodologie. Résumé L expansion du secteur de la technologie de l information et des communications (TIC) a rendu nécessaire un plus grand nombre d indicateurs économiques propres à ce secteur. La Division des prix

Plus en détail

Acquisition et transmission d entreprise

Acquisition et transmission d entreprise Petits déjeuners des start-ups Acquisition et transmission d entreprise Facteurs à considérer dans la vente de son entreprise Genève, le 31 janvier 2003 Agenda Les services de PwC Le processus de vente

Plus en détail

Vendre. PANdOre INTRODUCTION. But du vendeur : faire en sorte que tout se passe au mieux entre l entreprise et les clients/les partenaires.

Vendre. PANdOre INTRODUCTION. But du vendeur : faire en sorte que tout se passe au mieux entre l entreprise et les clients/les partenaires. Vendre PANdOre INTRODUCTION But du vendeur : faire en sorte que tout se passe au mieux entre l entreprise et les clients/les partenaires. Historique de la relation client-fournisseur : 1955-1965 : le fournisseur

Plus en détail

La recherche interventionnelle en santé des populations : moteur d innovation

La recherche interventionnelle en santé des populations : moteur d innovation La recherche interventionnelle en santé des populations : moteur d innovation L O U I S E P O T V I N, P h D C H A I R E D E R E C H E R C H E D U C A N A D A A P P R O C H E S C O M M U N A U T A I R

Plus en détail

Master d'informatique. Réseaux. Supervision réseaux

Master d'informatique. Réseaux. Supervision réseaux Master d'informatique Réseaux Supervision réseaux Bureau S3-354 mailto:jean.saquet@info.unicaen.fr http://www.info.unicaen.fr/~jean/radis Supervision des réseaux Système dépendants des réseaux physiques

Plus en détail